Une histoire classique comme on les aime.
Une bonne salope et des ouvriers sur un chantier.
Que demande le peuple de plus???
La putain du chantier
Auteur : Bibifrricota
Cela faisait plusieurs fois que ce fantasme me trottait dans la tête, mais je n’avais jusqu’alors jamais osé le réaliser : obéir et servir de vide couilles à des hommes avides de se soulager …
Un jour, alors que je surfais sur un site internet spécialisé, quelle ne fût pas ma surprise mais aussi mon angoisse de voir l’annonce suivante : « Homme 52 ans cherche pute de chantier » Très excité, je répondais à cette annonce par un mail et reçu une réponse dans la foulée, me proposant de me rendre sur un parking de rencontres réputé de ma région afin de « tester la Marchandise » Après avoir pris soin de discuter un peu et de vérifier qu’il ne s’agissait pas d’un guet-apens, je décidais de me rendre au RV fixé.
Une seule voiture était stationnée à l’endroit convenu. Je descendais de mon véhicule et passait à proximité de ce véhicule, dont la vitre avant était ouverte. A l’intérieur, un homme plutôt bedonnant, avec une légère calvitie, une forte odeur de sueur et un air plutôt autoritaire me fit signe et me demanda si j’étais celui qu’il attendait.
Hochant positivement de la tête, il descendit de son véhicule et me fit signe aussitôt de le suivre dans le petit bois attenant au parking. Je m’exécutais et suivit cet homme plutôt repoussant à bien le regarder, dans les fourrés … Il s’arrêta net et se retourna, m’ordonna de me mettre à genoux et descendit sa braguette. Il sortit son sexe et le secoua devant mon nez : celui était très large et assez long et le prépuce qui recouvrait son gland laissait supposer que celui-ci était très gros, ce qui fût le cas lorsqu’il décalotta. Sans autre forme de procès ni dialogue il se cala contre un arbre, pissa longuement en un long jet continu et fourni puis me dit :
- Maintenant tu suces ma bite espèce de petite pute et applique toi bien !
J’aime lorsque le mâle prend les commandes et me force à obéir, aussi, perdant tous mes moyens devant cet espèce de porc qui me repoussait et m’attirait en même temps, j’obéissais et gobait ce gland énorme qui m’emplissait toute la bouche. Un goût acre d’urine se faisait sentir sur le bout de ma langue mais je ne plus reculer et décidai donc d’exécuter consciencieusement une fellation en m’appliquant le plus possible. Visiblement celle-ci eu de l’effet car l’homme grognait de plaisir et me caressait les cheveux, tout en commentant la raison de sa présence ici.
- Je cherche une salope dans ton genre, bonne à sucer des bites, qui aimerait soulager une équipe d’ouvriers qui travaillent sur un chantier à quelques kilomètres d’ici, en vue de la construction d’une nouvelle autoroute. Ces mecs ne rentrent pas chez eux pendant plusieurs mois et ils ont besoin de se soulager régulièrement. Ils m’ont donc demandé de leur trouver un cul et une bouche, peu importe qu’il soit fille ou garçon … ça te brancherait de me servir de vide –couilles ? »
Plutôt excité par l’idée mais tout de même assez inquiet, je lui demandai :
- Qui ils sont et surtout combien sont-ils ?
L’homme me répondit qu’ils étaient une vingtaine environ, de nationalités différentes (blacks, maghrébins principalement et peut être un ou deux chefs de chantier français). Alors que j’avais machinalement interrompu ma fellation pour réfléchir à sa proposition, je reçus une violente claque sur la joue droite qui me sortit de mes pensées
- Ho, la pute, tu n’oublies pas que tu es là pour me sucer, alors maintenant que je suis ton maître, tu me fais tes excuses, tu me suces et tu réfléchiras après !!
