Cette maman a le feu au cul
comme on dit chez nous..!
Toutes les limites sont dépassées
ma bonne dame.
Une telle salope dans le village!
Séverine.
Episode Fin
- Putain mon chéri ! Tu sais que tu es très bien membré… C’est, hum, très tentant !
Je saisis alors son sexe et commence à la masturber doucement.
- Ça te va si c’est moi qui te branle pour te faire jouir ? Pas d’objection ?
- Aucune, madame…
J’embrasse alors ce beau gosse en lui enfonçant ma langue dans la bouche et accentue le mouvement de ma main… Tout en le branlant, je l’interroge sur les attouchements qu’il a pratiqué sur moi :
- Quelle partie de mon corps tu as préféré ?
- Tout… vous êtes superbe…
- Mais en particulier ?
- Votre cul…
- Tu as aimé me toucher les fesses ? Et passer un doigt sur mon anus ? demandais- je en le branlant et en crachant sur son gland de temps en temps.
- Oh oui, j’ai adoré… Putain c’est trop bon, je ne suis pas loin…
- Et c’est toi qui m’as mis un doigt dans le cul ?
- Non, c’est Nico, moi j’ai pas osé…
- Je vois…. Ça te dirais de m’enculer et de te finir en moi ?
- Carrément ! Vous ne rigolez pas ?
En guise de réponse je lui suce un peu la bite pour la lubrifier et me mets à quatre pattes sur le lit en écartant mes fesses pour lui montrer mon petit trou. Je m’enfonce deux doigts dans le cul en disant :
- Vas- y met la moi ! Et ne prends pas de précautions, j’ai l’habitude…
- Putain, j’y crois pas !!!
Il suit les consignes à la lettre et m’enfonce sa bite sans délicatesse, m’arrachant un petit cri de surprise. Puis il commence à me limer le fion doucement puis plus vite, à ma demande.
- Vas- y accélère, on n’a pas toute la nuit ! Défonce moi le cul aussi fort que tu peux, tu n’auras plus cette chance avant un moment…
Décidément servile, il accélère encore et m’enfonce sa grosse queue aussi loin et aussi vite qu’il peu. Je me sens pilonnée, et j’adore ça. Mais à ce rythme, il ne peut se retenir que quelques dizaines de secondes et craque rapidement. Il me remplit le fion d’un foutre épais et abondant en râlant de plaisir et reste enfoncer en moi encore quelques instants.
Puis il se retire et enfile son pantalon. Moi je reste ainsi fesses tendues, anus béant pour qu’il profite encore du spectacle.
- Dis à ton copain ce qu’on vient de faire et ce qu’il a loupé… Dis-lui aussi que s’il parle de ça, je porte plainte contre lui uniquement et comme il majeur, c’est lui qui se fera toucher en tôle… Quand à toi, si tu as envie de tirer un coup… je serai toujours d’accord, ok ?
- Ok…. Je m’en souviendrai !
- Maintenant dégage de ma chambre !!
Il sort sans demander son reste pendant que je me redresse et mets ma main en coupole sous mon anus pour récupérer le sperme qui en sort. Évidemment, vous vous en doutez, je n’allais pas gâcher un tel breuvage et avale en l’aspirant la grosse mare blanchâtre dans le creux de ma main. Humm… décidément j’adore le sperme !
Finalement rassasiée de sexe, je me couche enfin et m’endors sans difficulté, pensant finir ma nuit tranquillement et faire une grasse matinée. J’allais en fait connaître un réveil précoce mais divin…
Aux premières lueurs du jour, je suis en effet réveillée par de tendres caresses et des baisers sur ma peau. D’abord perdue entre rêve et réalité, je mets du temps à émerger, pensant trouver dans mon lit un de mes fils ou ma fille. Mais en ouvrant les yeux, je découvre face à moi un visage dépassant de la couverture que je mets quelques instants à reconnaitre : Lucile, la copine de Chloé, la belle blonde complexée qui, apparemment était restée dormir à la maison. Je regarde le réveil : 6h15.
Elle me sourit en me regardant droit dans les yeux et je me demande :
- J’espère que vous ne nous en voulez pas, on voulait continuer là où on c’était arrêté hier…
- On ? demandais- je, la tête embrumée.
A ce moment, je sens une main venir de derrière moi et se poser délicatement sur mon sein et des lèvres déposer un baiser dans mon cou. Je me retourne et découvre l’autre copine de Chloé, Camille, la belle rouquine, également sous mes draps.
- Le réveil vous convient- il ? me demande Camille en souriant tandis que Lucile, dans mon dos, se remet à me caresser.
- Ce n’est pas désagréable… C’est quoi la suite ?
