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Histoire du net. Auteur: Blackmail. Une belle noce.

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 Une histoire de Martine.
Martine au mariage de son fils
Ou comment mettre au pas une bourgeoise.

 Humiliation d’une quinqua.
Auteur : Blackmail.

Martine et son époux Philippe étaient arrivés de la région parisienne pour le mariage de leur fils qui se déroulerait ce week-end.
Martine avait supervisé les préparatifs du mariage de son fils, Bruno, pour organiser la noce en détails, elle voulait que ce moment inoubliable soit parfait.
Elle était arrivée dans cette petite ville de province en compagnie de Philippe son mari deux jours plus tôt, afin de pouvoir rencontrer le personnel du restaurant et les multiples intervenants responsables de l’événement.
Comme ils s’installaient à l’hôtel, leur fils Bruno, accompagné de Sylvain son témoin et Alain un de ses meilleurs amis, vint embrasser sa mère, une ravissante quinqua.
Martine observait Sylvain et Alain ces deux jeunes hommes de l’âge de son fils qui lui lançaient des coups d’œil admiratif. Agée de 54 ans, elle pourrait être leur mère et serait bientôt grand-mère puisque Laurence la futur épouse était enceinte.
Le complexe hôtelier était superbe, une fois bien installée Martine était descendue pour gagner la salle où se tenait le restaurant, la répétition du repas devait y avoir lieu.
Elle trouva les amis de Bruno dans le couloir, ils se dirigeaient vers la piscine de l’hôtel.
Ils étaient déjà venus y passer une semaine, la dernière semaine des vacances de printemps et cela avait été un séjour de fêtes et de beuveries.
Certains étaient si saouls qu’ils tenaient à peine debout.
En voyant arriver Martine, ils la saluèrent en chœur :
- Bonjour, Madame ...."
Reconnaissant la bande de jeunes hommes, Martine se dirigea vers eux un large sourire aux lèvres. La moitié des hommes se promenant et l’autre moitié se pressant au bar de la piscine, se retournèrent tous pour reluquer la somptueuse Martine en dépit de ses 54 ans elle était une des femmes les plus séduisantes de la foule de ces dames.
La ravissante épouse, mère et grand-mère affichait une nette ressemblance avec une célèbre présentatrice du journal de 20 h,et représentait l’image de la mère que tous ces jeunes gens aimeraient tous baiser.
Sa silhouette faisait ressortir sa sensualité de femme mure, son ventre était plat avec juste un petit repli aux poignets d’amour, ses gros nichons étaient merveilleusement fermes et tendaient le devant de son haut, ses bas gris moulait ses longues jambes galbées qui attiraient tous les regards, la hauteur de ses talons aiguilles allongeait encore plus ses jambes.
Ils avaient tous des pensées lubriques en lorgnant les charmes de Martine alors qu’elle se dirigeait vers le bar les nichons enserrés dans un haut noir moulant qui faisait fantasmer ces jeunes.
- Hey les mecs, je fantasme sur la mère de Bruno depuis la première fois ou je l’ai vu» avoua Sylvain en frottant la large bosse qui déformait sa braguette.
- Tout comme moi! ... " ajouta Alain avec des pensées lubriques.
- Vous pouvez être sûr qu’elle se réjouit de l’effet qu’elle nous fait, elle sait très bien que nous avons les yeux rivés sur ses opulents appâts et sur ses nibards dansant dans son soutien-gorge! .... »
Un autre ami de Bruno, Patrice poursuivit :
- Je suis sûr que sous ses airs de bourgeoises, c’est une grosse chienne !
Sylvain sourit :
- Hey les gars, je pense qu’on pourrait se taper la mère de Bruno
Ils braquèrent tous leurs yeux sur lui se demandant s’il était sérieux. Martine était la source de leurs fantasmes depuis longtemps, ils s’étaient même parfois imaginé des scénarios pervers ou la ravissante quinquagénaire était soumise aux pires débauches.
- Cela devra rester secret entre nous 3! Intervint Alain, puis un sourire démoniaque aux lèvres il ajouta :
- Qu’as-tu en tête Sylvain? ...
La cérémonie du mariage se déroula magnifiquement bien et maintenant tous les invités étaient réunis dans la grande salle de restaurant . Martine se promenait de table en table.
La ravissante portait une robe de lin blanc avec un profond décolleté qui faisait loucher bien des hommes, elle s’arrêtait juste au-dessus des genoux ce qui assurait à ses voisins une excellente vue sur ses longues jambes finement galbées, gainées de bas blancs, les hauts talons aussi blancs que le reste de sa tenue la rendait encore plus sexy.
Philippe, son mari, se tenait au bar avec quelques invités.
Sylvain et Alain se dirigèrent vers lui et l’abordèrent :
- Peut-on vous offrir un verre! ....
Philippe sourit et les remercia :
- Merci les gars, avec grand plaisir...