Bien qu’interloqué par cette gifle qui me fit vaciller mais craignant d’en recevoir une nouvelle, je lui répondis « excusez-moi de m’être arrêté Maître … » et me dépêchais de reprendre son sexe en bouche qui avait ramolli mais qui repris vite de la vigueur sous mes coups de langue répétés
Je dus le sucer pendant au moins une vingtaine de minutes, mes mâchoires me faisaient mal car son sexe était vraiment très large et très gros (21X9)
Au terme de cette pipe intensive mais excitante, je sentis son sexe sursauter, se tendre davantage, et alors qu’il poussa un grand râle proche du grognement d’un véritable porc, je reçus 4 ou 5 grands jets très crémeux et très abondants de sperme se déverser dans ma bouche. Alors que je voulais me retirer pour tout recracher, ne m’attendant pas du tout à cela, l’homme me saisissant la nuque enfonça un peu plus ma tête contre son pubis, ne me laissant pas d’autre choix que d’avaler sa semence. Des filets de sperme se mirent à dégouliner à la commissure de mes lèvres lorsqu’il se retira, satisfait de me voir à ses genoux, pantelant, obéissant et soumis à tous ses désirs.
Le sourire carnassier et le dédain qu’il affichait à mon égard en disait long sur ce qu’il voulait faire de moi, et je me dégoutais de me voir impuissant à lui résister …
- Ah oui, je ne te l’ai pas dit, mais là-bas aussi il faudra avaler, ça fait partie du deal … Il faudra te faire enculer aussi, mais ça tu t’en doutes n’est-ce pas ? N’EST-CE PAS ?? » …
- Oui Maître, je ferais tout ce que vous voulez …/… »
- Tu feras une très bonne putain, crois-moi, si tu m’obéis et fais ce que je te dis, tu connaitras des kilomètres de bite, et tu deviendras ma grosse gagneuse » …
Il se rhabilla, sortit une carte de visite où figurait seulement un numéro de téléphone portable qu’il me jeta au visage et me dit « Quand tu seras prête, appelles ce numéro …/… »
Il repartit vers sa voiture, démarra, et disparut dans la circulation. Je sortais un mouchoir en papier, m’essuyait le visage maculé de sperme, me relevait et repartait chez moi où je pus me masturber avant de cracher très vite et très fort. J’étais excité au possible mais je savais aussi ce qui m’attendait : j’étais désormais sous la coupe de cet homme.
Je tournai et retournai cette carte de visite dans mes mains. Cela faisait plusieurs jours que j’hésitais à rappeler cet homme qui m’avait violenté la bouche avec son énorme sexe et qui m’avait soumis à ses désirs : devenir une bonne gagneuse en faisant la pute sur des chantiers de la région ! Tout de même, j’avais ma fierté, pour qui me prenait-il ? Mais dans le même temps, n’avais-je pas dévoilé ma vraie nature en acceptant de m’agenouiller devant lui et lui prodiguer une fellation tandis qu’il me mettait plus bas que terre ? Trop excité par cette dernière perspective, je composais le numéro de portable inscrit sur la carte … Deux sonneries plus tard, j’entendais un très sec
- Ouais ?! Reconnaissant instantanément sa voix je dis
- Bon … bonjour, je … je suis celui qui vous a rejoint sur le parking mardi dernier …/… »
- Ah c’est toi la petite pute qui veut faire les chantiers ? tu en as mis du temps à te décider . Alors donnes-moi ta réponse, je n’ai pas de temps à perdre avec des salopes dans ton genre
- Alors j’accepterais tout ce que vous voulez à condition que … »
Il me coupa sèchement la parole :
- Tu n’as aucune condition à fixer, tu acceptes tout et tu la fermes ou tu raccroches ce téléphone c’est clair ?? »
- … Euh …. Oui c’est clair …. »
- Oui qui ?? »
Me souvenant de ses dernières injonctions lors de ma pipe je répondis docilement
- Oui Maître »
- J’aime mieux ça ! Ca tombe bien nous sommes Samedi après-midi, il fait très chaud, et les gars se reposent dans les cabanes de chantier … Rejoins moi à l’adresse que je vais t’envoyer par texto, je vais te préparer pour ce soir et toute la journée de demain, allez à toute’ ! »
Il venait de raccrocher le téléphone, qui se mit instantanément à vibrer : je venais de recevoir l’adresse en question ! Me préparer ? Que voulait-il dire par là ? Prenant soin de griffonner l’adresse sur un bout de papier que je laissais en évidence sur la table de la cuisine au cas où, je me rendis au rendez-vous fixé. A mon arrivée sur les lieux, une porte entrouverte m’indiquait l’entrée.