- Vous commencez par vous laisser faire, me glisse Camille en posant de brefs baisers sur ma bouche, et ensuite… je suis sûr que vous aurez plein de choses à nous faire découvrir…
En guise de consentement, je me mets sur le dos et laisse ces deux magnifiques jeunes filles me faire ce dont elles ont envie. Ce qui suit fut paradisiaque.
Les filles m’entourent et commencent à m’embrasser et à me caresser partout. Pendant que l’une me roulait une pelle, l’autre me léchait les tétons ou me titillait le clito. Je ferme les yeux et m’abandonne totalement au plaisir alors que je sens un doigt rentrer dans ma chatte. D’abord un peu sèche, leurs caresses commencent à me faire de l’effet que je sens mon sexe devenir humide. Camille doit également s’en rendre compte puisqu’elle m’enfile un deuxième doigt et commence à me masturber.
Lucille, la blonde complexée, m’embrasse amoureusement et me masse les seins. A quatre pattes, penchée sur moi, elle offre un accès idéal à sa chatte… Ma main joue d’abord avec ses tétons qui pointent, passe sous son ventre, et s’aventure sur cette petite chatte lisse. Elle aussi mouille abondamment et c’est sans difficulté que je lui enfonce doucement un doigt. Cette intromission l’a fait immédiatement gémir.
A genoux sur le lit en train de me doigter, Camille regarde cette scène avec envie et se caresse de sa main libre. De mon bras inoccupé jusqu’à présent, je lui masse ses beaux seins, gros mais fermes et fait rouler ses tétons entre mes doigts. Nos soupirs deviennent des gémissements. Camille me saisi la main, me lèche un doigt et le porte sur son sexe en m’invitant à la caresser. Je n’ai rien à faire puisqu’elle dirige elle- même pour son propre plaisir. Elle enfonce un de mes doigts et me fait aller et venir en elle. La sentant suffisamment large, j’enfonce un deuxième doigt qui lui fait pousser un « oohh » de plaisir et de surprise. Elle accélère le mouvement avec ma main et se masturbe frénétiquement.
Elles qui devaient s’occuper de moi à la base, me voilà maintenant délaissée mais pas trop mécontente de donner autant de plaisir à ces deux anges. Ma main droite est dirigée fermement par Camille qui se masturbe avec et ma main gauche est entre les jambes de Lucile avec un doigt dans son sexe dont j’accélère les vas- et- viens. Grâce à mes doigts habiles, les filles jouissent rapidement, presque en même temps.
- Maintenant que vous êtes un peu calmées, vous allez vraiment vous occuper de moi ! ordonnais- je avec le sourire.
Elles me firent un « oui » de la tête comme deux coquines innocentes.
- Camille, vient entre mes jambes et commence à me doigter. Lucile, mets- toi en 69 sur moi et caresse moi le clito. Je veux mater ta belle petite chatte pendant que tu me fais jouir. Au boulot !
La scène se met donc en place rapidement. Camille se met à quatre pattes entre me jambes, le cul bien en l’air et insère directement deux doigts dans mon sexe trempé. Alors qu’elle entame des allers- retours délicieux, Lucile me grimpe dessus et m’enjambe en plaçant ses fesses à dix cm de mon visage. Son superbe sexe glabre et son petit œillet bien fermé étaient absolument parfaits et m’excitaient au moins autant qu’une belle bite bien dure…
Alors que Camille avait maintenant trois doigts en moi et que Lucile me faisait tourner le clito, un trop peu timidement à mon gout, je tente une caresse sur le sexe de la belle blonde et mais constate à sa réaction qu’elle est encore très sensible depuis son orgasme. Déçue, je me contente de profiter de mon plaisir et de mater se magnifique spectacle en écartant ses fesses à fond. Mais la vision de cet anus indécemment vierge me fait craquer et je me mets donc à la caresser avec un doigt bien humide.
Au fur et à mesure que Camille me doigte et que Lucile me masturbe, je perds toute forme de retenue et commence à enfoncer une phalange dans cet anus bien serré.
- Non pas par là, me dit- elle alors en tournant la tête, je n’ai jamais…
- Je m’en doute ma chérie… Mais détends- toi, je vais être douce.
Et alors que j’enfonce mon doigt un peu plus loin, je la vois ouvrir la bouche et gémir d’inquiétude. Elle ferme les yeux mais les rouvre d’un grand coup alors que je viens d’enfoncer le reste de mon doigt. Finalement surprise que ce ne soit pas plus douloureux que ça, elle retourne à sa tâche : assurer mon plaisir.
Pendant que je doigte le cul de Lucile avec satisfaction, Camille me besogne la chatte depuis un petit moment. C’est très agréable, mais je sens l’inexpérience dans ses doigts. Je lui demande donc de m’enfiler toute sa main, ce qui vu sa taille, n’est absolument pas un défi pour moi.
