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Histoire du net: Auteur JDRD. A la campagne.

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Que de secrets cachés 
dans les armoires de famille.


Mon Beau Père
byjdrd©
Cette histoire comporte des scènes de viol. Ce n'est que pur fantasme. Si vous n'êtes pas amateur, passez votre chemin. Je republie ici une vieille histoire que j'avais écrite il y a quelques années.
J'adore cet auteur qui ne publie plus et que je n'arrive pas à joindre...

Je m'appelle Julie, j'ai aujourd'hui 25 ans et j'en avais 20 quand les faits ci-dessous sont arrivés.
Je suis brune, les yeux noirs, et je mesure 1m64 pour 52 kilos. Mais la partie la plus marquante de mon anatomie est ma poitrine. J'affiche en effet un impressionnant 95D, ce qui, étant donné ma petite taille donne à mes seins l'impression d'obus. J'ai également des mamelons hypersensibles qui sont constamment en érection.
J'étais cette année-là en licence de lettre, préparant en ce début du mois de Juin mes examens finaux. J'ai oublié de dire que je suis extrêmement studieuse et que je ne compte jamais mes heures de travail. La réussite est pour moi, étant boursière, impérative. L'été dans le sud avait été précoce et le thermomètre affichait des températures supérieures à 30 degrés.
Depuis 6 mois, je sortais avec Sébastien, et j'en étais follement amoureuse. J'étais persuadé d'avoir trouvé en lui l'homme de ma vie.
Quand il me proposa ce mercredi-là de passer quelques jours chez ses parents, que je ne connaissais pas, pour être un peu plus au frais, je refusais tout d'abord. Je tenais à ne pas être distraite pour réviser mes examens. Il répliqua alors que je pourrais travailler là-bas au calme, que ses parents s'occupaient d'une ferme perdue en pleine campagne et que c'était l'endroit idéal pour pouvoir travailler. Devant tant d'insistance, j'acceptais, consciente du plaisir que cela lui faisait de pouvoir me présenter à ses parents.
Nous arrivâmes donc dans la ferme un soir de milieu de semaine.
La table était mise et les parents de Sébastien nous attendaient.
Le père était le type du parfait paysan, grand, robuste, avec des mains gigantesques et abîmées. Il parlait peu mais était très bavard comparé à la mère, qui du prononcer 20 mots dans toutes la soirée. Petite, fine, elle paraissait comme une enfant à côté de lui, lui obéissait au doigt et à l'œil et baissait souvent le regard.
C'était lui le chef de famille, et ça se sentait!
J'étais un peu étonné de trouver de tels parents à Sébastien, lui qui était intarissable de parole. Mais peut-être que c'est justement parce qu'il n'y avait pas beaucoup d'échanges à la maison qu'il parlait beaucoup à l'extérieur? Il semblait toutefois porter une véritable vénération à son père, et tout ce qu'il disait était pour lui parole d'évangile.
Après le repas, Sébastien se coucha de suite, car il devait se lever tôt le lendemain pour effectuer une démarche administrative dans la ville d'à côté. J'en profitais pour travailler 2 petites heures. La chaleur était insupportable et nous avions laissé la porte de notre chambre entrouverte pour faire courant d'air avec la fenêtre. J'avais troqué mon pyjama habituel contre une chemise de nuit plus légère, qui remontait légèrement devant à cause de mon opulente poitrine.
Avant de me coucher, j'eus besoin de boire un verre d'eau. Comme je me rendais à la salle de bain, j'entendis des bruits provenant de la chambre des parents de Sébastien. Comme nous, ils avaient laissé la porte entrouverte. La curiosité est une de mes principaux défauts, et je ne pus m'empêcher de jeter un coup d'œil à l'intérieur.
Le père était en train de besogner son épouse, qui se trouvait à quatre pattes. Il lui assénait de formidables coups de boutoir, tout en la maintenant aux hanches d'une main et en lui tirant la tête en arrière par les cheveux avec l'autre. La position rappelait vraiment celle d'un cavalier chevauchant sa monture...
Tout en regardant la scène, j'avais immiscé une main sur mon sexe, titillant le clitoris tout doucement. Je me rendais compte du danger de la situation, mais ne pouvais rien faire pour m'en empêcher.
Tout à coup le père se retira en arrière et je pus apercevoir son sexe qui dans la nuit me parut énorme. Je crus qu'il allait éjaculer mais au lieu de cela, sa femme remonta un peu sa croupe et se mis sur les avants bras. Je vis le père saisir son sexe et forcer un peu avant de reprendre un va et vient plus lent. Je compris qu'il était en train de la sodomiser.
Cela me paraissait incroyable, comment une femme d'une taille aussi petite pouvait accueillir un sexe de cette taille. La femme avait maintenant la tête dans les oreillers pour couvrir ses cris et le père avait repris un rythme violent. J'étais pour ma part depuis quelques minutes au bord de la jouissance et m'y maintenait par de petites caresses sur mon bouton.
J'entendis soudain un grognement et je compris qu'il allait jouir. Je m'en allais alors rapidement de peur de me faire surprendre.
