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Les brèves du net. Auteur Dominiknic. Ah le bon vieux temps.

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Deux petits textes sympa.
Pour rappeler aux jeunots.
Ce que l'on pouvait faire avant.
Mais c'était avant... Soupir...


Le 14 juillet du Bicentenaire à Paris
Ceci est le récit de Marc, le mari.
Pendant le feu d'artifice du 14 juillet à Paris, Myriam, ma femme, s'est faite baisée debout à côté de moi, par un type derrière elle... Je n'avais pas compris tout de suite ce qui se passait exactement, je la sentis d'abord me serrer le bras, son regard un peu lointain puis elle se mit à respirer de façon plus rapide, ses yeux chaviraient et elle poussait de très faibles gémissement de plaisir...
J'ai su ce qui s'était réellement passe, car elle m'a tout raconté en détails par la suite... C'est lors d'un moment de fatigue, me dit-elle, nous étions debout sans bouger depuis environ 2h 30, pour avoir les meilleures places. Elle s'est laisser aller légèrement en arrière et ses fesses se sont appuyées sur le type derrière. Un type plutôt jeune environ 30 ans, un beau brun qui bandait énormément... Elle se remit debout mais fut très troublée de ce qui venait de se passer... Le gars profitant sans doute d'un peu de bousculade, et de l'obscurité qui nous enveloppait désormais, la serra par derrière et lui fit sentir son gigantesque engin sur le haut des fesses et sur le bas du dos, car il était un peu plus grand qu'elle...
La puissance du gars la troublait, elle ne dégagea pas, au contraire, et se laissa aller contre lui... Elle sentait les couilles très grosses lui rouler sur les fesses et le gars se frottait de plus en plus... Excitée, troublée, sans pouvoir rien maîtriser, elle sentit qu'elle avait une brève décharge dans son slip et elle sentait sa fente devenir chaude et se mouiller... Ce manège très discret du jeune homme dura ainsi quelques minutes, en tout cas un certain temps car elle sentait de plus en plus de précision la virilité du type... Elle déchargea encore à 2 ou 3 reprises ce qui eut pour conséquence de mouiller sa petite culotte de plus en plus...
Un moment elle n'y tint plus : elle glissa sa main droite derrière son dos pour aller tâter et sentir la bite du type... Le gars devait être très sûr de lui, car il n'avait rien tenté d'autres que de se coller aux fesses de Myriam. Il était sans doute sûr de son fait et savait que cela allait arriver ; qu'elle allait tendre la main pour prendre la mesure de la virilité du "presseur"... Elle ne fut pas déçue, le mec était monté comme un baudet...
Sans hâte, mais avec une habileté que je lui connaissais bien, elle avait descendu la fermeture éclair et empoignait le vit énorme du type à travers le slip... Puis de sa menotte, elle parcourut toute la hauteur de l'organe, des couilles profondes et grosses, jusqu'au bout de la bite... Ensuite ses doigts s'insinuèrent à l'intérieur du slip, sa main s'empara du braquemart, tâta le gland fort et large et descendit sur la hampe, et elle commença à le branler doucement, très doucement...
Profitant de l'obscurité, le jeune type avait passé sa main par derrière et sur le côté de la légère robe d'été de Myriam, bien sûr à l'opposé du côté où j'étais ... Moi, j'étais à la gauche de ma femme, donc le gars de sa main droite pouvait lui peloter les fesses, passer entre ses jambes, contourner le bord du léger slip de dentelles blanches et s'insinuer dans la chatte brûlante, même sans doute aller jusqu'au trou du con et lustrer le clitoris...
Cet échange de bons procédés entre eux dura de belles minutes durant lesquelles la jolie Myriam coulait abondamment du minou. Puis le mec avait dû, toujours d'une main, faire descendre le slip de quelques centimètres en le tirant par le fond... Ce qui ménageait un espace par lequel il introduisit sa bite, la robe relevée de Myriam retombant juste sur la racine de son sexe... La petite cochonne prit donc en main l'énorme mandrin (elle me l'a dit aussi ensuite, qui devait faire entre 22 et 25cm et pas moins de 6 de diamètre...) et le passa sur toute la longueur de son entrejambe, depuis la raie des fesses et la rosette qui se frottaient à la base de la hampe jusqu'au clito, en passant par le trou de son vagin et les petites lèvres... Le gars était tellement monté que lorsque le repli du gland frottait à sa base le clito, tout le gland était en avant de la vulve et venait déformer le devant du slip...
