Quelque fois un apport dans le couple peut être utile.
Y pas que les plombiers polonais qui baisent bien
Brève : L'ouvrier roumain
Serge, trente ans, aménage une vaste demeure afin d'y faire des chambres d'hôtes. Il est aidé en cela par Muriel, sa ravissante épouse âgé de vingt six ans. Cela fait maintenant six mois qu'ils sont mariés, et Muriel est d'une fidélité à toutes épreuves. Les travaux avancent assez rapidement, quand un jour... la tuile.
Serge passe à travers un plancher, et se blesse grièvement. Le diagnostic est terrible. Quatre jours d'hospitalisation, deux mois d'immobilisation... Oui mais, et les travaux.
Serge demande à son épouse de se renseigner à pôle emploi pour trouver l'ouvrier le mieux adapté à ce genre de travail, bon bricoleur, avec de grandes compétences.
Elle se présente à l'agence vêtue d'un jean et d'un tee short moulant. Elle épluche la longue liste des demandeurs d'emplois, un vrai casse tête.
- C'est dur pour trouver du boulot, dit une voix, surtout dans le bois et la rénovation.
Elle se retourne et se trouve face à un beau jeune homme, un mètre quatre vingt, cheveux noirs, yeux bleus, très bien bâti. Muriel le dévisage de la tête aux pieds.
"Putain, le mec, quel canon, se dit-elle, est-ce que Serge va vouloir embaucher un mannequin pareil".
- C'est vrai, répond-elle, bougez pas, je reviens.
Elle appelle Serge, pour l'informer. Il répond qu'il veut rencontrer le jeune ouvrier. Muriel, et le jeune homme ont tout le trajet pour faire connaissance.
- Je m'appelle Muriel, Serge et moi sommes mariés depuis six mois, je l'adore.
- Je m'appelle Boris, je suis roumain, répond-il, j'ai trente deux ans, célibataire. Une aventure par-ci, par là, mais rien de sérieux.
"Quel dommage, pense Muriel, je suis sure qu'il doit avoir un bon coup de queue le salaud".
Une fois arrivé, Muriel fait les présentations, et le courant à l'air de passer.
- Vous n'aurez pas à vous plaindre de moi Monsieur, dit le jeune roumain.
- C'est bon, dit Serge, installe le dans la pièce qu'on à aménagée dans la remise.
La pièce est assez grande, un lit d'un mètre, une table, deux chaises, un coin douche.
- Voilà un bien beau garçon, dit Serge. La mâle idéal pour remplacer un convalescent, n'est-ce pas ma chérie?
- Dis pas de bêtises enfin, répond Muriel, tu sais bien que tu es l'homme de ma vie.
Quand à Serge, il est installé dans une chambre à part de celle de Muriel, pour qu'elle puisse se reposer et dormir plus confortablement. Ils ont un portable chacun, pour rester en contact, au cas ou. Elle lui confectionne également des habits adaptés à ses jambes plâtrées. Habits qui ne cachent pas grand chose de son anatomie, et qui permet à Muriel de palper les couilles de son époux, ou de jouer avec sa bite, qui , suite aux traitements draconiens, ne sert pas à grand chose.
Tous les jours quand même, elle s'enferme pendant une heure avec son mari. Là, elle se met toute nue. Serge adore la voir jambes écartées, lui caresser les seins, doigter le clitoris. Il aime la voir onduler sur ses doigts qui lui branle la chatte, jusqu'à la faire hurler de plaisir. Vicieusement, il essaye de glisser un doigt dans le petit trou. Muriel a un mouvement de recul.
-Pas çà, dit-elle furieuse, jamais personne ne me pénétrera par là, tu le sais.
Muriel, en colère, se rhabille et quitte la chambre. Mais ce ne sont pas ces quelques gâteries qui assouvissent ses pulsions sexuelles.
Le premier jour de travail se déroule normalement. Boris est un excellent ouvrier. Le soir, après une journée de dur labeur, Muriel se rend en cachette dans la remise avec une bouteille de vin. Là, elle voit Boris sous la douche, et devine, à travers la cabine, l'imposant membre de vingt centimètres environ, tendu entre ses jambes. Elle se demande s'il se le lave ou s'il se le branle.