Je pénétrai dans le local qui était sinistre, très grand et pratiquement vide. L’homme se tenait là, debout, bras croisés et me réserva un accueil tout aussi froid que lors de notre première rencontre …
-« Approche ! » me lança t’il en me toisant du regard.
Je me dirigeais vers lui et m’asseyait sur la chaise qu’il me désignait du doigt. Devant cette chaise, un miroir et une commode sur laquelle était posé pèle mêle une brosse, du maquillage, de la lingerie fine et … une perruque !
- Une bonne pute se doit d’être présentable et excitante, nous allons donc te féminiser et te transformer en bonne salope que tu es !
J’étais littéralement effrayé de ce qu’il exigeait de moi à cet instant, car accepter cela revenait à faire tomber tout ce que j’étais, un homme normal, sociable, ayant des amis et tout l’environnement qui va avec ! Alors que je montrais un visage réprobateur, mon tortionnaire me montra la porte du doigt
- Mets cette perruque, ces fringues et ce maquillage tout de suite ou alors tire-toi, là MAINTENANT !! Mais je te préviens, c’est terminé, tu m’oublies, et tu retournes à tes petites escapades de merde. Et puis ta féminisation n’est qu’en rapport avec tes activités sexuelles qui sont prévues pour toi sur le chantier, après tu te rhabilles en mec. Simplement les ouvriers sont plus excités lorsqu’ils voient une pute et ils jouissent plus vite, crois-moi ce sera plus facile pour toi ! »
Ses arguments tenaient la route et j’avais trop avancé dans cette histoire pour reculer si près du but, je décidai donc de prendre ses ordres comme un défi et d’y répondre à chaque fois. Ma « transformation » ne fût pas des plus agréables car mon nouveau Maître était très exigeant, tant sur la présentation que sur la démarche.
C’est donc maquillé en putain des bas quartiers et habillé en salope aguichante que je me présentais à lui, qui ne manifestait pas la moindre attention gentille à mon égard. Il me dévisagea de haut en bas, et défaisant sa ceinture, il m’ordonna de me tourner, de baisser mon string et de me pencher sur la commode qui se trouvait là.
Je compris tout de suite de quoi il s’agissait, Monsieur allait se soulager dans le cul brûlant que je lui offrais. C’était sans compter sur son sens autoritaire car avant de subir son assaut, je sentis une brûlure consécutive à un claquement sec. Monsieur venait de m’infliger un violent coup de ceinture sur les fesses !
- Tu vas m’obéir maintenant, tu as compris ? » me souffla t’il à l’oreille …
- Oui Maître ! »
- Mes ouvriers sont exigeants et ne veulent pas être déçus, tu devras donc assouvir tous leurs désirs, sans jamais te plaindre … Tu devras soulager ton nouveau Maître aussi, quand je l’exigerais ! »
- O … oui Maître ! »
Je sentis alors son énorme bâton de chair se frotter contre mon anus, avant qu’il ne s’enfonce sèchement et sans préparation au fond de mes entrailles. Il me laboura en me tenant par les hanches, tout en me claquant régulièrement les fesses qui commençaient à rougir. Il grognait et m’insultait en même temps, me traitant de tous les noms, ce qui me rabaissait encore un peu plus.
J’aurais voulu tout stopper et m’enfuir mais je regardais à travers le miroir ce bourreau qui me labourait le ventre, et je ne pouvais m’empêcher d’aimer la salope que j’étais.
Il se retira d’un coup, me saisit la tête et me retourna. J’eus à peine le temps de m’agenouiller devant lui qu’il déversa une énorme quantité de sperme dans ma bouche, que je dus avaler. Je finis de le nettoyer avec ma langue, avant de lui remonter son slip et pantalon, que je pris soin de reboutonner. Il me tendit un tube de rouge à lèvres :
- Repasses toi un coup sur les lèvres et suis moi ! »
Nous sommes montés dans sa voiture et alors que je lui demandais où nous allions, il me regarda sans répondre avec un sourire inquisiteur. Je compris alors que nous nous dirigions vers le chantier.
