Quand un mari déclenche les ébats
pour se faire du mal... Et du bien.
e collègue amoureux
Chantal avait invité un collègue de sa boite. Divorcé, jeune, seul, sympa. Visiblement amoureux en secret de Chantal d'après moi. Elle avait tenu à lui faire fête et à cet effet elle m'avait demandé de faire bon vin et bonne chère. De son côté elle avait fait l'effort de toilette : une jupe noire plissée avec une large ceinture jaune en cuir, un chemisier bleu France un peu transparent avec des poches au niveau des seins pour la respectabilité. On devinait dessous un soutien gorge noir emprisonnant une poitrine bien dessinée.
En un mot, ma femme avait envie de plaire et cela me surprit un peu en me comblant d'aise néanmoins. Elle d'ordinaire si réservée et si peu enclin à se montrer, elle était ce soir classe et sexy en même temps
Le repas est bien arrosé et joyeux. On est gais tous les trois. Au salon pour les digestifs, la conversation passe sur la beauté des femmes, sur la féminité. Chantal prétend la féminité est une valeur intérieure. Pas besoin de montrer ses seins ou son cul pour être séduisante et sexy. Une femme qui s'exhibe est vulgaire et perd sa personnalité pour devenir un symbole sans âme. On n’est pas d'accord bien sûr.
Notre invité avoue qu'une femme habillée de façon provocante garde sa classe si cette classe est en elle intrinsèquement. La séduction comme la vulgarité ne se forcent pas elles sont dans la personnalité de l'être. Une femme habillée sexy donne envie d'être déshabillée.
Chantal s'emballe pour se faire entendre, elle a fort à faire devant ces deux hommes sexistes. Le débat s'anime, elle s'acharne. Elle provoque avec des mots et à cours d'arguments, elle passe à l'action.
Elle est assise, enfoncée dans un fauteuil face à nous. Elle est un peu saoule bien sûr et soudain elle se redresse et défait deux boutons de son chemisier pour nous montrer son soutien gorge, remonte sa jupe en haut des cuisses et veut nous prouver qu'elle apparaît pute ainsi exposée.
Un silence tombe dans le salon, les yeux de son collègue sont posés et rivés sur l'entrejambe ainsi dévoilé. Chantal ne se rend pas compte de la situation et de l'effet qu'elle nous fait, superbe ainsi dévoilée.
Notre invité est le premier à se ressaisir pour lui confirmer qu'elle est toujours aussi classe ainsi. Elle insiste, je me fais discret tant je suis ébahis du comportement de mon épouse devant cet homme qui visiblement la dévore des yeux. Elle s'énerve, se lève et part dans notre chambre voisine.
Quand elle revient elle porte toujours son chemisier mais cette fois on peut voir nettement qu'elle a ôté son soutien gorge, tandis que ses jambes apparaissent gainé de bas noirs.
La tension monte, je croise le regard de notre invité qui ne sait plus quelle contenance prendre. Je le rassure d'un sourire. On continue, jusqu'où ira-t-elle ? Le regard de Chantal est provoquant, sûr de lui. Elle est la maîtresse du jeu et elle le sait.
Quand elle se laisse tomber sur le coussin bas du salon, elle relève volontairement sa jupe pour découvrir le haut des bas, là où la peau blanche tranche brutalement avec la couleur noire du bas. Nos yeux sont rivés dans cet entre-jambe où l'espace d'une fraction de seconde apparaît le triangle noir de son pubis. Elle a ôté également sa culotte !
C'en est trop, on est tous les deux dans un rêve fou et Chantal s'en réjouit tout en feignant d'ignorer l'effet qu'elle produit. Elle sourit et provocante demande si elle est toujours classe ainsi dénudée ? N'est-elle pas vulgaire ?
Et bien non ! Elle reste toujours aussi classe et c'est ce qui la rend encore plus bandante. Agacée elle poursuit et en nous regardant fièrement dans les yeux, elle défait deux autres boutons du chemisier, écarte légèrement les pans du vêtement nous dévoilant en partie sa poitrine. Je suis au bord de l'éjaculation sans me toucher. Moi qui ai toujours eu envie d’exhiber ma femme.
Le collègue est immobile de peur de rompre le charme. Comme on ne bronche toujours pas et pour sûr, elle remonte encore un peu plus sa jupe pour nous exposer les poils noirs de son sexe nu. Se soulevant, elle dégage la jupe de dessous les fesses pour s’asseoir à même le cuir du coussin. Ainsi dévêtue elle ne nous cache plus rien de son intimité. Mon voisin est tout rouge et ne détache pas ses yeux des jambes et du ventre nu là juste devant, presque à portée de main. On sent qu'il a du mal à se contenir. Elle rit triomphante sûre d'elle même, sûre de son effet. Elle est ravie de nous exciter tout en montrant combien elle est gonflée. Et soudain satisfaite et dégrisée elle se rajuste et prend congé de nous pour regagner sa chambre.