"Mon dieu, se dit-elle, çà existe un machin comme çà"
Toute troublée, elle préfère quitter les lieux, mais garde en mémoire cette énorme bite.
Le soir venu, Muriel se couche vers dix heures. Elle se lance dans la lecture d'un livre, mais ses pensées sont ailleurs. Elle ne peut oublier ce qu'elle a vu cet après midi.
Il fait une chaleur caniculaire. Boris enfile un caleçon et sort pour griller une dernière cigarette. Il marche sous le ciel étoilé, quand il aperçoit une faible lumière provenant d'une chambre située au rez-de-chaussée. Il s'approche sans bruit en courbant l'échine pour ne pas être vu. Il hausse prudemment la tête, et découvre sa magnifique patronne allongée sur le lit, simplement recouverte d'un drap. Dans sa main, un livre ouvert. Elle a du s'assoupir en lisant.
Boris décide d'enjamber la fenêtre. Il s'approche du lit, retire le livre, fait glisser le drap. Il reste émerveillé devant la plastique de la jeune femme. Les seins bien fermes, le ventre plat, les hanches et les cuisses parfaitement galbées. Grâce à une jambe légèrement repliée, il remarque que le sexe est entièrement épilé. Boris veut toucher ce corps, puis se ravise.
"Je ne peux pas faire çà, se dit-il"
Mais l'instinct de mâle reprend vite le dessus. Lentement, il se penche sur sa belle patronne, lui donne un baiser sur le front. D'une main, il frôle le bout d'un sein, une cuisse, ce qui déclenche des frissons et réveille la belle.
- Chut, chuchote Boris en posant un doigt sur les lèvres de Muriel.
Très vite, le doigt est remplacé par la bouche. Muriel, surprise, bat des paupières, entre ouvre les lèvres. Son cœur de femme fidèle veut repousser l'intrus, tandis que son corps de femelle en manque d'affection décide le contraire.
La main de Boris poursuit l'aventure, glisse entre les cuisses, caresse la chatte de Muriel. Celle-ci se cambre, se déhanche sous les doigts qui jouent avec son corps, qui lui excite le clitoris.
- Oh oui..oh oui...murmure-telle...allez-y...mon dieu Serge...si tu voyais ce qu'il fait à la petite chatte de ta femme....oh le salaud...oui...hou...hou...que c'est bon...
Muriel ne tient pas à rester inactive, d'une main avide de découverte, elle baisse le caleçon du jeune roumain. Elle n'a pas rêvé, c'est bien le calibre qu'elle a aperçu cet après midi. Elle saisit les énormes couilles, les tire à elle. La bite est là, entièrement décalottée, à deux centimètres de ses lèvres. Elle l'aspire goulûment, et entame une lente fellation.
Boris pose un genoux sur le lit, pour mieux se faire pomper le dard, tout en plongeant son visage entre les cuisses de sa patronne. Sa langue fait un travail destructeur dans la chatte de Muriel. Le corps de celle-ci est pris de violent spasmes. Muriel se reconnaît plus.
-Hum...hum...hum...hum...je joui...oh oui...oh oui...oh oui...oh oui....hou...hou...hou...
Muriel a un orgasme terrible, qui laisse des traces sur la literie. Au même moment, Boris se vide les couilles par puissant jets de sperme au fond de sa gorge.
- Mon dieu...soupire-t-elle..mais j'ai jamais accepté ça de mon époux...salaud...
- Excusez moi Madame, je pouvais pas savoir...ne croyez pas que...je suis désolé...
Boris, confus, s'excuse auprès de sa patronne, et s'en va en enjambant la fenêtre.
- Mais attendez...Monsieur...s'il vous plaît...revenez...
Après cet intermède érotique, Muriel a du mal à s'endormir. Quand elle y parvient, c'est pour plonger dans un rêve insensé. Elle se voit flotter dans l'espace, totalement nue, entourée d'étalons mieux montés les uns que les autres.