Je finissais à peine de retracer le contour de mes lèvres avec le tube rouge vif que m'avait donné mon Maître dans la voiture, que celle-ci bifurqua sur la droite pour emprunter un chemin de terre. Nous avons roulé plusieurs minutes avant d'arriver dans une immense carrière où fourmillait plusieurs tractopelles qui chargeaient les camions de la terre qu'ils creusaient pour la construction de la nouvelle autoroute.
Mais ce qui captait mon attention, c'étaient les baraquements poussiéreux & sales qui jouxtaient le chantier. Je devinais qu'à l'intérieur de ces mobil-homes se trouvaient ceux qui abuseraient à volonté de mon cul et de ma bouche et cette perspective m'excitait autant qu'elle me faisait frissonner de peur.
Le véhicule stoppa net, mon Maitre en fît le tour et ouvrant ma portière, me saisit violemment le bras et me fit sortir, pour me trainer vers le chantier. Mes chaussures à talons hauts ripaient sur les gros cailloux et je manquais à chaque fois de me tordre la cheville. J'étais accoutrée comme une catin, avec mes bas résilles grossiers et ma mini-jupe qui m'arrivait à ras du cul ... Ma démarche mal assurée faisaient naitre de nombreux sourires et sifflements de la part des ouvriers qui s'arrêtaient progressivement de travailler pour m'observer, tels des prédateurs prêts à fondre sur leur proie...
Nous nous arrêtâmes devant un grand colosse d'au moins 1m90, qui portait un casque blanc, en tee-shirt Marcel, et qui avait un gros ceinturon avec une énorme boucle en fer autour de la taille. Il mastiquait un bâton de réglisse et cracha parterre, avant de lancer, sans même me regarder :
- C'est la pute que nous amènes pour ce WE ?"
- Oui c'est elle, répondit mon Maitre, c'est un mec mais je l'ai testé, elle encaisse bien les bites et c'est une très bonne suceuse, en plus elle avale tout, vous ne serez pas déçu les gars !"
- Ok, répondit le colosse, voilà ton fric ...
Je vis que mon Maitre récupéra avec un sourire une grosse enveloppe Kraft, qui selon l'épaisseur, devait contenir beaucoup d'argent. Ce salaud, ce porc qui avait pourtant fait de moi sa putain, venait de me vendre à des ouvriers sales et puants la transpiration, pour quelques billets !
Mais je n'eus pas le temps de protester, le colosse me saisit à son tour le bras et me traina vers l'une des baraques. Arrivé sur place, il ouvrit la porte et me jeta sur un espèce de vieux lit rouillé et grinçant, avec un matelas couverts d'auréoles jaunes de ce que l'on pouvait aisément deviner être de l'urine. Cela sentait mauvais sans parler de la poussière qui régnait dans la pièce ...
- Je suis Reynald, le Chef de chantier, c'est ici que tu soulageras mes mecs ! Si tu veux faire tes besoins, tu as un pot sous le lit à ta disposition ... Tu resteras ici pour ce soir et demain dimanche, les mecs passeront chacun leur tour, à la suite, selon leurs envies ... Je te conseille de bien les satisfaire, car je ne tiens pas à être déçu vu le prix que tu nous a coûté, et cela m'évitera de te faire goûter à ça !"
Il me montra de son gros index la boucle de son ceinturon. Il fit volte-face et sortit de la baraque avant de refermer la porte et de disparaître dans la poussière. J'entendais au loin le bruit des moteurs des machines, et fit le tour du propriétaire des yeux. Il n'y avait rien, sinon ce vieux lit, et un évier sale avec au-dessus un miroir cassé.
Il a du se passer une ou deux heures avant que la porte ne se rouvrit. Dans l'encadrement, je vis un maghrébin assez vieux, de petite corpulence avec une moustache, qui sans émettre le moindre mot, se rapprocha de ma couche. Il défit sa ceinture, baissa son pantalon puis son slip, et me présenta directement sous le nez un membre de bonne taille bien que flasque, dont l'odeur était très forte. D'épais poils noirs cachaient ses couilles pendantes mais pleines, et je compris ce qu'il attendait de moi.