En raccompagnant notre invité qui est devenu mon complice en quelque sorte, je m'arrange pour le placer devant la grande baie vitrée de notre chambre entièrement éclairée.
On parle et je sais que placé de la sorte il a une vue directe sur la chambre et au fond la salle de bain où Chantal est en train de se déshabiller. Le fin rideau qui tapisse la baie vitrée ne cache rien de notre intérieur.
Chantal est dans la salle de bain, on la voit qui se peigne. Elle est déjà en chemise de nuit. C'est un long tee-shirt imprimé qui lui arrive à mi-cuisse. On est là tous les deux, silencieux et complices en train d'épier cette femme qui se couche. Cette femme qui est la mienne.
Quand elle se coiffe, ses bras levés font monter le vêtement découvrant le haut des jambes et par moment on peut apercevoir quelques poils du pubis. Mais on est loin et Chantal est à moitié cachée, mais c'est la situation qui est si excitante : j'exhibe ma femme à ce collègue amoureux d'elle. Elle passe dans la chambre, on est invisibles au dehors dans le noir, elle se couche.
Je raccompagne mon complice à la porte du jardin. Il m'avoue qu'il a apprécié cette soirée très extraordinaire pour lui, combien il a été troublé par la conduite de ma femme.
Je lui demande s’il l'a trouve jolie et à son goût ? L'alcool aidant il me raconte qu'il est amoureux d’elle en secret depuis longtemps et qu’il a été excité par le spectacle aussi beau qu’inattendu.
Alors la folie me prend et je lui propose de revenir à notre poste d'observation et que j'allais m'arranger pour lui en montrer d'avantage. Il hésite un court instant, incrédule.
- Vous pourrez ainsi juger de sa classe même complètement nue.
L'excuse est grosse et personne n'est dupe. On retourne et je le laisse sur la terrasse à son poste d'observation. Rentré je joue les amoureux avec mon épouse en la félicitant de cette soirée merveilleuse qu'elle nous avait fait vivre. Je lui raconte que je pense que son collègue est amoureux d'elle et qu'il est tout malade de rentrer alors qu'il aimerait être à ma place. Je la sens flattée et émue mais elle n'ajoute rien.
- Ta classe, ta personnalité lui en imposent et il m'a avoué que tu lui avais fait beaucoup d'effets.
On se couche. Elle dort du côté de la porte fenêtre, à moins d'un mètre de la vitre. La lumière est pleinement allumée, les volets toujours levés. C'est l'idéal. Je la prends dans mes bras, elle tourne le dos à la fenêtre. Je lui caresse lentement le dos et les fesses. Elle ferme les yeux. Il me faut être prudent car elle n'accepte pas de faire l'amour volets ouverts et lumière allumée. On peut nous voir de la rue au bout du jardin. Mais ce soir elle est encore un peut grisée par l’alcool.
Lentement en m'aidant de mes jambes je m'arrange pour faire remonter les draps. On passe dessus. Elle est très excitée et un peu gaie. Elle oublie toute précaution. Je passe une main sous la chemise de nuit et remonte le vêtement pour mettre à la lumière les fesses bien rondes que j'expose ainsi au regard de mon complice.
Le sillon qui sépare ses fesses est bien marqué, profond, long et arrondi. Je sens notre voyeur derrière la vitre et je le vois même tant il s'est rapproché pour ne rien manquer du spectacle. J'appuie ma caresse pour écarter les globes blancs des fesses de mon épouse pour exposer son intimité. Le voyeur a porté une main à son sexe et se caresse à la vue de ce sexe offert. Je bascule sur le dos entraînant Chantal au dessus de moi. Ses jambes s'écartent de part et d'autre de moi, ouvrant son sexe qui se frotte au mien bandé. Je la sens toute mouillée et l'autre doit voir ce détail. Il a sorti son sexe et se masturbe lentement en jouissant du spectacle, silencieux.
Alors pour encore mieux l'ouvrir, je demande à Chantal de se mettre à genoux. Comme elle est bien dans l'axe de la vitre l'autre doit se sentir presque dans le sexe de ma femme. Elle se redresse, passe ses mains dans son dos, se saisit de mon sexe bandé pour se l'introduire dans le ventre en se laissant retomber dessus.
Comme la chemise est retombée je la relève pour être sûr que son collègue ne rate rien du sexe perforé dont je sais qu'il est désiré par cet homme amoureux. Il a devant lui ce cul superbe dans lequel s'enfonce ce gland humide de sécrétions. Il doit lui aussi lui faire l'amour en ce moment présent. Je la pénètre brutalement et elle se couche sur moi, toujours à genoux ce qui doit l'ouvrir encore plus à mon sexe et au regard de son amoureux. Pour encore en rajouter, je lui saisis les fesses pour les forcer à s'ouvrir davantage et exposer cet accouplement. Avant de jouir, j'imagine une autre position pour aider mon complice à aimer ma femme par mon intermédiaire. Lui offrir encore plus de son intimité.
