Quand l'envie nous emmènent à aller
de plus en plus loin, de plus en plus fort,
de plus en plus excitant
SolenL'histoire qui suit est totalement vraie. Les dialogues ne sont pas forcément au mot près, compte tenu que j'écris cette histoire plusieurs semaines après, mais c'est quasiment ça. L'histoire se déroule au mois de juillet 2010.
Je me nomme Erwan, j'ai 34 ans, brun plutôt mince, cadre dans l'informatique. J'ai épousé Solen il y a 1 an environ, après pas loin de 12 ans de vie commune et un enfant de 7 ans. Solen est une très jolie femme ronde, mais qui complexe beaucoup sur ses rondeurs, malgré que celles-ci soient très bien réparties et qu'elles lui donnent un côté sensuel très excitant.
Elle est cadre également, elle a les yeux gris-vert, les cheveux châtains, un très beau sourire, un regard perçant qui fait craquer tous ceux qui le croisent, sa poitrine opulente (95D) est une tentation permanente, son fessier bien charnu et surtout bien rond est une invitation à la débauche, ses cuisses sont à croquer, sa cambrure naturelle et très prononcée ne faisant qu'accentuer la sensualité de ses formes.
Bref, elle fait envie, du moins auprès de tous les amateurs de formes pulpeuses. Mais elle ne s'aime pas, allez comprendre, alors elle passe une bonne partie de sa vie à faire des régimes, avec de plus en plus d'efficacité au fil du temps.
Après plus d'une décennie de vie commune, nous avions franchis le pas du libertinage et de l'échangisme. Nous avions commencé par rencontrer quelques hommes seuls, puis des couples, toujours ensembles évidemment (c'est une règle que nous nous sommes fixés), mais très peu et très occasionnellement, juste pour pimenter un peu notre sexualité et satisfaire les besoins sexuels de plus en plus importants de Solen, avec lesquels je n'étais pas totalement en phase (ma libido étant un peu inférieure à la sienne, vu que je me contentais à l'époque d'un ou deux rapports par semaine alors qu'elle était demandeuse quasiment tous les jours).
C'est également lors de ces rencontres libertines que je me suis essayé à la bisexualité soft (uniquement des fellations), par curiosité surtout, et pour satisfaire un fantasme de fellation. J'ai trouvé cela sympa, j'ai bien aimé sucer, mais sans plus, rien de transcendant, aucune révélation de ce côté là.
Pour la petite histoire, il faut savoir que les premières années de notre vie commune Solen n'avait pas une sexualité très développée jusqu'au jour où la médecine lui a détecté un dérèglement hormonal. Le traitement visant à rétablir ses hormones à un niveau correct fut un déclencheur pour elle, relançant sa libido avec intensité.
En quelques semaines, elle s'était mise à avoir continuellement envie de sexe. Plus son hypersexualité s'affirmait et plus il devenait évident que je ne la satisfaisais pas totalement, que je ne lui suffisait plus. Je ne suis pas non plus un mauvais coup, du moins elle m'a toujours confirmé que j'étais même plutôt bon, car j'ai un sexe de bonne taille et j'ai développé au fil du temps une endurance importante, mais à l'époque je n'avais pas envie de sexe tous les jours, contrairement à elle.
Et puis elle a toujours eu un peu de mal à jouir, à se laisser-aller, à s'abandonner à son plaisir, et je focalisait un peu sur ma capacité à la faire jouir ou pas. Ainsi, elle n'a jamais pu jouir uniquement sous l'effet de ma queue, mais uniquement lorsqu'elle se masturbait en même temps, ou alors avec ma langue (là par contre je parviens à la faire jouir quasiment à chaque fois).
Plus elle réclamait, et plus je craignais de ne plus être à la hauteur de ses attentes, jusqu'à développer durant un temps un complexe de performance qui me poussait à rejeter ses avances de plus en plus souvent (et à laisser se faire plaisir seule avec sa main et ses jouets) afin de ne pas risquer de me retrouver en situation d'échec par rapport à ma capacité à la faire jouir.
C'est en fréquentant les sites libertins que j'ai découvert le terme de candaulisme, et tout ce qui s'y rapportait. Au départ, j'étais un peu bloqué avec ce concept. Je ressentais bien du plaisir à la voir baiser avec d'autres hommes durant nos rencontres libertines (sans pour autant que cela ne me fasse bander plus facilement ou plus dur), mais j'étais toujours présent, toujours participant, et toujours dominant et directif.
Hors, je découvrais sur Internet que le candaulisme était quand même très souvent (pour ne pas dire quasiment tout le temps) assimilé à un plaisir masochiste de soumission de la part du mari, et que ce dernier ne maîtrisait jamais vraiment la situation. Le terme même de cocu m'horripilait, je le trouvais dégradant et irrespectueux.
Il faut savoir que j'ai toujours eu des rapports plutôt dominant envers Solen. Dans la vie aussi, j'ai tendance à dominer, à tout gérer, à tout maîtriser. Je suis un peu paranoïaque, j'ai l'obsession du contrôle, je cherche toujours à tout prévoir, tout encadrer, et dominer tout le monde. Au lit, je suis assez directif, parfois même bestial, voire un peu brutal lorsque nous sommes bien excités tous les deux. Et j'utilise beaucoup de mots crus à son égard, ce qui la fait décoller.
