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HIstoires du net. Auteur: Jdrd

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 Quand les fantasmes deviennent réalité.
Je rassure c'est juste des fantasmes hein!
Pas la peine de m'engueuler...  LOL


Les Travaux
Est-ce qu'on doit me considérer comme un pervers? Je ne sais pas...je ne crois pas même si certains à la lecture de ces lignes n'auront aucune difficulté à me classifier dedans. Moi je me considère juste comme quelqu'un qui aime le sexe, sous toutes ses formes...Et comme la nature m'a bien doté, j'aimerais en profiter un peu plus.
Malheureusement mon épouse ne partage pas mon goût pour ces choses-là. Loin s'en faut. Et c'est vraiment dommage. Une petite présentation s'impose. Je m'appelle Louis, 35 ans, je suis cadre, grand (1,85m), plutôt baraqué, avec un sexe de dimensions tout à fait honorables (bien plus gros que ce qui est annoncé comme la moyenne nationale en tous cas).
Ma femme, c'est Marie. Elle est un peu plus jeune que moi très jolie petite (1,61m) brune aux yeux noisette, pulpeuse avec sa poitrine qui affiche un beau 90c, aux larges auréoles et ses hanches larges. Pour terminer sa description il faut ajouter que son sexe est entièrement rasé. Mon salaire étant suffisant pour vivre, elle pouvait se permettre de rester à la maison sans travailler.
Depuis longtemps je nourrissais le fantasme de la voir livrée à d'autres hommes. Livrée est le mot juste, car je voulais qu'ils lui fassent subir tout ce qu'elle me refusait au lit, la sodomie, l'éjaculation buccale par exemple. J'aurais aimé depuis longtemps que l'on puisse aller en club mais je n'osais même pas lui en parler, certain qu'elle me prendrait à ce moment-là pour le dernier des pervers (on y revient). Mais ce fantasme ne me quittait pas, d'autant que j'étais persuadé que si elle se forçait un peu au début, elle y trouverait du plaisir par la suite. Toutefois, je ne trouvais pas la possibilité de lui faire franchir le pas.
Nous habitons une belle maison de la campagne Lyonnaise, et grâce à une prime de résultat que j'ai touché, nous envisagions de réaliser des travaux d'aménagement dans une petite dépendance que nous avions. Les murs paraissant sains, nous voulions l'aménager en un petit studio pour pouvoir y loger de la famille de passage. Je pris donc rendez-vous avec une petite entreprise générale qui pouvait se charger de l'ensemble des travaux. Son devis rentrant dans notre budget, je décidais de ne pas en consulter d'autres, et les travaux devaient débuter deux semaines plus tard.
Travaillant toute la journée dans Lyon, c'est ma femme qui devait « surveiller » les travaux. Enfin, surveiller...s'assurer plutôt que les ouvriers étaient bien là et éventuellement les servir en café...C'est moi qui faisais le tour du chantier le soir en rentrant. Les premiers jours les ouvriers s'évertuèrent à enlever le mauvais crépi qui recouvrait les murs et il n'y avait pas de problèmes particuliers. Ils étaient au nombre de 4. Le patron, un portugais d'environ cinquante ans, petit, poilu, avec une grosse bedaine et des bras comme des troncs d'arbre ; Son second, qui semblait être son fils, plus grand mais déjà gras, et deux ouvrier, un turc petit et sec, et un grand noir qui servait surtout de manœuvre pour les tâche nécessitant le plus de force physique.
Le quatrième jour, je fus surpris en arrivant de voir qu'il y avait encore le camion des ouvriers. Le patron était assis à la table de notre cuisine, un café devant lui, alors que ses ouvriers fumaient une cigarette dehors.
J'ai une mauvaise nouvelle déclara-t-il tout de go en m'apercevant. Venez voir avec moi la dépendance. Je le suivais, alors que ma femme restait dans la cuisine. Il me montra alors une énorme fissure qu'ils avaient mise à nue en enlevant le crépi. Cette fissure partait du sol et s'élargissait pour monter jusqu'au toit. Il m'expliqua alors que celle-ci, si on ne faisait rien, allait encore s'agrandir, et que la bâtisse entière risquait de s'effondrer. Il fallait non seulement la combler, mais surtout la fortifier. Je lui demandais si il avait une idée du prix, et l'estimatif qu'il me donna augmentait le budget de 50%. Et nous n'avions pas l'argent pour ça! Je lui demandais si c'était possible de nous faire un rabais. D'un œil torve, il me rétorqua que le montant annoncé était déjà son meilleur prix, et qu'il ne pourrait pas le baisser. Mais qu'en revanche, on pourrait s'arranger autrement pour la moitié de la somme.
Ne comprenant pas où il voulait en venir, je lui demandais de s'expliquer. Avec un sourire en coin, il me dit :
- Votre épouse est bien jolie, avec votre accord bien sûr, si elle voulait être gentille avec mes gars et moi, on pourrait baisser le prix de la réparation
Interloqué par cette demande, alors que j'aurais dû m'offusquer immédiatement, je mis un temps à répondre :
- Elle ne voudra jamais, elle est très prude!
- Bon, je vois que le problème ce n'est pas vous, puisque vous ne m'avez pas sauté dessus. Si vous voulez bien, on fait un deal. Vous m'autorisez à essayer avec votre femme, sans violence physique bien sûr, et si je n'y arrive pas, vous avez quand même la réduction
Connaissant mon épouse, je n'avais rien à perdre, et quand bien même elle accepterait...et bien cela ne me déplairait pas outre mesure de la voir aux prises avec ces ouvriers. Toutefois, si ça devait arriver, je voulais pouvoir y assister.
- Ok pour cette entente, mais je veux pouvoir assister!
- Pas de problème, vous n'aurez qu'à vous cacher derrière le mur après demain matin et regarder.
L'affaire conclue, il retrouva ses ouvriers et s'en alla. Je rentrais pour ma part chez moi et expliquais à ma femme le surcoût des travaux, mais que j'avais réussi à négocier une remise de 50%. Elle me félicita chaudement. Si seulement elle savait qu'elle était l'enjeu de la remise...
Le jour attendu, je fis semblant de dire au revoir à mon épouse, mais au lieu de partir je me garais un peu plus loin et, revenant sur mes pas, allait me positionner derrière le mur, où, la fissure aidant, j'avais une belle vue sur l'intérieur de la bâtisse. 