Au retour à la chambre, j'étais très excitée, mais Sébastien dormait du sommeil du juste. Je pris tout de même son sexe en main, et, inconsciemment, il se mit à grossir. En chaleur comme j'étais alors j'aurais vraiment voulu qu'il me pénètre mais je ne me résolu pas à le réveiller. Je pris alors son sexe en bouche pour goûter une odeur de luxure. Sébastien était toujours à moitié endormi mais il poussa quand même un petit cri quand sa semence se répandit dans ma bouche. J'avalais le tout avec délectation, tout en jouissant grâce à mes caresses. J'adore le goût du sperme et cela me permit de me calmer et de passer une bonne nuit, malgré la chaleur et la frustration.
Quand je me réveillais le lendemain matin, Sébastien était déjà parti. Après un petit déjeuner rapide pris en compagnie de la mère, que je revoyais encore subir les assauts sauvages de son mari, je pris une douche rapide et m'habillais légèrement d'une robe à fleur boutonnée sur le devant, sans soutien-gorge car la chaleur était vraiment trop forte. Puis je me mis à travailler.
Vers 11h j'entendis une voix qui m'appelait par la fenêtre. C'était le père en compagnie du facteur. Il y avait une lettre pour Sébastien et ils me demandaient de la poser sur son bureau. Comme je me penchais pour l'attraper, je vis les yeux des deux hommes changer d'expression, sans comprendre pourquoi. Ce n'est qu'en regardant dans la même direction qu'eux que je compris: à cause de la chaleur, j'avais déboutonné le bouton du haut de ma robe, mais en même temps le deuxième s'était également déboutonné. Quand je me suis penché pour attraper le courrier, ma robe s'est totalement ouverte, dévoilant complètement ma poitrine, jusqu'à mes tétons.
Je me relevais brusquement et malgré la chaleur refermais la fenêtre. J'entendis tout de même le facteur annoncer: avec une paire de nibard comme ça, il doit pas s'ennuyer ton fiston? Le père répondit quelque chose que je n'entendis pas...
Cette situation m'avait gênée, mais également excitée. Mon côté exhibitionniste reprenait le dessus.
A midi, je décidais d'aller aider la mère à mettre la table, et après avoir vérifié ma tenue, je me rendais dans la salle à manger. La mère étant à la cuisine en train de faire le repas, je pris des assiettes dans le vaisselier et commençais à mettre la table. Cette dernière étant très large, je dus me pencher fortement en avant pour poser la dernière. C'est alors que je sentis une main puissante me maintenir collée à la table. Comme j'essayais de me relever en demandant ce qui se passait, j'entendis la voix du père ordonner:
- Tais toi, tu me cherches depuis hier soir, tu m'as trouvé.
Il me maintenait toujours collée contre la table d'une main alors que l'autre était remontée le long de mes cuisses, retroussant la robe. Je criais de toutes mes forces pour essayer de trouver de l'aide. Il coupa rapidement court à mes espoirs:
- Tu peux brailler tant que tu veux, la ferme la plus proche est à 5 Km, et il ne faut pas compter sur la mère pour te venir en aide! Mais tes cris me gonflent.

En disant ça, il tira très violemment sur ma culotte, qui se cassa net. Me tirant la tête en arrière par les cheveux, il me l'enfourna dans la bouche. Je ne pouvais plus crier et même la respiration était difficile. J'essayais de me débattre mais il devait y avoir 50 Kg de différence entre lui et moi et tous mes efforts étaient vains. De plus, ma respiration étant difficile, les efforts me faisaient suffoquer.
Il arracha plus que déboutonna les trois boutons du haut de ma robe, et en me tenant toujours plaquée contre la porte commença à me pétrir les seins avec une force incroyable. On aurait dit qu'il trayait une vache. La douleur s'accentua encore quand il saisit mes mamelons et les tourna dans ses doigts râpeux, les pinça avec ses ongles.
Mais mes cris restaient maintenant dans ma gorge, étouffés par ma propre culotte. De son autre main, il m'introduisit plusieurs doigts d'un seul coup dans le sexe, me faisant me cabrer de surprise. Ses doigts ne cherchaient pas à me donner du plaisir, mais à me faire mal. Puis j'entendis le bruit d'une braguette qui s'ouvrait. Je sentis son gland appuyer contre mes lèvres et il me pénétra d'un seul coup jusqu'à la garde.
Même si ses doigts avaient déjà préparé le terrain, j'avais l'impression que l'on me déchirait. Jamais auparavant je n'avais eu l'occasion d'être pénétrée par un sexe de cette taille. Il commença alors à me pilonner de ses coups de reins. Sachant que je ne pouvais plus rien faire, j'avais décidé de ne plus bouger et de laisser faire les choses. De grosses larmes coulaient sur mon visage.
