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Histoire du net. Auteur: Pervers38.... Ici Rex..!... Suite

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 Privé de ce qui l'obsédait.
Obéir aux femmes
Être une vraie chienne...
Terrible punition...

Un chien qui s’ignore
Auteur : Perver38

Episode VI
J’étais inquiet de ce que j’allais devoir subir. Ma mâchoire était encore engourdie. Je n’osais même pas imaginer l’état de mon anus.
Finalement, Nolwenn poussa une grosse porte métallique et nous entrâmes dans un atelier crasseux, éclairé au néon. Le sol était noir de limaille de fer et de chutes de ferrailles éparses. J’étais content d’avoir mes pattes protégées. Je levais mes pieds nus pour ne poser à terre que mes genoux protégés. Une odeur de brûlé m’inquiétait. Je tournais la tête en tous sens : personne.
C’était un atelier de métallurgie avec ses postes à souder, ses établis, ses presses. Une musique de heavy métal saturait un vieux poste de radio hors d’âge poussiéreux. Nolwenn attacha ma laisse à un étau couvert d’huile et alla frapper à la porte vitrée d’un bureau au fond.
Un homme tout en muscle revint avec ma maitresse. Il trainait une odeur de brulé et de graisse avec lui. Il portait une épaisse salopette de travail noirâtre. Une chemise déchirée retroussée sur des avants bras noueux et tatoués laissait apparaitre un poitrail robuste tatoué également. Ses cheveux raides et gras étaient noués en couette, des piercings recouvraient ses oreilles.
Il me regardait amusé et dégouté à la fois. Il se tourna vers Nolwenn qui paraissait si menue et si rayonnante devant cette brute.
- Ah ouais d’accord, je comprends ta demande spéciale en voyant la tronche de ton chien. C’est quoi ce dégénéré ? C’est quoi son trip ?
- Oh son trip c’était de sauter toutes les nanas qui passaient. Mais je l’ai dressé et regardes le résultat ! Tu vois je ne t’ai pas menti.
- Putain ma salope, tu l’as bien dressé !
- Ah ça oui ! Maintenant c’est une chienne vide couille. Et regarde son cul qui déborde encore de sa séance d’hier.
- C’est dingue ce que tu en as fait !
- Hum mais tu sais, les hommes j’en fais ce que j’en veux (elle minaudait et frottait l’entrejambe de la brute) : une bête de sexe ou un gentil réceptacle à sperme !
- En tout cas je préfère ta belle bouche de salope a ce dégénéré de clébard !
- Ne rêve pas mon salaud ! Je suis là pour affaire. Tu as tout préparé ? (elle caressait à pleine main le jean qui enflait et masturbait la forme de la bite)
- Tout est prêt pour m’occuper de ton clébard
Il commençait à tripoter ses seins et de ses grosses mains écrasait son cul moulé dans son jean. Elle s’écarta vivement et repoussa ses mains.
- Alors au boulot, mon tout beau ! Tu auras ta récompense après !
- Quelle salope tu fais !
- Allez au boulot, je t’attends dans ton bureau. Fais vite.
La brute, excitée et impatiente, attrapa ma laisse et me tira vivement vers un treuil électrique. Je fus vite sanglé par la taille de ma ceinture de chasteté et levé du sol. Je me retrouvais la tête et les bras en bas, plié en deux. Mes pieds furent reliés entre eux par une sangle qui passait dans mon dos, m’obligeant à replier mes cuisses. Ma respiration s’accéléra devant cette nouvelle épreuve, mon cul et mes couilles plombées étaient dangereusement exposés.
Il actionnait le treuil pour me placer à bonne hauteur. Je tournais autour du câble comme un sac inerte attendant qu’on le dépose quelque part.
Il partit dans un coin et brassait des ferrailles. Une chaleur soudaine et inquiétante me monta aux narines. Soudain je compris !
Je connaissais cette odeur : le fer qu’on chauffe. Je tentais de remuer stupidement, de me faire descendre de ce câble.
J’entendis son pas lourd revenir, la chaleur augmentait avec cette odeur entêtante.
D’un gant épais de cuir, il m’attrapa la cuisse gauche pour bloquer ma rotation et malgré mes mouvements désordonnés de panique, m’appliqua un fer incandescent sur la fesse gauche et le maintint enfoncé. J’ouvris la bouche à m’en décrocher les mâchoires, sans son, pendant que mon cul brûlait dans une odeur épouvantable de cochon grillé. Mon cœur décrocha et je tombais dans les pommes.
Quand je revins à moi, j’étais couché sur le ventre. Une douleur atroce me cuisait toute la moitié inférieure du corps. Je ne bougeais pas. Mes sens revenaient à moi petit à petit.
