Quand l'obéissance devient un art
Humiliations
Mon mari chercha sur internet mon prochain maître. Il posta une photo de moi avec le visage masqué. Puis il sélectionna un homme parmi les nombreuses réponses. Il choisit les plus pervers et vicieux et en prit un.
J’ai 29 ans, je m’appelle Sabine. Je suis blonde coupe carrée, je porte des lunettes et je mesure 1m75 pour 60 kg.
J’avais rendez-vous avec cet homme le soir même sur une aire de repos d’autoroute. Je du enfiler ma petite robe rouge moulante ouverte sur les côtés et des chaussures noires à talons aiguilles.
Mes instructions étaient de lui obéir au doigt et à l’œil sans possibilité de refuser. Nous montâmes dans la voiture et partîmes vers le parking, non sans avoir la peur au ventre.
On se gara à l’entrée du parking derrière une voiture grise. On sortit de la voiture et mon maître s’approcha de nous. Je fus terrifiée, il s’agissait de mon prof d’histoire à l’athénée !
Il m’appela directement par mon prénom, montrant qu’il m’avait reconnue sur la photo. C’était un gros porc qui bavait sur ses élèves et faisait des allusions sur le sexe à son cours. Il était de taille moyenne, dégarni, ventripotant, la cinquantaine. J’étais vraiment gênée de la situation.
- Alors comme ça tu es devenue une putain ? »
Je devins rouge de honte.
- Non, je fais ça gratuitement ! »
- Tu m’as toujours excité à l’école, je bandais en pensant à toi et en te regardant. Et dire que maintenant te voilà mon jouet sexuel ! »
Je me retournais vers mon mari pour lui exprimer mon désaccord mais il lui donna raison.
- Chérie, tu as accepté, maintenant tu dois assumer »
Résignée, je me retournai vers Monsieur Goffin en baissant les yeux en versant quelques larmes et lui dis d’accord. Il se colla à moi et m’enlaça, une main dans le dos et une main directement sur les fesses.
Il me pétrissait les fesses sans ménagement pendant que j’essuyais mes larmes.
Sa main gauche s’empara de mes seins par-dessus ma robe, puis se glissa à l’intérieur pour me peloter. Sa main droite avait remonté ma robe. Le contact de sa peau sur la mienne me donna des frissons. Je n’en revenais pas d’être entre les mains de ce pervers qui d’ailleurs connaissait bien ma famille.
Il baissa ma robe jusqu’à mes chevilles. Je me retrouvais nue dans ses bras sur un parking connu pour ses pervers. Il m’embrassa à pleine bouche rentrant sa langue pour chercher le contact avec la mienne. Mon mari se colla à mon dos pour m’embrasser la nuque, je sentais quelque chose de bien dur contre mes fesses.
Et pendant que Mr Goffin et moi nous embrassions, mélangeant nos langues, il me dit à l’oreille :
- Dorénavant ce sera ton maître, tu es à lui »
Mr Goffin avait entendu et remercia mon mari. Il appuya sur mes épaules pour me mettre à genou et ouvrit son short découvrant une queue tendue de bonne taille.
- Suce ! »
Je pris sa queue en bouche et commençai à le sucer. Il me déformait les joues.
Je l’entendais gémir de plus en plus fort puis il se crispa et explosa dans ma bouche, déversant du sperme en grande quantité que j’avalai et qui déborda de mes lèvres.
Je levai les yeux vers lui et il me regardait avec un sourire satisfait.
- Maintenant va jusqu’au bout du parking et reviens ! »
- Mais il y a des voitures et des camions … »
Ils rirent tous deux. Je me relevai et commençai à marcher, résignée.
- Marche comme une pute ! »
J’entendis l’ordre au loin. Je marchai donc un pied bien devant l’autre, mes cuisses se frottant à chaque pas. J’imaginais bien le spectacle que j’offrais à mon maître, mes fesses se dandinant.
Arrivée à hauteur des premiers véhicules, je pris mon courage à deux mains et continuai à avancer. J’avançais en baissant les yeux. J’entendais des portières et des murmures, on m’appelait et on me faisait des commentaires.
Arrivée au bout après 5 minutes de marche, je fis demi-tour me rendant compte qu’une demi-douzaine d’hommes me suivait. Je marchai donc dans leur direction pour rejoindre Mr Goffin et mon mari.
En traversant le groupe, certains me caressèrent au passage, agrippant un sein ou mettant la main aux fesses. J’étais morte de honte et j’avais très peur. J’accélérais le pas, les pervers me suivaient toujours. Arrivée près de Mr Goffin, celui-ci m’enlaça par la taille et me retourna vers les pervers.