Je pris timidement le membre dans ma main droite, et mit un coup de langue sur le gland semi décalotté. Cette caresse eût immédiatement pour effet de faire gonfler cette bite qui prit une toute autre dimension. Une goutte perla, et c'est en le regardant droit dans les yeux que je l'avalais avant de le prendre entièrement en bouche. L'homme soupira et mit une main sur ma nuque pour imprimer le rythme avec lequel il voulait être sucé. Le membre gonfla encore dans ma bouche, il était maintenant très épais et très gros. Il fit plusieurs allers-retours comme s'il était dans mon cul quand soudain il s'arrêta net. Je sentis le membre se raidir et d'un coup, un liquide chaud et visqueux m'envahit le palais. Il venait de décharger une grosse quantité de foutre dans ma bouche et restait ainsi, immobile, me regardant avec un mépris à peine dissimulé. Je ne pouvais me retirer car il me maintenait toujours la tête contre son pubis. Résigné, j'avalais le liquide acre, très désagréable au goût, et alors qu'il se retirait enfin, je tendis ma langue pour lui montrer que j'avais bien obéi et tout avalé.
Un bruit me fit pencher la tête sur le côté. Derrière lui, se tenait un grand black, qui se masturbait lentement en attendant son tour. Je ne l'avais pas entendu entrer et je fus surpris de sa présence. Mais ce qui me surpris encore plus, ce fut son membre absolument énorme, digne des plus grands films de cul. Je ne savais même pas qu'un tel membre pouvait exister, et je fus pris de panique lorsqu'il s'approcha, tapant dans la main du maghrébin qui venait de se rhabiller et qui disparut sans avoir prononcé le moindre mot ...
Lui aussi se mit face à moi et me lança, goguenard :
- Allez, suce mon gros bâton noir et après si tu es bien sage, je te la mettrais dans le cul !"
Cette perspective ne m'enchantait guère, mais je décidai de commencer ma fellation, peut être arriverais-je à le faire venir vite et à éviter la sodomie qui s'annonçait douloureuse ...
Je pris le gros gland rose entre mes lèvres et le tétai comme un biberon, tout en fermant les yeux. Il s'enfonça de lui-même dans ma bouche jusqu'en fond de gorge, ce qui manqua de m'étouffer. Je ressortis rapidement ma bouche et suffoquai, alors que des larmes m'étaient montées aux yeux ...
- Tu es une petite nature dis moi, tu sais, tu vas en sucer des bites comme la mienne ici, alors autant t'y faire ma belle ..." et de me faire ravaler sa bite au plus profond.
Je le suçai avidement, manquant de vomir à chaque mouvement de son bassin, quand il se retira. Il me saisit par les épaules et me releva d'une traite :
- Allez, tournes toi un peu pour voir ...
Je me tournai, tremblant de peur qu'il ne me déchire en me pénétrant. Il me caressa les fesses de ses longues mains, à travers le bas résilles et commença à me fesser de plus en plus fort ...
- Tu préfères la fessée ou la bite ? Hein ? ... Allez, mets-toi en levrette, baisse ton collant et ton string, et ouvre moi tes fesses !"
J'obéis à ses ordres et présenta mon cul relevé, tête enfoncée dans le coussin puant qui se trouvait là, et écarta mes fesses le plus possible à l'aide de mes mains dont les faux ongles peints en rouge excitaient encore plus mon étalon
Il cracha dans ma raie avant de promener longuement son gland pour étaler sa salive. Puis il fit rentrer doucement sa bite jusqu’à la base du prépuce et attendit un moment. Nous n'en étions qu'au gland et déjà ma rondelle me brulait terriblement. Mais mon bourreau n'en eût cure et me pénétra encore un peu plus, m'arrachant au passage un cri étouffé par le coussin ...
Il rentra d'un coup profondément dans mon cul, j'eus alors la sensation que mes deux globes se séparaient tellement sa bite était grosse, et il se mit à me limer frénétiquement, alors que je couinais comme une jeune salope qu'on venait de dépuceler !
Son sexe noir luisait de ma cyprine et de sa salive, et c'est seulement au bout de quelques minutes que je ressentis une douce chaleur me transcender. La douleur avait fait place au plaisir et mon ouvrier le sentais bien, car je bougeais maintenant mon cul en rythme avec ses assauts répétés, tandis qu'il me tenait fermement les hanches. Il ahanait, me jetant régulièrement toutes sortes d'insultes à la figure, telles que :
- C'est bon hein ma petite pute, tu aimes ça la bite de black, tu es une femme à black hein ? Dis le que tu es une femme à black ?"
