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Channel: Chez Andre 112
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Les brèves du net.

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 Tout est question de découverte.
Et de gaules aussi... LOL

 A la pêche.

Bonjour ! J'ai 45 ans, blond-roux, 1m 85 pour 58 kg. Je travaille à la Poste, et évidemment, j'ai plein de collègues, aussi bien féminins que masculins. Je croyais ne pas avoir de penchants pour les hommes (à par une expérience de « touche-pipi » vers les 14 ans).Donc, nous sommes 20 personnes à s'escrimer pour que des lettres et des paquets arrivent à destination. Je ne fantasmerai pas sur d'hypothétiques rencontres avec les clientes, (quoique), mais ça ne serait que du fantasme pur. Plus particulièrement, il y a un gars qui fait un peu efféminé (Christian), et j'ai l'impression qu'il me « tourne » autour. En plus je suis un acharné de pèche à la ligne et y passe des week-ends entiers, nuit comprise. Voilà le décor est à peu prêt planté !

En discutant à bâtons rompus avec les collègues de travail, je leur dis que, la semaine prochaine, je pars pour 8 jours de pèche non-stop au bord d'un lac, espérant prendre une très grosse carpe. Bien sûr, les quolibets fusent, tout le monde me traite de « fondu », les mecs me demandent même comment je vais faire pour me vider les c... sachant que je suis très porté sur le sexe.

- Pas de problèmes pour ça, ma femme a des vacances en même temps que moi, le lac est retiré de la route et pendant que les enfants sont à l'école, elle viendra bien prendre le soleil ! (ou autre chose)

Samedi ! Me voilà parti avec tout le bardât. Première chose à faire, monter la tente et préparer le couchage. Un lit de camp pour moi et le matelas pneumatique pour ma moitié, elle n'aime pas se coucher dans l'herbe ! Ouf tout est fait et je peux me consacrer à la pèche ! (Que je ne vous raconterai pas, le site n'étant pas fait pour)

Dimanche midi, une voiture arrive et c'est toute ma petite famille qui arrive ! Une journée vite passée sans rien de trop intéressant, mis à part une petite exhib de Chantal (ma femme), qui me gratifie d'une vision panoramique de son très beau cul, lors d'un pipi dans la nature. (Je ne pensais pas qu'elle le ferait, j'ai insisté lourdement, elle l'a fait ! à creuser, cette exhib !)

Le soir tombe et je me retrouve seul avec mon chien à préparer ma nuit.

Une voiture arrive. Tiens, qui ça peut-il être ? Je n'attends personne avant demain après-midi. Elle s'arrête et quelqu'un en descend. Il s'approche et je reconnais Christian !

- Qu'est-ce que tu fous là ? Lui dis-je, sur un ton pas vraiment sympa.

- Je me suis renseigné où tu pêchais, et le gars qui fait la tournée m'a indiqué le chemin !

- Et tu as fait 50 bornes pour venir me voir ? T'es fêlé, toi !

- Non, j'ai passé le dimanche chez des amis, et en retournant chez moi, j'ai été pris par la curiosité de voir comment tu t'y prends pour pêcher la nuit !

Discussions techniques, visite de mon « chez moi » en plein air. Retour à la table et je lui propose l'apéro. Il m'emmerdait un peu de venir gâcher ma solitude, mais enfin, je suis un mec relativement bien élevé ! Merci Maman !)

- Et toi qui es porté sur le « cul », ça ne te pose pas de problèmes ?

- Non, ma femme viendra sûrement et autrement ma main marche encore et peut servir si ça devient trop pressant !

- Tu veux dire que tu vas te tripoter la bite ?

Je veux bien être cool sur ce sujet, mais là, je ne sais pas pourquoi, mais ça me dérange !

- Lâche avec ça, si tu es venu pour parler cul, retourne d'où tu viens, quand je suis là, je ne pense pas au cul !

- Menteur, au boulot, tu n'arrêtes pas d'en parler et ici, tu ne vas pas me dire que tu n'y penses pas !

- Bien sûr, le matin, quant j'ai une bandaison dans le jogging, mais ça ne va pas plus loin !

- Ouais, t'es qu'une grande gueule au bureau, et tu n'as rien dans le pantalon ! C'est fréquent chez les gars qui en parlent trop !

Il me fait carrément chier, et je ne vois pas où il veut en venir !

- Bon aller, arrête et bois donc un autre apéro !