Je la bascule sur le dos, ses jambes vers la fenêtre pendent au bord du lit. Je me retourne et me dirige vers son ventre entre ses cuisses que j'écarte pour les ouvrir à la vue de son collègue que je vois nettement en train de se masturber derrière la vitre, éclairé par la lumière de la chambre tant il est près. De mes deux mains, j'écarte doucement les grandes lèvres pour exposer le clitoris tout luisant de sécrétions. Chantal est très excitée et cela se devine clairement. De mon index je commence une lente masturbation allant et venant le long des lèvres, introduisant délicatement mon doigt pour le ressortir humide et reprendre le massage du petit bouton de plaisir. Par moments je quitte le sexe pour me diriger vers la raie chaude entre les fesses que j'écarte pour exhiber le petit trou noir que je caresse avant d'y introduire lentement mais avec fermeté mon doigt pour forcer ce passage si étroit et si chaud de mon épouse.
Les lèvres sont béantes, toute luisantes. Chantal se trémousse sous les caresses, elle se contorsionne dans tous les sens sous ma caresse. Sa respiration s'accélère et elle me demande de venir en elle. Comme je suis moi aussi au bord de jouir, je me retourne et me précipite pour forcer ce sexe ouvert. Je lui prends ses deux jambes pour les lever bien haut, exposant les fesses et tout en les écartant, ouvrir ce ventre qui m'appelle mais aussi pour l'offrir au regard de l'autre et c'est sans effort que je la pénètre.
Au moment de mon éjaculation, la pensée de nous montrer ainsi à cet inconnu, décuple mon plaisir. Mais j'en veux plus et je quitte le ventre pour me diriger plus bas vers ce tout petit trou que je commence par forcer lentement pour laisser le temps à l'autre de comprendre mon intention. Et quand je sens le plaisir venir je pénètre les reins de mon épouse et l'idée de l'enculer devant son collègue pousse mon plaisir à son paroxysme et l'éjaculation qui s'en suit est interminable en durée et en abondance et c'est le moment que choisit également Chantal pour jouir violemment.
Je pense que le voyeur a dû jouir à son tour, car j'ai juste le temps de deviner plus que de voir une ombre s'éloigner.
OooOOooo
Les jours qui suivirent cette soirée, j'ai beaucoup parlé avec Chantal de sa conduite en présence de son collègue et combien il m’avait été agréable de la savoir si gonflée elle si bloquée d'habitude. Elle a fini par m'apprendre qu'elle se doutait qu'elle lui plaisait beaucoup ce qui la flattait et c'est ce qui l'avait incitée à se livrer si librement.
En poussant plus loin mes questions j'apprends même que ce collègue lui avait fait une déclaration à mi mots puis carrément claire à laquelle elle n'avait bien sûr pas répondu. Plus tard j'apprends qu'il lui avait écrit une lettre de déclaration. Je suis intrigué et jaloux, j'ai peur car je sens que ma femme me cache ou m'a caché quelque chose.
Et en pensant à rétro que j'ai exhibé l'être aimé à cet homme, j'en ai froid dans le dos. Surtout qu'elle finit par m'avouer qu'ils ont échangé un baiser. Tout s'écroule pour moi, ma femme me trompe. Je suis fou de douleur et c'est ce qui m'excite. Que faire. Je l’interroge. Et je lui fais l'amour comme un fou comme pour me rassurer et me prouver qu'elle m'aime encore. Mais la jalousie me tenaille. Je n'apprends rien de plus mais je lui fais jurer de tout me dire sur l'évolution de ses rapports avec son collègue qu'elle voit de fait tous les jours au collège.
J'ai saisi alors le supplice que j'ai infligé à cet amoureux en faisant l'amour à celle qu'il aime, ma femme. Mais c'était à mon tour d'être pris au piège et je n'étais pas sûr d’être le gagnant. Surtout qu'il m'était interdit de savoir si Chantal n'était pas un peu ou même beaucoup amoureuse de cet homme.
Ma jalousie est au plus fort quand un soir elle m'apprend qu'ils ont déjeuné ensemble. Il lui a réitéré sa déclaration en lui avouant même que la soirée passée chez nous l’avait confirmé dans son amour. Apparemment il n'avait pas trahi notre secret. Elle m'avoue aussi qu'elle a été sous le charme et qu'il ne lui est pas insensible. Il est doux, patient et sait la mettre en valeur en la positivant. Elle m'avoue qu'elle est bien avec lui tout différemment d'avec moi. Il est très séduisant et elle se laisse volontiers aller à l'écouter la complimenter sur sa beauté et ses charmes. Elle est séduite. Au dessert elle lui a accordé un baiser. Et en la cuisinant de me livrer des détails, elle m'avoue qu'il a laissé passer légèrement sa langue et que cela l'avait troublée un peu…
Je suis fou ! Au restaurant !
