Qu'on soit mec ou nana,
quand on passe entre leur mains...
Tous les clichés sont là..!
Mais on aime quand même.
De la chicha à l’anal
Je me présente, Aurélien, 20 ans.
J’habite en région parisienne. Nous sommes samedi soir, c’est l’été, il est 3h, je rentre d’une soirée entre potes sur Paris. Je descends de mon bus, je passe comme tous les jours devant l’entrée d’un immeuble.
Assis devant sur des chaises, une chicha à la main, 2 lascars algériens, 20 piges environ, beaux gosses, survêtement, casquette, les mêmes que je croise souvent. Sans être attiré par les mecs, je dois avouer que je m’étais déjà retourné à plusieurs reprises sur eux. J’avais déjà pu voir à travers leur pantalon, la forme de leur paquet.
Je passe devant eux, ils m’interpellent et me propose de fumer. Impossible de dire non, la situation m’excitait. Ils me proposent de suivre à l’intérieur de l’immeuble prétextant que l’autre pipe à eau était chez eux. J’arrive sur le palier de leur appartement, la porte s’ouvre. Au fond de moi je savais que n’était pas monté avec eux pour fumer le narguilé, mais que j’étais une proie pour qu’ils puissent se vider les couilles.
Ils rentrèrent tous les deux avant de refermer la porte derrière eux. L’endroit était peu éclairé. Ils s’appelaient Aziz et Abdel.
Aziz pris les choses en main et m’ordonna sans attendre de me mettre à quatre pattes. Il s’avança vers moi, baisse son futal et déballe sa teub de son boxer. Une queue lourde et épaisse, de 21 cm, circoncise et surmontée d’un gland proéminent, qu’il me planta direct en bouche. J’étais en train de sucer ma première bite. Il accentua la vitesse de ses vas-et-vients, m’obligeant à saliver un maximum sur sa queue d’arabe. Il se planta bien au fond de ma gorge, jusqu’à la garde, me procurant presque des hauts de cœur. Il me pris la tête entre ses mains afin d’accélérer son pilonnement.
Abdel lui était spectateur, son pantalon baissé aux cheville, laissant apparaître sa teub déjà bien bandée. Celui que j’étais en train de pomper, Aziz, ressorti de ma bouche pour venir se faire sucer les boules. Elles étaient de couleur brunâtre, lisses, sans poil et gonflées à bloc.
Il demandait à son pote de prendre sa place afin qu’il puisse à son tour se faire traire. J’alternais les couilles d’Aziz et la tige d’Abdel. Leurs deux queues se ressemblaient. Lui aussi me pilonnait la bouche avec rapidité alors sortons parfois pour me bifler.
Leurs deux tiges étaient luisantes de salive et leurs glands turgescents. J’étais devenue la chienne de deux lascars plus jeune que moi, prêt à tous leurs désirs. Je commençais à mouiller de la rondelle tellement j’étais excité.
Aziz m’a mis debout pour me déshabiller. Je me suis remis à quatre pattes, le cul relevé et tendu vers eux pendant qu’ils s’installèrent sur le canapé, les jambes écartées, astiquant leur teubs dressées à fond. Il m’ordonna de me doigter. Je m’exécutai. Je bougeais mon cul tout en m’enfilant un doigt pendant que les deux, profitant du spectacle, discutaient entre eux en arabe et fumaient leur chicha. Cela dura une dizaine de minutes.
Aziz me demanda de le rejoindre sur le canapé. Il était en train de s’enduire la bite de salive. Je me positionnais au-dessus de lui afin de pouvoir coulisser sur son membre. Le gland passa avec difficulté puis me tirant par les épaules, il me forçait à m’empaler complètement. Je ressenti une douleur assez vive, une brûlure comme un déchirement.
Il reste figé en moi un petit instant avant de commencer à me limer le trou du cul avec vigueur, comme s’il n’avait pas niqué depuis longtemps. Il me claqua les fesses. Une sensation de bien-être et de plaisir intense m’envahit.
Je commençais à kiffer un max me faire prendre le cul.
Mon zob était de plus en plus raide et devenait douloureux. Abdel matant son pote en train de me niquer avec force, se leva et présenta sa queue pour que je reprenne ma fellation. Mes deux orifices étaient pris, je ne savais plus où j’étais. Aziz décula à plusieurs reprises avant de me la replanter avec hargne.
