Impossible de ne pas republier une Coulybaca.
La classe absolue pour moi.
LEON LE CONCIERGE
Auteur:Blackdemon.
Traducteur: Coulybaca
Léon venait de recevoir sa nomination au collège de la ville, de prime abord, cela ne l'emballait guère, il pensait que les profs devaient être des cinquantenaires!
Mais, à sa grande surprise, il y avait beaucoup de jolies femmes dans la trentaine. Léon ressentait un désir ardent de ces jeunes femmes blanches, désir qui s'était construit petit à petit, au hasard des rencontres.
Il remarqua en particulier une jolie rousse de 28 ans, madame Mélanie Eberling, elle était élégamment vêtue d'un chemisier à longues manches, d'une jupe aux genoux, d'une veste et de hauts talons. Elle enseignait l'anglais aux aînés et leur servait de conseillère.
L'ambiance au collège était tout à fait différente de celle qu'il avait connue à l'école élémentaire. La sécurité dans ce grand complexe était d'un haut niveau. Les professeurs passaient au bureau signaler leur départ, le censeur, qui quittait le dernier les locaux devait être certain que les profs avaient tout laissé en ordre. Ainsi sa tache allait s'avérer difficile, mais Léon aimait les challenges.
Vérifiant les règles de sécurité avec le censeur, Léon pensait qu'il aimerait se faire cette beauté couchée sur son bureau là où s'exerçait son autorité. Ce n'était qu'un rêve, personne n'était censé violenter les jeunes profs, pourtant il prendrait grand plaisir à violenter une jeune prof blanche couchée sur son bureau.
Cette envie était peut-être due à ses échecs répétés pour accéder à un certain niveau, d'où ce profond désir de dégrader une prof sur le lieu ou devait s'exercer son autorité.
Mais il prendrait autant de plaisir à violer une jeune blanche dans le lit conjugal qu'elle partagerait avec son époux blanc, il aimerait la souiller dans le lit où elle prenait du plaisir avec son mari. Ainsi, il avait déjà choisi l'endroit où il violenterait madame Erberling.
Léon ne se posait pas de problème quant à la localisation de sa maison, il avait tout le temps de s'en occuper, il y avait bien des moyens d'obtenir une adresse de résidence : la plus simple, en fait c'était de la suivre à la sortie des cours;
il trouva un autre moyen, il consulta le registre de location des livres de la bibliothèque de l'école dans la colonne personnel éducatif. Puis Il trouva le nom de son mari en consultant l'annuaire téléphonique.
On le rencontrait toujours un grand seau blanc à la main, équipé de divers outils, et de beaucoup de chiffons, mais caché sous les chiffons, il disposait d'une caméra munie d'un télé objectif.
Lorsque Léon nettoyait une salle, il fermait les portes et utilisait sa caméra pour filmer divers profs qui allaient et venaient dans le complexe. Il voulait disposer de photos de ses victimes potentielles.
Mais les diverses photos de Mélanie Erberling le rendaient fou de désir, il était obnubilé par l'idée de s'installer entre ses cuisses pour la fourrer de toute sa vigueur.
Mais pour l'instant il ne savait pas encore comment s'y prendre. Il pouvait se cacher chez elle et la violer, mais il y avait toute les chances qu'elle aille se plaindre à la police....
IL fallait qu'il trouve quelque chose qui lui permette de la faire chanter. Mais elle paraissait si droite, si exemplaire, qu'il lui apparaissait finalement que la seule option était de la violer en espérant qu'elle soit trop honteuse pour le dénoncer.
A la mi saison de football, tout en nettoyant une salle, Léon observait madame Erberling qui lisait des papiers assise à son bureau. Quelqu'un frappa à la porte, elle se leva pour aller l'ouvrir. D'instinct Léon se saisit de sa caméra et enclencha le télé objectif. Avec ce dernier, il pouvait voir dans la classe comme s'il s'y trouvait.
Il regardait madame Eberling se diriger vers la pile de papier, en prendre un en main et le tendre au jeune étudiant, il reconnut alors le quaterback de l'équipe de foot.
Il prit quelques clichés, mais tout cela semblait fort innocent.
Il était évident que le jeune homme était épris de sa jolie professeur. Lorsqu'elle le reconduisit à la porte de la classe, il l'attrapa soudain par les épaules, et la cloua contre le tableau noir, puis il lui roula un profond patin. Il glissa la main droite sous la veste de sa prof et empauma un sein au travers du corsage.