J’avais encore en tête cette atroce odeur de ma peau qui brûlait. Je m’aperçus que j’étais immobilisé en travers d’un établi. Ma laisse était coincée dans un étau sous mon menton et mes jambes étaient liées aux pieds opposés de l’établi. Mes pattes avant équipées de leur moufle étaient bloquées dans l’étau, bras croisés, comme un chien au repos
Le heavy métal sortait toujours de la radio. Maitresse Nolwenn et la brute étaient dans le bureau, je les entendais baiser violemment. Elle criait comme une bête et l’incitait à augmenter la cadence. Malgré la douleur qui me cuisait, j’étais très excité d’entendre ce corps de rêve en train de jouir.
Au bout de quelques temps, ils se calmèrent. Je vis la brute sortir du bureau en remontant sa salopette noirâtre sur son torse noueux. Son buste musclé était recouvert de tatouages. Il s’approchait de moi encore essoufflé de sa prouesse.
- Alors bite molle on est réveillé ? C’est Nolwenn qu’a eu l’idée de t’installer comme ça. Bon maintenant tu vas te rendre utile
Il fit descendre les bretelles de sa salopette qui retomba sur ses chaussures et s’approcha tout prêt de moi. Sa bite se trouvait au niveau de mon visage encore gonflée de plaisir. Une forte odeur de sueur et de sperme se répandait.
J’ouvris la bouche en grand et il enfourna sa queue visqueuse.
- Nettoie moi tout ça bite molle, il parait que t’en raffole ! ‘
Sa bite reprenait déjà du volume et se raidissait contre mon palais. La sueur et le sperme se mélangeaient dans ma bouche et ma gorge.
- Alors qu’est ce que tu en dis ? Une vraie pute à bite, non ?
C’était la voix de maitresse Nolwenn qui sortait du bureau, complètement nue excepté sa paire de bottes qu’elle avait rechaussées. Malgré le bassin de la brute qui maintenant me baisait la bouche à grands soubresauts, je pouvais voir ce corps magnifique aux seins lourds brillants de sueur qui approchait nonchalamment vers nous.
L’établi supportait en grinçant les coups de boutoir de l’homme qui main derrière ma nuque, enfournait ma gorge. Mes yeux larmoyant ne quittaient pas des yeux maitresse Nolwenn rayonnante qui se tenait à coté de nous.
- Oui, une sacré pompeuse !’souffla t-il entre deux gémissements de plaisir
- Maintenant que Rex a bien nettoyé ta queue, tu vas pouvoir m’en remettre un coup. Mon cul est encore tout dilaté !
- Tu es vraiment la reine toi !’
Il se retira dans un flot de bave et sa bite se redressa à la verticale énorme écarlate. Je reprenais mon souffle, le nez et la bouche englués. Maitresse Nolwenn se retourna et s’appuya sur mon dos, jambes écartées au sol, cul cambré. L’homme ne se fit pas prier et encula d’un coup ce cul offert. Nolwenn reprit ses gémissements au-dessus de moi, , ses seins écrasés sur mon dos. La brute l’enculait si fort que l’établi tremblait. Nolwenn avait sa chatte juste au-dessus de mon crâne lisse, elle mouillait abondamment et sa liqueur ruisselait jusque dans mes yeux rougis. Ses cuisses se balançaient en rythme juste devant mes yeux avec ses bottes qui brillaient, magnifiques entre les chaussures de la brute, recouvertes de sa salopette.
Celui-ci la fessait et la traitait de pute. Ses coups violents n’en finissaient pas. Nolwenn maintenant hurlait. Ses ongles me labouraient le dos, ses seins brulant pointaient dans mon dos. J’offrais mon dos à leurs ébats. Les couilles venaient claquer contre le cul de maitresse Nolwenn qui ruisselait sur mon visage.
Je jouis comme on peut jouir le sexe écrasé et bridé par une grille métallique, les couilles lestées par un tube d’acier : je sentis un soubresaut soudain dans mon ventre puis une douleur aiguë quand mon gland tenta de forcer la grille. Mes couilles furent douloureuses, comprimées et tiraillées. La douleur remplaça vite une jouissance furtive.
Et pourtant, j’étais le plus heureux des …chiens à sentir la peau de maitresse se frotter contre la mienne, jamais elle ne m’avait fait un tel cadeau. J’en oubliais ma fesse gauche incandescente qui je l’appris plus tard portait désormais l’inscription au fer :
 ‘REX chien à bites’.