Peu de temps après, j'entendis le bruit du camion des ouvriers qui s'approchait. Malgré moi, ce simple bruit augmenta mon excitation...Mais j'étais bien curieux de voir comment ils comptaient s'y prendre pour séduire ma femme. Ils ne la connaissaient vraiment pas et ils allaient se casser les dents dessus.
Les hommes déchargèrent leur matériel comme d'habitude et commencèrent à travailler. Quelques minutes plus tard, Marie vint leur dire bonjour et leur demanda s'ils voulaient un café. En ce jour de Juin, elle portait une petite robe bleue, très sagement boutonnée sur le devant. J'ai remarqué que parfois, quand elle portait cette robe, elle déboutonnait un ou deux boutons au décolleté et aussi un bouton en bas. Mais ce jour, tous les boutons étaient fermement attachés. Le patron lui rétorqua que c'était aujourd'hui son anniversaire et qu'il avait amené une bouteille de Porto. Qu'il fallait à tous prix qu'elle trinque avec eux, parce que sinon, dans les coutumes portugaises, c'était considéré comme un affront.
Ma femme, ne voulant surtout pas vexer le patron qui nous avait fait une si belle réduction, accepta et leur dit qu'elle allait chercher des verres. Le Patron lui répondit qu'il avait amené des petits verres en plastique et que ce n'était pas la peine de salir. Il ordonna à son fils de montrer le chantier à Marie pendant qu'il servait les verres. Il servit une grande rasade à chacun, en prenant bien soin de mettre le verre de ma femme à part. Il lui tendit en disant honneur aux dames. Puis ils trinquèrent tous à l'anniversaire du patron et, tout en disant cul sec, basculèrent leur verre. Ma femme qui déjà n'avait pas l'habitude de boire manqua s'étouffer mais fini tout de même son verre. 
Le patron lui dit qu'il allait finir de lui faire faire le tour du chantier pendant que ses ouvriers se remettaient à la tâche. Il commença par lui montrer ce qui avait déjà été fait, puis il s'attarda avec force détails sur ce qu'il restait à faire, avant de s'approcher, à ma grande crainte, de la fissure par laquelle je les observais. Si le patron me fit un clin d'œil, Marie ne sembla pas me voir. Il faut dire qu'elle avait une démarche un peu hésitante et un regard flou. Elle trébucha même et le patron la soutint, passant son énorme bras sous son aisselle :
- Oh attention ma petite dame, vous avez failli tomber
- Mmm
- Vous allez bien?
- O...oui
- Faut dire qu'il fait sacrément chaud, vous devriez déboutonner un peu cette robe
- Mmm
Ma femme avait l'air vraiment dans les vaps, ne répondant que par onomatopées. Le patron avait toujours son bras passé sous celui de Marie, son énorme paluche posée sur son ventre.
- Je vais vous mettre à l'aise. Je vais défaire un bouton de votre robe. Vous êtes d'accord?
- O...oui
Je n'en revenais pas, Marie venait d'accepter que ce type qu'elle trouve certainement dégoutant lui défasse lui-même un bouton de sa robe. Il faut dire qu'accepter est un bien grand mot. Elle était dans un état second, ayant toujours du mal à rester debout sur ses chaussures d'été à talon compensé.
Par la fissure, je vis l'homme diriger sa main vers la boutonnière. Il défit le bouton le plus haut, mais ne s'arrêta pas là, le deuxième et le troisième suivirent le même chemin. Marie avait maintenant la robe ouverte jusqu'au nombril, c'est alors que je m'aperçus qu'elle n'avait pas mis de soutien-gorge, comme cela lui arrive somme toute assez souvent l'été. Mais là c'était clairement indécent. Ses seins apparaissaient très distinctement, jusqu'à ses larges auréoles brunes et les tétons qui s'érigeaient au contact du tissu. Ma femme était toujours amorphe, comme étrangère à elle-même, inconsciente de son exposition indécente.
- Voilà, vous êtes plus à l'aise maintenant ma petite dame, n'est-ce pas?
- O...oui
- Mais cette robe est encore trop chaude, il faut déboutonner le bas pour vous aérer, sinon vous risquez de faire un malaise. Voulez-vous que je le fasse?
- ...
- Qui ne dit mot consent! Je m'en voudrais que vous fassiez un malaise à cause de ma négligence.
Joignant le geste à la parole, il défit deux boutons du bas ne laissant la robe tenir que par un seul, situé au niveau du nombril. Celle-ci s'ouvrit amplement, dévoilant la culotte blanche de ma chère et tendre. 
- A voilà ce qui vous met mal à l'aise, c'est cette culotte qui vous comprime trop. Vous devriez l'ôter
- M...non
- C'est un petit non ça, avec vos hanches pulpeuses, cette culotte est trop serrée. Enlevez la donc!
- ...
- Bon, vous êtes trop fatiguée pour le faire vous-même...Je vais vous aider
Je pensais que tout de même Marie allait enfin se rebeller, et l'envoyer paître, mais elle resta droit comme un I quand il s'accroupit et saisit le morceau de tissus par chaque côté. Lentement il le fit descendre pour dévoiler l'intimité de mon épouse, son pubis rasé, ses lèvres douces, ses cuisses pleines. La culotte finit par terre, et l'homme souleva lui-même les jambes de ma femme pour l'ôter complètement.
- Voilà qui est bien mieux! Vous allez enfin pouvoir respirer et reboire un verre de mon bon Porto avec mon équipe, pour fêter encore mon anniversaire!
Il la saisit par le bras, et la fit se retourner et se diriger vers la table de chantier où les ouvriers s'étaient déjà attablés. 
- Madame avait un peu chaud, déclara le patron, alors je l'ai mise un peu à l'aise. Maintenant elle a soif, servez lui une bonne rasade!
Les ouvriers regardèrent, les yeux écarquillés, le spectacle qui se présentait à eux. Une bourgeoise, un peu précieuse, avec une robe qui ne tenait que par un bouton, dévoilant pratiquement toute son anatomie, ses seins lourds et son sexe rasé, qui s'avançait vers eux d'un pas d'automate.
Un verre remplit à ras bord lui fût immédiatement mis en main. Le patron, en lui saisissant la main, le lui fit boire cul sec, un peu de liquide débordant et s'écoulant sur son menton et entre ses seins.
- Oh, comme je suis maladroit, attendez, je vais vous l'essuyer.