Un instant plus tard la jeune femme furieuse réagissait, repoussait le jeune étudiant et le giflait. Cette gifle lui remettait les pieds sur terre, et apparemment il s'excusait platement de sa conduite inconvenante, il baissait la tête, assez honteux, en franchissant la porte de la salle de classe.
Mélanie avait sévèrement réprimandé le jeune homme lui rappelant qu'elle devait rapporter l'incident au principal, il la suppliait de lui pardonner, ne comprenant pas lui-même ce qui lui avait pris.
Mélanie savait que ce jeune homme, un de ces étudiants favoris, était amoureux d'elle, un premier amour de jeunesse. Elle savait aussi que si elle rapportait l'incident, il encourrait un blâme qui lui barrerait le chemin de l'université de sport, bouleversant probablement la fin de saison de l'équipe locale.
Aussi elle le prévint qu'elle se tairait pour cette fois, mais qu'il n'était pas question qu'il recommence, penaud, il la quitta soulagé. La jeune femme pensa que finalement ce baiser n'était pas si déplaisant, mais elle était mariée, et heureuse en ménage
A la fin des cours, son boulot terminé il se rua vers le centre photo. Il fit ses courses, reprit les photos développées et retourna chez lui. L0 il visionna les images qu'il avait prises incriminant madame Erberling et le jeune quaterback. Il disposait d'un cliché de madame Eberling embrassée par le jeune étudiant, et d'un autre où il l'embrassait main glissée sous sa veste, la caressant visiblement.
Léon avait besoin maintenant de savoir si madame Erberling allait rapporter l'incident au principal ou au censeur. Si elle ne le faisait pas, elle aurait du mal, par la suite à expliquer la raison pour laquelle elle n'avait pas dénoncé le jeune quaterback comme le voulait le règlement du collège établi sur les conseils de la police.
Un règlement que tous les professeurs s'étaient engagés, par écrit à soutenir.
Le lendemain, Léon traîna toute la journée autour des bureaux, prétextant se livrer à du nettoyage et à différentes réparations mineures. Il savait que si elle rapportait l'incident, mettant en cause le quaterback de l'équipe de football, le bureau bourdonnerait de rumeurs.
Mais tout était normal dans les bureaux, pas de chuchotements discrets, pas de commérages. Léon se réjouit, en fait la jolie madame Erberling avait décidé de taire l'incident.
Le vendredi suivant était un jour de sortie de quinzaine, le censeur avait annoncé une sortie anticipée de quelques heures, pour permettre à tous les étudiants de participer aux réjouissances qui précéderaient le match de foot.
Léon avait déjà pisté l'insouciante professeur sur son chemin du retour, il en avait profité pour explorer le voisinage immédiat.
Il se préparait à jouir de ce jour de fête au milieu du lit conjugal de madame Erberling. Il allait lui souhaiter un retour de baise inoubliable, Léon avait bien l'intention de marquer quelques essais.
Ce jour là, Mélanie portait un tailleur marin, sur un corsage blanc et ses habituels hauts talons. Elle avait volontairement gardé les jambes nues, elle trouvait cela plus confortable, leur teinte ivoire faisait tourner les têtes des hommes, même si elle s'en souciait assez peu.
Elle était heureuse de sortir plus tôt, elle ferait une petite sieste puis irait danser avec son mari à la matinée récréative. Juste au moment qu'elle entrait chez elle par la porte du garage, la sonnerie de la porte d'entrée tinta.
Mélanie fut tout surprise, en ouvrant la porte de trouver le concierge noir sur le porche.
- Bonjour madame Erberling, je crois avoir trouvé quelque chose vous appartenant", la salua Léon, agitant une enveloppe sous ses yeux.
- Ce n'était pas la peine de vous déplacer pour ça .... Vous auriez du les laisser au bureau du collège ! ...
- Ce sont des documents importants et je voulais vous les remettre en main propre, madame Erberling!... Vous en serez convaincue lorsque vous verrez le contenu"
termina Léon lui tendant l'enveloppe.
Mélanie ouvrit l'enveloppe et suffoqua à la vue des documents. Il s'agissait de photos d'elle embrassant un étudiant, elle chancela sous le choc, laissant le concierge noir entrer chez elle.
Il sourit ironiquement à la prof pétrifiée et verrouilla prestement la porte.
