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Histoires du net. Divers auteurs.... Dans la vie tout est possible.

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 De l'adolescence à l'âge adulte
toutes les configurations sexuelles sont possibles.
Tant que le plaisir est là pour tout le monde.

Dans les toilettes du lycée
Auteur : Dixon

Mon lycée est très bien noté dans tous les classements statistiques. Le taux de réussite au bac y frôle les 92%, ce qui en fait un établissement parmi les meilleurs d'Île de France. Mais ce qu'on ne sait sans doute pas, c'est que des viols y ont eu lieu. Le pluriel est de circonstance car c'est le troisième en deux ans et personne n'a porté plainte. Dans un bahut de 2 000 élèves, il y a forcément un nombre d'homosexuels qui doit dépasser la centaine. Certains diront jusqu'à 200 si on inclut les hésitants car une circonstance peut faire qu'il y aura une révélation. Ce fut mon cas en l'occurrence.
Je m'appelle Guillaume Lomond et je suis en classe de première. À 16 ans, j'ai un an d'avance et j'ai toujours été bon élève. Mon physique ne me plaît pas trop, je me trouve un petit peu crevette, mais j'ai un visage avenant. Je ne suis pas très populaire, ma timidité me dessert, cependant je sais ce que je veux et j'ai envie de sucer des bites.
J'ai une copine qui s'appelle Claire et j'aime sortir avec elle. J'adore lui pétrir les seins et fouiller sa petite culotte, alors je ne comprends pas pourquoi ce désir d'une queue dans ma bouche. J'ai consulté des sites médicaux et j'ai appris que chez les ados, il y a une période de latence où l'on hésite entre les deux. J'en aurai le cœur net cette année.
J'ai quelques copains au lycée. Nous nous voyons à l'inter-classe et nous discutons d'un peu tout. Ils sont plus baraqués que moi, ils ont 17 et 19 ans et sont tous deux en terminale. Jacky est un tombeur de nénettes et très peu lui ont résisté. Contrairement à moi et Romain, il a perdu son pucelage et ça lui donne de l'assurance. Il donne des détails croustillants sur sa façon de baiser les filles. Ça excite Romain, moi aussi mais pour des raisons différentes. Il dit qu'elles le branlent et le sucent et au lieu de penser aux filles, je pense à la bite de Jacky. Je n'ai jamais vu d'autre sexe que le mien et je me pose des tas de questions.
Je mesure ma queue tous les jours avec un double décimètre. Pour l'instant j'en suis à 18, je crois que je suis dans la norme et peut-être même au-dessus. Pour le diamètre je ne sais pas. Avec un lacet de chaussure j'ai fait le tour de mon pénis et j'ai trouvé 13cm. Ma main l'encercle facilement, peut-être qu'elle n'est pas assez grosse. Je n'ose pas demander à Jacky, j'ai peur qu'il me prenne pour un barge.
Je me branle au moins cinq fois par jour, ça me paraît un peu beaucoup mais je n'ai pas de références. J'ai goûté mon sperme souvent, surtout dans l'intimité de ma chambre, mais ça m'est aussi arrivé dans les toilettes du lycée, en fait à de nombreuses reprises. L'idée m'en venait en plein cours et je demandais à sortir, il fallait que je me masturbe.
C'est à une de ces occasions que j'ai surpris une enculade hier matin vers 9h30. J'étais en train de me branler quand dans le chiotte d'à côté j'ai entendu des bruits bizarres. Je suis monté sur le WC et j'ai regardé prudemment. J'ai vu deux types qui s'enculaient. L'un des deux, penché en avant, avait son fute sur les chevilles. L'autre le bourrait violemment mais je n'ai pas pu voir sa bite. Ils baissaient la tête tous les deux et ne pouvaient pas me repérer. J'ai entrouvert la porte du chiotte et j'ai attendu qu'ils aient fini.
Quand ils sont sortis je les ai vus. L'un des garçons était Jacky.
Dire que ça m'a fait un sacré choc serait un sacré euphémisme. Jacky, le tombeur du lycée, était à voile et à vapeur ? Quand je retournai dans ma classe, j'en étais tout tourneboulé. Et en plus, j'avais une trique ! Pourvu que la prof n'ait pas l'idée de me faire venir au tableau. Je me suis paluché discrètement par la poche gauche de mon jogging et j'ai déchargé dans mon slip. À l'inter-classe j'ai vu Jacky et j'ai fait comme si de rien n'était. Maintenant je vais vous le décrire.
La première chose c'est qu'il est beau. Son visage conjugue à la fois virilité et finesse des traits, avec un modelé très ferme. Ses cheveux sont noirs, ses yeux verts, et il a une bouche magnifique, grande exactement comme il faut. Je n'aime pas les bouches petites, tout le charme est dans le sourire qui étire la fente labiale d'un côté du visage à l'autre en dévoilant des dents superbes. Le corps de Jacky a presque atteint son développement adulte. Il est musclé, mais longiligne et frôle le mètre quatre-vingts. Sa taille fine sans ceinture s'évase sur un torse en V et sur un fessier rebondi.