Tout en me besognant, il continuait à me peloter les seins avec violence, les écrasant de ses mains. A un moment il lâcha un de mes seins pour s'emparer du pot à beurre qui se trouvait sur la table. Avec son doigt il en pris un morceau et me pénétra l'anus avec. En me souvenant de la scène de la nuit dernière, je vis tout de suite ou il voulait en venir et me débattit à nouveau. Je n'avais jamais été sodomisée auparavant et j'avais vraiment peur étant donnée la taille de son membre. Pour toute réponse je n'eus droit qu'à une claque derrière la tête et à une réplique cinglante:
- Je fais toujours les choses jusqu'au bout, et tu vas avoir ce que tu mérites.
Il sortit alors son sexe du mien, repris un peu de beurre qu'il s'appliqua sur le gland et le positionna sur ma rondelle. Il poussa d'un coup mais uniquement une partie de son gros gland pénétra mon orifice. Il poussa encore plus fort, en m'écartant les fesses autant qu'il pouvait. Cette fois l'intégralité du gland était rentrée. Il pesa alors de tout son poids sur moi, et lentement, inexorablement, son sexe, tel un piston, s'enfonçait au plus profond de mes chairs. La douleur était à la limite du supportable, et mes larmes coulaient de plus belle.
Quand la pénétration fut totale, il commença des allers-retours de plus en plus rapides. Petit à petit, la douleur s'estompait un peu. Puis, brusquement, il se retira, me retourna et me fis me mettre à genoux devant lui. Pour la première fois je voyais ce sexe énorme en vrai, il devait faire au moins 25 cm. Il se masturba très rapidement et me gicla sur le visage et les seins. Il déversa une quantité de sperme impressionnante, en de longues rasades. Puis il ôta ma culotte de ma bouche pour s'essuyer le gland et la jeta par terre. Il déclara ensuite:
- Voici ce qu'on obtient en allumant les hommes. Tu peux toujours te plaindre à Sébastien, mais il ne croira jamais ta parole contre la mienne. Surtout que la mère confirmera ce que je dirai. Et il te quittera aussitôt. Pour moi cette histoire n'a jamais existé!
Sur ces mots il rangea son sexe et sortit. Penaude, je pris mes affaires et remontait dans ma chambre rapidement. Je m'y enfermais et y restais jusqu'au retour de Sébastien. Quand il ouvrit la porte pour me demander si tout allait bien, je lui répondis oui.
Je savais que son père avait raison et qu'il ne me croirait jamais. Et je l'aimais tellement. Je trouvais toutefois une excuse pour rentrer très rapidement et écourter notre séjour chez ses parents
ooOOoo
Bien sûr, après cette histoire, je refusais de retourner chez les parents de Sébastien, trouvant toujours une bonne excuse quand il y allait. Malgré ce qui s'était passé, j'étais toujours avec lui, de plus en plus amoureuse même. D'abord, il n'y était pour rien si son père est un salop!
Et puis, il est tellement gentil, tellement attentif, que c'était pour moi réellement l'homme de ma vie. Et tant pis si je devais pour cela supporter son père, je le verrais le moins souvent possible, et c'est tout!
Notre relation étant de plus en plus intense, je passais un week-end pendant lequel il était rentré chez ses parents à me convaincre qu'il fallait que je lui parle de cette histoire, qu'il me croirait forcément.
Mais à son retour, il parla avec tant de passion et d'admiration de son père, comment celui-ci, durant la fête du village avait d'un simple regard fait baisser les yeux du Maire qui lui faisait une remarque sur un épandage sauvage, que je compris que jamais je n'arriverai à lui faire croire mon histoire, et que je risquais vraiment de le perdre.
Alors que j'ai réussi avec plus ou moins de succès à me défiler chaque fois que Sébastien rentrait chez lui, l'appartement que nous partagions subit un dégât des eaux au début novembre, nous obligeant à quitter les lieux pendant quelques jours. Pour Sébastien il était tout à fait naturel que nous irions passer ces quelques jours chez ses parents.
Quand j'essayais de trouver une solution alternative, il me regarda d'un drôle d'air, à la fois peiné et en colère et me demanda si j'avais un problème avec ses parents. Il rajouta que ses parents comptaient énormément pour lui, plus que tout. La menace était à peine voilée et je m'empressais de dire que j'appréciais beaucoup ses parents et que finalement je serais très heureuse de pouvoir les revoir à nouveau.
Nous partîmes donc avec la vieille voiture de Sébastien pour retourner chez ses parents. En y allant je me promis de ne pas quitter mon amoureux d'une semelle, et que je serais ainsi protégée des avances probables de son père. De plus, je ne pris que des affaires amples, afin de ne pas le provoquer et de cacher mes formes.
Nous arrivâmes pour l'heure du dîner. En descendant de la voiture, Sébastien fît une bise à son père, puis à sa mère pendant que je saluais son géniteur. En me faisant la bise, ce dernier posa, à l'insu de son fils bien sûr, une main sur un de mes seins à travers le pull-over et le serra violemment. Il me regarda ensuite d'un air entendu qui me fit froid dans le dos. Il annonçait clairement la couleur. Mais j'étais bien décidée à ne pas le laisser faire.