Eux continuaient à labourer mon dos et m’écraser sur l’établi. Maitresse Nolwenn ruisselait sur moi. La brute finit, dans un dernier soubresaut violent, par jouir bruyamment. Maitresse Nolwenn descendit de mon dos, jambes tremblantes et alla se rhabiller dans le bureau, pendant que je devais encore une fois nettoyer le sexe de la brute. Il se soulagea dans ma bouche et je dus avaler toute son urine écœurante sous ses insultes.
Je fus finalement détaché et nous quittâmes cet atelier démoniaque et son tourmenteur pour rejoindre à nouveau le fourgon.
Je souffrais énormément dès que je bougeais mes cuisses. Heureusement ma maitresse était elle aussi épuisée des assauts violents qu’elle avait subis.
Sa démarche était moins assurée après ses enculades. Mon sexe gonflait encore douloureusement en pensant à son cul dilaté.
J’aurais tant aimé le nettoyer de ma langue servile, récolter sa sueur et le sperme de son enculeur.
Mais maitresse Nolwenn l’avait si bien rappelé : mon seul contact avec les femmes se résumait à lécher leurs chaussures.
Maitresse Nolwenn me ramenait à la maison, ou plutôt chez ma maitresse femme.
Comme promis elle m’avait emmené tout le weekend et devait me retourner à ma niche. Avec tout ce que j’avais subi, ces deux jours m’avaient paru interminables. J’étais épuisé, repoussant de saleté et recouvert de sperme séché. Sans oublier ma fesse marquée à vie, comme les esclaves jadis.
Mon statut de chien dégénéré était maintenant marqué dans ma chair !
Maitresse Nolwenn repoussait toujours les limites de ma déchéance. J’avais honte de subir tous ces hommes. Mais j’étais fier aussi de satisfaire les fantasmes de ma maitresse. C’est comme si elle me donnait des tâches à accomplir et bien que réticent au départ, je prenais plaisir à voir son regard sur le chien qu’elle avait modelé. J’étais étrangement fier du plaisir qu’elle prenait à me voir souffrir et à m’humilier.
J’étais soulagé toutefois de rentrer pour retrouver, je l’avoue, ma nourriture et mon tapis. La boite de plexiglas m’angoissait par contre complètement. Mais maitresse Nolwenn avait dit à ma maitresse que j’étais éduqué et soumis, que la boite n’était là que pour m’apprendre à obéir. Je ferai en tout cas toutes leurs volontés pour les satisfaire et ne plus retourner dans ce caisson étanche.
Un mauvais pressentiment m’alerta quand, la nuit tombée, en descendant douloureusement du fourgon, je vis plusieurs voitures garées devant la maison, ainsi qu’une grosse moto routière. J’étais harassé et affamé. Excepté des litres et des litres de sperme, je n’avais pratiquement rien mangé ni bu ces deux jours.
La porte s’ouvrit et des rires exclusivement féminins retentissaient. Trop nombreux à mon goût !
Instinctivement je m’immobilisais.
Nolwenn me tirait par la laisse et me lança un coup de bottes dans les côtes. Elle était elle aussi fatiguée et son humeur devait être massacrante. J’avais hâte qu’elle me laisse à ma maitresse femme et regagne son domicile. J’avais beau vénérer ce corps aux courbes inaccessibles, je ne rêvais que d’un endroit calme ou je pourrai me reposer.
Hélas pour le calme, l’ambiance était plutôt à la fête…
La table de salon qui me rappelait désormais un très mauvais souvenir était couverte de bouteilles vides et de verres, de cendriers pleins.
Ma superbe maitresse Laurence était assise là, jambes croisées. Elle riait. Je l’admirais, osant lever mon regard vers elle, parée d’une robe cintrée hypnotique.
A sa droite, je fus stupéfait de reconnaitre ma belle-sœur, la sœur de ma maitresse femme. Elle me regardait d’un regard remplis de satisfaction, affalée sur le canapé, moulée dans un pantalon de cuir épais de motard qui lui remontait jusqu’à la taille. Un teeshirt blanc moulait sa poitrine énorme. Je frémis et bêtement baissais mon regard, regardant le sol entre mes pattes avant.
Ma belle-sœur ne m’a jamais apprécié et cela faisait des années que je ne l’avais pas vue. Elle me haïssait et ne comprenait pas pourquoi ma femme restait avec une ordure comme moi, qui l’avait rendue cocue à tour de bras. Je sais qu’elle poussait depuis des années ma femme au divorce.
Elle avait beau être la sœur de ma femme, rien physiquement ne les rapprochait. Ses traits grossiers avec son nez écrasé, son physique de catcheuse, sa démarche de camionneur et sa voix forte et vulgaire me dégoutaient. Elle avait manifestement pris du poids depuis notre dernière entrevue. Elle devait approcher de la soixantaine. Divorcée depuis des années, on ne l’avait jamais vu avec un homme. Il faut dire qu’elle ne faisait rien pour les attirer.
