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Les brèves du net. La montagne, çà vous gagne..!

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En toutes saisons 
la montagne c'est bandant!
Un bon air pur...
Et des mandrins en béton..!

Randonnées en montagne

En juin, comme depuis plusieurs années, je pars en vacances en Savoie pour un mois.
Mon mari, qui doit se rendre à l'étranger, me rejoindra à partir de la deuxième semaine.
J'en parle avec mon amie Martine qui me dit:
- Une semaine sans sexe tu vas dépérir
- J'aime bien marcher avec les randonnées en montagne je'aurais pas le temps de penser à ça
- Te connaissant ça m'étonnerais que tu ne sois pas en manque
- Je verrais sur place, si c'est nécessaire je trouverais bien un mâle pour satisfaire mes besoins
- D'accord avec toi, je suis sûr qu'une salope comme toi n'aura pas de difficultés pour trouver quelqu'un pour se faire sauter
En train je vais jusqu'à Modane, un taxi me véhicule jusqu'à Aussois.
Je m'installe dans l'appartement que nous avons loué et du balcon j'ai une belle vue sur le village et les montagnes dont certains sommets sont encore enneigés.
Je visite le bourg et achète de quoi me nourrir.
Le lendemain il fait beau je décide de partir en randonnée pour la journée. Je connais suffisamment les principaux itinéraires de randonnées car ce n'est pas la première fois que je viens ici.
Je m'équipe: maillot, short, chaussures de marche, bâtons, sac à dos avec ce qu'il faut dedans: un peu de nourriture et boisson, plus des vêtements de rechange en cas de nécessité et quelques affaires de toilette au cas ou.
Me voilà partie et la route grimpe à n'en plus finir, un fermier qui va voir ses vaches dans les alpages me propose de me véhiculer un bout de chemin dans son véhicule 4X4 ce que j'accepte puis toujours par la route j'arrive aux barrages hydroélectriques, là je fais une pose assise dans l'herbe.
Je repars, maintenant c'est un chemin caillouteux, je m'aide avec mes bâtons, je longe le barrage supérieur et admire la vue magnifique.
J'ai le souffle court à cause de l'altitude. Des randonneurs me croisent ou me doublent.
D'un coup je sens une présence derrière moi puis je me retrouve escortée par deux hommes assez jeunes qui engagent la conversation.
- Ca va, pas trop fatiguée. Vous êtes seule
- Oui, je ne savais pas quoi faire alors j'ai décidée de marcher un peu
- Ce n'est pas prudent de faire de la randonnée seule, vous allez ou
- Je ne sais pas, je me dirige au hasard
- Venez avec nous, nous allons passer la nuit dans un refuge avant de poursuivre notre randonnée demain pour monter plus haut
- Pourquoi pas, je n'ai que ça à faire
Nous nous arrêtons de temps en temps pour regarder les torrents qui sinuent dans la montagne ainsi que des marmottes dormir sur un rocher, ou jouer et gambader dans l'herbe.
J'ai bien fait de prendre mon appareil photos.
Le refuge n'est plus très loin, à bout de souffle je m'assois sur un rocher.
Mes accompagnateurs Daniel et Michel se posent à côté de moi et la conversation prend une toute autre orientation que celle de parler du charme de la randonnée et des lieux. Ils me baratinent.
- Tu sais que tu es belle, tu n'as pas peur seule avec deux hommes
- La peur n'évite pas le danger et vous ne semblez pas être des violeurs
- Non mais on pourrait peut-être passer un bon moment ensemble dans le refuge
- Je ne vois pas de quoi vous parlez>>.
Daniel met un bras autour de mon cou et approche son visage du mien. Ses lèvres sont sur les miennes.
Je n'oppose aucune résistance et nos langues se mêlent dans un long baiser. Quand il s'agit de sexe Laura la salope est de retour. Son copain ne sait quelle attitude adopter, je décide de faire le premier pas.
- Et toi tu ne m'embrasses pas, tu n'as pas envie de moi
- Tu choisis qui de nous deux
- Je n'ai pas de préférence et je peux vous satisfaire tous les deux
Je m'approche de lui et tend mes lèvres, il m'étreint et m'embrasse.