- Heu… vous êtes sûre ? me dit- elle inquiète.
- Oh ma chérie, si tu savais ce qui est passé par là, tu ne t’en ferais pas autant. Tu peux y aller s’en crainte…
- Bon…
Je sens alors son petit doigt s’immiscer en moi, faire sa place dans mes chaires et, enfin, son pouce venir rejoindre ses autres doigts. Sa frêle main, aidée par la quantité de mouille s’échappant de mon sexe, s’enfonce sans aucune difficulté ni sensation de douleur dans mon large orifice.
- Putain, c’est passé tout seul !! s’exclame- t- elle alors
- Mmmhh, je te l’avais dit ma chérie… Oui…..Tu peux allez franchement avec moi… continue….
Cela commençait à devenir vraiment excellent. Lucile, à cheval sur moi, me frottait le clito avec énergie tout en me laissant lui doigter le cul tandis que Camille avait sa main dans mon vagin et allait et venait à l’intérieur. Sa main était un peu plus large que le sexe de M. Diallo mais allait bien moins profond. Cela dit, elle s’amusait avec ses doigts dans mon vagin ce qui décuplait le plaisir. Camille me fistait donc joyeusement à grand renfort de commentaires impressionnés juste sous le nez de Lucile qui, forcément, voulu essayer !
Celle- ci descend donc de mon ventre et se place à coté de sa copine pour m’enfiler sa main. Camille se retire, créant un vide très frustrant en moi mais vite comblé par Lucile qui m’enfile son poing d’un coup. Sa main, encore plus menue que celle de Camille, rentre très facilement dans mon vagin. Durant de savoureuses minutes, les deux filles me fistent et me lèchent le clito chacune leur tour. Elles même s’embrassent parfois langoureusement, d’abord pour partager un agréable gout de cyprine, puis juste pour le plaisir de se rouler une pelle.
Ses mains qui rentrent et sortent de moi me rendent folle et je sens que l’orgasme ne mettra pas longtemps à arriver. La situation est confuse et je ne sais jamais qui me fait quoi, d’autant que je me contente de profiter du plaisir, yeux fermés, en me maltraitant les tétons. Je sens tout de même à moment quelque chose de différent. Alors que l’une des filles à sa main bien enfoncée dans ma chatte, quelque chose vient élargir un peu plus l’entrée et s’enfonce en moi…
Inquiète, je me redresse et regarde la scène. Camille et Lucile ont en même temps leurs mains en moi !
- Vous êtes folles, les filles ! Pas en même temps !
- C’est pour tester… me répond Camille en enfonçant encore d’avantage sa main dans un vagin déjà bien rempli. Regardez, ça passe largement !
En effet, elle venait de rejoindre Lucille dans mes entrailles sans trop de difficulté. En apparence en tout cas, car de mon point de vue, je me sentais à la limite de la déchirure !
Je sentais mon vagin écartelé, plus que jamais, même avec 2 sexes de tailles honorables. La sensation de ces deux mains enlacées à l’intérieur de moi était incroyable mais je souffrais réellement de l’écartement au niveau de l’entrée.
- Oh, s’il vous plaît… Stop, les filles ! C’est trop…. Suppliais- je au bout de quelques secondes.
Les deux filles se retirent sans discuter et en s’excusant de m’avoir fait mal.
- Mettez- vous à genoux par terre, Séverine, on va se faire pardonner…
Désireuse de reprendre du plaisir, j’obéis et me place donc à genoux par terre, au pied du lit, et allonge le haut de mon corps sur le lit, mes bras croisés sous ma tête. Derrière moi, les filles écartent bien mes jambes et commencent à me caresser. Je me fais aussi « bouffer le cul », comme on dit, puisque l’une des filles me lèche goulument la chatte, le visage enfoncé entre mes fesses. Le plaisir revient immédiatement. Au même moment, je sens un doigt s’enfoncer dans mon cul et j’entends Lucile me demander :
- Ca ne vous dérange pas par-là ?
- Oh non ma chérie, j’adore qu’on joue avec mon cul…
Celle- ci commence donc à me doigter avec d’abord un seul timide doigt, puis entendant mes râles de plaisir, en rajoute un deuxième.
- Mon dieu, ça rentre tout seul dans votre cul !! Je ne pensais pas que c’était possible d’être aussi large de ce coté-là.
- Mmmhhh, si tu savais tout ce que peut faire un corps bien entrainé !