Aujourd'hui, pendant l'inter-classe, mon regard fixe sa braguette car elle m'attire comme un aimant depuis l'enculade de la veille. Elle fait une bosse et pourtant il ne bande pas, Jacky a sûrement un gros chibre. Un garçon rejoint notre groupe et je le reconnais de suite. C'est l'enculé d'hier matin.
Romain fait les présentations, apparemment ils sont amis. Le mec s'appelle Loïc Arvor, c'est un élève de terminale à qui je n'ai jamais parlé. On se serre la main et on cause. On parle de la prof de physique et du bordel pendant ses cours. Chaque mardi et vendredi, de 9 à 10, c'est la pagaille, on entre, on sort, un vrai foutoir. Hier matin de 9 à 10, les terminales avaient physique et Loïc et Jacky s'enculaient. J'en déduis que vendredi à la même heure, ils renouvelleront leur exploit. J'ai un esprit très déductif.
Tout ça m'excite énormément, j'ai des érections permanentes et je me masturbe sans arrêt. J'ai percé ma poche de jogging pour avoir un contact direct avec ma queue et c'est super. Ma main ne quitte pas ma poche même pendant les heures de cours. Je suis obsédé par Jacky, par la bosse de sa braguette. Je n'ai pas encore vu son chibre alors j'essaie d'imaginer. Le soir, branché sur Internet, je passe en revue tous les sexes des vidéos gays pornos. Il y en a de toutes les tailles et je note que chez les actifs les bites sont souvent plus épaisses que chez la plupart des passifs. Si un jour je saute le pas, serai-je actif ou bien passif ?
Le vendredi, dès 9h du mat, au lieu d'aller en cours d'histoire, je m'installai dans les toilettes avec un bouquin à la main. J'espérais avoir misé juste et que le couple apparaîtrait. Effectivement, à 9h30, j'entendis arriver quelqu'un. La porte de la toilette voisine s'ouvrit et se referma aussitôt et des chuchotements me parvinrent. Ce n'était donc pas un pisseur. Un bruit de bouche leur succéda et je montai sur le WC pour surprendre la fellation qui se déroulait à côté, car ma naïveté n'allait pas jusqu'à ignorer cette pratique.
Je ne m'étais pas trompé. Loïc pompait la queue de Jacky avec ardeur et savoir-faire. Cela dura cinq bonnes minutes, après quoi il se recula pour lui présenter sa rondelle et je vis la queue en question. Longue d'environ 20cm, elle était d'une blancheur d'ivoire et couronnée par un gros gland. Loïc de tira sur les fesses pour s'écarter un peu l'anus et Jacky y plaça sa belle bite. Il poussa et la bite entra. Courbé sur le dos du garçon, il entreprit un va-et-vient qui se transforma rapidement en une puissante enculade.
Perché sur la lunette du WC, mon pantalon sur les chevilles, je me mis à me masturber avec une ardeur frénétique qui n'avait rien à envier à celle des baiseurs d'à côté. Ils avaient la tête baissée et je crus pouvoir mater mieux en faisant émerger complètement ma tête au-dessus de la cloison qui séparait les deux toilettes. C'est alors que Jacky me vit en levant brusquement les yeux. Il fit un "oh" et décula puis se précipita dans mon chiotte, suivi de près par l'enculé.
- Viole-le comme tu m'as violé, dit Loïc avec gourmandise.
- Il va en prendre plein son cul, ça lui apprendra à mater, répondit Jacky. Désolé, Guillaume, c'est la règle.
Il me ceintura par la taille et me fit tomber du WC, et ce d'autant plus aisément que mon jogging m'entravait les chevilles. Puis il me ploya en avant et avec une force inouïe me noua les bras en arrière. Je me trouvais à sa merci. Je ne criai pas au secours et j'attendis mon châtiment. Une petite goutte de sang jaillit de ma rondelle quand il me força brutalement avec ce qui me sembla une véritable barre d'acier. Jacky était impitoyable et je me retins de hurler. Pourtant la douleur m'irradiait et je me sentais déchiré, mais l'idée d'être brutalisé par le mec pour qui je bandais ne me semblait pas scandaleuse. Quand Jacky me remplit le cul d'une cataracte de sperme, j'eus même un début d'érection.
- T'as vu, il aime ça, bienvenue au club des violés, dit Loïc quand il vit ma bite remonter en arc de cercle. On va pouvoir faire une belote, les trois violés et le violeur. Quand est-ce qu'on organise une partouze ? Tu te sens d'en enculer trois à la suite ? demanda-il à Jacky avec un grand rire.
- Ta gueule, on va se faire choper. On en reparle à l'inter-classe. Pour l'instant on retourne en cours.
Jacky se nettoya la bite car il avait ramoné de la merde, mais ça le gêna moins que moi. Je prenais conscience qu'un violeur se ramasse forcément la fange quand il défonce sans prévenir. Je prenais également conscience que l'hygiène de l'homosexuel est une donnée impérative.