Il ne pouvait savoir que les pervers gaillards ajoutaient une bonne dose de somnifère dans son whisky, et très vite, Philippe vacillait sur ses jambes.
Martine arrivait, et à voir l’expression de son visage on voyait qu’elle était choquée de voir son mari dans cet état...Le croyant ivre… Patrice l’intercepta et lui offrit de ramener Philippe jusqu’à leur chambre, elle pourrait ainsi rester avec ses invités. Martine jeta un oeil furieux sur Philippe et lui confia la clef de leur chambre, murmurant silencieusement :
- Merci...
- De rien..." lui répondit fort civilement Patrice.
Et se tournant vers Philippe pour l’emmener dans sa chambre il sourit à ses copains, avec le soporifique qu’il avait ingurgité, Philippe ne risquait pas de se réveiller avant demain matin.
Le repas se termina vers 1h30 et bien des participants étaient déjà fortement éméchés, ils se dirigèrent vers la salle de bal pour continuer à s’amuser.
Sylvain se dirigea vers Martine et lui demanda :
- Puis-je vous aider madame ? ...
- Non-merci Sylvain... " lui répondit-elle joyeusement
- J’ai les choses bien en main... Va donc t’amuser avec tes copains! .....
- Je suis désolé madame mais c’est Bruno qui nous a demandé de veiller sur vous, de vous attendre ici pour vous conduire au bal! .... Je ne fais que suivre ses ordres! ....." ajouta Sylvain gentiment.
- D’accord Sylvain... Laisse-moi terminer ce que je fais... je vais signer l’addition... Puis-je suis à votre disposition pour me mener au bal! ....
Comme elle se retournait pour regagner la salle, le jeune mâle saliva d’admiration en voyant à quel point sa robe moulait sa croupe si avenante alors qu’elle se déplaçait d’une démarche aérienne et chaloupée. Sa bite se mit au garde-à-vous dans son caleçon à l’idée du plaisir qu’il allait tirer, d’ici peu, de cette somptueuse femme.
Alors que Martine vérifiait la facture avec Monsieur le directeur du restaurant, Sylvain arrivant à ses côtés lui demanda :
- Voulez-vous un verre? ...
Elle lui répondit qu’elle avait déjà trop abusé du champagne, mais Sylvain remplit d’autorité une coupe et la lui tendit. En y ajoutant un léger soporifique.
La vérification de la facture traînait en longueur comme en avait convenu le directeur du restaurant et Sylvain un peu plus tôt, il avait accepté de rentrer dans son plan moyennant 150 Euros et un tour entre les cuisses.de la superbe maman du marié.
Alors que le directeur prétendait devoir recalculer la facture, Sylvain remplit le verre de Martine à plusieurs reprises tandis qu’elle discutait avec lui.
Un moment plus tard, Martine commença à se sentir prise de vertige.
Sylvain et le directeur, Michel, remarquèrent tous deux que la somptueuse femme de 54 ans commençait à avoir des difficultés d’élocution, elle bredouillait en clignant des yeux.
Ils savaient tous deux qu’elle était mure pour tomber dans leurs griffes.
Martine se leva et chancela, en gloussant bêtement. Sylvain s’avança juste à temps et elle put s’appuyer sur lui.
- Désolée... " bredouilla la ravissante femme « Je suppose que j’ai du trop boire d’alcool ! .....Je crois que j’ai bu un verre de trop ce soir! ...
- Ce n’est rien madame ....." commenta galamment Sylvain.
- Heureusement que je vous ai Sylvain... " bredouilla-t-elle avec incohérence.
- Je crois que je ferai mieux de regagner ma chambre et d’aller faire un somme avec Philippe...
- Je vais vous emmener à l’étage... " lui proposa Sylvain, un sourire démoniaque fleurissant sur son visage en constatant que son plan marchait.
La ravissante cinquantenaire, était bien plus séduisante que bien des jeunes filles qu’ils avaient dragué.
- Je suis ravie de voir que Bruno a d’aussi bons amis! ..."éructa Martine bredouillant de plus en plus.
Sylvain pressa le bouton d’ascenseur et jeta un œil attentif sur Martine, il voyait qu’elle cherchait vainement à reprendre pied sur terre, ses yeux roulaient lentement dans leurs orbites. Elle tituba sur ses talons aiguilles et referma ses bras autour du cou de Sylvain pour éviter de chuter au sol.
- Je suis désolée! ..." bredouilla la somptueuse créature.
Le temps qu’ils arrivent au bon étage, et Martine ne se rendait pas compte qu’en fait Sylvain l’entraînait dans sa propre chambre au lieu de l’emmener dans la suite qu’elle partageait avec son mari. La porte ouverte il fit entrer la mère du marié dans la chambre de sa suite personnelle et l’étendit sur le lit.
- Où est Philippe? ...." marmonna Martine, elle tenta de jeter un coup d’œil circulaire, mais ses yeux n’obéissaient plus aux ordres de son cerveau.