Mon sphincter se dilatait de plus en plus au fur et à mesure de ses coups. Pendant son enculade, il m’insultait de chienne, de pute à jus,la queue que j’avais en bouche m’empêchait de crier mon plaisir.
Aziz se retira, me laissant un vide et m’installa allongé sur le dos, les fesses relevés et collés à l’accoudoir. Ma chatte était béante. C’était au tour d’Abdel de me casser mon petit cul de céfranc.
Aucune préparation n’était nécessaire, il m’enfila directement me donnant quasi instantanément un nouvel orgasme. Je voyais sa colonne de chair me pénétrer le fion, son excitation était palpable.
Il était à fond dans son ramonage, il ne baissa pas de rythme. Mon cul était totalement endolori. Aziz était parti fumer sa chicha tout en nous observant. Il partageait avec moi quelques bouffées de narguilé, balançant ses couilles sous mon nez, que je léchais à chaque occasion. Il me faisait également sniffer la bonne odeur de transpiration de ses chaussettes et baskets . J’étais totalement enivré de plaisir.
Les deux potes de baise m’abandonnèrent quelques minutes dans leur appartement. J’avais jamais autant bandé auparavant. Ma queue était douloureuse. Quelques minutes après ils étaient de retour, il était parti s’acheter à manger au snack. Ils s’installent à leur table et m’ordonnent de passer en dessous afin de les pomper. Les deux membres turgescents n’attendez que ça.
Pendant que je pris l’un en bouche, je branlais le second. J’alternais. Ils étaient à l’aise, en train de manger leur kebab pendant que je m’activais à les pomper. Putain qu’ils étaient endurants, ils ne montraient aucun signe de faiblesse. Ils n’étaient pas encore prêts â lâcher leur sauce blanche.
Je continuais à décrasser leur gland violacé et à bouffer leurs couilles pendantes. J’en avais des crampes à la mâchoire mais je kiffais tellement m’occuper d’eux …
Il y avait du mouvement. Ils se levèrent, l’un des deux était passé derrière moi, me tira vers lui, et se replanta dans mon trou de balle. Je ne pouvais voir, qui de Aziz ou Abdel, s’attelait à me ramoner. En fait les deux alternaient leur défonce en augmentant leur rythme. Leur respiration se faisait de plus en plus haletante, j’allais bientôt être récompensé de leur jus de couilles.
Ils se sont mis tous les deux l’un à côté de l’autre, me demandant de les branler en même temps. J’avais leur queue raide et palpitante dans chaque main, leur grognement de mâle en rut se faisaient de plus en plus forts. Abdel m’envoya en premier une bonne rasade de son foutre chaud sur le visage et le palais. J’en récupérais un peu avec ma langue. Aziz était lui aussi sur le point d’exploser. J’ouvris grand la bouche afin de recueillir ses giclées. Lui aussi cracha une grande quantité.
Je me délectais de leur semence de blédards. Je les suçais pour leur tirer les dernières gouttes.
Ils se rhabillèrent en me disant que j’étais une bonne suceuse de zob et qu’ils avaient kiffés défoncer ma petite chatte. Il avait trouvé en moi un bon plan régulier pour se vider les couilles et que la prochaine fois ils me feront tourner à d’autres potes à eux. Je crois que je ne vais pas tarder à leur rendre visite …
Les ouvriers d'en bas
Depuis deux semaines il y a un chantier à côté de chez moi ; tous les matins et tous les soirs je passe devant les ouvriers qui me saluent et s'écartent pour me laisser le passage.
Je sens bien qu'ils me reluquent dans le dos et je lis sur leur visage un peu de lubricité lorsque je les croise sur le trottoir ; mon jeune corps - j'ai 22 ans- tout en formes ne les laisse pas indifférents. En ce moment je suis excitée pour un rien, et je me suis prise à me masturber violemment en les imaginant autour de moi.
Mais aujourd'hui, tout va basculer. Il est assez tard - dans les 19 heures- lorsque je remonte la rue en rentrant de la fac jusque chez moi. Il fait bon et je porte une jupe portefeuille qui dévoile mes cuisses avec le vent, et mon petit chemisier échancré laisse une bonne vue sur mes seins rebondis.
Les ouvriers sont presque tous partis, il n'en reste que trois, deux jeunes et un vieux à casquette qui fument une clope avant de rassembler leurs affaires sous l'échafaud. Un des jeunes m'avise et lance un sifflement ; le vieux lui donne une calotte sur la tête.
