Pour lecteurs avertis.
Quand certains souvenirs
remontent à la surface.
On se remémore avec
tendresse ses moments vécus
Sodomisé par un rebeu marié.
Je chattais depuis quelques temps avec Saïd, un trentenaire qui avait vraiment du mal à s'assumer en tant qu'homo. En effet il était marié avec une nana avec qui il vivait et ça le rendait fou. Il habitait en Bretagne et moi en Auvergne. Mais un jour, il me dit qu'il se trouvait sur Lyon pour garder l'appart de son cousin. Je me suis dit que c'était trop beau pour que je laisse passer cette chance, j'ai donc pris mon billet direct sur le net et j'ai foncé à la gare en emballant deux ou trois trucs dans un sac.
Une fois mon voyage terminé, j'arrive à Lyon, il fait nuit, je prends le métro. Saïd m'a bien donné l'endroit de rendez- vous. J'étais quand même un peu flippé du résultat, je me mettais à penser qu'il aurait pu me poser un lapin, mais il n'en était rien. En débouchant dans la rue qu'il m'avait indiqué, j'aperçois un homme de type marocain, super bandant avec sa chemise blanche cintré et son pantalon noir. Mon portable sonne et je l'entend. Il avait une voix terriblement bandante, un accent maghrébin qui ferait fondre n'importe quelle lope comme moi.
Enfin il me fait signe, je me rapproche, enfin nous sommes ensemble sur le même trottoir. Et là, ma bite s'est immédiatement mise en érection. Il était encore plus sexy que sur les multiples sessions webcams que nous avions fait auparavant. D'une virilité renversante, je frétillais d'avance rien qu'en l'imaginant me pilonner le cul comme une brute, seul lui et moi dans l'appart de son cousin.
Enfin nous arrivons après deux minutes de marche au seuil de l'immeuble, nous prenons l'ascenseur et là direct, il me saute dessus en m'embrassant langoureusement. L'excitation avait remplacé la fatigue du voyage et je n'en pouvais plus. Je profite de la montée de l'ascenseur pour tâter un peu la marchandise. Une bite énorme sous son pantalon, j'aurais aimé commencé à le sucer dans l'ascenseur, être sa lope, son objet pour un soir.
Enfin nous entrons dans l'appartement. Je dépose mes affaires, je tremble de tous mes membres, je n'y crois toujours pas. Je fonce dans la salle de bain pour me rafraichir un peu, quand Saïd arrive et me surprend. Je suis presque à poil, le cul et la bite à l'air, il se met à me peloter de tous les côtés, il enlève sa chemise, laissant apparaître un torse musclé et viril avec les poils qu'il faut ou il faut. Je vais vraiment passer une bonne soirée.
Je détache immédiatement son pantalon, je suce sa teub à travers son boxer humide de sueur, puis je l'enlève doucement. Son sexe m'apparait comme une bénédiction, je m'empresse de bouffer son gland et d'enfoncer son chibre entier dans ma gorge, je l'entend pousser des râles de plaisir et me dire des mots en arabe. Je ne comprends rien mais ça m'excite à mort. Se retrouver seul avec un rebeu viril marié et se faire baiser par tous les trous, mon rêve se réalisait.
Pendant que je le pompe fougueusement, nous nous mettons totalement à poil, puis nous rejoignons le lit ou il continue de m'enfoncer sa bite au plus profond. Il règne sur moi comme jamais, je salive comme une grosse pute, j'aime ça. Il parcourt mon corps de ses mains viriles et m'empoigne le cul avec vigueur pour me préparer à l'assaut de son braquemart. Mon trou s'ouvre déjà sous l'effet de l'excitation. Il me met des doigts qui rentrent tout seul, je n'en peut plus, je veux sa bite au plus profond de moi.
Il se dépêche ensuite d'enfiler une capote, je me positionne en missionnaire pour bien accueillir sa bite bien dure. Il me bouffe le cul bien comme il faut pour m'humidifier correctement et remonte pour me pénétrer instantanément. Je me relâche totalement, sa bite intègre immédiatement mon cul qui suinte déjà le plaisir. Je regarde son visage se crispant sous le bonheur provoqué par mon petit cul bien ferme, il me roule une grosse pelle bien baveuse tout en me bourrinant le cul comme un taureau. Il hurle de plaisir, je met mes mains sur ses fesses musclées pour attirer sa bite plus profond en moi.