De retour chez moi dans ma chambre, je me lavai le cul avec une solution désinfectante, puis le fis longuement tremper dans le bidet après avoir fermé à clé la porte de la salle de bains. Mon sphincter était tuméfié et suintait des matières rosâtres, un mélange de merde et de sang. La douleur semblait diminuer, mais quand je voulus explorer mon fion en y mettant le petit doigt, elle se réveilla, terrible. Il me faudrait bien l'endurer. La honte de montrer mon cul à mon médecin de famille m'obligerait à patienter.
Pendant huit jours j'eus mal au cul mais le saignement avait cessé et je n'avais plus besoin de kleenex pour garnir mon fond de culotte. Jacky demandait des nouvelles de mon postérieur tous les jours, mi-serieux et mi-goguenard.
Mon viol n'avait été pour lui qu'une simple péripétie dans sa sexualité débridée. Pour moi c'était un évènement qui changerait ma vie entière. Mais pourquoi n'en ai-je rien dit ? Après tout, un viol c'est un crime. Il risquait gros, le beau Jacky, en entrant comme ça sans frapper.
Tu me tues, tu me fais du bien. Ces mots de Marguerite Duras étaient la seule explication. La bite de Jacky Marval réjouissait autant qu'elle violait. De toute façon, la première pénétration ne se fait jamais sans douleur même chez le passif consentant. Et j'avais aimé cette violence, je devais bien le reconnaître, comme Loïc et l'autre garçon dont j'ignorais encore le nom. Me faire prendre, rien que ces mots avaient une saveur maso qui me révélait à moi-même. Les crevettes sont faites pour les forts, mon cul pour la bite de Jacky avec en prime de bonnes torgnoles.
Marval saurait me dérouiller et me baiser comme une lope.
- Samedi chez moi à 18h, me glissa Jacky à l'oreille, et tu viens avec un slip blanc.
Il me remit un petit papier avec son adresse et son code. C'était à deux pas de chez moi. Nous n'étions que le jeudi midi et mon impatience était grande. Je me branlai furieusement pendant les deux jours qui suivirent et je pris bien soin de mon cul. Une crème cicatrisante l'avait rendu presque virginal et j'y enfouissais mes doigts pour tester l'élasticité de mon sphincter régénéré.
À l'heure dite, je me présentai et sonnai à l'appartement. Jacky, vêtu d'une robe de chambre, vint m'ouvrir et me conduisit au salon. Il y avait Loïc et... Romain ! Le quatuor était réuni, exactement comme à l'inter-classe. Ils étaient à poil tous les deux et en train de se branler la bite. Jacky quitta sa robe de chambre et il apparut presque nu à l'exception d'un slip de cuir noir.
- Déshabillez-le, ordonna-t-il à Loïc et Romain en me désignant de l'index, qu'il ne garde que son slip blanc.
Les lycéens s'exécutèrent et bientôt je fus dénudé. J'avais une énorme érection qui gonflait mon slip en oblique et j'étais impatient de la suite. Elle fut telle que je l'espérais. Une baffe magistrale m'atterrit en pleine figure et je me retrouvai à genoux, la queue de Jacky devant ma bouche. J'étais sur le point de l'avaler quand une deuxième baffe me renversa sur le côté.
- Tu te contentes de m'obéir, dit Jacky, avec une troisième qui m'allongea sur le tapis. Loïc, Romain, à vous de jouer.
Les deux garçons prirent position et m'immobilisèrent les deux bras, chacun assis de part et d'autre. Jacky se mit entre mes jambes et tirant sur l'élastique de mon slip, libéra ma queue turgescente. Il fit descendre mon prépuce, s'assura qu'il coulissait bien, et m'équipa d'un cockring de fer les clous tournés vers l'intérieur. Ensuite il engouffra ma bite et se mit à la pomper dur. C'était ma première fellation et au bout de trente secondes je déchargeai un flot de sperme dans le gosier de mon suceur, incapable de différer mon plaisir. Jacky cracha tout sur mon ventre et les deux autres garçons, bouche contre bouche, lapèrent mon jus comme des chiennes puis l'échangèrent dans un baiser.
- À présent, debout face à moi ! ordonna notre Maître à tous.
Nous nous alignâmes devant lui et il passa son inspection, commentant nos imperfections. Romain, dont le corps était beau, fut qualifié de "petite bite" tandis que Loïc se voyait reprocher d'avoir "des cuisses de haricots verts". Pour moi, il me traitait de "gringalet à grosses couilles".
À chaque observation de sa part nous étions tenus de répondre "oui maître". Il avait ôté son slip noir et sa bite se dressait, glorieuse, au milieu de son corps superbe. Nous nous mîmes à genoux tous les trois pour vénérer l'objet sacré. Moi au milieu je léchai les couilles et chacun des autres orants, de part et d'autre du gros chibre, se mit à mignarder le gland. De temps en temps une grosse baffe nous rappelait qui nous étions et nous répondions "merci maître".
Puis Jacky exigea d'assister à une pipe triangulaire entre nous, ses esclaves blancs, le surnom dont il nous affubla. Je pris la quéquette de Romain, Loïc s'aboucha à mon zob et le triangle fut formé quand les trois bites furent en bouche.
