Quantcast
Channel: Chez Andre 112
Viewing all articles
Browse latest Browse all 2644

Histoire du net. Auteur: Charles. Un des temples gay.

$
0
0

C'est un des derniers temples de la baise homos..
A Pigalle. Réservé aux lopes assumées.
Et avant c'était sans capotes la-bas.
Époque sans SIDA. Une autre planète...

 

Lopette à l’Atlas
Auteur : Charles

La nuit, c’est connu, toutes les chiennes sont grises. À vrai dire, les chiennes, les vraies n’ont pas de moment particulier pour faire ce qu’elles ont à faire. Je suis une chienne! Une bonne dit-on! J’adore hanter les lieux les plus crades pour y faire des rencontres tout aussi crades... L’Atlas est un de ces lieux!
Pour tout dire, je suis marié et clerc de notaire. Belle réussite dans la vie! Mon cul, oui! Le boulot m’emmerde royalement et ma pauvre femme n’avait pas mérité de tomber sur moi. Depuis trois ans, j’ai «glissé» de «bi» à «gay 100%». Nous n’avons plus aucun rapport et elle me pose des questions... Elle en a bien le droit! Parfois, je pense à mes amis, mes voisins, ma famille. Ils tomberaient de haut s'ils découvraient que le notable qu'ils connaissent est une salope, une truie en chaleur.
Comme j’ai une profession très en vue et que je suis très connu dans la région, je dois être prudent. J’ai donc peu de relations près de chez moi et je profite de mes passages à Paris pour me faire «sauter» à l’Atlas. Les connaisseurs savent que c’est un lieu de rencontres aussi sordide que connu pour mecs en manque. Des mecs de toutes sortes mais essentiellement d’un âge avancé et souvent étrangers. C’est là, dans l’obscurité, qu’ils viennent se soulager comme des animaux.
Avec mes 38 ans et mon allure encore jeune, je suis une proie pour la plupart des mâles qui fréquentent l’Atlas. Je sais fort bien que pour ces hommes, je ne suis qu’un trou, une bouche à aspirer, un vide couilles. Mon état de lopette – c’est le nom qui me convient le mieux – j’ai mis un certain temps à l’assumer. En analysant mon parcours, je comprends ce qui m’a amené à cet état. Brimades, humiliations pendant mon adolescence. J’étais fragile et féminin (sans être une folle). Quand l’heure est venue d’avoir des relations sexuelles, j’ai tout de suite trouvé ma voie dans les pratiques sado-maso. Je me suis mis à rechercher des partenaires sévères et dominatrices. J'ai cru avoir trouvé ma voie mais je me trompais. Je me suis vite lassé des femmes habillées de latex et munies de fouets.
Ma quête sexuelle a été dure mais, dieu merci, elle n’a pas influé négativement sur la réussite de mes études et le début de ma carrière. Étant donné que j’ai toujours été une pute dans l'âme, j’ai su utiliser la promotion canapé. J'ai couché avec deux de mes professeurs, le Directeur d’une de mes Facultés et mon premier patron. Si ça ne m’a pas autorisé à ne rien foutre dans mes études, ça m'a tout de même aidé.
J’arrive à l’Atlas et je sens de nombreux regards qui me déshabillent. Je suis connu pour ce que je suis. Mon nom est sur de nombreuses lèvres: «garage à bites"! Je reconnais des visages, les habitués! Ici, je ne vais pas trouver des Top-modèles mais des hommes murs, des retraités, des gros vicieux prêts à tout, des fonctionnaires qui viennent se soulager en cachette... Les hommes – je veux parler des «actifs»! - ici sont presque tous des hétéros. Les autres qui se font «fourrer à la crème» comme moi, sont des gays ou des refoulés. Ici, donc, les mecs ne pensent qu'avec leur bite et leurs couilles.
Je suis entré dans la deuxième salle et les odeurs m’agressent. Quand le parle de crade, je ne mens pas. Ça sent le fauve ici! À l’Atlas, faites attention quand vous vous asseyez! Passez votre main sur le siège! Du sperme, il y en a partout. Séché ou encore frais, sur le sol, les murs ou sur les sièges. C’est crade mais ça m’excite!
