Pour ce premier jour d'automne,
Un long texte violent et bandant.
Bien sûr ce ne sont que rêveries et fantasmes.
Un concert qui tourne mal.
Auteur : Geophil
J'avais depuis plusieurs mois des vues sur une de mes collègues, Sabrina, je la connaissais depuis plusieurs années et nous étions amis, mais je n'arrivais pas à trouver l'ouverture pour aller plus loin avec elle : elle était marié avec 3 enfants, et toujours amoureuse de son mari!
J'avais découvert que Sabrina allait à son cours de danse le samedi matin, un peu avant midi. Je me débrouillai pour la croiser "fortuitement"à la fin de son cours, derrière le Lieu Unique, sous prétexte d'aller chercher le programme de la Scène Michelet. Elle était enchantée de me rencontrer, comme d'habitude, et je lui proposai d'aller boire un coup pour se rafraichir après son activité, ce qu'elle accepta. Elle avait peu de temps puisqu'il fallait qu'elle rentre manger, mais m'accompagna tout de même.
Nous nous installâmes en terrasse d'un café, et discutions tranquillement. J'en profitais pour feuilleter le programme de la Scène Michelet, et repérai un concert des Hurlements de Léo 15 jours plus tard : J'en fis part à Sabrina, lui vantant les mérites de ce groupe écouté à Lyon quelques années auparavant, et je lui proposai d'y aller ensemble, si elle le souhaitait. Elle me dit qu'elle vérifierait son agenda, mais pourquoi pas!
Nous nous quittâmes vers 12h30, et rentrâmes chacun chez soi.
La semaine précédant le concert, je fus surpris qu'elle me contacte par chat d'elle-même, pour me confirmer qu'elle serait disponible pour le concert des Hurlements de Léo. Je m'attendais à ce qu'elle ait oublié ma proposition, et ça me parut être un bon présage! Je lui rappelai l'horaire, et lui proposai de se retrouver directement à la Scène Michelet. Je lui laissai également mon numéro de portable.
Le samedi soir, je négociai le concert avec mon épouse, qui était ok. Peu de temps avant de partir, je reçu un SMS de Sabrina me demandant si je pouvais passer la prendre chez elle, elle n'avait pas pu (ou essayé de) motiver quelqu'un d'autre chez elle pour y aller. Je confirmai que je passais la chercher, et terminai de me préparer.
J'étais un peu intimidé, et j'essayai de me calmer en roulant vers chez elle. J'arrivai devant chez elle : le portail était ouvert, et il n'y avait dans l'allée que la voiture de sa fille et le Picasso blanc, le monospace de son mari Stéphane était absent.
Je sonnai à la porte, et je fus accueilli par sa fille aînée, Marie, que je n'avais encore jamais rencontré : elle avait la classe de sa mère, grande et mince, avec de longs cheveux châtains. Elle portait un débardeur jaune pâle, assez large et décoletté, qui masquait une poitrine que je devinais de toute beauté.
Elle me fit entrer, m'indiquant que sa mère finissait de se préparer, et me devança dans le salon. Son short en jean bleu clair mettait en évidence un fessier ferme, et ses longues jambes bronzées. En attendant sa mère, nous discutâmes dans le salon, à propos de son bac réussi brillamment, de la suite de ses études, de son voyage en Grèce, et de ses vacances à l'île d'Oléron.
Marie était vraiment séduisante, je tombai complètement sous le charme! elle semblait prude et un peu timide, ce qui rajoutait du désir à la conquérir. J'essayai de la convaincre de nous accompagner à la Scène Michelet, mais elle déclina l'invitation, préférant laisser sa mère s'amuser sans elle (elle me dit cela avec un regard en coin un peu sous-entendu ...). Entendant Sabrina descendre, j'assurai Marie que j'étais enchanté d'avoir fait sa connaissance, et que nous aurions sans doute l'occasion de nous revoir.
Sabrina arriva enfin : elle était particulièrement en beauté, elle avait dû aller chez le coiffeur récemment. Elle portait un maquillage léger et subtil, mettant en évidence son regard et son sourire. Elle était habillé d'une robe bustier blanche, magnifiant sa poitrine, et bouffante en bas, assez large mais courte, s'arrêtant bien au-dessus du genou. Le contraste entre sa peau bronzée et sa robe était saisissant, et elle avait rehaussé ce contraste avec un simple collier vert ras du cou. Je l'embrassai, remarquant son parfum plutôt entêtant, le parfum d'une femme qui souhaite séduire, et je lui fis des compléments sur sa tenue et sa mise en beauté. Elle accueillit mes paroles tout sourire, et proposa d'y aller pour ne pas rater le début du concert. J'embrassai Marie en lui souhaitant bonne soirée, posant ma main sur sa hanche pour l'embrasser, et la maintenant un tout petit plus que nécessaire, terminant par un clin d'oeil, et j'emboîtai le pas à Sabrina.
Sabrina était particulièrement joyeuse, ce qui me permettait de blaguer pour essayer de vaincre ma timidité et mon émotion : j'étais quand même en train de sortir une des plus belles femmes de ma boîte, et surtout celle que je convoitais le plus. A moi d'assurer lors de cette soirée! nous arrivâmes à la Scène Michelet, je pris les places et nous pénétrâmes dans la salle. La première partie avait commencé, un petit groupe sympa, avec un son pas trop gros qui permettait de discuter.
Je proposai à Sabrina de prendre quelque chose au bar, la poussant un peu pour qu'elle prenne autre chose qu'un Perrier, on était là pour s'amuser, enfin quoi! Elle pris finalement, sur mes conseils, un coktail doux et sucré, mais que je savais un peu traître! Je pris une bière pour ma part, et lui proposai de monter à l'étage pour suivre le premier concert et être un peu plus au calme. Je lui emboîtai le pas dans l'escalier, ce qui me permit de jouir de la vue sur ses jambes magnifiques pendant qu'elle escaladait les marches! Nous nous installâmes sur une rangée assez haute, au calme, pour discuter tranquillement en attendant le concert des Hurlements de Léo.
La soirée se déroulait parfaitement, il faisait relativement chaud dans la salle et Sabrina sirotait plutôt rapidement son cocktail bien frais! Le premier concert parvenait à son terme, je proposai d'aller refaire le plein avant la pause, pour éviter le rush au bar. Je repris la même chose pour Sabrina, le demandant discrètement un peu plus alcoolisé au serveur, et remontai à l'étage au moment où la première partie se terminait.
Je trouvai Sabrina en train de discuter avec une jeune femme d'une trentaine d'années : de longs cheveux châtains, des lèvres pulpeuses, et d'après ce que j'en apercevais, un corps magnifique moulé dans une robe fourreau grenat. Sabrina me présenta Agnès, une amie de son cours de Hip Jazz, habituée de la Scène Michelet. Agnès semblait avoir bien commencé la soirée, son haleine n'était plus tout à fait à jeun! Nous discutâmes tous les 3 en attendant la reprise du concert, et Agnès me sembla plutôt libéré, voire dévergondée! Ces propos faisaient parfois rougir Sabrina, qui replongeait à ce moment-là le nez dans son cocktail!
Voyant le groupe s'installer sur scène, je pressai un peu les deux filles pour vider leur verre et trouver une bonne place devant la scène : Sabrina vida rapidement son verre, ce qu'Agnès avait déjà fait depuis longtemps, et nous descendîmes sur la piste. J'offrais mon bras à Sabrina pour les escaliers (pas facile en talons hauts avec 2gr, quand on n'est pas habitué!), et Agnès prit d'autorité mon autre bras!
