Quand la maman de l’oie blanche
laisse entrer par sa petite porte.
Le Pasteur Poursuit Sa Carrière :
Suite VII
Le deuxième soir de son excitant séjour à Presswood, le professeur Amos Thompson avait été pris en charge par les fiancés pour aller souper avec les parents de la future.
Amos savait pertinemment pourquoi Kelly s'était fait accompagner de son fiancé pour venir le prendre à l'hôtel et l'emmener chez ses parents.
La petite salope savait que si elle était venue chercher son hôte il en aurait profité pour s'ouvrir l'appétit en goûtant à ses charmes avant de l'amener chez ses parents.
- Je l'aurai allongée jambes grandes ouvertes sur mon lit pour goûter sa savoureuse petite huître juteuse, mais cela attendra bien demain soir, la nuit précédant ses noces! Gloussait-il en son fort intérieur.
Kelly Garrison savait très bien ce qu'avait en tête cet homme qui la faisait ignoblement chanter.
Elle avait été violée, mais elle ne pourrait jamais le prouver, déjà qu'elle ne comprenait pas au fond d'elle-même pourquoi elle s'était rendue au domicile de son pervers professeur pour évoquer sa note finale, d'autant plus qu'elle était en tête de sa classe.
Mais la cassette qu'elle avait visionnée semblait prouver qu'elle s'était rendue chez lui pour négocier l'obtention d'un "A", et depuis sous la menace de voir cette vidéo envoyer à ses parents, son fiancé, et ses proches, elle livrait ses charmes à son abject prof qui en avait abusé chaque nuit lors de ce dernier trimestre.
Kelly représenta son vil bâtard de maître-chanteur à ses parents.
Jetant un œil sur sa montre Kelly se mit à espérer que la demi-heure à venir passerait rapidement et qu'elle partirait sans problème, son fiancé l'ayant momentanément laissée tomber pour rencontrer ses vieux copains qui préparaient l'enterrement de sa vie de vieux garçon.
Elle n'avait pas pris conscience que son pervers professeur avait des intentions lubriques concernant sa mère qu'elle considérait comme une femme élégante et sophistiquée à qui elle voudrait ressembler plus tard.
Depuis qu'il l'avait rencontrée le jour de la remise des diplômes, Amos avait envie de la plier sous son joug.
A l'insu de Kelly, l'organisation criminelle à laquelle appartenait le professeur Thompson, connectée avec la paroisse qu'elle fréquentait avec ses parents, lui avait vendu sa mère tout comme elle l'avait vendue à son pervers maître chanteur trois mois plus tôt.
De même que pour elle le professeur Mollway avait implanté les graines de sa dépravation dans l'esprit de sa mère le jour où elle avait pris rendez-vous avec lui pour régler les détails de leur cérémonie de mariage.
Et, tout comme elle avait subi des suggestions hypnotiques, la corrompant profondément, sous emprise elle avait sucé la bite du pasteur Knowlton alors que le professeur Mollway implantait divers ordres dans son esprit.
Une fois sa fille et son futur gendre partis, Patricia Garrison sentit son cœur cogner comme jamais dans sa poitrine alors qu'elle s'asseyait au coté de l'athlétique professeur Thompson.
Depuis une semaine, sachant que le prof de fac de sa fille dînerait avec elle et son époux, elle n'était pas parvenue à s'enlever l'image de cet homme de la tête.
Chaque nuit dans son lit, elle avait pensé à cet homme comme jamais elle n'avait pensé à un homme auparavant, elle en était bourrelée de remords.
'' Pourquoi cet homme lui faisait-il un tel effet? Qu'allait-il arriver? Rien que la pensée de sentir ses larges mains glisser sur mes jambes nues... Oh, mon Dieuuuuuuuuuu! Sa grosse... Bite noire. Me martelant profondément… M'embrochant jusqu'à la racine!'' Elle en rêvait toutes les nuits.
La culpabilisation associée aux pensées les plus viles là déprimait pro-fondément elle se demandait pourquoi cela lui arrivait maintenant après tant d'années de mariages heureuses pendant lesquelles elles n'avaient jamais eus de pensées aussi malsaines.