- OK, mais prouve moi que tu n'es pas une petite bite !

- Ça va pas, non ? Ici, en plein air ? (Réflexion idiote)

- Tu préfères dans la tente ?

- ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?

- Alors, tu me la fais voir ? Ta petite quéquette !

- Non, hors de question !

- Si tu me la fais voir, je te montrerai une surprise !

- ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?

- Je pense que tu vas apprécier !

- C'est quoi ?

- Donnant-donnant ! Tu montres et après ... Surprise !

Le Ricard a dû me taper sur la tête, car je sens en moi des sentiments contradictoires ! Évidement que Sa Surprise, ça sera de me montrer sa queue, et puis après ?

J'en suis la de mes pensées que je vois sa main d'avancer vers moi et s'approcher du bouton de pantalon. Deux doigts s'en emparent et essaient de le dégrafer. Au lieu de le repousser, je creuse le ventre pour lui faciliter l'entreprise. Mon mouvement est aperçu et maintenant c'est avec ses deux mains qu'il bataille avec ma braguette.

- Attends. Je vais le faire, tu vas me coincer les poils !

Est-ce moi qui ait dit cela ? Je dois être bourré (dans le sens ivre).Je me lève et descend le pantalon.

- Tout, descend tout

- Je ne peux pas, si j'ai une touche (un poisson qui mord) je n'aurais pas le temps d'aller chercher ma canne !

- Alors, fous toi à poil !

Je tourne la tête et le regarde, le fixant dans les yeux. Je pense plus à rien et suis dans un autre monde. Je le vois se baisser et il m'enlève mes baskets. Comme dans un rêve, je le laisse faire et même plus l'accompagne dans ses efforts pour me déshabiller.

- Lève toi !

Je lui obéi et sens mon pantalon glisser sur mes jambes ! Il empoigne mon tee-shirt et le passe au dessus de la tête ! Je suis en caleçon, pratiquement nu devant un collègue de travail ! Doucement, il approche sa bouche de mon nombril, et le gratifie d'une série de petites bises qui m'électrisent. Ses mains accrochent mon caleçon et il descend inexorablement ! Sa bouche aussi ! Elle est au niveau de mon sexe et virevolte dessus ! Je lève une jambe, puis l'autre, je suis à poils dans la nature, et je suis bien !

Il est en train de me regarder, de me détailler. Mon engin n'est pas vraiment dressé, il est entre deux états, ni dur, ni mou. Sa main passe sur ma cuisse et me caresse doucement en effleurant mes bourses. JE SUIS BIEN ! Si on m'avait dit, il y a une demi-heure que je me ferais caresser par un homme, j'aurais éclaté de rire !

Je me rassieds le plus naturellement du monde sur le banc. L'ambiance est bizarre, Christian ne parle plus, sa main est toujours sur moi. Pour avoir « bonne contenance », je prends mon verre et en bois une gorgée.

- Alors, comment es-tu ? Me demande-t-il

- Ca va

- Regarde !

Je n'avais pas fait attention qu'il avait ouvert son jean. Je me tourne vers lui, il se lève et commence à descendre son vêtement. Sous la lumière de la lune, il se dévêtit entièrement, sauf son slip. Louche, d'ailleurs ce slip ! Je regarde de plus prés et je découvre avec étonnement qu'il porte un « truc » en dentelle ! Une petite culotte de femme !

Cette vue m'ôte toute retenue ! Mes mains ne m'appartiennent plus et se posent directement sur ce sous-vêtement.

Je touche, palpe, tripote ! Il sourit, se laisse faire. Ma main empoigne son sexe. Il est doux ! Je n'en n'avais jamais touché d'autre, à part le mien ! Il durcit, se lève, grossit sous mes attouchements.

- Prends le dans ta bouche !

- Tu crois ?

- Goûte-le, embrasse-le !

Une milliseconde d'hésitation, des images qui s'entrechoquent dans ma tête, mon cou qui se raidit et qui s'incline tranquillement vers cette bite tendue. Mes lèvres s'ouvrent et butent contre le gland légèrement humide de mon pote. Je n'ai pas ouvert suffisamment ma « grande gueule », alors je m'écartèle la mâchoire et y engouffre ce si beau sexe. J'essaie de me souvenir comment ma femme fait quand elle me suce ! Je m'y applique, je monte, descends, sort la langue, lèche ce mandrin hyper dur !