Mais j'ai toujours été également très excité lorsqu'elle se comportait en salope. Presque tous les hommes fantasment sur le fait de coucher avec une salope, bien cochonne, sans tabou ni retenue, mais peu sont capable de l'assumer au point de vivre à plein temps avec l'une d'elles et de lui permettre de le rester, compte tenu qu'une vraie salope aura souvent tendance à séduire tous les hommes qu'elle croise, par nature, puisqu'elle a fait sauter la plupart des barrières encadrant sa sexualité.
Moi, j'adorais l'idée d'avoir une salope à la maison, dans mon lit, tous les soirs. Alors j'avais tendance à la pousser à se dévergonder, à pratiquer le jeu de la séduction avec son entourage et à me raconter, en espérant que ça l'aide à prendre confiance en elle et qu'elle assume de plus en plus la salope que j'avais détecté en elle. Avec moi, évidemment, et au travers du libertinage. Mais j'insistais sur le fait qu'elle ne devait pas aller plus loin que le simple jeu de séduction avec n'importe qui d'autre, pour préserver notre couple.
Mais peu à peu l'idée a fait son chemin... Je suis d'un naturel très curieux, très joueur, j'aime le sexe, j'aime ma femme, j'aime qu'elle aime le sexe... J'ai lu de plus en plus d'histoires candaulistes... Et un jour je me suis retrouvé avec le fantasme qu'elle me trompe ! Mais dans mon obsession du contrôle, je voulais garder la maîtrise de ce fantasme et de son éventuelle réalisation. J'ai donc décidé de tenter quelque chose.
J'ai parlé un peu plus souvent du candaulisme à mon épouse. Je lui ai même raconté quelques histoires candaulistes. Quand on faisait l'amour, je lui parlais de plus en plus souvent du fait que j'aurai aimé que d'autres hommes soient là, pour qu'elle se visualise dans les bras d'un autre. Je l'ai poussé à pratiquer le jeu de la séduction avec ses amis masculins, pour qu'elle voit le désir qu'elle était capable de susciter chez les hommes, elle qui a toujours douté de ses capacités à plaire (notamment en raison de ses rondeurs), en lui expliquant que je suis très flatté et très fier à chaque fois que j'apprends qu'un autre homme la désire, sans ressentir de jalousie puisque j'ai une totale confiance en son amour pour moi. Tout cela était vrai, bien entendu, et m'excitait beaucoup.
Puis, quand j'ai senti Solen intéressée, tentée, je lui ai écrit un certain nombre de règles, que je lui ai envoyé par mail, pour gérer les nouvelles limites de notre sexualité et lui permettre davantage de latitude, tout en s'assurant de ne pas me faire souffrir et donc de préserver notre couple. Ces règles étaient finalement très contraignantes et brisaient le charme de la spontanéité. De plus, elles imposaient que tout soit planifié et ne laissaient que peu de place à l'imprévu. Mais je me sentais rassuré et capable ainsi de mettre un pied dans le monde du candaulisme sans risquer de m'y perdre. Elle a accepté ces règles et a décidé de jouer le jeu, mais à son rythme.
Il m'a semblé ensuite que tout cela serait finalement bien trop compliqué à mettre en place, et je commençais à me résigner à ne pas vivre d'expérience candauliste avant un bon bout de temps, d'autant que mon épouse me confirmait l'impossibilité pour elle de se consacrer à une rencontre avec un autre homme.
Un soir, tard, alors que j'étais seul devant mon ordinateur, ma femme dormant depuis longtemps et notre enfant en colonie de vacances pour plusieurs semaines, il m'est arrivé de me masturber sur un site de tchat en dialoguant avec un homme très directif qui se proposait de me faire cocu et qui ne manquait pas de m'humilier au passage !
Je me suis alors découvert un côté masochiste, moi qui avait développé au contraire au fil des années un fort penchant pour le sadisme sexuel. Cette expérience me troubla fortement, je ne savais plus très bien de quelle manière je voulais vivre cette expérience, je ne savais plus faire la différence entre le fantasme et l'envie, mais je suis resté motivé pour continuer de pousser mon épouse à me faire vivre une aventure candauliste.
Cependant, j'étais si troublé et si excité d'avoir joui dans un fantasme masochiste que je parti dans toutes les directions, sans trop savoir ce que je voulais vraiment, j'ai donc réécrit les règles en octroyant plus de liberté à Solen et lui demandant de me faire mal, etc.
Ce qui la déstabilisa à son tour. Ce changement n'avait rien de rassurant pour elle, car il sautait aux yeux que je n'étais pas dans mon état normal, aveuglé par l'excitation qui m'assaillait. Du coup, elle ne savait plus ce que j'étais réellement capable d'encaisser, une fois le fantasme réalisé. Moi non plus d'ailleurs. On en parla, en essayant de se projeter dans la concrétisation de tout cela, et je finis par redescendre un peu sur terre. J'ai eu honte de ma pulsion masochiste et de mon fantasme d'humiliation, bien qu'elle ne cessa jamais de me rassurer.