Comme dans une station spatiale, deux d'entre eux viennent s'encrer pour mettre le corps sur orbite. Un dans la chatte, l'autre dans la bouche. Ce qui donne un balaie en apesanteur assez surprenant. Une fois les bourses bien purger, c'est un troisième étalon qui s'y colle. Un superbe mâle noir, monté comme un taureau. Lui s'occupe du petit trou, qu'il sodomise avec violence.
- Non....hurle Muriel en se dressant sur son lit...pas çà...
Soudain, le portable de Serge se met à sonner
- C'est toi qui a crié ma chérie, dit-il, tu n'as pas de problème.
-Non, non mon amour, juste un petit cauchemard. Je prend une douche vite fait, et t'apporte le petit déjeuner, d'accord?
…...........................
C'est toute troublée par sa nuit, que Muriel apporte le petit déjeuner à son mari. Elle est vêtue d'un jean de toile bleu, et d'une surchemise rouge à carreaux.
- Excuse ce retard mon chéri, dit-t-elle, j'ai passé une nuit affreuse, je suis vidée.
- A bon, répond Serge, c'est vrai que tu as les yeux cernés, serais-tu troublée par ce séduisant roumain?
- Arrêtes, il n'a rien à voir avec çà, tu sais bien que je te serai toujours fidèle.
- Je plaisante ma chérie, mais je pensais te voir en peignoir, sans rien dessous, pour que je puisse te caresser.
- Pas aujourd'hui trésor, je suis en retard, Boris m'attend pour aller ranger l'autre remise. En plus, les orages qu'ils annoncent, risquent de bloquer les chemins.
- Soyez prudent, ne prenez pas de risque, dit Serge, dormez la haut s'il le faut.
Muriel rejoint Boris à l'atelier. Elle appréhende ces retrouvailles après sa chaude soirée. Elle se sent honteuse et ne sait quelle attitude adopter.
- Monsieur, dit-elle...heu...Boris...il est huit heures...vous êtes là...il faut y aller.
- Je suis là Madame, tout est prêt, la remorque est accrochée, je prends les outils.
Celui-ci sort du local à outillage, torse nu. Muriel ne peut détourner son regard.
"Oh putain...le mec, il va pas bosser dans cette tenue. Tout pour me faire craquer".
Muriel parvient à se reprendre, et les voilà partis. Pendant le trajet, la discussion s'oriente plutôt sur la météo. De gros nuages noirs deviennent très menaçant. Dieu merci, ils arrivent à temps à la remise. Elle appelle son mari pour le rassurer de leur arrivée, et l'informe qu'effectivement, ils vont passer la nuit ici.
De violents orages éclatent vers quinze heures. Muriel ferme les lourdes portes de la grange. Elle sursaute quand elle sent les bras de Boris la prendre par la taille. Muriel se sent pétrifiée, paralysée par ce mâle, mais aussi terriblement attirée. Lentement, Boris déboutonne la surchemise, libérant deux magnifiques obus.
- C'est pas bien ce que vous faites, dit Muriel...je suis mariée, et fidèle, vous savez...
- Chut, répond Boris, personne n'en saura rien, nous sommes seul au monde... je suis là pour vous rassurer, vous protéger...avez-vous peur des orages?
- Oh oui...tremble-t-elle...terriblement peur.
- Et d'une grosse bite dans la chatte, çà vous fais peur aussi?
- Mais enfin...je vous en prie...un peu de respect...je suis vôtre patronne...
Boris n'a cure des remarques de la jeune épouse. Il ôte la chemise, lui caresse les seins, mordille l'oreille. Elle sent son souffle quand il l'embrasse dans le cou. Il déboucle la ceinture du jean, le déboutonne. Il insère une main à l'intérieur, trouve la fente humide, fait tourner un doigt sur le clitoris.
- Oh non..tu es fou, tu me paralyses quand tu me grattes là..tu as vu hier comme tu as fais mouillée ma chatte...qu'est- ce- que tu vas me faire aujourd'hui..me violer.
Comme la veille, Muriel ne reste pas inactive. Elle passe ses mains en arrière, fait glisser la fermeture éclair du pantalon, extrait l'énorme bite, et la grosse paire de de couilles qui va avec.
- Bien sur que non, je vais pas te violer, je veux simplement qu'on joue tous les deux, te faire découvrir autre chose, çà te dis pas? Tu vas voir, tu vas aimer.