Devant tout le monde, elle si discrète d'habitude. Quand il lui a pris sa main sur la table elle ne s'est pas dérobée et a beaucoup apprécié ce moment. En sortant du restaurant il lui aurait pris la main encore et échangé un autre baiser. A nouveau, il aurait forcé sa bouche mais elle s’est refusée cette fois, car elle a peur des conséquences. Elle me répète qu'elle apprécie beaucoup sa compagnie, qu'elle se sent très détendue en sa présence. Tous ces mots me font mal mais en même temps me troublent et m'excitent.
Ma femme a un petit coup de cœur pour un de ses collègues.
J'étais fou de jalousie et j'ai voulu jouer encore plus avec le feu. Je partageais un secret avec cet homme : j’avais fait l'amour à ma femme, à son insu devant lui.
J'ai décidé de l'inviter à déjeuner pour lui parler et en savoir plus.
Je lui ai appris tout de suite que je savais tout. Il s'en doutait bien mais cela lui importait peu car il ne voulait pas briser mon ménage mais simplement aimer ma femme comme il l'aimait depuis bien longtemps. Et puis on avait la complicité du fameux soir !
Il me confirme qu'il n'a rien manqué du spectacle et qu'il avait joui par deux fois dans la soirée. Il aime Chantal et s'en excuse même. Je lui propose alors de l’aider à se rapprocher d’elle mais aussi pour mon plaisir, mon vice.
J’avais confiance en lui et jeter ma femme dans ses bras ceux de son amoureux m’excitait trop pour ne pas prendre de risque. J’aime Chantal par dessus tout et c’est peut-être un des paramètres de ce jeu bien dangereux. Je lui précise que c'est moi qui dirige la musique. Il accepte car il a trop envie de la revoir.
Je lui avoue l'attirance de Chantal pour lui et que je joue un jeu bien dangereux. Mais c’est plus fort que moi et cela m'excite encore plus en sachant qu'il existe un sentiment entre eux et c'est ce qui me fait bander! Je lui propose de venir dîner un soir quand nous serons seuls sans les enfants.
Quand j'annonce à Chantal mon invitation elle est d'abord surprise et inquiète. Elle redoute mes réactions. Mais vite je la rassure sur mes intentions. Je lui explique que je suis bien dans ces rapports et que c’est l’occasion pour elle de faire le point sur cette aventure en ma présence.
Elle accepte rassurée mais surtout je crois qu’elle a envie de rencontrer cet homme. Et que j'ai envie de contrôler la situation. Ma femme m'aime et elle semble maintenant ravie de ma décision. Je lui propose de se faire belle comme bon lui semblera.
Le soir venu, il arrive avec un énorme bouquet de fleurs. Il sait le rustre la faiblesse que Chantal porte aux fleurs. Elle trouve un vase, place ses roses et autres fleurs, ravie. On s’installe l’un à côté de l’autre dans un fauteuil du salon pour la regarder faire. Il est très détendu, je le suis moins. Voir Chantal si heureuse attise déjà ma jalousie. C’est sûr elle est heureuse de la présence de son collège, de son amoureux, de mon rival et complice…
Elle s’est bien faite belle : un chemisier blanc, une jupe à fleurs sage. Ses jambes sont recouvertes de bas couleur chair, ses pieds habillés de chaussures à hauts talons. En souvenir de notre première soirée elle a voulu se montrer à la fois classe et sexy en évitant la vulgarité.
Je propose de prendre l’apéritif, et elle passe en cuisine le temps de servir. Mon regard croise celui de notre invité. Il n’y a aucune ambiguïté : il sait pourquoi il est là et moi aussi. S’il veut Chantal il ne veut pas m’exclure. Je joue rassuré et terriblement excité. Chantal ne se doute visiblement de rien.
Elle nous rejoint pour nous accompagner à boire. Elle est vraiment jolie et elle ne cesse de s’occuper de son collègue. Elle le dévore des yeux et lui ne cherche qu’à la séduire. A un moment même je suis près de la rupture mais l’excitation est plus grande et de me sentir exclu par ma femme me fait mal et en même temps m’excite. Chantal par moment semble ne plus me voir. Elle se sent aimée et ma présence semble l’avoir libérée d’une culpabilité à mon égard.
C’est ce que je cherchais. Bien joué !