Je voyais clairement le regard de Sabrina évoluer, l'alcool faisant son œuvre : elle n'était plus très lucide, et je la guidai sur la piste en la tenant par la taille. Elle riait pour rien, et commença d'entrée à se trémousser dès les premiers accords de musique. Nous dansâmes tous les trois, juste devant la scène, dans une ambiance surchauffée par le rythme des cuivres des HDL! je fis danser Sabrina, et cette nana a vraiment le rythme et le mouvement dans la peau! La faisant tourner dans mes bras, mes mains parcouraient les zones accessibles de son corps, appréciant la douceur et la fermeté de ses muscles.
Mais Agnès ne voulait pas être en reste, et elle m'arracha presque des bras de Sabrina pour danser avec moi. Celle-ci voulait du cul, elle se frottait ostensiblement contre moi, laissant ses mains glisser sur mes fesses, sur ma poitrine et mon dos.
Je répondais à ces avances, en profitant pour peloter son corps parfait, mais je gardais un oeil sur ma cible prioritaire, et je libérai Agnès à la chanson suivante pour reprendre Sabrina : je remarquai alors deux petits rebeus qui s'approchaient d'Agnès en train de danser. L'air de rien, ils se mirent de part et d'autre d'elle, un dans son dos, le second face à elle, dansant sur le même rythme. J'observais attentivement ce qui allait se passer : celui qui était dans son dos vint poser ses mains sur ses hanches, accompagnant son mouvement, jusqu'à finir par plaquer son bassin sur celui d'Agnès, donc son sexe contre ses fesses.
Agnès continuait de danser, accompagnant son partenaire qui donnait maintenant le rythme, faisant onduler son bassin d'avant en arrière et de chaque côté. Le second, face à elle, se rapprochait lentement, et il vint lui aussi saisir les hanches d'Agnès, glissant une jambe entre ses cuisses et ondulant au même rythme : Elle était prise en sandwich, serrée entre deux arabes chauds comme la braise, et continuait de danser en riant!
Elle n'avait vraiment plus toute sa tête! Je vis distinctement une main de celui qui était derrière elle remonter le long de son torse, et venir doucement empalmer son sein, sans provoquer de réaction de rejet.
Du coup, il s'attarda, l'englobant plus fermement : Agnès bascula la tête en arrière, se cambrant, ce qui devait augmenter la pression de ses fesses sur le sexe de celui qui la pelotait! Je remarquai alors que celui qui était devant elle avait glissé une main entre ses cuisses!
Elle était en train de se faire caresser la chatte par deux parfaits inconnus, et elle semblait aimer cela! Le morceau s'arrêta, et Agnès s'écarta de ces peloteurs comme si rien ne s'était passé, applaudissant à tout rompre le groupe, et venant nous rejoindre avec Sabrina. J'étais estomaqué par son comportement, et me dit que ça valait le coup de voir jusqu'où elle pouvait aller.
Je proposai aux filles de faire une pause au bar, et les pris toutes les deux par le bras. Je demandai au serveur la même chose que tout à l'heure, avec un clin d'oeil appuyé en direction de Sabrina, et choisi pour Agnès ce qu'elle désirait. Je demandai à Sabrina si la soirée lui plaisait, et elle me dit que c'était génial, me remerciant de l'avoir fait sortir en m'embrassant sur la joue. Nous restâmes au bar le temps d'une chanson, puis retournâmes danser. Agnès avait son verre presque vide à la main, ce qui ne l'empêchait pas de se trémousser comme une folle.
Je prétextai une pause aux toilettes, et m'éclipsai à l'étage pour observer : Sabrina dansait avec Agnès, juste devant la scène. Les deux petits arabes qui l'avaient peloté n'étaient plus en vue. En revanche, trois bikers en blouson noir, style hell's angels, semblaient l'avoir repérée.
Ils étaient assis à une table, et vidèrent tous les 3 leur bière pour se diriger vers la piste de danse, ou plutôt vers Agnès et Sabrina.
Pendant que le plus grand s'approchait de Sabrina, les deux autres encadrèrent Agnès. Il y avait un gars de taille moyenne, qui semblait plutôt musclé, avec un gilet de cuir sans manche mettant en évidence ses bras tatoués, et un autre plutôt petit, gras, barbu et poilu, sa chemise ouverte pouvant l'attester!
Le tatoué vint se placer derrière Agnès, pendant que le barbu restait à côté d'elle. Le scénario se répéta presque à l'identique : il vint lui saisir les hanches, accompagnant son mouvement, puis se plaqua ouvertement contre son cul et donna le rythme, ne se privant pas d'imiter des mouvements à connotation sexuelle.
Le second saisit le verre que tenait toujours Agnès, et se plaça devant elle : lui saisissant les mains, il les mit sur ses épaules, et la prit par la taille, venant se serrer contre elle. Celui qui était contre ses fesses avait fait glisser une main contre son ventre plat, et la plaquait ainsi contre lui. Je remarquai alors que son autre main était en train de remonter doucement sa robe, je voyais sa cuisse apparaître progressivement, jusqu'à arriver au haut de celle-ci.
Une fois qu'il put passer sa main sous sa robe, je le vis la glisser entre les cuisses de Agnès, et il ne fallait pas être devin pour deviner son objectif : Agnès ondulait, les yeux mi-clos, et se cambrait de plus en plus. Elle finit par poser la tête sur l'épaule du barbu devant elle, alors qu'il était évident que le tatoué était en train de la doigter! je ne perdais une miette de ce spectacle, et la caméra de mon appareil-photo non plus!
Détournant les yeux du trio, je cherchai Sabrina du regard, et il me fallut un peu de temps pour la retrouver : Le grand biker dansait avec elle, et l'avait entraîné dans une zone un peu à l'écart de la scène. Il la faisait virevolter entre ses bras, la ramenant toujours vers lui et en profitant systématiquement pour la plaquer contre lui, de face ou de dos, laissant ses mains se balader sur ses fesses et son ventre.
Sabrina ne semblait pas refuser ses avances appuyés, les 3 cocktails qu'elle venait de s'enfiler n'y étaient sans doute pas étranger. Il allait falloir que je mette cela sous contrôle si je ne voulais pas hypothéquer mes chances! Je décidai de laisser passer encore quelques minutes avant d'intervenir.
Revenant à Agnès, je constatai que les deux bikers l'avaient ramené à leur table, et l'avaient assise entre eux deux. Pendant que le tatoué allait au bar, le barbu colla sa chaise à Agnès, et semblait lui dire quelque chose à l'oreille. Il était évident que sa main avait glissée malencontreusement entre les cuisses de la belle (!), et remontait vers des lieux de plaisir! Agnès riait, complètement désinhibée, quand je vis finalement le barbu présenter à son collègue qui revenait avec 3 bières le string de la demoiselle, qu'il venait de lui retirer!
Celui-ci huma le mince morceau de tissu, le mit dans sa poche, et vint également coller sa chaise à celle d'Agnès.
Parcourant à nouveau la foule, je ne retrouvai pas Sabrina!