Sans s'en rendre compte, ils viennent de passer au tutoiement. Boris fini de quitter le jean, et adosse sa patronne à un pilier de bois. Muriel se retrouve entièrement nue.
- Que tu es belle, dit-il, mais tellement innocente.
- Mais...je demande qu'à apprendre...soupire-t-elle...es-tu bon professeur?
Boris quitte son pantalon, et s'avance vers Muriel en lustrant sa bite. Muriel est en admiration devant les imposants attributs du bel ouvrier. Il s'approche, la saisit par la taille, remonte jusqu'au seins, en suce les bouts durcit par le désir. Il glisse sa queue décalottée entre les cuisses de sa patronne, et commence à limer. Leur bouche se frôlent. Muriel lance ces lèvres en avant pour lui voler un baiser. Sentant l'objet entre ses cuisses, la chatte de la jeune épouse se met à mouiller.
- Vas-y...en fifre moi...s'il te plait...j'en peux plus...je suis prête...
- Je me disais aussi, cette chatte est bien mouillée, aurait-elle une petite envie...
- Tu me fais râler salaud, souffle Muriel, tu attends quoi...que je te supplie de me mettre un coup de queue...vas-y...j'ai trop envie...sens comme je suis chaude.
- Mais tu m'as dis que tu étais mariée, et fidèle, ironise Boris.
- Tant pis, je suis en manque...j'ai trop envie de me faire niquer par une grosse bite.
Muriel noue ses jambes dans le dos de Boris. Elle sent la bite en contact avec sa chatte. D'un coup de reins, la queue la pénètre.
- Oh oui...soupire Muriel...çà y est....vas-y...nique moi...baise moi comme une pute...
Cinq minutes, faut pas plus de cinq minutes pour que Muriel aie un terrible orgasme.
-Ha...ha...je joui...je t'avais averti...salaud...on va recommencer dis...s'il te plait...
Les deux amants roulent dans la paille, enlacés, soudés dans un sulfureux baiser. Muriel saisit les couilles de Boris à pleine mains, et le tire à elle.
- Viens ici que je te les bouffes...après, je vais te tailler une pipe...tu pourras te vider dans ma bouche... j'y ai goûté maintenant...finalement, c'est pas désagréable...
Muriel est euphorique, mord dans la chair tendre des couilles, remonte pour sucer la bite. Boris n'en peut plus, il éjacule copieusement dans la bouche de sa maitresse. Muriel enjambe Boris, tend sa magnifiques poitrine en avant. Elle se cambre, sent l'énorme bite vibrer dans son dos, entre la chatte et le petit trou.
- Caresses moi les seins, soupire-t-elle, touche comme ils sont durs. Toi aussi tu es dur. Tu sais quoi, j'ai encore envie de me le faire mettre.
- Dans quel trou? Demande Boris
Elle le regarde tendrement, lit dans ses pensées. Il a tellement rendu heureuse, que s'il doit y avoir un premier, ce doit être lui, elle lui doit bien çà. Puis elle a vingt six ans, et ne veut pas mourir conne.
-Laissons le choix au hasard, sourit-elle.
Elle monte et descend en se frottant contre la colonne de chair. Le gland décalotté s'arrête contre le petit trou, çà y est, le hasard a choisi. Lentement, elle se laisse glisser, écartant ses fesses avec les mains, jusqu'à ce que la bite commence sa lente pénétration. Boris laisse l'initiative à Muriel.
La respiration de celle-ci devient de plus en plus saccadée, parsemée de petits cris de douleur. Elle ferme les yeux, se mord les lèvres.
- Retire toi si tu veux, lui propose Boris.
La tête de Muriel veut arrêter, mais son corps de femme veut en savoir d'avantage.
- Non...murmure-t-elle...il manque beaucoup à rentrer?...jusqu'ou faut-il aller?...
- Jusqu'à ce que tu sentes mes couilles contre tes fesses.
Muriel passe une main en arrière, mesure la distance entre les couilles, et ce qu'il reste de la queue.
- Mon dieu...elle est tellement grosse et longue...tu crois que tout va rentrer...