Pour tenter le diable je m’absente prétextant aller chercher le vin. J’écoute caché. Un silence lourd s’étend dans le salon. Ils ne parlent pas, j’imagine ; je les ai laissés l’un près de l’autre, à portée de bouche. Je reste caché, dresse l’oreille à l’affût du moindre bruit. Rien et pourtant je suis sûr qu’ils doivent s’embrasser. Le whisky aidant elle doit être plus libérée. Je bande déjà et je souffre, je remonte en me raclant la gorge pour avertir de ma venue. Ils sont toujours l’un près de l’autre mais très sages.
Pourtant je trouve que les joues de Chantal sont plus rouges que roses. Je suis persuadé qu’ils ont du s’embrasser. Je cache comme je le peux mon érection mais elle n’échappe ni à l’un ni à l’autre. Ils comprennent et surtout Chantal que cette situation ne me déplait pas et je crois comprendre qu‘ils sont décidés à en profiter.
Quand elle nous invite à passer à table l’atmosphère est très détendue et sérieuse. On est bien tous les trois. En passant près de moi Chantal me donne un baiser dans le cou, un baiser de tendresse. Quand elle passe en cuisine, je la suis et la questionne s’ils se sont embrassés. Elle rougit très fort, détourne son regard. J’insiste. Elle s’enfuit dans la salle à manger retrouver notre invité.
Le repas se passe en banalités. Chantal parle beaucoup, bois bien, se détends de plus en plus. Au dessert ses yeux brillent et elle a le rire facile, un peu fou. Je crois bien qu’elle est saoule.
On passe au salon. Je propose de faire les cafés. Je laisse Chantal près de son collègue affalée dans le grand canapé. Je prépare des digestifs. Je suis décidé à pousser le jeu le plus loin possible et même…Quand je rentre, je les trouve l’un contre l’autre, elle a sa tête sur son épaule qu’il entoure de son bras. Elle a les yeux fermés, abandonnée. Je reste interdit sur le pas de la porte, silencieux. On se regarde, il comprend vite que j’accepte, que Chantal est à lui en ce moment. Je le sens heureux.
Alors, il se penche sur elle, me regarde encore une dernière fois, et délicatement il dépose un baiser sur ses lèvres. Chantal ne bouge pas mais ne rend pas le baiser. Les cafés attendront, je vais m’asseoir en face immobile, attentif et voyeur de ce qui va se passer.
Alors l’homme s’enhardit. De sa main qui tient ma femme dans son bras droit, il caresse la joue, descend sur le cou qu’il entoure dans une caresse lente et légère. La main glisse lentement sous le menton, descend vers l’échancrure du chemisier, caresse le cou là où la peau et si douce et sensible, remonte et quand elle redescend elle plonge un peu plus profondément pour atteindre le premier bouton du chemisier qu'il défait en tremblant. Il s’arrête un moment comme pour craindre une réaction qui ne vient pas. Ses lèvres sont tout près de celle de sa proie.
Chantal, les yeux fermés, la tête en arrière offre son cou aux caresses de son collègue. Elle semble dormir et se laisse caresser devant moi. Elle a pourtant senti cette main qui défaisait le bouton du chemisier. La main comme libre de toute contrainte descends plus bas et c'est le second bouton qui cède. Je l’entends qui respire doucement, calmement goûtant ce moment présent.
Chantal à cet instant ouvre les yeux, elle me regarde. Je sens un frisson parcourir ma colonne vertébrale : son regard signifie qu’elle se donne à cet autre et qu’elle l’aime. Ma queue me fait mal dans mon pantalon. Je souffre et je jouis. Quand elle referme ses yeux, je comprends en cette minute que je n’existe plus. Lentement elle se tourne vers son jeune amoureux.
L’homme avance alors son autre main plus libre et plus mobile par devant, elle peut doucement se glisser sous le fin tissu pour recouvrir et caresser le sein gauche sur le soutien gorge. Elle écarte le chemisier dévoilant le soutien gorge blanc gonflé des deux seins convoités.
Chantal ne bouge toujours pas, comme endormie, elle s'abandonne, les yeux clos. Son soupirant est tout rouge, sa main remonte sur la poitrine et caresse les deux seins au dessus du tissu blanc. Ne pas aller trop vite. C’est sa main au bout du bras, celle qui soutient la tête, qui se met à descendre et se glisser sous le tissu pour s’avancer et chercher à atteindre la pointe du sein. Elle marque un temps d’arrêt comme pour mieux profiter du moment présent et de ce qu’il lui fait espérer. La main passe sous le sein pour le flatter, le faire danser.
L’homme est expert. Puis entre le pouce et l’index, on le devine sans le voir, elle se saisit du mamelon pour le faire rouler doucement, l’exciter et le faire jaillir comme preuve de l’excitation de la femme. Chantal est très sensible de la pointe des seins et de les effleurer simplement les font saillir instantanément. De sa main qui fait face il défait les deux derniers remparts du chemisier, le dégage de la ceinture de la jupe et en écarte les deux pans exposant cette fois le corps jusqu’au nombril. L’homme qui caresse toujours le sein droit explore. Ses yeux passent d’un sein à l’autre, descendent sur le ventre nu remonte regarde le soutien gorge, le cou et le visage endormi de cette femme qu’il a tant désiré. Il ne veut pas rompre le charme alors il va lentement, calmement. Il est sûr de lui, convaincu qu’il a conquis celle qu’il aime depuis si longtemps en silence.