- Laisse passer la demoiselle au lieu de penser à des cochonneries !
Émoustillée, je réponds en souriant :
- Ce n'est rien, c'est plutôt flatteur...
Le vieux me propose alors de boire une bière avec eux. Nous parlons de leur chantier, je m'assied sur un parpaing sous l'échafaud et allume une cigarette. Je me sens très bien, la température est très agréable et le coin est calme.
- Alors, ça fait longtemps que vous habitez ici ! » Lance un des deux jeunes.
Je réponds que ça fait presque deux ans, que j'ai un très bel appart et que je me sens bien dans ce quartier. L'autre hoche la tête en souriant.
- Les gars du garage en face de chez vous apprécient également croyez- moi.
Pendant une seconde je le fixe interloquée.
Il me regarde fixement, et ses yeux glissent sur ma poitrine.
- Ils nous ont beaucoup parlé de ton... anatomie.
Je rougis, sans relever le tutoiement, toute à ma confusion ; il m'arrive très souvent de vaquer à mes occupations en soutien- gorge et culotte et les mecs du garage en face de mon salon n'en perdent pas une miette, je le sais et j'en joue même, cela m'excite de savoir qu'ils me matent mais je ne pensais pas qu'ils en parlaient aux étrangers. Je ne dis toujours rien, je sens ma respiration s'accélérer sous les regards insistants des trois larrons.
- Ils t'ont même vue te branler petite cochonne...
Je suis surprise : le plus souvent je ferme mes volets avant de me masturber, mais il est vrai que j'oublie parfois, mais je ne pensais pas avoir été vue. J'avale ma gorgée de bière et me lève pour partir ; soudain je réalise que si je reste je vais perdre le contrôle sur ce qui peut se passer.
Mais un jeune profite du fait que je me sois levée pour mettre sa main sous ma jupe et me caresse la fesse. Un frisson me parcourt tout le corps : je ne bouge plus.
- Écoutez, je...
- T'en fais pas ma poulette, t'es bien en manque mais on va te remplir assez pour que tu tiennes une semaine sans te toucher...
L'homme derrière moi me caresse les fesses des deux mains à présent et je gémis, m'appuyant à un poteau. Le deuxième jeune arrache plus qu'il ne déboutonne mon chemisier et empoigne mes deux gros seins à pleines mains en les malaxant. Les caresses du premier se font plus insistantes aussi et se rapprochent de ma vulve et de mon anus. Mon cœur s'emballe le plaisir monte avec mon désir, chassant la peur.
Le vieux pendant ce temps a baissé son froc; il bande déjà dur apparemment, il s'approche de moi et pose une grosse patte sur ma gorge :
- Dis donc toi t'es vraiment une salope sous tes airs de petite fille sage, montre- moi comment tu suces !
Il me met à genoux et me présente sa queue, que j'ai maintenant très envie de lécher, je prends le gland entre mes lèvres et lèche cette belle queue bien dure effectivement avec ma langue, appliquée à bien le sucer je vais et viens en aspirant et ça a l'air de lui plaire.
- Ho oui cochonne tu fais ça bien ça se sent hein... Tu as envie de te faire mettre par trois mecs ben tu vas être servie hmmm bouffe la...
Sa main agrippe mes cheveux, ses mots crus m'ont excitée et je le laisse se servir de moi sans aucune résistance en faisant de mon mieux pour bien le pomper. Pendant ce temps un des jeunes s'est mis à me sucer les deux seins en mordillant assez fort mes tétons pendant que l'autre me doigte alternativement dans la chatte et l'anus, utilisant ma mouille abondante pour me lubrifier mon petit trou qui ne demande qu'à être pénétré.
J'ai léché mes doigts et je branle celui qui me caresse les seins avec cette main lubrifiée en jouant avec son méat. Je gémis tandis que le vieux accélère la cadence, il a posé sa main sur sa queue et de l'autre me tient la tête et il me baise la bouche, je suis à quatre pattes et sur le point de jouir quand soudain je sens un gland contre mon vagin. Voilà le troisième et je suis tellement excitée qu'il n'a aucune difficulté à m'enfiler d'un seul coup en grognant :
- T'es bonne ma salope tu vas voir ce que je vais te mettre!