De sa grosse paluche, il enleva le liquide sur le menton, puis descendit le long du cou pour finalement agripper un sein qu'il malaxa doucement d'abord, de plus en plus fort ensuite. Marie restait toujours droite, sans rien dire, le regard dans le vide. Ses doigts titillaient maintenant le téton, sous le regard lubrique de l'ensemble des ouvriers. 
- Servez lui encore un verre à cette gloutonne. Vous avez vu comme elle a descendu le premier? 
Tout en continuant à lui caresser le sein d'une main, il lui fit à nouveau boire un grand verre d'un seul coup. Marie titubait maintenant, ayant du mal à garder l'équilibre. Ayant reposé le verre, le portugais, se positionnant derrière elle, lui saisit les deux seins à pleines mains et les tritura violemment, tirant sur les tétons, toujours sous l'œil concupiscent des ouvriers, qui commençaient à se caresser l'entrejambe de manière obscène.
- Je crois que finalement la robe est de trop, je vais te l'enlever. Voilà, il ne restait qu'un seul bouton. Tu es mieux maintenant hein salope, à poil devant nous?
- ...
- C'est quoi, c'est l'envie de te faire défoncer par tous les trous qui te coupe la parole? C'est pas grave, c'est pas de ta voix qu'on va s'occuper
Le ton avait clairement changé. Marie ne répondait même plus, semblant accepter le sort qui lui était promis.
Enlevant la bouteille et les verres qui se trouvaient dessus, le patron fit s'allonger ma femme sur la table de chantier. Nue, à l'exception de ses chaussures, il lui écarta les jambes et commença une caresse de son sexe.
- J'adore les chattes rasées. Sous l'apparence d'une bonne bourgeoise sage tu es en fait une vraie salope. Tu es bien tombée avec nous, on va-t'en donner pour ton argent.
En disant ça il inséra un de ses gros doigts dans le sexe ouvert de Marie, qui soupira à l'intromission. Pendant ce temps-là, les ouvriers s'occupaient de ses seins, les caressant et les malaxant à loisir. Le turc se saisit d'un et en goba le téton, le mordillant de ses dents. Le patron avait maintenant insérer deux doigts dans le vagin de Marie et réalisait des allez retour de plus en plus rapides. Marie respirait bruyamment. 
- Mais c'est qu'elle mouille cette salope! Elle aime ça! Attend, je veux goûter à ta mouille.
Il se positionna la tête entre les jambes de ma femme et entreprit de lui lécher le sexe goulument, ses doigts continuant à la pénétrer en rythme. La respiration de Marie s'accéléra, de petits gémissements accompagnant à présent chaque intromission. Pendant ce temps-là, les trois autres n'étaient pas en reste.
Ils avaient tous sorti leurs sexes, et si le Turc et le fils du patron était généreusement dotés, avec un sexe long, fin et circoncis pour le premier, et un membre épais avec un gros gland pour le second, c'est le manœuvre noir qui tenait la palme. Sa mentule, alors qu'elle n'était pas encore en érection, pendait telle une liane entre ses jambes sur au moins 25 centimètres. Sa largeur aussi était impressionnante, et son gland, à moitié décalotté, avait la taille d'une prune. 
Pendant que son père s'appliquait à lécher et à doigter le sexe de Marie, le fils frottait son gland sur le visage de mon épouse, essayant de forcer l'ouverture des lèvres. A l'occasion d'un gémissement un peu plus prononcé, Marie ouvrit sa bouche et le lascar en profita pour s'introduire. 
- Ah, cette salope suce divinement
- Profite fiston, ce n'est pas tous les jours que tu pourras baiser une bourgeoise pareille!
- C'est sûr! C'est le porto qui lui a fait cet effet?
- Le porto et un petit produit que j'ai rajouté...hé hé hé
J'avais l'explication à l'étrange comportement de Marie. Elle avait été droguée! Mais je ne m'en plaignais pas, bien au contraire. Mon fantasme de la voir livrée à d'autres hommes se concrétisait et, derrière ma fissure, je ne perdais pas une miette de sa déchéance. J'avais sorti mon sexe depuis un moment déjà et avait jouit deux fois. Mais j'étais toujours dur et excité!
- Allez ma petite chienne, on va passer aux choses sérieuses. Tu vas goûter à de la bonne bite portugaise!
Se relavant, il baissa son pantalon d'un seul geste et extirpa sa verge tendu. Comme celle de son fils, elle était épaisse, mais un peu plus courte. Déjà bandée, son gland turgescent suintait de liquide pré-séminal. Il l'approcha des lèvres intimes de Marie, qui luisaient d'un mélange de salive et de cyprine, le frotta de haut en bas trois ou quatre fois, et introduisit l'intégralité de son sexe d'un seul coup, arrachant un gémissement de plaisir à mon épouse.
Il commença à la pilonner, en l'insultant de tous les noms. Il lui tenait les jambes écartées en V, la tenant par les chevilles. Ses gros seins ballotaient dans les mains des ouvriers à chaque coup de butoir, alors que le fils utilisait la bouche de ma femme comme un sexe, en la tenant par les deux côtés de la tête. Rapidement, à la vue de son père qui la besognait si violemment, il se contracta et lui jouit dans la bouche, provoquant un hoquet. Je vis alors le sperme d'un autre s'écouler d'entre les lèvres de mon épouse, alors qu'elle déglutissait pour en avaler une partie. Le fils laissa sa place dans la bouche de Marie au turc alors que le noir se masturbait lentement dans ses cheveux. Son sexe avait encore grossit et ressemblait maintenant à une grosse matraque. 
Sous ces assauts conjugués, Marie gémissait de plus en plus fort, prémisse à un orgasme que je connaissais bien. Ses cris étouffés par le sexe du turc qui lui ramonait la bouche, son corps se tendit et un râle d'extase s'échappa de ses lèvres.
- Ah tu jouis salope! Tu aimes ça avoir une grosse bite dans la chatte et une autre dans la bouche. En fait tu es vraiment une chienne, un garage à bite, qui ne rêve que d'une seule chose c'est de se faire tringler à longueur de journée. Je vais te gicler au fond de la chatte! je vais te tapisser de mon foutre!
Sur ces paroles il s'enfonça encore plus profondément et en poussant un gros cri se répandit dans le vagin de Marie.