Sylvain saisit deux caméras numériques dans son armoire et un trépied, puis il positionna rapidement le tout pour obtenir des vues variées de l’action à venir. Il enclenchait maintenant le plan B, il voulait fixer sur la pellicule chaque instant de leur performance. Se reculant, il observa la scène, il avait le script bien en tête. Il balaya la caméra de long en large sur le corps de la cinquantenaire tout en commentant :
- Je me trouve aujourd’hui dans un hôtel de province pour assister au mariage de mon ami Bruno..... La femme étendue sur le lit, la future salope qui va m’appartenir, s’appelle Martine, c’est la mère du marié! ......
La caméra fixée sur le trépied était orientée vers le lit, il ne pourrait ainsi manquer aucune des actions les plus chaudes.Il s’approcha de la belle endormie, prit sa bite en main et la promena sur le doux visage de Martine, glissant le gland sur ses lèvres.Inconsciemment Martine fronça ses lèvres, semblant délivrer un tendre baiser sur le gland de Sylvain .
- Bordel! ..." s’esclaffa Sylvain à l’adresse de la caméra… La maman du marié adore sucer les queues même quand elle dort! .....
Lentement il roula les bretelles de son haut et puis lui enleva tout aussi lentement sa robe. Empoignant la seconde caméra il entreprit de filmer en détail ses gros seins débordant du soutient gorges en dentelle. Elle avait de gros nichons, fermes, ronds avec de larges aréoles brunes et de longs tétons.
Il filma les jambes gainées de bas blancs retenues par un porte-jarretelles. Elle avait des mèches blondes qui contrastaient vivement avec le buisson noir et touffu qui surmontait les lèvres enflées de sa chatte. Martine gémit sourdement alors que Sylvain promenait gentiment ses mains sur ses charmes dévoilés.
- Bordel, elle est drôlement chaude pour une ménagère mère et grand-mère! ..... Il est clair que ces gémissements émanent d’une femme qui est impatiente de se faire baiser! ......
Le jeune gars avait la bite "aussi dure que du bois" alors qu’il prenait son plaisir pervers entre les cuisses d’une quinquagénaire sexy sur laquelle il fantasmait depuis des années. Penché sur elle, Sylvain suçait et embrassait ses nichons qui rosirent immédiatement sous la tendre sollicitation, très vite ils raidirent dardant entre ses lèvres.
Martine totalement sans défense gémissait doucement, même inconsciente, son corps répondait aux lascives stimulations que le jeune homme lui dispensait.
Le jeune mec savait comment exciter une femme.
- Bordel t’es vraiment canon pour ton âge! ...." pensait au fond de lui-même, tout en prenant un de ses gros nibards en bouche, titillant habilement le mamelon le mordillant gentiment.
D’une main il roulait l’autre téton entre ses doigts tandis qu’il suçait l’autre à pleine bouche, son autre main glissa avec expertise entre les cuisses de Martine et entreprit de travailler voluptueusement sa chatte gonflée de désir.
Il l’examinait attentivement surveillant si ses caresses langoureuses avaient les effets désirés.
Martine grognait doucement, ses hanches se mirent à onduler se refermant sur la main exploratrice, ses gémissements traduisaient bien son plaisir inconscient. La quinqua était prête à se faire baiser !......
Il ne put attendre plus longtemps pour prendre son pervers plaisir, se plaçant correctement entre ses cuisses accueillantes il plaça ses talons et ses chevilles sur ses épaules.Sa chatte bruissait de clapotis encourageant alors qu’elle gémissait sourdement.
Empoignant la caméra qui se trouvait sur la table de nuit, Tom reprit quelques rushs de la somptueuse femme allongée sur le dos, sa bouche entrouverte aux lèvres gonflées traduisait nettement ses gémissements de plaisir. Sylvain s’assura qu’il avait suffisamment de photos du corps de Martine avec sa bite gonflée posée sur son ventre.
Il prit la main de Martine et lui enroula les doigts autour de la hampe de sa queue raidie de façon à ce qu’on puisse croire qu’elle caressait sa bite! .....
Il prit une nouvelle série de photos, cette fois Martine semblait guider sa grosse bite vers l’ouverture de sa foufoune enflée.
La bite de Sylvain était raide comme l’acier, les chevilles de Martine posées sur ses épaules permettaient de savourer l’exhibition de sa chatte entrouverte qui semblait prête à se faire pourfendre.
Empoignant sa bite déployée, Sylvain plaça le bulbe de sa bite dans l’axe de l’entrée de la grotte de la chaude quinqua, il donna un gentil coup de rein et sa grosse bite s’enfouit dans la chatte de la mère de Bruno.
Son somptueux corps répondit immédiatement à cet assaut, sa chatte émettait de doux bruits de succion alors qu’elle gémissait sourdement, une véritable image de la passion amoureuse.