En fait ces pensées avaient été implantées dans son esprit lorsqu'elle se trouvait sous emprise hypnotique du pervers Mollway, dans son bureau alors qu'elle avait les yeux rivés sur une photo d'Amos Thompson.
Il en profitait pour la caresser lubriquement, malaxant ses nibards au travers de ses vêtements avant de glisser une main sous sa jupe pour lui palper sa chagatte au travers de la fine texture du fond de sa petite culotte.
Et depuis ce jour, chaque nuit les mêmes pensées lubriques la torturaient, elle se demandait ce qui était vrai dans ces légendes concernant la taille de la bite des noires!
Tout en sirotant les margaritas servis par monsieur Garrison, Amos sentait la nervosité de l'adorable femme du foyer; d'autant plus qu'il connaissait les idées le concernant implantées dans son cerveau par Mollway.
Tom Garrison lui tendait les clefs d'une voiture garée à l'extérieur l'invitant à s'en servir pour la durée de son séjour à Presswood, puis il s'excusa devant sortir pour mettre les steaks à griller au barbecue, d'après Mollway son hôtesse serait incapable de lui résister s'il posait sa main sur la sienne pour jouer avec sa bague de fiançailles et son alliance.
Et de fait son geste opéra comme par magie, il l'entendait panteler, sans retirer sa main, alors qu'il jouait avec ses anneaux.
Il l'observa attentivement, s'assura que le mari était toujours dans l'arrière cour et se pencha sur la frissonnante beauté et pressa ses lèvres sur les siennes.
Amos était conscient de son émoi, il l'entendait haleter, il inséra sa langue dans sa bouche puis il posa main sur ses cuisses dénudées remontant sous sa jupe.
Une langue fouineuse inspectait sa bouche, des doigts se glissaient sous les élastiques de coté de sa petite culotte pour frétiller dans sa fente engluée de cyprine, et tout cela cessa brusquement au bruit d'ouverture la porte du patio.
Alors qu'elle le regardait fixement, Amos porta sa main à son visage et lécha la cyprine couvrant son index.
Se rasseyant à table après avoir servi le repas, Patricia ne parvenait pas à croire à ce qui s'était passé dans le salon un peu plus tôt.
'' Qu'ai-je fait?… Comment ai-je pu l'autoriser à... '' Frissonnait-elle nerveusement.
Ils n'étaient que trois, la soirée était douce, Patricia avait drapé une nappe sur la table extérieure, ils dînaient ainsi de façon fort informelle et détendue dans le patio. Après être restée assise un bon moment, Patricia se figea en sentant le professeur Thompson lui faire du pied, elle ne savait pas quoi faire, et ne trouvait pas la force de le repousser.
Elle sentit alors son pied frotter le talon des ses chaussures.
Quelques instants il avait réussi ce qu'il avait entrepris, il lui avait enlevé son escarpin. Et maintenant il appuyait sa jambe contre son pied nu la forçant à réaliser :
'' Mon Dieu il veut me faire du pied avec mon mari assis à nos cotés!''
Son esprit lui disait bien que c'était absurde, mais elle se sentait incapable de repousser sa jambe, loin de cela elle agrippait son pantalon de ses orteils et entreprit de lui caresser lascivement les jambes.
Après dîner, alors que Tom Garrison gagnait le bar pour préparer des boissons fraîches, Amos tendit la main pour la caresser à nouveau et jouer avec son alliance en lui susurrant :
- Tu iras chercher le dessert que tu as préparé dans la cuisine, lorsque Tom reviendra appelle le pour qu'il vienne t'aider... Tu pourrais te passer de dessert, j'ai prévu de t'offrir un gros éclair au chocolat un peu plus tard!
A ces mots, il la vit avaler sa salive silencieusement, il empoigna alors sa jambe sous la table et posa son pied sur la grosse bosse déformant sa braguette.
Alors que son époux revenait du bar, Patricia retira son pied et ré-enfila sa chaussure, et attendit que son mari soit pour annoncer qu'elle s'occupait du dessert.
Un instant plus tard, elle apparut à la porte du patio et appela son mari :
- Tom peux-tu venir m'aider à transporter le plateau.
Comme le mari se levait lui tournant le dos Amos sourit à la sémillante épouse qui le regardait par-dessus l'épaule de son conjoint verser une drogue dans la boisson de Tom.