Où avait-elle pu passer avec son biker? Il fallait absolument que je la retrouve, je ne pouvais pas la laisser partir avec cette brute, avec le risque qu'elle se fasse violer dans un coin d'une rue sombre; Je descendis rapidement de l'étage, et fus soulagé quand je les aperçus tous les deux au bar. Le biker avait commandé deux verres : vu leur taille minuscule, ça ne devait pas être de l'eau! Il en offrit un à Sabrina, et lui ayant dit quelques mots à l'oreille, il vida son verre cul-sec.
Je devinai aisément qu'il avait dit à Véro d'en faire autant, et celle-ci se jeta effectivement le verre dans la gorge! Elle fut prise immédiatement d'un quinte de toux, qui fit rigoler le biker pendant qu'il passait sa main autour de ses épaules! La prenant par la taille, il se dirigea ensuite vers ses comparses : sa main glissa très rapidement pour se poser sur la fesse de Sabrina, qui ne réagit toujours pas à cet attouchement!
Il vint discuter avec ces collègues, qui abandonnèrent quelques instants le pelotage d'une Agnès hilare. Sabrina sembla faire de l'effet au tatoué. elle était debout à côté de lui, toujours maintenue par la taille (ou par la fesse) par le grand, le tatoué se trouvait donc au niveau de ses belles cuisses.
Sans se poser de questions, celui-ci posa une main sur l'intérieur de sa cuisse, au niveau du genou, et remonta sous la robe à volants! je devinai qu'il avait atteint une zone sensible car Sabrina finit par se tortiller et le repousser, tout en riant!
Je profitai de ce moment pour faire mon apparition :
- Vous êtes là, les filles! je vous cherche partout!
Mon arrivée ne sembla pas ravir les bikers! Sabrina s'écarta des bras du grand pour s'approcher de moi :
- Nous avons bien dansé avec ces messieurs!
Agnès, qui relevait le nez, proposa alors :
- On peut aller finir la soirée chez moi, si vous voulez.
Les bikers se regardèrent avec un grand sourire aux lèvres. Sabrina, toute excitée, approuva avec force :
- Oh oui, allons-y
Je pris Agnès par le bras, et fus devancé pour accompagner Sabrina par le tatoué, qui la prit d'autorité par la taille, et nous quittâmes la Scène Michelet. Arrivé à la voiture, je fis monter Agnès devant, pendant que le tatoué ouvrait la porte arrière à Sabrina, et l'aidait à monter, tout en lui mettant franchement la main au cul. Les 3 bikers récupèrent leur moto, et nous suivirent dans la ville de Nantes endormie. Pendant tout le trajet, Agnès faisait des plaisanteries grivoises qui faisaient rire Sabrina. Cette dernière n'était plus du tout lucide, il allait falloir que je la garde à l'œil. Quand à Agnès, c'était clair qu'elle allait se faire démonter par les bikers, je ne lui donnais pas un quart d'heure de répit!
Agnès habitait à Bouaye, une petite maison un peu à l'écart, avec une belle terrasse. Tranquille. Nous nous garâmes devant la maison, les bikers béquillant leurs motos à côté de la voiture. Alors que j'aidais Agnès à descendre, le tatoué était déjà là pour tenir compagnie à Sabrina, et le barbu se joignit à eux.
Ils se mirent de part et d'autre de Sabrina, le tatoué la tenant par la taille et discutant avec elle, le barbu collé à elle, mais je ne voyais pas sa main autour de sa taille. M'arrêtant pour aider Agnès à garder l'équilibre, ils passèrent devant nous, et je compris mieux : le barbu pelotait sans vergogne le cul de Sabrina, qui se trémoussait et le repoussait, mais sans grandes convictions, ce qui fait qu'il revenait à la charge de plus belle.
Agnès ouvrit (non sans peine!) la porte de sa maison, et nous nous installâmes dans le salon.
Le grand suivit Agnès, pour l'aider à chercher quelques bouteilles à la cave, le tatoué installa Sabrina dans le canapé et s'assit à côté d'elle, le barbu prenant la place de l'autre côté. Pour ma part, je choisis un fauteuil face à eux pour observer. Les 3 discutaient en rigolant, le tatoué racontait des histoires plutôt obscènes, qui faisaient par moment rougir Sabrina mais la faisaient surtout rire.
Il avait posé une main sur sa cuisse, et je l'observais caresser doucement sa peau et remonter imperceptiblement sous les volants de sa robe. Sabrina, dans son état, ne s'apercevais de rien, surtout qu'elle était aussi occupé à tempérer les ardeurs du barbu qui était beaucoup moins fin, et essayait depuis un moment de lui caresser la poitrine!
Agnès mettait un temps anormalement long pour remonter de la cave, je décidai d'aller leur donner un coup de main.
Laissant les 3 sur le canapé, je descendis discrètement à la cave : il n'y avait personne dans la première partie de la cave, qui contenait surtout de la nourriture, mais j'entendis des gémissements venant d'une ouverture à gauche. M'approchant doucement, je trouvai Agnès penchée en avant, les deux mains appuyées sur une table sur laquelle étaient posées deux bouteilles, en train de se faire sauter par derrière par le grand!
Sa robe était remontée jusqu'à la taille et le biker lui pelotait les seins sans ménagement tout en la besognant! Agnès couinait de plaisir, les yeux mi-clos. Effectivement, les rafraichissements allaient avoir un peu de retard.
Je quittai la cave et remontai au salon.
Il y avait maintenant de la musique (un truc un peu langoureux), le barbu était en train de farfouiller dans le bar, sortant toutes les bouteilles d'alcool fort qu'il trouvait, pendant que le tatoué dansait avec Sabrina : danser était un bien grand mot! En fait, il la serrait contre lui, ondulant du bassin, les deux mains posées sur les fesses de Sabrina, qui semblait un peu dans le vague. Il glissa une jambe entre ses cuisses, venant plaquer le bassin de Sabrina contre sa cuisse. Sa main gauche la maintenait contre lui, bien plaquée entre ses fesses (je le soupçonnais de lui masser la raie par la même occasion), l'autre main lui saisit la taille, et remontait le long de son torse; Sabrina ondulait en rythme, elle avait fermé les yeux, complètement abandonnée.
Le tatoué atteignit la base de sa poitrine, et empalma doucement son sein gauche, sans provoquer de réaction de recul. Il s'enhardit, je le voyais caresser sa poitrine, son majeur insistant sur le téton qui commençait à poindre. Sa main gauche montait et descendait maintenant sur ses fesses, s'insérant de plus en plus profondément dans le sillon de ses fesses. Relâchant son sein, il lui prit la taille à deux mains, et commença à descendre ses mains le long de ses hanches puis de ses cuisses, se baissant jusqu'aux genoux, pendant que Sabrina dansait lascivement, les bras tendus au-dessus de la tête. Je devinai aisément où il voulait en venir, et effectivement, il remonta le long de ses cuisses, mais cette fois-ci ses mains étaient passées sous la robe et il finit par lui saisir une fesse nue dans chaque main, fermement, et la tirant vers lui, il la mit à califourchon sur sa cuisse toujours glissée entre ses jambes, les pieds décollés du sol!
Sabrina dut lui saisir les épaules pour ne pas perdre l'équilibre! il la fit monter et descendre sur sa cuisse, sollicitant sa chatte qui devenait presque le seul point d'appui de Sabrina! Il ne put cependant aller plus loin : le barbu avait trouvé un disque de ska, et il changea brutalement de musique, passant d'un rythme plutôt langoureux au rythme effréné des cuivres, et Sabrina se détacha soudainement de son partenaire pour danser comme une folle au milieu du salon! le tatoué était déçu, mais il n'avait pas dit son dernier mot. En attendant, il alla se servir un verre au bar, pendant que j'accompagnais Sabrina dans sa danse endiablée!
