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Histoires du net. Auteurs divers. Découverte dans des patelins!

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  A la découverte de la France profonde.
Mais alors profonde hein!


Le Propriétaire Pervers
byjdrd©
J'ai un problème, je suis joueur. Longtemps ce n'est resté qu'un loisir, mais depuis quelques temps, j'ai intensifié mes mises...J'ai gagné quelques fois, mais j'ai perdu un peu plus souvent. Je me disais que j'allais me refaire, mais malheureusement j'ai eu une mauvaise passe et je me suis retrouvé dans le rouge. Ma femme ne le sais pas, pas encore en tous cas. Parce que ça fait 5 mois que je n'ai pas payé le loyer et que je ne suis pas sûr de pouvoir le payer pour le mois qui vient. Mais tout d'abord, je me présente.
Je m'appelle Michel, ma femme Verena. Nous avons une quarantaine d'année et nous vivons dans un petit village d'Alsace. Nous louons là un corps de ferme à un paysan du coin.
Verena est une belle blonde aux yeux bleus, portant très bien un 95C et avec un joli postérieur qui fait mon bonheur. Sa poitrine est très sensible et ses tétons pointent très rapidement. Elle est très timide et réservée, voire prude...J'aimerais qu'elle puisse se lâcher un peu plus, notamment au niveau sexuel. Quand elle a un peu bu, elle devient plus extravertie, et je dois avouer que j'aime ça. J'aimerais pouvoir la partager avec d'autres hommes, mais je n'ose même pas l'évoquer tellement ça lui paraitrait hors de propos.
Elle n'est pas au courant de mon addiction au jeu, et surtout de l'état des dettes que j'ai. En effet elle se charge de payer les courses et moi tout ce qui touche à la maison. Pour elle tout va bien. Mais moi je reçois des coups de téléphones de plus en plus insistants de la part de mon propriétaire. Pour cet homme de la terre, un sous est un sous, et il accepte de moins en moins mes excuses. Célibataire, il approche de l'âge de la retraite. Petit, râblé avec un gros bide, une grosse tête et un nez en patate. Il ne brille pas par sa gentillesse et j'essaie d'avoir le moins de relation possible avec lui. Cependant il m'a annoncé que ce soir il allait passer à la maison pour récupérer ses loyers, et qu'il valait mieux que j'ai l'argent. Mais cet argent, je ne l'ai pas...Même pas de quoi lui donner un mois. Je ne sais pas ce que je vais pouvoir lui dire...Mais ce qui m'ennuie surtout c'est que ma femme soit au courant de mes problèmes de jeu.
J'étais donc assez angoissé quand le moment de rentrer à la maison fût venu. En arrivant à la maison, je vis la vieille 4L de notre propriétaire garée dans la cour de notre maison. En entrant, je le vis assis à la table de la cuisine, ma femme lui servait un verre de schnaps. En me voyant arriver elle me demanda si j'en voulais un. Je me dis que ça me donnerait du courage pour la suite. Elle me servit et pour nous accompagner s'en servit un aussi.
En cette fin d'été, elle portait une robe légère, boutonnée sur l'avant. Elle n'avait pas jugé utile de mettre un soutien-gorge, laissant sa belle poitrine se balader librement. Ses chaussures d'été à semelle compensée galbaient ses jambes et la cambraient légèrement. Elle était sublime. Je vis tout de suite le regard lubrique que lui jetait notre propriétaire, et j'en étais gêné.
- Monsieur Marcel est venu nous rendre visite, me dit mon épouse, il a dit que tu savais pourquoi.
- Heu...oui en effet
- Alors Michel, elle n'est pas au courant?
En me posant cette question, il savait qu'il me mettait en difficulté...
- Au courant de quoi?
- Je vais t'expliquer...
- Oui vas-y Michel, explique lui...
Il ne m'avait jamais tutoyé auparavant...Il se sentait en position de force, et de fait, il l'était...
- Et bien voilà, j'ai un peu joué sur Internet et j'ai un peu perdu d'argent, du coup j'ai un peu de retard pour les loyers...
- Tu appelles ça un peu de retard? Tu me dois plus de 5 mois de loyer!
- 5 mois?
Ma femme tombait des nues! Elle me regardait d'un air incrédule...
- Oui 5 mois, plus les charges et le mois en cours...J'espère pour toi que tu as apporté de quoi payer aujourd'hui, sinon demain je reviens avec un huissier pour vous saisir et vous expulser!
- Mais je n'ai pas l'argent!
- Demande à ta femme de payer alors!
Mon épouse continuait à ne pas y croire, nous regardant l'un après l'autre...Je savais qu'elle n'avait pas le moindre sous de côté...Il n'y avait pas d'échappatoire.
- Ma femme n'a pas d'argent, et de toute façon c'est à moi de payer!
- Vous êtes mariés, et vous habitez tous les deux dans MA maison. Donc je me fous d'où vient l'argent, mais il faut payer!
- Mais on n'a pas l'argent! Il faut nous laisser un peu de temps pour le trouver.
- Tu avais le temps pour le trouver avant...Maintenant il faut payer! Sinon, je vous fais expulser...
- Mais puisqu'on vous dit qu'on n'a pas l'argent, cria ma femme qui comprenait enfin le côté inextricable de la situation, on ne peut pas vous payer tout de suite!
- Il y a peut-être un moyen d'obtenir un délai, dit-il avec un sourire mauvais...
- Lequel?
- Madame est bien appétissante, si elle se montrait conciliante, je pourrais patienter un peu...
- Mais vous êtes fou!
Je ne pouvais pas imaginer qu'il demandait une chose pareille. En jetant un regard à ma femme, je m'aperçus qu'elle était aussi choquée que moi, ses joues devenant rouge.
- Alors tant pis pour vous, demain je reviens avec les huissiers!
- Mais il n'y a pas d'autre moyen?
- Sauf si vous avez l'argent aujourd'hui, non!
- ...
- Qu'est-ce que vous voudriez pour nous accorder un délai?