Je lève les yeux et regarde un moment le film. Un vieux film hétéro où les acteurs ont un look des années 80. Ils s’emmêlent en poussant des cris d'accouplement. Au bout de deux minutes, la femme crie: «Ouiiiiiiiiiiii, plus profond... Je veux la sentir au fond!» On n’est pas dans un ciné-club! Pas besoin de dialogue. Les images se limitent le plus souvent à des plans serrés de bites, de chattes, de pénétrations ou de fellations.
Mes yeux se sont habitués à la pénombre et je me glisse à ma place habituelle, au fond à droite. Je retire mon polo et mon pantalon que je roule et cache sous un fauteuil. Je ne porte pas de slip – ça fait un truc en moins à enlever - mais je suis en jockstrap noir, le trou du cul à l’air. J’adore porter cette tenue pour faire la salope. Je m’assieds un moment pour faire un état des lieux. D'autres salopes sont déjà là et déjà au travail. Il y a même deux travestis. Que voulez-vous: il en faut pour tous les goûts. Mes yeux cherchent les étalons, enfin je veux parler de ceux qui viennent ici pour se vider dans tous les trous qu’ils trouvent. À certains moments, ça baise partout dans la salle même, dans les toilettes... Pour l’instant, mis à part en bas à gauche, il ne se passe pas grand-chose.
Je décide d’errer un peu puis d’aller dans les toilettes. Là, il risque d’y avoir des choses intéressantes. En passant dans une rangée, je sens des mains qui me frôlent, qui me tâtent et certains doigts qui me sondent. C’est si bon d’être désiré!
À l’entrée des chiottes, j’entends les cris de jouissance et de douleur d’une lope comme moi dont on force le cul sans ménagement. Elle se fait mettre sauvagement cette pute! Ses cris se mêlent à ceux du film porno. Si c’est le film qui crée l'ambiance, le vrai spectacle, lui, se passe dans la salle et ses annexes.
J’entre dans le couloir qui mène aux toilettes. Là, des bras m’agrippent de tous les côtés et des mains me palpent. Certains types osent plus que d’autres. En voilà un qui me frôle à peine. En voilà un autre qui me propose de me baiser à sec. Un, deux, trois, de ses doigts s’introduisent dans mon cul.
- T’es bien ouvert! me dit-il.
Forcément que je suis ouvert. Mon cul est bien lubrifié et je me suis coltiné un plug pendant deux heures. Le gel dégouline un peu entre mes cuisses mais, au moins, je ne risque pas de me faire déchirer par un tordu.
Des bouches se collent à mon visage, à mon cou. Des langues humides glissent sur ma peau et me fouillent mes oreilles ou mes narines. C’est obscène! J’adore. Si le mec est potable, j’accepte de l’embrasser. Dans l’autre cas, je détourne la tête pour éviter le baiser. Chaque fois qu’une salope comme moi fait son entrée en ces lieux, c’est la guerre entre les «actifs».
À vrai dire, comme il y a plus d’actifs que de salopes, ça se bagarre pour les trous à remplir. Le ton monte vite et des mecs s’insultent, en français, en arabe ou en italien. Toutes les salopes qui se risquent dans cette salle sont quasiment certaines d’avoir du succès. Un passage à l’Atlas, pour une lopette comme moi, c’est une dizaine de bites assurées dans le fion.
Un jour, un type à qui je parlais de l’Atlas, m’a demandé comment ces pratiques étaient tolérées. C’est très simple: le patron du ciné ferme les yeux sur ce qui s’y passe. Il accueille même plutôt bien les lopes comme moi car il sait que nos culs offerts attirent les clients. Pour lui le fric et pour les lopes le jus!
Je suis dans une cabine depuis dix minutes et j’ai déjà été piné deux fois. Un mec s’approche et il me salue.
- Je savais que t’étais là!
- Ah bon!
- J’ai reconnu tes gémissements très caractéristiques!
Quand on m’encule, il est vrai que j’ai du mal à contenir mes cris de femelle. Dans ce genre d’endroit, les habitués finissent par se reconnaître à ce genre de détails.