Lorsqu'ils revinrent à table, Amos se réjouit de voir sa proie trembler à chaque gorgée que son mari sirotait.
Les hommes ayant terminé leurs desserts, madame s'étant abstenu de prendre des douceurs, ils s'assirent confortablement dans le patio, Amos et Patricia dans le sofa, Tom à leur gauche dans un fauteuil.
A peine le café servit, Tom se retrouva hors jeu, la ravissante madame Garrison haletait nerveusement alors que leur invité promenait ses mains brûlantes sous sa jupe lui caressant les cuisses à même la peau.
C'est alors qu'il lui laissa un choix ignominieux :
- On baise ici sur le sofa, avec ton mari à nos cotés, ou on monte à l'étage baiser dans la chambre que tu partages habituellement avec ton mari.
Patricia était figée bouche grande ouverte, elle ne parvenait pas à dire un mot alors qu'une des mains de son invitait inspectait ses charmes sous sa robe et que l'autre lui massait gentiment le cou dégrafant avec habileté le crochet qui fermait le dos de sa robe. Il descendit alors la fermeture éclair dorsale de sa robe Patricia arriva alors à bafouiller :
- N... Non... pas ici, pas ici... J'ai trop peur que Tom ne se réveille et nous voit faire!
Une fois ces mots dits, il la fit se relever et ils prirent le chemin de la maison.
Posant la main sur l'épaule du malheureux mari drogué, Amos gloussa
- Dors bien mon coco dans le patio, j'ai à faire avec ta femme à l'étage, dans le lit que tu partages habituellement avec elle!
A l'étage, dans la chambre principale, Patricia se tenait figée les yeux rivés au grand lit qu'elle partageait habituellement avec son époux, alors que les mains calleuse d'Amos passaient sa robe par-dessus ses épaules.
Puis le zip d'une fermeture éclair que l'on baisse retentit brisant le si-lence de plomb juste troublé par les halètements de Patricia, il lui mur-mura alors à l'oreille :
- Je sais que tu meurs d'envie de connaître un vrai mâle ma chère madame Garrison... Alors n'hésite pas plus longtemps, tend la main et introduit là dans mon pantalon! T'as aujourd'hui la chance de vérifier que ce que l'on colporte au sujet de la taille des bites noires est tout à fait vrai! N'hésite plus et fourre ta main là où elle doit être!
Alors que sa robe jonchait maintenant le sol elle avança la main vers sa braguette, comme il ne portait aucun sous-vêtement, sa bite se mit immédiatement à vibrer entre ses doigts manucurés de frais.
- Ooooooooooh... Ooooooooooh... Ohhhhhhhhh... Pantelait-elle alors qu'il empaumait ses nibards dodus.
- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh! Haleta-t-elle alors qu'il faisait rouler ses tétons entre pouce et index les amenant à darder immédiatement, en réaction elle referma fermement sa main sur sa mentule, elle se sentait toute ébranlée de constater sa taille invraisemblable.
L'habile langue qui mignotait son cou se dirigea lentement vers le lobe de son oreille elle se sentait totalement à la merci des mains du séduisant professeur alors qu'il lui susurrait :
- As-tu déjà vu une bite aussi grosse que celle que tu as en main ma chère madame Garrison!
Elle secoua négativement la tête tout en serrant fermement l'objet de son ébahissement entre ses doigts.
Il laissa la ravissante ménagère lui caresser avidement la bite de ses doigts manucurés alors que son autre main plongeait dans sa braguette s'emparant de ses grosses couilles velues, Amos savait pertinemment qu'elle mémorisait la taille de ses couilles et bien d'autres choses encore.
Glissant la main dans la poche de sa veste il en sortit un portable faisant office de caméra, qu'il avait activé dès leur sortie du patio. Il tendit la main pour le poser sur une commode toute proche du lit, il s'assura alors qu'il était disposé de façon à filmer la totalité du lit et des scènes qui se déroulaient sur ce dernier.
Il en sortit ensuite un deuxième portable caméra et plaça celui ci sur la table de nuit afin de filmer sous un autre angle, les deux portables étaient reliés à un ordinateur dans le bureau du pasteur Mollway où Mollway et son complice le pasteur Knowlton épiaient cet instant ou la fidèle et distinguée madame Garrison expérimenterait sa première bite noire!