Sa haine datait du temps où j’étais très récemment marié avec sa sœur. Elle était mariée depuis quelques années à l’époque et avait un bébé qu’elle allaitait. Elle larguera rapidement son mari et ne s’intéressera plus qu’aux femmes par la suite.
Bref à cette époque, ses seins étaient gros et lourds et attiraient mon regard. Ses courbes étaient devenues généreuses. Comme souvent, je n’avais pas réfléchi. Nous nous étions croisés dans le couloir à l’étage, seuls, chez les beaux-parents après un repas de famille un peu trop arrosé. Elle venait de nourrir son bébé et ses seins pointaient à travers son soutien-gorge, elle reboutonnait son chemisier. J’avais fait demi-tour et m’étais précipité derrière elle. J’avais agrippé ses mamelons démentiels et m’étais frotté contre son dos... Ses seins énormes ne tenaient pas dans mes mains. Je l’avais plaqué contre le mur, la tournant face à moi. Ma queue déjà raide, je m’étais baissé pour embrasser ses seins veinés et gonflés, excité comme un cerf en rut.
Dans une détente qui me surprit, elle m’avait envoyé un coup de pied sur le tibia et avait profité de ma douleur pour me repousser et m’envoyer un mémorable coup de pied dans les couilles. S’en était suivie, une gifle qui m’avait envoyé au sol, puis un dernier coup dans le ventre. Roulé en boule de douleur, j’avais reçu un crachat.
Ma femme et mon beau-frère n’en avaient jamais rien su. Je gardais cette scène de honte et d’humiliation pour moi. J’appris par la suite qu’elle était adepte de self défense…
Un coup de bottes de maitresse Nolwenn me rappela au présent.
- Rex, qu’est ce que tu attends pour rendre hommage à ses superbes femmes. Allé, bouges tes couilles de plomb !
Je me dépêchais dans un cliquetis de mes moufles et genouillères ferrées de venir lécher les escarpins de maitresse Laurence, chaussée de merveilleux et vertigineux nus pieds à double bride. Ses chevilles gainées de bas couleur chair brillaient. Ses orteils aux ongles vernissés eurent droit à toute l’attention de ma langue servile. Elle se plaisait à relever ses pieds de manière à m’inciter à nettoyer ses semelles souillées.
Aucune de ces femmes ne faisaient attention à moi. La discussion était animée. Maitresse Nolwenn s’était jointe à elles.
D’un coup de pied dans le nez, maitresse Laurence me signifiait qu’elle en avait assez et que je devais m’occuper des pieds suivants.
Les pieds ou plutôt les bottes suivantes étaient celles de ma belle-sœur…
J’imaginais qu’elle devait jubiler de la situation. Moi nu à 4 pattes, dans ma ceinture de chasteté métallique, le corps souillé de toute part, les couilles lestées se balançant, la fesse gauche marquée au fer passant de pieds en pieds et traité comme le chien que j’étais désormais. Mon statut me sautait à la figure, courbé aux pieds de cette nouvelle présence. Elle leva une lourde botte de motard en cuir renforcé pour m’écraser la tête au sol.
Je l’entendis ricaner, prenant un plaisir extatique à nos retrouvailles devant cette situation. Elle se penchait au-dessus de moi pour mieux me rabaisser :
- Montres moi tes talents de lécheur ! Laurence m’a parlé de ta nouvelle vie de raclure, mais je n’y croyais pas. J’ai toujours su que tu n’étais qu’une merde, mais de là à te retrouver à mes pieds, tu me ferais presque jouir ! Allé nettoie moi tout ça !
Ses bottes épaisses faites de sangles étaient ferrées au talon et à la pointe, son pantalon fermé par une fermeture venait recouvrir la tige. Ses bottes étaient souillées d’éclaboussures diverses et sentaient les vapeurs d’essence et de graisse. J’obtempérais malgré des hauts le cœur, me remémorant son art de self défense. D’un doigt elle me désignait le bas de ses jambes à nettoyer.
- Dis-moi Ophélie, je crois que tu as un ticket avec Rex !
C’était maitresse Laurence qui riait en me voyant lécher toujours plus haut son pantalon de cuir.
- Oui, il a l’air d’apprécier le cuir ce trou du cul. ça ne m’étonne pas.
- Oh oui, il n’y a qu’à voir comme il lèche les dernières bottes de ta sœur. Elle n’arrête pas d’en acheter du coup ! C’est tellement pratique d’avoir un valet de pieds à domicile
- En tout cas, bravo les filles ! Vous l’avez bien élevé !