- Mais ... Que me voulez-vous ....Je ne comprends pas ......"
bégaya madame Erberling paniquée
- Pouvez-vous m'expliquer, madame Erberling, pourquoi n'avez-vous pas rapporté cet incident au principal ?...Vous savez très bien que tous les incidents doivent être rapportés quelque soit leur importance !...Que penseraient le principal et le comité d'éthique si quelqu'un leur montrait ces photos
- Pourquoi ...... Que voulez-vous ? ......Combien voulez-vous de ces clichés? ......
demanda Mélanie consciente qu'elle devait récupérer ces photos.
- Que voulez-vous en faire ? .... Pourquoi êtes vous ici ? ....... Combien voulez-vous ?
Grommela à nouveau Mélanie en pleine détresse.
- Je ne veux pas de ton fric .... Chérie ...Il n'y a qu'une chose qui m'intéresse ... Et cette chose chérie ... C'est ta petite chatte de blanche .... Je veux entendre crier la belle madame Eberling lorsque je la baiserai dans le lit conjugal .....
Répliqua Léon goguenard. Jetant l'enveloppe et son contenu sur une table basse, elle gifla violemment le concierge et courut se mettre à l'abri dans sa chambre.
Léon se réjouit de la voir si rétive, il appréciait que sa future victime se défendit. Les hauts talons de Mélanie entravaient sa course, Il la rattrapa à mi étage, la saisit par le col de sa veste et l'emporta facilement dans la chambre à coucher. Lui empoignant le bras, il la cloua au mur et pouffa dans le cou de la jeune beauté.
- S'il vous plaît ... Je vous en prie ... Ne me faites pas de mal !.....
Supplia Mélanie. Pour toute réponse, Léon agrippa le col de son corsage blanc et d'une violente saccade il l'extirpa de la ceinture de la jupe faisant sauter tout le boutonnage.
Mélanie renifla de honte lorsque la grande main noire empauma un de ses seins au dessus du bonnet de soutien-gorge et se mit à la recherche de son téton affolé. Mélanie se débattait de toutes ses forces, perdant ses hauts talons.
Léon agrippa sa jupe marine, la fermeture se déchira, il la lui enleva de force la jetant au sol. Mélanie sanglotait misérablement, elle ne portait plus que son corsage déchiré et ses sous-vêtements en dentelle.
Léon se marrait comme une brute en voyant la jolie petite femme se débattre alors qu'il lui était si facile de la contrôler. Il empoigna alors le corsage blanc et le lui arracha.
Il la poussa alors sur le lit qu'elle partageait habituellement avec son mari, se positionnant immédiatement au dessus d'elle. Deux ou trois mouvements rapides, et il la dépouilla de son soutien-gorge et de sa petite culotte, les déchirant. Secouant frénétiquement la tête, incrédule, Mélanie ne pouvait que sangloter.
- Oooh, Je vous en prie ...... Nonnnn ......S'il vous plaît ......Je vous en prieeeee... Nonnn..... " supplia à nouveau Mélanie effondrée.
- Ma petite chérie, je vais te baiser dans le lit conjugal .....Je vais souiller ton délicieux petit corps de blanche .....Je vais dévaster ta petite chatte ......
Répliqua Léon, hilare caressant de sa grosse bite la toison rousse. Mélanie luttait encore, agitant son bassin cherchant à éviter l'inexorable effraction. Mais le colosse noir lui empoigna les hanches et se positionna gland à l'orée de sa chatte craintive.
- Ooh, nonnnn ..... S'il vous plaît .......
Marmonna Mélanie, alors que la pine noire traçait son chemin entre ses babines molles. Léon frissonna de plaisir sentant sa grosse bite baigner dans la tiède chaleur de sa cramouille de la jeune femme éperdue.
N'ayant pas étreint depuis un bon moment une femme se débattant entre ses bras, Léon pensa qu'il était temps de la calmer, il commença alors à s'enfouir et à se retirer alternativement dans la délicieuse chatte de la jeune beauté en détresse.
Mélanie poursuivait la lutte espérant retarder l'inéluctable instant ... mais soudainement, son corps la trahit, se collant au corps de son assaillant, elle gémit de honte, son corps ne lui obéissait plus, ses cuisses s'entrouvraient au lieu de se resserrer comme elle l'aurait voulu.
Quelques instants plus tard, la grosse bite noire de Léon était enfouie jusqu'aux couilles dans la moule affolée.
- Oôoh........ Chérie ...... Oh Oiiiiii....... Ohhhh... Je vais juter .... Ma chérie ......Je vais t'emplir la chatte ....... Je vais me vider les couilles dans ta petite chatte dans ton lit conjugal ....