- Oui je ... suffoquais-je ... oui je suis une femme à black, je suis votre pute Monsieur et je ferais tout ce que vous voudrez ..."
Il continua de me pilonner quand soudain, s'arrachant de mon cul, il me fit mettre à genoux et se branla très vite avant de m'inonder le visage de plusieurs jets puissants ! Son sperme était blanc, très concentré et très gluant ... Je haletai, et il m'ordonna :
- Nettoie ton visage avec tes mains et ta langue ..."
Je dus recueillir le sperme dans mes doigts avant de les sucer et d'avaler sa semence. Cette opération me prit un peu de temps car j'en avais vraiment partout jusque dans les cheveux. Monsieur était très fertile et avait dû emmagasiner des jours et des jours de sperme sans baiser Je venais donc de le vidanger comme se doit de le faire une bonne prostituée. Il me sourit, en me promettant de revenir, mais la phrase qu'il me lança qui me fit tressaillir :
- Quand je vais dire ça à Mamadou et à Ahmed, ils vont rappliquer vite ici je pense ah ah ah
J'étais couvert de sperme séché, dans les yeux, dans les cheveux, sur les joues, j'avais vraiment honte de moi et en même temps j'étais tellement soumise
Les larmes qui m'étaient montées aux yeux durant le fond de gorge avaient fait couler le rimmel que je m'étais appliqué, et mon rouge à lèvres avait disparu. On aurait dit l'une de ces putains qui sortait d'un bordel glauque et qui s'était faite tirer toute la nuit par tous les gravas de la ville.
Je dus donc refaire une toilette rapide avant l'arrivée de mes prochains "clients" ... Tandis que je remettais du rouge à lèvres, perdu dans mes pensées, je ne fis pas attention au soir qui tombait ni aux voix qui soudain, me tiraient de ma torpeur : Ahmed et Mamadou venaient d'entrer dans la baraque ...
A l'arrivée de Mamadou et Ahmed, je m'empressais de regagner ma couche pour les accueillir comme il se doit et comme l'avait exigé un peu plus tôt Reynald, le Chef de chantier, c'est à dire la bouche et mon cul à leur entière disposition.
Mamadou était un grand black souriant, plutôt fin avec un tee shirt blanc immaculé et un jean délavé dont un bout de ceinture pendait devant ses attributs que le jean moulant laissait deviner très gros. Ahmed quand à lui était pour le moins répugnant. Il sentait très mauvais alors qu'il était à distance et il ne donnait vraiment pas envie, il était mal rasé, bouffi, avec un ventre qui lui retombait sur les hhanches ... Ahmed n'avait rien pour lui à priori !
- C'est à notre tour petite salope, tu vas bien nous vidanger maintenant !"
C'est en annonçant la couleur qu'Ahmed le premier s'avança vers moi. Il se retourna, parla en arabe au grand black qui sourit davantage et me regardant à nouveau il aboya
- ALORS QU'EST CE QUE TU ATTENDS ESPECE DE CHIENNE !!
Ahmed me saisit les cheveux et me colla le nez dans son sexe, que je sentais soudain durcir à travers son pantalon maculé de graisse. Son ventre sentant fort la transpiration me tombait sur le front
Je m'empressai de le déboutonner et de descendre son fût, avant de m'emparer de l'élastique de son slip que je fis coulisser vers le bas. Une bite courte mais très épaisse surgit alors de son carcan de textile et se balança devant mon nez ...
Mon Dieu cette odeur ! Une horrible odeur d'urine m'emplit les narines, Ahmed venait juste de se soulager contre ma baraque et il ne s'était visiblement pas essuyé le sexe avant de le ranger, en témoignait cette auréole que j'avais bien cru apercevoir sur son slip que j'avais baissé auparavant. Je dus entourer son gland amer et salé de son urine avec mes lèvres pour opérer un nettoyage complet de sa bite, ce qui fut délicieux pour lui, horrible pour moi.