Un des écrans s'alluma, révélant sous les yeux enthousiastes des deux complices ce qui se passait dans le la chambre des Garrison. La somptueuse madame Garrison robe et soutien-gorge enlevés se faisait malaxer les nibards par Amos Thompson.
Bras collés au corps, ils devinaient ce qu'elle faisait aux mouvements de ses avant-bras et de ses coudes. Bien que le professeur Thompson resta impavide elle lui mignotait les burnes d'une main tout en le branlant de l'autre.
Amos retourna l'obéissante Patricia de façon à ce qu'elle lui fit face puis il lui roula un patin baveux alors qu'elle continuait à le branler. Puis Amos appuya sur ses épaules la poussant à se mettre à genoux et lui suggéra ;
- Il est temps de déguster l'esquimau au chocolat que je t'ai promis! Allez ma chère madame Garrison viens profiter de cette succulente crème que je te réserve!
Et, tandis qu'elle enroulait sa langue autour de son chibre Amos posa ses mains sur sa nuque en grognant :
- Ahhhhhhhhh... Bordel ce que tu suces bien!
Alors que son adorable hôtesse avalait maintenant la totalité de sa bite il se remit à gémir :
- Ahhhhhhhh... Ahhhhhh... Ahhhhhhhhhhhhhh... Bouffe ma bite! Avale toute la crème que je vais te cracher au fond de la gorge!
Quelques instants plus tard, les deux mateurs, les yeux rivé à l'écran, observaient ravis l'athlétique prof de psychologie se soulager dans la bouche accueillante de la principale du lycée local.
Lorsqu'il se retira, un filet de foutre relia un instant ses lèvres au méat luisant d'Amos, ce détail excitait follement les deux voyeurs. Elle avala la chaude semence qui formait une mare crémeuse dans son estomac qui se soulevait de dégoût.
Ils regardaient maintenant les deux écrans le second transmettait les images du portable posé sur la table de nuit, les deux pasteurs observaient la ravissante madame Garrison étendue sur son lit conjugale.
Amos lui caressait lascivement les cuisses, le contraste entre sa grosse patte noire et la chair blanche des cuisses de Patricia était follement excitant. Puis il lui ôta rapidement ses escarpins, ses orteils s'agitaient maintenant à l'air libre. Puis il lui roula sa petite culotte de dentelle blanche sur les chevilles dévoilant son petit trésor blond comme les blés.
- Oooooooh... Ooooooooooooh... Ooooooooooooooooooooh... Couinait-elle bruyamment.
Il était évident pour les deux spectateurs que la fidèle et guindée madame Garrison ne le serait plus très longtemps. Elle crispait ses mains sur le drap alors que ses jambes recourbées reposaient sur les épaules de son suborneur.
Elle couinait de plus en plus alors qu'on entendait clairement le professeur Thompson laper sa juteuse fentine engorgée de cyprine.Il était évident que la ravissante principale de lycée succombait à un intense orgasme alors qu'elle hurlait:
- Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuuu... Je jouuuuuuuuuiiiiiiiissssssss...
Son corps tremblait de toutes ses fibres les orteils pointés sur le portable posé sur la commode, la sublime madame Garrison venait de succomber pour la première fois à un butinage de chatoune.
Elle était totalement molle lorsqu'elle reprit pied sur terre. Amos la positionna alors à sa convenance jambe après jambe puis il pointa sa grosse bite sur sa cible et la pressa à l'orée de sa grotte embrasée. Puis il se pencha à son oreille et lui murmura :
- Tu es vraiment bonne baiser ma petite salope!
Cette phrase ne devait pas être prononcée devant elle, cette phrase avait été implantée dans son esprit par le pervers Mollway ; c'était la clef pour la faire reprendre pied dans la réalité.
Brutalement revenue à elle en entendant prononcer cette phrase, Patricia sombra dans un état de choc en réalisant dans quelle situation elle se trouvait.
Elle comprit tout d'abord qu'elle se trouvait dans son lit conjugal dans leur chambre principale. Puis elle réalisa qu'elle était entièrement nue et que le prof de psychologie de sa fille était étendu sur elle, il était lui aussi entièrement nu!