Un nouvel enculeur succède au précédent. C’est l’abattage. Une bite glisse dans ma raie puis viole mon fourreau élastique. Je prends facilement tous les calibres. C’est l’entraînement qui veut ça! Celui-ci est dedans sans que j’ai le temps de dire «ouf»! Je glisse la main.
Pas de latex! Putain, l’enflure! Ce tordu a essayé de me forcer le cul sans préservatif. Il est sans doute de ceux pour qui la capote est superflue et gâche le plaisir. Le bareback qui fraie en ces lieux est celui de la paresse et du plaisir. Nul n’a envie de plomber ou de se faire plomber... mais cela arrive plus souvent qu’on ne l’imagine. J’expulse la bite et je hurle au gars qu’il est une sale ordure.
- Et toi une pute à jus! Faut savoir ce que tu veux!
- Je veux vivre, conard!
- J’ai pas TA saloperie de maladie de pédés!
Ça vole haut! J’en ai marre de ce con et je retourne dans la salle. Il me suit. Comme la plupart des lopes, j’ai trouvé un protecteur. Il est là... au premier rang, une lope entre les cuisses qui le pompe. Je vais m’asseoir à ses côtés et le taré qui me suivait rebrousse chemin. Mon Turc, il fout la trouille à certains mecs.
- Encore une embrouille, ma lopette?
- Il voulait le faire sans capote!
- Et tu n’aimes pas?
- Tarik!
Il se fout souvent de ma gueule, Tarik. Il me protège sans avoir rien à faire. Juste être là. En contrepartie, il peut me baiser tranquillement dans un coin retiré quand il le veut. Il lui est arrivé aussi de m’employer pour un plan abattage sur chantier.
- Tu as toujours un des plus beaux culs du ciné!
- Merci.
- T’es une vraie lopette et j’aime ça!
Il appelle un autre mec que je ne connais pas et lui dit:
- Tu vois cette salope, Ahmed! Et bien, c’est presque une pro... On peut la niquer dans toutes les positions... mais avec capote!
Un black qui tournait depuis un moment autour de moi s’approche et parle à l’oreille de Tarik. La ruée sur mon cul s’intensifie! Je sens qu’aujourd’hui je vais dépasser les vingt. Je dis ça comme ça car c’est pas un concours non plus.
Dès que j’ai demandé l’aide de Tarik, il devient plus difficile de choisir moi-même mes partenaires. Finalement, je m’en fous puisque mon protecteur choisit bien les queues qui m’honorent. Je subis sa loi. J’adore. Je le répète, ici, la demande est très largement supérieure à l’offre. Les enculés n’ont pas beaucoup de répit et ils aiment ça!
- Va attendre dans la dernière cabine! me dit Tarik.
J’y suis en moins de deux. J’attends un peu. Deux minutes et je sens qu’une bite me force. Une grosse. D’un coup de reins, elle entre jusqu’à la garde. J’ai juste une petite douleur mais j’avale sans rien dire. Je suis maintenant en appui contre la chasse d’eau. Bon, je veux en avoir le cœur net! Je passe ma main entre mes cuisses, attrape la verge chaude et bandée de celui qui se soulage en moi. Latex! Je respire.
Des mecs tournent autour de la cabine dont la porte a été enlevée.
- T’en veux une en bouche? me demande l’enculeur d’un air satisfait.
- Pourquoi pas!
Pendant qu’un black me défonce le fion, je suce un type pas très ragoûtant. C’est toujours dans les heures qui suivent que je me dégoûte. Pour l’instant, je plane avec le sexe pour toute drogue. Le bas-ventre du noir me cogne les fesses à un rythme soutenu. Sa queue est longue et épaisse. Elle prend bien possession de mon trou. C’est agréable.
Il fait durer son plaisir et se fout des autres qui ruminent pour avoir leur tour. En plus, c’est Tarik qui lui a donné son aval. Personne n’oserait aller à l’encontre du Turc.
Cette fois, l’éjaculation est proche. Il se cambre et me donne de violents coups de reins tout en m’injuriant. La bite de celui que je suce me cogne la luette. Le black largue sa purée et se retire. Tarik est là. Il répond à un beur qui s’excite.
- Eh mec, y’en aura pour tout le monde... Ma lopette est résistante!