Ils commencent à me peloter, l'un la poitrine, l'autre les cuisses et le sexe.
- Ce n'est le lieu pour faire ça, vous aurez le temps d'en profiter plus tard
- Et ce soir dans un dortoir du refuge est ce que ce sera le bon endroit
- Pourquoi pas, je ne suis pas contre le fait que vous utilisiez mon corps mais c'est donnant donnant
- Tu veux quoi en échange
- En contrepartie de ce que je vous offre c'est à vous de m'assurer le gîte et le couvert si vous voyez ce que je veux dire
Ils sont surpris par ma proposition puis s'écartent pour parler entre-eux. Leur discussion est brève.
- D'accord, nous assumons notre part du marché si tu tiens ta promesse
- Je n'ai qu'une parole
Dans les refuges le gîte et le couvert ne sont pas onéreux.
Nous reprenons notre chemin et enfin nous arrivons au refuge.
Le gardien nous propose des dortoirs, nous choisissons celui qui comporte quatre lits non superposés. C'est la douche puis nous buvons un rafraîchissement avant le repas qui est fait de produits locaux. Nous parlons un moment avec les autres randonneurs qui vont dormir ici puis direction la chambre.
Nous commençons à nous dévêtir. Je n'ai pas de vêtements de nuit, je reste en culotte et soutien-gorge et eux en slip pour l'un et caleçon pour l'autre.
Après m'avoir regardée ils s'approchent de moi, je souris en voyant leur pénis en érection qui déforme leur sous-vêtement. Ils me disent que j'ai un beau corps, eux sont loin d'être mal foutus bien que de corpulence différente.
Je me retrouve rapidement nue debout. Ils m'embrassent et me caressent partout en s'attardant sur les endroits sensibles de mon corps. J'écarte les cuisses pour qu'ils puissent fouiller plus facilement mon intimité, j'ai des envies.
Assis sur mon lit Michel écarte les jambes, à genoux je caresse, lèche et lui fais une fellation pendant que Daniel s'est positionné à genoux derrière moi et introduit sa queue dans ma chatte. Le va-et-vient du pénis en moi et la masturbation de mon clitoris font monter le plaisir dans mon ventre pendant que je suce toujours celui qui torture mes tétons.
Ma bouche se fait arroser de sperme que j'avale ensuite Daniel se retire de mon vagin et éjacule dans une serviette en papier.
Mes amants échangent leur place. La fellation que je fais à Daniel dure plus longtemps avant que des jets de sperme ne frappent ma gorge. Michel s'active, sa queue fait des allers-retours dans mon vagin et sa main me masturbe pendant que le plaisir que je ressens est de plus en plus fort. Ils éjaculent tour à tour.
Couchée sur le dos je subis leurs assauts, ils me défoncent le vagin en se relayant allongés sur moi pendant que je maintiens l'érection de celui qui est en attente en le masturbant.
Ils prennent leur temps et le corps secoué par des spasmes je jouis pendant que des jets de cyprine sortent de mon intimité et arrosent le ventre de celui qui me chevauche.
Après que j'aie eu deux orgasmes, tour à tour ils finissent par éjaculer dans des serviettes en papier.
Nous nous endormons chacun dans un lit.

Le matin suivant Daniel se réveille le premier et vient me retrouver la queue bien dressée pour une étreinte, je sors de mon drap sac pour qu'il puisse me prendre, il remue à grands coups de reins et sa queue défonce ma chatte un bon moment avant qu'il ne se retire pour éjaculer.
Michel est réveillé et s'allonge sur moi puis me pénètre, les va-et-vient de sa verge dans mon vagin ne durent pas très longtemps avant que son sperme ne salisse une autre serviette en papier.
Une fois habillés nous déjeunons puis je continue la randonnée avec les deux hommes sachant que je vais encore passer à la casserole car ils m'ont proposé de prolonger le marché qu'ils avaient accepté la veille.
Nous continuons à grimper, avec l'altitude je respire de plus en plus mal.