C'était aussi la première fois que je suçais une queue d'homme et je me sentis définitivement initié à la grande confrérie pédé. Suceur, sucé et enculé, mon palmarès s'enrichissait. Il ne me restait plus qu'à jouer le rôle d'actif pour être à jour. De cela je ne voulais pas, étant résolu à subir. Ma nature était masochiste, le viol et les torgnoles me plaisaient et je rêvais d'être soumis à la férule de Jacky.
- Maintenant jouissez-vous dans la gueule et apportez-moi votre obole, ordonna le Maître suprême en s'allongeant la bouche ouverte.
Ces quelques mots accélérèrent la jouissance presque imminente à laquelle nous avions atteint et nous déchargeâmes en même temps. Gardant le sperme dans notre bouche, nous le déposâmes dans la sienne. Il le fit rouler sur sa langue, déglutit et avala tout. Il se releva et me dit :
- Mets-toi à quatre pattes, Guillaume, et remonte ton slip sur ton cul.
Derrière moi positionné, Jacky me lécha la rondelle à travers le tissu tendu et d'un coup de dent le déchira. Il y avait place pour sa bite dans la déchirure du coton et il m'empala jusqu'aux couilles. Comme dans le chiotte il bourra, mais malgré toute sa violence, il ne s'agissait plus d'un viol car j'étais archi consentant, mon plaisir égalait le sien et faisait remonter ma queue.
À peine cinq minutes s'étaient-elles écoulées entre mon éjaculation dans la bouche de Loïc que j'atteignais un deuxième orgasme, bien plus fort que le précédent. Jacky me laboura une dernière fois et explosa dans mes entrailles. Ensuite il arracha mon slip et le brandit comme un trophée.
- Il va rejoindre les deux autres, vous êtes les trois que j'ai violés, dit-il, en attendant mieux !
Quelques jours après, au lycée, un nouvel élève arriva, venu de Nouvelle-Calédonie. Il s'appelait Tristan Mahut et nous fîmes bientôt connaissance. Il avait un air doux, gentil, et je le présentai aux autres. Il regarda surtout Jacky et s'attarda sur sa braguette. Je crois qu'il aura droit au slip blanc...

Ce récit se déroule il y a quatre ou cinq ans, au début de l'été.
Ce jour-là, j'avais un rendez-vous professionnel à l'autre bout de la ville. À vrai dire, ce quartier est tellement éloigné qu'il n'est même plus considéré comme faisant partie du centre-ville, mais d'ores et déjà de la banlieue. De plus ma voiture était en révision… Putain ! J'allais devoir me taper presque une heure de bus pour un rendez-vous à la con, et rebelote pour le retour. Merde !
Sans autre alternative malheureusement, je monte donc dans le fameux bus en début d'après-midi en direction de ma destination paumée. Au fur et à mesure que défilent les arrêts, le bus se vide peu à peu. Normal, il faut que je descende au terminus.
N'ayant pas grand-chose pour me distraire durant ce trajet qui me semble n'en plus finir, cela fait un moment que j'observe le va-et-vient d'un Rom dans le véhicule, lequel réclame, sans surprise, quelques pièces aux passagers.
Je donne toujours systématiquement aux personnes qui mendient, quelles qu'elles soient, mais jamais aux Roms. Je sais, c'est terrible et cela peut paraître raciste bien que je ne me considère pas du tout comme tel. Mais enfin voilà, je ne donne jamais aux Roms. Je n’aime pas leurs manières, leurs simagrées et paraît-il que l'argent qu'ils mendient sert à entretenir un réseau mafieux…
Mais enfin voilà, ce jour-là, le Rom en question est plutôt mignon et je ne sais pas pourquoi, je croche sur lui. En fait, il est carrément sexy dans ses habits complètement débraillés. On remarque distinctement que le mec est bien foutu, plutôt musclé.
Il doit avoir dans la trentaine et sa belle gueule mate est bien dessinée, et surtout ses beaux yeux verts qui ressortent lui procurent un charme fou.
Lorsqu'il passe vers moi, je n'hésite pas une seconde et lui tends plusieurs pièces avant même qu'il en ait fait la demande, le tout accompagné d'un large sourire. Surpris par ma générosité, il me regarde intensément et me gratifie d'un remerciement avec un accent latin.
Il continue son avancée dans le bus et je ne le quitte pas du regard. À maintes reprises, je remarque qu'il se retourne afin de me regarder furtivement, ce qui instille le doute dans mon esprit : serait-il attiré par moi, comme moi je le suis par lui ? Je n'ose y croire, mais cette simple pensée raidit déjà ma queue dans mon calbut.
Alors, je me décide… Après tout, qui ne tente rien n'a rien !
Je continue donc à le fixer sans discontinuer, en me léchant et mordillant discrètement les lèvres, lui signifiant clairement que de mon côté les signaux sont au vert. Ce petit jeu dure quelques minutes et je constate enfin que j'ai capté pleinement l'attention du Rom, alors qu'il s'est assis à quelques rangées face à moi. Lui aussi ne me quitte plus du regard et me fixe profondément. Toutefois, je ne saurais dire s'il est dans le même état d'esprit que moi… Je doute. Il me semble remarquer une grosseur sous l'entrejambe de son jeans, ce qui termine de me faire bander complètement. Mais je doute carrément.