- Tu te fous de moi... Si tous ceux qui l’enculent prennent leur temps, je pourrai passer juste avant la fermeture! Regarde le black, il avait pris l’omnibus.
- Ta gueule! Avec une putain de capote, j’arrive pas à jouir!
- Eh, ta gueule toi-même, avec Tarik et sa pute tu sais que c’est avec capote! Si tu veux doser une salope, va voir ailleurs...
Tarik ramène un peu de calme. Il réorganise mon abattage du jour. Il lui faudrait presque des tickets. Je ferme les yeux lorsque certains lui allongent un ou deux billets comme pot-de-vin. Je m’en fous.
- Retourne dans la salle. Tu sais où! m’ordonne mon protecteur.
Il ordonne et j’exécute en bandant. Ma raison de vivre c’est ça!
Au fond de la salle, la tournante continue sur moi. Je connais la position qui est la plus adaptée et je la prends. Cul tendu, reins creusés. Ma chatte bien offerte aux passants. Pendant qu’un mec m’encule à la hussarde, d’autres se branlent contre moi en attendant leur tour. Toujours le même scénario.
Plusieurs types qui n’ont plus la force d’attendre me giclent sur le visage, d’autres sur le dos ou sur les flancs. Je sens des jets qui percutent ma peau déjà couverte de transpiration. Un mec quitte mon cul pour laisser la place à un autre.
Ce dernier est un parfait bourrin. Il s’excite et me pilonne sans respect. Je suis sa pute. Ça c’est l'abattage. Le dernier type s’en va et je vois une série de capotes à mes pieds. Une autre salope qui se fait sauter comme moi me fait un signe à l’autre bout de la salle. Tarik me dit:
- Cette conne se fait mettre sans latex! Elle est adepte du dosage depuis quelques jours...
- Tu lui as parlé?
- Si je devais parler à toutes les lopes bareback, je déciderais de faire séminariste! Repose-toi un peu!
Tarik s’en va vers les toilettes.
Dans l'obscurité, je repère un siège à l’écart. J’ai besoin d’un moment de calme. Je m’affale et je ferme les yeux. Mon cul est cuisant. Tiens, c’est un autre film avec des blacks! Les bites sont longues mais trop flasques à mon goût!
Après dix minutes de repos, je reprends le turbin avec une série de «pompages» à la chaîne. Dans une rangée, je me fous à quatre pattes et j’avance en suçant tous les mecs qui y sont assis. J’aimerais être sélectif et en passer certains mais j’ai parfois peur d’en énerver certains. Bien entendu, mine de rien, je m’attarde sur les queues qui me plaisent le plus.
- Tu fais ça bien! me dit un mec.
Je lève les yeux et je suis surpris de trouver un mec assez jeune: la trentaine. Il a un petit air vicelard qui m’excite. Je le suce un bon moment et lorsque je sens que ça vient, je me mets à le branler. Il me jute à la gueule.
- C’était super!
Je suis déjà au suivant. Sa queue est longue et déjà bien raide. Je le pompe comme une machine. Je suis une machine. Une machine à baiser. Le type soupire et me presse la nuque en enfonçant sa tige dans ma gorge. Il retient ses gémissements mais j’ai compris qu’il est près de jouir. Je me retire pour le faire décharger sur mon visage.
- Qu’est-ce que tu fous, sale pute? Je veux t’inonder la gorge! Reprends ma bite, suce et avale!
Là, je reste calme. Je connais ce genre de situation.
- On se calme! Tu peux jouir sur mon visage mais je n’avale pas.
- Discute pas!
- Non, t’as raison, je ne discute pas! On peut discuter de plein de choses mais pas de ça!
Il m’attrape la nuque et me colle contre son bas-ventre. Il me bloque sur sa bite en m’étouffant. J’ai un peu la trouille mais ça m’excite un peu plus. Comme si c’était un jeu dont je connais l’issue jamais fatale. Tarik n’aura pas été nécessaire. Le mec m’a joui sur les yeux et le nez. C’est ma quatrième dose de jus sur la face et il est temps d’aller nettoyer tout ça.
En chemin, je croise Malik, un Arabe de trente ans qui fait la lope comme moi. C’est un beau petit mec fin et pas farouche.
- T’as eu du fil à retordre avec le moustachu? me demande-t-il.
