Petite chronique d'une salope assumée.
Et fière de l'être.
Et fière de l'être.
Chroniques d’une femme libérée.
Auteur Évelyne.
Bonjour à vous, à 40 ans, divorcée, je suis mère de deux enfants et je travaille comme surveillante dans un lycée relativement calme.
Je suis une femme assez sage malgré mon côté salope, oui je m’habille assez sexy, j’aime porter des tenues moulantes ou osées et mettant en avant mes atouts 1.65 m (brune) 62 63kg avec de fesses assez arrondies et un 90c.
Au travail, je plais en effet beaucoup aux hommes et je le sens, ce qui me gène pas du tout, les lycéens et mes collègues me regardent beaucoup, je sens leur regard appuyé sur mes fesses quand je passe devant eux, des fois je suis totalement indifférente mais parfois cela m’excite, à tel point que j’ondule mon cul encore plus pour leur donner envie, pas étonnant avec les strings ficelle qui m’écartent bien la raie.
Heureusement je suis assez stricte et respectée par les élèves pour ne passer pour une idiote avide de sexe… néanmoins j’entends souvent des mots crus en mon égard comme quoi il aimerait pour baiser, être mon mari, que je suis une salope etc … ces mots me touchent mais surtout dans le sens positif et puis j’assume à force de m’habiller sexy, je le cherche bien.
Tellement bien qu’ils ont parfois des vues parfaites sur mon string qui dépasse lorsque je suis cambrée, penchée et mes seins qui bougent.
Mes collègues assez pervers, plus jeunes que moi qui me connaissent de mieux en mieux avec le temps se permettent parfois de me toucher pour me flatter, une main par-ci par-là, je les laisse plus ou moins faire mais les repousse immédiatement, on parle beaucoup sexe de plus en plus entre nous mais cela reste soft, je leur ai avoué mon côté exhibe et ils m’ont poussé à l’être encore plus..
À l’approche des beaux jours de me mettre en mini-jupe bas sans culotte pour me titiller, ce jeu devenait dangereux et le pire c’est qu’ils devaient vérifier tout dans le respect mutuel, je leur montrais rapidement mon intimité, sans aller plus loin marqué par des « ouh elle est chaude, sexy maman » .. Cela me gênait quelque peu et m’excitait et eux aussi bien sûr. Je savais qu’ils allaient me baiser un moment donné mais n’osaient pas encore.
Ma réputation de salope augmentait auprès des lycéens, je le sentais, ils étaient trop jeunes pour moi quoique certains étaient majeurs et le fait d’être un fantasme pour eux me chamboulait.
Je passais volontairement dans les couloirs et parfois une deux mains me pelotaient dans le vacarme ambiant, je me sentais vraiment catin et je mouillais à mon entrejambe et le long des cuisses, je pensais à toutes ces queues matures qui pourraient me pénétrer.
Un soir je retourna dans mon bureau, chaude et excitée, et je décida de sortir le grand jeu pour mes 4 collègues, habillée d’une robe blanche légère avec une coupe moulante s’arrêtant à mi-cuisses et un string blanc transparent, je fis mine de chercher des papiers dans les bas tiroirs, il suffisait juste de se pencher pour voir mes fesses écartées par une ficelle blanche qui passait sur mon trou du cul un peu mouillé et mes lèvres dégageant une odeur de cyprine.
J’entendis du bruit et c’était bien eux, un peu surpris de mon jeu, l’un deux commença à remonter ma robe et voyant que je ne me manifestai pas, il écarta mon string et me doigta, je gémis toujours la tête dans les papiers, ce fut pour eux le feu vert, je me tortillais de plaisir, ils me touchèrent de partout, le cul en arrière, je leur lança
- Baiser moi svp
Je me fis insulter de tous les noms mais en quelque temps je fus prise par tous les trous, j’adorais sa, à ce moment je me suis dit que j’étais vraiment faites pour me prendre des bites, j’étais dans une de mes grandes périodes sexuelles. Au bout d’une heure de jouissance, j’étais toute remplie de sperme, on se rhabilla et on se souhaita bonne soirée. Je ne regrettai rien.
Le lendemain, à peine arrivée, habillée d’une jupe serrée aux hanches et d’un décolleté profond et d’une veste me donnant une allure de pouffiasse, on se fit la bise et alors commença le jeu de mains, on me tripota de partout n’allant pas plus loin étant donné notre travail. Je découvris que je m’appelais plus Évelyne mais grosse salope.