De la main qui caresse les seins il écarte le tissus du soutien gorge pour dégager le mamelon qui jaillit soudain à la lumière. Je regarde, je suis au bord de la jouissance, sans même me toucher. L’homme aussi regarde, contemple ce sein qu’il tient entièrement dans sa main. La pointe dressée est pincée sans force entre les deux doigts. Elle écarte davantage le tissus dévoilant le sein entièrement dégagé de son support. La main s’écarte, le sein est nu tout nu, soulevé par le bord du tissus. Blanc à la peau lisse et brillante il éclate à la lumière. Le mamelon est couleur caramel avec une pointe plus sombre bien saillante. Il est parfaitement dessiné d’un cercle parfait. Excité il se dresse fièrement à nos regards.
La main gauche quitte les seins pour s'emparer du bord de la jupe qu’elle commence à remonter lentement. Chantal soulève son bassin pour aider à la manœuvre. Elle coopère ! Les cuisses apparaissent dans des bas noirs qui tiennent seuls. La jupe est relevée au dessus du petit slip également noir.
Les fesses sont dégagées et reposent maintenant à même le cuir du salon. L'homme commence à caresser les cuisses lentement sur le dessus d'abord puis dans l'intérieur où elle vient flirter avec l’élastique de la culotte qu'elle écarte pour exposer un peu des poils du pubis. L'homme regarde ce qu'il découvre. Un doigt passe maintenant sous le fin tissu et s'engage au milieu du pubis. Chantal gémit sous la caresse, sa respiration s'accélère et son plaisir se lit sur son visage alors que ses yeux sont toujours clos.
Ses jambes s'ouvrent à peine pour inviter la caresse à s'avancer plus avant. Une de ses mains se saisit de la main de l'homme pour l'inviter à appuyer sa pression et à aller plus loin. L'homme approche sa tête et dépose un petit baiser sur la joue de Chantal puis il s'empare de ses lèvres qu'il embrasse d'abord doucement en les caressant de ses propres lèvres, Chantal entrouvre la bouche laissant apparaître leur partie humide. Elle passe alors sa main droite derrière le cou de son amant l’attire et lui rend le baiser. D'où je suis je vois leurs langues qui se mêlent alors que leurs respirations s'accélèrent.
La main est revenue à la poitrine qu'elle caresse maintenant plus violemment. Les deux amants sont seuls, je n'existe plus, simple témoin qui voit sa femme devant lui, ouverte abandonnée et se donnant du plaisir avec un amoureux qu'elle aime. Je suis fou! Les doigts s'insinuent maintenant sous le tissu du slip pour pouvoir caresser le sexe à même la peau. Les langues se fouillent encore plus.
Soudain je vois la main droite de Chantal descendre vers le sexe de l'homme et commencer à caresser la grosse bosse qu'il fait sur le pantalon. Elle est complètement décomplexée. Je ne reconnais plus ma petite femme si douce. L'ambiance devient encore plus chaude. J'ai sorti mon sexe et sans vergogne je me caresse devant ce spectacle. Je sais que Chantal ne baise pas mais qu'elle fait l'amour. Fait l’amour à cet homme pour qui elle s'est découverte un sentiment. Elle est séduite. Elle l'aime plus que moi dans cet instant et ma souffrance me fait bander. C'est ma jalousie mêlée au sexe qui me rend fou d'excitation.
Chantal se laisse aller sur le dossier du fauteuil, s’abandonnant aux caresses de son amant. Elle est nue jusqu’à la taille, ses seins en pleine lumière. La jupe remontée fait comme une ceinture à la taille, ses jambes s’écartent contre les accoudoirs pour exhiber son ventre.
Sa culotte écartée ne cache plus grand chose maintenant de son pubis et ses lèvres brûlantes brillent des sécrétions de son plaisir. Car maintenant l’homme a fait pénétrer un doigt dans l’intimité de sa conquête et la branle violemment.
Plus de tendresse dans son geste mais un va et vient rapide et brutal destiné à donner du plaisir. Du plaisir Chantal en montre, elle respire bruyamment, la bouche ouverte et les yeux fermés. Un clapotis de liqueur de son sexe se fait entendre. Un second doigt est introduit qui provoque chez Chantal un sursaut. Il la branle de plus en plus fort et ses doigts ressortent tout humides du ventre ouvert en faisant un bruit de gargouillis très excitant. D’où je suis je vois bien la main qui fonce vers le sexe ouvert pour s’arrêter et ressortir de plus belle avant de recommencer son geste obscène. En même temps il lui suce la pointe du seins le plus près de lui. Il s’arrête un moment pour enlever complètement le slip et elle qui se laisse faire et même encourage son complice.