Il me dit que je suis sa pute, j'adore ça, je suis sa trainée, il me pilonne, puis me demande de me mettre à quatre pattes. Je m'exécute sans hésiter, il se positionne et me rerentre à nouveau dans le fion, sa bite pénètre au plus profond avec une fougue bestiale, je suis en train d'avoir un orgasme anale. La douleur du départ se transforme en plaisir. Je lui attrape ses couilles lisses et j'en profite pour tripoter son cul que je ne tarderai pas de bouffer plus tard.
Je l'entend gémir de plus en plus, il me dit qu'il va cracher tout son foutre sur mon cul, il se retire, enlève la capote et en effet, il débita un litre de foutre bien chaud sur mes deux belles fesses bien rondes. Je lui dit immédiatement de me donner son cul à bouffer, je m'allonge et il se met sur moi, je lui mange la rondelle comme jamais, tout en lui bouffant les couilles. Lui continue de me foutre des doigts bien vigoureusement. J'en profite pour lécher aussi ses pieds de haut en bas, ce mec sent l'homme comme je n'en ai jamais vu auparavant. Puis je me met à gicler toute la contenance de mes bourses sur mon ventre, avec un soulagement immense.
Nous nous remettons de nos émotions, en rejoignant la douche, je peux désormais parcourir la totalité de son corps ultra bandant. Nous nous lavons mutuellement, en s'embrassant. Je me remet à le sucer car je suis encore trop excité et je veux en profiter à fond. Une belle bite de rebeu bien profilée, un gland bien rose, des couilles parfaites, il ne tarde pas à rejouir de nouveau sur ma joue. Puis nous rejoignons la cuisine pour nous préparer un thé....
Deuxième jour à Lyon dans l'appart du cousin de Saïd, le rebeu super sexy qui m'avait accueilli pour le meilleur plan Q de toute mon histoire.
Nous déjeunons dans la cuisine, puis une douche, et je pars pour aller retirer un peu d'argent. A mon retour, je reçois un sms de mon hôte qui me dit qu'un ami est venu lui rendre visite, qu'il faut que je dise que je suis de Lyon. En gros, il veut cacher son attirance sexuelle et je trouve ça un peu lourd sur le moment de jouer les mister hyde.
Je me pointe à l'appartement, Saïd est encore torse nu, son pantalon en lin comme seul vêtement. Je m'efforce de ne pas trop le mater car son ami est là. Un superbe mâle un peu plus jeune, genre 25 ans en jogging, marcel, vu la période estivale. Je me retrouve avec deux bombes sexuelles au lieu d'une. Je n'ai qu'une envie c'est de me faire prendre en tournante par les deux en même temps, d'offrir mon cul en offrande à ses deux mâles. Je me dit que c'est peine perdue, l'autre doit être forcément hétéro vu que mon amant d'hier tient tant à cacher sa situation.
Je laisse les deux hommes discuter puis je vais dans la chambre, ranger mes affaires car mon départ est prévu pour le soir même. Quand soudain, Saïd m'appelle et me demande de venir. Je les rejoint au salon, et son ami me demande d'un ton sec si j'ai kiffé faire la pute hier soir.
Je ne sais pas quoi répondre, et d'un coup je le vois se tripoter la queue au travers de son jogging blanc. La forme qui passait au travers était plus qu'avantageuse. Je me dit que ça ne pouvait pas être possible. J'allais encore me faire baiser mais cette fois ci par deux mecs soit disant hétéro.
Leur hétérosexualité m'excitait, bien que j'étais persuadé qu'ils préféraient les mecs.
L'ami de Saïd me fait signe d'approcher, me prend la tête et me plonge le visage sur son pantalon. Il m'insulte et me demande si je veux sa teub, je cris oui, oui, je veux te faire jouir comme jamais. Il se met à enlever son jogging et son boxer, laissant apparaître sa magnifique teub circoncise à souhait. Je me met à suçoter son gland pour le faire languir mais lui ne tarde pas à m'enfoncer sa queue dans la bouche, comme pour me prouver quelque chose. Que je suis sa pute sans doute. Saîd s'empresse de se dessaper, et me donne sa bite à biberonner, je me retrouve avec deux grosses bites de rebeu bien raides devant moi. Ma bouche n'est pas assez grande pour avaler les deux en même temps, malgré mes essais. Saîd baisse mon froc violemment et se met à me doigter à sec, je gémis de douleur puis mon cul s'ouvre instinctivement.