Nous faisons une halte prolongée dans un endroit que le gardien du refuge nous a indiqué et nous attendons. Un petit troupeau de bouquetins finit par arriver, nous les observons et photographions un bon moment.
Mes deux accompagnateurs commencent à se montrer de nouveau entreprenants. Je me retrouve allongée sur un rocher pendant qu'ils m'embrassent, glissent leurs mains sous mes vêtements et caressent ma poitrine et mon sexe.
Des voix de randonneurs qui approchent mettent fin à leurs velléités et nous reprenons notre route.
Vers midi nous déjeunons assis sur des rochers, au refuge on nous a préparé un panier repas.
Les hommes ont choisi un endroit à l'abri des regards et sont décidés à se servir de moi pour calmer leurs envies.
Après quelques embrassades je me retrouve allongée et presque nue. Des mains caressent mes seins, torturent mes tétons, s'en prennent à mon sexe et à mon clitoris pendant qu'ils ont mis leur pénis à l'air. Je lèche puis suce leur queue tour à tour pendant qu'ils continuent à me caresser et exciter mon clitoris.
Daniel me pénètre et me défonce à grands coups de reins puis se retire et éjacule dans l'herbe pendant que la verge de Michel s'enfonce dans mon intimité, je remue en même temps que lui. Le plaisir monte dans mon ventre. Il se retire et envoie des jets de sperme dans l'herbe.
Je me rhabille et nous reprenons tranquillement la randonnée.
Nous arrivons dans un refuge situé beaucoup plus haut que celui que nous avons quitté le matin. Après avoir posé nos sacs à dos sur des lits nous buvons un verre attablés sur la terrasse. Le soir après avoir dîné et parlé un moment avec les personnes qui tiennent le refuge nous allons dans le dortoir ou nous sommes les seuls occupants et de nouveau je satisfais leurs envies.
Comme il y a un grand lit je me retrouve couchée sur le côté les jambes repliées, pendant que la queue de l'un me défonce le vagin pendant que je fais une fellation à l'autre puis l'inverse une fois qu'ils ont échangée leur place.
Ensuite en levrette ils pénètrent mon anus et l’aller-retour des verges dans mon cul durent un bon moment avant qu'ils ne se soulagent chacun leur tour.
Nous dormons à trois dans le même lit ce qui n'est pas évident mais leur permet de me prendre pendant la nuit et de se soulager dans mon ventre si bien qu'au matin je suis plus fatiguée qu'au coucher.
Après avoir déjeuné nous prenons le chemin de retour le plus direct.
Le midi ils récupèrent leur voiture sur le parking situé à proximité des barrages et nous allons dans le bourg la plus proche déguster un plateau de charcuteries et de fromages de la région.
Après avoir faits un arrêt dans un coin boisé ou allongés dans l'herbe je leur fais une fellation puis ils se soulagent dans mon intimité, ils me déposent dans Aussois devant une résidence que je leur indique comme étant ma location puis une fois qu'ils sont partis je regagne mon appartement dans la véritable résidence ou je réside.
Le lendemain je visite les alentours du bourg.
Le surlendemain je m'équipe et l'après-midi je repars en randonnée dans un endroit différent.
Je profite d'un taxi qui repartait à vide pour me faire déposer au départ d'une piste de randonnée située plus bas que le bourg.
La grimpette commence et je marche seule un long moment m'arrêtant pour reprendre mon souffle, regarder un aigle voler et chercher une proie, j'observe aussi des marmottes.
Au détour d'un chemin je tombe sur un groupe de randonneurs qui s'étonnent de me voir seule, ensemble nous nous dirigeons vers un refuge tout en parlant.
Arrivés sur place ils m’offrent un rafraîchissement.
Les responsables du refuge nous montrent les dortoirs. Parmi les personnes que j'ai rencontrées il y a deux couples qui choisissent la même chambre, les trois hommes qui restent choisissent une autre pièce avec des lits superposés et je décide de m'installer avec eux ce qui les étonne.
Après avoir dîné et parlé un bon moment c'est l'heure de se coucher.
Ils sont gênés de devoir se déshabiller devant moi, je retire mes vêtements sans me presser en m'assurant qu'ils regardent bien dans ma direction. Voulant profiter de l'occasion je décide de prendre les choses en main.