- Elle est à vous messieurs. Elle prend dans la chatte et sans capote. »
Je me retournai terrifiée vers mon mari mais il souriait, comprenant qu’il était d’accord.
Tout s’enchaîna rapidement. J’étais entourée par les hommes qui me pelotaient tout le corps et m’embrassaient partout même sur la bouche !
On m’entraîna vers la table de pic-nic toute proche et on me coucha sur le dos, les jambes écartées. Je vis le porc entre mes jambes détacher son pantalon et sortir son sexe volumineux.
C’était un grand chauve, le quarantaine, blanc. Il posa son gland à l’entrée de mon vagin puis me pénétra. Il me ramonait sauvagement en me tenant les jambes et me pétrissant un sein de temps en temps. J’étais vraiment humiliée. Un inconnu était en train de me faire l’amour sans capote devant d’autres hommes…
Soudain, il se raidit en criant. Je compris qu’il était sur le point d’éjaculer.
J’espérais qu’il se retirerait pour éjaculer sur mon corps mais je sentis soudain une chaleur dans mon ventre. Ce connard venait d’éjaculer en moi !!
Sans me remercier à part un « salope » adressé avec dédain, il se retira et sans attendre, un autre porc pris sa place et me pénétra. Je pleurais résignée…
Il était du style méditerranéen, petit, moustachu, fin de quarantaine. Sa queue glissa dans mon sexe sans problème, facilitée par le sperme du précédent. Il me baisa également sans ménagement et se vida en moi.
Tout à tour ils passèrent sur moi au grand plaisir des spectateurs et de Mr Goffin qui me prenait en photo.
Mon mari se masturbait en me regardant.
Quand l'obéissance devient un art
et un jeu qui risque d'être dangereux...
Pour qui..?
Le jeux
Tout d’abord, je tiens à me présenter : je m’appelle Claude, j’ai 38 ans, je suis marié à Morgane, 37 ans, belle brune aux yeux bleus, qui me rend toujours fou d’amour. Nous sommes mariés depuis 2001 et avons deux magnifiques enfants de neuf et six ans.
Notre vie est plutôt banale, entre boulot, vie de famille et quelques sorties avec les copains. Au niveau sexuel, c’est très classique, et, comme dans de nombreux couples, pour moi ce n’est pas assez fréquent alors que pour mon épouse une fois de temps en temps, c’est largement suffisant. Nous sommes exclusivement monogames et contre toute forme de partage ou de mélangisme. Ma femme est très pudique, il est hors de question pour elle de faire du seins nus à la plage ou d’exhiber son corps à d’autres personnes que moi.
Toute cette histoire avait démarré par une invitation à un week-end pour l’inauguration de gîtes, que venaient de terminer un couple d’amis. Pour l’occasion, ils avaient ouvert les quatre gîtes et tout le monde pouvait aller et venir entre les différents logements.
Nous étions plus de quatre-vingts invités. Ils avaient prévu plusieurs cochons grillés et un bar monstrueux, avec boissons à volonté. De notre côté, nous avions prévu de rester dormir chez nos hôtes et nous pouvions en profiter pour nous laisser un peu aller. Même Morgane, pourtant peu habituée à consommer de l’alcool, avait rarement un verre vide à la main.
Je ne l’avais plus vue depuis une petite heure, je l’avais vue entrer dans le gîte le plus éloigné avec Marc et quatre des amis de son club de poker. Je décidai de les rejoindre, un peu inquiet et jaloux de son absence. Arrivé sur place, je la vis : elle était attablée avec les cinq hommes et ils avaient démarré une partie de poker. Fred et deux autres collègues étaient debout et assistaient à la partie. Je m’approchai et ma première réaction fut de surprise : en effet deux des hommes qui étaient à table étaient torse nu !
J’interrogeai Fred, qui m’annonça calmement que Morgane s’était laissé entraîner dans une partie de strip-poker. Je n’en revenais pas ! Elle, si pudique et réservée, jouait contre cinq hommes à un strip-poker ! Dans le gîte, elle était d’ailleurs la seule femme. Je décidai de ne pas intervenir, sachant que, de toute façon, même avec l’alcool, elle était bien trop pudique pour aller trop loin, d’autant plus que - pour le moment - elle gérait plutôt bien la partie.
Les parties et les verres s’enchaînant, ma douce et tendre avait de plus en plus de mal à se concentrer et venait de perdre son premier vêtement. Elle avait ôté son petit gilet, il lui restait encore son chemisier, son jean, et ses sous-vêtements. Tandis que du côté des hommes, deux d’entre eux n’avaient plus que leur caleçon, Marc était torse nu avec son jean, et les deux autres étaient, l’un en t-shirt mais sans pantalon, alors que l’autre - un grand chauve très baraqué - n’avait perdu aucun vêtement.