Une main se pose sur ma tête, et appuie. Son autre prend sa queue et me la présente bien en face de ma bouche. J'ai compris qu'il voulait uniquement se servir de ma bouche comme d'un vagin ! Soit ! Je rouvre les lèvres, il m'y enfonce son phallus et m'imprime le rythme avec lequel il veut me baiser!

Il soupire, grogne, et toujours ses mains qui me forcent (pas beaucoup d'ailleurs) les aller-retour ! Mes mains inactives jusque là, passent derrière lui pour se poser sur ces fesses, sur cette dentelle qui m'excite ! A peine je l'ai touché qu'il crie un « ah ouiiiiiii » en poussant encore plus dans ma bouche, m'étouffant carrément pendant qu'un liquide chaud me coule dans la gorge ! Il jouit en moi, le salaud ! J'ai du sperme partout dans la bouche. Cette pensée me fait peur (SIDA), mais en même temps me fait bander comme un fou !

- Avale ! Me gueule-t-il !

Non je ne veux pas et le repousse. Il crache encore du sperme, j'en ai partout, sur la figure, entre les seins. Il se recule, sa bite se ramollit rapidement, je crache ce liquide visqueux. Il sourit et paraît content de lui.

- Ça t'excite, les petites culottes ! ! ! Je l'ai mise exprès pour voir ta réaction ! J'ai eu raison, tu aimes la bite, et tu suces vraiment bien.

Il vient s'asseoir à coté de moi, en levant une jambe pour retirer son slip.

- Essaie le ! Vu comme tu m'as sucé, je veux te voir en femelle bien salope !

Je dois être complètement déconnecté de la réalité car je m'exécute sans rien dire. Me voilà travesti ! Obéissant et soumis à un homme !

Il me regarde en souriant, pas moqueur mais plutôt tendre.

- Allez, au lit, je bosse demain !

Tranquille, le mec, il va dans ma tente, déplie le duvet et se couche tout naturellement.

- Allez, viens à coté de moi, je ne vais pas te bouffer ! (J'aimerais bien !) et j'ai joui tellement bien que je crois que je vais te foutre la paix pour la nuit !

Je me lève et me glisse près de lui ! Son bras m'entoure aussitôt et je sens son sexe mou sur mes fesses ! Je m'endors de suite, aucun poisson n'est venu troublé NOTRE sommeil et le matin...

Je me réveille doucement, la nuit est encore là, mais le jour ne va pas tarder.

Je sens quelqu’un derrière moi ! Tout à coup, la soirée me revient en mémoire, cette queue dans ma bouche, ce sperme contre moi. Au fait, je ne l’ai même pas nettoyé ! Je me caresse la poitrine et sens cette liqueur qui a séché entre mes seins. Je repense à ce qui s’est passé.
Ma queue commence à durcir. Mais je sens quelque chose qui la gène dans sa progression ! Ah oui, la culotte en dentelle ! Je pose ma main dessus et cette fois mon engin est dressé à fond. Il me fait presque mal tellement il est dur Je me caresse doucement.

C’est à ce moment qu’un poisson mord sur une de mes lignes (je te rappelle que, normalement, je suis là pour pêcher !). Je saute hors du duvet et me précipite pour prendre ma canne. Il doit être environ 6 heures du matin et je suis en petite culotte, dehors, en train de pêcher.
Je sens une présence derrière moi, je jette un coup d’œil, c’est Christian qui est là.

- Salut, tu étais où ?

- Ablutions du matin ! Tu es mignon comme ça !

- J’ai plutôt l’air con !

- Non, occupe-toi de ta gaule, je m’occupe de l’autre !

- ? ? ? ? ?

Il baisse sa braguette et sort son engin déjà debout. Je dois me concentrer sur mon poisson. Je sens 2 mains qui me frottent le dos. Je laisse faire. Elles descendent et s’arrêtent sur mes fesses et les caressent doucement. Avec surprise, je me sens me cambrer !

- Encore prête ? Comme hier soir ?

- Je prends mon poisson avant !

- Ne t’occupe pas de moi !

Sa main passe sous la dentelle et descend doucement le long de ma raie !

- Arrête ! Je vais faire des conneries, laisse-moi pêcher !

Il passe sa main entre mes cuisses, et m’empoigne le sexe. Je suis mou, car concentré sur la pêche.

- Tant pis, à plus tard !

Il me laisse là, me débattre avec ma carpe. 10 minutes plus tard, et une carpe de 8 kg dans l’appareil photo, je le rejoins à table, pour prendre le café. Il est toujours débraguetté, mais son engin n’est plus si fier !