J'avais bien remarqué qu'à un moment Myriam portait la main à son pubis et le pressait un peu, mais je ne voyais rien de précis pensant qu'elle devait avoir envie de faire pipi et c'était une façon de faire taire un moment son envie... En réalité pas du tout, de sa main droite qu'elle avait ramené devant, elle tournait en le frottant le bout du gland qui dépassait en avant de son clito et déformait son slip...
Un moment, le mec retira un peu son engin de l'entrejambes en se décollant des fesses de la jeune femme. Cela lui permis d'amener le bout du gland à hauteur du trou à bites de la jolie salope, et là dans un mouvement de fléchissement des jambes et d'un petit coup de reins, il enconna la belle...
Le feu d'artifice venait de commencer et les fusées partaient en l'air avec des sifflements et des éclatements... C'est à cet instant qu'elle me serra le bras... Sur le moment, j'ai pensé qu'à ce moment elle avait perdu l'équilibre et qu'elle se rattrapait à moi... En fait elle avait plutôt gagné quelque chose que perdu : un bel engin dans sa chatte... Habilement le type lui avait passé sa main droite sous la cuisse droite et il lui soulevait ainsi la jambe, ce qui facilitait évidemment la pénétration de son braquemart dans l'antre de ma femme...Le gars la pistonnait avec ferveur, mais très lentement et sans à coups ce qui fit durer les choses...
Elle m'avoua par la suite que ce va et vient lui était, à elle-même, à peine perceptible tant le jeune homme y allait avec précaution. Avec la base de son vit énorme et épais, il lui branlait le trou du cul ce qu'elle adore et ce qui l'avait fait mouiller et décharger... Elle sentait qu'elle déversait des torrents de cyprine sur le pieu du type et qu'elle déchargeait en continu... Elle se faisait baiser comme jamais au milieu d'une foule de milliers de personnes, cela l'excitait énormément, en plus du reste... Je remarquais bien son air bizarre, mais le feu d'artifice battait son plein et j'étais comme tout le monde, fasciné par les couleurs et les bruits et puis surtout, j'étais à cent lieues de me douter que...
Bientôt tout fut consumé avant que j'ai pu m'en apercevoir. Le type déconnant sa bite du trou de Myriam déchargeait avec une abondance extrême dans la culotte de dentelle au niveau de l'avant et du fond du slip de la belle cochonne. Myriam me dit avoir eu à cet instant, un orgasme violent et avoir jouit elle aussi. Pa son trou de femme, elle aussi déchargeant et elle dégoulinait en même temps, mêlant sa cyprine au foutre du type. C'est à ce moment que ses yeux chavirèrent et qu'elle s'agrippa à moi avec des gémissements...
Après un bref instant durant lequel je crû qu'elle avait un malaise du à la fatigue et qu'elle se trouvait mal, brusquement je compris : un gars lui branlait le con et elle aimait cela, la salope!... J'étais encore à cent lieues de la vérité. Prestement, je remontais la robe d'été de Myriam et je fourrais ma main sous le tissu. Ma main rencontra le bout d'un pieu énorme, mouillé, gluant et chaud, à travers le tissu de la culotte de Myriam... Je pensais immédiatement à un god qu'un salaud lui aurait mis... Je retirais ma main et me retournais pour voir derrière Myriam, mais trop tard! Le gars avait avec la rapidité de l'éclair disparut dans la foule qui se pressait vers les premiers rangs et dans la nuit, rengainant sans doute son matériel sans demander son reste... Le suivre? C'était ne plus pouvoir revenir vers Myriam dans cette cohue... Et puis qu'aurais-je fais de plus? Je pris Myriam par les épaules et la regardais bien en face... Elle était magnifique de plaisir, les pommettes rosies par la jouissance. Je n'eus pas le courage de la gronder et je lui dis simplement :
- T'es quand même une belle salope!!" et je l'attirais dans mes bras et la serrais avec amour, incapable de lui faire la moindre remontrance, j'ajoutais  T'as été heureuse au moins?!