Quand il en ressorti, un long filet de sperme s'échappa du sexe béant de ma femme. L'homme s'en saisit et lui étala sur les seins.
- Te voilà baptisée au sperme portugais belle salope. Maintenant Moussa va te défoncer la chatte avec son énorme chibre...Au fait, le mari, tu peux sortir de ta cachette, elle ne se rend plus compte de rien!
Lui obéissant je quittais la fissure et m'approchais de la table ou gisait Marie, regardant s'approcher le noir qui tenait son immense gourdin d'une main et se léchait les babines à l'idée qu'il allait baiser cette belle bourgeoise blanche.
Il présenta son énorme gland à l'orée des lèvres intimes de Marie, lubrifiées par le mélange de cyprine et de sperme. Il poussa de tout son poids et après une faible résistance, le sexe de ma femme s'ouvrit et engloba le morceau de chair. Lentement je le vis pousser pour faire progresser la longueur de son chibre. Il réussit à le rentrer au deux tiers et alors il commença ses allez retour, l'enfonçant chaque fois un peu plus. 
Marie, la bouche toujours prise par le turc, poussait des petits cris qui s'amplifiaient à chaque coup de butoir. Moussa la limait maintenant en rythme, son sexe entrant et sortant de plus de 20 cm à chaque fois. Mon épouse criait maintenant sa jouissance à chaque coup. Le patron avait sorti son téléphone portable et filmait la scène tout en se masturbant. 
- Moussa, allonge toi sur la table et fais la s'empaler sur ta bite, ordonna-t-il, puis s'adressant au turc : Fuat, tu vas en profiter pour l'enculer!
Le colosse noir se planta au fond du sexe de Marie et la souleva comme un fétu de paille. Il s'allongea sur la table et, Marie positionnée au-dessus de lui, recommença ses va et vient.
Le Turc, le regard lubrique, approcha son sexe luisant de la salive de ma femme de son œillet. Celle-ci, toute occupée à crier de plaisir à cause du braquemart qui lui distendait le sexe ne s'aperçue de la tentative d'intromission que quand le Turc força de tout son poids sur sa rondelle.
- Nooooon parvint-elle à crier, 

- Tu es bien serrée madame. Ne t'inquiète pas, le gland est rentré, le reste sera facile 
- Vas-y Fuat, défonce-lui la rondelle à cette salope. Même si c'est la première fois, ça ne sera pas la dernière, et je suis sûr qu'après elle en redemandera.
Pendant que Moussa la pilonnait toujours, le Turc entreprit de faire coulisser toute la longueur de son sexe dans le fondement de Marie. Il ne s'arrêta que quand ses testicules butèrent sur le périnée. Puis il commença, en alternance avec Moussa, des va et vient sur toute la longueur.
Marie avait la bouche ouverte, contracté par la douleur de cette première sodomie. Puis, petit à petit, alors que les deux hommes la baisaient en alternance, le masque de douleur se changea en gémissement, puis en cri de jouissance. De voir ainsi ma femme se faire prendre en sandwich par deux hommes presque inconnus, mon sexe était comme du bois dans ma main. De voir qu'elle y prenait, malgré elle, un plaisir apparent m'excitait encore plus. J'avais une vraie salope qui s'ignore à la maison.
Le Turc, déjà bien excité par son passage dans sa bouche, se contracta et se dévida, tout en l'abreuvant de commentaires dans sa langue d'origine qui devaient certainement être des insultes.
- Allez le mari, prend la place, apparemment tu ne l'as jamais enculé, vas-y profite en!
J'hallucinais! C'est le patron qui « m'autorisait » à enculer ma propre femme. Toutefois, je ne me fis pas prier pour profiter de l'occasion. Son anus encore dilaté par la sodomie du Turc, j'apposais mon gland et il fut comme aspiré. A travers la mince paroi je pouvais sentir le sexe énorme de Moussa. J'avais rêvé de ce moment tant de fois, pouvoir sodomiser Marie, la voir livrée à d'autres! Je lui agrippais les hanches et donnais de violent coup de rein avant de lâcher à mon tour ma jouissance au plus profond de son fondement.
La suite c'est pendant plus de deux heures une orgie durant laquelle nous avons chacun, tour à tour, sodomisé ma femme, éjaculé dans sa bouche, sur ses seins...Moussa l'a limé pendant plus d'une heure durant et quand, après l'avoir fait jouir cinq ou six fois et finalement joui lui-même, il s'est retiré dans un grand « plop », un flot énorme de sperme s'est écoulé du sexe de Marie. Le patron en a récupéré la plus grande partie pour lui mettre dans la bouche, s'essuyant ensuite la main dans ses cheveux.
Par la suite, laissant ses ouvriers récupérer, il m'a aidé à rentrer Marie dans la maison, à lui faire prendre une douche, à la rhabiller et à l'installer sur le canapé. Il m'a dit qu'il lui dirait qu'après avoir bu le verre de porto, elle ne s'était pas sentie bien et qu'elle était venu se reposer. Sur ces paroles, nous l'avons laissé et je suis reparti.
Quand je suis arrivé le soir, les ouvriers étaient partis et je retrouvais Marie dans la cuisine. Comme je lui demandais comment s'était passé la journée, elle me répondit que ça allait, mais qu'elle était un peu vaseuse et qu'elle irait se coucher tôt...


La Bourgeoise et Les Gitans
Au volant de sa berline allemande, Patricia était songeuse. Elle pensait avec délice à ces quelques jours qu'elle allait s'accorder dans sa maison de vacances, dans le sud de la Drôme. Son mari, encore une fois, était en déplacement à l'étranger pour une semaine et elle avait décidé de s'octroyer quelques jours de vacances, le soleil étant enfin de retour en ce mois d'Avril, après un hiver particulièrement pluvieux. Bref, elle comptait bien pouvoir s'occuper d'elle et se reposer pendant ce mini break.
Elle pensait avec délice à la terrasse ensoleillée de sa maison de pierre, tellement typique du style de cette région. Elle se sentait bien dans cette maison. Il lui tardait de voir si les floraisons avaient débutées. A cette pensée, un sourire illumina le visage de cette belle femme d'une cinquantaine d'années. Ses cheveux blonds, mi courts, ondulaient légèrement. Elle aimait à penser qu'elle était assez bien conservée, mais la vérité était bien moins modeste. Elle avait un corps à faire pâlir des femmes de trente ans, avec des jambes longues et fuselées qu'elle gainait souvent de bas pour les mettre en valeur. Sa poitrine, magnifique, arborait un arrogant 95 D, qu'elle mettait assez souvent en valeur dans des décolletés sage ou en portant des hauts moulants.