- Oui.
- Il a fait le même tintouin avec moi l’autre jour.
- Il voulait que tu avales?
- Ouais! Depuis un moment, ils me demandent tous ça...
- Ben, tu continues à refuser si tu es bien malin.
- Dis donc, qu’est-ce qu’il t'a foutu comme jus!
- Ne fantasme pas, il y en a quatre doses ici!
Tarik s’occupe d’un de ses protégés. Il l’encule dans la seule cabine qui ferme encore. J’ai repéré ses pompes sous la porte. Un mec que je n’ai jamais vu et qui est assez sexy s’avance et me roule une pelle. Ici, ils sont rares ceux qui font ça... surtout d’une manière aussi sensuelle.
Le mec m’entraîne vers une sortie et je le suis. Tarik en a pour un moment avec sa lope. Le mec qui me tire derrière lui vers un endroit calme - c’est rare à l’Atlas! - porte une alliance. Il n’est pas mal comme mec. Ça mérite d’être souligné dans ce bouge où la plupart des clients sont assez beaufs... Et je suis gentil!
Nous nous arrêtons dans un coin sombre. Je commence très vite à défaire son pantalon qui lui tombe sur les chevilles d’un coup. Je lui tâte l’engin déjà dur et le branle sans perdre de temps. Sa queue est de bonne taille et grossit à vue d’œil.
- Suce-moi, je t’en prie!
Trop gentil ce mec! Je la suce un moment.
- J’en veux plus! lui dis-je d’un air intéressé.
Je lui enfile une capote et lui présente mon cul déjà bien ouvert. Deux mecs rappliquent déjà pour mater et je lui dis:
- Ici, faut s’y faire! Allez, baise-moi! Défonce-moi la rondelle...
Je me penche et j’attrape ses couilles par en-dessous. Je les lui masse et je dirige sa bite dans mon fion qui n’en peut plus. Sa queue entre et coulisse dans mon conduit un peu irrité mais toujours sensitif. Dix minutes plus tard, il se libère en moi (enfin dans la capote). Le mec me sourit, s’essuie, se rhabille et, hop, il se sauve comme un voleur. Lorsqu’ils ont joui, certains mecs culpabilisent très vite.
Je regarde ma montre: déjà 19h20! Je n’en ai plus que pour une heure. Ma femme m’attend à 22h et j’ai une bonne heure de route.
Je fais le tour dans la salle et je me fais encore un peu caresser. Il y a déjà moins de monde mais il y a encore de bons coups à se faire. J’essaie de me concentrer sur les rangées du centre, là où il y a une dizaine de mâles.
- J’ai eu ma dose! me lance Malik. Je rentre. Je suis là depuis 14h!
- J’te comprends! À plus!
Un mec parle à Tarik qui est réapparu. Il me fait signe de me pointer. Le mec est installé au dernier rang et a sorti sa belle bite veineuse par sa braguette. Tarik me dit:
- Y’a un monsieur qui a entendu parler de toi et qui veut t’essayer! Allez, au boulot, ma pute!
Sans avoir vu le visage du mec, je suis directement à genoux et je suce le mec en douceur. Il a l’air d’apprécier. Je joue avec mes lèvres et ma langue pour l’amener à la jouissance.
- Tu es vraiment une salope!
- Ouais, j’en suis une!
- Que dirait ta femme si elle savait?
Là, je flippe un peu. Bon, il a vu mon alliance.
- Elle n’apprécierait pas, Sylvie!
C’en est trop. Je lève les yeux et je vois... mon beau-frère.
- Je me doutais qu’il y avait un truc pas net chez toi, Claude! me dit-il tout sourire. Mais là, je suis scié!
Mon beau-frère appuie sur ma nuque et je me remets à le pomper. Il a l’air d’aimer ça, le cochon. La dimension prise par sa queue dans ma bouche en est la meilleure preuve. C’est flagrant. Je m’arrête pour lui demander:
- Ta femme ne te suce pas aussi bien, hein, Daniel?
- Elle ne suce pas du tout.
J’ai sucé très longtemps et l’ai amené plusieurs fois aux portes de l’éjaculation. C'est le moment de lui enfiler une capote.