Et pire encore, sa "grosse chose bandée" se pressait contre sa fente intime.
- Que se passe-t-il?.. Que faites-vous? Je vous en prie... Non.. On ne peut pas... Je ne le veux pas faire... Faire l'amour!
Le suppliait-elle ses yeux roulant dans leur orbite alors que pour toute réponse il pressait de plus en plus sa bite contre son intimité pour toute réponse.
Le regard d'horreur que lui envoyait la ravissante femme éperdue ne faisait que l'exciter encore plus, sa bite se déployait encore alors qu'il donnait de petits coups de reins pour tester sa perméabilité.
Amos éclata de rire en voyant ses yeux lui sortir des orbites, son visage affichait son désespoir il frissonnait de l'entendre se lamenter :
- Nonnnn... Pas ça... Je ne veux pas... Nonnnnn... Elle est bien trop grosse! Trop épaisse... Nonnnnn! Aieeeeeeeeeeeeeeee!
Avec un plaisir évident Amos lui bloqua les poignets au-dessus de sa tête et la clouant impitoyablement sur le lit qu'elle partageait habituelle-ment avec son époux. Comme elle sanglotait et pleurnichait, Amos gloussait :
- Oh je réalise enfin mon rêve, je rêve de te baiser depuis la remise des diplômes! Bordel ce que t'es étroite! J'avais tant envie de te dévaster la chatte! La bite de ton mari ne doit être qu'un petit flûtiau pour que tu sois restée aussi étroite!
Il la chevauchait allégrement sans tenir compte de ses lamentations et de ses plaintes qui ne faisaient que l'exciter davantage encore. Il ne se souciait pas de lui procurer de plaisir, Amos était d'autant plus heureux qu'elle se débattait pour tenter d'échapper au viol de son corps.
- Ahhhhh... Ahhhh... Ahhhhhhhhh... Ugggghhhhhhhhh... Oh, je jouis... Je vais gicler en toi a chérie! Ohhh ouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii...
Les yeux braqués sur le plafond de sa chambre, Patricia ressentait un méli-mélo de sensations, elle se demandait déjà : '' Comment ai-je pu autoriser ce pervers à pénétrer dans ma chambre? Un viol! Il m'a violée...
Patricia tentait de se convaincre elle-même de cela, mais elle devait encore s'expliquer pourquoi elle avait laissé ce bâtard la caresser longuement avant le repas, allant jusqu'à appeler son mari pour qu'il puisse verser un soporifique dans sa boisson.
Elle savait pertinemment ce qui allait advenir une fois que son mari aurait succombé au somnifère, d'autant plus que le professeur Thompson lui avait clairement annoncé son intention de la sauter sur son lit conjugal.
Ses cuisses étaient douloureuses à force d'être écartées en force, les lèvres de sa chatoune se crispaient spasmodiquement après son brutal assaut, Patricia grognait de douleur alors qu'Amos la repoussait sur le flanc avant de la disposer à quatre pattes.
Alors que ses grosses mains calleuses pétrissaient ses fesses, Patricia comprit qu'il allait la prendre de nouveau, mais cette fois il allait la grimper comme une bête, comme un chien prenait sa chienne dans la rue. Elle se rappelait cet épisode ou toute jeune lors d'une visite au zoo elle avait vu un étalon monter sa pouliche afin de la féconder. '' Il va me prendre comme une chienne en chaleur! Il va faire de moi sa petite chienne! Pensait-elle affolée.
Elle frissonna en sentant l'épais champignon se glisser dans son con lubrifié, prise par surprise elle sentait qu'il s'était enfoncé aisément jusqu'aux burnes dans sa chatoune engorgée de foutre, mais il s'était retiré immédiatement laissant sa cramouille aspirer de l'air.
Elle ne comprit pas pour autant qu'en fait le démoniaque prof avait plongé son estoc dans sa caverne lubrifiée pour la graisser correctement, il avait besoin que sa bite soit correctement huilée pour accomplir la tâche qu'il s'était fixée, plonger son épaisse bite dans son trou du cul vierge.
Sentant le gland turgescent presser son œillet Patricia se mit à paniquer tentant de se dérober en s'éloignant en rampant. Mais il la tenait fermement aux hanches, l'attirant à lui en fait tout en donnant de violents coups de reins.