Le lendemain de cette discussion, j'ai eu beaucoup de mal à me concentrer au travail. J'avais besoin de faire le point sur mes envies, et surtout ce que j'étais capable de réaliser et sur ce qui devait absolument rester de l'ordre du fantasme.
J'ai échangé quelques SMS avec ma chérie, afin de partager avec elle mes inquiétudes, mes interrogations, en espérant que sa sagesse m'aiderait à trouver des réponses. J'étais un peu déçu car elle manquait beaucoup de réactivité, elle ne me répondait pas rapidement, et l'attente me minait.
Je ne le savais pas à ce moment là, mais si elle était peu disponible pour moi ce n'était pas à cause de son travail, c'était parce qu'elle avait été contacté le matin-même par un jeune libertin que nous avions déjà rencontré ensemble, et qu'ils n'ont pas arrêter de se chauffer toute la journée, en s'envoyant des messages coquins et des photos de leurs sexes respectifs (que je découvrirai bien plus tard dans son téléphone mobile).
Le soir venu, je lui annonçait que j'allais rentrer tard, que je n'avais pas envie de me retrouver devant elle alors que je n'étais pas encore parvenu à chasser le sentiment de honte qui m'assaillait depuis notre conversation de la veille. Elle ne fit rien pour me rassurer, cette fois. Elle semblait juste comprendre mon besoin d'attendre encore un peu avant de rentrer.
Je finis tout de même par rentrer, et je la prévins de mon départ en lui envoyant un dernier SMS. Elle savait dès lors que 20 minutes après je serais à la maison.
En arrivant, j'ai rentré la voiture au garage puis je me suis dirigé vers la porte d'entrée. J'ai tourné la clé dans la serrure, ouvert la porte, je suis entré, j'ai refermé derrière moi. Apparemment j'étais seul, car le salon était vide. Je me suis alors dis que Solen devait être en retard également. Je retire mon chaussures et mon manteau, j'entre dans le salon, tranquillement, je dépose mon sac près de l'escalier qui mène à l'étage où se trouve les chambres.
Tout à coup, un bruit m'interpelle. "Han""han" On dirait des gémissements... Je reste interloqué, immobile. Les gémissements, car il s'agit bien de ça, continue. Ma parole, mais ça semble provenir de chez moi ! Les bruits viennent de l'étage, et je finis même par reconnaître le timbre de voix de mon épouse.
Je parviens alors à bouger, et je monte l'escalier tout doucement, le coeur battant la chamade. Je me dis "Non, ce n'est pas possible, elle ne l'a pas fait, ce n'est pas possible..." Je ne parviens pas à y croire, et pourtant les gémissements qui continuent ne laissent aucun doute sur leur provenance : ils viennent de notre chambre à coucher et il s'agit clairement de bruits sexuels.
L'étage est plongé dans le noir, tous les volets ont été fermé. La porte de notre chambre est entrouverte, une très pâle lueur s'en échappe, vacillant par moment : apparemment elle a juste allumé des bougies. Je les entends.
- Oh ouiii !! Baise-moi bien !!
- Humm c'est bon... Il est trop bon ton cul !!"
Et toujours ses gémissements à elle qui ponctuent leurs phrases. "Han""Han"
Je ne parviens pas à reconnaître avec certitude la voix de l'homme, bien qu'elle me rappelle un libertin que nous connaissons (et pour cause !).
J'approche silencieusement, quasiment en état de choc, et je regarde par l'entrebâillement de la porte. Ils sont sur le lit conjugal, dos à moi, légèrement en biais. Elle est en bas et jupe, je ne distingue pas bien ce qu'elle porte en haut (l'éclairage est vraiment faible). Elle est couchée sur le ventre, les genoux un peu replié, le cul bien tendu vers le haut.
Lui est entièrement nu, couché sur elle, en appuie sur ses avant-bras. Il est en train d'aller et venir en elle. Je ne sais pas s'il est dans son sexe ou dans son cul, mais il la prend avec vigueur.
- Je suis une salope... J'aime me faire défoncer !!"
- Qu'est-ce que t'es bonne !"
Ils halètent. Elle gémit de plaisir. Sans moi. Elle s'envoie en l'air avec un mec, sans m'avoir demandé mon avis, sans m'en avoir parlé. Elle se donne à un autre que moi. Elle s'est choisi une queue pour la baiser, et ce n'est pas la mienne. Et elle a voulu que ça se passe sans moi. Sans mon accord. Dans mon dos. Elle est en train de me tromper, la salope...
J'ai alors fait la seule chose raisonnable et pas trop conne que je pouvais faire : j'ai sorti mon sexe de mon pantalon et je me suis masturbé, en continuant de les regarder aussi discrètement que possible.
- Vas-y, plus fort ! Vas-y bien à fond !! Plus fort !!"
- Attends tu vas me faire cracher là, doucement..."
- Tu disais pas ça tout à l'heure que t'étais dans ma bouche ! Défonce-moi fort ! Je suis une salope... han... han... J'aime ça... Encore... Encore... Plus fort... J'aime me prendre une bonne queue... Je suis faîte pour ça... han... han..."