Durant les premiers jours de notre séjour, comme je l'avais planifié, je ne quittais pas Sébastien d'une semelle. Il trouvait ça un peu louche, me demandant parfois pourquoi je le collais comme ça, mais je lui répondais que c'était parce que je ne pouvais pas me passer de lui une seconde. Il eut l'air d'apprécier le compliment.
De toutes manières, je désirais me tenir le plus possible à ma stratégie. Cela avait d'ailleurs l'air de bien contrarier le père, qui semblait chaque jour un peu plus énervé. Bien sur il profitait chaque fois que possible de me tripoter furtivement en douce quand il était sur que son fils ne le verrait pas, parfois un sein, parfois une main sur les fesses, toujours violemment, mais il n'avait pas le temps de faire grand-chose, car je m'arrangeais pour qu'il risque chaque fois de ses faire repérer par sa progéniture.
Mais il est parfois des besoins naturels que l'on doit satisfaire tout seul, et quand Sébastien s'excusa pendant un repas pour aller aux toilettes, je sentis que je pouvais être en danger. A peine avait-il disparu que le père se leva de table et s'approcha de moi avec un regard sans équivoque:
- Alors petite pute, tu crois pas que je vois ton manège pour m'éviter depuis ton arrivée, mais je te promets que d'ici ton départ tu vas re-gouter à ma bite et je te ferais payer ton insolence. Il vaudrait mieux pour toi que tu te laisses faire?
Ayant fini son discourt menaçant, il souleva mon pull d'un seul coup, attrapa un de mes seins par-dessous le soutien-gorge et pinça vigoureusement le téton. Il avait apposé son autre main sur ma bouche pour étouffer le cri de douleur que j'émis à ce moment-là. Il continua ce traitement quelques secondes, passant d'un sein à l'autre et pinçant de plus en plus fort jusqu'à ce que l'on entende le bruit caractéristique de la chasse d'eau.
Il reprit alors tout naturellement sa place, me laissant perversement le soin de rabaisser rapidement mon pullover. Quand Sébastien repris sa place, j'étais rouge de douleur, de honte et de colère. Le regard que me lança son père me fit part de sa satisfaction d'avoir vaincu momentanément ma stratégie d'évitement. Ce qui était le plus incroyable c'est la passivité de la mère, qui fit encore une fois comme si de rien n'était.
Son mari la dominait totalement!
Mais le lendemain matin, je devais avoir une bonne nouvelle, l'entreprise qui restaurait notre appartement nous annonça que les travaux seraient terminés le jour même, et que nous pourrions donc regagner nos pénates dès le lendemain matin. Comme j'arborais mon plus grand sourire, le regard que me lança le père ne me laissa aucune illusion quant à sa détermination. Il allait essayer quelque chose avant notre départ.
Je décidais de prendre les devants et demandais à Sébastien si nous pouvions aller faire un tour en voiture toute la journée, en amoureux, avant de retourner à la ville. Il accepta et nous partîmes donc tous les deux dans sa vieille voiture, sous le regard courroucé du père...
Comme j'avais décidé de ne pas avoir de rapports sexuels avec Sébastien durant notre séjour chez ses parents, pour ne pas provoquer le père, je dois avouer que j'étais un peu, en manque, et commençais à me lover contre Sébastien pendant qu'il conduisait, en lui proposant de trouver un petit coin tranquille.
Il me répondit qu'il en connaissait un parfait, une cabane de bûcherons, située sur les terres de son père, au fond d'un chemin de terre à plus de 2 kilomètres d'une petite départementale. Il me dit que les bûcherons ne viennent jamais en cette période et que l'on sera bien tranquille. J'étais toute excitée, après ces longues journées d'abstinences et dès que nous nous sommes engagés sur le sentier, je sentis mon sexe se liquéfier en prévision du plaisir que nous allions nous donner. A la bosse qui déformait son pantalon, je compris que Sébastien était dans les mêmes dispositions que moi.
Je commençais à caresser son sexe à travers le pantalon, puis, ne pouvant plus résister, j'ouvris la braguette et le fis sortir. La route devenait de plus en plus chaotique, ce qui amplifiait mon excitation, car les cahots faisaient bouger la hampe de chair de haut en bas. Je ne pus m'empêcher de prendre ce sexe en bouche et d'y appliquer de petits suçons, un peu comme un bébé tétant un sein.
L'excitation du moment et l'abstinence forcée ne permettraient pas à Sébastien de résister longtemps à ce traitement, j'en étais sure. Je caressais avec ma main ses testicules, en les malaxant doucement. Je sentis les contractions préalables à la jouissance de mon homme et m'appliquais à amplifier ma fellation, serrant les lèvres et aspirant en même temps. Il jouit dans ma bouche en poussant un puissant râle. La quantité de sperme qui s'échappât de sa verge était tellement importante que malgré mon envie je ne pus tout avaler et une bonne partie se répandit sur mon pull-over.
Au même moment un grand bruit se fit entendre et la voiture fit une grande embardée. Nous étions à peine à 20 mètres de la cabane des bûcherons, mais dans la perte de contrôle liée à sa jouissance, Sébastien était légèrement sortit du chemin en avait roulé sur un rondin de bois.