Mes collègues tout en me respectant un minimum me touchèrent dès que possible, me doigtant, jouer avec mes seins, me faisait sucer leur doigt, je devais aussi enlever mon string, ils se branlaient dedans puis me le redonnais pour que je le mette, du sperme partout, cela me rendait folle d’excitation à des moments, ils éjaculaient aussi sur mes pieds, et je ne devais pas m’essuyer, je le faisais quand même quand ça se voyait beaucoup.
Et tous les soirs ou presque je me faisais remplir de sperme, ont avaient nos horaires, j’avais chaud aux trous. Quatre bites pour moi, l’extase. J’étais un réservoir à sperme, un garage à bites selon leur dire.
Le proviseur remarqua ma négligence et dans son bureau je cédai sous son chantage à le sucer tous les jours au matin. De 4 queues je passai à 5, en échange par contre j’avais moins de travail réglementaire vu mon travail sexuel.
Je faisais toujours fantasmer les élèves, certains devaient deviner et beaucoup de choses circulais jusqu’aux profs et certains me plaisaient bien d’ailleurs, et puis je n’étais plus à une bite près. J’allumais un prof de philosophie avec lequel le courant passait bien, un jour il m’invita chez lui, ce que j’acceptai volontiers, c’était dans un petit quartier, quelques jeunes y étaient et me mataient, connaissant le prof ils parlaient avec lui et ils avaient compris son plan, c’est-à-dire, me sauter. J’étais tombé sous son regard charmeur et je m’y attendais..
On déjeuna discuta de tout, regardant mes seins par des regards hasardeux, je lui plaisais beaucoup dans ma tenue robe longue ouverte au dos et sur les côtés, puis il me posa une question troublante :
- Alors le proviseur aime te faire les fesses?
Hasardeuse je rétorquai un petit oui, il me dit immédiatement qu’il m’avait vu à plusieurs reprises rentrer dans son bureau et entendre des gémissements, j’étais stupéfaite, il s’approcha de moi et me sauta, me pénétra le vagin, sa grosse bite m’élargissait mon anus ou il gicla dedans, il me remercia et garda mon string qu’il me rendrait plus tard.
En sortant du bâtiment, deux des jeunes étaient toujours là, et me regardèrent avec insistance me sifflant.. Je pris le bus, les trous trempés et odorants et je remarquai qu’ils me suivaient jusqu’à ma résidence et l’un deux étaient du lycée !!, j’avais assez peur et j’avais eu ma dose de sexe.
Ils s‘approchèrent de moi, me plaquèrent contre un mur et ils me donnèrent un rendez-vous pour le week-end ou sinon ils allaient salir ma réputation, j’acceptai sous la contrainte pendant qu’ils me touchaient la chatte, moi sans mon string les jambes semi écartées, et constatèrent mes trous larges sales, collants et humides et me dirent qu’ils aimaient les femmes soumises puis repartirent.
J’étais allé trop loin, mais d’un côté cela me plaisait je prenais un plaisir fou à chaque fois. Arriva le rendez-vous, je n’avais pas fait l’amour durant 3 jours, avant de partir je pris une bonne douche, m’habillant d’une robe noir courte et moulante un peu transparente m’arrivant juste en-dessous de mes fesses avec un string ficelle assortie sans soutif, j’étais une pute en haut talon.
Je rejoignais mes futurs baiseurs chez l’un deux en voiture, je me serais sûrement faites violer dans le bus. Me complimentant, ils m’emmenèrent manger en ville dans un petit resto en restant courtois, on discuta tout en me faisant mâter par tous les hommes, mon string était humide comme ma chatte avec ses lèvres pendantes et la chaleur n’arrangeait rien.
On pouvait apercevoir mon entrejambe si j’écartais mes cuisses totalement dénudées. On partit à ma surprise faire du shopping, ils m’ont acheté un maillot de bain blanc 2 pièces pour aller à la piscine municipale sous le regard avide du vendeur.
Une fois là-bas je pris rapidement mes aises, j’étais au début un peu gênée du bikini un peu petit qui me rentrait dans les fesses et qui me cachait à peine les seins. Heureusement je n’étais pas la seule comme ceci, beaucoup de monde nous regardait mais cela ne les surprenait pas vraiment, je voyais aussi leur bosse à travers leur maillot
Ils me massaient le corps et insistaient sur mon entrejambe et mes seins puis c’était à mon tour, je les voyais gicler dans leur maillot, je prenais leur semence et la goûtais.