Je l'ai rarement entendu aussi loquace et aussi salace que ça, bien que je le lui ai demandé assez souvent. L'homme n'a pas résisté longtemps à tous ces mots crus, et rapidement il s'est mis à crier en la pilonnant encore plus violemment, parcouru de spasmes pendant qu'il jouissait en elle.
J'étais vraiment très excité. J'ai senti qu'il y avait un risque pour qu'il sorte et aille vers la salle de bain, je me suis donc éclipsé et je suis redescendu au rez-de-chaussée. Je me suis dirigé vers la cuisine et je me suis mis à la ranger, machinalement, ne sachant pas quoi faire d'autre. J'ai hésité à quitter la maison, mais j'ai finalement décidé de rester et de voir qui était l'homme en question.
Ma femme entra alors dans la cuisine, seule. Elle s'était rapidement rhabillée, mais elle dégageait quelque chose d'obscène, avec ses cheveux décoiffés, son sourire en coin, son regard qui reflétait toute la lubricité dont elle était capable, sa démarche de celle qui vient de se faire limer si fort que les jambes en sont encore chancelantes.
Elle était belle. J'ai eu immédiatement envie d'elle, de la baiser à mon tour, je la trouvait trop attirante, totalement irrésistible. Mais je suis resté immobile, attendant de voir ce qu'elle allait me dire, si elle allait tenter de se justifier, de s'excuser, ou encore de me provoquer.
- Tu es là depuis longtemps ?"
- Suffisamment, oui."
Elle se mit alors à sourire, avec un air de satisfaction.
- Ça va ? Ça t'a plu ?"
- Qui c'est ?"
- Ç'est mon amant, c'est tout."
- Est-ce que c'est Fabrice ?" (le prénom du libertin dont il m'avait semblé reconnaître la voix)
- Ça ne te regarde pas, c'est mon amant, point. D'ailleurs on n'a pas fini. Je vais remonter, toi tu vas rester discret et tu pourras continuer de regarder si tu veux."
Elle fit demi-tour et retourna dans la chambre. Je grimpais à nouveau l'escalier, mais cette fois une lumière avait été laissée allumée dans la salle de bain, inondant le couloir de lumière, je ne pouvais donc plus observer sans risquer d'être vu. Je suis resté un moment dans une chambre voisine, à écouter.
Je percevais à peine leurs murmures, mais je compris qu'il lui avait demandé si j'étais là et qu'elle avait répondu oui. Ils ont discuté quelques minutes, de tout et de rien, sans rien de sexuel. Il m'a semblé comprendre qu'il ne redémarrerait pas, au grand damne de ma chérie j'imagine, alors je suis redescendu au salon pour les attendre, assis dans le canapé.
Après quelques minutes d'attente, ils sont descendus tous les deux. Je pu enfin découvrir qu'il s'agissait bien de Fabrice, le libertin auquel j'avais pensé et que nous avions déjà rencontré ensemble lors d'un trio endiablé. J'aime bien ce jeune homme, je le trouve sympa, ça m'a donc rassuré, en quelque sorte.
Fabrice m'a salué, sans aucune gène. Ils ont bu un dernier verre, je les ai accompagné mais je n'osais pas trop participer à leur conversation car je me sentais encore exclu de cette rencontre à laquelle je n'avais pas été convié. Nous avons fini par parler un peu du candaulisme et du souhait que j'avais formulé quelques jours plus tôt de vivre une telle expérience. Il nous dit qu'il adorait participer à nos jeux, puis la conversation pris fin.
Il s'en alla et je fut enfin seul avec ma chérie.
Mon épouse entreprit alors de tout me raconter, non sans m'avoir au préalable assis sur le canapé et avoir retiré mon sexe de mon pantalon pour me masturber et me donner quelques coups de langue en même temps qu'elle me livrait son récit. Elle était pleine d'amour, ce qui me rassura grandement.
Elle me raconta comment Fabrice l'avait contacté par hasard et comment elle avait sauté sur l'occasion pour tenter quelque chose dans le cadre de mon fantasme. Elle m'expliqua qu'elle avait tout fait pour me faire cette surprise, pour que je puisse les surprendre ainsi, en gérant l'horaire, la pénombre dans le couloir, la porte entre-ouverte, et tous ses dialogues crus afin que je puisse bien profiter de ce qui se passait.
Jusqu'à ce qu'elle me trouva dans la cuisine, elle n'était pas sûr que je sois là, mais elle avait baisé en jouant le jeu, au cas où. Au fur et à mesure de son récit, j'étais de plus en plus reconnaissant pour tous ses efforts. Elle avait fait tout ça pour moi, pour m'aider à réaliser ce fantasme dans le cadre des règles que je lui avais posé (chez nous, de manière à ce que je puisse la surprendre, etc.), afin que j'y vois plus clair sur mes envies.
Puis elle se mis à califourchon sur moi, orienta mon sexe bandé avec sa main et s'empala sur mon membre, me donnant ses seins à pétrir et à lécher.
Pendant qu'elle me chevauchait, elle se rapprocha de mon oreille et se mit à me susurrer, tendrement :
- Tu es mon gentil petit mari, mon petit cocu..."