Il descendit immédiatement de la voiture, se penchât dessous et regarda attentivement la mécanique. Il déclarât alors que c'était certainement un cardan qui avait cassé, que l'on ne pouvait plus rouler ainsi et que cela risquait de nous empêcher de rentrer le lendemain, sauf si il pouvait trouver une pièce de rechange rapidement.
Il me dit alors qu'il allait retourner à la route en courant pour trouver quelqu'un qui puisse venir remorquer la voiture. Il valait mieux que je reste dans la voiture à attendre, car je le retarderais plus qu'autre chose. Je lui étais reconnaissante de ne pas mentionner que c'était de ma faute que nous nous trouvions dans cette situation, et j'espérais vivement que nous pourrions réparer pour pouvoir partir comme prévu le lendemain matin.
Je savais alors qu'une longue attente commençait et m'installais le plus confortablement possible dans la voiture. Il ne faisait pas encore trop froid pour la saison, et je n'avais pas besoin de faire tourner le moteur pour allumer le chauffage. Au bout de quelques minutes, je m'endormis.
Je fus réveillée par un bruit de moteur. En regardant dans le chemin, je vis le 4x4 du père de Sébastien qui arrivait. Celui-ci avait dû accompagner son fils pour nous aider à réparer et éventuellement à tracter la voiture. Je voyais d'ailleurs deux silhouettes derrière les vitres teintées de la grosse voiture. Cette dernière s'immobilisa à 5 mètres de la nôtre et la portière du conducteur s'ouvrit en laissant sortir le père. J'étais moi aussi sortie de la voiture et il fit 2 pas dans ma direction en déclarant:
- Je t'avais bien dit petite salope que j'arriverai à te coincer à un moment ou à un autre. Tu vas maintenant payer ton arrogance!
Comment osait-il dire ça alors que Sébastien était assis sur le siège passager?
La porte s'ouvrit alors et je m'aperçus que celui que j'avais pris pour Sébastien n'était autre que le facteur, qui avait déjà fait des remarques sur mon anatomie. Je compris alors que je ne pouvais pas attendre d'aide de Sébastien. Malgré cela, je criais très fort son prénom dans l'espoir peu probable d'un miracle.
Le père éclata de rire, me disant que je pouvais toujours crier, Sébastien était parti chercher une pièce de rechange à la ville et il en avait pour plusieurs heures. A ce moment, les portes arrière du 4x4 s'ouvrirent et deux autres hommes en sortirent. Je reconnus un autre agriculteur, âgé d'une soixantaine d'années, avec un ventre énorme et très mal habillé et son fils, que Sébastien appelait d'habitude le débile, car il était attardé mentalement.
Ma seule solution c'était la fuite et je me mis à courir le plus vite possible en direction de la forêt. Malheureusement mon pied heurta une souche de bois et je m'étalais dans la terre. Le temps de me relever, et le père de Sébastien était déjà sur moi et me soulevais comme un fétu de paille.
Me portant à bout de bras, il m'emmena à l'intérieur de la cabane des bûcherons, suivi par ses trois comparses. Celle-ci était visiblement inoccupée depuis plusieurs mois, un tas de poussière recouvrait les quelques meubles rustiques présents. Le père me posa violemment sur la table. Il demanda à l'attardé et au facteur de me maintenir fermement, pendant qu'il m'enlevait mon pull. Je me débattais tant et plus mais les forces me manquaient. Je criais le plus fort possible mais devant leurs têtes hilares, je comprenais que ce n'était que peine perdue. Le pull fut rapidement enlevé. Découvrant ma poitrine uniquement recouverte de mon soutien-gorge, les commentaires se firent nombreux et salaces:
- Regarde sa poitrine de pute, on dirait une star du X!
- Putain qu'est-ce qu'on va lui mettre, on va la défoncer.
Seul l'attardé de disait rien, me regardant avec des yeux exorbités.
Alors le père sortit son couteau et sectionna la partie centrale de mon soutien-gorge, libérant mes seins dont les tétons étaient durcis par la peur. Il s'empara de l'un d'eux et le tordis violemment, me provoquant une douleur vive qui me déclencha un grand cris. Le père de l'attardé saisi l'autre de ses mains sales et le pétri comme si il s'agissait de pâte à modeler. Il s'approcha et pris mon téton dans sa bouche, enroulant sa langue dessus et le mordant légèrement. Sa salive coulait le long de mon sein, me provoquant un frisson de dégoût.
Ils voulurent ensuite m'enlever mon pantalon mais je serrais les jambes le plus fort possible rendant leur tâche impossible. Le père saisi alors mes deux tétons et les tourna si violemment que je poussais un nouveau cri. Il me dit alors:
- Ce n'est pas la peine de résister, petite pute, tu vas y passer de toutes manières, à toi de décider si tu veux aussi beaucoup souffrir.
En disant ces paroles il accentua encore sa torsion et un nouveau cri s'échappa de ma gorge. La douleur était à ce moment-là à peine supportable. Tout en maintenant cette douleur, il me demanda de soulever légèrement les fesses et de desserrer les jambes pour que le facteur, qui avait déjà enlevé mes chaussures et mes chaussettes puisse faire de même avec mon pantalon.