- Mets toi debout que je te voie !

Telle une femme soumise, je m’exécute et je suis debout devant lui.

- Tourne toi, fais moi voir tes fesses, elles sont belles !

Je me tourne, et me penche en avant pour lui montrer le plus possible. Il me prend les hanches (je n’oublierai jamais cette première sensation) m’attire à lui et commence à m’embrasser partout sur le cul. J’ai bandé de suite, dès qu’il m’a touché. Je me penche encore plus, et, entre mes cuisses, juste son mon sexe, je vois le sien, bandé à mort. Ses mains sont sur ma queue, il me branle et fais ça très bien ! Tellement bien que je ne résiste que 2 minutes à ce traitement et jouis très fort ! Je balance du sperme partout ! Je ne pensais pas en avoir autant !

Je me retourne pour le regarder. Il sourit puis me dit au revoir, à la prochaine.
OooOOooo
Je reste seul et passe ma journée à pêcher. Mais mon esprit est ailleurs, je ne cesse de penser à ce dimanche soir, à tout ce qui c’est passé. Je me rends compte que j’aime la bite, la mienne et celle des autres.

Il est 22 heures et je me prépare pour la nuit. Il n’est pas revenu et je peste contre lui. Je ne fais que penser à cette queue tendue que j’ai mangée hier ! A ces mains baladeuses sur mon corps ! Mon regard se perd et tombe sur la culotte en dentelle, je la mets ? Je la mets pas ? J’en suis là de mes interrogations quand j’entends un moteur de voiture. Est-ce Lui ?

La voiture ralentit à l’entrée de l’étang et passe son chemin.

Tant pis ! Je me mets nu et enfile le slip noir. Ca le fera peut-être arriver !

Hélas non, je passerai la nuit seul, en culotte et seuls 2 poissons me sortiront de ma solitude.

oooOOooo
Nous sommes mardi et ma très tendre épouse m’a fait une petite visite. Moi aussi, d’ailleurs ! J’ai retrouvé sa bouche et sa petite chatte mouillée et très accueillante. C’est donc les couilles vides et la bite molle que je me prépare mon dîner.

Et devinez, Christian arrive avec les bras chargés de victuailles ! Il tombe mal, celui-là ! Enfin, tant pis, on mange ensemble. Il me passe la main sur la cuisse, mais je lui relate la venue de ma femme et lui dit que je n’ai plus trop envie !

Il me demande quand même s’il peut rester la nuit ici. Ça ne me branche pas trop, car je devine sans mal ses intentions, mais ça me fera une présence ! OK, il va rester.

Discussions sur tout et rien, puis vers 11 heures, je vais au lit ! Seul sur un lit de camp, tout habillé, au cas où, un poisson mordrait à mes appâts. Je l’entends se déshabiller en bougonnant.

- Je vais avoir froid, tout seul, me dit-il

- Mais le duvet est chaud et si tu veux, j’ai un jogging à te prêter !

- Il est où ?

- Là, dans cette tente, tiens viens le prendre !

Il arrive dans ma tente, toujours nu, et je lui montre où est le survêtement. Pour l’attraper, il est obligé de se pencher un peu au dessus de mon lit. Ce qu’il fait, en ayant bien soin d’approcher sa queue de ma bouche.

- Prends-la-moi, me demande-t-il

- Non, pas envie !

Alors, il se la met dans la main, et commence une branlette très douce et très sensuelle. Son membre gonfle doucement et je le vois se raidir dans le contre-jour que la petite lumière de la lune nous distille.

- Bon allez, viens, ta queue est trop belle pour que tu t’en occupes seul !

Une fois de plus, j’ai une bite dans la bouche. Je commence vraiment à aimer ! Il a enfoncé sa queue d’un seul coup, comme pour me défoncer. Le premier hoquet passé, je ferme les lèvres, écartent bien les dents et commence une remontée sur cette belle tige.
Ma langue lape son gland, comme pour le nettoyer ! C’est bon ! ! ! !

Je m’assieds sur mon lit de camp. Et je continue à le pomper, telle une habituée de la fellation. Il gémit de plus en plus, et pratiquement de suite, m’envoie 5 ou 6 giclées de foutre dans la bouche! Je suis bloqué dans la tente et ne peux le recracher, alors, surmontant mon dégoût, j’avale tout ce liquide ! C’est épais, pas trop de goût, mais pas dégueulasse.