Grogna-t-il se vidant à gros bouillons dans l’utérus frémissant... Le corps de Mélanie réagit à la tiède injection dans son ventre, Léon grommela de plaisir sentant Mélanie l'enserrer entre ses cuisses nouées dans son dos.
En se retirant, Léon regardait Mélanie couiner, éperdue de honte et d'humiliation, il l'avait violée, dévastée dans leur lit conjugal.
Quel tableau : la jeune femme était recroquevillée en position foetale, de sa chatte suintait l'épaisse semence. Léon jeta un oeil sur ses charmants petits pieds et sur son trou du cul de pucelle, il voulait la faire crier lorsqu'il lui casserait le pot, jetant un oeil à sa montre, il se rendit compte qu'il lui laissait juste le temps de satisfaire son fétichisme des pieds nus, il lui casserait le cul une autre fois.
S'agenouillant au pied du lit, il la retourna sur le dos
- Ooh........ s'il vous plaît ......... non....... Pas encore ......Je vous en prie ....... nonnnnnnn..." le supplia-t-elle misérablement.
- Laisse moi jouer avec tes petits pieds .....” répliqua Léon
- A moins que tu ne préfères que je te casse le cul .......Ca te fera un souvenir ......
Effrayée par la menace, Mélanie prit la grosse queue de son suborneur entre ses petons et entrepris de le branler lascivement. Léon adorait le contact de la peau fine de ses plantes de pied contre sa bite érigée.
Cela faisait des années qu'il nourrissait ce fantasme, et maintenant il voyait désirs les plus fétichistes comblés. En un rien de temps, il cracha à nouveau sa semence, lui engluant copieusement les petons.
Epuisé, les couilles vides, Léon abandonna la belle madame Erberling sur son lit conjugal, recroquevillée en position foetale, souillée de son foutre épais.
Il pensait que peut-être il l'avait engrossée. Il sourit à l'idée de la voir accoucher d'un bébé noir. Il se marrait, repensant à la scène du viol contemplant la jolie jeune femme couinant de honte, les vêtements déchirés, les hauts talons rejetés dans un coin..
Avant de sortir, il jeta un oeil sur les photos jetés sur une table basse dans l'entrée, prenant un stylo il écrivit une petite note destinée à la jeune beauté blanche: “merci pour ce bel après-midi madame Erberling, la prochaine fois je te dépucellerai le trou du cul.”
Peu à peu, Mélanie recouvrit ses esprits, chancelante elle sortit du lit pour prendre une bonne douche bien chaude. Elle sanglotait et pleurait, honteuse d'avoir été violée par un sale black qui avait gerbé son immonde foutre dans son ventre.
Brièvement elle pensa rapporter son viol au poste de police, mais elle s'en dissuada rapidement, ne voulant pas que son mari apprenne sa mésaventure, de toute manière, comment aurait-elle pu expliquer le pourquoi de ces photos l'incriminant.
Elle débarrassa ensuite la chambre et l'entrée de toutes traces de l'intrusion du jeune noir, elle se saisit ensuite de l'enveloppe et des photos. Elle frémit de peur à la lecture de la petite note que lui avait laissé son violeur.
Mélanie ne participa guère à la liesse, incapable de se concentrer sur le match.
Elle marchait difficilement, on ne l'avait jamais pénétrée si profondément, on ne lui avait jamais distendu la chatte de cette façon. Par chance, pris par le match puis par les commentaires d'après match, son mari ne remarqua pas son comportement inhabituel.
Mélanie rougit vivement sous le regard insistant de son violeur qui la fixait, à quelques pas d'elle lui souriant ironiquement.
Les semaines qui suivirent, Mélanie se sentait troublée, sans raison, elle appréciait beaucoup moins faire l'amour avec son mari, elle avait beau essayer de lui complaire, elle devait admettre que son viol avait changé sa façon d'appréhender les rapports sexuels.
Elle cherchait à reconstituer l'esprit de son viol, elle trouvait la bite de son mari plus petite, moins épaisse que celle du jeune violeur noir, alors que jusqu'ici elle n'avait jamais prêté attention à ce qui pour elle s'avérait alors des détails, elle ne parvenait plus à l'orgasme.
Le dernier match était programmé ce vendredi soir, le titre de champion de ligue était en jeu, une victoire et l'équipe accéderait au niveau supérieur l'année prochaine. Les supporters étaient très excités à cette perspective. par chance, Mélanie et son mari étaient arrivés assez tôt pour se dégotter des places assises auprès des vestiaires.