Alors l’homme se lève, contemple le corps exposé et lentement défait sa ceinture baisse son pantalon et son slip. Sa bite énorme apparaît toute raide et humide. Il bande très dur. J’ai peur car à ce moment je veux qu’il baise ma femme, qu’il la saute comme la véritable salope que j’ai toujours voulu qu‘elle soit.
Se laissera-t-elle aller ?
Se laissera-elle pénétrer par ce sexe dressé devant elle ?
Soudain elle ouvre les yeux. Son regard se pose sur la colonne de chair devant elle. Elle fixe le sexe, étonnée puis elle referme les yeux comme pour signifier son accord. Je suis obligé de respirer et me concentrer pour ne pas éjaculer à ce moment là. Mais l’homme fait un pas en avant. Son sexe est tout proche du visage de Chantal. Elle ne bouge pas, alors l’homme prend sa queue dans sa main, fait quelques mouvements de va et vient, décalotte complètement son gland et le passe lentement sur la joue de Chantal. Il s’approche des lèvres qui restent fermées. Il les caresse revient sur les joues qui se couvrent de sécrétion.
Alors la tête se tourne lentement vers le gland, les lèvres s’entrouvrent, l’homme présente son sexe et la bouche s’ouvre largement pour happer le gland en entier. Elle avale lentement une grande partie de la colonne de chair qui pénètre, pénètre. Il me semble que cette bouche va avaler la bite en entier. Soudain, elle arrête sa progression comme en butée au fond des tripes de ma femme. Un temps d’arrêt et vite elle ressort pour à nouveau pénétrer. Chantal est en train de sucer la bite de son amant. Elle y met tout son cœur, laissant sa langue parcourir, englober, sucer le gland et la tige. De sa main elle se saisit des couilles suspendues devant elle pour les caresser et ajouter au plaisir de son collègue.
Je la vois même glisser sa main entre les fesses et caresser le cul de son amant. Elle prend vraiment du plaisir à sucer cette bite et la faire jouir. Elle y met tout son cœur ! Attirant de ses mains le ventre de son amant, elle l’invite à lui baiser la bouche encore plus profond, encore plus loin. Mais ce n’est pas dans sa bouche qu’il veut jouir, aussi il se retire, balade sa bite sur les seins, le ventre, le visage. Ils s’aiment ces deux là. Sans moi. Je sais qu’il va la baiser. Je sais qu’elle va se donner, qu’il va la prendre.
Devant mes yeux le tableau est irréel : Chantal est affalée sur le canapé du salon, nue des épaules à la ceinture, sa jupe roulée sur ses hanches qui découvre ses jambes, son sexe et son ventre. Dans cette position ses seins restent fermes, pointés fièrement par l’excitation. Pas très gros certes mais bien dessinés. Elle regarde son amant devant elle, en train d’enlever son pantalon et son slip, pour finir par se mettre complètement nu. Il est sûr de lui, il va baiser !
A son tour, se soulevant, elle se débarrasse de sa jupe pour ne garder que ses bas qui tiennent seuls. Elle s’allonge sur le dossier du fauteuil, les fesses au bord du fauteuil et je la vois qui tend les bras vers son amant pour lui demander de venir à elle.
Ce simple geste m’est insupportable, ma bite encore enfermée me fait mal et d’un seul coup, je sens que je jouis ; lentement, du sperme s’échappe sans me toucher. L’excitation est si forte que j’ai l’impression que je ne vais pas m’arrêter. Ce ne sont pas des jets mais un écoulement continu accompagné d’ondes de chaleur le long de mes jambes. Je ne crois pas avoir déjà joui aussi fort.
Devant moi, l’homme s’est agenouillé entre les cuisses de Chantal qu’il tient ouvertes. Sa bite décalottée, toute gluante de son jus et de la salive de Chantal, pointe à l’entrée de la caverne sacrée de mon épouse. Il va la prendre. Mais il se ravise et glisse ses mains le long de l’intérieur des cuisses, lentement remonte vers le sexe.
Ses doigts se saisissent des lèvres toutes luisantes également, les écartes et s’emparent du petit bouton turgescent à leur sommet. Il le dégage des petites lèvres, tendrement, amoureusement. Chantal a un mignon petit clitoris bien individualisé. Il joue avec lui entre ses doigts avec délicatesse. Ma femme secoue sa tête de droite à gauche en poussant des petits gémissements de plaisir. Elle soulève son ventre à la rencontre de ces doigts qui la caressent. L’homme sait y faire, il alterne frôlement et pincements. Le petit bouton se dresse rouge, turgescent, brûlant. Entre les lèvres perlent des gouttes de cyprine. Chantal a la bouche ouverte et cherche de l’air, ses joues sont rouges. Ses seins pointent.