- Tu avales ? À la deuxième pipe ? T’es vraiment un vicieux !

- Et alors ? Je croyais que tu aimais les vicieux !

- Viens avec moi dans le lit.
- Que vas-tu faire ?

- Rien, dit-il avec un sourire narquois

Il vient de se vider les bourses, alors il n’est pas trop entreprenant. Je m’allonge, et il se met à coté de moi ! Il n’a mis que la veste de jogging, et moi, je suis toujours habillé, car si un poisson mord, il faut que je sorte rapidement du lit. D’ailleurs, je lui dis et nous changeons de place, me mettant du coté où je peux sortir le plus vite possible. Je me tourne de côté et commence à m’endormir.

Je sens une main se poser sur mon épaule. Elle descend doucement et arrive sur mes fesses. J’ai droit à un tripotage en règle. Je me retourne pour me mettre sur le dos, pour lui faire comprendre qu’une autre partie de mon corps voudrait bien avoir droit au même traitement.

Cette main là n’est pas contrariante. Elle s’approche doucement, mais sûrement de ma queue, déjà tendue car, pour l’instant, elle n’a pas encore eu sa ration de câlins. Enfin elle m’empoigne ! J’en ressens un tel plaisir que je ferme les yeux et, instinctivement, mes cuisses s’écartent d’elles même et mon bassin se soulève, pour aller au-devant de la caresse. Un doigt s’insinue entre deux boutons de ma braguette, il cherche mon gland, commence à le frotter.

Je n’y tiens plus. Je défais ma ceinture, et ouvre tous mes boutons. Je fais descendre mon pantalon et mon caleçon sur mes jambes. La main continue à me caresser doucement, d’autres fois, elle me prend totalement pour me branler ; C’est trop bon, je vais exploser. Je crois que Christian le sent car il se redresse sur ses genoux et c’est sa bouche qui prend le relais. A peine m’a-t-il embouché, que la douce chaleur de sa bouche me fait craquer et je jouis formidablement, je me vide et il avale tout au fur et à mesure ! Il reste avec mon sexe dans la bouche, je commence à débander. Sa langue remue un peu et il entame un nettoyage de ma queue.

- Alors, c’était bon ?

- Il y a longtemps que je n’avais pas joui autant

- Regarde, tu m’as fait bander !

Effectivement, je regarde. Sa bite est à quelques centimètres de moi…

Pas de suite.... Dommage

Soumis à l'amant de ma femme
Je me présente, je me prénomme Guy, je viens d'avoir vingt huit ans. Je suis marié depuis trois ans avec Valérie, âgée de vingt quatre ans. Je vais vous conter un passage de ma vie, qui, si au début était passionnant, a vite tourné , en se qui me concerne, au cauchemar.

Un samedi soir, on décide de regarder un film érotique. je suis vêtu d'un caleçon, Valérie, d'un chemise de nuit ultra courte. Elle s'approche, et s'appuie contre mon épaule.

-Tu es bien câline, lui dis-je, çà t'excite?

Elle glisse sa main dans mon caleçon.

-Ben dit dont, mon cochon, çà t'excite pas toi, sourit-elle.

Je lui demande si elle veut qu'on aille au lit.

-Non, sur le canapé, en levrette. Tu soulèveras ma chemise de nuit, j'écarterai bien mes jambes, puis tu caresseras ma chatte jusqu'à ce qu'elle soit bien mouillée. Après, tu me niqueras, tu glisseras tes bras sous mon ventre, et tu prendras mes seins. Moi j'attraperai tes testicules et les ferai rouler entre mes doigts. Ça te plaît comme programme?

-Putain, si çà me plaît, salope.

Tout ce passe comme Valérie l'avait prédit. Elle est cambrée au maximum, et moi dur comme du béton. Ma femme gémit de plus en plus. Elle atteint l'orgasme assez rapidement. C'est en hurlant que je lâche ma semence dans sa chatte.
oooOOooo

Un jour, sur les conseils d'une amie, on décide d'intégrer un club d'échangistes. Si, au début, mon épouse était plutôt réticente, elle s'avère plus entreprenante, plus espiègle. Disons que moi, par rapport à elle, je suis moins actif.

Je me déplace dans la salle, quand, justement, je tombe sur Valérie. Elle est assise sur un homme de type maghrébin, d'une cinquantaine d'année. La jupe de ma femme est remontée en haut des cuisses. Ses seins sont sortis du bustier. L'homme les suce goulûment.