Petit à petit, la bite prend sa place dans les entrailles de Muriel. Soudain...
- Cà y est...je les sens...j'y suis arrivé...tu peux me bourrer le cul maintenant...salaud... fais toi plaisir...vides toi les couilles...tu seras le premier...
A peine les derniers gémissement de plaisir, Muriel s'écroule, épuisé par le rythme imposé par Boris. Celui-ci l'embrasse tendrement, puis la regarde en ricanant.
- Tu te fou de ma gueule, dit-elle...parce que j'ai pas assuré...tu as bien profité de moi salaud..laisse moi.
- Mais non ma chérie, tu as été parfaite.
- Laisse moi je t'ai dis!!
-Bon comme tu veux, je sors fumer une cigarette.
L'orage redouble d'intensité, les éclairs déchirent la nuit, suivis d'énormes coups de tonnerre. le jeune ouvrier rejoins sa patronne dans la grange.
- Muriel...ou es-tu ?
-Sous la couverture, répond-elle, j'ai peur..j'ai froid...viens...s'il te plait...
A peine sous la couverture, Muriel s'enroule autour de lui.
- Tu vas voir ce que je vais te mettre enfoiré.
Ils vont faire l'amour comme des bêtes, sans protections aucunes.
Mais le mâle reste dominateur. Muriel va jouir comme jamais, hurler de plaisir, se faire prendre dans toutes les positions. En levrette ou empalée sur l'énorme calibre. Elle va supplier Boris de l'enculer, elle y a pris gout, tout comme avaler du sperme après une bonne pipe. Enfin épuisés, les amants s'assoupissent dans les bras l'un de l'autre.
Dans la matinée, ils profitent d'une éclaircie pour redescendre, ou Serge doit être impatient de retrouver sa charmante épouse.
Quelque fois un apport dans le couple peut être utile.
Mais certains apports peuvent réserver des surprises
Brève : Retrouvailles entre copains
Peter et Mat, trente ans, sont copains depuis leur plus jeune âge. Les même lycée, les mêmes amours, les mêmes activités. Pendant que Kate débarrasse la table, les deux hommes montent à la chambre, et là, assis sur le lit, feuillettent l'album photos de leur jeunesse. Kate, vingt cinq ans, est la ravissante épouse de Peter, corps magnifique, cheveux blonds, mi longs, un sourire très aguichant.
Il est quinze heures quand Kate rejoint les deux copains. Elle est vêtue d'une jupe noire, assez longue, largement fendue sur le devant, et d'un petit haut à lacets, ne cachant pas grand chose de sa belle poitrine. Elle s'assied entre les deux hommes.
- Alors, dit-elle, on se rappelle aux bons souvenirs? C'était le bon temps.
- A qui le dis-tu, répond Peter...mon dieu, quinze heures...et mon rendez-vous...
Peter embrasse son épouse, tape sur l'épaule de Mat.
- Continuez sans moi, poursuit-il, je rentre pas trop tard. Et toi Mat, n'en profite pas pour draguer ma femme.
Du coup, Kate se retrouve en tête à tête avec Mat, pour feuilleter l'album photos.
-Tiens, dit Mat, tu te souviens de celle là, comme je t'avais branchée. J'avais été jaloux quand tu es parti avec Peter. Tant mieux pour vous, vous êtes heureux.
C'est vrai que Kate et Peter sont heureux mais elle se souvient avoir longtemps hésité entre les deux copains. Elle avait même peur de détruire leur amitié.
- Je me souviens, répond Kate, le choix était difficile à l'époque. J'y pense souvent.
Si tu n'étais pas parti à l'étranger, je t'aurai peut être pris pour amant.
- Sérieux, dit-il, tu l'aurai vraiment fait...et aujourd'hui?
Kate se retourne, sourit en lui caressant la joue, s'approche, et lui frôle les lèvres.
Mat, surpris, la prend amicalement par l'épaule, la bascule sur le lit. Kate le prend par la nuque, lisse ses cheveux. Le tendre baiser devient vite sulfureux. Mat fait courir une main sur le corps de Kate, ouvre les pans de la longue jupe. Il dévoile les jambes fuselées, la petite culotte. Inconsciemment, Kate replis une jambe sur le lit, pour mieux s'offrir, comme pour lui dire. "vas-y".