- Il ne faut pas que ma présence vous gêne, j'ai l'habitude de voir des hommes nus et vous ne devez plus être puceaux
- On ne voudrait pas que vous pensiez que l'on veut profiter de la situation pour vous mâter et vous sauter dessus
Ils se défendent de vouloir m'observer et d'être indiscrets il faut donc que j'enfonce le clou.
- Je vous aurais pensés plus hardis, je ne suis pas une oie blanche et je sais profiter des bonnes choses quand elles se présentent
- Vous voulez dire quoi, on a peur de mal comprendre
Je décide d'être directe même si ça doit les choquer dans un premier temps.
- Que je suis une salope qui n'a pas peur de ce que vous pourriez lui faire car j'en ai vu d'autres, je pense que c'est clair
Ils se regardent intimidés par ma hardiesse puis Julien plus hardi que ses copains s'approche. Il m'enlace et m'embrasse, je réponds avec ardeur à son baiser. Les deux autres (Adrien et Florent) s'approchent de moi, ils m'embrassent à leur tour.
Je suis délestée des sous-vêtements que j'avais gardés sur moi et toujours debout ils me caressent, triturent mes tétons et fouillent ma chatte nerveusement pendant un moment avant de se calmer.
Ils sont maintenant tous nus avec leurs membres en érection. Ils passent aux choses sérieuses, je me retrouve à genoux en travers d'un lit pendant que l'un debout d'un côté me fourre son pénis dans le vagin et de l'autre côté un autre introduit sa verge dans la bouche.
Pendant que le troisième larron à genoux à côté de moi malaxe mes seins, triture les tétons et masturbe mon clitoris je n'ai pas besoin de bouger car ceux qui ont investi mon sexe et ma bouche remuent avec des mouvements énergiques et finissent par éjaculer dans l'orifice qu'ils ont investi. endant un bon moment les queues se relaient dans ma bouche et ma chatte et y déversent leur semence.
Ensuite je me retrouve couchée sur le dos les jambes repliées, genoux à hauteur de ma poitrine, c'est dans mon anus qu'une première queue s'enfonce et pendant un long moment chacun leur tour ils défoncent mon cul à grands coups de reins. Ils s’excitent entre eux ce qui leur permet d'entretenir leur envie.
Pendant que l'un me pénètre les autres sont debout de chaque côté de moi, me caressent et mettent leur verge dans mes mains pour que je les masturbe.
Adrien cale après sa quatrième éjaculation, ses amis continuent à me défoncer et continuent à se remplacer assez souvent sans conclure ce qui n'est pas bon pour moi car le plaisir reste à son maximum dans mon ventre.
Beaucoup de temps passe et j'ai plusieurs orgasmes, avant qu'une dernière éjaculation n'arrose mes intestins.
Mes tortionnaires vont se coucher, très fatiguée je passe par la salle de bain.
Je regagne mon lit et m'enfonce dans le drap sac, les hommes ne m'ont pas attendue pour s'endormir.
Le lendemain je suis seule pour déjeuner, le groupe de randonneurs est parti de bonne heure. Les trois hommes qui m'ont sautée ont pris spontanément en charge mes frais de séjour dans le refuge. Je pars après avoir demandé un panier repas et je redescends pour regagner mon appartement ou j'arrive en fin de journée après m'être arrêtée en chemin notamment pour prendre un repas.
Le lendemain je visite les forts sardes à proximité du bourg.
Satisfaite du résultat de mes écarts de conduite je peux attendre patiemment mon mari qui doit arriver samedi matin.

Les Alpes.
Nous étions en train de faire une randonnée dans les Alpes avec un groupe d'amis.
La pente était raide et abrupte avec des passages où il fallait escalader, mes fessiers étaient mis à rude épreuve, je les sentais travailler et mon short de rando devenu trop juste moulait mes fesses.
Un randonneur allemand faisant partie d'un groupe qui nous suivait avait remarqué mes fesses qui se cambraient dans la montée. Quand je me suis aperçu qu'il me matait, ça m'a fait un drôle d'effet , d'autant plus qu'il était avec sa femme.