Comme je tardais à m'exécuter, le père sera encore un peu plus. Immédiatement, mes fesses se soulevèrent et mes jambes s'entrouvrirent. Le pantalon glissa alors, découvrant ma culotte.
Comme j'avais prévu un après midi coquin avec Sébastien, j'avais opté ce jour-là pour un string sexy, très échancré et transparent. Bien évidemment celui-ci provoqua une salve de commentaires, plus crus les uns que les autres:
- Regarde, elle savait qu'on allait la baiser alors elle s'est fait belle!
- Ce type de slip est réservé aux plus grosses salopes, on va lui en donner pour son argent...
Le père demanda alors à Roger - c'était le prénom de l'attardé- de m'enlever la culotte. Celui-ci ne se fit pas prier, mais au lieu de l'enlever normalement, il entreprit de me l'arracher en l'attrapant à plein main et en tirant très fort. L'élastique résista quelques secondes avant de céder. Il m'arracha par la même occasion une poignée de poils pubiens et je poussais un nouveau cri, qui déclencha l'hilarité générale. Le père dit à Roger qu'il pouvait garder la culotte comme trophée.
J'étais maintenant totalement nue aux yeux de ces quatre hommes.
Des larmes de honte et de douleur embuaient mes yeux. J'entendis alors plusieurs petits bruits en en ouvrant les yeux je découvrais que le facteur avait sorti un appareil photo instantanées et faisait des clichés de moi.
Je n'eus pas le temps de m'en offusquer. Le père me retourna alors face contre la table, et demanda au paysan et à son fils de m'attacher les mains aux pieds de celle-ci. Roger serra si fort les liens de la cordelette que j'avais l'impression que le sang n'arrivait plus à mes doigts.
Le père de Sébastien déclara alors:
- On va tous te baiser petite chienne, mais comme tu m'as provoqué, c'est à moi l'honneur.
J'entendis alors, sans le voir, le bruit caractéristique de sa braguette qui s'ouvrait et quelque secondes plus tard, son sexe dur venait s'appuyer sur le mien et me pénétrait d'un seul coup avec une grande violence. J'avais oubliée à quel point il était gros et la douleur fut vive.
Le paysan et son fils avaient enlevé leurs pantalons et se masturbaient en me regardant me faire prendre. Le paysan s'approcha alors de moi et en me présentant son sexe me demanda de le sucer. Celui-ci était nettement moins long que celui du père, mais plutôt large. Il dégageait surtout une odeur très forte d'urine et de vieille semence qui me provoqua un haut le cœur.
Il frottait son sexe contre mon visage, mais je n'ouvrais pas la bouche. Alors le père, tout en continuant de me besogner en levrette m'accrocha par les cheveux et tira d'un coup ma tête en arrière. Cela eut pour conséquence de me faire ouvrir la bouche et le paysan profita de cette occasion pour s'y engouffrer.
Son sexe emplissait ma bouche d'un goût âpre et acide qui me donna un haut le cœur. Il utilisait ma bouche comme un sexe, me tenant la tête des deux côtés et effectuant de rapides va et vient. Son gland frottait d'abord ma langue avant de s'enfoncer au plus profond de ma gorge. À ce rythme, il ne fut pas long à jouir, inondant ma bouche de sa semence âpre, qu'il me forçat à avaler en maintenant ma tête collée sur son sexe pendant son éjaculation. Il s'essuya ensuite le gland sur mes joues et avec mes cheveux.
Le facteur était toujours en train de prendre des photos, remplaçant très souvent ses pellicules instantanées.
Le père sortit alors sa verge de mon sexe, me cracha sur l'anus et y appliqua le bout de son gland. Il poussait fort mais sa taille impressionnante et le manque de lubrification l'empêchait de rentrer.
- Relève ton cul et serre les jambes salope, sinon je vais te déchirer le cul et ce sera bien fait pour toi!
Afin d'éviter toute souffrance supplémentaire, j'obtempérais et me positionnais dans une posture plus adéquate. Malgré cela son sexe énorme avait du mal à rentrer et il s'appuyait de tout son poids sur moi, pénétrant mes chairs centimètre par centimètre, me faisant souffrir terriblement. À un moment mon anus se relâcha, permettant une pénétration plus profonde et plus aisée. Le père profita de l'aubaine et commença des va et vient.
- Tu vois quand tu y mets du tien comme ça va mieux! Je suis sur que salope comme tu es tu dois prendre ton pied, ramonée par une belle bite.
Je n'eus pas l'occasion de répondre, Roger s'avançant maintenant vers moi en tenant son membre en main. Celui-ci était très impressionnant. Pas très long - environ 18 cm - Il était démesurément épais, avec un gland très large. Afin d'éviter une nouvelle séance de tirage de cheveux, j'ouvrais la bouche et il s'y engouffra immédiatement.
- Tu vois, elle a compris qu'il valait mieux qu'elle soit docile, cette chienne.