Je n'arrivais pas à croire que c'était mon épouse qui avait prononcé cette phrase-là! Mais pourtant si. Elle baissait les yeux et était rouge de honte, mais c'est bien elle qui venait de poser cette question.
- Pour une semaine de délai, à peine 30 minutes de ton temps...C'est pas cher payé non?
- ...
- Bon décidez-vous, je n'ai pas toute la journée. C'est oui ou c'est non mais c'est tout de suite!
- C'est d'accord, répliqua ma femme en baissant les yeux.
- Mais non, ce n'est pas possible!
Je ne voulais absolument pas de cet accord!
- Ecoute Michel, si on est dans cette situation, c'est de ta faute, alors ferme la, c'est déjà assez difficile comme ça!
- Oui Michel, ferme ta gueule et laisse nous faire! Bon ma petite, tu vas commencer par boire deux verres coups sur coups pour te donner du cœur au ventre!
Ma femme ne se fit pas prier bu cul sec deux verres de schnaps à ras bord...
- Bon maintenant que tu es détendue, tu vas défaire 3 boutons de ta robe et danser devant moi.
3 boutons, ça ouvrait sa robe jusqu'au nombril! Les mains tremblantes, la tête toujours baissée, Verena défit un premier bouton, puis un second et enfin le troisième. En faisant ça elle se déhanchait lentement. Ses seins ballotaient, libres et maintenant à l'air nu. Le paysan la regardait avec un sourire pervers aux lèvres. Il promenait sa main sur son sexe à travers son pantalon.
- Allez maintenant tu déboutonnes tous les boutons et tu poses ta culotte...J'aime bien voir se dessaper les putes dans ton genre. Tu as des nibards de salope, avec tes gros tétons...
Sans même relever la grossièreté des propos, ma tendre épouse continua à suivre ses instructions défaisant l'ensemble des boutons en continuant à se déhancher comme une vulgaire stripteaseuse. Quand le dernier fût enlevé, elle saisit sa culotte par les côtés et la fit descendre doucement le long de ses jambes.
Je n'en croyais pas mes yeux...Ma femme était en train de se déshabiller devant un gros porc, à cause de mes propres bêtises. Et malgré moi, malgré le sordide de la situation, j'avais l'impression que ça m'excitait! Le gros porc, justement, avait défait son pantalon et sortit son sexe. J'étais stupéfait en voyant la taille de son braquemart. Assez long, il était surtout démesurément large, sa grosse paluche n'arrivant pas à en faire le tour, avec un gland énorme et violacé. Ses testicules, de la taille de celles d'un taureau, pendaient lourdement. Des trainées blanchâtres maculaient le gland, laissant douter de son hygiène corporelle.
- C'est bien ma belle salope. J'adore voir ta superbe chatte épilée! De belles grosses lèvres de trainée que tu as là! Maintenant tu vas te mettre à genoux devant moi et me sucer...comme une bonne petite pute que tu es.
Ebahi, je vis ma femme, si prude, s'avancer, docile et soumise, et s'agenouiller devant notre maître chanteur...
Doucement elle attrapa le sexe déjà bandé avec sa main, puis approcha sa bouche du gland turgescent et odorant. Avec une grimace de dégout, elle sortit sa langue et commença à appliquer de petites léchouilles. Le paysan était aux anges.
- Je savais que tu serais une bonne suceuse...Avec ta gueule de ne pas y toucher, je suis sûr que tu adore la bite
La langue de ma femme commençait à s'enrouler autour du membre, avant que sa bouche ne l'avale complètement. L'homme attrapa ses cheveux et lui enfonça son sexe au plus profond de la gorge, provoquant un hoquet.
- Tiens salope, je suis sûr que tu n'en as jamais eu d'aussi grosse dans la bouche. Tu aimes sucer ça se voit...Aller lèche moi les couilles!
Soumise, Verena promena sa langue sur les testicules velus. Penchée comme elle était, ses seins ballotaient et pendaient lourdement. Le paysan les attrapa et les pelota violemment. Il agrippa les tétons entre ses doigts et les tordis, provoquant un petit cri de douleur.
- Allez lève-toi et accoude toi sur la table. Tu m'as trop excité, il faut que je te baise. Soulève ta robe.
Comme un pantin, ma femme souleva sa robe et positionna ses coudes sur la table, offrant sa croupe au regard vicieux du vieux. Il se positionna derrière elle et commença à frotter sa verge contre l'intimité de Verena. Il me semblait que le sexe de celle-ci brillait comme si elle était en proie à de l'excitation.
D'un coup, il appuya de tout son poids et la pénétra jusqu'à la garde. Verena poussa un cri de surprise, mais apparemment pas de douleur. Pour la première fois, je voyais ma femme prendre en elle un autre sexe que le mien. Et quel sexe!
Je voyais les lèvres intimes de mon épouse distendues par la taille du mandrin. Les grosses couilles tapaient contre son clitoris. Il commença à la besogner de plus en plus fort, en continuant à l'insulter en permanence. Verena, à chaque coup de butoir, poussait un petit cri, de plus en plus fort. Je connaissais ces cris...Ils étaient annonciateurs de sa jouissance...Je n'en croyais pas mes yeux et mes oreilles...Verena allait jouir malgré elle sous la bite de ce salop! Il s'en rendait compte d'ailleurs
- Ah, je savais que ma grosse bite te ferait couiner. Tu es vraiment une belle salope qui aime se faire baiser à longueur de journée...Tu vas voir, je vais te faire crier de plaisir. Tu pourras plus te passer de mon chibre après ça!
Il accéléra encore la cadence, et ma femme, cachant sa tête dans ses bras, partagée entre honte et plaisir, se mis à crier sa jouissance. Elle tressautait encore de jouissance quand il sortit son membre luisant de cyprine, l'attrapa par les cheveux et la remis à genoux devant lui.
- Ouvre la bouche salope, que tu goutes à mon foutre!