A cet instant le vieux se retire de ma bouche pour m'éjaculer au visage en m'insultant :
- Toutes les mêmes ces cochonnes, tu leur titilles les nibards et elles sont comme des chiennes en chaleur, tiens prends ça haaannn ça t'excite saloperie avale donc ça tiens....
Et je jouis sous l'effet de ce sperme chaud sur mon visage et des coups de butoir de mon baiseur ; mon esprit disjoncte et je suis comme ailleurs, en train de me faire défoncer en plein air par de parfaits inconnus.
Mais celui qui se trouvait entre mes seins les a lâchés pour me présenter sa bite à lécher, elle est beaucoup plus grosse que celle de ses partenaires, et plus longue aussi, je l'avale avec envie, le visage encore barbouillé de sperme et gémissante. L'autre m'agrippe la croupe comme pour m'empêcher d'échapper à la violence de ses assauts et j'ai du mal à sucer le troisième correctement tellement sa queue est grosse.
Le vieux a pris une gorgée de bière ; il allume une clope et nonchalamment glisse une main sur mon clito pour se mettre à le branler vigoureusement, m'arrachant un deuxième orgasme.
- Tu aimes ça allez donne toi fais ta pute...
- Haann oui je suis votre pute défoncez moi par tous les trous bien profond les mecs !
Il sourit, et presque aussitôt je sens la verge de celui qui me ramonait la chatte se présenter à mon anus, appuyant fortement pour m'ouvrir en deux, je pousse un hurlement mais aussitôt celui que je léchais me plaque violemment la main sur la bouche.
- Ta gueule petite pute ! Tu vas rameuter du monde!
Je lui mords la main tandis que l'autre, bien calé au fond de mon cul, commence à me ramoner à grands coups - mais comment fait- il pour ne pas avoir joui encore?!
Le vieux, qui décidément est en forme pour son âge, me présente alors son sexe à sucer de nouveau:
- Bouffe plutôt ça salope et applique toi. T'es bonne de partout et on va se faire ton cul tous les trois alors autant coopérer et nous laisser le temps à tous d'en profiter.
Je tente au mieux de lui tailler une bonne pipe mais ce n'est pas évident à cause des coups de l'autre. Et soudain, je sens le troisième se glisser sous moi en me pinçant violemment les tétons au passage; cette douleur m'arrache un râle de plaisir mais le vieux me reprend fermement les cheveux.
- Contente- toi de sucer baiseuse !
Le troisième présente sa grosse queue à l'entrée de mon vagin et attend que son compère ressorte complètement avant de me ré- enculer, et lui m'enfile son sexe d'un seul coup jusqu'à arriver en butée; les deux se mettent à me défoncer en cadence, et je jouis encore une fois. Le vieux m'assène une claque et m'intime encore une fois de garder le silence.
- Pompe- moi saloperie!
L'homme qui m'enculait jouit enfin dans un râle en me claquant les fesses ; il se retire et l'autre en dessous s'empresse de prendre sa place dans mon anus dilaté. Mais il me met sa main sur la gorge et m'oblige à me redresser. Son autre main est plaquée sur mes seins et les malaxe ; le vieux s'est écarté en se branlant tandis que le troisième finit sa bière avec une clope.
L'homme se retire de mes fesses, me fait pivoter contre le mur de briques froides, debout et dos à lui. Il appuie mon visage et mes seins contre les briques et s'approche de mon oreille.
- Tu es à moi.
Je retiens mon souffle, incapable de bouger.
Me maintenant écrasée contre le mur d'une main il écarte mes fesses de l'autre et m'encule aussi sec de sa queue lubrifiée par ma mouille et le sperme de l'autre, il me déchire en deux de son gros membre d'un seul coup sans précaution, et se met pas très rapidement mais puissamment à me pilonner, je ne peux laisser échapper qu'un râle et certainement pas crier plaquée au mur comme je le suis mais cela m'aide aussi à tenir debout sous la jouissance qui me parcourt alors que son rythme s'accélère. Lui qui ne disait jusque- là pas grand- chose éclate
- Tiens ma grosse salope, tu m'excites depuis le premier jour où je t'ai vue passer avec tes gros nichons et ton cul qui me faisait bander, prends ça tu le sens hein quand je te baise comme tu le mérites !
Peu à peu il appuie sur mon dos pour que je me penche, me laissant reculer du mur pour lui offrir mes fesses, mes seins pendant sous moi que l'autre jeune vient malaxer et pincer en me susurrant que je suis bonne à baiser. Je me sens transpercée et transporter par les va et viens de son copain et je gémis.