Elle tortilla ses voluptueuses hanches engloutissant la bite de son Sylvain, inconsciemment la chatte de cette chaude ménagère absorbait de plus en plus profondément l’énorme bite de son "amant", se gémissements se faisaient plus lourds, sa respiration plus saccadée.
Sylvain n’en revenait pas de voir la chatte de la mère de son copain aussi accueillante, la fente engorgée de cyprine suçait véritablement son chibre alors qu’il la baisait lentement.
Jetant un œil sur l’écran de la caméra, il sourit tout en disant :
- C’est la première fois que je baise la mère de mon meilleur pote ! .... Ecoutez la gémir......" sourit Sylvain alors que ses gémissements étaient clairement audibles, sa maîtresse jouissait clairement de cette bite d’un jeune de l’âge de son fils!
Martine gémissait de plus belle et se pressait contre Sylvain avec avidité ses hanches se levant et se baissant sur un rythme soutenu alors qu’elle s’empalait sur la grosse bite de son jeune "amant".
Bientôt elle fut prise de spasmes convulsifs entre les bras de son jeune tourmenteur.
- Bordel il est grand temps que tu jouisses ma salope... " pensa le jeune mâle en son for intérieur.
Yeux braqués sur le ravissant visage de Martine, Sylvain s’enfonça encore plus profond dans son intimité, elle se mit soudain à frissonner, ses gémissements s’intensifièrent, ses yeux s’ouvrirent comme des soucoupes, sa bouche forma un "O" alors que Sylvain se sentait à son tour emporté par un orgasme fulgurant.
Il continua à la marteler de coups de boutoir tout en titillant son clito alors que tout son corps frémissait maintenant, elle soupira longuement et haleta submergée par un orgasme d’une intensité rare. Elle jouissait, sa bite la faisait jouir!
oooOOooo
Le lendemain Alain, Patrice et Michel se tenaient autour de l’ordinateur de Sylvain ; la bite bandée de désir ils regardaient leur copain se faire Martine. Ils se branlaient vigoureusement en visionnant les images lubriques qui défilaient sur l’écran de l’ordinateur.
Ils enviaient tous Sylvain en le voyant, mains posées sur les hanches de la somptueuse quinqua, baiser la mère de leur copain Bruno comme une salope, la traitant de pute et lui répétant qu’il la baisait comme une truie.
Ils s’imaginaient tous à la place de Sylvain alors qu’ils le voyaient peloter énergiquement les grosses mamelles et la croupe opulente de la ravissante et chaude quinquagénaire.
- Bordel c’est vraiment un coup extraordinaire! ...." s’esclaffa Alain admiratif.
Madame Bertier grimaçait sous l’emprise de la jouissance sexuelle alors que son jeune "amant" s’enfonçait de plus en plus profondément dans son intimité accueillante.
La pièce résonnait de ses grognements et de ses vagissements, son opulente poitrine se soulevait au rythme effréné des coups de boutoir de son suborneur, des clapotis vocatifs émanaient de sa grotte embrasée.
- Aaaaaaaaaargh..... "miaulait-elle suavement alors que Sylvain continuait imperturbablement à l’embrocher.
Ses grands yeux verts étaient écarquillés bien que légèrement vitreux, seul témoignage visible de son état de sidération. Sa jouissance était imminente elle haletait sous les coups de boutoir désordonnés de son amant.
- Vous adorez vous faire sauter par de grosses bites , n’est-ce pas madame Bertier? ...." souffla Sylvain ironiquement.
Martine vagit sourdement, sous l’emprise de l’imminence d’un orgasme dévastateur.
- Tu serais ravie d’avoir quatre ou cinq grosses bites à ta disposition n’est-ce pas ma salope? ..." ajoutait-il en jubilant, adoptant un tutoiement traduisant bien son emprise sur sa proie vaincue.
- Ohhhhhh... " gémissait sa victime éperdue de plaisir.
- Et tu n’en peux plus d’attendre de jouir n’est-ce pas ma petite pute! ....
Ils avaient les yeux rivés sur leur pote et la savoureuse quinqua qui jouissaient sur l’écran en grognant des sons inarticulés :
- Ohhhhhhhhhhh....." gémissait la somptueuse femme alors que leurs deux corps enlacés se tortillaient sur le lit.
Patrice sentait son plaisir monter à la vue de ces deux amants jouissant de concerts.
Ils les virent reprendre leurs esprits alors qu’ils continuaient à grogner et gémir le temps que reflue l’orgasme qui venait de les terrasser. Lorsqu’il sortit sa bite amollie de la chatte les clapotis émanant de sa chatte démontraient clairement sa satisfaction de s’être fait baiser de si vigoureuse façon.
Michel, le directeur du restaurant demanda alors à Sylvain :
- Quand viendra notre tour de baiser cette salope? ...... Elle parait vraiment chaude! ... Un sacré coup! ....
- Bientôt mon ami, bientôt....." répondit Sylvain souriant " Il me reste encore quelques détails à régler, avant de vous la repasser! .... Mais crois-moi elle savourera toutes les bites qui vont l’enfiler!