Les jambes de Valérie sont écartées à cent quatre vingt degrés.

-Alors ma chérie, je vois que tu t'amuses.

-Oh mon dieu, Guy, il m'a écartée ma culotte, et çà fait une heure qui caresse ma chatte et mon petit bouton. J'ai déjà joui deux fois. Si tu savais comme il est vicieux.

L'homme prend la bouche de Valérie, et l'embrasse. Sans un mot, il disparaît parmi les autres participants. Honteuse, mon épouse me regarde en baissant la tête.

-Mais chérie, çà fait parti du jeux, je t'en veux pas.

-J'ai envie de rentrer, me dit-elle.

Au fur et en mesure de nos sorties, mon épouse prend de l'assurance. C'est elle qui dirige nos soirées, me faisant comprendre qu'elle voulait aller jusqu'au bout.

Aussi, c'est par hasard que je la découvre entièrement nue, à genoux sur une table basse, jambes écartées, en train de se faire prendre par le même maghrébin, que lors de nôtre première séance. Il tient Valérie par les hanches, et la nique brutalement. Je suis la scène, les yeux exorbités.

-C'est vôtre épouse, demande l'arabe.

-Oui, lui dis-je.

-Elle est bonne, poursuit-il.

Ma femme essaie de me dire quelque chose. Mais elle est tellement secouée par les coups de boutoirs de ce mâle, qu'elle a du mal à s'exprimer. Je m'approche de son visage pour essayer de comprendre.

-Demain..man..de..lui son..son..nommm, bafouille-t-elle.

-Elle demande comment vous vous appelez.

-Ralhid, répond-il.

D'un coup, Valérie hurle, un orgasme terrible. Son corps se tend comme un arc. Il l'a rend folle. Lui aussi se met à grogner. Il sort de la chatte de ma femme, ôte son préservatif, et, tout en se branlant, il me bouscule pour venir placer sa queue énorme, contre les lèvres de Valérie. Il l'a prend par les cheveux, la force à ouvrir la bouche.

Ma femme le suce énergiquement, et à la façon dont elle creuse ses joues, je comprend qu'elle est en train de tout avaler. L'homme passe devant moi, avec un sourire ironique.

-Tu en voulais un peu, peut être. Dommage, ta pute a tout avalé. Mais si un bon coup de queue te tente, te gêne pas.

-Heu...Non..merci, pas ce....

-Une autre fois, poursuit le maghrébin, je sens que tu dois aimer çà.

Il me caresse gentiment la joue, et s'éloigne en récupérant ses vêtements. Je rejoins vite mon épouse qui s'est vautrée sur un canapé, les yeux cernés, en larmes.

-Quel amant merveilleux, quelle queue, soupire Valérie. Oh putain, je veux le revoir.

-Mais enfin, mon amour, çà ne va pas. on a dit qu'on irait pas trop loin.

-Je veux le revoir je te dis. Je t'avais averti, et je tiens à ce que tu participes à nos ébats. D'autant que tu ne le laisse pas indifférent.

- Quoi, tu ne voudrais quand même pas que je me donne à lui. Que je me fasse sodomiser.

-Bien sur que si , mon amour, me répond Valérie. Que tu lui tailles une pipe aussi. C'est toi qui a eu l'idée, tu dois en assumer les conséquences maintenant. Tu dois te soumettre comme je me suis soumise.

Je me prends la tête à deux mains. Mais je rêve, elle ne va pas m'imposer çà. Comment sortir de cette impasse.
Depuis la soirée torride que Valérie à passé au club, elle ne rate pas une occasion de rappeler ses intentions érotiques

-Alors mon chéri, dit-elle, toujours pas décidé.

-Tu tiens vraiment à me faire prendre par Ralhid, dis-je, tu veux que je devienne pédé.

-C'est le plus beau cadeau que tu puisse me faire. Une femme aime voir son mari soumis à son amant.

-Bon, bien que çà me coûte, on va réfléchir à une date.

-Mais c'est tout réfléchi mon amour, répond-elle.

-C'est à dire, que je lui demande.

Je n'ai pas le temps de finir ma phrase, que deux gros bras me prennent par la taille. Un sourire éclaire le visage de ma femme. J'essaie de me débattre, mais ne peut rien devant la force de cet homme.

-Allez, on se calme, dit-il.