Ces mots me firent l'effet d'une décharge de sensations, j'en tremblait presque. Je relâchais tous mes muscles et m'abandonnais à elle. A ce moment là, elle aurait pu tout me dire, tout me demander, tout me faire promettre... Elle aurait pu aller très loin, m'humilier, me soumettre, j'aurai tout accepter... J'avais déposé les armes, et je savourais mon infortune de mari trompé.
- Mon petit cocu... A partir de maintenant je vais baiser avec qui je veux... Je vais coucher avec d'autres hommes, que je choisirai, sans ton accord... Tu vas être cocu, un gentil petit mari cocu... D'autres vont profiter de mon cul, tu sais que j'en ai besoin... Tu sais que je suis comme ça, j'ai besoin de sexe, c'est tout... Je ne peux pas résister à une queue... Et eux non plus ne peuvent résister, mon corps est une invitation à la débauche, je suis faîte pour ça... Je suis taillée pour le sexe... Et toi tu vas être bien gentil, tu resteras ici à m'attendre bien sagement... Mon gentil cocu..."
Je ne pouvais que balbutier des petits "oui" de temps en temps, presque la bave aux lèvres, et très très vite je parti dans un des plus grands orgasmes que j'ai jamais eu.
Une fois cela terminé, nous avons encore beaucoup parlé, pour se dire comment nous avions chacun vécu l'expérience. J'étais très heureux de ce qu'elle avait fait, mais maintenant je ne souhaitais plus aller trop loin, j'eu une petite peur de la perdre, car je savais que c'était le destin de très nombreux couples candaulistes.
Elle me dit alors qu'elle m'aimait et qu'elle avait fait tout ça pour moi, et même ce qu'elle m'avait dit ensuite pour me faire jouir faisait partie du jeu, qu'elle ne le pensait pas vraiment, que c'était pour me faire décoller dans mon trip. J'en fus soulagé. Et encore plus reconnaissant.
La pression étant retombée de mon côté, le fantasme étant réalisé, l'obsession m'avait enfin quitté et je pouvais donc réfléchir plus sereinement et plus objectivement à ce que je voulais pour l'avenir.
Nous convenâmes que cette expérience, aussi excitante qu'elle fut, ne devrait être qu'une parenthèse dans notre vie, et qu'il était hors de question de faire du candaulisme notre mode de vie.
Elle pourrait se renouveler une prochaine fois, mais cela devrait rester rare, exceptionnel. Je ne souhaitais pas non plus que ces parenthèses changent quelque chose à notre manière habituelle de faire l'amour, c'est à dire à ma domination sexuelle, nous décidâmes donc que pour clore ces rapports candaulistes, il nous fallait les considérer comme des "fautes" tolérées et qu'une punition s'imposait, au cours de laquelle je reprendrai possession d'elle, jusqu'à ce qu'elle demande pardon et qu'elle me reconnaisse le rang de mâle dominant dans sa sexualité.
Je n'aurai pas pu vivre en candauliste soumis, j'aurai fini par détester mon image, et la quitter. Mais, en tant que dominant continuellement sous la pression des responsabilités, ça me faisait du bien d'envisager une fois de temps en temps de perdre le contrôle, et de flirter avec le danger, que je ne maîtriserai plus totalement. Même si cette perte de contrôle devait passer par une phase d'humiliation.
En revanche, nous sommes tombés d'accord sur le fait que juste après une expérience candauliste, il était nécessaire que Solen entre dans une période où elle serait hyper sage, car c'est à ce moment que le risque était fort de ne plus pouvoir s'arrêter et de se perdre dans une relation purement candauliste qui finirait immanquablement par nous détruire (compte tenu de nos personnalités).
Personnellement, je ne me voyais pas vivre dans le stress permanent de ne pas savoir si elle était en train de me tromper ou pas, donc il fallait renforcer l'idée que ces aventures étaient vraiment rares, et pour cela la période de chasteté de sa part était un moyen rapide et simple de remettre les pendules à l'heure et de me rassurer.
Pour son hypersexualité, nous pensions que le libertinage continuerait de nous apporter une solution. De plus, j'étais tellement excité par nos nouvelles expériences que je sentais ma libido totalement reboosté, j'avais un désir permanent d'elle, même après avoir joui plusieurs fois, je pensais donc que je pourrais peut être me caler sur son rythme pour peu que nos jeux continuent de me faire un tel effet.
Il était donc temps d'envisager de la punir, et de reprendre ma place de dominant. Il était temps pour moi de la faire rentrer dans le rang, pour contrer les pulsions qui se développaient chez elle. Il était temps de lui montrer qu'elle était à moi, et qu'elle le resterait. Je sentais que j'allais adoré cette nouvelle façon de jouer, cet alternance candaulisme/dominantion, faute/punition.
Dès le lendemain, je décidai de marquer le coup. Tout au long de la journée, je l'ai chauffé avec des SMS un peu hot.