Ce jour-là, elle était partie dès la fin de son travail à midi, ayant fourré dans une valise une trousse de toilette et quelques affaires de rechange, même si elle avait des vêtements dans sa maison secondaire. Conseillère de clientèle dans une banque, elle portait toujours ses « vêtements de travail », une jupe droite et un chemisier blanc sur ses escarpins à talon. Pour les courses, elle s'arrêterait dans le petit village à proximité acheter quelques denrées alimentaires pour son séjour. D'ailleurs, les premières maisons du petit bourg faisaient leur apparition le long de la départementale. Elle trouva une place pour stationner sur la place du village.
Elle s'arrêta tout d'abord chez le boucher, celui-ci avait vraiment le physique de l'emploi, presque une caricature. Grand et gros, chauve, joufflu et rougeau. Pas bien malin non plus...une vrai caricature...Il ne manqua pas de lorgner, comme à chaque fois qu'elle venait en fait, vers son chemisier tendu sur son opulente poitrine. Elle se dépêcha de payer et de quitter cet homme qui la dégoutait. Elle fit ensuite des emplettes chez le primeur, un vieux monsieur sympathique qui aurait depuis longtemps dû être à la retraite et qui avait toujours un mot gentil. Pour finir, elle prit du pain chez le boulanger. Ce fût un jeune apprenti qu'elle ne connaissait pas qui la servit. Il devait avoir 18 ans, grand et fort. Elle ne put s'empêcher de regarder ses bras et son torse musclés, qui ressortaient sous la blouse. Au moment de payer, elle croisa son regard et vis le petite sourire en coin, légèrement goguenard qu'il lui lançait. Elle s'était, de toutes évidences, faite repérer. Le rouge lui monta immédiatement aux joues et elle s'empressa de sortir.
En rejoignant sa voiture, elle croisa le maire du village, qui la salua et lui demanda s'ils restaient quelques temps. Elle lui répondit qu'elle était venue seule pour prendre juste quelques jours de congés. Il lui dit alors de bien fermer sa porte le soir parce qu'il y avait quelques caravanes de gens du voyage qui s'étaient installées dans le champ du père Renée, et comme c'est un terrain privé, il ne peut pas les déloger.
Le père René c'est un vieux acariâtre, sale, presque ermite, avec qui les relations de voisinage ne sont pas au beau fixe, loin s'en faut. Cela n'étonna pas Patricia qu'il ait accepté de prêter son champ à des gitans, juste pour ennuyer le maire, avec qui il était à couteaux tirés depuis des années.
En remontant en voiture le chemin communal qui l'emmenait à sa propriété, effectivement, elle vit une dizaine de caravanes qui formaient un espèce de camp. Elle se promit mentalement de bien penser à fermer la porte à clé le soir.
Au bout de son chemin privé, sa demeure lui apparût, dans son écrin de verdure. Les arbres fruitiers étaient en fleurs, dégageant une douce odeur. Patricia oublia immédiatement toutes ses inquiétudes pour se laisser porter par le plaisir d'être ici. Les courses vite rangées, sa valise dans sa chambre, elle sortit le roman de cet auteur à succès qu'elle avait gardé pour l'occasion, enfila un maillot de bain, se servit un verre de vin rosé de Provence et s'installa sur un transat sur la terrasse. Elle se sentait divinement bien. Les rayons de soleils léchaient sa peau d'une douce tiédeur que ce soleil d'Avril rendait tellement agréable.
Une heure, hors du temps, s'écoula. Se retrouvant avec un verre vide, Patricia Rentra dans la cuisine pour s'en servir un autre. Sa terrasse étant à l'abri de tous les regards, elle embarqua par la même occasion un peignoir et enleva son maillot de bain. Les rayons de soleil sur sa peau nue, un sentiment de plénitude, l'effet conjugué de la fatigue accumulée et des deux verres de vin rosé la firent sombrer dans une torpeur réparatrice.
Ce fût les sons répétés de la cloche d'entrée qui la tirèrent de sa somnolence. Qui cela pouvait-il bien être?
Elle enfila son peignoir à la hâte et s'empressa d'aller ouvrir.
A la porte d'entrée, il y avait deux hommes. L'un était petit, avait une soixantaine d'année, portait un chapeau, un tee shirt qui avait connu des jours meilleurs et quand il sourit il découvrit son unique dent. L'autre était une espèce de montagne, avec un ventre énorme, des mains comme des battoirs et se trouvait engoncé dans un costume qui visiblement était de deux ou trois tailles trop petit. Les deux avaient le temps halé des gens du voyage.
- Bonjour Madame dit le plus petit, qui visiblement avait autorité sur l'autre. Nous ne voudrions pas vous déranger. Nous sommes une petite communauté qui s'est installée depuis quelques temps dans un champ près de votre propriété. Je sais que les gens du voyage ont mauvaise réputation, à tort, alors nous voudrions vous proposer de boire le verre de l'amitié. Nous avons amené une bouteille.
Alors qu'il prononçait ces mots, il sortit de derrière son dos une bouteille de verre contenant un liquide transparent, très certainement de l'alcool qu'ils avaient eux même distillé. Patricia était particulièrement réticente à laisser entrer ces deux hommes chez elle. Mais comment allaient --ils prendre un refus? Ces gens-là, elle le savait, sont de nature très susceptible. Il valait mieux ne pas les contrarier. A contre cœur, elle leur proposa de rentrer et de s'installer sur la terrasse. Elle alla chercher 3 verres et les déposa sur la table devant eux.
Le petit servit des rations de soudards! Plus du tiers de la bouteille avait été répartie dans les verres. Patricia se dit qu'elle allait boire un verre rapidement avec eux et leur dirait ensuite qu'elle attendait du monde et qu'elle avait des choses à préparer. Plus tôt ils seraient partis, mieux cela serait. Elle trinqua avec eux et porta le liquide à ses lèvres. C'était terriblement fort! N'ayant pas l'habitude de boire, elle toussa un peu.
- C'est un peu fort, mais c'est tout naturel, lui dit le chef avec un sourire édenté. C'est de l'eau de vie de poire que nous fabriquons nous même. Vous allez voir, la deuxième gorgée passe bien mieux.