Les arrêts continuent de défiler et le bus se vide toujours de plus en plus. Mon petit jeu continue et le Rom lui aussi me regarde presque sans s'arrêter.
Nous arrivons enfin au terminus, je descends et entame mon chemin en direction de mon rendez-vous, persuadé que cette histoire s'arrêterait là. Au bout de quelques mètres, lorsque j'ai atteint un chemin plus discret, une main attrape fermement mon bras gauche et me fait faire volte-face. Je me retrouve nez à nez avec le beau Rom qui me lance, toujours de son bel accent chantant et plein d'assurance :
- Tu veux sexe avec moi ?
Envieux, mais méfiant je lui réponds :
- Ouais, mais je ne paye pas pour ça !
- Pas de problème, me rétorque-t-il.
Je lui explique que je dois avant tout honorer mon rendez-vous et que je le rejoins dès que j'ai fini. Apparemment vraiment chaud, il accepte sans broncher et m'assure qu'il m'attendra derrière un bosquet situé à quelques pas. Je confirme mon accord et me rends donc à ce putain de rendez-vous. Pendant tout l'entretien, je ne pense qu'à une chose : abréger au plus vite pour pouvoir rejoindre le magnifique Rom qui m'attend dans les buissons.
Lorsqu'enfin le rendez-vous se termine, je fonce au lieu-dit, la queue déjà mouillée et dure et la rondelle tremblante d'envie. Sur place, je trouve rapidement mon plan. Il est là, caché dans les arbustes. Ouf ! Il m'a attendu ! Il me veut vraiment !
L'endroit est vraiment discret. On est réellement caché du trafic et bien qu'on soit en plein après-midi, je n'ai aucune appréhension à me faire baiser comme une chienne ici.
À l'instant où je rejoins le Rom, celui-ci vient de baisser son jeans et tend ses hanches dans ma direction, m'offrant son boxer bleu marine en matière synthétique, unique barrière avant sa teub, laquelle est moulée parfaitement par le sous-vêtement.
Sans hésiter et sans un mot, je m'agenouille et approche mon visage afin d'entreprendre de sucer et travailler sa queue au travers du boxer. Tout de suite, une forte odeur de sueur, assez rance et aigre, emplit mes narines. Je peux également percevoir une note d'urine et je dois admettre que l'ensemble me surprend de prime abord, mais je n'ai pas le temps de réfléchir, car déjà le Rom m'attrape vivement par l'arrière du crâne et m'écrase la face contre son slip odorant.
Au contact de mon visage contre le tissu, je constate que celui-ci est déjà légèrement humide de sueur et prends une profonde inspiration de fumet de bite avant de commencer à bouffer le boxer et masser sa bite avec ma bouche.
Peu à peu, je découvre les formes de sa verge sous mes lèvres et ma langue, lesquelles exercent un mouvement de succion acharné et frénétique. Un goût salé de transpiration et d'urine s'invite en premier lieu dans ma bouche. Puis, au fur et à mesure que je pompe le tissu, celui-ci s'inonde de ma salive et la saveur s'estompe progressivement.
Sa queue est très dure et surtout relativement longue et large. Je bave de plaisir sur ce morceau de premier ordre. Le Rom marmonne de plaisir et maintient ma tête avec ses larges mains afin de m'obliger à continuer mon vicieux ouvrage. Bientôt, je n'y tiens plus et m'aventure à descendre le slip détrempé de bave afin de délivrer la pauvre bite emprisonnée.
Elle se dresse dorénavant fièrement devant mes yeux telle un guerrier sanguinaire, prêt à combattre jusqu'au bout. Le gland, épais et charnu, est encore partiellement recouvert par le prépuce. Ni une ni deux, j'enfourne ce sublime pieu dans ma gueule et entreprends de le décalotter avec ma langue. Puis, je gobe. À fond.
Je bouffe littéralement cette belle queue de haut en bas, l'invitant à explorer ma trachée. Plus je suce comme un toxicomane en manque, plus le Rom gémit et applique un mouvement de va-et-vient brutal sur ma tête. Je bave maintenant abondamment. Ma salive s'échappe en épais filets, alors que je dévore furieusement cette teub et que la bruyante succion s'impose en un rythme diabolique. Après quelques minutes de bonne suce, le mec attrape ma tête de ses deux mains, la plaque contre ses lourdes burnes et me lance avec un large sourire vicelard :
- Maintenant, suce couilles !
Il ne faut pas me prier longtemps pour que je m'exécute. Lorsque je m'approche de ses bourses légèrement poilues, celles-ci dégagent une nouvelle fois le rance parfum de sueur et d'urine, ce qui active encore plus mon côté chienne. Je lèche premièrement les deux boules qui pendent lourdement afin de me délecter joyeusement de cette merveilleuse saveur de mâle. Puis, progressivement, j'entreprends de les gober entièrement dans ma bouche. D'abord une à la fois, puis toutes les deux.