De son côté, le barbu, également étonné de ne pas voir revenir les bouteilles de rouge, descendit lui aussi à la cave, et je me dis qu'elles allaient prendre encore plus de retard!
J'avais suffisamment maté, à moi de profiter un peu de ma conquête : je me frottais langoureusement contre elle, laissant mes mains parcourir les globes fermes de ses fesses, glisser le long de son ventre plat, remonter le long de son dos musclé. Sabrina vint se plaquer à moi, de dos, ondulant contre moi : ses fesses venaient me masser le sexe, et il fallut peu de temps pour que j'ai une belle érection! Sabrina ne pouvait pas ne pas la sentir à travers sa robe, mais elle continuait de se frotter contre moi!
Je lui saisis la taille à deux mains, et remontai le long de son torse. Comme elle l'avait fait avec le tatoué, et elle étendit les bras au-dessus de la tête pour danser, libérant l'approche de ses seins, que je vins empalmer doucement! j'étais aux anges, la soirée s'orientait encore mieux que ce que j'aurais pu espérer : mon sexe prenait connaissance de son cul, et mes mains massaient sa poitrine magnifique!
Le tatoué nous observait, son verre à la main, en train de se masser l'entre-jambe. J'hésitais encore entre arrêter maintenant et ramener Sabrina chez elle avant que l'irréparable ne se produise, et voir jusqu'où on pouvait aller avec elle! La chaleur de son corps contre le mien et son état de désinhibition me firent basculer du côté obscur!
Prenant Sabrina par le bras, je l'accompagnai au bar, et pendant que le tatoué reprenait la main et lui pelotait le cul, ce qui lui faisait pousser des petits rires et se trémousser, je lui servis un grand verre de rhum-coca, nettement plus chargé en rhum qu'en coca! Sabrina était assoiffée, et elle vida son verre à une vitesse hallucinante! la soirée dérapait complètement pour elle!
Prétextant une envie pressante, je m'éclipsai, laissant Sabrina aux mains (baladeuses) du tatoué. J'en profitai pour faire une visite à la cave : Agnès était bien en mains, le barbu avait pris la place du grand, qui de son côté se faisait sucer tout en buvant directement à la bouteille. Agnès était juste habillée de ses sandales (!), sa robe gisait maintenant sur la terre battue à ses pieds.
Remontant dans le salon, je le trouvai vide.
Je parcourus la maison, regardant dans toutes les pièces, mais il n'y avait plus de traces de Sabrina et du tatoué. Etonné, revenant au salon, je remarquai alors la porte-fenêtre entrebâillée. Je sortis dehors : la température était douce, une légère brise agitait les buissons, et la lune presque pleine éclairait le jardin. Je laissai mes yeux s'habituer quelques minutes, puis commençai à me déplacer sans bruit; faisant le tour de la maison, je distinguai tout à coup la tache claire de la robe blanche de Sabrina derrière un bosquet. Faisant un détour, je m'approchai sans bruit, camouflé par les arbustes. Progressivement, j'entendais de plus en plus distinctement des soupirs de plaisir. Me relevant derrière les buissons, je découvris alors Sabrina, appuyée et penchée en avant contre un arbre, les cuisses écartées, et derrière elle, à genoux, le biker qui avait relevé sa robe sur ses reins, et était en train de lui bouffer le cul!
J'étais scotché par cette vision, que je m'empressai de prendre en photo discrètement. Me déplacement souplement, je passai de l'autre côté de l'arbre sur lequel était appuyée Sabrina. Me plaquant à l'arbre pour ne pas être vu, j'avais cependant suffisamment d'allonge pour venir lui peloter les seins! Ses gémissements augmentèrent d'intensité comme je lui malaxais la poitrine, venant pincer ses tétons qui pointaient maintenant. Le biker devait croire qu'il lui faisait de plus en plus d'effet, puisqu'il ne pouvait me voir! Sabrina haletait de plus en plus fort, je décidai de pimenter un peu leurs ébats, et je lui pinçai cette fois-ci brutalement le téton droit!
Elle cria de douleur, essayant de repousser ma main, mais sa position n'était pas très stable, et je continuais de broyer son téton érigé entre mes doigts! Elle finit par se redresser pour repousser les mains qui la torturaient, ce qui n'arrangea pas le biker. Je me cachai à nouveau derrière l'arbre, pendant que le tatoué se relevait :
- Tu me chauffes vraiment trop la bite, toi!
- Laissez-moi, je crois que je vais rentrer chez moi, souffla Sabrina en essayant de s'éloigner en titubant.
Le biker la rattrapa par le bras :
- Tu ne vas t'en aller comme ça, on s'amuse bien tous les deux!
Et il la plaqua contre l'arbre, et essaya de l'embrasser sur la bouche. Sabrina essayait de le repousser :
- Arrêtez ou je crie!
- Tu peux crier, ça fera venir mes potes!
Et il lui bloqua les bras le long du corps pour réussir à l'embrasser! Ce faisant, il la maintenait toujours contre l'arbre derrière lequel j'étais caché, une jambe glissée entre celles de Sabrina : elle avait donc les jambes légèrement écartées! J’en profitai pour me baisser, et depuis ma position invisible, je remontai une main entre ses jambes sous sa jupe, et je lui doigtai sa chatte humide!
Sabrina se débattait pour échapper à la fois au biker qui l'embrassait et à la main qui la pelotait, mais le tatoué la maintenait trop fermement! Délaissant son minou trempé suite au broutage qu'elle venait de subir, je laissai mon majeur remonter dans le sillon de ses fesses, jusqu'à venir le poser sur son petit trou.
A ce contact, elle essaya soudainement de ruer, sans succès, et je me mis à lui masser l'œillet par petits mouvements tournants. Je me doutais que le tatoué n'allait pas passer des heures à l'embrasser, du coup, sans prévenir, je forçai mon majeur dans son cul le plus loin que je pus! Sa réaction ne se fit pas attendre : elle se cambra brutalement sous la douleur et la surprise, ce qui projeta le biker en arrière.
- Laissez-moi tranquille! Haleta-t-elle
Mais le biker avait vite repris son équilibre
- Tu n'aimes pas les bisous, tu veux passer à autre chose?
Sabrina essaya de lui donner un coup de genou dans les couilles, mais dans son état d'ébriété, elle avait mal évaluée la distance, et le tatoué était déjà presque contre elle : il ne reçut que sa cuisse dans les parties, ce qui eut plus l'effet de le mettre en colère plutôt que de le mettre hors de combat!
Sabrina essaya de s'enfuir dans le jardin, mais saoule comme elle l'était et en talons, il la rattrapa en 2 enjambées, la retourna et lui envoya une gifle monumentale qui l'envoya valdinguer au sol :
- Ah, tu veux jouer à la plus maline!
Sabrina, toujours au sol, essayait de s'éloigner à quatre pattes, mais le biker la suivait, et il lui allongea une grande claque sur les fesses :
- Ca aurait pu se passer amicalement entre nous, tu m'obliges à utiliser la force!