Les coups de langues de Camille s’accélèrent et le nombre de doigt de Lucile dans mon côlon passe de deux à trois. Mon plaisir, lui, monte aussi en puissance. Visage enfoncé dans mes draps, j’essaie de retenir mes gémissements. Cela devient de plus en plus intense, d’autant que Lucile a maintenant quatre doigts dans mon cul, passés sans difficulté, et je ne vois pas pourquoi elle n’irait pas un cran plus loin en m’enfonçant tout sa main !
Mes gémissements se transforment en cris alors que Lucile vient d’enfoncé sa main dans mon cul. Ce qui devrait déchirer et torturer n’importe quelle femme déclenche chez moi une décharge de plaisir bestiale. D’autant que Camille, sentant l’orgasme monter, cesse de me lécher et m’enfonce à nouveau sa main dans ma chatte, tout en stimulant mon clito de sa main libre.
Pénétrée et stimulée de toute part, il me suffit de quelques secondes de ce traitement pour jouir violemment, un de mes meilleurs orgasmes je pense, en hurlant de plaisir dans le drap pour ne pas réveiller la maison. Mon corps est pris de consultions violentes qui obligent les filles à retirer leurs poings de mes orifices et me laissent ainsi secouée et épuisée durant plusieurs minutes. Je mords de plaisir les draps en gémissant encore de tant d’intensité.
Me remettant de mes émotions, je me redresse et aperçois les filles, agenouillées, en train de me regarder prendre mon pied.
- Ohhhh mon dieu, c’était fabuleux…. Vous êtes très douées pour des débutantes….
- Merci !
Je m’approche d’elles à quatre pattes et viens les embrasser langoureusement. Mais ce n’est pas un baiser d’au revoir. A la manière dont elles avalent ma langue, je sens qu’elles sont à nouveau excitées et que la fête va continuer, ce qui n’est pas pour me déplaire…
J’ai encore envie de contempler et de m’amuser avec ces jeunes corps parfaits ! Un coup d’œil au réveil : 7h30… On a encore largement temps avant que la maison ne se réveille !
Alors que je les regarde en me remettant de mes émotions, les filles m’oublient peu à peu et s’embrassent et se touchent de plus en plus amoureusement. Durant vingt minutes, je me suis contentée de me masturber en matant ce magnifique spectacle de deux corps parfais entremêlés, de ces deux adolescentes superbes se doigtant mutuellement et se frottant sexe contre sexe jusqu’à l’orgasme. Enfin, quand elles eurent jouis, je rejoignis le duo pour encore plus de plaisir.
L’heure qui a suivi a été faite de caresses, de baisers, de tendresse, de découvertes et de beaucoup de jouissance. J’espère ne pas avoir fait de Camille et Lucile des lesbiennes pures et dures mais il est évident qu’elles ont pris leurs pieds comme jamais. Après un énième orgasme, je m’endormi et ne me réveilla qu’à 11h dans un lit vide.
La maison était silencieuse, tout le monde dormait encore. Je mis de l’ordre dans le salon. Vers midi, tous les invités était finalement parti et, après avoir chaudement recommandé à Camille et Lucie de repasser voir ma fille quand elles veulent, je pu parler à mon fils en aparté.
- Tu as vu Théo, je me suis bien tenue ! Tout c’est bien passé, rien n’a dérapé…
- Mouai… je ne suis pas sûr que se foutre moitié à poil et se laisser toucher le cul soit digne de quelqu’un qui « s’est bien tenu » ! Mais bon… comme ça n’est pas allé plus loin…
- Exactement, ça n’est pas allé plus loin !
Il commence à partir mais je le rattrape en murmurant :
- Au fait, ton cadeau n’est pas encore arrivé mais pour te faire patienter, j’ai une surprise.
- Ah ?
- Tu as droit à une journée…
- Un journée de quoi ?
- Une journée de baise. Une journée où tu pourras me faire ce que tu veux, quand tu veux et où tu veux… Aucune limite.
- Mmmhh, ça c’est de la surprise ! Toute une journée… Tu vas prendre cher !
- Je sais mon chéri, je sais…
Et je peux vous dire que j’ai pris cher ! Il a forcément choisi sa journée où nous étions seuls tous les deux et il a poussé à fond le concept d’esclave et de soumission.
Après des semaines d’attente pour lui et pour moi, le fameux jour arriva. Le jour où Théo, mon fils de 18 ans, allait pouvoir profiter de son cadeau d’anniversaire, c’est- à- dire faire de moi ce qu’il veut.
Je lui offre une journée de soumission totale où il peut me faire tout ce dont il a envie sans que je puisse contester. Enorme cadeau me direz- vous ? Oui mais je comptais aussi en profiter.
Et si cela se passe bien, j’offrirai la même chose à mon autre fils pour son prochain anniversaire !