Tout l’après-midi nous étions dans l’eau, je me faisais toucher de partout, mon maillot prenait l’eau et l’on pouvait apercevoir ma chatte et mes tétons je les branlais en cachette comme à mon adolescence je m’amusais comme une folle…
Avant de partir nous sommes passés aux vestiaires ou ils m’ont prise par tous les trous, trois jeunes bites pour moi, j’étais folle de sexe et eux fous de mon corps.. je mouillais du vagin, de l’anus et je les excitait beaucoup avec mes phrases « oui baisez moi votre surveillante salope qui aime le sperme » et eux « oui on aime défoncer les surveillantes nymphos » « les mères de famille qui ont des gros trous du cul » cela m’excitait encore et je leur répondais que j’ai besoin de bites que mes trous servent à ça, à être remplis, ils n’en revenaient pas et éjaculèrent partout sur moi..
Ils me ramenèrent à ma voiture et me remercièrent infiniment, maintenant soulagée, ils me remercièrent et je voyais dans leur attitude qu’ils étaient allés trop loin dans l’acte en me baisant.
Je revue un des trois un jour qui me sauta comme une pute au lycée.
Je me prenais six queues différentes dans la semaine et plusieurs fois, j’avais une vie sexuelle épanouie. 4 surveillants, 1 proviseur et 1 prof. J’étais accro à leur queues leur sperme, tous à ma demande m’achetaient des tenues hot, bodys, guêpières, cuir, vinyle, dessous…
Cela dura 2 ans.
oooOOooo
Me revoilà pour une nouvelle aventure, moi la salope.
Il y a un maintenant 6 mois, je suis partie en croisière d’une semaine en Egypte avec une copine de mon âge mariée, avec laquelle je m’entends très bien.
Le voyage est magnifique, hormis la chaleur qui nous pousse toutefois à nous habiller en tenue légère, on attire sur nous beaucoup de regard, elle a une poitrine moins développée que la mienne mais de très jolies formes avec une peau admirable et un fessier à faire tourner les regards.
Nous sommes donc très bien accueillies par tous, complimentées sur notre beauté, cela nous fait sourire et pour ma part m’excite lorsque je pense que ces égyptiens voudraient nous sauter.
Ma copine décidant de rester sage, pour ma part j’aimerai bien sucer une ou deux queues sur ce bateau. Lorsque nous le pouvons, je vais sur le pont avec piscine, en maillot paréo exciter deux trois mâles en chaleur, mais cette endroit assez familiale rend la situation compliquée, je retourne à chaque fois en douche me masturber pour me calmer.
Je me promène en ondulant les fesses toujours dans des tenues sexy, me baissant volontairement pour laisser apparaître mes strings pendant que le personnel du bateau est derrière, j’entends alors des remarques que je ne peux comprendre.
Chaque matin le personnel vient faire la chambre où nous dormons, je laisse volontairement ma lingerie légère traîner et ainsi je remarque que leur place n’est plus la même et une fois je pus constater des traces de sperme dans mon string blanc transparent à dentelle.
L’organisateur et propriétaire du bateau, un homme intelligent d’assez bonne corpulence et assez viril venait souvent discuter avec nous, on avait alors le don de particulièrement bien l’exciter sans forcément le vouloir grâce à nos tenues légères, quel vicieux, je jouais un peu avec lui en croisant et décroisant mes cuisses, me cambrant, aussi ma copine faisait de même, quand à elle on pouvait apercevoir qu’elle ne portait rien dessous, la salope.
Lui assez tactile n’hésitait pas à nous toucher à l’épaule aux bras etc… oi je voulais sa queue et mon désir se faisait de plus en plus grand, mon vagin et mon anus avaient besoin d’un traitement.
Un soir, lors d’une petite fête, à l’écart des regards, il me met une main aux fesses, habillée d’une robe fine, il me malaxa le cul, m’embrassa dans le cou, je gémis pour lui signifier mon accord, il m’emmena dans sa chambre ou il me baisa, je jouis plusieurs fois et lui aussi, il m’avait écarté le vagin et mon cul comme pas possible avec sa grosse bite toute à moi.
Je retrouvai ma copine, je lui expliquai l’histoire, elle se dit jalouse.
Il ne restait plus qu’un soir et je voulais recommencer, je forçais ma copine à y aller avec moi, hésitante au début, elle se dit partante, il me restait plus qu’à exciter monsieur, lors de la journée je pris rdv avec lui pour recommencer en le masturbant à travers le pantalon.