Sabrina sanglotait et rampait toujours devant lui
- Je vais m'occuper de toi, tu me supplieras de te faire jouir dans peu de temps!
Saisissant Sabrina par les cheveux, il la releva, et la tira sans ménagement jusque à une table de jardin en pierre, sous un kiosque. Sabrina n'appréciait guère ce traitement, essayant de suivre pour ne pas se faire arracher les cheveux en gémissant de douleur. Le tatoué n'en avait cure, et il la bascula sur la pierre froide, lui maintenant la tête d'une main, pendant qu'il relevait à nouveau sa robe de l'autre.
- Je vais te péter la rondelle, petite salope! Éructa-t-il.
Sabrina le suppliait d'arrêter, essayant de lui griffer la main qui lui tenait le cou, et tentant de redescendre de l'autre sa robe sur ses fesses.
- Reste tranquille, grogna-t-il en lui serrant un peu plus le cou, pendant qu'il sortait sa bite de son autre main. Je vais casser ton cul de petite bourgeoise!
À moitié étouffée, Sabrina essayait de repousser le tatoué, mais son état d'ébriété et sa position l'empêchait de faire quoi que ce soit d'efficace! il avait maintenant sorti son braquemart, et se branlait en matant le cul nu de Sabrina. Crachant dans sa main, il vint lubrifier son gland, et lui écartant brutalement les jambes, il se positionna face à son cul sans défense;
- Je vais t'ouvrir en deux, tu vas aimer ça! Rugit-il
- Nooon! laissez-moi, je n'ai jamais fait ça! Lâchez-moi! Essayait de crier Sabrina, remuant pour échapper au viol qui se préparait.
Mais le biker était beaucoup trop fort pour elle, et maintenant beaucoup trop excité pour s'arrêter! Maintenant toujours Sabrina par le cou, il plaqua son gland contre son bouton de rose vierge, et se mit à pousser pour lui forcer le cul. Sabrina serrait les fesses tant qu'elle pouvait, ce qui gênait considérablement le biker car elle les avait très musclées avec la danse.
Voyant cela, le tatoué serra un peu plus le cou de Sabrina. De ma position, je voyais les veines de son cou se gonfler, et elle commençait à se débattre désespérément pour respirer. Dans sa lutte pour aspirer de l'air, alors qu'elle était proche de l'évanouissement, elle finit par relâcher son fessier, et le sexe du tatoué, qui s'arcboutait pour la pénétrer, brisa la résistance de ses sphincters et pénétra ses entrailles!
Sabrina tenta de hurler de douleur, mais l'étranglement qu'elle subissait l'empêchait de produire le moindre son. Je vis sa bouche s'ouvrir dans un cri silencieux, ses yeux écarquillés remplis de larmes reflétant sa souffrance et son désarroi!
- Tu vois que ça fini par rentrer, grogna le biker, relâchant son cou pour lui permettre de respirer.
abrina aspira frénétiquement une goulée d'air, et le tatoué en profita pour donner un soudain coup de bassin, embrochant un peu plus Sabrina qui hurla cette fois de douleur!
- T'es étroite comme une pucelle, on va bien s'entendre!
Et il continua de s'enfoncer dans son fondement par saccades violentes, arrachant à Sabrina des cris de douleur à chaque fois que son sexe progressait dans ses muqueuses tendres, jusqu'à finir par l'empaler complètement sur son sexe!
- T'es vraiment trop chaude et serrée du cul, je vais te défoncer comme jamais! Rugit-il
Et il commença à la sodomiser sauvagement, lui bourrant le cul sans ménagement, l'écrasant à chaque poussée sur la table de pierre. Sabrina couinait et sanglotait, son pauvre cul défoncé à sec la brûlait!
Le biker lui saisit les hanches, et se mit à l'empaler par à-coups : il se retirait doucement, puis se renfonçait d'une seule poussée au plus profond de ses tendres muqueuses, coupant le souffle de Sabrina à chaque fois, et il recommença ainsi un temps qui parut infiniment long à sa proie.
Finalement, sentant sans doute venir les prémices d'une jouissance, il saisit à nouveau le cou de Sabrina à deux mains, serrant progressivement, et recommença à la sodomiser sans ménagement! L'étranglement coupait à la fois la respiration de sa victime, et empêchait également le sang d'atteindre son cerveau : Sabrina ne savait plus où elle était, son cerveau s'obscurcissait par le manque d'oxygène, elle avait un mal fou à respirer, et ses muqueuses anales lui renvoyaient des sensations équivoques! Le tatoué sentait une vague de plaisir monter dans ses reins, il accéléra encore le rythme, serrant encore plus le cou de Sabrina, qui était au bord de l'évanouissement, essayant d'arracher les mains qui l'étranglait. J'avais peur qu'il n'aille trop loin, et je m'apprêtais à intervenir, quand il jouit brutalement dans son cul, l'inondant de foutre chaud.
Au même moment il relâcha soudainement la gorge de Sabrina, et l'afflux combiné de l'air dans ses poumons, du sang dans son cerveau et du sperme dans son cul provoqua malgré elle un orgasme incontrôlé!
Elle poussa un long hurlement de jouissance, se cabrant sur la table de pierre, tous les membres tétanisés, puis perdit connaissance et s'affala de tout son long! Le tatoué mit encore deux ou trois coups de bite dans son cul, pour la forme, puis s'essuya le sexe sur sa robe et remballa la marchandise.
- T'es vraiment le meilleur coup depuis très longtemps!
Et il lui envoya un claque retentissante sur les fesses, ce qui ne fit même pas tressaillir Sabrina dans son état second.
Puis il s'éloigna en titubant lui aussi en direction de la maison.
J'étais scotché par l'orgasme dévastateur que Sabrina venait de subir!
Le tatoué savait y faire pour faire jouir une femme, dans la douleur, c'est vrai, mais avec un résultat époustouflant! Le biker étant retourné à la maison, je m'approchai de Sabrina, qui ne bougeait toujours pas : j'étais comme hypnotisé par son cul éclairé par la lune.
Je commençai à lui caresser la chatte, qui était trempée de cyprine! Ma bite bandée me faisait mal, je dégrafais rapidement mon pantalon, sortant mon braquemards, et me positionnais contre sa fentine.
Elle commençait à reprendre pied, gémissant doucement. Je ne lui laissai pas de répit, et ayant placé mon gland à l'entrée de son con, je m'enfonçai d'un seul coup de bassin au plus profond de sa caverne d'amour! Elle se cambra en poussant un profond soupir, je ne la laissai pas reprendre son souffle et me mis à la sauter à grands coups réguliers, me retirant presque de sa chatte pour y replonger avec délice jusqu'à la garde!
L'orgasme qu'elle venait de subir après s'être fait violer le cul semblait avoir déconnecté le cerveau de Sabrina : elle gémissait de plaisir, les deux mains posées sur la table, et essayait d'aller à la rencontre de ma bite! Me penchant sur elle, je lui saisis les seins à travers sa robe, les malaxant, excitant les tétons dressés : Sabrina était dans un état second, son corps complètement abandonné au plaisir, alors que son cul devait la lancer d'une force après ce qu'elle avait subi!
Accélérant le rythme, je lui martelais le con à grands coups de bassin, et ses cris de plaisir devenaient de plus en plus aigus! J’en profitai pour lui enfoncer mon pouce dans le cul, lui massant le colon par l'intérieur. Sabrina ne réagissait pas à cette intromission, son cul devait être anesthésié par ce qu'il avait subi.