Et tout en disant ça il porta son verre à ses lèvres, incitant par là même Patricia à faire de même. C'est vrai que la deuxième gorgée passait mieux, se dit elle pour elle-même. Elle commençait à avoir très chaud, au soleil et dans son peignoir.
Le chef racontait que cela faisait maintenant quelques jours qu'ils étaient installés dans le champ, grâce à la générosité du père René. Ils ne voulaient pas déranger, et ils cherchaient des petits boulots. Il demanda si Patricia avait de choses à faire dans sa maison, bricolage, jardinage? Ils seraient ravis de pouvoir lui proposer leurs services.
Patricia répondit qu'elle avait déjà une entreprise qui s'occupait de cela pendant son absence, mais que sinon, ça aurait été avec plaisir. Elle vit qu'ils étaient un peu dépité par sa réponse. Mais elle ne tenait pas à avoir ce type de personnes chez elle de manière régulière.
Le vieux resservit des verres d'autorité et dit que ce n'était pas grave, qu'ils trouveraient bien ailleurs dans la région. Il leva son verre et déclara :
- A notre bon voisinage! Cul sec!
Et il bascula son verre d'un coup. Patricia, encore un fois, se sentit obligée de l'imiter et elle but son verre d'un trait. Elle ressentit une brulure qui se rependit dans sa gorge, puis dans son estomac. Elle eut les larmes aux yeux.
Le chef continuait à parler de la région qu'il trouvait très belle, qu'ils désiraient peut être rester quelques mois pour en profiter...
Patricia se dit qu'il valait mieux avoir de bonnes relations si ces gens devaient rester aussi longtemps. Elle se félicita de ne pas les avoir refoulés d'entrée.
Le grand ne parlait pas. Quand elle lui jeta un coup d'œil, elle s'aperçut qu'il jetait des regards soutenus vers son décolleté. En baissant les yeux, Patricia s'aperçue que son peignoir s'était légèrement ouvert, laissant apparaitre la naissance d'un de ses seins. D'instinct, elle en resserra les pans rapidement tout en rougissant instantanément. Les deux hommes firent mine de ne rien avoir remarqué, et le vieux en profita pour verser le reste de la bouteille dans les verres.
- Il y a une tradition chez nous, on ne laisse jamais une bouteille qui n'est pas vide!
Patricia se dit qu'elle allait être complètement saoule, mais qu'au moins, une fois ce verre terminé, ils allaient enfin pouvoir partir. Ils trinquèrent une nouvelle fois. Maintenant qu'elle était habituée, le liquide alcoolisé passait bien mieux, lui procurant juste une légère brulure dans la gorge et une forte chaleur dans le ventre. Le vieux continuait à parler comme si de rien n'était, apparemment indifférent à la dose d'alcool absorbé. Patricia en revanche se savait totalement saoule. Sa tête tournait, elle voyait flou et elle avait du mal à articuler.
Les verres furent enfin terminés, mais les deux hommes ne semblaient pas pressés de s'en aller.
Le grand lui demanda s'il pouvait utiliser ses WC. Difficile de refuser se dit Patricia. Elle lui dit qu'elle allait lui montrer où c'était. Quand elle voulut se lever, ses jambes se dérobèrent sous elle, et sans un réflexe de géant gitan, qui la retenu par-dessous les bras, elle se serait totalement affalée par terre. Dans l'émotion elle ne le remarqua pas, mais l'homme en profita pour saisir un de ses seins à travers le fin peignoir de soie et pour le malaxer.
- Il vaut mieux que vous restiez assise ma petite dame, je vais bien trouver tout seul.
Et joignant le geste à la parole, il la redéposa, presque hagarde, sur son siège. Cette fois la tête lui tournait totalement. Elle voyait le vieux lui parler, mais elle avait même un peu de mal à comprendre ce qu'il lui disait. Il lui semblait qu'il parlait de la saison de la cueillette des fruits qui allait arriver, pêche et surtout ce qu'il préférait, les abricots. Patricia le laissait parler. Elle ne voulait plus qu'une chose, qu'ils partent et qu'elle puisse prendre une douche et se coucher...
Au bout d'un temps indéterminé, le grand revint enfin et le vieux en profita pour dire à Patricia qu'ils allaient la laisser tranquille, qu'elle devait avoir beaucoup de choses à faire. Elle bredouilla une réponse affirmative, avant de tenter de se lever à nouveau. Cette fois les deux hommes avaient anticipé et ils se trouvaient chacun d'un côté de la chaise pour la supporter. C'est ainsi soutenue qu'elle les raccompagna à la porte d'entrée.
Au moment de partir le vieux lui dit, allez faisons-nous la bise, tout en ne lui laissant pas le choix et en la collant sur son gros ventre. Il sentait la sueur, l'alcool et le tabac. Elle se demanda si sa grosse main sur sa fesse était intentionnelle ou pas. Est-ce qu'elle avait senti sa langue sur sa joue au moment de la bise ou était-ce une divagation due à l'alcool? Quand le grand se serra contre elle pour lui faire la bise, il lui sembla que contre son ventre elle sentait son sexe tendu...Elle se dit que l'alcool ne lui réussissait pas, et les salua de la main avant de rentrer à l'intérieur et de fermer la porte. Elle chercha les clés qu'elle laissait habituellement dessus, mais elles n'étaient pas là. Elle se dit qu'elle devait les avoir laissées dans son sac. Quand elle s'avança dans son salon et passa devant une grande glace, elle eut une vision d'effroi :
La ceinture de son peignoir était défaite, et les pans de celui-ci complétement ouverts! On voyait clairement son sexe dont la toison était entretenue en ticket de métro et les tétons de ses seins. Elle se sentit défaillir! Elle s'était involontairement exhibée à ces deux hommes comme la dernière des catins. Ils avaient du bien se rincer l'œil les salauds! Elle fila à la douche pour se laver de ce qu'elle ressentait comme une souillure. Elle décida que le lendemain elle repartirait pour ne pas risquer de les rencontrer à nouveau, tellement elle avait honte d'elle-même.
La douche lui fit du bien, et toujours sous l'emprise de l'alcool, se glissa dans les draps de son grand lit, juste habillée d'une petite nuisette en dentelle noire.