En fin d’après-midi, je toquai à sa chambre accompagnée d’une autre salope mais à stupéfaction, lui aussi étais accompagné d’un homme que j’avais certainement déjà croisée. Ils nous proposèrent de commencer par un massage pour nous détendre, nues sur le lit, la scène était agréable, cela se termina par le massage des fesses et par des doigts dans nos trous avides de bites pour finir en partouze, nous prîmes un énorme plaisir, on se léchait aussi la chatte pour la première fois et les seins sur lesquels ils avaient éjaculés dessus.
Comblées, nous partîmes lendemain pleins de souvenirs.
oooOOooo
Je passe une partie de mes vacances d’été dans un petit coin sympa du sud-ouest de la France, une maison avec un petit jardin parfait pour me reposer et parfaire mon bronzage.
Je sors une chaise longue en début d’après-midi et me place en plein axe du soleil.
Je retourne me munir d’un maillot de bain soft, pour moi bien sûr, chercher crème solaire, lunettes, chapeau, magazine pour passer un bon moment. Lorsque je me rends compte consciencieusement que l’on peut me voir.
En effet, il y a peu de vis à vis et à certains endroits, mes voisins de gauche peuvent m’apercevoir. Mais je ne sais pas vraiment qui habite, j’ai déjà croisé un couple assez âgé et une fois aperçu un homme d’une trentaine d’années, bref peu importe je fais le lézard.
Jusqu’au moment ou j’’entends des bruits et perçois du mouvement, je me dis que je suis certainement regardée, la situation commence à m’exciter. Grâce à mes lunettes de soleil, j’observe un volet qui bouge légèrement, j’en suis sûr, on me matte.
Moi toute seule en 2 pièces sur me chaise longue, je me place sur le ventre, mon maillot rentre un peu dans mes fesses, je n’ose pas le replacer et puis tant pis ça fait plus salope, la salope telle que je suis, mon désir de sexe s’amplifie, je me contracte, j’imagine qu’un homme me regarde, peut être une femme qui sait.
Je m’interroge sur mon haut, d’ailleurs pourquoi j’en ai mis un et puis si je l’enlève cela rendrait la situation plus excitante, je me retourne et l’enlève, me voilà les seins à l’air, bougeant à chaque mouvement, mes tétons se durcissent. Une heure se passe je n’observe rien soit il est discret ou bien personne!! Ma chatte est trempée, je rentre me masturber
je recommence quasiment tous les jours à la même heure, m’habillant de plus en plus sexy jusqu’à mettre un string ficelle blanc, mouillée on peut voir ma chatte, je joue un jeu sexy et surtout que je sais qu’il y a bien quelqu’un, une voiture est garée devant leur porte, je me comporte tel une chienne sur ma chaise, n’hésitant pas à me masser les seins et l’entrejambe avec la crème, positionnant mon cul vers leur fenêtre, j’écarte doucement les cuisses, la ficelle me rentre bien dans le cul, je le sens contre mon anus et serrant mes lèvres, je suis humide, je change maintes fois de position, je rentre, me doigte, ressors nue..
En fin de journée, ou au petit matin, j’arrose les fleurs en petit bikini, me penchant bien pour pouvoir apprécier mes courbes, s’il y a bien quelqu’un derrière, il doit se régaler.
Dès que je peux me le permettre, je me rentre un objet dans le cul, cela me fait un bien fou, en marchant avec.
Intrigué au bout d’un certain temps de ce qui se passe et surtout de qui se trouve à côté, je décide d’y aller habillée pour demander un sécateur, je toque, la porte s’ouvre et là se trouve un homme d’une soixantaine d’année, celui que j’avais déjà vu, et que j’imaginais me matant, petit mais de bonne allure et assez joviale, son épouse était absente, il m’invita à prendre le café et faire connaissance..
On discuta et je regardai par la fenêtre mais je ne voyais pas mon jardin mais de la fenêtre du haut il devait bien se rincer l’œil. Parti à la cuisine, il revint derrière moi me massant les épaules dénudées avec beaucoup de tact en me disant que c’était bon contre les coups de soleil, et c’est vrai que fait du bien, je me laissai bien entendu faire, de toute manière il avait tout vu, il se montrait entreprenant et commençait à descendre plus bas, il examinait mon corps, enlevât le débardeur, sans un mot je ne parlais pas, le laissant faire, son contact me fît du bien, il me léchait les seins, j’adore…
Puis se fit au tour de ma jupe qu’il enlevât soigneusement, nue il était derrière moi, il me massait soigneusement, me malaxait le cul puis l’écartait, il introduit son doigt dans ma chatte puis dans mon anus, à ma surprise il n’était pas étonné de voir mon trou large, il m’avait bien mater, me pencha sur la table, il me pénétra pendant 15 minutes en alternant mon vagin et mon anus qui étaient aussi large l’un que l’autre, je pris un plaisir inouïe, je nettoyais sa large bite par une fellation.