Elle acquiesça en silence en hochant la tête comme une petite fille coupable et me fit son beau sourire auquel je ne résiste pas et que je lui connais bien. Je la repris dans les bras et l'embrassa sur la bouche. Puis, par devant, je plongeais de nouveau la main sous sa robe et là je vis l'ampleur du déluge : sa culotte pendait largement entre ses jambes, mouillée, imbibée et gluante de foutre et de cyprine. Les poils de sa chatte et du pubis étaient collés et gras de foutre. Le long de chacune de ses cuisses, à l'intérieur, la cyprine qu'elle avait déchargée, avait coulé formant plusieurs filets tant elle était abondante, mêlée sans doute au foutre du mec, et que le slip non appliqué à l'entrejambes n'avait pu contenir... Comme prise en faute, elle ne broncha pas pendant mon investigation. Celle-ci devait même l'exciter car elle frissonna et eut une velléité d'orgasme, puis elle me rendit mon baiser avec ferveur...
Le feu d'artifice s'achevait dans un déluge de feu et de pétards. Nous avons regagné l'hôtel sans un mot. Arrivé à la chambre, je lui ai fait une toilette intime, très minutieuse et coquine, lui demandant de me conter par le menu les détails de l'histoire que je viens de rapporter. Puis sentant que de faire ce récit l'excitait de plus en plus, je la fis allonger sur le lit et je lui suçais et léchais la fente avec une dextérité et une ferveur rares. Ensuite nous avons fait l'amour comme jamais... Elle en a joui sans tricher, énormément et longuement... J'ai déchargé bien au fond d'elle pour la calmer de la frustration de l'autre éjaculation qui lui avait souillé toute la fente et le pubis sans venir lui combler le trou à bites... Elle a jouit encore de mon sperme en elle... Puis nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre...
Je sais qu'elle a passé, et moi aussi indirectement, un merveilleux 14 juillet et qu'elle aura un souvenir tout particulier de ce bicentenaire, en terme de bi... centenaire!!...
Et heureusement encore, c'était avant les années sida!"
Paris, 14 juillet 1989.


Vacances au "Club Med"
Ma Chère Cathy,
Comme tu vois, je ne perds pas de temps pour t'écrire dès mon retour de vacances... Ces quelques jours passés en Italie m'ont fait beaucoup de bien. Moi qui craignais un peu de partir dans un club, je reviens ravie...
Tu te souviens combien j'étais crevée et combien j'avais besoin de prendre des vacances... Nous venions de finir d'installer notre commerce et nous étions décidés à partir en Italie par le "Club Med'". Mais mon mari s'est dit que finalement, il ne pouvait s'absenter si tôt après cette ouverture, et a décidé de rester... C'est donc seule que je suis partie pour Napitia, en Calabre.
J'étais déjà allée plusieurs fois en Italie, mais c'était la première fois, tu le sais, que j'y allais dans un club et seule. En effet, je n'aurais pas eu le temps, ni le courage, d'organiser un voyage par mes propres moyens comme je le faisais auparavant... Je souhaitais surtout me reposer... L'ambiance de club de Napitia n'était pas désagréable; c'était celle de beaucoup de clubs de vacances : On va sur la plage quelques heures l'après-midi, petit cocktail sur les bords de la piscine à partir de 17 - 18 heures, dîner un peu tardif, souvent agrémenté d'un spectacle, puis l'on termine dans l'une des deux boites de nuit du club... Après cela, on dormait souvent jusqu'à midi... Ce fut mon programme dès le premier jour. Je fis quelques connaissances, surtout parmi les couples car il y avait peu de "célibataires" et de plus, ceux-ci ne m'inspiraient pas vraiment.
Le soir en boite, je ne fus cependant pas longtemps seule, car les employés Italiens et Grecs du club (plagistes, moniteurs, barmen, etc...) passaient évidemment toutes leurs soirées là. Tous parlaient très bien le Français et se montraient toujours très aimables avec la clientèle. Je dansai avec plusieurs d'entre eux, puis sans que j'aie vraiment fait un choix (mais peut-être en avaient-ils fait un, entre eux?), Georgio, un moniteur de voile séduisant et bronzé (la " caricature " de l'athlète Grec!), se montra plus persévérant et je flirtais un peu avec lui... Il me caressait et me tripotait gentiment au travers de la robe légère que je portais. Il faisait encore chaud, même la nuit et on ne portait pas grand chose.... Sur le coup de trois heures du matin, je me dis qu'il fallait quand même que j'aille me reposer et je pris congé... J'eus droit à un long baiser auquel je me prêtais volontiers...
Il faisait très chaud dans le bungalow que j'occupais au point que je fus tentée d'aller dormir sur la plage, mais je n'en eus pas vraiment le courage... Me demandant si je parviendrais à dormir malgré cette chaleur, je me mis complètement nue et m'allongeai sur le large lit très bas.