- Oh oui défonce moi baise moi, encule moi fort !
Mon enculeur finit par jouir bruyamment, mais presque aussitôt le vieux vigoureux le remplace. Brutalement il me retourne contre le mur et m'écrase contre en pressant sa queue sur mon ventre, où je la sens dégouliner. Il me fouille la chatte de deux gros doigts burtaux.
- Ca te fait bien mouiller de te faire enculer profond cochonne, tu aimes ça hein trois queues pour te le mettre partout avoue...
- Ho oui j'aime que vous me baisiez avec vos belles queues les mecs...
Toute retenue m'a échappée désormais. Le vieux me roule une pelle agressive à sa manière et m'appuie sur les épaules pour me faire descendre, il attrape mes seins par les tétons en les pinçant et me lançant par là une décharge électrique, et place sa queue entre mes deux mamelles.
- Branle moi avec des grosses loches! » me fait- il d'un ton sec.
Je m'exécute un peu déçue de ne pouvoir la lécher mais l'autre jeune arrive à point pour me faire sucer son membre regonflé que je me mets à sucer avec enthousiasme : je n'en ai pas eu assez, il m'en faut encore.
Après quelques minutes de ce traitement le vieux me présente aussi son sexe à sucer et je les suce alternativement, parfois les deux en même temps. Sans même que j'y pense ma main a trouvé le chemin de mon clitoris et le frotte furieusement tellement cette situation et le plaisir que j'ai pris m'excitent.
- T'es vraiment une chienne en manque toi » rigole le vieux en le faisant remarquer à ses camarades qui acquiescent.
- Mets- toi à quatre pattes ! » m'ordonne- t- il ensuite.
Obéissante, je lui présente ma croupe, il vient se positionner derrière et l'autre jeune me redonne sa queue à lécher.
- Et maintenant montre- moi à quel point tu la veux ma pine dans ton cul, montre moi comment ton cul la cherche...
Il pose ses deux mains sur les hanches et colle mon anus à son érection ; j'en ai terriblement envie alors j'ondule du bassin en frottant ma raie pleine de sperme et de cyprine et ma vulve détrempée contre son braquemart. Il a l'air d'apprécier ça et il marmonne:
- Petite allumeuse tu la veux ma bite dans ton cul hein t'en as envie de te faire ramoner dis le que tu veux ma bite dans ton cul et comment tu la veux.
- Je veux ta bite dans mon cul, je la veux profond, je veux que tu me défonces à fond, je veux que tu me déchires l'anus avec ta grosse queue mets la moi fort.... »
Apparemment émoustillé il m'enfile d'un coup sans prévenir en me collant les fesses contre lui, je sens ses couilles plaquées contre mon vagin et son membre palpiter en moi, et il se met à me baiser comme jamais, tandis que je suce l'autre avec une telle vigueur qu'il ne tarde pas à jouir sur mes seins, et le vieux me baise toujours plus fort en me claquant les fesses de temps en temps et en grognant.
- Tiens tu vas tout prendre tu l'as voulue hannnnn grosse cochonne t'aimes ça te faire mettre par un gros membre d'un inconnu, t'es vraiment une salope toi et ton cul me fait bander haaaaaaa vas- y je te donne tout tu me vides les couilles.
Il m'agrippe les cheveux et me tire la tête en arrière pour me regarder dans les yeux.
- T'aimes ça te faire défoncer comme une vulgaire pute dis- le !
- J'aime ça défoncez moi encore, baisez moi comme une pute haaan j'en peux plus ouiiii... Remplis moi vide tes couilles dans mon cul !
Il jouit en râlant très fort, je sens de longs jets de sperme dans mon anus et je jouis pour la énième fois avant de m'effondrer.
- Super baise » commente le vieux en reprenant ses esprits et en s'allumant une clope, faudra qu'on vienne te voir un de ces soirs... » Ajoute- t- il en montrant mon logement d'un coup de tête.
Je sens bien que je n'ai pas le choix et que ça arrivera, j'en suis déjà toute excitée, je viens d'ouvrir de nouveaux horizons à ma vie sexuelle, je le sais. Je rentre chez moi et je prends un long bain pour me nettoyer en pensant à la prochaine histoire à raconter...
Auteurs inconnus...