Ses rêves furent chaotiques, parsemés de cauchemars et de rêves érotiques. Elle se réveilla en sursaut au milieu de la nuit. La bouche pâteuse, elle se leva pour aller boire. Elle se rendit compte qu'elle titubait, encore sous l'emprise de l'alcool. Alors qu'elle se servait un verre d'eau dans la cuisine, un courant d'air inhabituel la fit frissonner. En en cherchant la cause, elle s'aperçut que la baie vitrée donnant sur la terrasse était ouverte. Quand est-ce qu'elle avait bien pu l'ouvrir? Son cerveau plongé dans les brumes éthyliques n'arrivait pas à répondre à cette question. Elle se dépêcha de la fermer.
Comme elle regagnait sa chambre, une main la saisi par le bras. Elle poussa un cri qui fût vite étouffé par une autre paluche appuyant sur sa bouche. Elle fût prestement soulevée du sol comme si il s'agissait d'un fétu de paille. L'homme qui la tenait lui enfourna un bout de tissu dans la bouche et la jeta sur son lit. C'est à ce moment seulement qu'elle reconnut le grand gitan qui était venu la voir l'après-midi. Comme elle se débattait il lui administra une gifle monumentale qui la laissa presque assommée. Quand elle reprit ses esprits, elle se rendit compte que ses bras étaient solidement attachés aux montants du lit par des cordelettes. Elle était seule dans la chambre, mais elle entendait des voix parler dans la pièce d'à côté.
Tout à coup, les voix s'arrêtèrent et la porte de la chambre s'ouvrit. Devant elle, se tenaient le grand gitan et le vieux. Un sourire vicieux barrait son visage.
- Alors Madame, comme ça vous n'avez pas de travail pour nous...Mais il faut bien que l'on vive vous comprenez? Alors si on ne peut pas gagner notre vie en travaillant, il faut bien que l'on fasse autrement! Et justement, vous avez dans votre maison quelques objets dont nous pourrons tirer profit. Et puis, il y a la cerise sur le gâteau...vous êtes sacrément bandante et on ne pouvait pas passer à côté d'une occasion pareille, surtout de la manière dont vous nous avez allumés cette après-midi.
En prononçant ces paroles, il passa sa langue sur ses lèvres dans un geste obscène. Patricia en frissonna de dégout et d'appréhension. Elle essaya de se débattre mais les liens étaient solides et la seule chose qu'elle réussit à faire fût de faire remonter sa nuisette sur ses cuisses, dévoilant par la même ses lèvres intimes et sa toison.
- Et bien voilà, tu vois que tu y mets du tien, tu nous dévoiles toi-même ta chatte, comme tu l'as fait cette après-midi. Tu es vraiment une grosse salope qui ne demande qu'à se faire baiser...et bien tu vas en avoir pour ton argent!
Au-delà même des mots crus utilisés, c'est le passage du vouvoiement au tutoiement qui fit paniquer Patricia. Elle comprit alors que ces hommes ne reculeraient devant rien.
Il s'approcha du visage terrorisé de la femme, et sortant une langue encore chargée par l'alcool, lui lécha la joue, le nez, les lèvres, essayant de s'immiscer à l'intérieur, mais Patricia, dégoutée, les tenait fermement fermées.
- Tu refuses mon baiser salope...mais tu vas voir que tu vas t'y faire!
En prononçant ces mots, il sortit un couteau à cran d'arrêt de sa poche, l'ouvrit, et en promena la lame sur le visage d'une Patricia cette fois terrorisée. Bloquant la lame sur le cou, il lui dit :
- Tu vas me sucer la langue comme une chienne que tu es...sinon...
Et il ressortit sa langue devant la bouche de Patricia, tétanisée par la peur celle-ci se dit qu'elle n'avait pas le choix. Elle ouvrit doucement sa bouche, et, comme si c'était un esquimau, s'appliqua à sucer la langue du vieux dégueulasse.
- Tu vois que tu arrives à obéir. Il vaut mieux pour toi d'ailleurs! Ouvre la bouche en grand!
Comme Patricia mettait un peu de temps à s'exécuter, il accentua la pression du couteau sur sa gorge. Elle ouvrit la bouche et il en profita pour lui cracher à l'intérieur. Puis, satisfait de l'humiliation qu'il venait de faire subir, se redressant, il promena son couteau sur la nuisette de la femme. Lentement la lame acérée commença à découper le tissu. Patricia se débattit.
- Rudy, tiens lui les jambes à cette salope, elle gigote trop!
Le grand, qui s'appelait donc Rudy, saisit les deux jambes et les immobilisa, légèrement écartées pour qu'il puisse se rincer l'œil sur l'entrejambe dénudée de Patricia. Pendant ce temps le vieux continuait de découper lentement la nuisette, qui s'ouvrait de plus en plus faisant apparaitre les globes des fabuleux seins de Patricia, puis les tétons érigés par la peur. Bientôt, la nuisette fût ouverte sur toute sa longueur et s'étala des deux côtés du corps de la pauvre victime. Patricia, totalement exposée, entravée, était totalement à sa merci. Posant son couteau sur la table de chevet, il attrapa à deux mains les seins de la femme, les malaxant avec violence, tirant sur les tétons sans retenu. Il en prit un dans sa bouche, enroulant sa langue sur le téton en bavant abondamment dessus, puis le mordit, arrachant un cri de douleur à Patricia.
- Tu es sacrément bien gaulée pour ton âge petite pute! Même si habituellement je préfère violer des gamines de 20 ans, je vais me régaler de te baiser.
Sous les yeux apeurés de Patricia, alors que Rudy lui tenait toujours les jambes, il commença lentement à défaire son ceinturon, puis les boutons de sa braguette. Le pantalon tomba à ses chevilles, il était nu dessous. Entre ses jambes pendait un sexe court et trapu, en semi érection, avec un gros gland violacé, parsemé de sécrétion. Même à distance, une forte odeur s'en dégageait.
- Je ne me suis pas lavé le chibre depuis la dernière fois que j'ai baisé ma nièce de 18 ans. J'aime pas bien l'eau. Mais comme l'hygiène c'est important, tu vas me nettoyer tout ça avec ta langue.
- Nooooon!!!!
- Ne fais pas ta mijaurée et surtout ne m'oblige pas à reprendre mon couteau...Tu vas me sucer et tu vas t'appliquer. Chaque fois que je sentirais les dents, je te découperais un bout d'oreille!
joignant le geste à la parole, il s'assit à califourchon sur la pauvre Patricia, lui présentant son sexe malodorant, et attrapant dans le même temps son couteau sur la table de chevet.