- Aieeeeeeeeee... Arrêtezzzzzzzzzzzzzz... Arrêtezzzzzzzzzzzzz... J'ai maaaaaaaaalllllllllllll... trop maaaaaaaaaaaaaaaalllllllllllllllll... Se lamentait-elle misérablement. Aieeee... Aieeeeee... Aieeee... Aieeee... Aieeeeee... Aieeee... Couinait-elle désespérément à chaque coup de rein propulsant la mentule d'Amos dans ses reins douloureux.
Sachant que sa performance était retransmise sur les écrans du bureau de Mollway, que ces deux hommes avaient déjà assisté à la défloration de l'adorable fille de madame Garrison quelques mois plus tôt, il leur offrait maintenant le dépucelage anal de sa mère, Amos adorait l'entendre se plaindre lamentablement à chaque coup de bite dans son étroit trou du cul.
''Bordel elle était si étroite!''
Pensait-il alors qu'il s'enfouissait une fois de plus dans ses reins. Il savait d'après l'étroitesse de son œillet et ses soupirs qu'en fait c'était la première fois que cette belle femme sophistiquée se faisait sodomiser.
- Owww... Oww... Oww... Oh, arrêtez... Je vous en prie arrêtez! Professeur... Professeur Thompson... Je vous en prie... Arrêtez, s'il vous plaît! Ça fait maaaaaaaaaaalllll... Se plaignait-elle alors qu'il la martelait sans merci.
Il la tenait fermement aux hanches pour l'empêcher de lui échapper, Amos jeta un oeil vers le bas pour voir les traces de sang qui maculaient le gland de sa bite, ce qui le fit glousser joyeusement :
- Oh, madame Garrison, je crois que je t'ai foré un nouveau trou du cul! Ouais, je sais bien que je t'ai déchiré le périnée, mais cela t'appréciera de te faire enculer très bientôt.
Il lui lâcha les hanches alors qu'il continuait à la labourer de grands coups de bite, il empoigna sa blonde chevelure soyeuse et allongea son autre main par delà sa taille pour la doigter lubriquement.
Frottant son clito sensibilisé, Amos rit aux éclats alors qu'il remarquait :
- Il faudra t'oindre le trou du cul avec un bon gel madame Garrison... Tu vas me rejoindre à mon hôtel mardi prochain et je te fourrerai comme une reine toute la journée... Je t'en donnerai plus que tu as jamais rêvé ces dernières semaines!
Au travers de la douleur qui la tétanisait toute, Patricia parvint à déchiffrer son dernier commentaire :
'' Il sait que toutes les nuits j'ai rêvé qu'il me sautait, que je me demandais à quoi cela ressemblait de faire l'amour avec un noir pour la première fois... De faire l'amour avec lui!… Oh mon Dieu comment puis-je me réjouir qu'il me caresse et me doigte... Tandis qu'il me sodomise! D'autant plus qu'il me traite comme une pute bon marché, il attend ma visite mardi matin à son hôtel!
- Ohhhhh... Ohhhhh... Ahhhh... Ahhhhhhhhhhhhhhh… hhhhhhhhhhhh...
Pantelait-elle alors qu'il se vidait les couilles dans les profondeurs de son intestin ravagé.
Lorsqu'il retira sa grosse bite de son trou du cul endolori, elle s'effondra sur le lit conjugal, Patricia était toute engourdie à force d'avoir été écartelée et déchirée, son cul pointait toujours en l'air du foutre s'égouttant de sa chatoune et de son trou du cul sur le couvre-lit.
Elle entendit le professeur bouger dans la salle de bain adjacente, le ruissellement de l'eau lui fit comprendre qu'il se lavait avant de partir.
Elle avait besoin de temps pour récupérer ses fonctions corporelles, elle réalisa soudain qu'elle devait prendre une douche vaginale pour esquiver tout danger de procréation.
oooOOooo
Une fois le professeur Thompson partit Patricia trouva enfin la force de se glisser hors du lit pour gagner la salle de bain. La main en coupe pour capturer les coulées de foutre qui s'écoulaient de sa chatte et de son trou du cul elle ouvrit le cabinet de toilette pour y chercher un flacon de douche vaginale là où elle les stockait.