On prit rendez-vous les derniers jours pour qu’il me saute chez moi 2 fois par jour, j’étais sa salope soumise à ses moindres fantasmes. Il m’avoua que des salopes comme moi il n’en avait pas vu beaucoup.
oooOOooo
Je me réveille, totalement fatiguée, je touche mon clitoris, ma chatte encore humide, mon anus aussi, oui il est humide, je sens de la semence, oui je m’en souviens maintenant, hier soir je me suis fait encore sautée, ah ! Evelyne tu exagères…
Tiens il a dû rester même tard dans la nuit voir le matin pour que j’ai encore les trous bien écartés, le cochon ! J’espère qu’il n’a pas réveillé mes enfants qui dormaient à côté.
C’était un bel homme élégant de couleur, métis, il a bien caché son jeu sous son regard charmeur et ses manières bien élevé, peu importe, il me fallait sucer de la bite…
Lui, il en avait une grosse et longue, je léchais tout son gland, sa tige, ses boules, Mumm quel goût, j’aime sa, je bavais dessus, sa jouissance coulait dû à son excitation, j’en avais plein sur la bouche, le visage, la poitrine, sa grosse bite était lisse comme je les aime, je le branlais, lui m’appuyai sur la tête, prenais soin d’écarter mes cheveux, je la frottais contre mon visage et mes seins. Pendant ce temps, je me masturbais avec une main, mon clitoris gonflait, mes joues devenaient roses, j’avais chaud.
Ainsi, il me retourne, je me cambre, lui tends ma croupe de salope, il me prend directement l’anus, me pénètre profondément, m’élargis bien, ressors et rentre, varie le rythme, je gémis doucement, il me traite de tous les noms. Puis c’est au tour de ma chatte, il me besogne en levrette, me dit que j’ai une grosse chatte et des lèvres de grosse pute, et me rentre un doigt ou des doigts en même temps dans le cul et me fait goûter son doigt que je suce, me crache dessus, le tout ma chemise de nuit relevé, et mon string mis de côté, il me tire la ficelle, au bout de quelques temps il est tout mouillé de sa semence et de la mienne.
Il me donne la fessée, me tripote les seins, tire mes tétons et les lèche et il en vient à me faire un cunnilingus, me demandant d’avouer que je cherchais bien de la bite en entrant dans ce bar, lieu de notre rencontre.
Une fois vidé, du sperme plein les trous, nous allons dans la salle de bain, me dit de me mettre nu dans la baignoire, à ma surprise il me pisse dessus, des seins, son liquide coule jusqu’à mes pieds, cela m’excite, c’est chaud, la situation est humiliante, il me fait nettoyer sa queue que je suce avec ardeur.
C’est à mon tour d’uriner, accroupie au sol, il me prend en photo, je lui dis de ne pas faire ça mais insiste, je veux lui prendre son portable mais à bout, j’abandonne.
On prend une douche, il m’embrasse, me dit que je suis une femme à bite, à maman à bite, me demande si j’ai pas honte, je lui réponds que non, je suis une femme qui a besoin d’être comblée dans tous les sens du terme, il m’annonce alors qu’il m’aime, puis on retourne dans ma chambre. Je lui propose de dormir ici, il est 2h00, mais qu’au matin il devra partir, il
accepte.
Bien entendu, il a dû profiter de mon corps pendant que je dormais…
Je sors de mon lit, réveille mes enfants, ils me disent que je sens une drôle d’odeur, gênée, j’essaie de pas trop les embrasser, je file prendre une douche pour me réveiller et me débarrasser de mon odeur de sexe, je me touche et décide de me mettre un gode dans mon cul et de rester comme sa pour faire les courses, je le retiens par un string qui monte haut et m’habille modérément sexy en pantalon veste...
La journée risque d’être aussi excitante que hier, avec mon anus à sperme bien lubrifié, ondulant mes fesses à chaque pas et imaginant le sexe des hommes que je croise, à travers leur pantalon.