Quand son regard à parcouru tout mon corps et a croisé le miens, je me suis mis à rougir et J'ai tout de suite baissé les yeux , il a souris. Les hommes comme lui, virils et bien bâti m'ont toujours intimidé surtout quand je sens leur regard puissant me parcourir et me dominer.
Il avait des yeux bleus perçants qui me pénétraient.
Ce bref échange de regards m'avait un peu émoustillé mais j'avais repris ma route.
Arrivé au refuge, je profitais d'une douche relaxante.
A la sortie des douche , je fais un peu d'étirements dans le couloir des dortoirs et là, le destin fait sortir le randonneur allemand . J'ai continué à m'étirer et je lui montrais volontairement ma cambrure comme un jeu de séduction qui eut son effet puisqu'il saisit cette opportunité (personne d'autre dans le couloir ) pour me chuchoter à l'oreille Avec un délicieux accent allemand excitant:
- Je te veux ce soir, quel est ton numéro de lit?
Un peu surpris, je répondis d'une voix timide et fluette en évitant son regard, les yeux baissés:
- Dortoir 3, lit 34,
- Je viendrai te rejoindre quand tout le monde dormira. Ne t'endors pas.
Son ton directif acheva de me séduire et me faire basculer sous son charme et son emprise.
Je n’osai même pas répondre et me dirigea dans mon dortoir le cœur battant la chamade.
Je me sentais déjà possédé par cet aryen dominant et j'étais prêt à m'offrir à lui , cette nuit.
L'excitation me maintenu éveillé jusqu'à 1h, des petits pas rompirent le silence nocturne, je savais qu'il s'agissait de mon mâle qui tenait sa parole et venait prendre ce qu'il avait mérité.
Il se glisse dans mon lit et je senti son corps puissant et durci par l'exercice se serrer contre le miens. Il ne perdit pas de temps et obtint de moi ce pour quoi il était venu sans me le demander.
Il saisit ma nuque et dirigea sa verge déjà en érection dans ma bouche. Il fit des va-et-vient très forts et brusques et réussit à enfoncer sa queue pourtant épaisse au fond de ma gorge.
Il baisait ma bouche puissamment comme s'il s'agissait d'un vagin féminin me faisant saliver abondamment.
Quand il estima être rassasié par rapport à ce besoin, il me retourna d'un seul mouvement d'une manière sèche et arracha mon boxer pour découvrir la partie de moi qu'il convoitait le plus et qu'il avait repérée pendant la marche.
Je me cambrai aussitôt, il humidifia mon petit orifice anale de sa salive appliquée par ses gros doigts. Puis il pénétra sans ménagement mon corps dont il avait pris possession.
Je le laissais utiliser mon cul de femelle pour ses besoins en essayant de me retenir de gémir.
Le seul bruit qu'on entendait dans le dortoir était celui de son bas ventre qui venait claquer mes fesses charnues et bombées.
Je sentais soudain son membre se contracter et je compris qu'il était en train de jouir et par la même occasion de me féconder sans m'avoir demandé mon avis.
Il retira son énorme verge de moi ayant transformé mon orifice en trou béant duquel coulait sa semence de mâle.
Je sentais son sperme perler sur mes fesses et mon scrotum et c'était une douce sensation.
Il reparti comme il était venu laissant mon corps allongé lascif duquel dégoulinait ma salive et son pré sperme de ma bouche et son jus d'homme de ma chatte anale utilisée .

Cauchemar au refuge
Je m’appelle Jean-Claude et j’ai 51 ans. Ma femme Monique et moi sommes allés dans les Pyrénées faire du ski et des raquettes. Lors d’une randonnée, nous avons été pris dans une tempête de neige fondue qui nous a glacé jusqu’aux os. A travers la pluie et le vent, j’ai aperçu un chalet entre les sapins où nous avons pu nous réfugier.
Nous sommes entrés dans la construction en bois complètement gelés pour voir que le bâtiment était occupé par une classe de neige. Il y avait là une dizaine de jeunes entre 16 et 18ans, leur éducateur et un guide de montagne.