Je reconnais la voix de Ralhid.

Il est tout nu derrière moi. Je sens sa queue énorme, frotter contre mes fesses. Valérie s'avance, et baisse mon caleçon. Ralhid se met sur une chaise, et m'assied sur ses genoux, dos à lui, jambes écartées.

-Mais çà va pas, dis-je en me débattant, qu'est-ce-qu'il te prend.

- Il t'a dis de te calmer, dit Valérie. Tu veux pas, en plus qu'il te donne la fessée.

Mon épouse se met toute nue, prend elle aussi une chaise, et se place en face de nous pour ne rien manquer du spectacle.

D'une main, Ralhid me tient par les couilles. De l'autre, il joue avec mon sexe, faisant coulisser le prépuce sur le gland. Il me soulève légèrement, et me gratte l’œillet avec le pouce.

-Je t'en prie Ralhid, tu vas me faire mal, ta queue est trop grosse.

-Je te promet d'y aller doucement, répond-il.

Je sens la queue de Ralhid qui commence à me pénétrer. Mon petit trou commence à se dilater.

-Aie, aie hiaou, arrête, tu me fais mal, tu vas me déchirer. Ouille, aie.

Je serre les dents. Je suis en larmes. Inexorablement, la queue de Ralhid se met en place dans mon ventre. Malgré mes sanglots, ma femme assiste à la scène sans lever le petit doigt. Elle joui de me voir soumis à son amant.

-Si tu savais comme je mouille de te voir comme çà, dit-elle. Regarde mon clitoris comme il est sorti ce salaud. C'est Ralhid qui va en profiter après.

Je cherche des solutions. Comment en suis-je arriver là, arriver à me soumettre à ce point. Mais ce sont les propos de ma femme qui font le plus mal.

-Alors, mon amour, tu es en train de devenir une petite fille. Et qu'est-ce-qu'elles font les petites filles? Elles taillent des pipes, hein?.

-Sale pute, tu te régales de voir ton amant qui m'encule.

-Mais mon chéri, répond-elle, c'est toi la pute, c'est toi qu'il encule. Tu aimes pas? Regarde ta queue, elle est toute raide. Tu veux que Ralhid joue avec?.

Ralhid saisit mes testicules et les fait rouler entre ses gros doigts. Il prend le bout de ma queue avec deux autres doigts, et me décalotte. je ne peux m'empêcher de gémir.

-Vas-y, tape lui une queue, dit Valérie, il faut bien qu'il en profite lui aussi, hein, petite pédale.

J'en peux plus, je sens le désir monter en moi. je n'aurai jamais cru qu'un homme puisse me procurer autant de plaisir. Je me surprend même a onduler du bassin sur l'énorme bite.

-Haaa...ha, vas-y Ralhid, branle, décalotte moi complètement je vais cracher, ha..ha.. salaud.

Ma semence gicle en direction de Valérie.

-Bande de salauds, gémit-elle, regardez ce que vous me faites faire. Ma petite chatte est toute excitée, oui, oui.

Ma femme hurle de plaisir. D'un coup, Ralhid me soulève, libérant les vingt centimètres de chair qui labourait mes entrailles. Il me fait mettre à genoux devant lui.

-Allez, ordonne-t-il, suce.

Tel un automate, j'avale doucement le membre, jusqu'à ce que le gland cogne au fond de ma gorge. Il me prend par les cheveux, et guide lui même les va et vient.

-Regarde nôtre petite fille comme elle turlutte bien, dit Ralhid. Pour te récompenser, tu vas tout avaler, hein, ma chérie.

Je sens les premiers jets de sperme au fond de ma gorge.

J'essaie d'avaler à mesure, mais c'est trop. Voyant que j'étais en train de m'étouffer, Ralhid se retire, et finit de cracher sur mon visage. Je suis pris de sanglots tant l'humiliation est forte.

-Ben mon salaud, dit Valérie, quelle pipe tu lui a taillée.

Je suis toujours à genoux, essuyant mes lèvres d'un revers de main.

Sans un mot, sans un regard, Ralhid et mon épouse prennent la direction de la chambre. Une bonne partie de la nuit, je vais entendre ma femme hurler de plaisir.

Valérie et Ralhid sont toujours amant aujourd'hui. Et moi, toujours aussi soumis. Ralhid passe trois fois par semaine à la maison, même quand ma femme n'est pas là. il joue avec moi en attendant quelle arrive.


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