Les doigts de Mat écartent la culotte, mettent la fente à nu, ouvrent les lèvres humides, extrait le clitoris de son capuchon. Kate lâche un long soupir. Les doigts pénètrent la chatte maintenant mouillée, font de lents va et vient.
- Ha...murmure Kate...salaud..tu sais ou il faut gratter...tu connais les points sensibles...là ou les femmes aiment...
Kate glisse sa main entre les jambes de Mat, palpe la bite tendue à travers le jean, mais emportée par les caresses vicieuse de Mat, ne parvient à l'extraire. Le baiser repart de plus belle, entrecoupé de "oh oui...oh oui...branle moi..." Soudain, c'est l'explosion. Mat lève la tête pour assister à l'orgasme de sa copine. Il est surpris de voir un liquide incolore gicler puissamment de la chatte.
- Ben dit donc, sourit-il, c'est toujours comme çà quand tu jouis...
- Non...c'est la première fois...salaud...qu'est- ce- que tu as touché...tu m'as cassée.
Kate s'étire langoureusement, satisfaite, mais déçu de ne pas être allé plus loin.
- Hum... que c'est bon de se faire branler... t'as un sacré coup de doigt salaud...si t'as un aussi bon coup de queue, pour peu que tu sois bien monté, on doit pas s'ennuyer...
- Mais, à toi de vérifier, et d'essayer ma chérie.
- Pourquoi pas, si Peter est d'accord...tu sais qu'il a toujours ce fantasme de me voir me le faire mettre par un autre homme...allez...bisous, et motus.
Mat lui donne un rapide baiser, et descend les escaliers pour regagner le salon, ou l'attend impatiemment.....Peter.
- Alors, demande celui-ci, elle ne s'est doutée de rien...dis moi, comment çà s'est passé...je l'ai entendu crier, mais tu lui faisais quoi?
- Ben, explique Mat, je lui ai décalotté le clitoris, l'ai bien doigté, puis lui ai trempé deux doigts dans la chatte, et l'ai branlée...tu l'aurais vu bouger son cul...oh la... et comme elle a joui...une vraie fontaine...
- A bon...à ce point...j'imagine que tu as du la régaler...et pour ce soir, tu penses que c'est bon?
- C'est à toi de décider, poursuit Mat. Elle m'a dit que tu n'étais pas contre qu'elle se fasse niquer par un autre devant toi.
Vers vingt trois heure, après un diner légèrement arrosé, Kate se retire à la salle de bains, pendant que les deux hommes mettent au point la suite de la soirée.
Peter rejoint son épouse, la prend par la taille, glisse une main sous la nuisette.
- Houa, dit-il, tu n'as pas de culotte?
- Pas ce soir mon chérie, répond-elle.
- Dois-je comprendre que tu es prête à assouvir mon fantasme... même avec Mat.
- Pourquoi pas mon amour, autant que ce soit lui. Mais attention, tu sais que quand je me donne, je me donne, viens pas te plaindre après...tu veux que j'aille jusqu'ou.
- Je prend le risque, poursuit-il, tu as carte blanche. Allons-y, je suis sur qu'il attend.
- J'espère que tu me soutiendras, ajoute-t-elle.
Kate et Peter regagne le salon ou Mat les attend, assis sur le canapé, vêtu d'un peignoir. Kate s'installe entre les deux copains, replie ses jambes, et s'appuie sur l'épaule de son époux, tandis que Mat se colle à elle. D'autorité, il ôte la nuisette, et lui prend les seins. Peter glisse une main entre les cuisses de son épouse, ouvre les lèvres intimes. Kate l'arrête de suite.
- Non mon chérie, c'est à lui de me faire mouiller. Contentes toi de regarder.
Kate change de position, se met face à son mari. Elle pose un genoux sur le canapé, un pied au sol. Elle veut se faire pendre en levrette. Elle sent le gland décalotté contre ses fesses. Sans brutalité, la bite s'encastre dans la chatte pleine de mouille.
- Oh putain...soupire-t-elle...le salaud...quel calibre il m'a mis...comme il me fifre...