De retour dans sa suite, Martine se tourna et se retourna dans son lit toute la nuit, se refusant à croire ce qui venait de se passer avec Sylvain. Fort heureusement Philippe dormait profondément lorsqu’elle se coucha et elle prit toutes les précautions pour ne pas le réveiller ce qui lui évitait toute explication foireuse.
Elle s’était glissée silencieusement dans la salle de bain et s’était débarrassée de ses vêtements tout en se regardant dans le miroir, son corps était rouge ce qui suggérait qu’elle s’était fait baiser longuement. Elle soupçonnait que le jeune homme l’avait droguée, mais elle ne comprenait pas comment il s’y était pris.
Une chose était certaine, la meurtrissure entre ses cuisses et le flot de foutre qui s’écoulait de sa chatte lui confirmait que ce jeune homme de l’âge de son fils l’avait copieusement baisée.
Martine, incrédule secoua sa tête cherchant à remettre de l’ordre dans ses pensées.
Martine s’habilla en début d’après-midi, elle se fit coiffer, manucurer et maquiller.
En revenant à sa chambre, elle sentit le regard appréciateur de certains hommes explorer ses charmes, ils avaient tous entre 40 et 50 ans, ils la reluquaient sans aucune gêne. Elle ferma les yeux et les croisa en feignant une certaine indifférence, se disant que sa situation serait bien plus légitime avec un homme de cet âge qu’avec un jeune trou du cul de l’âge de son fils!
Philippe, qui avait une bonne gueule de bois due à l’absorption simultanée de sédatif et d’alcool la veille, ne remarqua pas la gêne de son épouse alors qu’ils se promenaient
Sylvain attendait l’arrivée de madame Bertier
Lorsqu’elle se pointa enfin, il remarqua avec une énorme satisfaction qu’elle détournait son regard à sa vue. Il afficha alors un large sourire - Martine était honteuse et craignait visiblement ce qui allait arriver - Cela ne pouvait que faciliter ses plans.
Le jeune homme se dirigea vers Philippe et Martine et les salua.
- Bonjour monsieur et madame Bertier...
Puis les yeux braqués sur la sensuelle madame Bertier vêtue d’une très élégante robe bleue qui la moulait étroitement mettant ainsi en valeur ses appâts, il poursuivit :
- Vous semblez si radieuse que vous allez éclipser la jeune mariée madame Bertier! ...
- Merci... " Balbutia Martine détournant son regard.
Son mari secoua allégrement la main de sylvain en commentant :
- Ma vieille femme est ravissante aujourd’hui! ..... Lorsqu’on est descendu, c’est incroyable le nombre d’hommes de tous âges qui lui jetaient des coups d’œil concupiscents!
- Je n’en doute pas monsieur Bertier..." sourit Sylvain aimablement.
Martine se sentait de plus en plus gênée alors qu’il parcourait d’un regard lascif ses formes avantageuses. Monsieur Bertier ne remarquait rien, il donnait des tapes amicales dans le dos de Sylvain ravi de sentir qu’un jeune puisse trouver sa femme désirable.
- Venez monsieur Bertier, on va se prendre un verre ......" l’invita le jeune gaillard.
- Non Philippe... " Souffla sourdement Martine alors qu’il cherchait à entraîner son mari vers le bar.
Elle était sûre qu’ils avaient tous deux été drogués la veille au soir.
- Laisse-moi chérie..... Peut-être bien que cela va m’aider à faire passer cette satanée gueule de bois! ...." et avant qu’elle puisse protester, il saisit le bras de Sylvain et l’entraîna vers le bar.
Le jeune bâtard jeta un œil railleur sur Martine qui frémissait sous son regard concupiscent, elle se demandait déjà comment allait se dérouler la soirée.
Comme la soirée dansante commençait, Sylvain se posta à coté de Martine.
- Comment te sens-tu Martine ...." la tutoya-t-il brutalement.
- Et comment devrai-je me sentir? ...." soupira Martine. Comment pouvez-vous me faire cela? ....
- Jette un œil ma chérie! ..." poursuivit-il suavement en lui tendant son téléphone portable.
- Comment pouvez-vous me faire cela? ..." répéta-t-elle encore en prenant machinalement le mobile en main.
Elle avala sa salive et haleta en voyant des images d’elle s’afficher clairement sur l’écran du téléphone, des images la représentant en train de se faire baiser dans diverses positions!
Même si elle ne se rappelait pas avoir baisé avec Sylvain, la vidéo la montrait clairement se faisant tringler par lui. Et, de plus, à la vue du sourire qui illuminait son visage, elle semblait y prendre grand plaisir. Outrée, Martine regardait Sylvain avec haine.
- Espèce de salaud!
- Tu ne disais pas ça cette nuit! ...." rigola-t-il ironiquement.
- J’étais droguée..... Sinon jamais je n’aurai...