Du coin de l'œil, j'aperçus les 3 bikers qui sortaient de la maison : ils avaient été plus vite que prévu! J'augmentai encore ma fréquence, sentant une vague de lave monter dans mes reins, et je déchargeai tout mon foutre dans sa cramouille affamée, lui arrachant un nouvel orgasme. Je me retirai rapidement et m'éclipsai avant que les bikers n'aient pu m'apercevoir en train de m'occuper de Sabrina, retournant me dissimuler derrière un bosquet.
Le tatoué amena ses deux compères jusqu'au kiosque et leur présenta le cul de Sabrina qui relevait lentement la tête :
- Voilà le plus beau cul que je n'ai jamais niqué!
Attrapant Sabrina par les cheveux, il la releva avec brutalité, et la présenta tel un trophée à ses collègues.
- Je pense qu'on peut en faire ce qu'on veut, son copain a disparu!
Et il la poussa dans les bras du petit barbu.
Celui-ci la rattrapa, et la retournant dos à lui, il attrapa la fermeture éclair de sa robe dans son dos, et la descendit d'un seul coup jusqu'à ses reins! Chopant la robe aux épaules, il dénuda le torse de Sabrina d'un seul mouvement, faisant apparaître sa poitrine moulée dans un soutien-gorge couleur chair.
- Je veux voir tes miches, rugit-il
Et sans essayer d'enlever l'agrafe, il lui rabattit le soutien-gorge sur la taille, faisant jaillir sa poitrine sous le nez du grand!
Sabrina essayait de se défendre, de se débattre, mais les trois étaient trop forts pour elle, et ils commencèrent à se l'envoyer, profitant de l'avoir dans les bras pour la peloter : untel lui pinçait un sein, un autre lui fourrait deux doigts dans la chatte, le troisième lui envoyant une claque avant de la projeter vers un autre de ses comparses; Sabrina gémissait sous les coups, gémissements couverts par les rires gras du trio.
Jugeant qu'elle était entre de "bonnes" mains, je décidai d'aller voir où en était Agnès. Je m'éclipsai discrètement en direction de la maison. Le salon était sens dessus dessous, mais il n'y avait pas de trace d'Agnès. Pareil à la cave, personne à la cuisine. Je montai à l'étage, et finit par la trouver dans sa chambre : elle était allongée sur le lit, endormie (par l'alcool, sans doute!), à plat ventre, entièrement nue. Des zébrures sur ses fesses laissaient penser qu'elle avait pris des coups de ceinturon. Sa chatte dégoulinait de foutre, foutre qui collait aussi ses cheveux.
M'approchant du lit, je glissai une main entre ses cuisses, lui caressant la chatte, puis remontant le long de la raie de ses fesses jusqu'à son fion. Etonnamment, il semblait qu'elle ne s'était pas fait sodomiser : c'était peut-être dans les plans initiaux, mais l'arrivée du tatoué avait peut-être repoussé l'échéance. Je décidai de remédier à cela!
Saisissant un foulard, je commençai par lui bander les yeux. Puis, avec la ceinture de la robe de chambre posée sur une chaise, je lui attachai les poignets dans le dos : je la voulais totalement à ma merci! Une fois préparée, lui saisissant les deux chevilles, je la tirai sans ménagement au bord du lit, pour qu'elle se retrouve avec les deux genoux au sol, les cuisses écartées et le cul en position! Cette garce avait vraiment un cul de toute beauté!
Je lui caressai le cul, ne provoquant aucune réaction, puis la poitrine qu'elle avait aussi magnifique : cela eu pour effet de me redonner une belle trique! sortant ma bite, je la lubrifiai en crachant dans ma main, puis, lui écartant les fesses d'une main je positionnai mon gland sur son anus et poussai pour le faire pénétrer. Mm par mm, mon sexe s'immisçait dans son fondement, et le gland était maintenant engagé à moitié, suffisamment pour ce que je voulais faire ensuite : saisissant ses hanches des deux mains, je gainai mes abdos, et d'un brutal coup de rein, je l'empalai de toute ma longueur!
Agnès se réveilla dans un hurlement, ses muqueuses défoncées sans préliminaires! Ne lui laissant pas le temps de reprendre son souffle, je me retirai presque complètement et la pénétrai à nouveau sèchement! Elle hurla de nouveau, essayant de se débattre pour échapper à son pal!
- T'es vraiment étroite du cul, tu n'as pas du souvent te faire sodomiser, lui grognai-je
Et je lui en remis un coup dans le fion.
- Arrêtez, vous me faites mal, criait-t-elle, sanglotant de douleur
- J'arrêterai quand j'aurai inondé ton cul de foutre!
Et je la sodomisais sauvagement! Lâchant ses hanches, je saisis ses seins à pleines mains, les malaxant sans douceur, pinçant les tétons, et je la redressai vers moi : Agnès se retrouvait cambrée, son fondement martyrisé et ses seins pelotés, haletant et sanglotant sous mes assauts!
Revenons quelques minutes en arrière à l'extérieur : les 3 bikers continuaient de désorienter Sabrina, qui ne savait plus du tout où elle en était, bringuebalée entre leurs mains, les seins pincés, les joues en feu à force de recevoir des claques, sa robe ne tenant plus que sur sa taille! Finalement, le tatoué l'arrêta par les épaules :
- Il est temps de passer aux choses sérieuses! Enlève ta robe!
Sabrina était saoule, mais pas au point d'obéir à ce genre d'ordres :
- Ca ne va pas, non! Laissez-moi partir!
Le tatoué lui allongea alors une violente baffe, qui l'envoya rouler au sol. Le grand l'attrapa alors par les cheveux, et la releva sans ménagement! Le tatoué repris :
- C'était le premier avertissement! Maintenant, enlève ta robe!
Sabrina voulut encore résister :
- Non, jamais!
Le tatoué lui envoya une claque monumentale sur l'autre joue, projeta à nouveau Sabrina au sol. Le grand la releva à nouveau par les cheveux : Sabrina était en pleurs, la tête en feu.
- C'était le deuxième avertissement : la prochaine fois, je te casse le nez, ajouta-t-il en serrant le poing. Pour la dernière fois, fout-toi à poil!
Sabrina, toute volonté de rébellion étouffée, fit glisser péniblement sa robe à ses pieds, et se retrouva nue devant les trois bikers, seulement vêtue de ses hauts-talons!
Le barbu s'approcha s'elle :
- T'es sacrément bien roulée, quand même! Et il lui pelota les seins, les fesses, lui glissant une main entre les cuisses ...
Le tatoué repris :
- Et tu n'as pas goûté son cul! C’est du number one, de la top qualité de bourgeoise! S’adressant à Sabrina :
- Toi, va te mettre en position sur la table!
Mais Sabrina, tremblante de peur, essayait de reculer :
- Non, pas ça à nouveau, s'il vous plaît!!!
- Je t'ai dit que c'était la dernière fois que tu refusais d'obéir! Et s'approchant d'elle qui essayait de protéger son visage, il lui décocha un violent direct à l'estomac!
Sabrina s'écroula par terre, vomissant tout l'alcool qu'elle avait ingurgité, secouée de spasmes, se tenant le ventre à deux mains.