Déclara le père.
Le sexe de Roger avait le même goût prononcé que celui de son père, il devait certainement partager son penchant pour la saleté. Il donnait des coups violents dans ma bouche, heurtant souvent mes dents avec son gros gland mais cela ne paraissait pas le gêner. Accrochant mes cheveux par derrière, il imprimait à ma tête le rythme de ses assauts.
Pendant ce temps-là je sentis le sexe du père gonfler entre mes reins et jaillir sa semence dans mes entrailles. Il poussa un grand râle, et m'injuria de plus belle.
- Tiens mon jus chienne, je t'avais bien dit que je te baiserai et je suis sur que tu aimes ça!
Il sortit alors son sexe qui commençait à diminuer de volume et laissa la place au facteur qui lui passa l'appareil photo. Placé comme j'étais et avec la verge de Roger dans la gorge, je ne pouvais pas voir la taille de son sexe mais quand il me pénétra le vagin, je ne sentis pas grand-chose et j'en déduisais que le sien devait avoir des dimensions plutôt normales. Il ne resta pas très longtemps dans mon sexe et très vite il me sodomisa, mais la pénétration fut beaucoup plus aisée qu'avec le Père.
Lubrifié par le sperme, agrandit par la grosseur du sexe précédent, mon anus n'opposait plus aucune résistance aux à-coups répétés de l'homme. Certainement excité par le spectacle qu'il avait contemplé auparavant, il déchargea son sperme très rapidement et laissa sa place au paysan.
Pendant ce temps, Roger continuait ses va et vient dans ma bouche. Soudain, je sentis son gland gonfler et il m'inonda la gorge de son sperme, m'obligeant à l'avaler mais la quantité était telle que je dus en recracher une partie. Il éjacula pendant une bonne minute à coup de grandes giclées qui se répandaient dans ma gorge, sur ma langue, mais aussi sur mon visage. Je n'aurais pas cru qu'il fut possible à un homme de déverser des quantités de semence aussi importantes. Il maintint son sexe toujours dressé dans ma bouche, continuant ses à-coups.
Le paysan me sodomisait tout en attrapant furieusement mes seins dont il tordait les mamelons en me traitant de tous les noms. Quand il fut sur le point de s'épancher, il les serra si fort que je cru qu'il me les arrachait. Je ne pu cependant que gémir car le sexe de Roger était toujours dans ma bouche. Ils firent comme si de rien n'était.
Dès que son père se fut retiré, Roger vint prendre sa place entre mes fesses et il décida de me sodomiser directement, sans s'embarrasser d'aucun préambule. La grosseur de son membre, malgré les outrages qu'avait déjà subi mon anus, me cloua de douleur. Soucieuse de souffrir le moins possible, je me détendais au maximum, espérant ainsi faciliter la pénétration. Malgré cela le sexe de Roger ne parvenait pas à rentrer.
Il appuya alors de tout son poids et petit à petit, dans un brûlement croissant, centimètre par centimètre, je sentis son gland me pénétrer. Quand celui-ci fut entièrement entré, la progression se fit plus facile et il eut tôt fait de me remplir. Il commença alors des va et vient de plus en plus rapides, sortant presque entièrement son sexe à chaque coup.

Les trois autres hommes s'étaient assis en face de moi, et continuaient à prendre des photos tout en buvant de la bière.
Le paysan déclara à son fils:
- Ça te change des chèvres que tu as l'habitude d'enculer non?
Et tous d'éclater de rire.
A ce moment, le père sortit de derrière lui mon sac à main et commença à fouiller dedans. Il en sortie le calepin dans lequel je notais toutes les adresses de mes amis et de ma famille.
Il me dit alors:
- Ca, je vais le garder, et si jamais tu t'avisais de dénoncer quoi que ce soit, les photos qu'on a prise arriveraient toutes chez tes amis, ta famille, tes profs...Je suis sûr que cela en intéresserait beaucoup de voir comme tu te fais baiser comme une belle chienne, comme par exemple sur cette photo.
Et il me mit sous le nez une photo ou l'on me voyait à 4 pattes, avec le sexe de Roger en bouche et son père qui me prenait par derrière. Tous les détails de mon anatomie étaient bien en évidence, on me reconnaissait bien et je ne paraissais pas aussi hostile au traitement que je subissais que cela. Il faut dire que quand cette photo avait été prise je cherchais surtout à limiter ma souffrance. Difficile en voyant cette photo de déclarer que je n'étais pas consentante. Je fus prise d'un vertige en imaginant les conséquences que l'envoi de ces photos à mes proches...
Le salop me tenait!
Pendant ce temps-là, Roger continuait à un rythme ahurissant, je sentais à chaque coup taper ses testicules sur mes lèvres. Il continua ainsi pendant au moins 20 minutes, pendant que les autres continuaient à boire des bières en m'injuriant et en prenant des photos. Mon anus n'était plus qu'une brûlure quand je le sentis enfin répandre son foutre au fond de moi.