- J’ai un bon cul. Tu vas l’aimer!
- Je n’en doute pas un instant. Je te surveille depuis un bon moment. Viens!
Il me place à califourchon au-dessus de ses cuisses et m’empale carrément sur sa queue dressée. Je suis surpris de l’aisance avec laquelle il fait ça.
- Je ne suis pas ton premier... écart, Daniel?
Il se met à rire et me besogne comme un lapin. Je contracte bien mon cul autour de sa bite. Mon cul, je l’ai domestiqué depuis le temps. J’arrive à le dilater et resserrer à volonté.
- T’avais raison!
- À propos de quoi?
- De ton cul! C’est un endroit divin que tout mec devrait visiter... mais je suis sûr que des mecs, il n’y en a plus beaucoup qui ne l’ont pas visité!
Je m’agite. J’ai l’air d’un piston sur sa bite. Il rugit et je couine. Nous allons tous deux vers l’ultime jouissance. Quelques voyeurs se sont rapprochés pour profiter du spectacle. S’ils pouvaient savoir qui nous sommes l’un pour l’autre! La queue de mon beau-frère me lime à fond. Il arrive enfin au point de non-retour. Il largue sa purée et s’écroule au fond de son fauteuil.
Putain, il fait un malaise cardiaque!
La situation est grave – assez même! – mais pas désespérée! Je fonce vers le siège où j’ai planqué mes vêtements et je me rhabille. En deux minutes, je suis de retour près de mon beau-frère qui n’a rien trouvé de mieux que de faire un malaise à l’Atlas. Comment vais-je pouvoir gérer ça pour la famille? Putain de merde, je suis mal, là…
Je lui donne quelques claques sur le visage et il revient à lui.
- Qu’est-ce qui se passe? me dit-il un peu perdu.
- Tu as… perdu connaissance!
- La poche… la poche de droite…
- Quoi?
- Mon médicament… poche droite…
Et là, je me rappelle qu’il y a deux ans, mon beau-frère a fait une attaque sans trop de gravité. Depuis, il a un médicament à prendre en cas de malaise.
- Qu’est-ce que je t’ai mis! me dit-il en souriant.
- Putain, Daniel, tu m’as foutu une de ces trouilles!
- T’es habillé? qu’il me dit d’un air déçu. T’étais mieux à poil!
Mon beau-frère a repris ses esprits. Il m’explique ce qu’il fait à l’Atlas.
- Avec un ami, j’ai ouvert un club… Un club bi et gay. Tous les mois, je viens ici pour trouver de bonnes salopes. Nous en avons besoin dans le club. Et là, je crois en avoir trouvé une… et une bonne!
Durant deux mois, mon beau-frère m’a dressé à l’Atlas.
Chaque weekend, nous nous y rendions et il me faisait baiser par des tas de mecs. Il m’obligea à dépasser mes limites et à accepter toujours plus. Un samedi, je m’en souviens parfaitement, il m’a dégoté un black avec une bite énorme. Oui, je sais, ça fait très cliché, mais c’est vrai! Ce black voulait d’abord me sauter sans capote – comme la plupart des mecs à l’Atlas! – mais mon beau-frère a refusé. Après une longue discussion, le black a enfilé une capote et m’a bourré contre un mur. Il devait y avoir une dizaine de spectateurs dont mon beau-frère qui se branlait en m’encourageant. Le black a joui assez vite car il était très excité.
- Alors? C’était comment? a demandé Daniel.
- C’était trop puissant! J’ai senti la décharge malgré la capote! Ce mec est une bête… Je suis sûr qu’il pourrait recommencer dans dix minutes.
- Peut-être le fera-t-il! a ajouté mon beau-frère.
Mon baiseur avait jeté la capote à mes pieds. Je l’ai vue qui laissait s’écouler une grande quantité de foutre crémeux.
- T’as vu comme il l’a bien remplie? Je suis sûr qu’il y aura un tordu pour la ramasser.
Les amateurs de foutre, ça court à l’Atlas. À chacun son trip, non? Je me rhabille et nous allons nous asseoir un moment dans la salle, histoire d’un peu récupérer et de permettre un renouvellement de la clientèle. Mon beau-frère me regarde.