Toujours docile, et encore sous l'emprise de l'orgasme qui l'avait terrassé, Verena s'exécuta et ouvrit la bouche en tirant la langue. Le paysan se masturba frénétiquement au-dessus d'elle et dans un grand râle lâcha sa semence dans sa bouche et sur son visage. Je n'aurais pas cru possible qu'une telle quantité de sperme était possible. Il avait rempli sa bouche, mais aussi recouvert son joli visage et une partie de sa chevelure. Des trainées coulaient sur sa poitrine, et il y en avait même sur le sol...
- Allez, avale tout ma petite pute! Voilà, c'est bien, une bonne bouffeuse de foutre. Bon...vous venez de gagner une semaine de délai. Je reviens la semaine prochaine, et il vaudrait mieux pour vous que vous ayez le pognon!
Ayant prononcé ces paroles menaçantes, il renfourna son sexe dans son pantalon et nous laissa là, abasourdies par la scène surréaliste que nous venions de vivre. Verena se leva, pris une serviette pour s'essuyer le visage et me regardant en larme me demanda pardon. Pardon d'avoir joui malgré elle avec un homme hideux qui la débecte.
Je la pris dans mes bras et lui dit que c'était moi qui m'excusait de l'avoir mis dans cette situation (qui malgré moi m'avait aussi excitée)...
Le soir, nous avons fait l'amour, tendrement, intensément.
Pendant une semaine, nous nous sommes intensément mis à la recherche d'argent. Nous avons contacté notre famille, nos amis, nos connaissances. Rares étaient ceux qui acceptaient de nous prêter, mais aucun ne pouvait le faire en une semaine. Ceux qui avaient suffisamment d'argent pour nous prêter quelques centaines d'euros (nous ne voulions pas emprunter la totalité à la même personne), avaient l'argent placé et cela demandait du temps pour le sortir.
C'est donc avec beaucoup d'appréhension que nous attentions le propriétaire. Nous nous doutions que Verena allait de nouveau devoir à nouveau subir ses assauts. Pour nous donner du courage, nous avons bu plusieurs verres, nous réchauffant le corps et l'esprit.
Le bruit caractéristique de la 4L se garant nous sorti de l'apathie dans laquelle l'appréhension et l'alcool nous avaient plongés. Notre propriétaire entra dans la maison, mais il n'était pas seul. Son contremaître Serge, un géant de plus d'un mètre quatre-vingt-dix et pesant au moins 120kg l'accompagnait.
- Alors vous avez le pognon, demanda-t-il sans préambule. Je l'espère pour vous, ma patience à des limites!
- Nous allons l'avoir dans quelques jours, une telle somme ne se trouve pas aussi facilement...
- C'est pas mon problème, je vous avais donné une semaine, celle-ci est écoulée, vous allez me faire le coup à chaque fois!
- Mais on vous garantit que l'argent sera bientôt là.
- Sais pas pourquoi, mais j'ai envie de vous faire confiance, décréta-t-il avec un regard à son contremaître qui semblait allait à l'opposé de ses paroles apparemment bienveillantes.
- Mais bon, va falloir encore payer des intérêts qui ont sacrément augmentés depuis la semaine dernière...Pour commencer, ma petite poulette, tu vas aller chercher tes escarpins les plus hauts, les mettre et poser tous tes autres vêtements...J'aime bien voir une pute à poil sur des escarpins...
On y était, comme on l'avait prévu, Verena allait devoir de nouveau subir les envies lubriques de ce gros porc. Mais cette fois, il n'était pas seul. Le contremaître arborait un grand sourire pervers, louchant de manière ostentatoire sur les attributs de mon épouse. Je savais qu'il était vain de protester...Verena aussi d'ailleurs. En baissant la tête elle disparut dans notre chambre pour aller chercher les chaussures demandées. Pendant ce temps le paysan et son acolyte s'étaient assis et servis d'un verre, comme si ils étaient chez eux. Dans un sens, c'était un peu le cas...
A peine quelques minutes après, ma douce femme fit son apparition dans la pièce. Elle avait mis des escarpins rouges qu'elle n'utilisait que pour les mariages, avec des talons de plus de 10 cm. Mais surtout, obéissant à la demande, elle s'était totalement dévêtue, offrant à l'assemblée une vision extraordinaire, ses gros seins dardant agressivement leur téton et son sexe rasé impudique dévoilant ses grosses lèvres. La hauteur des escarpins bombait ses fesses de manière obscène. La scène était surréaliste. Pour différentes raisons, nous étions tous les trois bouche bée devant l'apparition de cette sirène.
- Je vois que tu as vite pris le pli...Alors maintenant tu vas te mettre à genoux devant nous, ouvrir nos braguettes et nous tailler une pipe...Tu vas voir Serge, cette salope est une suçeuse de première!
Sans dire un mot, Verena s'agenouilla devant eux, et de ses mains menues défit la ceinture du paysan, ouvrit sa braguette et en sorti le sexe déjà à demi bandé. Puis elle s'attaqua au pantalon du contremaître. Quand fut venu le moment de sortir le sexe de son fourreau, ma femme eut un mouvement de recul. Au début je ne comprenais pas pourquoi, mais quand je vis l'engin, tout s'éclaira! Sans être en érection, sa taille paraissait déjà démesurée. Il lui arrivait à mi-cuisse, alors que le gland était encore recouvert du prépuce.
- Ha ha ha, glapit le propriétaire, je paris que tu n'as jamais vu de bite aussi grosse que celle-là! C'est pas pour rien qu'on l'appelle l'âne. Il en a fait couiner des salopes sur sa biroute le Serge! Allez, tu vas commencer par t'occuper de moi, tu passeras au morceau de choix après.
Lentement, mon épouse attrapa le sexe du paysan, commença à enrouler sa langue sur le gland, lécha la hampe de chair sur toute sa longueur, descendant jusqu'aux testicules qu'elle eut du mal à gober tellement elles étaient pleines. Puis remontant sur le pieux tout en continuant à le lécher, elle enfourna le gland dans sa bouche, et commença à pratiquer des vas et viens, tout en masturbant le pieux avec sa main.