- On a surtout remis cet abruti à la place qu’il devait occuper : au ras du sol. Hein Rex ?’ Maitresse Nolwenn m’enfonçait un de ses talons dans les côtes. Et puis le dressage d’un connard pareil, c’est un plaisir ! On rend service aux femmes. Regardez sa petite bite qui pourrit dans son cachot ! Maitresse Nolwenn se tapait sur les genoux, amusée de sa blague.
- N’empêche, reprenait Ophélie, que vous avez été inspirées. Moi je l’aurais mis dans un sac et jeté à la rivière’
- Il est plus utile comme ça ! reprenait maitresse Nolwenn soudain sérieuse. Son salaire profite à ta sœur, elle en profite et elle a bien raison !
- Oui elle a renouvelé toute sa lingerie.
- Quelle profite de sa liberté, la petite chérie, répondit Ophélie
- Pour ça, elle en profite ! Elle aime ça !
- Oui je crois bien qu’elle a atteint le point de non-retour ! Prophétisa mystérieusement maitresse Nolwenn.  Un peu comme ce vermisseau, lécheur de semelles !’
Elles éclatèrent toutes de rire, pendant que je donnais des coups de langue efficace sur le cuir.
Ophélie qui apparemment menait la danse et connaissait bien maitresse Laurence et sa nièce, se tapa les cuisses des mains et se leva :
- Bien ! Nolwenn, tu as bien fait attention à ce qu’il ne mange rien depuis hier ?
- Oh oui, il a passé son weekend attaché et il n’a mangé que des bites !
(Rires général)
- Très bien, on va pouvoir passer aux choses sérieuses.
C’était au tour de maitresse Laurence de se lever en rabaissant sa robe le long de ses cuisses.
- Je vais prévenir ta sœur qu’on l’attend, elle est apparemment en phase de repos’ lança-t-elle.
- Laisse tomber, on va se débrouiller sans elle. Connaissant Horace sa bite doit encore avoir besoin d’une bonne langue
Les trois femmes autour de moi éclatèrent de rire, je passais à lécher les semelles de maitresse Nolwenn toujours assise qui demanda :
- Elle s’est fait tringlée par Horace ?’
- Pas qu’un peu ! Tu as raté plusieurs épisode ma petite ! Rigolait encore Ophélie, je crois que tu as raison Nolwenn, le point de non-retour est atteint !
Je m’interrogeais sur le ton qu’avait pris la discussion au sujet de ma maitresse femme. Je sentais une connivence chez mes 3 maitresses. Ma maitresse femme, c’est vrai ne s’occupait pas vraiment de mon ‘éducation’, hors mis placer des croquettes et de l’eau dans ma cage. Elle profitait de mon salaire et s’éclatait de son côté, à mon grand regret.
Nolwenn repris ma laisse et m’entraina à la suite des deux femmes, dans mon ancien bureau.
La situation était insolite et m’inquiétait soudain. Quelque chose se tramait.
Pourquoi ce silence complice entre ces 3 femmes ?
De quoi Ophélie avait-elle parlé ?
Quelles étaient ces ‘choses sérieuses ?’ Que portait-elle dans sa grosse mallette ?
Mon cœur battait trop fort et je commençais à trembler. Si ces trois femmes se réunissaient dans cette pièce, j’allais souffrir c’est certain !
Pendant que maitresse Ophélie préparait son matériel sur mon bureau, maitresse Nolwenn me tenait fermement par la laisse. Maitresse Ophélie se comportait comme chez elle et donnait des instructions.
Maitresse Laurence s’occupait de ma cage de chasteté.
Elle me libéra de ma grille et de ces cerclages de fer qui collaient à ma peau depuis des semaines. J’eus l’impression d’être encore plus nu, quand ma cage fut enlevée. Mon sexe racorni retomba vers le sol.
J’eus un mince espoir de libération de ma peine, quand Ophélie d’un ton impérieux donna ses instructions aux deux femmes. Elles me levèrent à l’unisson pour me hisser sur le bureau, recouvert d’un drap blanc et je me retrouvais plaqué sur le dos. Je n’eus pas le temps de réagir dans cette situation que déjà elles s’affairaient à fixer mes quatre pattes aux pieds du bureau.
Je me retrouvais devant ces femmes, les cuisses ouvertes, les bras autour de ma tête, les couilles lestées reposant sur le drap. Ma fesse gauche écrasée sur le drap me lançait vivement. Malgré cela mon sexe se redressa vivement et prit toute son ampleur.
Maitresse Nolwenn fur la première à éclater de rire :
- Regardez-moi ça ! Il est tout excité devant ses maitresses !