La partie suivante fut décisive pour l’un des voisins de ma femme : il perdit son dernier vêtement. Tout le monde attendait pour savoir s’il irait jusqu’au bout. Sans se dégonfler, en restant assis, il ôta son dernier habit et le posa au centre de la table. Ma femme était plus rouge et plus gênée que lui. Je la voyais qui regardait discrètement ce sexe légèrement gonflé, juste à portée de main…
La partie reprit et ma femme perdit son pantalon. Au tour suivant, Marc perdit son jean. Les verres continuant à se remplir, les joueurs commençaient à avoir du mal à garder leur concentration. Le grand baraqué perdit pour la première fois et retira sa chemise. Sans elle, il était encore plus impressionnant, sculpté comme un champion de body-building !
À la partie suivante, l’autre voisin de mon épouse perdit et se leva pour ôter son caleçon. Il faisait un peu le fanfaron, il monta sur sa chaise et mima une petite danse sexy avant de baisser son caleçon sur ses chevilles. Son sexe, au repos, se balançait au rythme de ses gesticulations et tout le monde rit de bon cœur. Les deux voisins de ma femme étaient à présent entièrement nus.
Sans doute distraite, Morgane perdit la partie suivante. Elle retira son chemisier, se retrouva en dessous, et ses voisins ne se privèrent pas pour admirer ses courbes magnifiques. Et la partie suivante vit le grand baraqué perdre son pantalon.
La mène qui démarrait allait être capitale : soit mon épouse perdait son soutien-gorge, soit l’un des deux derniers mâles allait nous exhiber son membre. Ce fut l’un des voisins de mon épouse qui perdit ! Après concertation, il fut décidé qu’il aurait un petit gage : il devrait se lever et faire le tour de la table pour remplir tous les verres. Il s’exécuta et tout le monde put constater que son sexe avait pris du volume depuis que ma femme s’était retrouvée en sous-vêtements.
À la partie suivante, ma femme perdit de nouveau. Je me demandais comment elle allait réagir, je m’attendais à ce qu’elle refuse de montrer sa poitrine et se retire du jeu. Mais, soit je ne connaissais pas mon épouse, soit l’alcool l’avait totalement désinhibée. En effet, sans aucune hésitation, elle passa les mains dans son dos, dégrafa son soutien-gorge et s’exhiba aux regards des joueurs et des quelques spectateurs présents dans la pièce.
Les hommes avaient l’air d’apprécier et semblaient également vouloir en voir plus, car, à la partie suivante, ils semblaient s’être ligués pour faire perdre mon épouse. Celle-ci avait réalisé dans quel piège elle venait de tomber, et refusa de retirer son dernier rempart. Les autres joueurs insistèrent un peu, sans s’énerver. Aussi, pour que l’ambiance ne tombe pas totalement, Marc lui proposa de se lever, et, au lieu de retirer son petit tanga, de faire le tour de la table pour servir tout le monde. Elle accepta et passa entre les chaises pour remplir tous les verres. Tous les joueurs en profitèrent pour admirer ses seins de près et mater ses jolies fesses.
Ils décidèrent de reprendre la partie. Au premier tour, Marc perdit, et, sans hésitation, se leva pour retirer son boxer. Son sexe était totalement bandé, et, à peine libéré, vint se plaquer sur son ventre. Il s’excusa auprès de Morgane, en lui précisant qu’elle était la principale cause de son trouble !
Au tour suivant, Morgane perdit de nouveau, mais elle refusait toujours d’ôter son dernier vêtement et proposa de se lever à nouveau pour effectuer le service. Marc et ceux qui étaient entièrement nus objectèrent qu’eux avaient joué le jeu, et qu’ils exigeaient son vêtement sur la table… L’ambiance avait changé et était un peu plus lourde, je pensais que mon épouse devait se retirer, mais je n’intervins pas, un peu excité et curieux de voir jusqu’où elle irait.
Le grand costaud proposa à mon épouse de refaire une partie à quitte ou double. Tout le monde attendait de savoir ce qu’il voulait. Il lui proposa, soit de se déshabiller immédiatement, soit de faire une dernière mène. Si elle gagnait elle gardait son tanga, si par contre elle perdait, elle devrait caresser tous les sexes, c’est-à-dire les masturber tous les cinq. Je m’attendais à ce qu’elle pose son vêtement sur la table pour mettre fin à la partie. Encore une fois elle me surprit et demanda les cartes. La tension était palpable, tout le monde posa ses cartes et il fallut se rendre à l’évidence, Morgane avait perdu !