- On met les mains sur la tête pour faire une pipe salope. Il s'agit pas de me faire venir trop vite, je veux profiter de toi le plus longtemps possible!
Obtempérant, Verena s'appliqua à emboucher le membre du mieux qu'elle pouvait, descendant un peu plus loin chaque fois. Le sexe luisait de la salive de mon épouse.
- Tu es vraiment une bonne pute...Même rien qu'avec la bouche, tu vas presque réussir à me faire gicler. Occupe-toi donc de Serge, maintenant qu'il a pris de la vigueur en regardant le spectacle!
Je jetais alors un œil au contremaître, enfin je devrais dire au sexe du contremaître. En fait, je ne sais pas si on pouvait encore qualifier de sexe l'engin qu'il portait entre les jambes. Il avait maintenant pris toute sa vigueur et bandait de manière obscène. Il lui arrivait au-dessus du nombril. Le gland bien que déjà d'une taille respectable, paraissait petit par rapport au reste de la mentule. Large, noueuse et longue de plus de 30 cm, on aurait dit un gros concombre.
Verena se tourna vers lui, les yeux exorbités. Elle s'approcha et commença à laper à petits coups de langue le chibre. Quand elle voulut l'enfourner, seul le gland pouvait rentrer, le reste du membre distendant ses lèvres et sa mâchoire.
Le contremaitre pris alors la tête de ma femme entre ses mains et commença à lui appliquer des allers-retours sur son sexe, utilisant sa bouche comme un vulgaire con, provoquant par là même des hoquets à ma douce et tendre. Le paysan, tout en continuant à se masturber, s'était levé pour mieux observer la scène.
Ma femme, à genou, les mains sur la tête, en train de se faire baiser la bouche par un membre démesuré. A chaque coup de la colonne de chair, son bassin se soulevait. N'y tenant plus, le propriétaire s'agenouilla derrière elle, lui écarta les jambes et la fit se cambrer, avant de l'embrocher d'un seul coup. A la facilité avec laquelle il s'engouffra, je supposais que le sexe de Verena devait être bien humide, et le gros porc confirma ça :
- Rhaaa, c'est bon de te baiser! A voir comme tu es mouillée, je suis sûr que tu prends ton pied à sucer de bonne bites comme les nôtres. Et là je vais te faire couiner comme la dernière fois.
Il commença à la pilonner à grands coups de butoirs. Chaque fois qu'il donnait un coup de rein, le sexe du contremaître s'enfonçait plus profondément dans la gorge de Verena. Elle en avait les larmes aux yeux. Le paysan, alors qu'il l'embrochait sur son dard, attrapait les gros seins de ma femme, en pinçant ses tétons.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, il se retira.
- Maintenant petite salope, tu vas t'enfiler sur le chibre de serge. Je t'ai un peu élargie mais tu vas quand même couiner. Tu n'as jamais dû recevoir une bite comme celle-là, sauf si tu te fais baiser par des ânes!
Sans un mot, la tête baissée, Verena enjamba le contremaître toujours assis sur sa chaise, et positionna l'énorme mentule. Quand elle s'abaissa, le gland rentra assez facilement, mais à peine un tiers du sexe la pénétra. Elle commença à faire des va et vient de haut en bas. Chaque fois, elle s'enfonçait un peu plus. Ce fût bientôt la moitié qui disparût, puis les deux tiers. Là il sembla que plus rien ne pouvait rentrer.
Le contremaître la saisit alors par les hanches et commença à la soulever et à la laisser retomber. Il appuyait sur les hanches tout en donnant des coups de reins, faisant, chose incroyable, pénétrer le sexe encore plus profond. Après quelques minutes de ce traitement, le membre entier disparût dans le sexe de ma femme, seuls les testicules remplis de leur liqueur ressortaient. Ma femme poussait de petits cris, qui ne me semblaient pas être de douleur, à chaque intromission. Ces cris étaient de plus en plus fort, annonciateurs d'une jouissance prochaine.
Le paysan n'avait rien manqué du spectacle et continuait de se masturber. Il faut dire que le tableau était sacrément excitant, ma femme, si prude, si timide, en train de s'agiter sur un sexe démesuré, et y prenant sans contexte du plaisir. Le sexe de Verena était totalement distendu, offrant une vue impudique sur son anus. Notre propriétaire cracha sur ses doigts et s'approcha du couple en action. Avec son majeur lubrifié par son crachat, il commença à exercer de petites pressions sur l'œillet de ma femme. Celle-ci, toute perdue à sa jouissance montante, ne se rendit compte de rien dans un premier temps. C'est quand il rentra son majeur, d'un coup, jusqu'à la garde, qu'elle poussa un cri de douleur.
- Non pas ça, s'il vous plait!
- Bien sûr que si que je vais mettre ma bite dans ton cul. Sois heureuse que je te prépare avec mon doigt avant!
- S'il vous plaît non! Je ne l'ai jamais fait!
- Eh bien, il faut un début à tout...autant commencer par une belle bite! Maintenant ta gueule et cambre toi bien, ça sera plus facile!
Vaincue, humiliée, Verena obéit et ambra au maximum, le sexe du contremaitre toujours enfoncé jusqu'à la garde dans le sien. Le paysan présenta son gland énorme devant l'anus de ma femme. Je me disais que ça ne pourrait jamais rentrer, surtout avec le sexe du contremaitre toujours présent.
Effectivement, malgré la salive dont il s'était enduit le gland, celui-ci butait sur le sphincter réfractaire. Il pesa de tout son poids et d'un coup, dans un grand cri de ma femme, le gland fut absorbé. Le plus dur était passé!
Lentement il coulissa dans l'étroit conduit, élargissant les chairs. Verena poussait un long râle de douleur, les yeux exorbités, la bouche grande ouverte. Le contremaitre ne bougeait pas pour aider l'intromission.
- Ah ça y est ma pute, je te l'ai mise en entier dans le cul, maintenant on va pouvoir te bourrer en cadence!