C’était donc quelques semaines après son anniversaire que Théo décida de prendre son dût. Il choisit un samedi où son frère et sa sœur étaient absents pour la journée, mon mari ayant de toute façon quitté le domicile conjugal à ma demande. Le divorce était en cours de négociation.
Côté travail, je venais de devenir la nouvelle directrice de ma boite et je commençais à être de plus en plus « sollicitée » par le conseil d’administration. Mais cette semaine avait été calme et c’est avec plaisir que j’avais accepté, la veille, la proposition de Théo de profiter de son cadeau aujourd’hui.
Samedi, il était minuit passé de quelques minutes quand je sentis quelqu’un se faufiler dans mon lit.
Alors que j’émerge de mon sommeil, des mains commencent à me caresser, à me toucher les seins et le sexe. Elles sont douces mais vont droit au but. Alors que je me rends compte qu’il s’agit de Théo, celui- ci me baisse la culotte en me murmurant à l’oreille :
- On est samedi….
- Humm c’est vrai, dis- je en baillant.
Il passe alors sous le drap et commence à me lécher le sexe. Même si je suis encore un peu endormie, ses caresses sont agréables et me font immédiatement du bien. Il me doigte et me masturbe, sort mon clito de sa petite peau et donne des coups de langues sur cette zone très sensible. Puis il se replace dans mon dos et me pénètre en position de la cuillère. Il est d’abord très tendre puis accélère le mouvement à ma demande. De sa main droite, il continue de me caresser, si bien que sous le double effet de ses doigts et de son sexe, je jouis en quelques minutes.
Sitôt mon orgasme dissipé, Théo se retire sans avoir joui et me chuchote à l’oreille.
- Tu as apprécié ?
- Oui, bien sûr, mais tu peux continuer, si tu veux…
- Non, je me réserve pour plus tard. En tout cas j’espère que tu as apprécié car pour tout le reste de la journée, ce sera uniquement anal !
- Uniquement anal ??
- Tu as bien compris… Je vais tester avec ton cul tout ce qui me passera par la tête. Et j’ai déjà plein d’idées. Je suis désolé mais tu vas déguster !
- Fais quand même attention de ne pas aller trop loin, Théo… Je suis ta mère, pas une poupée gonflable !
- Tu m’as promis que je pouvais faire ce que je voulais, non ?
- Oui, mais…
- Et tu avais dit « aucune limite », non ?
- C’est vrai…
- Bon. Donc, maman, avec tout le respect et l’amour que je te porte, aujourd’hui tu seras mon esclave. Je vais abuser de ton cul comme jamais et je vais me montrer particulièrement imaginatif. Soit préparée et, comment dire, disposée… Tu sais… dans ton… Tu vois ?
- Oui… je vois bien… Tu veux que j’ai le fion bien propre.
- Hum… oui.
Il sort alors de mon lit et me dit :
- Essaie de dormie car ça va être très éprouvant pour toi… Je veux que tu sois nue quand je me lève. A plus tard.
Je ne répondis pas tellement j’étais inquiète de la journée qu’il m’avait réservée.
Mon réveil sonna à 8h30 pour préparer les affaires d’Hugo et de Chloé qui partent avec leur club aujourd’hui et qui seront donc absents toute la journée jusqu’à tard ce soir. Il est 9h00 quand ils quittent la maison en me laissant seule avec Théo, mon maître pour la journée.
Obéissante, je vais à la salle de bain faire ce que j’ai à faire lorsque je sais que mon cul va être particulièrement sollicité puis j’enlève ma culotte et mon vieux T- shirt qui fait office de pyjama. Me voilà donc nue dans ma cuisine attendant la curée…
Alors que je prends mon café, Théo se lève et entre dans la cuisine. Il me voit assise, comme à mon habitude, sur un tabouret de bar en train de lire mon journal.
- Mmmhh parfait, dit- il en me voyant ainsi.
Il me caresse le dos du haut vers le bas puis touche mes fesses qui dépassent du tabouret. Il commence direct à titiller mon trou du cul avec son majeur. Il suce son doigt et l’enfonce sans ménagement dans mon fion. Il me doigte un peu, fouille à l’intérieur et y enfile un deuxième.
Me faire stimuler ainsi l’anus n’est pas désagréable mais en général, on me fait cela en me faisant l’amour, non pas à froid le matin au petit dej…
Toujours est- il que Théo fouille bien profond dans mon fion, écarte les parois, etc. Puis il recule un peu mes fesses pour que mon trou du cul dépasse bien du tabouret et il crache dans sa main. Il se lubrifie le sexe en commence à me l’enfoncer dans le cul. Il y va progressivement car je suis encore relativement serrée puis, une fois le passage fait, il commence à me limer.
- Tu ne perds vraiment pas de temps, lui dis- je. A peine levé que tu m’encule déjà !