J'étais ainsi étendue depuis une dizaine de minutes, me demandant si j'allais réussir à trouver le sommeil, lorsque j'entendis frapper à la porte du bungalow.
- Oui?... Qui est-ce?
- C'est Georgio... " me répondit mon cavalier de tout à l'heure.
Cela ne m'étonna pas vraiment ; c'était assez dans leurs façons de faire...
- Je peux entrer? " Insista la voix.
Je n'hésitai pas vraiment, car sans être venue dans ce club pour baiser, je n'avais pas non plus l'intention de faire œuvre de chasteté pendant toute une semaine. Une aventure sans lendemain, sans problème, se présentait, pourquoi la refuser...
- Oui, entre ... " lui dis-je, sans même prendre la peine de me couvrir d'un drap.
Après tout, en le laissant entrer à cette heure dans ma chambre, nous savions tous les deux ce que nous faisions... Enfin " tous les deux " c'est une expression, car lorsque la porte s'ouvrit et qu'il entra, je ne tardai pas à me rendre compte que d'autres ombres accompagnaient la sienne.
- Mais tu n'es pas seul!..." m'exclamais-je, car, par contre, je ne m'attendais pas à cela.
- Oui..." me répondit-il d'une voix douce, " J'ai amené quelques amis "
- Des amis!... Mais... Mais pourquoi?
D'une voix toujours aussi calme et douce, il me dit:
- C'est le cadeau que l'on réserve aux femmes mariées... qui viennent ici sans leur mari... Un cadeau pour leur faire un beau souvenir de vacances... ".
Cela aurait pu me choquer mais il m'avait dit ça si gentiment que je ne pus m'empêcher d'en sourire. Je me redressais dans le lit jusqu'à me retrouver à genoux au milieu des draps. Cinq... Ils étaient cinq... Pas tous aussi beaux que Georgio mais pas mal quand même....
Ils s'étaient placés de chaque côté du lit et m'entouraient maintenant. Tous sans exception, avaient sorti leurs sexes par leurs braguettes. Tous ne bandaient pas mais je m'aperçus que tous les cinq avaient un membre plus imposant que celui de mon mari, soit en longueur, soit en grosseur, soit souvent les deux... Ce n'était pas pour me déplaire ; tant qu'à le tromper, autant que cela en vaille la peine...
- Ah oui... Un souvenir... Et vous offrez cela à toutes les femmes mariées qui viennent ici seules?
- A pas mal, oui... Surtout si comme toi, elles sont mignonnes..." me dit Georgio. Puis un autre ajouta :
- Et surtout si elles ont l'air d'aimer ça!... ".
Je souris et pour montrer qu'il avait vu juste, je pris une bite dans chaque main. Je me mis à branler doucement l'une d'elles et avant que de commencer à sucer l'autre, je posai la question qui me brûlait les lèvres:
- Et vous trouvez que j'ai l'air d'aimer ça?... "
Ils rirent de ma question et l'un d'eux, sans doute plus courageux que les autres me dit:
- Oui... Tu as une jolie petite gueule de salope!... ".
Je ne sais pourquoi mais sa remarque m'excita et sans doute à cause de cela, j'engouffrais la bite que je suçais le plus loin que je pus, durant un bref moment. J'entendis l'homme gémir... Alors, reprenant mon souffle, je dis:
- Vous trouvez que j'ai l'air d'une pute?... ".
La réponse ne se fit pas attendre :
- D'une pute non!... Mais d'une salope, ça c'est sûr...! ".
 Il y eut de nouveau un éclat de rire, puis les types commençant à prendre de l'assurance, l'un d'eux s'exclama :
- Ah les mecs ça va être la fête! ".
Ce qu'un autre corrigea par :
- Ca va être SA fête...! ".
- Je veux être le second à me faire sucer..." dit encore un troisième...
- Et moi, je vais aller goûter cette petite..." dit un autre en s'allongeant sur le lit et en glissant sa tête entre mes cuisses.
Je suçais toujours les deux autres, alternant la fellation de l'un pendant que je branlais l'autre.
- Pompe-moi bien le dard! " me dit le type dont j'avais la bite dans la bouche et il me l'enfonça jusqu'aux amygdales...
 J'en suffoquais un moment puis me mis à gémir.
- Prends-moi dans ta bouche moi aussi..." me demanda un autre qui s'était approché, le sexe sorti et dressé à la main.