Et joignant le geste à la parole, ils commencèrent à pilonner ma femme de concert, avec des coups de reins alternés. Rapidement les cris de douleur de mon épouse firent place à des sons beaucoup plus évocateurs de la jouissance, pour finir dans un orgasme totalement impudique.
- Ca y est tu couines à nouveau comme la belle salope que tu es. En fait tu adores ça te faire ramoner la chatte et le cul en même temps! Allez dis-le que tu adores ça!
- Nooon
- Je te dis de le dire! Vu les cris que tu pousses tu n'as pas le choix!
- Je...J'aime ça
- Tu aimes quoi?
- J'aime me faire prendre en même temps par vous
- Par nos deux grosses bites?
- Oui...par vos deux grosses bites.
- Et bien voilà, c'est pas si difficile de dire la vérité! Maintenant on peut te remplir la chate et le cul avec notre foutre!
La cadence accéléra encore de la part des deux hommes. Verena, qui semblait partie dans une jouissance continue était ballotée de toute part sous les assauts de ses amants...
Les hommes poussèrent alors des cris de bête alors qu'ils jouissaient simultanément dans ma femme, inondant son vagin et son intestin de leur sperme. Le paysan fut le premier à se retirer du fondement de Verena.
Quand son sexe sortit, un bruit de succion se fit entendre. Le contremaitre la souleva alors et se retirant la déposa par terre, chancelante sur ses hauts talons, du foutre s'échappant de ses orifices en larges trainées qui s'étalaient sur ses jambes, se répandant aussi sur le sol.
- Nettoie nous la queue en nous suçant un peu...et puis tu mettras ça, dit-il en sortant d'un sac une espèce de nuisette transparente qu'il jeta par terre.
Mon épouse obéissante s'appliqua à ce qu'aucune trace ne reste sur les sexes des deux hommes, les faisant luire de sa salive. Puis, soumise, elle enfila la nuisette.
- Viens avec nous, on va faire un tour
- Mais ce n'est pas du tout ce qui est prévu, dis-je
- Tu croyais pouvoir payer les intérêts d'une semaine avec une petite baise de rien du tout? Toi tu restes ici, elle, elle vient avec nous. Elle reviendra demain matin, et si elle est bien obéissante, vous aurez un délai d'une semaine de plus.
- Mais ou allez-vous?
- Ca ne te regarde pas!
Et je les vis passer la porte de la maison, Verena au milieu des deux, avec une nuisette indécente et des hauts talons comme seuls vêtements. Le paysan se mit au volant de la 4L, le contremaître montant à l'arrière avec ma femme. Et je les vis partir ainsi.

Les Routiers
Nous étions partis, mon épouse et moi-même pour deux semaines de vacances dans le Cantal, fin septembre. Nous n'aimons pas la foule estivale et l'arrière-saison présente bien des avantages, peu de monde, tarifs plus attractifs, meilleur service et, nous étions chanceux, un très beau soleil. Nous avions choisi le Cantal car nous voulions vraiment nous « perdre » dans la nature. Nous sommes un couple de 35 ans et mon épouse est une belle rousse aux formes généreuses. Notre vie sexuelle n'est pas des plus excitantes, mon épouse étant très traditionnelle et très peu demandeuse, à mon grand regret. Ce jour-là, nous roulions sur une départementale et j'avais l'impression que nous étions seul au monde.
Nous n'avions croisé durant la dernière demi-heure que 3 camions de transport de bois. Mais c'est ce que nous étions venus chercher...Nous avions réservé un gîte à 50 km de là, et les clés nous attendais cachées sous une certaine pierre (en tous cas c'est ce que le propriétaire nous avait dit, ne souhaitant pas se déplacer un samedi soir pour nous accueillir. Cela nous convenait aussi parfaitement, pas de conversation barbante à tenir!
Ma femme portait ce jour-là une robe aux fines bretelles, boutonnée sur l'avant. Les bretelles étaient trop fines pour pouvoir porter un soutien-gorge. Son opulente poitrine était donc libre sous le tissus et je pouvais admirer ses seins tressauter quand nous prenions un nid de poule, nombreux sur cette route. Elle portait des sandales à lanière à haut talons compensés, qui mettaient en valeur ses jambes bien galbées quand elle marchait. Très excitante en fait...
Alors que j'observais ses cuisses bronzées, la voiture roula dans un nid de poule et j'entendis un grand boum. Heureusement je ne roulais pas trop vite et je pu me garer rapidement. Le pneu avait éclaté, ce qui n'était pas trop grave, mais l'essieu avait bougé, ce qui l'était plus. Je ne pouvais pas changer la roue moi-même.
Je sortais mon téléphone portable pour appeler une dépanneuse, mais malheureusement pas de réseau! Le prochain village se trouvait à 5 km et nous y trouverions certainement un téléphone. Comme nous devisions avec mon épouse pour nous mettre en route à pied, un camion de transport de bois arrivait en sens inverse. Je lui fis des signes pour l'arrêter, et nous fûmes soulagés de le voir se ranger sur le bas-côté.
Un homme d'environ 55 ans, pas très grand et ventripotent dans son marcel en descendit. L'archétype du routier! Il nous demanda ce qui nous arrivait et comme je lui expliquais il me dit qu'il n'était pas étonné. La route n'est pratiquement empruntée que par des camions de bois surchargés, et les poids conjugué aux rigueurs de l'hiver provoquait tellement de ravages que la DDE avait renoncé à réparer. Il nous proposa de nous amener à un relais de transport forestier qui se trouvait un peu en retrait à 3 kilomètres, ou nous pourrions téléphoner, manger et même dormir si le dépannage prenait trop de temps. Il était vraiment sympa!
Bien sûr nous acceptâmes et il me dit de monter à droite de la banquette et que ma femme, la plus petite des deux se mettrait au milieu. Il faudrait se serrer un peu mais on n'en avait pas pour longtemps. Je m'installais et je remarquais que quand ma femme grimpa les marches pour s'asseoir il s'avança pour avoir une vue sur ses jambes et sa culotte. Je ne fis pas de remarque, je n'avais pas envie qu'il prenne la mouche pour si peu.