Le tatoué se mit à genoux près d'elle, lui releva la tête par les cheveux, et lui dit d'une voix étonnamment douce :
- Tu vas aller jusqu'à la table à quatre pattes, tu vas te mettre sur la table comme tout à l'heure, les cuisses écartées, et tu vas écarter tes fesses des deux mains pour qu'on voit bien ton trou du cul. Ensuite, tu attendras bien sagement ainsi. Sinon ...
Et il laissa ainsi en suspens les menaces de rétorsion!
Sabrina, en larmes, se redressant péniblement sur ses mains, se mit à quatre pattes comme demandé et rampa maladroitement jusqu'à la table de pierre en sanglotant. S'aidant du plateau, elle se redressa, se plia en deux sur le plateau froid.
- Ecarte les cuisses et les fesses!
A contrecœur, elle écarta ses jambes, et saisissant ses fesses, les écarta également, libérant la vue sur son anus offert!
Le grand s'approcha d'elle :
- Je vais te faire le cul sans te toucher autrement qu'avec ma bite, et tu vas aimer ça!
Et il posa son gland contre ses sphincters contractés. Sabrina marmonnait des "non, non, s'il vous plaît" mais ça ne risquait pas d'attendrir ses bourreaux. Le biker laissa de longues secondes son sexe en position, faisant monter l'appréhension dans le cerveau embrumé de Sabrina.
- Ecarte-moi ça un peu mieux, ordonna-t-il
Et au moment où elle écartait encore un peu plus ses lobes magnifiques, il l'empala soudainement d'un brutal coup de rein, s'enfonçant d'un seul coup au plus profond de ses muqueuses lubrifiées par le sperme du tatoué!
Sabrina hurla de douleur, se cambrant sur la table et relâchant ses fesses! Le grand, fiché dans son cul, lui envoya une claque sonore sur les fesses, en rugissant :
- Ecarte tes fesses, où je te chaufferai tellement le cul que tu ne pourras plus t'assoir pendant 15 jours!
Mortifiée, Sabrina rabattit à nouveau les bras le long de son corps pour écarter ses fesses, et le grand se mit à la sodomiser à grands coups brutaux, l'écrasant sur la table à chaque fois, labourant ses tendres muqueuses anales, lui arrachant à chaque poussée des cris de souffrance angoissée.
- C'est vrai que t'es sacrément étroite, on dirait une pucelle de 15 ans!
Et il continuait de lui ramoner le fion sans douceur, pendant que Sabrina devait maintenir ses fesses écartées pour éviter les coups, facilitant ainsi bien malgré elle les pénétrations au plus profond de son cul! Les deux autres mataient sans vergogne le viol, rajoutant des plaisanteries grivoises qui humiliaient encore plus Sabrina.
- Vas-y, éclate-lui la rondelle, elle va finir par aimer ça!
- Si tu élargis bien le passage, on pourra essayer des trucs!
- On va te remplir tellement le cul de foutre que ça va te sortir par la bouche!
Pendant ce temps, le grand continuait sa sodomie brutale, ahanant à chaque pénétration :
- T'es vraiment une des meilleures bourgeoises que j'ai baisé, il va falloir que tu nous donnes ton adresse pour qu'on vienne te faire des visites de temps en temps!
Sabrina sanglotait de rage et de honte sous les coups brutaux du biker, et ses seins nus, frottés contre la table de pierre brute à chaque poussée, la lançaient terriblement!
- Ecarte encore plus, que je viennes te titiller les amygdales, s'esclaffa le grand, tout en lui claquant violemment la fesse droite, faisant crier Sabrina de douleur!
Et il accéléra soudainement le rythme de sa sodomie! Sabrina couinait, écrasé sur la pierre froide par chaque coup de butoir, et elle finit par relâcher ses fesses pour essayer de se retenir sur la table et protéger ses seins meurtris par les frottements, pendant que le grand l'enculait de plus en plus vite.
A force de ramonage, ses muqueuses semblaient anesthésiées, et des sensations équivoques commençaient à envahir les reins de Sabrina, mêlant souffrance et plaisir! Elle gémissait à chaque pénétration, mais ne savait plus elle-même si c'était seulement de la douleur! Et en essayant de protéger ses tétons râpés, elle devait se cambrer, ce qui resserrait le fourreau de son ventre sur le sexe qui la labourait, augmentant la pression sur ses muqueuses sensibles!
Soudainement, le biker lui saisit les seins à pleines mains, et d'une ultime poussée, déchargea son foutre au plus profond de ses entrailles, dans un rugissement de plaisir.
Le contact de ses mains chaudes sur ses seins sensibilisés, après la pierre froide, et le déferlement simultané de liquide séminal dans son intestin furent les sensations de trop pour les sens de Sabrina, et elle poussa un long hurlement signe d'un orgasme incontrôlé, jouissant par le cul pour la deuxième fois de la soirée! Elle s'écroula à nouveau , exténuée, sur la table froide, pendant que le biker se retirait de son cul avec un plop peu ragoutant.
- Putain, quel cul de malade! Tu avais raison, Bob! Et en plus, elle finit par jouir comme une folle. Je suis sûr qu'elle n'a jamais eu d'orgasme comme ça de toute sa vie!
Et ils se tapèrent dans les mains, réjouis du bon coup qu'ils avaient trouvé!
- En tout cas, elle aime être dominée, renchérit le barbu, et ça c'est mon rayon!
Et ses deux compagnons de s'esclaffer! Le barbu retira son ceinturon, et sans prévenir, cingla les fesses offertes de Sabrina! Celle-ci hurla de douleur, soudainement tirée de sa torpeur, et se redressa face à son bourreau :
- Pitié, arrêtez de me frapper! Sanglota-t-elle
- Alors viens te mettre à genoux devant moi, et lèche mes bottes!
Sabrina, désemparée par cet ordre abject, essaya soudainement de fuir, détalant aussi vite qu'elle le pouvait dans le jardin!
Les bikers éclatèrent de rire de la voir courir nue en talons dans la pelouse, et ne semblaient pas la poursuivre! Sabrina crut un instant pouvoir leur échapper : elle entra dans la maison par la porte-fenêtre, traversa le salon le plus vite qu'elle put, son fondement défoncée la mettant à la torture, atteint la porte d'entrée qu'elle mit quelques secondes à ouvrir car elle était fermée à clé, et bondit dehors!
Mais le grand avait fait le tour de la maison plus vite qu'elle, et il lui fit un croc-en-jambe dans le noir au moment où elle sortit de la maison! Sabrina s'étala de tout son long dans l'allée, sous les rires du biker. Elle voulut se relever, mais il l'attrapa vivement par la chevelure, et la traîna dans la maison malgré ses cris de douleur! Arrivant tranquillement par la porte-fenêtre, le barbu et le tatoué discutaient tranquillement.
- Bascule moi cette salope sur le canapé, qu'elle ait sa punition!
Le grand releva Sabrina sans ménagement, et il la plia en deux sur le dossier du canapé, lui plaquant le visage dans les coussins : son cul se trouvait exposé et en bonne position, tandis qu'elle essayait de se libérer en battant des jambes désespérément!
- Je crois que mon copain t'avait dit que c'était ta dernière désobéissance, je suis obligé de te punir!
Et il lui envoya un nouveau coup de ceinturon sur les fesses! Sabrina hurla dans les coussins, gesticulant pour échapper à cette souffrance atroce, son cul se parant d'une marque violacée, presque noire tellement le coup avait été violent!