- Je m’en fous..." rétorqua vivement Sylvain. Tu tiens la preuve que tu te démenais avec énergie sur ma grosse bite hier soir et que tu aimais cela ma chérie!
Martine sentait son estomac se soulever.
- Que voulez-vous de moi? ...." soupira-t-elle défaite.
- Toi ma chérie... Juste toi! ....
- Je suis mariée, et je suis fidèle à mon époux....." répliqua Martine d’une voix tremblante de fureur. J’entends bien ne jamais devenir le jouet sexuel de qui que ce soit! .....
Sylvain jeta un œil sur l’écran du téléphone que Martine avait toujours en main, puis il prit lentement sa main dans la sienne. Soudain il serra brutalement sa main, elle grogna de douleur. Lorsqu’elle leva le regard sur lui elle ne vit que de la froideur et de la détermination dans son regard.
- Ecoutes-moi bien " lui chuchota-t-il à l’oreille… Le reste du temps que tu dois passer ici tu feras exactement ce que je veux...... Sinon, je mets ces photos sur un site Internet ; tout le monde pourra te voir baiser avec un jeune de l’âge de ton fils!
Martine se mit à trembler de peur.
- Vous ne feriez pas ça Sylvain...
- Tu paries ?" lui dit-il doucement en se tournant vers Philippe qui se trouvait au bar.
Martine agrippa son bras.
- Non..." murmura-t-elle affolée. Je vous en prie ne faites pas ça..... Mon mari... Mes enfants...
- Tu ne veux pas qu’ils sachent." compléta ironiquement Sylvain avec jubilation.
- J’ai des responsabilités de femme mariée et de mère, et mon mari se trouve ici, avec moi! " tenta-t-elle de le freiner en retenant ses larmes.
- Ce soir, à l’issue de la réception, lorsque tout le monde aura rejoint son lit ou la salle de danse, je te veux dans ma chambre! .... Ton mari sera saoul et ne réalisera même pas à quelle heure tu le rejoindras dans votre lit! ....
Martine était impuissante, et elle le savait. Cette saloperie de bande vidéo ne devait jamais voir la lumière du jour. Elle avait lutté, mais ce jeune salaud lui souriait triomphalement, et elle savait qu’elle devrait se plier à toutes ses perversions.
- Me promettez-vous que personne d’autre ne verra cette bande vidéo si je fais ce que vous voulez? ..." pleurnicha-t-elle.
- Absolument..." rétorqua Sylvain souriant à pleines dents.
Pendant toute la soirée, Martine avait senti les yeux de Sylvain ramper sur ses charmes, et, quand elle croisait son regard, il lui souriait diaboliquement. Elle connaissait ce regard : c’était celui d’un prédateur qui tenait sa proie sous son emprise! Et elle savait très bien ce qui l’attendait par la suite.
Pour l’instant elle se démenait pour tenir son rôle de mère de la mariée, faisant le tour des tables, veillant à ce que ses hôtes soient pleinement satisfaits, les remerciant d’être venus.
Sylvain l’observait attentivement alors que de nombreux invités la complimentaient pour sa tenue et son élégance. Sa robe la moulait parfaitement mettant en valeur sa taille mince et ses fesses bien rondes, accentuant toutes ses voluptueuses courbes à vrai dire. La profondeur de son décolleté permettait de constater la fermeté de sa poitrine. Elle portait de très élégants hauts talons qui allongeaient ses jambes, comme si besoin en était, et sa longue chevelure blonde cascadait sur ses épaules alors qu’une épaisse frange lui mangeait le front.
Le son d’un slow retentit soudain, les invités se pressèrent alors vers la piste de danse, Sylvain s’approcha alors de Martine et lui susurra :
- Me ferez-vous l’honneur de cette danse madame Bertier? ......
Sylvain le regarda droit dans les yeux et comprit qu’elle n’avait pas le choix, ce n’était pas une faveur qu’il quémandait mais un ordre qu’il lui adressait.
Abasourdie, elle se laissa entraîner sur la piste où ils commencèrent à danser, elle sentait clairement la grosse bosse que faisait son membre viril pressée contre son intimité, elle savait que le jeune homme était fortement excité et qu’il avait planifié la soirée de façon à satisfaire ses appétits lubriques cette nuit même.
- Je voulais juste te prévenir ma salope...... On va ramener ton époux dans votre chambre! ..... Il va dormir jusqu’à demain matin, il ne se réveillera que vers midi, aussi te serai-je reconnaissante de prévenir vos hôtes qu’il est parti se reposer! ...
Martine jeta un œil vers le bar et y vit Alain aidant son mari qui chancelait à quitter la salle, vraisemblablement il l’escortait jusqu’aux étages. Elle fixa Sylvain et commenta d’une voix sourde :
- Vous avez demandé à Alain de l’enivrer, vous n’êtes qu’une ordure! ...."
Il était évident qu’elle était furieuse.