Je me mis à pomper les trois bites alternativement. La bouche de celui qui s'était glissé entre mes cuisses était loin de me laisser indifférente... Bientôt cela devint même très sensible et je dus abandonner un court instant mes fellations pour pousser un râle libérateur... Avant que de ré-enfourner leurs queues je lui dis :
- Ah oui... Lèche moi bien...Ah...hum...huummm... C'est bon!!"
- Pipe!... Continue à piper..." me dirent les autres, me bâillonnant en m'enfonçant leur bite de nouveau dans la bouche.
Très excitée je me mis à les pomper avidement, comme une vraie professionnelle... L'un des types se mit à son tour à gémir :
- Ah putain, la salope!... Ah oui, elle va me faire jouir... Ah, je vais te ventouser la chatte, moi, tu vas-voir!!... Je vais te faire monter au septième ciel!...
Mon suceur céda volontiers la place et dit :
- La place est libre, je te la laisse... A mon tour de me faire pomper le poireau!... ".
Dès que l'autre eut installé sa tête entre mes cuisses, il s'exclama :
- Ah... C'est pas une chatte ça!... C'est les grandes eaux... ".
Et je me rendais bien compte qu'il avait raison... Je mouillais comme une folle. Dès qu'il se mit à me bouffer le coquillage, un premier orgasme me submergea... :
- Oh oui...oui!... Oh!... Oooohhh!... Comme c'est bon!... Aaahh!... Aaaahhh!".
Je tremblais de tout mon corps secouée par le plaisir.
- Ah oui les mecs, elle est chaude... Elle est chaude!".
Dès que l'orgasme s'estompa un peu j'engouffrais dans ma bouche la première bite qui se présentait... L'homme parut apprécier...
- Ah oui... Tu me turlutte comme une vraie pute! " me dit-il.
Il se mit à gémir puis dit à ses compagnons :
- Et bien, il n'y en a pas un pour la culbuter?...
- Moi... Je vais lui défoncer la chatte... " dit Georgio.
Mais comme il voulait que je continue à sucer les autres, il se glissa entre mes cuisses et me fit m'empaler sur sa bite dressée. Elle était plutôt grosse et bien raide... Mais dans l'état où j'étais je n'eus aucun mal pour l'accueillir en moi... Mon con accueillant et trempé dut lui plaire car il s'exclama :
- Hum... On est bien là dedans... ". Comme tout cela était bon.
Je leur dis à mon tour :
- Ah vous savez divertir les femmes mariées, messieurs les moniteurs... Hum... Donne-moi encore ta bite toi, j'en veux plein la bouche...
- Ah vous me faites bander comme un dingue! " s'exclama Georgio, j'ai la queue dressée sur le nombril ".
Et il ne mentait pas ; j'avais rarement senti dans le plus profond de mon trou, une bite aussi raide et aussi tendue. Je montais et descendais sur elle comme sur un pieu d'acier. Son gland dur me cognait au fond du con ouvert comme jamais et un second orgasme, plus fort que le premier, me fit me tendre et trembler de tout mon corps.
- Ah les mecs..." soupira Georgio, je ne vous dis pas comme c'est bon, j'en ai les couilles trempées... Ahhh!...".
J'étais ruisselante de sueur, mais le plaisir et le désir ne cessaient de croître.
- Ah tais-toi et baise moi fort! " m'exclamais-je, et je me mis à le chevaucher comme une furie, montant et descendant violemment sur toute la longueur de sa bite dressée...
J'avais pris appui de mes mains sur ses cuisses bronzées et je me soulevais jusqu'à presque ressortir sa bite de mon con pour me laisser retomber de toute mes forces, m'empaler violemment sur sa queue si raide...
En cet instant-là, je ne voyais même plus les autres, je ne voulais qu'une chose : me défoncer...! Me planter de toutes mes forces sur cette bite, à m'en faire mal, jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus, jusqu'à ce qu'il crache! Je m'empalais à fond, à lui en écraser les couilles...
- Changez de position..." dit une voix, je veux voir son cul ma jolie... ".
Je me contentais de me retourner face à Georgio mais restais empalé sur lui... Cette position lui laissait plus de liberté, et c'est lui qui se mit alors à aller et venir en moi. Cette bite qui montait et descendait en moi, c'était si bon, que je m'entendis leur dire :
-  Oh c'est bon... Oh oui... Je ferai tout ce que vous voudrez, tout...