- Pour cette fois, ce sera seulement 3 coups!
Et il lui cingla à nouveau les fesses, arrachant un nouveau cri de douleur à Sabrina, qui n'avait jamais ressenti de souffrance aussi vive! Avant qu'elle n'ait pu reprendre son souffle, il envoya un terrible troisième coup de ceinture, et Sabrina crut qu'elle allait défaillir : la douleur était si vive qu'aucun son ne franchit ses lèvres! Le grand relâcha sa tête, mais elle était trop en état de choc pour faire quoi que ce soit.
- Maintenant, viens te mettre à genoux et lèche mes bottes!
Sabrina sanglotait de douleur, et mit du temps pour se dégager de sa position inconfortable et descendre du canapé.
- Un peu plus vite, sinon ...
Terrorisée, elle se jeta à genoux, et s'approchant du barbu, se pencha vers ses bottes. Elle eut cependant un temps d'arrêt, réalisant ce qu'elle allait devoir faire ...
- Lèche, maintenant! ordonna-t-il!
Soumise, elle se mit à lui lécher les bottes, dans une posture terriblement humiliante! Le barbu laissa passer de longues secondes, puis ordonna à nouveau :
- Maintenant, redresse-toi, sors ma bite, et suce moi!
Sabrina, complètement dominée, obéit dans un état second, se redressant pour dégrafer le pantalon du barbu. Faisant glisser le jean, elle entraîna par la même occasion le caleçon douteux du barbu, ce qui fit jaillir son sexe : Sabrina n'avait jamais vu un sexe aussi gros! Et il n'était pas encore complètement bandé. La bite du barbu faisait bien 25 cm de long, et surtout elle était d'un diamètre colossal, peut-être 6 ou 7 cm! Elle resta interdite, contemplant le monstre poilu qu'elle allait devoir prendre en bouche! Mais une gifle violente la ramena à la réalité!
- C'est pour aujourd'hui ou pour demain? Suce ma queue, et fais ça bien!
Mortifiée, Sabrina prit le sexe dans sa main (elle ne pouvait même pas en faire le tour avec ses doigts), et l'approcha de ses lèvres. L'odeur était épouvantable, mais elle aurait fait n'importe quoi pour éviter d'être à nouveau frappée, et elle ouvrit la bouche pour gober le gland.
L'engin était si énorme qu'elle devait distendre ses mâchoires pour réussir à la prendre en bouche, et elle commença à essayer de le sucer, mais elle ne pouvait en prendre qu'une petite partie avant d'être incommodée!
- Redresse-toi pour me sucer, qu'on voit bien ton cul! ordonna le barbu
Sabrina se releva tant bien que mal, elle se trouvait maintenant pliée en deux pour le sucer! Cette nouvelle position avait l'avantage qu'elle était plus à l'aise pour le prendre en bouche, mais son cul se trouvait particulièrement exposé! Le tatoué en profita pour venir lui caresser le fessier et lui doigter la chatte, pendant que le grand était en train de picoler au bar.
- Prend la plus profond, salope! Éructa le barbu, en lui appuyant sèchement sur la tête.
Sabrina faisait ce qu'elle pouvait, mais le gland disproportionné venait buter au fond de sa gorge et lui provoquait des hauts le cœur! Elle essayait d'emboucher ce sexe énorme sans succès, et sentait bien que ça n'allait pas plaire au biker! Mais elle avait déjà les larmes aux yeux à cause de ses tentatives!
Le biker lui attrapa les poignets, lui retourna les bras dans le dos et les saisit d'une seule main : Sabrina était complètement sans défense! de l'autre main, il lui attrapa la chevelure, et amplifia lui-même les va-et-vient sur son sexe. Sabrina ne pouvait plus se débattre, elle devait essayer d'accompagner au mieux les mouvements, mais refusait toujours que ce sexe immonde franchisse la barrière de sa gorge!
Concentrée sur la fellation, elle ne sentit pas arriver le tatoué : celui-ci lui défonça la chatte d'une poussée brutale, s'enfonçant de toute sa longueur dans ses tendres muqueuses! De douleur et de surprise, elle tenta de hurler, mais le barbu, qui n'attendait que cela, mit à profit son cri muet pour forcer sa gorge! Son sexe entier disparut dans la bouche de la pauvre Sabrina, distendant sa gorge et bloquant complètement sa respiration!
Le barbu rugit de plaisir! Sabrina était en état de choc, le nez dans les poils pubiens du biker, la gorge torturée par le sexe qui l'encombrait, incapable de respirer à nouveau! Ses jambes l'abandonnèrent, mais le tatoué lui maintenait fermement les hanches pendant qu'il la sautait, ce qui l'empêcha de s'effondrer sur le sol.
Elle commençait à défaillir par manque d'air et à cause de la souffrance, son corps fut pris de tremblements et un voile noir lui obscurcissait la vue quand le barbu retira finalement son sexe de sa gorge! Toujours maintenue par les cheveux, les poignets et les hanches, elle vomit ce qui restait dans son estomac par terre, tout en aspirant goulûment une bouffée d'air, crachant et toussant tout ce qu'elle pouvait.
- Tu vois que tu peux tout prendre si on t'aide un peu, ricana le barbu
Et il fourra à nouveau son sexe dans sa bouche, directement au fond de sa gorge! La deuxième fois était un peu moins douloureuse, mais c'était toujours un cauchemar, et le barbu se mit à aller et venir au plus profond de sa gorge : Sabrina était en larmes, secouée de spasmes à chaque fois que le gland franchissait la barrière de sa luette, en panique pour essayer de respirer à chaque fois qu'il se retirait un peu! le tatoué finit par éjaculer dans sa chatte, mais elle ne s'en rendit même pas compte tellement sa gorge la faisait souffrir.
Du coup, elle ne vit pas non plus le grand revenir derrière elle, une bouteille de bière de 75cl à la main : L'ayant décapsulée et la maintenant fermé d'un pouce, il se mit à la secouer énergiquement, attendant le signal du barbu. Celui-ci sentait arriver la vague de sperme dans ses couilles : quelques secondes avant de jouir, il hurla :
- Maintenant!
Et le grand planta le goulot de la bouteille sous pression dans la foufoune humide de Sabrina : un geyser de bière sous pression lui inonda la chatte, lui procurant des sensations inouïes qui déclenchèrent un orgasme monumental!
Sabrina écarquilla les yeux de surprise et de jouissance, hurlant silencieusement son plaisir, au moment même où le barbu éjaculait au plus profond de sa gorge dans un grognement sourd! Elle se mit à trembler de tout son corps, le cerveau déconnecté par la jouissance, et s'écroula au sol quand les deux bikers relâchèrent leur prise! De longues giclées de bière s'échappaient de son con défoncé, et un filet de sperme coulait de ses lèvres.
Les trois bikers se congratulèrent, en se tapant dans les mains :
- Putain, c'est un coup de malade, cette gonzesse! je me demande ce qu'on peut encore lui faire!
- T'inquiète pas, lui répondit le grand, on va bien trouver, la nuit est encore longue!
Et ils se servirent un coup pour reprendre des forces.
Caché sur la mezzanine après en avoir terminé avec le cul délicieux d'Agnès, je n'avais rien raté de la dernière scène, et tout était enregistré sur ma caméra. Je me demandais ce qui allait bien pouvoir sortir de l'imagination sadique des bickers.