- Et ça ne fait que commencer…
- Pas de problème… Vas- y, abuse bien du cul de ta salope de mère !
Sur ces belles paroles, il accélère le mouvement, écarte bien mes fesses et m’enfile sa queue entièrement à chaque passage. Il se retire souvent pour contempler mon cul bien ouvert et le lèche avec avidité, fourrant sa langue à l’intérieur. Puis il y retourne, me sodomisant avec fougue. Je sens qu’il profite de son cadeau, fait durer le plaisir et en prend beaucoup. De mon côté, ce n’est pas désagréable, au contraire, mais j’apprécie surtout la sodomie lorsque je suis très excitée. Quand je suis en trance, on peut me ravager le cul, j’en redemanderai toujours… Là, disons surtout que mon fils se sert de moi sans se soucier de savoir si j’aime ou pas. Mais ça ne me dérange pas, j’ai l’habitude d’être considérée comme un objet !!
Alors que je suis penchée sur le bar depuis quelques minutes et que mon cul se fait ramoner, Théo craque enfin et se repend en moi. Je me dis alors que je pourrais passer une journée tranquille mais je me trompais… cela ne faisait effectivement que de commencer !
Théo sort de mon cul et laisse son sperme s’en écouler et tomber par terre. Il m’ordonne :
- Lèche ça !
- Heu… tu comptes me parler sur ce ton toute la journée ?
- Jusqu’à minuit ce soir tu es ma chose, alors je te parle comme je veux… Ok ?
- Ok…
- Alors, par terre et lèche, salope !!
Jouant le jeu, je descends du tabouret, me mets à quatre pattes en tendant bien le cul vers Théo et commence à lécher son foutre refroidit au sol. Il me regarde aspirer et avaler les dernières goutes puis passe dans mon dos. Il me donne alors une grande claque sur le cul en disant :
- C’est bien, tu es une bonne chienne. Maintenant je vais te mettre ta laisse. Ne bouge pas !
Endolorie par sa fessée, je ne réponds pas et attends la suite. Il va dans sa chambre et revient avec un gros sac à dos. Il en sort un collier et une laisse de cuir qu’il me passe autour du cou.
- Voilà…. Mais il manque quelque chose…. Ah oui !
Il fouille à nouveau dans son sac et en sort un plug anal se finissant par un long panache de poil. Il passe dans mon dos et me l’enfonce dans le cul. Le diamètre est assez imposant et me maintient l’anus bien ouvert. Ne ressort alors de mon cul que la partie la plus large du plug avec la queue en poils synthétiques. Me voilà vraiment une chienne !
- Parfait… Maintenant tu vas rester comme ça, près de moi en permanence. Comme une chienne. Et tu feras tout ce que je te dis, quand je te le dis. C’est compris ?
- Oui…
- Oui qui ?
- Oui… maître… je suppose.
- Tu supposes bien.
Théo me tire alors vers le salon par la laisse. Marcher avec un gros plug dans le cul est assez pénible, voire douloureux et je sens que je ne pourrai pas tenir la journée comme ça… Je n’imaginais pas Théo être si pervers. Mais il faut dire qu’avec une mère comme moi, ça n’aide pas !
Il se place sur le canapé pour prendre son petit déjeuné et m’oblige à me mettre à quatre pattes sur le tapis à ces pieds. Dans cette position inconfortable, je lui expose mes cuisses écartées, ma chatte et mon cul tendu et dilaté par le plug.
Alors qu’il mange sans m’adresser la parole, je me dis que si j’essaie de résister cela risque d’être une journée pénible. Alors que si je joue le jeu de la soumission totale, je pourrais mieux supporter le traitement voire l’apprécier… Quitte à me venger ensuite s’il j’estime qu’il va trop loin.
Décidée à profiter un peu de cette journée, je m’abandonne à la soumission et décide de devenir sa chienne. Je me cambre encore un peu plus pour bien lui exposer mon cul et lui signifier ma soumission.
- Brave bête… me dit- il en souriant.
Il me donne alors une petite tape sur les fesses et me caresse le sexe. Je commence aussitôt à mouiller, ce qui l’incite à continuer. Il me doigte et me masturbe, fait tournoyer mon clito. Alors que, au bout de quelques délicieuses minutes, je sentais le plaisir monter et que je gémissais de plus en plus fort, il s’arrête en me disant :
- C’est tout pour le moment… je veux que tu restes le plus excitée possible…
Il me laisse donc dégoulinante, excitée, frustrée et vas à la cuisine ranger son petit dej.