Voici un florilège des SMS échangés ce jour-ci :
SMS Erwan : "J'ai trop envie de toi, j'ai la gaule rien qu'en pensant à la photo que tu as prise de ta petite chatte, j'ai très envie d'y plonger ma queue toute dure"
SMS Solen : "Grrrr tu me rends dingue là"
SMS Erwan : "J'ai envie de t'enfoncer ma queue partout, que tu la lèches longuement avec gourmandise, j'ai envie de te jouir sur le corps"
SMS Solen : "Putain tu me dis ça pour me chauffer cochon... Putain ça marche en plus, je vais te la bouffer ta queue... Tu pourras plus te tenir"
SMS Solen : "J'ai super envie de me faire défoncer par ta grosse bite bien dure !"
SMS Solen : "Je vais tendre mon cul de cochonne pour que tu puisses bien me baiser profond, j'vais m'agiter comme une furie au bout de ta bite..."
SMS Erwan : "Oh que si, je vais me tenir, vu ce que j'ai l'intention d'en faire, je vais te montrer tout ce qu'on peut faire avec une grosse queue bien dure et endurante, ok si t'arrives à me faire jouir avec ta bouche sans que je puisse me retenir tu échappes à ton châtiment, sinon tu vas prendre cher"
SMS Solen : "Rahaaa comment j'ai envie de CUL ! j'adoooOOore le sexe"
SMS Erwan : "C'est ça, agite toi au bout de ma bite comme une folle furieuse qui perd les pédales, comme une affamée, je veux voir ce que c'est une vraie nympho"
SMS Erwan : "Ce soir, tu vas tout faire pour te faire pardonner et me garder, tu vas faire en sorte que j'y trouve mon compte à vivre avec une folle du cul, tu vas faire en sorte que ce soit trop bon pour que je puisse envisager de m'en passer, et tu vas surtout faire tout ce que je dis, même si ça te refroidit et ça fait mal, tu fais comme si..."
SMS Erwan : "Ce soir t'encaisses, et tu te fais baiser comme une vile chienne"
SMS Solen : "Oui j'avoue hier j'ai pas été sage, je suis désolée mais il m'avait chauffée toute la journée, j'en pouvais plus et toi t'étais loin, j'avais besoin de ce coup de bite..."
Je m'arrangeais pour ne pas être à la maison au moment où elle rentrerait. Dès qu'elle m'envoya un SMS pour me demander où j'étais, je lui envoyais celui-ci :
SMS Erwan : "Écoute bien poupée. Éteint l'ordi, ne fais pas la cuisine, va te laver la chatte et la raie. Habille-toi comme hier quand tu te faisais troncher dans mon dos. Allume la clim, assis toi sur le canapé et attend. Quand je vais rentrer avec la bouffe, tu rappliques et tu m'embrasses sans parler. Tu as 15 minutes environ. Je t'aime."
Je venais d'acheter mon repas du soir dans un restaurant de restauration rapide, et j'attendais patiemment dans ma voiture que le temps soit écoulé.
Quand je pénétrais dans l'entrée de la maison, ma femme était assise dans le canapé, habillée comme la veille. Elle avait semble-t-il respecté mes consignes. Son anxiété pouvait se lire sur son visage.
Elle se dirigea vers moi.
- Ne parle pas, je ne veux pas t'entendre. Embrasse-moi"
Elle approcha ses lèvres de ma bouche. J'eu un mouvement de recul.
- Non, pas là. Là..."
Je la saisi par la nuque et l'obligea à s'agenouiller pour lui coller le visage au niveau de ma braguette, qu'elle ouvrit sagement. Elle sorti mon sexe déjà bandé et commença à me sucer, toujours devant la porte d'entrée.
Lorsque j'ai jugé que c'était suffisant, je lui attrapa une bonne poignée de cheveux et je me dirigea vers la salle à manger en la traînant derrière moi, à genoux. Une fois devant la table, je lui dis :
- Installe-toi, il est temps de passer à table".
Je déposais sur la table mon sac avec la nourriture acheté au restaurant et m'installais sur une chaise. Solen tira la chaise devant moi pour y prendre place également.
- Non, non ! Ce n'est pas ta place ! Ce n'est pas toi qui passe à table, c'est moi ! Toi, ta place est à quatre patte, en dessous, comme la chienne que tu es."
Elle sembla surprise, mais elle obtempéra sans broncher.
J'avais toujours la queue à l'air et elle entrepris de lui redonner de la vigueur en la léchant bien consciencieusement, à quatre pattes sous la table. Pendant ce temps, je commençais mon repas. Je fis même des remarques comme quoi je me régalais, pendant qu'elle était privée de nourriture, dévouée à mon plaisir.
Quand j'eu terminé mon repas, je me levais, lui ordonnais de ne pas bouger, et je partis vaquer à une autre occupation durant quelques minutes. Elle restais immobile bien sagement sous la table, la tête sur le siège que j'occupais précédemment, le cul tourné vers l'autre côté de la table. Je vins ensuite me positionner à genoux devant la table, à son niveau, la queue toujours dressée par l'excitation, bien tendue vers l'avant.
- Recule lentement".
En reculant, elle se rapprocha de moi. J'orientais mon sexe, puis elle vint s'empaler sur ma queue dans son mouvement, mais l'avant du corps toujours sous la table. Je me mis alors à la pilonner vigoureusement.