Maitresse Nolwenn commença un simulacre de branlette entre deux doigts en se penchant sur moi :
- Hum mon petit Rex, c’est définitivement fini pour toi. On va régler ton problème d’érection si pitoyable’
Maitresse Ophélie, qui sortait des scalpels et des bistouris lança :
- Et puis ça lui sert à quoi maintenant cette bite ?
Maitresse Laurence, d’un ton cynique répondit, me regardant droit dans les yeux :
- Qu’il en profite, c’est bien la dernière fois qu’il verra sa queue se lever’
Elles éclatèrent toutes de rire en voyant ma tête et mon visage livide.
Ophélie ne perdit pas de temps et m’enfonçait déjà une aiguille dans le bras :
Je me débattais comme un chien enragé dans mes liens et tombais dans les vapes.
oooOOooo
Quand je repris connaissance, j’étais toujours attaché sur le bureau. Je relevai la tête et constatai, hébété, qu’un énorme pansement se situait à l’endroit de mon sexe jusqu’à mon nombril. Le drap était tâché de sang. Une douleur atroce au bas ventre, je fondis en larme. J’aurais préféré mourir, plutôt que de subir ça. Jusqu’où iraient-elles ?
 Je sombrais à nouveau.
Je repris vaguement conscience quand je me retrouvais à 4 pattes au sol. Elles me maintenaient de manière à ce que je ne bascule pas. Maitresse Laurence me poussait sur le crâne pour me forcer à reculer. Je compris que je devais retourner dans ma boite étanche. Désespéré, anéanti je reculais, groggy. Les cuisses gainées de maitresse Laurence au niveau de mes yeux ne m’attirèrent pas le moindre désir.
On me balançait au fond d’un puit, je ne savais pas si j’en ressortirai un jour vivant. Une douleur subite à la fesse gauche m’indiqua que mon corps était au fond de ma caisse. Je portais encore mes moufles aux pattes avant, mes couilles me faisaient souffrir, plus étirées encore qu’avant, mon ventre n’était que douleur.
Elles cessèrent de me manipuler ; j’étais calé contre les côtés froids et lisses de ma boite, mes pattes avant tremblaient de supporter mon poids. Un pansement entourait mon bas ventre.
J’entendis à travers un brouillard la voix d’Ophélie qui jubilait :
- L’opération s’est bien passée ! Calé dans sa belle niche, votre Rex va cicatriser doucement et s’habituer à son nouveau corps de compétition.
- Combien de temps va prendre la cicatrisation ? demanda maitresse Nolwenn
- Il faut compter une semaine. Mais on va le garder au frais 15 bons jours. A cet endroit la peau est tendre, c’est assez rapide. Le problème avec les chiens, c’est qu’ils sont tout le temps en train de se gratter avec leurs pattes sales ou se lécher.
- Avec les belles moufles qu’il porte, y’a pas de risque, hein mon Rex, riait maitresse Nolwenn
- Et puis il n’a pas la place pour pouvoir se lécher les couilles, ajoutait maitresse Laurence.
Elles riaient toutes à l’unisson à cette bonne blague.
Quelqu’un actionna le système de fermeture de ma niche high-tech et je me retrouvais dans le noir complet avec les 2 portes qui se claquaient.
Je craquais et hurlais (un gémissement rauque seul sorti de ma gorge) en pleurant des larmes de désespoir. Et puis la panique dans cet espace exigu me repris et je tremblais de tous mes membres.
Je passe la souffrance de l’enfermement que je retrouvais à nouveau, rythmée par les ouvertures du sas à croquettes. Croquettes copieusement assaisonnées au sperme rance des amants que ma femme collectait consciencieusement. Le temps était rythmé par ma nourriture à laquelle j’avais pris gout.
Enfin, vint le jour tant espéré du bruit de l’aérateur qui se mettait en marche, annonçant l’ouverture de ma cage.
Comme d’habitude j’étais aveuglé par la lumière. Comme d’habitude, mes membres ankylosés refusèrent de se mouvoir.
Une main me tirait par l’oreille pour me tirer de mon cloaque. Je reconnus Ophélie et tremblait.
- Aller grosse merde sors de ta niche, viens nous montrer à quoi tu ressembles maintenant !
Je sentis qu’elle me resserrait un collier métallique et épais froid autour du cou. Une violente secousse sur sa chaine me fit tomber en avant. Des picots à l’intérieur du collier m’étaient rentrés dans la chair. Je rampais tant bien que mal pour diminuer la tension de la chaine et la douleur. Elle avançait impitoyablement et tirais sur la chaine et m’insultant. Des fourmillements atroces dans mes membres me torturaient. Je réussis enfin à me remettre à 4 pattes ou plutôt sur les coudes et les genoux. J’avançais et suivait ma tortionnaire. Elle s’amusait à me faire tourner autour de la pièce. Je me redressais cette fois sur mes mains toujours insérées dans leur étui.