Je pompe le pote de Saïd toujours aussi vigoureusement, lui léchant les boules avec vigueur, son odeur de mâle me rend fou, je caresse ses cuisses musclées, il enlève son marcel, et dévoile son torse.
Je le suce toujours et Saïd arrive par derrière et me prend d'un coup sec, je gémi du cul comme une grosse chienne. Je me fais pilonner pendant un bon quart d'heure quand le pote de Saïd désire me bourrer le cul.
Nous rejoignons la chambre car plus confortable, et là il se dessape entièrement. Je me retrouve à quatre patte sur le lit, et je reçois enfin son énorme chibre, Saïd me tend sa queue à sucer, il est dur comme du bois, je gémi, je salive comme une salope sur sa queue pour l'humidifier à fond, je le branle en lui tâtant le cul.
Puis je demande aux deux de me prendre en même temps, pour cela, Saïd s'allonge, j'enfonce en premier sa bite bien profond dans mon cul, et son pote nous rejoint par dessus. Ma première sodo double anale, enfin!
Je suis entièrement dévouée à mes maîtres, les deux queues rentrent complètement dans mon cul bien dilaté et humide. J'arrive à peine à y croire, dans les films de culs que j'avais vu, ça ne se passait pas aussi facilement, et bien là si. Mon cul avalaient ces deux énormes chibres avec une facilité déconcertante. Les râles des deux mâles en train de me sauter me donnaient le tournis, je commence à avoir mon orgasme anale, je bouge mon cul pour bien faire rentrer les deux bites à l'intérieur, quand soudain le mec derrière moi se met à se retirer et à jouir bien sur mon trou humide et sur la queue de Saïd qui lui se mit à jouir dans la capote. J'actionne mon fion pour bien lui pomper tout le foutre des couilles, je le vide. Si c'était possible, j'aurais avalé la totalité de leur foutre.
Je me met à sucer la bite de Saïd encore bien bandée, et je me met à jouir sur mon ventre. Son pote me traite de salope et me demande si ça me dit qu'on se revoit pour un bon plan comme ça.
Je ne dis pas non, et j'acquiesce d'un sourire.
Chacun ensuite s'en va dans la salle de bain se doucher, je me retrouve sur le lit, le cul complétement dilaté par ces deux grosses bites, je viens de vivre le plan Q le plus excitant de toute ma vie.....
Je n'ai jamais eu de nouvelles de mes deux amants depuis cet évènement, mais je m'en fout, je me suis bien éclaté!
Plusieurs fois, ça lasse, je pense ! :)
Pour lecteur averti.
Quelques souvenirs de jeunesse
J'ai grandi dans une ville de la banlieue parisienne où il y avait énormément de musulmans et ma mère était une travailleuse sociale qui formait avec mon père un couple entièrement libéré...
Bref elle avait des amants avec le plein accord de mon père, et dans le cadre de son travail et pour avoir la paix dans ce travail elle a vite accepté de faire l'amour avec des algériens et des marocains dont elles suivaient les dossiers sociaux, et ils l'ont vite traitée comme la putain blanche qu'elle est vite devenue pour eux, tellement comblée par eux qu'elle a y pris goût sans limites, acceptant de plus en plus de rapports sexuels et d'amants ou de baiseurs musulmans, toujours encouragée par mon père qui adorait par moment jouer les voyeurs !
Avec son plein accord elle a en a même ramenés chez nous, et je suis devenue à mon tour voyeuse discrète en séchant certains cours pour rentrer discrètement chez moi, et je me suis caressée en regardant certains après- midi par le trou de la serrure ces beaux hommes virils qui baisaient à deux ou trois, et quelques fois quatre ma maman dans la chambre conjugale de mes parents, pendant que mon père était à son travail...
Puis j'ai eu l'énorme culot de les rencontrer quand après avoir fait l'amour ils prenaient ensuite et traditionnellement le thé avec ma mère dans notre salon !
Ma maman avec juste une nuisette transparente, et aussi juste avec un porte jarretelles et des bas filés et qui avait des traces de foutre partout et ces deux ou trois hommes visiblement heureux de s'être soulagés de tout leur sperme dans les trous de ma mère !
Ma maman a été très gênée au début par ma présence mais elle a compris ma curiosité, et après m'avoir promis de ne pas la juger elle m'a permis de venir régulièrement à ce thé très spécial de fin d'après- midi !