- T'es qu'une chienne en chaleur, alors je te baise comme on baise une chienne !"
Elle était complètement trempée, j'étais donc rassuré sur le fait qu'elle ne vivait pas mal sa punition, bien au contraire.
Je l'ai limé un bon moment, puis je me suis retiré et lui ai demandé de sortir de dessous la table. J'ai attrapé ses cheveux et l'ai traîné sans ménagement jusqu'à la petite table du salon, sur laquelle je la positionna à quatre pattes, un coussin sous les genoux. Puis je lui passa un masque sur les yeux, la rendant aveugle à tout ce qui allait suivre.
Ainsi offerte, soumise et masquée, à quatre pattes sur la table basse, la jupe relevée sur ses hanches, elle était d'une indécence rare. Elle était tout simplement superbe. Je fus submergé par un immense sentiment de fierté de posséder une telle femme.
Je la laissais là un bon moment, je suis monté à l'étage, je me suis lavé la queue dans la salle de bain, j'ai récupéré ses gods et je suis redescendu. Elle était toujours là, passive, sur la table basse, dans la même position où je l'avais laissé.
Je fis courir mes mains partout sur son corps. La salope avait le minou trempée ! Je ne me souvenais pas l'avoir vu aussi trempé. Me déplaçant autour de la table basse, je finis par passer devant sa bouche, et ma bite lui effleura la joue. Comme un réflexe, elle ouvrit instantanément la bouche et goba ma queue.
Elle me suça en faisant des petits bruits de succion, comme j'aime, les mains toujours sur la table. Je me retirais de sa bouche pour continuer de jouer avec son corps. Je massais ses gros seins avec fermeté, je les avais retiré des balconnets du soutien-gorge et ils pendaient outrageusement.
Je lui enfonçais ensuite un god dans la chatte et la pilonnais avec. Elle faisait des petits mouvements pour aller à la rencontre du god, témoignant de sa volonté de se soumettre à toutes mes lubies du jour. Puis, tout en lui laissant le god planté entre les cuisses, je revins devant elle me faire sucer. Penché en avant, je continuais d'actionner le god pendant que ma queue lui remplissait la bouche. Sa cyprine continuait de dégouliner le long de ses cuisses.
J'étais aux anges. Je prenais mon pieds. J'ai toujours été très cérébral, et après l'excitation de l'infidélité de Solen de la veille, je m'éclatais maintenant à la dominer et à l'humilier comme la dernière des putes. J'ai adoré lui infliger ce traitement, lui faire comprendre qu'elle n'était qu'un jouet entre mes mains, soumise à mon plaisir, et qu'elle n'avait rien à y redire. Je m'enivrais de ce nouveau pouvoir. Je sentais qu'à ce moment précis j'étais son "propriétaire", et cela m'emplissait de fierté.
Évidemment, je n'aurais rien fait qui puisse lui nuire réellement, car je me sentais aussi responsable d'elle et de son plaisir, et j'étais bien décidé à lui procurer un bel orgasme au travers de cet abandon dans lequel elle s'était plongé, en remerciement pour ce qu'elle me permettait de vivre. Elle s'était volontairement soumise à moi, elle m'avait choisis pour cela, moi, en tant que mâle dominant, maître de sa sexualité, et cela flattait mon ego au plus haut point.
Plus je la regardais, plus je la trouvais belle. Sa lubricité la rendait totalement irrésistible. Elle s'était offerte à mes pulsions les plus perverses, et j'en retirai un immense sentiment de fierté. Je ne savais pas encore où tout ça allait nous mener, mais j'adorais. Ne sachant pas si nous renouvellerions un jour ces expériences, j'en profitais, sans me restreindre. J'étais tout comme elle en terrain inconnu, je découvrais de nouvelles sensations, et j'aimais ça. J'espérais qu'il en fut de même pour elle.
Après avoir été longuement sucer et lécher de partout, aussi bien les boules que la queues, je me dégageais de sa bouche, me dirigeais vers l'autre bout de la table, ôtais le god qui la remplissait, et je plongeais mon gland turgescent dans son intimité.
Elle était tellement mouillée que je n'eu aucun mal à m'enfoncer jusqu'à la garde. Je la pris dans cette position pendant longtemps, lui soutirant des râles de plaisir, n'hésitant pas à lui claquer les fesses assez régulièrement, pour faire rougir ces dernières. J'adore lorsque ses fesses sont rougies par mes claques, je les trouve encore plus belles ainsi, toutes en couleur ! Je suis pressé de voir ce qu'elles donneront lorsqu'elles seront zébrées...
Un jour, lorsqu'elle sera prête à recevoir mes coups de cravaches au lieu de simples fessées. Je suis sûr que je vais les trouver magnifiques ainsi décorées.
A un moment, je l'ai descendu de la table, toujours en la tenant par les cheveux, et je l'ai jeté contre le canapé, en levrette. Et j'ai continué de la défoncer. Puis je l'ai tourné vers le rebord du canapé et j'ai laissé sa tête pendre dans le vide, ses mains appuyées sur le sol, le corps en travers de l'accoudoir, le cul bien tendu face à moi.