Ce dernier en nous voyant grelotter nous fit approcher du feu de cheminée et s’empara de 2 couvertures pour qu’on se déshabille et se mette au chaud. J’aidais donc ma femme à retirer sa combinaison trempée pendant que les jeunes n’en perdaient pas une miette.
Monique se retrouva en culotte et soutien-gorge et les jeunes se mirent à siffler. Je retirai pour ma part ma combinaison trempée en faisant des remarques à l’éducateur:
- Vous pourriez pas les tenir, vos petits sauvages... C’est pas la correction qui les étouffent...
L’éducateur me regarda d’un air mauvais, puis s’approcha de moi et dit:
- Et bien quoi? Tu penses que tu fais la loi partout et que tu peux mépriser les jeunes comme ça... On va te faire voir ce que valent les jeunes d’aujourd’hui... Les gars... A vos bites!!!
Quatre jeunes s’emparèrent de moi et me jetèrent sur un lit pour me ligoter les bras et jambes aux montants. Je jetai un œil vers ma femme et je vis les jeunes qui lui avaient arraché sa couverture et étaient en train de lui couper son soutien-gorge et sa culotte. Les lambeaux de
tissus tombèrent par terre et Monique se retrouva toute nue devant tout le monde.
Ma femme est une belle femme, 49 ans, brune aux cheveux courts, la peau mat, 1m68 pour 47kg, des cuisses fermes, des fesses pommelées, un ventre plat et des seins en forme de poire avec des bouts assez long et durs.
L’éducateur s’approcha d’elle et ouvrit sa braguette, il sortit sa bite qui était courte mais très épaisse, tandis que Monique tournait la tête, il lui dit:
- Ecoute-moi bien salope. T’as intérêt à faire ce qu’on te demande, sinon on colle dehors ton mec et il crèvera de froid. T’as compris, hein?. Alors tu vas me sucer comme il faut, t’as compris. Après je vais te baiser, ça va te réchauffer. Allez. Suce.
Je vis Monique me lancer un regard désespéré mais une claque sur la joue la ramena à la réalité. Elle ouvrit la bouche et l’autre en profita pour se faire emboucher sur toute la longueur de son membre. Pendant ce temps-là, les autres jeunes se déshabillaient à leur tour et chacun voulaient avoir sa part.
Ils entouraient ma femme et se mirent à la caresser sur tout le corps. Les jeunes étaient au nombre de dix, 5 blancs, 2 arabes et 3 blacks. Quand je vis ces derniers baisser leur pantalon, je fus surpris par la taille de leur sexe. Ils étaient au repos et leurs bites devaient faire une vingtaine de cm.
Monique fut allongée sur un coin de table, la tête pendant dans le vide, l’éducateur repris sa pipe pendant qu’un jeune se mettait à brouter le minou de ma femme. Je voyais l’autre lui lécher la fente, en prenant soin de lui mettre un doigt dans la chatte.
Monique gémissait de honte, les autres lui pinçaient les tétons, lui malaxaient les seins. Le jeune qui était entre ses cuisses laissa sa place à un autre, puis ce fut encore un autre. L’éducateur laissa sa place à un jeune tandis qu’il se positionnait à l’entrée de la chatte de ma femme.
Son sexe devait faire une quinzaine de cm mais il était très gros et Monique râla quand l’engin pénétra sa chatte poilue. L’éducateur l’approcha au bord de la table et s’appliqua à la pénétrer bien à fond. Les jeunes étaient autour et leurs mains exploraient le corps de ma femme, s’insinuant sur sa rosette pendant que 2 jeunes astiquaient le clitoris de Monique.
Elle avait la tête toujours dans le vide et 2 jeunes se faisaient sucer en même temps. L’éducateur accéléra ses mouvements de plus en plus vite et se projeta en avant afin de se vider au fond du vagin de ma femme. Il resta un moment ainsi avant de se dégager et de se refaire sucer.
Un jeune prit sa place entre les cuisses et pénétra ma femme qui couina de nouveau. Puis ce fut un autre et encore un autre. Un jeune qu’elle suçait se crispa et lui tint la tête pour se répandre dans sa bouche, ce qui la fit tousser. 2 autres prirent la place pour se faire sucer. Monique ne savait plus où elle était et elle tenait une bite dans chaque main.