Je réalisais que je ne connaissais pas cette pièce, ni ce lieu. Je me rappelais alors les secousses inexpliquées de ma niche et le tangage, qui m’avaient donné la nausée.
Ma niche avait donc changé d’endroit.
- Tu te demandes où je t’ai emmené sale con, hein ! Allez avance, dépêche-toi, montre moi comme tu suis bien ta maitresse !
Je regardais autour de moi, malgré la chaine qui me tiraillait, et découvrais tout un équipement aux murs d’engins de tortures : des croix, des crochets, des sangles. Des étagères étaient couvertes de harnais, de fouets de toutes sortes, de cordes, de plugs et sexes en latex démesurés. La pièce était immense. Elle m’entrainait, la nuque douloureuse dans un endroit carrelé de blanc avec une grille au sol.
- Quelle grosse merde : t’es tout couvert de vieux sperme, tu sens la vieille pisse et la merde. Beurk, tu me dégoutes, je vais te décrasser au jet. Laurence m’a dit que tu adorais ça, immondice ! Reste au-dessus de la grille que ta crasse s’évacue sinon je te fais lécher le sol complet !
Effectivement je réalisais que maitresse Nolwenn m’avait ramené encore couvert de sperme et m’avait enfermé dans ma niche directement.
Depuis combien de jours avais-je du rester dans cet état, nourris de croquettes au sperme. Même mon eau était coupée à la pisse, à moins que ce ne soit de la pisse coupée à l’eau...
Elle avait raison, je n’étais qu’un rebut de la société. Ma vie se résumait désormais à subir les volontés de ces trois femmes, 4 maintenant, apparemment :
être enfermé dans ma niche, lécher leurs chaussures, puis se faire enculer et sucer des bites à la chaine.
Je me rendais compte que j’avais perpétuellement un goût de sperme dans la gorge. Le gout âcre ne me dérangeait plus. Quel gout avait l’eau sans sperme ?
Un jet puissant me tira de ma rêverie. Ophélie, maitresse Ophélie, s’en donnait à cœur joie avec un jet puissant de karcher. Je devais tourner et présenter toutes mes côtés. Couché sur le dos, je la vis diriger son jet sur le pansement qui recouvrait l’emplacement de mon sexe. Le pansement se décollait sous la pression. Je ne voulais pas voir le résultat de cette ablation ! Je serrai les dents, elle insistait sur la cicatrice pour nettoyer son travail. Elle était contente d’elle et du résultat obtenu. Elle criait pour couvrir le bruit du karcher.
- Regardes moi ça, ce que tu es devenu : un bon toutou avec sa petite bistouquette et ses couilles qui pendent à l’air’
Je ne pus résister plus longtemps et ouvrait les yeux en grand. Une grande et fine cicatrice démarrait sous mon nombril jusqu’à mes couilles. Mon sexe avait disparu. Un drain qui m’avait servi pour uriner dans ma cage sortait d’un renflement sous cette cicatrice ! Elle tira lentement le drain pour ne pas abimer son œuvre souriait elle. La douleur me fit venir les larmes aux yeux.
Je découvrais alors éberlué que mon gland pointait à la sortie de ce renflement. Mon sexe n’avait pas été supprimé, mais se trouvait comme enfui dans ma chair. Je compris alors sa réflexion : ma bite n’était plus celle d’un homme mais celle d’un véritable chien. Fini une queue bandée droite et dure pointée vers le ciel, les veines gonflées de désir.
Pendant que je me mortifiais, hypnotisé par cette monstruosité, elle avait arrêté le karcher, m’avait fait mettre dans ma position habituelle du chien et m’enfilait maintenant le tuyau d’eau dans l’anus. Aussitôt je sentis mon sexe être excité.
Je baissais la tête pour regarder mon sexe, je ne vis que ma paire de couilles dégoulinantes qui se balançaient. Mes intestins se remplissaient d’eau et mon ventre gonflait douloureusement. Mon sexe se résumait à un gland gonflé d’excitation sorti de ce renflement. Il avait doublé de volume et était collé à mon ventre, sous mon nombril.
Maitresse Ophélie, qui se régalait de la scène et dont je ne voyais que les chaussures, en profitait pour enlever le tuyau et me laisser soulager mes intestins.