- Ah ce cul!... " dit un des types, derrière moi, oui vas-y! Déchire-lui le minou!... Défonce-la!... "
Mais Georgio ne voulait pas encore jouir. Ils me firent me mettre sur le côté... Et tandis que deux d'entre eux me donnaient leurs bites à sucer, un autre, celui qui avait sans conteste le plus gros braquemart, se plaça entre mes cuisses et me pénétra...
Sa grosse bite s'enfonça en moi sous les yeux des autres... J'étais honteuse d'accueillir si facilement un pareil morceau, mais aussi tellement excitée!... De sa main, le type me forçait à écarter les cuisses au maximum et me limait d'un mouvement puissant... Je me mis à gémir comme une folle...
- Ah! Elle est déchaînée..." s'exclama un autre, j'ai une de ces gaules!".
Ils me firent alors me mettre à quatre pattes en travers du lit... Deux étaient devant moi pour se faire sucer et les autres, derrière. La queue qui me pénétra alors et se mit à aller et venir en moi me prenait si complètement que son paquet de couilles venait claquer contre mes cuisses. Je jouis une nouvelle fois violemment en tremblant de tout mon corps... En revenant à moi, j'étais encore si excitée que je m'entendis lui demander :
- Ah! Je suis toute ouverte... Bon Dieu que j'aime!... Ah, sodomise-moi s'il te plaît... Prends-moi dans le cul".
Il ne se fit pas prier. Je le sentis empoigner son membre et me le darder entre les fesses. Son gland était gros et forçait contre mon anus... Je ne pouvais plus me retenir :
- Oui, vas-y... Enfonce-la moi!... Vas-y, bien à fond!... N'aies pas peur de me faire mal... Oh ouiiiiiii!!... ".
La grosse queue s'enfonça entre mes fesses et immédiatement le type se mit à aller et venir de toute sa longueur. Son paquet de couilles cognait contre mes fesses maintenant. Une bite s'enfonça dans ma bouche tandis qu'une main fouillait mon sexe ouvert en y tournant trois de ses doigts.
- Vas-y, défonce la!..." s'exclama un des hommes, et mon enculeur accéléra encore le rythme, me défonçant, me bourrant le cul, de toute ses forces... Je gémis et jouis... Encore... Je haletais:
- Oui... Ouuiii!... Vas-y... A fond... Ouuiiii!!! "
- Elle aime ça cette chienne...
- Ah oui... oui... j'adore ma faire baiser par tous les trous... ".
L'homme accéléra brusquement et me bourra le cul pendant plus d'une minute au rythme d'un piston de locomotive... J'en hurlais de plaisir...
Ils me remirent alors sur le côté et le type à la très grosse bite me prit à nouveau, mais par le cul cette fois... Je compris pourquoi ils semblaient tant affectionner cette position en voyant tous leurs yeux fixés sur cette grosse bite qui allait et venait dans mon cul... C'était à coup sûr, la position qui leur permettait le mieux de VOIR...
Il me ramona ainsi le cul pendant plus de dix minutes, puis il se mit sur le dos, bite dressée, et je dus m'empaler sur son énorme sexe dressé, tout en maintenant mes cuisses bien écartées, afin qu'ils voient tout... Mon clitoris dardait ; un des types le caressa et le branla... J'eus un orgasme fulgurant qui me fit hurler et décharger de longs jets de cyprine chaude...
Mon anus se contracta si fort sur la grosse bite que le type n'y résista pas... Sa queue se tendit, vibra et je le sentis éjaculer au fond de mon cul en deux ou trois belles giclées successives... Les autres non plus n'en pouvaient plus; ils se branlaient tous au dessus de mon visage... le sperme giclait de partout! J'en recevais sur le visage, dans la bouche, sur les seins, le ventre... J'étais comme folle, maculée de semence chaude, je les suçais encore, leur arrachant leurs dernières gouttes, les obligeant à se branler et à se vider les couilles sur moi, bien à fond...
Ah... Ma Chérie, je te raconterais bien la suite tant je me laisse facilement emporter par ces confidences que je te fais, mais mon mari ne va pas tarder à rentrer et je ne veux pas qu'il me trouve encore en train d'écrire... Surtout d'écrire cela... J'ai juste le temps de me branler avant qu'il n'arrive tant de t'avoir écrit cela, m'a excité!...
J'espère que la lecture de ces lignes t'inspirera la même chose!...
Je te fais mille bises...
Ton amie Sophie...

 


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