Peter aperçoit la queue de Mat enfoncés dans la chatte de sa femme, assiste aux premiers va et vient.
- Oh...oh oui...gémit Kate..comme il me nique...caresse moi les seins...s'il te plait
- Vas-y ma chérie, dit Peter, fais toi plaisir...dis moi, il est mieux monté que moi.
- Hou..hou..tais toi...parle pas de çà...je sens sa bite vibrer en moi...oh oui...
Kate hurle son premier orgasme en se cambrant en arrière. Soudain, Mat sort sa bite de la chatte et vient la placer contre les lèvres de Kate. Elle l'avale juste au moment ou il éjacule. Mat se vide longuement les couilles dans la bouche de Kate, jusqu'à la dernière goutte. Kate se retourne vers son mari, ouvre la bouche. Peter voit le sperme de son copain stocké sous le palais.
- Hum...c'est bon...tu veux goûter mon chéri, parvient-elle à dire...non? dommage...
Peter sent que son épouse va avaler le sperme épais de son copain.
- Non, supplie-t-il, fais pas çà...je t'en prie...
Trop tard, d'un coup d'un seul, elle avale la semence de Mat.
- Tu es jaloux, c'est ce que tu voulais non, tu m'as donné carte blanche, allez, viens tu mérites que je te fasse une petite gâterie toi aussi.
Kate se penche, gobe le fifre de son mari, et lui taille une pipe. Très excité, Peter ne tarde pas à jouir dans la bouche de sa femme, qui recrache aussitôt le sperme dans un mouchoir. Elle croise le regard déçu de son époux.
-Pardonne moi, dit-elle, mais ce serai dommage de mélanger, je préfère garder le meilleur, ce serai du gaspillage.
Kate se lève, se pend au cou de Mat est lui donne un fougueux baiser. Elle s'écarte de lui, et lui prend ses imposants attributs.
- Regarde cette grosse paire de couilles que je tiens dans la main, et cette énorme bite, bien décalottée. Tu vois comme je fais coulisser la peau sur son gland, tu aimes quand je te le fais à toi, hein? Au fait, tu me demandais s'il été bien monté, viens ici qu'on compare.
Tel un automate, Peter se lève, rejoint le couple. Kate saisit les deux bites tendues.
-Ben dis dont, y a pas photo mon chérie...combien...vingt centimètres à seize... Allez, assez plaisanté mon chou, mais on a besoin d'un peu d'intimité maintenant. Je peux pas le laisser dans cet état.
En disant çà, Kate saisit Mat par la queue, et l'entraine à la chambre.
- Allez, viens jouer avec moi...je suis à toi cette nuit. Je veux que tu me mettes plein de coups de bite. On va laisser la porte ouverte, que mon cher mari m'entende jouir.
Et Peter entend tout, les rires et les râles de plaisir résonnent en vrac dans sa tête.
- Vas-y salaud, oh oui...oh oui...gémit Kate, bouffe moi la chatte...oui...oh oui...tu as un bon doigté, un bon coup de queue, mais tu as aussi un bon coup de langue... aie...mais tu es fou...tu me mors le clito...oh oui...tant pis, mange le, il est à toi... oh oui... oh putain...comme tu m'encules...oui...oui...vas-y...bourre moi le cul...oui...
Peter parvient à s'endormir, mais est très tôt réveillé par des gloussements de plaisir.
- Tu aimes te faire sucer, murmure Kate, combien de pipes je t'ai taillée cette nuit, trois, quatre, et à chaque fois, j'ai tout avalé...s'il te plait...encule moi encore...après tu me niqueras sous la douche... j'ai encore besoin d'un bon coup de queue.
Deux heures plus tard, Kate, entièrement nue, raccompagne Mat devant la porte, lui donne un baiser.
- Gratte moi la chatte, supplie-t-elle, allez mon chéri, s'il te plaît... bon, au week-end prochain alors. Tu m'as demandé de me gouiner avec ta copine? Dis lui que c'est OK.
Impuissant, Peter a tout accepté, même l'humiliation. Après tout, il la bien cherché.
Kate le rejoint au salon, s'assied sur ses genoux, et l'embrasse tendrement en guise de remerciement.