La cabine de son camion n'était pas bien grande et c'est vrai que nous étions serrés comma des sardines. Chaque fois qu'il passait une vitesse, sa main heurtait, involontairement mais plus certainement volontairement, le genou de mon épouse qui ne pouvait pas l'enlever. Je remarquais qu'il prenait aussi beaucoup de nid de poules et qu'il jetait, sous prétexte de me parler, des coups d'œil appuyés sur la poitrine de ma femme. Heureusement nous arrivions déjà, et alors qu'il engageait la marche arrière pour garer son camion, ma main frotta la jambe de ma femme un peu plus haut, jusqu'à mi cuisse, relevant même un peu la jupe. Il fit comme de rien n'était. Me femme tira sur sa robe, comme il descendait du véhicule.
Quand elle voulut descendre, il attendait toujours en bas, et soudain elle trébucha. Heureusement, le routier se trouvait là quand elle tomba et il put la récupérer dans ses bras. Il l'avait toutefois saisi par une fesse et par un sein, et il ne se gêna pas pour profiter de l'aubaine et pour flatter les rondeurs de mon épouse. Il la reposa à terre, et encore sous l'émotion de sa chute, elle ne parut pas s'être aperçu de quoique ce soit.
- Faut faire attention ma petite dame, faut dire que vos talons ne sont pas fait pour un camion.
- Oui, vous avez raison, merci de m'avoir rattrapée!
- Avec grand plaisir.
Nous nous sommes dirigés vers le bâtiment principal, qui semblait être un énorme chalet, tout en bois. Le parking était rempli d'une vingtaine de camion identique à celui de notre sauveur. Il y avait un bâtiment annexe qui semblait être des chambres, de style Motel.
Le routier nous expliqua que c'était le relais des forestiers. Les compagnies forestières s'étaient cotisées pour le construire et y avait installé un gérant pour que les chauffeurs puissent s'y arrêter pour pas cher. Le routier nous précéda dans le relais et nous découvrîmes une grande salle, à la fois bar, restaurant, salle de billard et de télé. Il y avait environ une vingtaine de routiers dans la salle.
Il salua plusieurs collègues et nous proposa de nous offrir une bière, bien sûr nous avons accepté. Il me dit qu'il y avait plusieurs cabines pour téléphoner près des toilettes. Je me dirigeais vers celle-ci pendant que les bières arrivaient et que ma femme restait en sa compagnie. Je passais plusieurs coups de fils à mon assurance, étant renvoyé d'un service à l'autre pour être finalement mis en relation avec un dépanneur local, mais qui était en intervention. Il fallait que je rappelle dans 1h.
Quand je revenais à la table, trois autres routiers s'étaient joints à ma femme et notre sauveur. Ce dernier me les présenta rapidement, il s'agissait de chauffeurs travaillant pour la même compagnie forestière que lui. Le premier était jeune, environ 25 ans, très maigre et petit. Le deuxième était une espèce de monsieur muscle au crâne rasé, tout à fait dans le style Monsieur propre. Le troisième avait environ 45 ans, portait une barbe sale et il lui manquait plusieurs dents. Je m'aperçus qu'il y avait déjà quelques verres de vide sur la table.
Comme je prenais le mien en expliquant le résultat de mes coups de fil, les hommes commandèrent une autre tournée. Comme je voulais la payer, il me dirent que je payerai la prochaine, puisqu'on avait le temps. Je bus rapidement ma première bière et attaquait la deuxième aussitôt. Ma femme me dit qu'elle en avait déjà bu trois, et qu'elle se sentait un peu saoule. Il faut dire qu'elle n'a pas beaucoup l'habitude de boire...
Les hommes trinquaient en portant des toasts à tout et n'importe quoi, les verres descendaient rapidement. En payant ma tournée, je m'aperçus que les bières étaient très bon marché, certainement subventionnées par les entreprises forestières.
Ma femme qui venait de finir sa cinquième bière me glissa qu'il fallait qu'elle aille aux toilettes et s'éloigna en chancelant sur ses talons compensés. Les hommes la suivirent du regard, je fis celui qui ne voyait rien. Je commençais d'ailleurs à être un peu saoul également, n'étant pas non plus habitué à boire autant en si peu de temps. Les routiers eux ne bronchaient pas, ils semblaient complètement normaux.
Mon épouse revint quelques instants après, toute rouge. Je lui demandais si ça allait, elle me dit que oui, mais qu'il n'y avait qu'un seul WC à la turque pour les hommes et les femmes avec une porte qui ne fermait pas bien. Et quand elle s'est mise à uriner, un homme à ouvert la porte. Elle l'a refermé immédiatement mais dans le mouvement elle a uriné sur sa culotte, qu'elle a été obligée d'enlever. Cela me fait rire, et pompette comme elle est, elle rit aussi.
Un des routiers nous propose alors de faire un billard. Mon épouse accepte, elle aime bien ce jeu. Je regarde l'heure et m'aperçois qu'il faut que je repasse un coup de téléphone au dépanneur. Je leur dit d'y aller que je jouerai la deuxième partie. Nous finissons nos bières et je me dirige vers la cabine de téléphone, pendant que ma femme et les routiers vont aux tables de billard, tout en recommandant une nouvelle tournée au passage.
Je suis maintenant complètement saoul et je me trompe de numéro trois fois avant d'avoir le dépanneur. Il me dit qu'il ne pourra pas venir ce soir car il a terminé son service et qu'il viendra à la première heure le lendemain. J'ai du mal à lui expliquer ou nous sommes et où est la voiture, mais après de longues minutes, il a compris. Il faut dire que j'avais du mal à avoir l'esprit clair. En passant au bar je demandais au patron, un géant d'au moins deux mètres et 150kg, s’il lui restait une chambre de libre et il me rassura en me disant qu'il m'en réservait une.