Après que les burnes ont été lavées et gobées, je me relève, me tourne et commence à frotter mes petites fesses et ma rondelle contre la queue de mon beau Rom. Celui-ci m'attrape fermement par le torse et se serre encore plus fort contre moi en marmonnant des choses dans une langue que je ne comprends pas. Je peux sentir entre mes fesses la douce chaleur de sa matraque qui s'agite dans un mouvement de haut en bas. Je remarque également que l'homme est vraiment musclé et fort, car il me maîtrise sans problème.
Rapidement, le Rom appuie sur mon dos afin de me cambrer et je me retrouve plié en deux, la croupe offerte. Tout d'abord, je sens son épais gland écarter ma rondelle et faire de léger aller-retour puis, progressivement, il enfonce son imposante queue à l'intérieur de mes entrailles. Pendant quelques instants j'ai appréhendé le fait de le recevoir sans capote, mais c'était vraiment trop bon de sentir cette belle bite à l'intérieur de moi. Envie de me faire remplir par ce Rom.
Très vite, il augmente la cadence et fait de puissants va-et-vient avec son gros dard. Je sens sa large teub coulisser le long de mon délicat rectum jusqu'à cogner fortement, en fin de parcours, dans un claquement sec et sévère.
- Tu aimer sexe, sale pute hein ? me répète-t-il sans cesse pendant qu'il me laboure le trou de balle à grands coups de queue.
- Mmmmmh oui, je gémis dans un soupir.
Après avoir bien ouvert mon orifice dans cette position, il me précipita sur le sol, sur le ventre, à même l'herbe et s'allongea sur moi. Là, il enfila à nouveau brusquement sa généreuse bite dans mon anus et commença à me démolir de toutes ses forces. Ses coups de reins étaient puissants et ses grosses burnes dodues claquaient de plus belle contre mes fesses dans un sensuel fracas.
Il continuait ainsi et m'enculait maintenant de plus en plus vite tout en me mordant le cou et les oreilles, me léchant fougueusement. Parfois, il me balançait des phrases dans sa langue et, bien que je ne la connaisse pas, je comprenais au ton employé, qu'il disait des choses salaces.
En bonne petite chienne soumise, je ne manquais pas de lui répéter à maintes reprises :
- Mmmmh, oui c'est bon, continue ! Casse-moi le cul !
Étant donné les monstrueux coups de bite qu'il m'infligeait, le Rom ne tarda pas à déverser son jus chaud et épais au fin fond de mes entrailles soumises et douloureuses, dans un long râle grave et jouissif. Il continua de tasser son abondante semence au fond de mon petit cul avide encore quelques instants, puis se retira, ce qui émit un son humide et baveux. Alors, je sentis une chaude cascade de sperme s'échapper de mon trou éclaté et couler entre mes jambes toutes collantes de la sueur de ce sublime Rom.
Le temps de reprendre nos esprits, nous nous rhabillons rapidement et filons en direction de l'arrêt de bus. Pendant le trajet, nous discutons longuement et il m'apprend qu'il s'appelle Mihai. Nous échangeons également nos numéros de téléphone.
Depuis, j'ai été rempli par Mihai encore de nombreuses fois.

Male devenu impuissant
Auteur : Bâtard 83

Bonjour à tous ;
Je me présente, Eric, 44 ans, 1m75, 78kg, costaud peu poilu, tondu rasé, percé à la queue (Prince-Albert 8 mm) et je vis dans le sud de la France.
Après avoir lu depuis de nombreuses années vos récits j'ai décidé de franchir le pas et de vous raconter un résumé de ma vie. Cette vie qui a fait de moi aujourd'hui un bon bâtard, une pute à mâles et je l'assume.
Pour commencer je suis un pur pédé, jamais touché de femme, ni vu de femme nue, je suis un pur de chez pur pédé !
Très jeune j'ai commencé à avoir des relations avec des mecs de mon âge, surtout caresses, pipes, balade a poil, exhib' voyeur, bref des ptits trucs sympa entre potes.....
Mais dès ma plus tendre enfance j'ai toujours eu un gros souci : la branle permanente. Dès que je bandais, il me fallait me soulager. Tous les lieux y sont passés, le nombre de litres de jus que j'ai lâché au sol ou dans des mouchoirs !
Vers 16, 17 ans, j'ai eu de nombreuses relations sexuelles et c'est à 16 ans qu'un pote m'a dépucelé la chatte, où j'ai eu très mal et cette première expérience m'a fort déplu et j'ai préféré avoir un rôle d'actif, même si j'étais assez rapide en baise, bref un mauvais coup comme diraient certains. Parfois juste les mecs me suçaient et cela me suffisait.
Mais je poursuivais toujours mes branles endiablées, parfois même avant d'aller baiser chez un mec ce qui fait que lors du plan je bandais mou. Branleur convulsif je pouvais me vider jusqu'à 12 à 15 fois par jour ! Nombre de mes potes se foutaient de moi, me disant que je devais être passif et filer ma chatte, mais moi j'étais toujours réticent.