Elle ne bougeait pas, personne ne disait rien. Ce fut l’un des voisins de Morgane qui se leva le premier. Il se tourna vers elle, en flattant doucement son sexe avec sa main, et attendit. Elle le regarda, son regard passant de son visage à son sexe. Tout cela me semblait irréel, mais je ne voulais pas intervenir. Au bout de quelques longues secondes il lui prit la main et la posa sur son membre. Elle le laissa faire, mais restait passive, c’était davantage lui qui se masturbait avec la main de mon épouse, qu’elle ne le caressait. Son autre voisin se leva à son tour, prit l’autre main de Morgane, et la posa sur son sexe gonflé et dur. Je vis Morgane commencer une lente masturbation. L’homme accélérait les caresses de Morgane, soudain il se crispa, lâcha la main de mon épouse qui continua sa caresse jusqu’à ce qu’il éjacule. Alors il s’effaça, pour que Marc vienne prendre sa place.
Morgane saisit son sexe et débuta sa caresse. Marc posa sa main sur le sein de mon épouse et essaya de la caresser. Elle lâcha le pénis pour écarter sa main, car il n’était pas convenu qu’elle se laisse peloter. Quelques instants plus tard, il tenta une nouvelle approche sur sa poitrine, avec le même résultat. Mais à la troisième tentative, elle le laissa faire, et son compère s’occupa de l’autre sein. Mon épouse cessa ses mouvements sur les deux membres qu’elle avait en mains. Inutile de continuer à chauffer à nouveau leurs propriétaires, puisqu’ils s’excitaient davantage en lui caressant la poitrine. Ainsi son supplice finirait plus rapidement…
Cependant, je voyais son attitude évoluer, elle semblait commencer à prendre du plaisir sous les caresses. Les deux acolytes semblaient également apprécier ses mains douces sur leurs sexes, et c’est assez rapidement qu’ils jouirent de concert sous ses doigts. Marc éjacula vigoureusement, les premiers jets de sperme atterrirent sur le visage de Morgane, à la commissure des lèvres. Il posa son index sur son visage, étala légèrement sa semence, puis présenta son doigt à la bouche de mon épouse. Il força légèrement le passage, et Morgane ouvrit les lèvres pour lui lécher doucement le doigt et gouter sa semence.
Les deux derniers joueurs s’approchèrent à leur tour, pour profiter des caresses de mon épouse. Le grand costaud retira son slip et dévoila un sexe de taille peu commune. Il ne bandait pas encore mais son braquemart était déjà beaucoup plus volumineux que la moyenne. Ils s’approchèrent et elle prit leurs sexes en main. Le pénis du grand costaud la troublait, elle ne le quittait pas des yeux. L’autre joueur haletait. Elle avait à peine débuté sa caresse, qu’il vint entre ses doigts. Le grand baraqué fit pivoter Morgane vers lui et prit ses seins dans ses mains. Il lui malaxait la poitrine et de temps en temps prenait ses tétons entre les doigts en les tournant délicatement. Elle semblait commencer à éprouver du plaisir sous ces caresses. Doucement, le grand balèze appuya ses mains derrière la tête de Morgane, et rapprocha son visage de son membre, maintenant bien dur. Elle tourna la tête au dernier moment, maintenant il frottait son gland contre sa joue. Elle continuait de le masturber mais refusait de le prendre en bouche. Lui, avait posé sa main droite sur la cuisse de Morgane et l’approchait petit à petit de son entrejambe. Elle ne résista pas, au contraire, elle ouvrit légèrement les jambes pour lui faciliter le passage. Il ne se fit pas prier et passa ses doigts sous le fin tissu. Mon épouse semblait apprécier cette caresse et gémissait doucement. Elle avait maintenant tourné la tête vers le dard qui se présentait et tout en le masturbant, elle le touchait du bout des lèvres.
Le Tarzan, de son côté, ne restait pas inactif. Malgré la présence du tanga, il avait réussi à glisser ses doigts entre les lèvres intimes de Morgane, et les faisait aller au rythme de ses caresses. Elle n’était pas loin de la jouissance. Voyant cela, il en profita pour enfoncer un peu plus sa queue, elle se laissa faire et ouvrit un peu plus la bouche pour l’accueillir. Il allait et venait dans sa bouche, de temps en temps il sortait son sexe et elle le léchait sur toute sa longueur. Brusquement, elle se cabra : elle venait de jouir sous ses caresses. Elle continua sa fellation encore quelques instants et il se crispa à son tour. Elle voulut le retirer de sa bouche, mais il l’y maintint avec sa main, avant de jouir en elle. Elle ne dit rien et lorsqu’il retira son sexe, elle sortit la langue pour le nettoyer.
Enfin elle se leva, prit ses vêtements avant de se diriger vers la salle de bains, sans un mot ni un regard pour moi.