- Hum tu as vu mon œuvre ! Superbe démonstration d’excitation d’un bon toutou. Fini le sexe qui pendouille, maintenant il est bien rangé dans le fond de sa poche. Eh oui ça ressemble à ça maintenant ton petit sexe. Quand tu vois ta maitresse approcher et que tu es tout excité, le sang afflue et gonfle ton petit gland tout excité qui sort de sa cachette. Oh qu’il est mignon mon Rex avec ses couilles bridées qui tentent de remonter et son gland tout violacé qui tremblote d’excitation parce qu’il a un tuyau dans son gros cul. Maintenant il va falloir qu’on te trouve une bonne chienne excitée pour que tu t’entraines à la saillir de tes 3 cm ! Avec une petite femelle chihuahua tu pourrais peut-être y arriver. Ça te dirait ?
Elle éclatait de rire et me remit le tuyau dans l’anus. Je devais être propre de partout me disais elle.
Au bout de 5 lavements, elle tira sur ma laisse pour m’amener vers une sorte de banc de musculation en acier fixé au sol et munis de sangles en cuir. Je me retrouvais sanglé au cou, aux poignets, aux chevilles, à la taille sur celui-ci, le cul offert.
Je me doutais bien de ce qui m’attendais mais pas à ce point…
Elle m’expliqua qu’elle avait loué la salle à une amie de Madame Laurence pour la journée. Tous les articles de la salle étaient utilisables.
Elle sortit une mallette d’un meuble et vint se placer devant moi pour la poser à terre et l’ouvrir. Le couvercle soulevé, je ne pouvais voir son contenu, mais je frémissais de peur rien qu’en voyant son regard sadique. Elle prenait tout son temps et me répétait que la salle était disponible toute cette longue journée.
Elle se tenait accroupie face à moi de l’autre côté de la mallette. Elle avait passé une combinaison noire métallisée moulante qui ne cachait rien de son anatomie : ses cuisses larges, son cul énorme, son ventre proéminent et ses seins gigantesques qui semblaient vouloir s’écouler de la large ouverture laissée par la fermeture éclair. Elle n’avait pas les traits fins comme sa sœur et avait toujours été grosse. Ses doigts boudinés, son nez épais et son visage bouffis repoussaient plutôt le regard, mais ses seins me faisaient fantasmer depuis toujours. Et là encore, malgré la situation, je sentais que mon gland était sorti à nouveau de sa poche et se plaquait sous mon ventre.
- Tu vois Rex, depuis le début de ton mariage avec ma sœur, j’ai tout de suite vu que tu étais un gros con. Fier de ses 90 kg de muscle et de sa bite dressée pour le moindre jupon. Regardes toi maintenant, avec tes 60 kilos à mes pieds, nourris aux croquettes et dressé à l'abattage ! Je lui ai dit 500 fois de te larguer. Mais tu as profité de sa naïveté. T’as voulu fourrer ta queue à gauche à droite. Et puis ça t’a pas suffi. Il a fallu que tu me pelotes et que tu plaque ta queue contre mon cul, gros dégueulasse. Ma sœur était au rez-de-chaussée, mais il a fallu que tu te frottes à moi !’
Elle avait adopté un ton plus calme depuis quelques et cela m’inquiétait. Ce n’était pas dans son caractère. J’étais ficelé à ce banc, seul avec elle dans ce donjon de la SM. Elle me regardait dans les yeux, déterminée. Je baissais la tête et ne me débattais pas, bien que ma peur me commande l’inverse.
- Depuis ce jour, je savais que tu étais un malade. Ce qui t’arrive, tu l’as cherché. Avec la petite Nolwenn, t’es tombé sur un os. Alors les filles se sont occupées de toi. Ma sœur s’est enfin réveillée. Mais elles sont trop bonnes avec toi. Je leur ai dit ma façon de penser. Moi c’est simple, je t’aurais coupé les couilles. C’est Laurence qui n’a pas voulu. Finalement elle avait raison.
Sans couilles, pas d’envie et sans envie pas de frustration. Alors j’ai eu l’idée de te faire une bite de toutou. Ça leur a plu. Une toute petite bite inutile, juste bonne à pisser par terre. Comme ça doit être frustrant toi qui te vantait partout d’être un bon baiseur, te voilà maintenant les couilles pleines avec ta petite bite toute recroquevillée dans son fourreau.
- Tes moufles, c’est mon idée aussi. Voilà trois semaines que tes doigts sont immobilisés.
Elle se pencha pour défaire les sangles et enleva mes moufles rigides.
- Vas-y, ouvre tes doigts maintenant’
Je regardais mes doigts recroquevillés sur eux même avec la paume ouverte. Mes ongles étaient longs et sales. Je forçais pour relâcher mes doigts, mes mains tremblaient, mais mes doigts n’obéissaient pas !


Y en a encore..!

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