Pendant ce temps, le grand black s'était approché et me caressait les fesses, tout en les malaxant fermement. Il sortit lui aussi sa bite qui contrairement à Ahmed, sentait bon. Elle était très longue et de taille moyenne, avec un gland très rose qui jurait avec sa tige noire ébène. Il se fraya un passage dans ma bouche alors que je suçait maintenant Ahmed, et je me retrouvai avec deux bites à sucer en même temps. Les glands se touchaient entre eux, leurs bites s'entremêlaient et mes mâchoires me faisaient souffrir tellement j'étais contraint de les ouvrir pour les prendre en bouche. Je finis par les sucer consécutivement, passant de l'une à l'autre bite tout en les branlant. Le black se retira au bout de 10 bonnes minutes et m'enjoint à me positionner en levrette.
Tandis que je reprends la bite d'Ahmed en bouche, je sens un liquide visqueux se répandre dans ma raie. Le black venait de cracher et étalait sa salive pour se préparer à entrer dans mon cul. Ce qu'il fit progressivement, avec à mon grand étonnement beaucoup de douceur. En revanche sa bite était très longue et je sentis chaque centimètre me perforer littéralement l'anus et venir taper contre ma prostate. S'ensuivit alors un rythme effréné, durant lequel Mamadou me poussait à chaque coup de bite, ce qui me faisait avancer et me forçait à avaler profondément la bite d'Ahmed qui était posté devant moi, et qui débitait tout un tas d'insultes en arabe à mon égard.
Le grand black transpirait et ne souriait plus du tout, il me pilonnait violemment tout en me claquant fort les fesses. Ahmed l'encourageait à me fesser tout en me tenant par les deux oreilles, et il s'évertuait à se servir de ma bouche comme d'un vulgaire vide-couilles, ce que d'ailleurs j'étais devenu, ni plus ni moins. Les deux ouvriers avaient l'air de prendre leur pied, tandis que je commençais à couiner et à manquer d'air ...
Ahmed se retira soudain, se branla frénétiquement et dans un râle, m'aspergea d'un sperme très épais et acre, qui vint m'éclabousser les yeux et les joues. Alors que ma bouche pendait de fatigue, il s'introduisit à l'intérieur pour se finir, décalottant bien son gland pour que j'en nettoie tout le contour ...
Mamadou lui, fut pris de spasme voyant comment Ahmed m'avait traité, et je sentis alors sa bite se raidir d'un coup, avant d'être inondé d'un liquide chaud. Mamadou se retira et je sentis son sperme dégouliner de mon anus. Il venait de me féconder. Lui aussi présenta sa bite devant ma bouche, je compris que je dus également le nettoyer. Je sentais dans mon palais un léger goût d'excrément, qui était le mien mais aussi le goût du sperme du black qui m'était passé dessus deux heures avant l'arrivée des deux ouvriers ...
Mamadou avait du aller profond dans mon cul !
Je finissais de nettoyer les deux bites avec ma bouche, à genoux et soumis comme le réclamait mes bourreaux quand soudain, je mis malencontreusement un coup de dents sur le gland d'Ahmed. Celui-ci cria et se retira brutalement. Il regarda son gland rougit par la morsure, devint lui aussi rouge de colère et se mit à vociférer des mots en arabe que je devinais peu complaisants à mon égard avant de me gifler violemment et de me dire en français :
- Je vais aller chercher Reynald, ça va pas se passer comme ça, tu dois être punie Femme !!
Il se rhabilla et sortit précipitamment de la pièce. le grand black devait avoir peur de Reynald car lui aussi se rhabilla et partit sans demander son reste.
Je restais interloqué et désolé de cet incident, mais quelque chose me disait que ça n'allait pas bien se passer. Cinq minutes plus tard, mon sentiment me donnait raison : Reynald entra dans la pièce, son bâton de réglisse à la bouche, un regard noir lancé dans ma direction, et alors qu'il restait immobile, le regard très dur, je le voyais caresser dangereusement la boucle de son ceinturon ...
- Alors la pute, il paraît qu'on ne sait plus sucer ? ... Je t'avais prévenu, je n'aime pas qu'on m'emmerde ... Je vais t'apprendre les bonnes manières, je crois que tu n'as pas bien compris comment ça Marche ici
Il défit sa grosse ceinture, mais garda son pantalon, je savais à ce moment-là que j'allais connaitre un peu plus ce qu'était la totale soumission à un homme qui vous dirige et dont vous êtes devenu sa femme.
Pas de suite....