Il monte ensuite dans sa chambre et allume sa console. Il me demande de le sucer pendant qu’il joue. Installée entre ses jambes, je m’exécute et commence à lui lécher la bite. Je m’occupe de son gland, de ses couilles, le branle un peu, le suce plus en profondeur, etc. pendant plusieurs minutes pour que son sexe retrouve toute sa vigueur après son orgasme de ce matin. Puis, au bout d’une demi- heure de fellation appliquée, il semble enfin avoir envie de jouir et coupe son jeu.
- Tu suces franchement bien, maman… je suis déjà à deux doigts de juter. Viens par là.
Avec la laisse, il me redresse et m’allonge sur le dos sur son lit. Il approche son sexe bien dur de ma tête qui dépasse du matelas et me l’enfonce dans le gosier. Sans se soucier de moi, il me baise la bouche et force ma gorge en y insérant sa longue queue à chaque passage. La gorge profonde dure longtemps et est aussi douloureuse qu’excitante pour moi. Il viole ma bouche, tire sur mes tétons qui balancent et consent parfois à me caresser le clito, plus pour me maintenir excitée que pour me donner du plaisir d’ailleurs. Sa bite dans ma bouche fait un bruit affreux de déglutition mais cela semble l’exciter d’avantage encore. Il alterne bourrinage violent et pénétration délicate où, je suppose, il profite de la vue de ma gorge de gonflant au passage de sa bite. Puis, enfin, il se vide directement dans mon estomac et se retire de ma gorge en créant un immense (et dégoutant) file de bave.
- Viens dans la salle de bain, on va nettoyer tout ça…
Je le suis en boitant, le plug toujours enfoncé dans mon cul. Il me fait m’accroupir dans la douche et me nettoie avec un gant de toilette. Puis il retire le plug pour admirer mon cul grand ouvert.
- Toujours aussi impressionnant, la taille de ton trou…
Il se saisit alors du pot de Nivea, le même qui avait servi, il y a déjà un moment à ma première sodomie, ici même. Il s’enduit la main de crème et commence à me dilater le fion avec. Après quelques étirements, il parvient assez facilement à y rentrer son poing (vous commencez à connaitre mes performances).
- Je suppose que tu te fais fister régulièrement par tes amans… Jusqu’à quelle profondeur ils sont déjà allés ?
- Je… Je ne sais pas… Je… Je dirais un peu plus que le poignet…
- Hum… A mon avis tu t’en es pris bien plus loin. On va voir !
Tout en faisant des quarts de tour sur la gauche et la droite avec son bras, il enfonce progressivement son poing dans mes entrailles, me dilatant petit à petit le colon. Je commence à être habituée à ce genre d’intromission mais cela reste quand même intense. Pas désagréable, au contraire, mais intense…
Je suis appuyée au mur de la salle de bain, le cul cambré en arrière et les jambes bien écartées pendant que mon jeune fils enfonce dans mon anus une partie de plus en plus importante de son bras. Je sens ses doigts fouiller en moi, frotter contre les parois de mon colon et se replier en poing à chaque fois qu’il pousse pour s’enfoncer plus loin. C’est plus fort que moi mais cette pénétration me fait mouiller. Je le sens, des trainées de mouilles ruissellent le long de mes cuisses. J’adore me faire déchirer le cul…
- Haaaa, je suis déjà bien plus loin que le poignet… Tu vois quand tu veux !!
- Oohhh…. Continue maître ! Enfonce encore ton poing dans le fion de ta mère !! AAAHHHHH !!!!!
Ce petit pervers se met alors à aller et venir avec son poing dans mon cul. Il en sort pour mieux y re- rentrer en forçant le passage et n’hésite pas à tirer sur les parois avec ses 2 mains pour m’élargir. Il tente même d’y enfoncer ses deux mains… Sans succès, évidemment, mais cela ne fait qu’accroitre la dilation de mes chairs. Il pousse mes limites au maximum, ce salop ! Puis il referme son poing et s’enfonce à nouveau loin dans mes entrailles.
- Oohh Théo, c’est bon….. mais vas- y doucement !!
- J’y vais comme je veux aujourd’hui… Et appelles- moi maître !! Insiste- il en me fessant violemment à plusieurs reprises.
- O…oui, maitre… Continue…. Ooohhhh enfonce ton bras en moi !!!
Je ne savais pas ce que je disais…. Mais entre le jeu de soumission, l’excitation réelle de ce fist- fucking intense et l’envie de pousser mes limites encore plus loin, je voulais vraiment qu’il continue !
Et là- dessus, il pousse son poing encore plus loin. Plus loin que quiconque n’est allé dans mon cul. En me tournant vers lui, des larmes de douleurs et de plaisirs pervers coulant des yeux, je me rends compte que quasiment moitié de son avant- bras est enfoncé !
- Tu as vu ce que je te mets ?? Tu sens mon poing dans ton ventre ??