Elle avala brutalement sa salive, et tendit la main pour trouver u des deux flacons qu'elle avait rangé là la semaine dernière.
- Ou se trouvaient-elles? Se demanda-t-elle brusquement, elle était sûre de les y avoir rangées après les avoir achetées dimanche dernier au drugstore.
Elle cherchait frénétiquement sur les étagères du cabinet de toilette, pensant qu'elle avait pu les poser sur une mauvaise étagère, elle tenta de retracer ses gestes ce dimanche dernier en rentrant de la pharmacie.
Puis se retournant, elle vit le reflet orange des flacons de douche vaginale qui dépassaient de la poubelle.
Elle saisit les deux flacons vides jetés dans la poubelle, un long frisson courut le long de sa colonne vertébrale en réalisant ce que ce pervers bâtard avait fait ; il avait ouvert les deux flacons et les avait vidés dans la douche avant de partir, la forçant à conserver sa fertile semence en elle.
OooOOooo
Kelly Garrison
Flash-back
Depuis que son fiancé lui avait glissé sa bague de fiançailles au doigt à Noël, Kelly Garrison, attendait fiévreusement l'instant cet instant ou elle deviendrait madame Bill Hendricks.
Et depuis ce moment jusqu'à son retour aux vacances de printemps elle bâtissait des châteaux en Espagne au sujet de sa noce en juin.
Mais les choses avaient dramatiquement basculé après son retour à la fac de psychologie à la fin des vacances, et maintenant Kelly n'était plus qu'une boule de nerfs, elle se sentait indigne de Bill car elle n'était plus l'innocente jeune fille qu'il croyait épouser.
'' Comment?.. Pourquoi?..'' Se demandait-elle au fond d'elle-même sans trouver de raisons objectives. Elle se rappelait s'être rendue dans le bureau du professeur Thompson, son professeur de psychologie pour discuter de son dernier devoir... Mais elle ignorait totalement ce qui s'était passé dans la période de six heures une fois ses cours terminés.
Elle se rappelait seulement s'être brusquement retrouvée nue dans les bras du professeur Thompson qui la chevauchait âprement.
'' Violée... Il l'avait violée... Cet horrible bâtard l'avait violentée...'' Tremblait-elle les yeux pleins de larmes.
Elle ne comprenait toujours pas ce qui avait pu la conduire à lui rendre visite à son domicile pour terminer nue dans ce lit où cet ignoble pervers avait cueilli son précieux pucelage.
Elle abandonna bientôt ses menaces de tout rapporter à la police lorsqu'il lui fit visionner une cassette où on la voyait clairement lui proposer de se donner à lui en échange d'une bonne note de fin d'année un "A", une chose qu'elle ne se rappelait avoir dite à aucun moment.
Comme elle avait toujours été en tête de sa classe et qu'elle savait que son travail valait un "A" il n'y avait aucune raison de lui proposer un tel marché, alors que cette saloperie de cassette prouverait à tout le monde que c'était bien le cas!
Kelly avait paniqué en se réveillant bien plus tard couverte de sueur et la chatte engorgée de foutre et de cyprine.
Son cauchemar lui revint à l'esprit lui rappelant qu'elle se trouvait allongée entièrement nue contre le corps du professeur Thompson qui frottait son épaisse mentule dans sa fentine.
Lorsqu'il avait insinué qu'elle avait proposé de coucher avec lui en échange d'une bonne note elle l'avait désespérément supplié :
- S'il vous plait... Non... Non... Ce n'est pas vrai... Jamais je ne suis venue pour vous proposer un marché aussi ignominieux... Je vous en prie... Non, c'est un viol! Arrêtez!… Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ! hurla-t-elle alors qu'il saccageait son précieux hymen.
Son cri de douleur avait empli la pièce mais elle ne réalisait que ses pleurs et ses ris semblaient une douce musique aux oreilles du professeur Thompson alors qu'il s'engouffrait en elle. Alors qu'il fourrait brutalement sa monstruosité dans sa caverne inviolée Kelly criait de plus belle :
- Owwwwwwwwwwwwwwwwwwwww... Arrrêtez! Arrêtez! J'ai mall-llllllllllllll! Oh mon Dieuuuuuuuuuu... Aidez-mooooooooooi!
A suivre bien sur...