Elle prend la tête de son amoureux et la porte entre ses cuisses contre son sexe l’invitant à la lécher. Avec moi, elle ne prend que rarement des initiatives. Elle reste assez passive, soumise et attentive à mes initiatives. Ici elle prend en main sa jouissance demandant, réclamant même des caresses bien précises. Je suis mort de jalousie. Je découvre mon épouse alors qu’elle se donne à son jeune amant amoureux d’elle.
L’homme collé entre ses cuisses donne de la tête à droit et à gauche de plus en plus vite. Il la chauffe, la fait s’enflammer d’attouchements. Pour bien la pendre il a passé ses mains sous les fesses nues et la maintien contre lui pour appuyer sa manœuvre.
Soudain j’entends ma femme lui dire :
- Viens, viens, vite prends moi, je suis à toi.
Chantal a dit cela d’une voix tremblante, chaude, amoureuse. C’est elle qui attire l’homme en elle. Elle se saisit de son membre dressé, dur, brutal, violent et le guide vers son sexe ouvert. Devant l’entrée, elle ôte sa main, libère le bâton de chair et son amant s’enfonce en elle d’un seul coup. D’un seul coup il se plante au fond de son ventre. Chantal pousse un cri, elle se livre.
Très vite l’homme ressort et commence des va et vient contrôlés, la limant posément, calmement, sûr de son fait et de son effet sur sa femelle qu’il possède, qu’il soumet. Chantal a son visage qui se crispe comme dans la douleur. Elle a les yeux grands ouverts maintenant et regarde son amant dans les yeux. Elle lui dit de cette façon qu’elle l’aime aussi, qu’il va la faire jouir comme jamais. Dans un souffle je l’entends soudain qui lui dit :
- Je t’aime… souille-moi… remplis moi de ta semence… enfante-moi. Je te veux…
Lui est silencieux, tout à la prendre, à l’aimer.
Moi, j’assiste, je jouis aussi. Ma bite est habitée de spasmes, mes jambes tremblent. J’ai chaud, j’ai froid, je n’en peux plus de jouir et de souffrir en même temps. Elle me fait mal. Je n’ai plus rien à éjaculer mais je jouis encore. Je jouis d’être cocu. Je jouis de voir cette queue plus grosse que la mienne soutirer des cris de bonheur, de jouissance à ma femme. Je la voulais mienne pour toujours. En cet instant elle se donne à un autre. Je n’existe plus ni pour l’un ni pour l’autre.
A cet instant l’homme commence à crier, il s’enfonce de plus en plus profond, accélère son mouvement. Ils n’en terminent pas de jouir. Pour aller encore plus loin en elle, il lui prend les chevilles et lève ses cuisses qu’il dépose sur ses propres épaules. Chantal est maintenant écartelée et plus rien n’empêche cette queue de la féconder, de la rendre mère quand elle va déverser dans son ventre tout son sperme, tout son foutre toute sa purée ! Et d’un coup l’homme et la femme se crispent, Chantal se mord les lèvres et dans de longs râles il se vide en elle. Je jouis encore une fois en même temps qu’eux.
Au bout de quelques instants pendant lesquels les deux amants reprennent leur souffle, un lourd silence s’installe dans notre salon.
Chantal me regarde et très vite détourne son regard.
Culpabilité ? Mépris ? Indifférence ?
Je ne sais pas, je n’en sais plus rien. J’ai mal au cœur maintenant. Au cœur qui aime, celui qu’on garde pour une seule femme.
Je crois que tout est fini, qu’elle va reprendre ses esprits et me revenir.
Son amant s’est allongé à ses côtés, repus, exténué. Chantal avec une infinie tendresse lui caresse les cheveux. De la tendresse maintenant. Le cauchemar continue.
D’un seul coup, elle se lève brutalement et sans un regard pour nous, elle s’en va vers sa chambre, notre chambre. Très vite on entend le bruit d’une douche.
Tous les deux restés au salon, on se regarde. Son amant semble comblé mais il ne sait pas ce qui va advenir après cette soirée.
Et comment Chantal va t-elle vivre demain ?
Culpabilisée ?
La réponse ne se fait pas attendre. Elle revient nous rejoindre tout souriante. Elle a passé un peignoir de bain, et comme si de rien elle nous lance :
- Je vais me coucher, bonne nuit !
Et nous on reste là comme deux imbéciles. Et c’est comme cela qu’a commencé une période de ménage à trois, qui s’est terminée par la défaite de l’amant parti faire sa vie à l’étranger. Moi, j’ai récupéré l’amour de ma femme et je conserve aujourd’hui encore le souvenir intact de cette soirée de folie.
Fin