L’éducateur prit 3 matelas sur les lits et les mit par terre, ma femme fut installée dessus. La partie de baise reprit de plus belle.
Le guide ne participait pas mais je le vis dans son coin regarder les jeunes avec un mélange de peur et d’envie.
Un noir bien membré fit mettre ma femme à genoux, se mit derrière elle et la pénétra avec sa grosse bite. Monique se mit à gémir mais cette fois-ci, ses gémissements étaient de plaisir. Le black la prenait de toute sa longueur, lui enfonçant ses 25 cm de chair dans les entrailles. 3 jeunes étaient à genoux devant ma femme et se faisaient sucer à tour de rôle tandis qu’elle branlait 1 queue dans chaque main. Le noir derrière elle sortit sa bite bien raide et dit:
- Elle est bonne cette salope de bourge. Regardez comme elle mouille. Tiens!.. Puisque t’aimes ça, prends ça dans ton cul. Salope!!! Aaaahhh Ouuiii, je t’encule bien à foonnd.
Ma femme se faisait enculer alors qu’elle m’avait toujours refusé cette pratique. Elle essaya de désarçonner le black mais celui-ci la tenait fermement aux hanches et avec une bite au fond du gosier, elle ne put articuler sa souffrance. Le jeune derrière elle se mit à la pistonner de toutes ses forces en faisant des grands ’’HA’’ et Monique se mit à jouir comme une folle. Deux jeunes lui écartaient les fesses afin que le black puisse la pénétrer bien profond. Ce dernier se rua en avant et juta au fond de son cul, après quoi il fut remplacé par un autre qui avait un sexe beaucoup plus fin.
L’éducateur eut une idée, il fit allonger un autre black sur le dos, la bite bien en l’air. Avec un autre jeune, il saisit ma femme sous les cuisses et derrière le dos, la souleva pour la positionner au-dessus de ce mandrin noir et la fit descendre lentement pendant que le black tenait sa queue dressée. Je vis d’où j’étais ce gros sexe noir s’enfoncer dans le cul de ma femme qui fit la grimace.
L’éducateur et l’autre jeune soulevèrent ma femme pour la faire retomber jusqu’à ce que la bite coulisse dans son cul. Les jeunes se pressaient autour d’elle.
Le dernier black qui était hors de ma vue jusqu’alors vint en face de ma femme et lui présenta sa bite. C’était vraiment un sexe énorme, presque 30cm de long pour 6 cm de diamètre, un vrai concombre. Monique eut du mal à l’emboucher mais l’autre en avait rien à faire car il poussait plus loin sa fellation en tenant la tête de ma femme.
Quand sa bite fut bien raide, il se mit entre les cuisses de ma femme; 2 jeunes prirent les chevilles de Monique pour lui écarter les jambes au maximum et les remonter à la verticale et le black put présenter son mandrin à l’entrée de sa chatte.
Alors que ma femme avait déjà une belle bite dans le cul qui la ramonait, l’autre black la pénétra par devant et je vis Monique ouvrir en grand la bouche afin de chercher de l’air. La pénétration était monstrueuse et je voyais cet énorme engin avancer dans sa chatte cm après cm. Ma femme était prise en sandwich et les jeunes sifflèrent.
Les 2 jeunes limaient ma femme en cadence pendant que l’éducateur se faisait de nouveau sucer. On lui mit une bite dans chaque main afin qu’elle les branle. Monique réussit à dire:
- Aaaahhhh Ca fait maaallll. Aaarrrrêêêtteeezz. Nnnooonnn. Ooooohh.. Aaaïïïïïee.
Les deux jeunes s’en donnaient à cœur joie en défonçant ma femme à fond. Les deux sexes noirs allaient et venaient à toute vitesse dans les trous de ma pauvre femme qui haletait. Celui qui était dans sa chatte se retira d’un coup, se releva et lui tint la bouche ouverte pour juter de grandes saccades de foutre à l’intérieur.