- Non, chère madame Bertier... " Précisa railleusement Sylvain "Je lui ai juste demandé de garder un œil sur ton mari parce qu’il avait tendance à s’enivrer... J’ai pris soin d’épicer ses verres alors que tu te préoccupais de tes hôtes..... On va pouvoir disposer de la nuit entière!
Alors que sa bite continuait à se déployer, il se pencha à son oreille et lui murmura :
- Bientôt ma petite chérie, on va bientôt baiser! ....
La danse se terminant, il la libéra gentiment et rejoignit la foule des fêtards, laissant une femme ahurie, totalement désarmée par ses exigences.
La réception prit fin vers 23 heures, les invités commencèrent à regagner leurs chambres. Martine avait évité de regarder en direction de Sylvain pendant toute la soirée, elle le cherchait maintenant des yeux.
Lorsqu’elle tourna la tête elle le vit soudain assis sur une chaise à une dizaine de mètres d’elle, il avait les yeux braqués sur elle. Il lui fit un signe de la tête. Elle savait pertinemment ce que ce signe de la tête entendait, elle devait gagner l’étage.
Prétextant la fatigue, Martine s’excusa auprès de ses hôtes et, le cœur lourd elle gagna l’étage se dirigeant vers la chambre de Sylvain. Arrivée devant la porte elle rassembla son courage et toqua légèrement.
- C’est ouvert! ..." dit une grosse voix provenant de l’intérieur.
Elle pénétra dans la chambre en hésitant, sa robe bruissant à chaque pas alors qu’elle glissait silencieusement sur la moquette. Jetant un coup d’œil circulaire, elle vit Sylvain assis sur un confortable fauteuil face à elle, il ne portait plus que son caleçon.
- Assieds-toi..." lui dit le petit salaud tapotant le lit.
Alors qu’elle s’asseyait, il saisit la caméra posée sur la table et lui intima :
- Croise les jambes ma chérie! ....
- Non... Sylvain, je ne veux pas! ....
- Je ne te demande pas ton avis salope, allez croise les jambes et grouille-toi! ...." rétorqua-t-il d’une voix menaçante.
Elle s’exécuta lentement, il prit rapidement quelques clichés.
- Et maintenant remonte ta jupe...
- Sylvain... " voulut-elle le supplier, mais il la coupa lui enjoignant rudement :
- Obéis! ...
Lentement elle retroussa sa jupe exposant ses cuisses gainées de bas clairs auto-fixant.
Sylvain claqua des doigts
- Un peu plus encore! .... Comme ça, t’es une bonne fille" admit-il en contemplant les délicieuses cuisses de la savoureuse quinqua.
Martine observait avec anxiété la grosse bosse qui tendait le devant du caleçon de son tourmenteur. La pensée de devoir coucher avec un jeune de l’âge de son fils la choquait!
Toujours assis, jambes grandes écartées il examinait Martine .
- A poil ma chérie! ....." lui intima-t-il rudement.
- S’il te plait Sylvain..... Ne....." commença Martine.
- A poil! .... Je ne me répéterais pas! ....." la coupa-t-il autoritairement.
Elle détourna les yeux, elle était piégée dans une situation des plus dégradantes.
Elle était en pleine confusion, la voix autoritaire de son maître-chanteur ne lui laissait guère de choix, la menace était sous-jacente.
Dans l’intérêt de son mari...
Dans l’intérêt de ses enfants......
Ils ne devaient jamais apprendre ce qui s’était passé pendant le mariage! .....
- A poil! ..." répéta à nouveau Sylvain d’une voix de plus en plus sèche.
Elle resta figée un instant, la tête traversée de pensées contradictoires, cherchant vainement une solution pour sortir indemne de ce traquenard, tout en sachant qu’en fait, elle n’avait plus vraiment le choix.
Tremblante comme une feuille elle tendit la main dans son dos et trouva l’agrafe de sa robe, elle descendit lentement la fermeture éclair dorsale, sa robe glissa sur ses chevilles.
Sylvain contemplait le corps de la quinqua qui lui faisait face vêtue de son soutien-gorge et de son string, sa bite était maintenant totalement déployée, épaisse et bien raide.
Il la regarda fixement et lui dit :
- Mets-toi à genoux et suce!
Elle hésita.
Il lui jeta un œil coléreux et répéta d’une voix rude :
- Je t’ai dit de te mettre à genoux et de me pomper la bite, salope !
Le cœur lourd elle s’agenouilla face à lui.
Elle tendit la main et saisissant la ceinture de son caleçon elle le descendit lentement, elle avala sa salive alors que le gaillard se reculait au fond de siège libérant son épaisse colonne de chair. Sa bite mesurait 20 bons centimètres et pendait lourdement entre ses cuisses musclées, le large gland le surmontant vibrant certainement par anticipation.
Martine n’avait jamais vu un membre masculin aussi gros, le pénis de son mari lui paraissait bien petit en comparaison.