Le père de Sébastien se leva alors, et vint vers moi en déclarant:
- Pour l'instant, tu as eu ce que tu méritais en tant que chienne, maintenant je vais te punir pour avoir essayé de me résister.
Il prit alors une canette de bière, la décapsula et me l'introduisit dans l'anus, dans lequel elle rentra sans difficulté aucune, la laissant s'écouler dans mes intestins. Il me pénétra alors le sexe avec deux, puis trois doigts. En utilisant les différents spermes qui me souillaient comme lubrifiant, il introduisit un quatrième doigt et força pour mettre aussi le pouce. Je compris alors qu'il voulait rentrer la main en entier et le suppliait d'arrêter. Cela ne fit que l'inciter à continuer et il forçat de plus belle.
Mes chairs étaient distendues au maximum, à la fois au niveau de l'anus et du sexe. La souffrance augmentait jusqu'à ce qu'il réussisse à rentrer la main toute entière et je sentis alors un apaisement relatif. Le paysan vint alors se poster devant mon visage et m'ordonna de le sucer. Le père me dit que quand il aurait joui, ma punition serait finie et que j'avais donc intérêt d'y mettre du cœur.
Décidée d'abréger le plus possible mon calvaire, je m'appliquais, malgré la répugnance et la douleur qui persistait dans mes deux orifices, à réaliser une fellation efficace à cet homme qui me dégoûtait. Je fis courir ma langue sur sa hampe de chair, aspirais ses testicules puis englobais son gland dans mes lèvres en le titillant avec le bout de la langue.
Le facteur ne perdait pas une miette du spectacle et mitraillait avec son appareil photo tout en se masturbant d'une main. Roger se masturbait aussi.
Grâce au traitement que je faisais subir à son sexe, le paysan eut tôt fait de jouir dans ma bouche, m'inondant la gorge de sa semence. Le père tint alors sa promesse, et retira doucement son poing de mon sexe, puis faisant de même avec la canette de bière. Un flot de liquide, mélange de bière et de sperme, s'échappa alors de mon anus. Ils me détachèrent les mains, me retournèrent sur la table et jouirent sur ma poitrine, appliquant leurs glands sur mes bouts érigés.
Ils me présentèrent ensuite leur sexe, me disant que si je les nettoyais bien, ils me feraient cadeau d'une photo chacun. J'obtempérais afin de récupérer le plus rapidement possible ces photos compromettantes. Ils me donnèrent bien 4 photos, mais certainement celles qui étaient les moins réussis, floues ou mal cadrées.
Ils sortirent alors et allèrent atteler la voiture de Sébastien au gros 4x4 de son père. Ils m'obligèrent à monter nue à l'arrière, entre le paysan et son fils. Durant le court trajet du retour, ils ne se privèrent pas pour me tripoter les seins et le sexe, provoquant même les coups de klaxon et les appels de phare d'un routier que la voiture venait de doubler. A mon grand soulagement, le père, estimant peut-être que la punition avait assez duré ou qu'il était déjà tard, continua sa route.
Nous arrivâmes enfin à la ferme, et dès que la portière fût ouverte, je courus me réfugier dans notre chambre, prenant une douche pendant plus d'une demi-heure pour me laver de cette souillure.
Le père vint plus tard frapper à ma porte, et comme je ne répondais pas, il me lança:
- Pour ce soir, je te laisse tranquille, mais à partir d'aujourd'hui il va falloir être plus "compréhensiv" , et surtout discrète. On t'attend ce soir pour le souper et tu as intérêt de faire comme si rien ne s'était passé. Sinon...
Il n'avait pas besoin de finir sa phrase, je savais pertinemment ce que cela impliquait.
Quand Sébastien revint avec la pièce de rechange, peu avant l'heure du dîner, je descendit l'accueillir et fit comme si rien ne s'était passé. Le dîner se passa bien et je prétextais un mal de tête pour remonter me coucher. Quand Sébastien monta à son tour, une heure plus tard, je fis semblant de dormir, même si je savais bien que le sommeil ne viendrait pas cette nuit-là.
Le lendemain, comme si de rien n'était, je pris mon petit déjeuner avec toute la famille. Quand Sébastien partit pour se laver, le père s'approcha de moi, ouvrit son pantalon et me demanda de lui faire une pipe. Voyant que j'hésitais, il sortit une photo ou l'on me voyait avec une canette dans l'anus, un poing dans le sexe et en train de lécher les testicules d'un homme. Il me dit qu'il me donnerait cette photo si je faisais ce qu'il disait ou qu'il l'enverrait à mes parents.
Je me mis alors à genou devant lui et pris son sexe encore mou dans ma bouche. Il grossit très rapidement et je m'appliquais à le faire jouir rapidement, en aspirant son gland et en l'enfournant très profond dans ma bouche. Je le sentis alors tressaillir et décharger sa semence dans ma bouche. J'étais en train d'avaler les dernières gouttes de sperme et le père de renfourner son sexe dans son pantalon quand Sébastien revint. Nous partîmes peu de temps après.
Au moment de dire au revoir, le père me glissa la photo dans le pantalon.
J'étais définitivement vaincue.


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