Quand je rejoins nos nouveaux amis au billard, c'est à ma femme de jouer. Je m'aperçois qu'un bouton de sa robe s'est défait, et que son décolleté est maintenant carrément obscène. Quand elle se penche pour jouer, ses deux gros globes apparaissent et si on est bien placé on doit pouvoir distinguer les tétons. Trois des routiers sont d'ailleurs juste en face d'elle. Bien sûr, elle ne s'est aperçue de rien. Alors que j'aurais dû intervenir pour qu'elle reboutonne sa robe, comme anesthésié par l'alcool, je n'ai rien dit. Après tout, sur la plage elle fait bien du sein nu, alors...
Tout à ces réflexions, je me retrouvais à nouveau avec un verre en main, une nouvelle tournée ayant été commandée. Mon épouse tenait à peine debout maintenant, s'appuyant régulièrement sur sa canne ou sur le billard pour ne pas tomber. La partie était serrée. Quand ce fût à nouveau à son tour de jouer, elle avait un coup difficile à faire, qui lui demandait de s'allonger sur le billard, à cause de sa petite taille.
L'équipe adverse lui dit qu'elle n'arriverait jamais à réussir le coup. Echaudée par l'alcool et le faible écart au score, elle dit qu'elle allait quand même tenter le coup, elle s'allongea sur la table et décolla même un pied du sol pour être mieux positionnée.
Elle avait simplement oublié qu'elle avait une robe courte et surtout qu'elle n'avait plus de culotte. Le résultat fut que sa robe se souleva, dévoilant le bas de ses fesses et ses lèvres intimes à la vue de tous ceux qui étaient derrière elle. On voyait même une partie de sa toison rousse. Toute concentrée à son coup, elle frappa la balle et la rentra, sautant de joie et exultant, tout en tapant dans la main de son partenaire. Tout avait été très vite, et je n'avais pas eu le temps d'intervenir.
Le coup réussi permit à l'équipe de ma femme de remporter la partie et plusieurs toasts furent encore portés. Ma femme me dit qu'elle me laissait la place et qu'elle allait s'asseoir car elle était un peu « pompette ». Complètement bourrée, oui...
J'entamais ma partie, ma femme paraissant dans un état second, à moitié endormie sur sa chaise. Elle se leva à un moment, me dit qu'elle se rendait aux toilettes, tituba légèrement et retomba sur sa chaise. Un routier bedonnant la soutint et lui permit de se relever. Il déclara qu'il l'accompagnait pour ne pas qu'elle s'écroule.
Je continuais ma partie, tout en buvant régulièrement, chaque fois qu'une des équipes rentrait une boule. J'étais à mon tour complètement bourré. J'avais perdu la notion du temps, mais quand la partie s'acheva, mon épouse n'était toujours pas revenue. Un peu inquiet, je me dirigeais d'un pas titubant vers les toilettes, que je trouvais vide.
Je demandais à un des routiers proche si il avait vu mon épouse, il me répondit qu'elle était peut-être dans notre chambre. J'allais uriner pour vidanger un peu toute la bière et me dirigeais vers la chambre. La porte était entrouverte et quand je la poussais, un spectacle hallucinant m'apparut.
Ma femme était allongée sur le dos sur le lit, sa robe déboutonnée jusqu'à la taille, dévoilant entièrement ses gros seins. Le routier qui nous avait secourus lui avait relevé les jambes sur ses épaules et était en train de la pilonner de son sexe épais, alors que deux de ses amis se masturbaient en caressant les seins de mon épouse. Celle-ci semblait presque endormie, le regard dans le vide.
Comme je m'approchais, le routier qui l'avait soutenu pour l'amener aux toilettes, et qui se trouvait derrière la porte, me prit par le bras :
- Écoute, on est déjà trois à se l'être tapée, mais y en a d'autres qui ont envie et on peut pas leur refuser, alors soit tu regardes gentiment, soit il va falloir qu'on te maîtrise.
- Mais comment est-ce possible?
- T'avais sans doute remarqué qu'elle nous allumait sans s'en rendre compte en nous montrant ses gros nichons et qu'elle n'avait pas de culotte, alors quand je l'ai amené aux toilettes, elle était pas bien fraîche. Quand elle a failli s'étaler par terre, je l'ai rattrapée en agrippant ses nichons, et elle n'a rien dit, alors je l'ai soutenu en continuant de lui tenir un sein dans ma main et en le sortant de la robe. Elle était tellement bourrée qu'elle ne se rendait compte de rien. On est rentrée aux chiottes et il y avait Robert et Guy qui pissaient, alors ils m'ont aidé à la mettre sur les toilettes en la tripotant bien sûr. Et on n'a pas fermé la porte pour la regarder pisser, les nibards à l'air et nous montrant sa jolie chatte rousse. Au bout de 2 minutes elle avait fini mais elle ne bougeait plus, alors on s'est occupé de lui essuyer la chatte en en profitant pour lui mettre des doigts, puis on l'a raccompagné à votre chambre et je l'ai baisé en premier. Elle bougeait pas, mais qu'est qu'elle est bonne, j'ai pas eu le temps de la limer longtemps, tellement elle m'avait échauffé et je lui giclé au fond de la chatte. Bon alors, tu nous laisse en profiter tranquillement?
- Oui...
- Je préfère ça, t'es sympa et je voulais pas que cela se passe mal entre nous.
Je ne sais pas ce qui m'a pris d'acquiescer, mais certainement le mélange de l'alcool, de la puissance érotique de la scène à laquelle j'assistais et du récit que le routier venait de faire ont eu raison de mes limites. Je dois même avouer que malgré l'alcool, j'étais pris d'une puissante érection.
André, le routier qui la besognait en ce moment commença à gémir, sortit son gros sexe et répandit sa semence sur la toison rousse de mon épouse tout en la traitant de salope, de pute...
La place laissée vide fût alors immédiatement investie par un des autres routiers qui se masturbait auparavant. Il ne fut pas long à venir et en poussant de gros râles et éjacula au fond de ma femme. Son compère n'eut pas le temps de la pénétrer et il rapprochât son sexe du visage de mon épouse et le recouvrit de sa liqueur épaisse et chaude et visant au maximum la bouche. Mon épouse ne réagissait toujours pas, étant comateuse.