Et puis avec l'âge, mes branles fréquentes et étant fumeur, je bandais de moins en moins, parfois je giclais sans même bander, par besoin. Mais une nuit, quelque chose arriva.
A 35 ans, sur un lieu de drague extérieur, la nuit, j'attendais debout pour qu'un mec vienne me sucer. Un beau mec arrive se fout à genoux et me suce et là comme d'hab', je bande mou. Le mec est très bien gaulé et a un look viril, au bout de 10 minutes n'arrivant pas à me faire bander il se lève et me prend par la gorge et me dit à l'oreille, arrête de jouer au mâle actif, tu bandes comme un bâtard, à genoux !
Il me sert la gorge et m'oblige à m'agenouiller et là pendant 30 minutes je vais le pomper et lui m'insulte et me rabaisse me traitant de fiotte, de tarlouze, de pute. Il me travaille délicatement la chatte et pendant cette pipe, je m'ouvre naturellement. Il est TTBM dans les 21, 22 cm, épaisse. Quand il m'annonce qu'il va m'enculer, j'ai peur, je repense à la première fois.
Sans demander mon avis il va mettre une capote et m'enculer d'une traite me traitant toujours de pute, de vide couilles.
Et là, pendant 30 minutes il va me limer comme un dieu, je jouis de la chatte, je ne bande pas mais le jus s'écoule tout seul de ma queue.
Après cette baise de malade il discutera avec moi, et va me rabaisser mentalement, me dire que je suis un impuissant, que mon rôle premier est de filer ma chatte aux mâles, que je n'ai pas de fonction de mâle dominant reproducteur. Je suis troublé, choqué, mais au final j'accepte ce qu'il dit, il dit VRAI.
Cette nuit a été révélatrice pour moi, j'ai continué à me branler sans bander, et d'aller de plus en plus souvent sur les lieux de drague, après avoir joui chez moi et j'ai appris a travailler ma chatte, la goder avant d'aller me faire piner, être sur les réseaux à chercher du male, que je sois excité ou pas, pour aller chez tous les mâles qui veulent une chatte pour se vider les couilles.
Pour tous les plans d'ailleurs je ne bande pas, je suis à dispo du mec qui m'encule à son rythme, très souvent je repars sans avoir giclé ni même bander.
Aujourd'hui je me branle le plus souvent possible mais j'ai les couilles comme vides, chaque jouissance amène 2, 3 gouttes de jus, sans plus. Et j'arrive péniblement à 3 branles par jours. Ces branles deviennent plus longues car je ne bande pas, je secoue une nouille inerte, je peux parfois me branler 45 minutes avant d'avoir une éjac', je me force, car toujours accro'à la branle, et je finis de plus en plus épuisé.
Aujourd'hui je me considère comme un impuissant, impossible de bander dur, impossible d'être un actif mâle digne de ce nom, et mes seules jouissances sont anales et seuls des mâles vigoureux, virils, puissants et dominateurs violents peuvent me les donner, voilà ma vie depuis prés de 10 ans.
Alors oui je l'assume, je suis un IMPUISSANT et une PUTE à mâles, voilà la vie d'un sous-mâle, un pédé incapable d'être actif et pour qui le plaisir sexuel est devenu anal. Ce mental m'a amené également à trouver des mâles dominateurs violents qui m'ont utilisé comme objet.
J'attends vos réactions, et je prends naturellement toujours les insultes rabaissantes et humiliantes comme des cadeaux des mâles (on ne peut nier la vérité, juste l'accepter).
Merci de m'avoir lu. Eric 

Comment je me suis fait piquer ma femme.
Auteur :  Gayboyfr
Cette histoire est rigoureusement authentique, j’ai juste changé les prénoms.

Dans la vie, il y a les winners et les loosers, les queutards et les cocus. C’est ainsi et il faut l’accepter, accepter les rôles que la nature nous a assignés...
J’ai la chance d’avoir une femme magnifique, une vraie bombe qui fait tourner les têtes dans la rue, et la malchance d’avoir une queue modeste, pour ne pas dire une petite bite. J’étais donc prédestiné à devenir cocu, d’autant plus, que sans être vraiment éjaculateur précoce, je ne suis pas non plus très vaillant au lit... Bref, je ne suis pas un bon coup.
Cela a été long à venir (enfin, pour ce que j’en sais), mais ma femme a fini par accepter les avances de François (j’ai changé le prénom), un collègue de bureau qui possède les attributs d’un vrai mâle, qui a des arguments de taille, qui sait s’en servir et sans aucun scrupule.
Nous sommes toujours très amoureux l’un de l’autre, ma femme et moi, et nous n’envisageons nullement de nous séparer, mais j’ai dû accepter que ma femme me trompe : je me suis écrasé comme une carpette, comme un paillasson, peut-être de peur qu’elle me quitte.
Au début, ils se rencontraient à l’hôtel et utilisaient évidemment un préservatif. Mais très vite, par souci de discrétion, ma femme a préféré l’inviter à la maison, en mon absence bien sûr.