- Au fait, me dit-il, il faudra qu'on discute sérieusement. Je te l’ai dit j'ai un ami qui a un club où on aime les beaux culs endurants comme le tien et tu y serais mieux que dans ce bordel crasseux...
- J’aime bien l’Atlas!
- Cet endroit est un vrai foutoir!
- Ah ça, je confirme…
Nous avons ri. Je sais qu'au bout de la discussion se profilerait pour moi une prostitution régulière dans ce fameux club. Daniel espérait pouvoir m’utiliser pour arrondir nos fins de mois. Daniel veut tester mon endurance et comptabiliser un max de clients potentiels.
- Tu y retournes?
- Je suis crevé! Tu as vu tout ce qui m'est passé dessus? J’aimerais respirer un peu. C’est possible?
Daniel ronge son frein et agite la tête. Il ne veut pas encore me brusquer. Il n'insiste pas. Je me lève pour marcher un peu. Il me suit comme un toutou. Dix minutes se passent et j’ai l’impression qu’il va me proposer de reprendre les «passes». Il se colle contre moi et se contente de me mettre la main aux fesses pour bien me signifier qu’ici à l’Atlas, je suis sa chose. Un mec sort des toilettes. Un métis assez bien foutu. Il pleure. Je l’arrête.
- Raconte!
- Y’a rien à raconter. J’ai bien cherché ce qui m’arrive!
- Qui t’a forcé?
- Ils sont quatre… D’abord moi puis maintenant un autre gamin… Il n’y vont pas avec le dos de la cuillère… J’ai pris des baffes et des coups dans l’estomac! Je le répète. Je l’ai bien cherché, mec. Si j’avais voulu la paix, je s’rais pas venu ici…
Je fais un pas ou deux vers les toilettes et Daniel m’arrête.
- Tu es con ou quoi? Tu veux jouer les héros? On sait ce qui se passe ici… Ceux qui y viennent prennent des risques… Entendu?
Le métis s’appuie contre le mur et pleure encore.
- Moi, il y a longtemps que j’ai accepté de n’être qu’un objet sexuel, rien de plus, rien de moins. Je ne ressens plus rien. Je ne m’attends à rien et je ne veux rien. Au pieu, je ne fais que fixer le plafond sans même cligner des yeux, pendant qu’on me besogne avec violence. Impossible d’accepter qu’un gamin se fasse violer sans qu’on lui vienne en aide.
Je fonce vers les toilettes. Des voix:
- Encule-le à sec! Je veux qu'il gueule comme une chienne. Écarte… écarte ton fion, salope…
Le gamin gémit. Je vais sauter dans le tas quand j’entends la voix de l’enculé:
- Oh oui, c’est bon, trop bon… Baisez-moi, les mecs! Coupez-moi en deux avec vos bites d’acier!
J’entrevois le gamin – qui doit tout de même avoir la vingtaine! – qui bombe les fesses docilement en cambrant les reins pour mieux s'offrir. Les mecs l’injurient, l’encouragent à s’offrir mieux. Il écarte lui-même les bords de sa raie. Daniel est derrière moi.
- Alors?
- Il est consentant!
L’enculé gémit et ordonne qu’on le baise à fond. Consentant! répond mon beau-frère. Et pas qu’un peu! Bravo, Superman!
J’ai l’air d’un con à vouloir voler au secours de salopes comme moi qui viennent à l’Atlas pour s’y faire «malmener». C’est tout ce qui les excite!
Je retourne dans la salle. Mon beau-frère me questionne sur mes expériences. Il veut en savoir un maximum sur tout ce qui me branche.
- Tu t’es déjà travesti? me demande-t-il.
- C’est pas trop mon truc! D’abord, je n’ai pas un physique féminin et ensuite ça ne m’excite qu’à moitié…
- À moitié tout de même…
Il me fait un clin d’œil.
- Oui, j’ai essayé parce qu’un de mes amants avait envie de ça… Il m’a conduit sur une aire d’autoroute et je me suis retrouvé à faire la pute, maquillé, travesti et livré à des mecs de passage qui me sautaient dans les toilettes…Woaw!

Fin du texte.

 

 


Viewing all articles
Browse latest Browse all 2644

Trending Articles