Attiré par le bruit, le patron fît alors irruption dans la chambre.
- Qu'est-ce qui se passe ici? Ce motel n'est pas un bordel!
- Calme toi Jeff, c'est pas une pute et un mac, c'est un couple « libéré »
- Ah, ok, alors dans ce cas-là, pas de raison que je n'en profite pas hein?
- Vas-y, fais-toi plaisir!
Je n'en revenais pas, c'est de ma femme qu'ils parlaient!
Sans attendre, le géant défit son ceinturon, baissa son pantalon et son slip. Sa verge, en semi érection, paraissait démesurée. Peut-être vingt-cinq centimètres. Après quelques allers retours avec sa main, elle se retrouva complètement bandée, ayant encore gagné en longueur et étant d'une épaisseur impressionnante. Son gland, rouge violacé, était gros comme une mandarine. Il le présenta à l'entrée de l'intimité de mon épouse, et même si elle avait vu passer dans la dernière heure plusieurs sexes, et qu'elle était lubrifiée par la semence déversée, le gland ne parvenait pas à pénétrer.
Il saisit les deux jambes de mon épouse, les écartela au maximum et s'appuya de tout son poids. L'entrée résista encore un peu mais soudain le gland disparût dans son intégralité. Il commença alors des va et vient de plus en plus profonds, enfonçant chaque fois un peu plus la colonne de chair dans le vagin de ma femme. Il réussit à la faire pénétrer entièrement, je me demande comment cette énorme verge pouvait contenir dans le ventre de ma femme. Elle était toujours amorphe et le patron commença à accélérer la cadence. Il l traitait de tous les noms en la limant comme elle n'avait jamais été. A un moment, mon épouse fût prise de convulsion. Elle venait de jouir dans son sommeil comateux, comme l'attestait la cyprine dégoulinant le long de ses lèvres intimes.
- Regarde comme ta salope de femme aime se prendre des grosses bites. Même dans son sommeil elle aime la bite! Tu l'as bien eu Guy?
- Oui en gros plan!
En tournant la tête, je m'aperçus que le dénommé Guy avait sorti son téléphone portable et filmé la scène. Au point où nous en étions...
Le patron sortit alors son membre gigantesque et retourna ma femme sur le ventre. Elle ne broncha pas. Il lui releva les fesses et entreprit de la pénétrer en levrette, de plus en plus violemment. Il profita de la position pour lui pénétrer l'anus avec le pouce, en utilisant le mélange de sperme te de cyprine comme lubrifiant.
- Et bien ta salope de femme doit pas avoir eu beaucoup l'occasion de se faire enculer...Sa rondelle est bien serrée!
- Non, je ne l'ai jamais sodomisée.
- Et bien il y a un début à tout, mais on va pas commencer par moi, sinon elle va en crever!
Tout en continuant de la besogner, il fit rentrer deux de ses énormes doigts dans l'anus de ma femme en les faisant coulisser de tout leur long. Il commença à pousser des han de bûcheron et à accélérer encore le rythme. Il sortit alors son pieu du fondement de mon épouse et présenta son gland à l'entrée de l'anus dans lequel il éjacula après avoir enlevé ses doigts.
-Allez à toi André, agrandit lui le trou
André présenta son sexe à nouveau gonflé de désir à l'entrée de l'anus de mon épouse, frotta son gland contre le sperme étalée et appuya de tout son poids. L'anneau résista un petit moment, puis se détendit et s'ouvrit, laissant pénétrer en son sein le membre érigé.
- Je savais que cette salope allait se laisser enculer
- Quand on y sera tous passé dessus, tu pourras lui défoncer le cul quand tu voudras, elle sentira plus rien passer.
Je voyais en gros plan l'anus de ma femme distendu, subir les coups de butoir du routier. Il se cramponnait à ses fesses et la sodomisait violemment en poussant des cris roques. Au bout de 4 ou 5 minutes, il lui inonda le fondement de semence chaude et se retira, aussitôt remplacé par un de ses compères. Ils la besognèrent ainsi chacun leur tour.
Quand vint le tour du patron, malgré les multiples pénétrations que l'anus de mon épouse avait subi, il eut du mal à la pénétrer, tant son membre était phénoménal. Il demanda à ses collègues de lui écarter les fesses, et tenant sa verge à mi-hauteur, appuya sur la rondelle récalcitrante. Soudain, le gland énorme fut comme aspiré et la colonne de chair pénétra d'un coup. Dans son inconscience, ma femme poussait de petits cris, mélange de douleur et de plaisir, peut-être.
Une fois empalé profondément, le patron souleva mon épouse comme un fétu de paille, s'allongea sur le lit en la tenant au-dessus de lui, nous présentant sa poitrine et son sexe écartelé. Répondant à l'invitation silencieuse, un des routiers s'avança et lui pénétra le sexe, lui prodiguant la première double pénétration de sa vie. Pendant que le patron continuait à la besogner comme un damné, ils se succédèrent un après l'autre et je dois avouer que cette fois ci je pris mon tour, jouissant comme jamais je ne l'avais fait. Quand nous eûmes tous finit, le patron se retira de son fourreau.
L'anus était distendu à un tel point que l'on pouvait voir profondément à l'intérieur, il retourna ma femme et se positionna au-dessus de son visage
Il éjacula dessus en déversant une quantité de sperme incroyable. L'intégralité du visage de mon épouse était maculé par le sperme, du front jusqu'au menton. De grosse trainée coulaient de ses lèvres dans sa bouche entrouverte. Il essuya son gland aux cheveux roux de ma femme et nous laissèrent seuls.
J'en profitais pour la sodomiser, n'étant pas sur que je pourrais le refaire un jour et je lui éjaculais aussi sur le visage. Après cela je la déshabillais complètement, la lavais et la mettais au lit.
Le lendemain, nous n'avons pas prononcé un mot au sujet de la soirée, mais je voyais bien que pendant quelques jours elle a eu du mal à s'assoir...

 


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