A cause d’un reste de pudeur, ils ont d’abord commencé à faire l’amour sur le canapé du salon, puis, comme c’est tout de même plus pratique et confortable, ils ont fini par coucher ensemble dans le lit conjugal, François occupant la même place que moi dans le lit.
Un jour, rentrant plut tôt que prévu, je les ai surpris : François était en train de se rhabiller. Il a d’abord été gêné et puis, comme il a vu que je ne réagissais pas, que j’acceptais la situation, l’atmosphère s’est détendue.
Ma femme a toujours autant d’amour pour moi et elle voit François une à deux fois par semaine. François est devenu un habitué de la maison et je crois même qu’elle lui a fait faire un double des clefs. Parfois, elle l’invite à dîner et, quand c’est le cas, je passe la nuit sur le canapé.
Ça s’est fait tout naturellement, sans discussion, comme si ça allait de soi, comme si c’était normal et François n’essaie jamais de m’humilier. C’est vrai qu’il est sympa, l’amant de ma femme est presque devenu un ami avec qui je rigole.
A cette époque, je retrouvais des capotes dans ma table de chevet (taille XL en plus), mais un matin il est redescendu avec la banane et j’ai tout de suite compris. La confiance venant, ils venaient d’arrêter la capote – sans même me consulter – ma femme acceptant maintenant qu’il se vide en elle.
Je suis monté à l’étage, le cœur battant à tout rompre. Ma femme était encore au lit, je me suis glissé à côté d’elle dans les draps encore chauds de la présence de François et j’ai compris ce qui s’était passé quand, passant ma main entre ses cuisses, j’ai senti sa chatte dégouliner de sperme.
Alors, je me suis mis à la lécher, avec application, dans un mélange de honte et d’excitation, et à avaler cette semence qui n’était pas la mienne et qui avait un goût âcre et puissant. Puis, n’y tenant plus, j’ai introduit ma queue dans la chatte de ma femme et la sentant encore toute lubrifiée du sperme d’un autre j’ai explosé quasi instantanément, mêlant mon propre sperme à celui de François.
C’est à ce moment-là qu’ils ont décidé de partir tous les deux en vacances, pendant une semaine, à Venise, dans un endroit où François pourrait vraiment se comporter avec ma femme comme si c’était la sienne, sans avoir à se cacher. Là encore, je me suis écrasé : j’aime trop ma femme pour lui refuser ce plaisir, moi qui suis incapable de la combler et de lui donner du plaisir... Je suis même allé plus loin dans la soumission, puisque c’est moi qui leur ai payé et offert le voyage. Par amour pour elle, je l’ai partagée avec François.
Après ce voyage, les choses ont repris leur cours, comme avant, à une différence près : ma femme me demande désormais de mettre une capote quand je lui fais l’amour. Je n’ai plus le droit de me vider en elle. J’ai dû réapprendre à dérouler un préservatif, j’ai vraiment eu l’impression de redevenir un ado, du temps où ma sexualité était timide et maladroite.
Dernièrement, elle m’a obligé à venir dans un sex-shop avec elle acheter une cage de chasteté (un modèle XS, la honte) : ça a été une énorme humiliation de devoir reconnaître publiquement, devant le vendeur, que j’avais perdu le contrôle de la situation et que, si je suis encagé, c’est qu’un autre s’occupe de satisfaire ma femme, mon petit engin ne me servant plus dans ces moments-là qu’à pisser. Le port de la ceinture s’est avéré moins inconfortable que je ne le craignais et ça ne se voit pas trop sous les vêtements, c’est assez discret.
Hier, quand j’ai voulu lui faire l’amour, elle m’a dit qu’il fallait d’abord que je demande à François s’il était d’accord. J’ai dû lui envoyer un texto et demander à l’amant l’autorisation pour pouvoir niquer ma propre femme ! Le message est clair. Je connais l’étape suivante et je m’y résigne d’avance, avec un mélange de crainte et un sentiment d’achèvement de mon cocufiage magistral.
Ma femme a arrêté de prendre la pilule, quand elle baise avec moi, je dois mettre une capote, alors que François la baise au naturel : c’est vrai que parfois il préfère l’enculer (ce qu’elle m’a toujours refusé), mais ce n’est guère fréquent et, fatalement, un jour ou l’autre, elle attendra un enfant qui ne sera pas de moi...
Nous n’en avons pas parlé, mais elle sait que je sais et j’ai compris que j’élèverai cet enfant comme s’il était le mien. Je serai son père, comme François est devenu progressivement le mari de ma femme.
Je n’arrive pas à lui en vouloir. Je ne l’ai pas souhaité, mais je l’accepte. Dans la vie, il y a les winners et les loosers, les queutards et les cocus.
François est manifestement un garçon très viril, ça y est : il a déjà mis ma femme enceinte. Quand elle me l’a annoncé, ma chérie m’a demandé si j’étais d’accord pour qu’elle aille à terme ; j’ai répondu oui. Je reconnaitrai l’enfant, François sera son parrain.


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