- O…oui… et je le vois aussi…
- C’est vrais ?? Montre !!
Toujours le bras enfoncé dans mon fion, il se tourne un peu sur le côté pour voir mon ventre. Et en effet, s’il pousse son poing vers mes abdos, on peut voir une légère bosse se former. Une bosse qui monte et descend.
- Oh putain !!! Je ne pensais même pas que c’était possible !
Son excitation est alors décuplée et il redouble de vigueur pour me fister. Il me plaque contre le mur, tire sur mes fesses d’une main et enfonce de toutes ses forces son autre bras. La douleur était pour moi aussi vive que le plaisir et je serais des dents en pleurant. Je criais, bien sûr, mais cela ne faisait que motiver mon fils qui s’éclatait à m’éclater le cul.
Soudain, il retire son poing, me retourne dans la douche, et me demande de tenir mes jambes en l’air. Il renfonce son poing en moi et me bourre avec force en regardant, fasciné, mon ventre se déformé. On y voit réellement une bosse se former à chaque fois qu’il enfonce son bras. Dans un état d’excitation inouï, il me dit :
- Je suis sûr qu’on peut pousser jusqu’au coude…
Je sens mon anus être encore un peu plus écarté par la partie la plus large de son avant- bras et son poing s’enfoncer toujours plus loin. Mais cette fois s’en est trop, la douleur et la peur prennent le dessus : j’ai peur d’avoir l’anus détruit, de devenir incontinente. Une vive sensation de déchirure imminente de mon anus et l’irritation interne de mon colon me font revenir à la réalité. En larme, je le supplie alors :
- OOOhhhh c’est trop, arrête !! Je t’en prie arrête, je vais crever !!
Déboussolé par mes larmes si nombreuses, il se calme soudain.
- Ok maman, on arrête…
Il sort alors son bras de mes fesses en créant un vide en moi qui me procure un soulagement immense. Je passe alors ma main sur mon anus et constate l’ouverture béante de celui- ci…
- Mon dieu… Non….tu m’as détruit le cul….
- Mais non… il est à peine plus ouvert qu’après la double anale avec Hugo… Tu t’en remettras… Et le spectacle est absolument superbe ! Ton cul n’a jamais été aussi beau ouvert ainsi. Ecarte tes fesses que je profite encore du spectacle.
- Non, je ne…
- ECARTE !!! Ou je te fouette le cul à coup de ceinture !
J’avais oublié un instant que j’avais accepté le jeu de la totale soumission. Comme un fétu de paille, il me remet à quatre pattes, plaque mon buste par terre pour bien tendre mes fesses. Après plusieurs claques sur le cul, je cède. Rassemblant mes forces et me remettant dans mon rôle, je place mes mains sur mes fesses et les écarte pour maintenir pour anus bien ouvert. En me retournant, je vois Théo baisser son caleçon et sortir sa bite mi molle (je rappelle qu’il a joui il y a quelques minutes dans ma bouche).
- Qu… Qu’est- ce que tu comptes faire ?
- Faire un truc que je veux essayer depuis un moment… et me servir de ton trou comme il le mérite…
Il se décalotte alors et commence à me pisser dessus. Même si d’illustres inconnus m’ont, à plusieurs reprises, pisser dessus pour satisfaire leurs pires envies d’humiliation, jamais je n’aurais imaginé me faire pisser dessus par un de mes enfants. Mais après m’être fait recouvrir de leur foutre ou mouille à maintes reprises, ais- je vraiment le droit de me poser ce genre de question ?
Son jet d’urine s’abat d’abord sur mes fesses et ma chatte puis rentre précisément dans mon cul que je maintiens toujours ouvert. Il ne cherche pas spécialement à me recouvrir, même s’il m’arrose le bas du dos et les cuisses, mais surtout à me remplir avec sa pisse. Durant de longues secondes, mon fion se rempli puis, enfin, le jet se calme et ruisselle sur mon sexe.
- Tu veux gouter ?
Sans même réfléchir au fait qu’il me laisse le choix, je me retourne en laissant mon cul surélevé et lui suce la bite encore un peu dégoulinante. Je lèche et avale ses dernières gouttes d’urine mélangées à ma salive. Je grimace mais commence à être habituée à cela… Me reste- il encore des limites ?
- Parfais, maintenant mets- toi accroupie et vide- toi.
Toujours dans la douche, je me mets en place et me vide de l’urine stockée dans mon cul sous les yeux pervers de Théo.
- C’est bien. Il est 11h, je te laisse tranquille jusqu’à midi. Après je te remets ta queue et ta laisse et tu redeviendras ma chienne. Ok ?
- Bien maître.
Pas de suite.
Auteur inconnu...