Sylvain comprit que la taille de sa bite fascinait sa proie.
- Allez ma chérie....... Au boulot !" lui commanda le jeune pervers hilare.
Elle tendit lentement sa main droite enveloppant la bite dressée entre ses doigts si délicats, sa petite main ne faisait pas le tour de l’épaisse hampe, loin s’en faut. Yeux fermés, elle inséra le gland épais entre ses lèvres entrouvertes puis elle l’aspira dans la chaleur de sa bouche.
Il grogna à l’instant même ou sa bite frotta contre les lèvres pulpeuses de la mère de Bruno
- Bordel, t’as l’air d’être une bonne suceuse ma chérie!
La ravissante quinqua ne parvenait pas à absorber en totalité l’épaisse queue, elle n’avait aucune expérience des grosses bites, celle de son mari était de taille modeste et elle n’avait pas sucé d’autre homme depuis 30 ans.
Yeux toujours fermés, elle écoutait les gémissements du jeune homme, elle intensifia ses caresses adoptant un rythme soutenu des va et vient, crispant et décrispant habilement ses lèvres sur l’énorme membre.
Sa bite devenait de plus en plus ferme dans la bouche de sa fellatrice.
- Bordel, chérie grogna Sylvain "on dirait que t’as fait ça toute ta vie! .... On ne m’a jamais sucé aussi bien!
Martine sentit que sa bite prenait encore de l’ampleur, elle comprit alors qu’il ne tarderait plus à exploser, elle écoutait s’amplifier ses grognements et ses gémissements. Soudain sa bite se mit à tressauter furieusement entre ses lèvres, il était sur le point d’éjaculer. Elle voulut reculer sa tête, mais il agrippa une poignée de cheveux et la força à le garder en bouche.
- Bordel ce que t’es bonne à baiser ma salope!" grogna le pervers, alors qu’il éjaculait, libérant des trainées de foutre dans la bouche de sa fellatrice.
Obligée de choisir, soit avaler son foutre, soit étouffer, elle avala à contre cœur le sperme.
Sylvain vivait des instants enivrants. Petit à petit sa grosse bite s’amollissait entre les lèvres de Martine, il se retira de sa bouche, un filet de foutre reliant son méat aux lèvres pulpeuses de sa proie.
Martine avait les yeux rivés au grand champignon qui lui faisait face, elle n’en croyait pas ses yeux, son mari ne parvenait qu’à jouir qu’une fois par nuit et ce jeune homme, dont elle venait de vider les couilles, était déjà prêt à la sauter à nouveau!
A sa grande horreur elle réalisait parallèlement que de l’avoir sucé avait provoqué un certain échauffement de sa chatte, en un mot sa foufoune était trempée de cyprine. Elle était honteuse de constater qu’une fellation forcée l’émeuve à tel point.
Sylvain voulait profiter de sa nature hautement sensuelle pour en faire sa petite pute personnelle. Il se redressa et emmena son esclave vers le lit la positionnant à quatre pattes.
Il se saisit de la caméra et prit plusieurs clichés de la mère de son meilleur ami dans cette posture de soumission. Sa bite reprit rapidement de la vigueur à la vue du spectacle hautement érotique qui se déroulait sous ses yeux, il sut tout de suite qu’il voulait aller bien plus loin.
Se branlant vigoureusement il pointa son gland turgescent sur la fente et se préparant à la fourrer en levrette, il promena son gland entre les lèvres gonflées lubrifiant son gland avant de s’engouffrer dans sa chatte suffisamment élargie pour l’accueillir aisément.
Un grognement sourd le récompensa de son initiative, la chaude quinqua savait déjà que son corps ne tarderait pas à exulter une nouvelle fois.
Il se mit alors à la pilonner comme un fou, ses nibards se balançaient au gré de ses coups de boutoir. Les mains sur ses hanches grasses, il donnait de violents coups de reins, son ventre claquant contre ses fesses.
Martine prise par cette nouvelle séance de jambes en l’air avec son jeune "amant" qu’elle ne remarqua pas que Michel, Alain et Patrice se glissaient discrètement dans la chambre. Leurs queues se déployèrent instantanément à la vue de la somptueuse quinqua se faisant baiser avec passion par leur pote, se comportant comme une fieffée salope! Sylvain alerté par le bruit de la porte qui se refermait, leva les yeux sur eux et leur sourit à pleines dents.
- Merci de venir m’assister les gars! ..... C’est une véritable machine à baiser! ..... Elle est en train de me vider les couilles, elle aura besoin d’autres paires de couilles pour la satisfaire pleinement!
Ouvrant ses yeux Martine vit les trois jeunes hommes postés devant elle, ils se branlaient avec fièvre. Elle ouvrit la bouche pour se plaindre, mais un orgasme inattendu la terrassa à cet instant même et elle hurla sa jouissance, elle savait que ce n’était que la première vague de la marée d’orgasmes qui allait la submerger.

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