Je l'ai pilonné si fort, pour la punir de son comportement de la veille, qu'elle a bien faillie basculer toute entière sur le sol par dessus l'accoudoir ! J'imagine que cette position devait lui être inconfortable car cela devait lui provoquer des douleurs sur le ventre, mais je n'en avais cure et j'étais bien décidé à lui faire mal autant qu'à lui faire du bien.
Ensuite, je l'ai allongé sur le tapis, et j'ai continuer de prendre possession de sa chatte.
Je l'ai copieusement insulté, la traitant de salope, de pute, de chienne, et lui disant que dorénavant j'allais lui montrer régulièrement à qui elle appartenait, et qu'elle allait en baver.
Elle gémissait et commençait à s'étendre en excuses, à me demander pardon pour son comportement de salope, et à me promettre à nouveau fidélité (tu parles !). Je n'étais pas dupe, je savais que ce n'était pas encore suffisant pour bien marquer le coup, que la punition n'était pas terminée.
Je l'ai baisé ainsi en levrette et en missionnaire, en alternant des moments de brutalité et de douceur. Je la punissais, certes, mais je l'aimais également plus que tout, et je voulais qu'elle le ressente. Par moment, je lui disais que je ne lui en voulait plus et je la prenais avec tendresse, jusqu'à ce que je lui fasses comprendre que ça ne pouvait pas être aussi facile et je reprenais la punition en la baisant sauvagement et bestialement.
A un moment, j'ai attrapé du lubrifiant et je le lui ai étalé sur l'anus. J'y ai enfoncé un doigt, tout en continuant de lui prendre la chatte, afin de détendre sa petite rondelle. Puis, en lui écrasant les épaules sur le sol, face au tapis, le dos cambré et le cul bien relevé, j'ai sorti ma queue de son sexe et l'ai présenté à l'entrée de son cul.
J'ai forcé le passage et y ai fait pénétré mon gland, puis toute la hampe, jusqu'à être entièrement planté dans son fondement. J'ai tout d'abord bougé assez lentement, pour ne pas lui faire trop mal et lui laisser le temps de s'habituer à cette pénétration, d'autant que j'ai une bite très large. J'étais bien décidé à posséder tous ses orifices ce soir là, pour lui montrer que tout son corps était à moi ! Je me suis mis à bouger de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle glissa sa main sous elle pour entreprendre de se masturber, je la laissais faire.
Je l'ai pilonné longtemps et avec fougue, en l'insultant, pendant qu'elle continuait de demander pardon, puis j'ai lui ai dit que je lui pardonnais, que je comprenais que ses pulsions étaient plus fortes qu'elle, mais qu'à chaque fois je devrais agir en conséquence.
Elle finit par jouir fortement sous mes assauts, en criant. Je me laissais enfin aller à jouir moi-aussi, dans un orgasme fulgurant qui m'empêcha de garder mes appuis et je m'écroulais donc sur elle.
Nous sommes restés longtemps allongés, enlacés, moi derrière elle, à nous câliner. La punition était terminée et il ne restait que douceur, tendresse, bienveillance et reconnaissance.
Notre rapport avait duré pas loin de deux heures, nous étions tous les deux éreintés. Et pour la première fois, elle me confia se sentir rassasiée et ne plus ressentir d'envie sexuelle. Je ne me souvenais pas que celai ait pu arriver auparavant, depuis qu'elle était devenue hypersexuelle. J'en étais très fier, et cela me donna confiance en l'avenir de nos nouveaux jeux sexuels.
Nous avons passé le reste de la soirée en amoureux à discuter, à manger, à boire, et encore à discuter. Nous avons tous les deux appréciés les évènements, et nous sommes tombés d'accord sur le fait qu'il faudrait renouveler tout ça. Voire même aller plus loin sur certains aspects...
Le lendemain, une fois au travail, nous avons échangé quelques SMS, dont voici un exemple :
SMS Solen : "J'adoooOOore le cul. Et avec toi c'est vraiment le GRAND pied !"
SMS Erwan : "Je t'adore, MA femme, ma petite allumeuse, je te kif grave, je t'ai dans la peau ! Le sexe avec toi c'est un truc de fou, un feu d'artifice, c'est comme si on se tapait toute une maison de passe, mais où toutes les filles sont réunies dans une seule nana. C'est le GRAND pied !"
Nous venions de découvrir de nouveaux plaisirs, de nouveaux jeux sexuels, et nous étions bien décidés à ne pas en rester là. Ma libido semblait tellement boosté que je me sentais capable de satisfaire mon épouse quasiment tous les jours, malgré son hypersexualité, en attendant les rencontres libertines qui lui permettrait de se défouler.
Au moment où j'écris cette histoire, plusieurs semaines après les évènements, nous n'avons toujours pas vécu à nouveau d'expérience candauliste (peut être par manque d'opportunité), mais nous avons exploré davantage les plaisirs de la domination et de la soumission, avec toujours elle comme soumise et moi comme dominant, et nous en avons retiré beaucoup de plaisir. Nous sommes plus amoureux que jamais, et bien décidés a avoir une vie sexuelle riches et bien remplie !
Pour info: Ce couple avait un blog disparu à ce jour