Les autres applaudirent tandis que l’éducateur y retournait. Lui avait une autre idée, il se mit devant ma femme en disant:
- Je vais t’enculer avec Selim ma salope. On va t’agrandir le trou du cul. ha ha ha.
Et sans laisser plus de temps à ma femme, il saisit sa bite et l’orienta vers l’anus de Monique qui se mit à hurler quand le gland épais commença à entrer avec la queue du black. L’éducateur donnait de petits coups de reins afin de faciliter sa pénétration et au bout d’une minute, il entra son gland avec l’autre bite. Il tenait sa bite et poussait quand il dit:
- Ouah, super!!! C’est génial les mecs. Elle a un cul d’enfer cette salope. Aaahh. 2 bites en même temps. Qu’est ce que t’en dis. Salope. On te l’éclate bien ton cul hein?.
Monique geignait tandis qu’un jeune se branlait dans sa bouche grande ouverte. Je vis le sperme gicler et ma femme en recevoir dans la bouche, sur le nez et dans les yeux. L’éducateur et l’autre jeune se crispèrent tous les deux et jutèrent dans le cul de Monique qui râla. Ils basculèrent ma femme sur le côté et 2 autres jeunes la prirent en même temps dans la chatte. La pauvre était baisée dans tous ses trous et à plusieurs à la fois.
Le guide qui s’était tenu à l’écart se déshabilla, s’approcha de mon épouse et se fit sucer. Quand son sexe fut en érection, il s’intercala avec les deux jeunes et réussit à la sodomiser. Je n’en revenais pas, Monique avait 2 bites dans la chatte, une dans le cul, 2 dans la bouche et elle branlait 2 queues en même temps. un record!!!
J’eus malgré moi une érection, de voir ainsi ma femme prise par tous ces jeunes me fit de l’effet.
Les pénétrations se succédèrent ainsi pendant toute la soirée. Monique fut prise à tour de rôle, ses trous investis plusieurs fois. Les jeunes lui jutèrent sur tout le corps, elle fut obligée d’avaler plusieurs fois le sperme qu’on lui jutait dans la bouche. Les deux noirs qui avaient le plus gros sexe la reprirent en double dans le cul, en prenant soin de bien la limer en profondeur, ce qui fit fit crier ma femme.
A la fin, tous étaient fatigués mais l’éducateur voulut une dernière fois avilir ma femme. Les jeunes la mirent à 4 pattes et derrière elle, l’éducateur entreprit de la fister. Je vis sa main disparaître dans sa chatte béante, aller et venir pendant un bon moment avant de faire pareil avec son cul. Sa main disparut dans ses fesses et Monique cria de jouissance et de douleur mêlées.
Les jeunes voulurent faire de même et chacun leur tour, ils enfoncèrent leur main tantôt dans le sexe de mon épouse tantôt dans son cul. 2 jeunes lui prirent ses deux trous en même temps, ce qui fit jouir Monique de plus belle. D’où j’étais, je voyais ma femme à genoux, les épaules touchant le matelas et le cul bien en l’air se faire pénétrer ses orifices par toutes les mains présentes. Cela dura une bonne heure avant que ma femme soit abandonnée sur les matelas.
Tout le monde alla se coucher alors que ma femme était toujours allongée.
1 heure après, elle se releva, ne fit aucun bruit quand elle me détacha. Nous avons pris nos combinaisons qui avaient séché devant la cheminée, nous avons volé deux grosses parkas dont celle de l’éducateur, nos sacs à dos ainsi que 2 lampes torche et quelques vivres puis nous sommes enfuis dans la nuit. La pluie mêlée de neige avait stoppé et c’est sous un ciel étoilé que nous avons regagné le premier village.
De là nous nous sommes faits ramenés à notre station et nous nous sommes enfermés dans notre chambre. Le lendemain matin à la première heure, j’ai demandé la note et après avoir réglé, nous avons repris la route en direction de notre domicile.
Quand nous sommes arrivés chez nous, ma femme alla de nouveau se laver et resta au moins 1 heure sous la douche. Elle vint ensuite se blottir contre moi puis me demanda de lui faire l’amour où pour la première fois je pus la sodomiser.


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