- Allez, ouvre la bouche et suce!
Tétanisée par la vue du couteau, Patricia ne pouvait qu'obtempérer. Timidement elle entrouvrit la bouche, laissant le gland de son bourreau forcer l'entrée. Le goût était âcre et salé, lui provoquant un haut le cœur. Le vieux en profita pour s'enfoncer plus profond dans sa bouche, entamant des va et vient. Puis il se retira, laissant son membre à quelques centimètres de la bouche de Patricia.
- Maintenant tu vas me lécher...et n'oublie pas les couilles...Faut que ma bite soit propre et brillante!
Soumise, la femme sorti sa langue, et entreprit de nettoyer le sexe de son tourmenteur. Il fallait pour cela qu'elle se redresse et relève la tête. Bien sûr, le vieux ne faisait rien pour l'aider, jouissant de la docilité de cette bourgeoise de 50 ans, bon chic bon genre, qui se retrouvait attachée sur son lit, nue, et en train de lui nettoyer le sexe. Patricia passa sa langue sur les testicules velus du vieil homme, lui arrachant un grognement de plaisir. Puis elle finit de rendre brillante la verge dure, en insistant sur le gland.
- Arrête salope, tu vas me faire gicler avant même que je ne t'ai baisée!
Il se releva et vint se positionner devant le sexe de Patricia. Celle-ci comprenant que l'inexorable allait arriver tenta de se débattre, mais les cordes conjugué à la force de Rudy eurent raison de ses tentatives. Avec une lueur lubrique dans ses yeux, le vieux gitan approchait lentement sa verge gonflée par l'excitation et brillante de salive des lèvres intimes de la femme. De son gland il frotta ces lèvres, lubrifiant le sexe féminin. Puis, lentement, comme pour humilier encore plus sa victime, il enfonça la colonne de chair sur toute sa longueur, provoquant un cri de désespoir de Patricia. Il commença alors un lent va et vient, faisant claquer ses testicules à chaque coup de butoir. Il attrapait aussi les gros seins de la femme en les triturant et les malaxant violemment
- Alors salope, tu aimes ça te faire baiser par une belle bite hein? Je suis sûr que sous tes airs de bourgeoise prude tu te fais enfiler par tout ce qui passe. Ta chatte est accueillante même si elle est encore un peu serrée, mais ne t'inquiète pas, on va arranger ça! Regarde Rudy comme ses mamelles bougent chaque fois que je lui mets un coup de bite. C'est vraiment une grosse salope qui mérite que de se faire baiser par tous! Elle m'excite trop je vais juter dans sa chatte!
Et dans un râle guttural, le violeur se répandit au fond du vagin de sa victime, qui sanglotait.
Quand il sortit son sexe, un flot de sperme s'échappa du trou béant. Se relevant, il vint s'essuyer le membre sur la joue de Patricia puis il saisit ses cheveux et s'en servit comme d'un chiffon pour enlever les dernières traces.
- Elle est à toi Rudy, fais en ce que tu veux, mais ne l'abime pas!
Lâchant les jambes qu'il tenait depuis le début, Rudy se redressa, une lueur cruelle dans son regard. Il baissa d'un coup le bas de survêtement qu'il portait. Lui non plus ne portait pas de sous-vêtements, mais ce n'était pas ça qui a fait Patricia écarquiller des yeux. Entre ses jambes pendait un sexe énorme, long et épais, déjà en semi érection. Il attrapa la mentule avec sa main et commença à se masturber. L'énorme engin pris encore de la grosseur et se redressa. Il devait faire plus de 25 centimètres. En le voyant s'approcher de son sexe, Patricia poussa un « noooooon » désespéré en battant des jambes. Rudy s'en saisit et les écarta violemment vers le haut. Puis il embrocha la pauvre femme d'un seul coup, lui arrachant un cri de douleur. Elle n'avait jamais reçu un sexe de cette dimension, et elle avait l'impression d'être totalement embrochée. Même si le sperme laissé par le vieux lubrifiait un peu le passage, la brutalité avec laquelle Rudy l'avait transpercé amplifiait la douleur. Ce dernier donnait maintenant de gros coup de reins, faisant sortir le sexe de presque toute sa longueur à chaque coup pour mieux embrocher la femme qu'il violait. Au bout d'une dizaine de coup de boutoir, le corps de Patricia s'était un peu adapté et la brulure commença à se dissiper. Peu après elle fut effrayée par ce qu'elle ressentait. Elle commençait à avoir du plaisir! Noooooon se dit-elle, je me fais violer, je ne veux pas jouir! Mais son corps la trahissait, et elle sentait, inexorablement, monter cette jouissance qu'elle voulait bannir. Elle s'efforçait de ne rien montrer à ses tourmenteurs, ne voulant pas leur donner en plus cette satisfaction. Malheureusement pour elle Rudy accéléra sa cadence à ce moment-là et elle fût submergée par une vague de jouissance qui lui fit se contracter tout le corps et elle ne pût retenir un râle de plaisir.
- Regarde-moi cette pute! Elle jouit! C'est vrai qu'avec ta grosse queue il y en a pas une qui te résiste! Toutes des salopes qui attendent de se faire baiser par des grosses bites.
Rudy, qui ne disait toujours rien, sortit tout à coup son membre du fourreau dans lequel il était et éjacula sur les seins et le visage de Patricia.
- Tiens prend ça salope, du bon foutre pour une chienne!
La quantité de sperme était impressionnante, de longues trainées blanchâtres maculaient ses seins, son menton sa bouche, son nez et ses cheveux. Comme le vieux avant lui, il se servit de ses cheveux comme d'un chiffon pour s'essuyer. C'est alors que Patricia s'aperçut que le vieux avait tout filmé avec son téléphone portable
- Voilà, une bonne petite vidéo où on te voit jouir comme la chienne que tu es grâce à la bonne queue de Rudy! Bon c'est pas tout, mais cette bonne partie de baise m'a donnée soif! Viens Rudy, on va voir ce qu'on peut trouver à boire dans cette maison.
Et les deux hommes laissèrent une Patricia pantelante, terrorisée et honteuse d'avoir jouit alors qu'elle se faisait violer.

Jrdr est un auteur qui ne publie plus. Vraiment dommage.

 


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