Ces hommes ont vite admis ma présence et sans complexes ils ont commencé à caresser ma maman devant moi, ses gros seins, son cul, et ses cuisses et sa chatte dégoulinante de sperme à pleine mains, en me regardant et en sortant leurs bites encore molles... avec ma mère qui gémissait sous leurs caresses.
Le soir je n'arrêtais pas de me caresser en pensant à ça et je me servais d'un flacon de shampoing pour me faire jouir !
Puis la semaine d'après en rentrant, j'ai été vite changer mon pantalon pour une vraiment très courte minijupe, retirer mon soutien- gorge déjà assez bien garni et ouvert totalement mon chemisier et mis un rouge à lèvres de salope !
En les rejoignant les trois bites des amants de ma mère sont devenus aussitôt dures et droites, énormes, ma mère m'a souris et elle s'est mise aussitôt à genoux pour commencer à les pomper doucement tour à tour...
L'un d'eux a mis sa main sur ma cuisse et je l'ai vite guidé sur ma petite culotte de grande jeune fille et il m'a alors caressé ma chatte en disant à tous que j'étais toute mouillée comme ma mère et certainement aussi salope qu'elle !
Ils ont tous rigolé et ma maman s'est alors touchée sa chatte encore pleine de foutre qui coulait sur ses cuisses et par terre.
Ma petite culotte a vite disparue ainsi que le reste de mes vêtements et je me suis retrouvée nue et à genoux à sucer maladroitement à mon tour ces superbes bites musulmanes... Maman m'a donné de bons conseils mais ils ont tous jouis dans la bouche de ma mère qui avalait avec un plaisir visible leurs foutres !
Inoubliable, surtout qu'après on a pris le thé tranquillement et amicalement, sauf que ma maman et moi étions nues...et souillées de foutre, et que ces hommes avaient toujours leurs sexes dégonflés sous nos yeux, et que ma maman et moi caressions et branlions très gentiment.
On a recommencé et ma maman m'a vite offert mes premiers bas et mon premier porte jarretelle pour faire aussi salope qu'elle et exciter ses amants encore plus, et fait prendre la pilule !Puis j'ai enfin été autorisée par maman a écarter à mon tour les cuisses à côté d'elle, et nos amants sortaient leurs bites des trous de ma mère que pour fourrer leurs bonnes bites en moi...
Et mon père s'en branlait encore plus de voir ainsi les deux femmes de sa vie devenue des vraies putains totalement soumises et esclaves de toutes ces bites musulmanes...
Un autre flash de l'année suivante : un dîner dans un restaurant arabe sur le Mont Valérien : un couscous sauf que si mon père conservait son costume cravate, ma mère et moi étions en chemisier transparent sans sous- tif, fardées comme des putes y compris les tétons, minijupe de cuir brillante, bottes assorties à talons de vingt centimètres, bas noirs à coutures et porte jarretelles assortis, sans aucune culotte... on ne voyait que nous dans le restaurant, et on mangeait tranquillement sauf que l'une de nous deux allions tour à tour tous les quarts d'heure nous faire tringler dans la réserve !
Mon père discutait tranquillement avec le propriétaire du restaurant pendant que sa femme ou sa fille courbée en deux avait un homme qui la tenait par les hanches et qui la défonçait à grands coups de bite et qu'un autre avait sa queue en pleine bouche. On revenait s'asseoir chacune à notre tour à table et cet homme nous demandait devant le mari et père :
- Ils t'ont bien baisée ? Tu as jouit ? Tu as avalé...? Il y a d'autres qui attendent pour te baiser toi et ta mère, manges, prends des forces, je vous garde toute la nuit !"
Et à mon père :
- Ta femme et ta fille sont vraiment dans le top des chiennes blanches que leurs mecs amènent ici se faire baiser par nous autres musulmans, tu peux les amener tous les jours , j'en ferai de vraies putes si tu veux !"
Heureusement ça ne durait pas toute la nuit et mon père a été très... raisonnable pour moi, car ma maman a convaincu mon père et elle s'y est effectivement prostituée un certain temps.
Chaque fois que je retourne à Nanterre, ma culotte est aussitôt humide et je sens un grand vide dans le bas de mon ventre et je cherche autour de moi la tête de musulmans très âgés qui ont pu il y a si longtemps me baiser avec ma maman!
Auteurs inconnus.