Juste après la mi-temps, Mélanie jeta un oeil sur les autres rangs, le concierge noir qui l'avait si brutalement violée dans le lit conjugal, la regardait fixement. Il se pourlécha les lèvres, puis il lui fit un subtil signe main posée sur son sexe, puis de la tête il lui fit signe de le suivre.
Mélanie mordit ses lèvres et soupira piteusement.
Une minute plus tard, Mélanie se retourna à nouveau, le concierge noir partait en direction des classes lui enjoignant toujours, de la tête, de le suivre.
Irrationnellement, troublée au delà de toute expression, elle prévint son mari que la troupe de majorettes avait requis son aide, après la première mi-temps, pour préparer le repas du soir.
Heureusement, son mari était si captivé par le match, que sans trop l'écouter il lui répondit :
- D'accord chérie .... On se retrouvera ensuite ....
Mélanie contourna les vestiaires et s'enfonça dans l'obscurité, elle vit la silhouette qui la précédait pénétrer dans un petit appentis, nerveuse, elle l'y rejoignit.
Il l'attrapa par le bras et la disposa tout de suite, sans trop de douceur, à quatre pattes sur un petit matelas qui d'évidence avait été posé là à son intention. Léon releva vivement son corsage de coton, il enfila ses mains dedans, lui empaumant les seins au travers des bonnets de son soutien-gorge
- Pourquoi es-tu venue ma chérie ? ..... Pourquoi as-tu abandonné ton mari charmante madame Erberling ? .....
Ironisait Léon..
- Oôoh .. S'il te plaît .......Je .... TU sais bien .......
balbutiait-elle incapable d'exprimer ses désirs.
Il dégrafa alors le haut de son jean et le roula sur ses mollets, un autre mouvement et sa petite culotte bleue tendre lui fut arrachée.
- As tu lu ma note madame Erberling chérie ..... Tu sais donc ce que je veux madame Erberling .... Es-tu encore pucelle du cul madame Eberling ? ......
Insistait Léon son grand gland frôlant son trou du cul frémissant
- " Oh Ouiiiiiiiii ...... Ouiiiii...... Oui ......Je t'en prie .........
lui répondit la jeune beauté.
Par chance, l'équipe locale marquait un touch-down, alors que Léon transformant l'essai forait en force son trou dans l'étroit anus, déchirant toutes les défenses que lui étaient opposées, pénétrant profondément dans le cul de madame Erberling.
Le cri de la foule couvrit celui de l'infortunée professeur qui hurla sa douleur.
Sans le touch-down on l'aurait parfaitement entendue au delà des vestiaires. Puis, elle dégusta vraiment lorsque inexorablement Léon imposa les allées et venues de sa grosse bite dans le boyau rétif, le forçant à s'adapter à ses mensurations.
Mélanie revint aux stands, elle acheta un coca et manger en compagnie de son mari, ce dernier lui dit alors:
- Pas de chance chérie, tu as raté la meilleure action du match ! ...T'aurais du voir le quaterback a cassé le jeu et s'est engouffré dans l'en but......
Mélanie se contenta de sourire, pensant en elle-même, que c'était son mari qui avait raté le meilleur moment, celui où la grosse bite du concierge lui avait perforé la rondelle, s'empalant jusqu'aux couilles dans son anus dompté.
Elle serrait les cuisses l'une contre l'autre, la douleur irradiant toujours son anus meurtri, l'épais foutre de son amant suintant de son anus, engluant l'intérieur de son jean.
Encore heureux elle portait un jean noir, et dans l'obscurité, on ne discernait pas la tache grasse s'étalant entre ses cuisses. Elle jeta un oeil vers les vestiaires et sourit à son suborneur noir.
Elle gloussa en voyant le concierge porter un chiffon bleu tendre à ses narines et inhaler profondément.
Elle ne commença à se sentir un peu coupable, que lorsque le bras de son mari autour de la taille, ils allèrent s'asseoir dans les vestiaires, cuisses serrées pour endiguer le flot de sperme s'écoulant de son anus meurtri.
"Mon Dieu ..... Comment ai-je pu me livrer à telle débauche? ... Comment ai-je pu suivre cet infâme concierge noir? .......Et comment ai-je pu lui permettre de m'enculer dans le petit appentis? ......."
Pensait-elle sombrement, refrénant quelques sanglots alors que la tache de foutre au fond de son jean s'élargissait.
Alors que la première fois elle s'était trouvée des excuses, après tout elle s'était fait violer, mais ce soir c'était loin d'être le cas! ....
Du coin de l'oeil elle regarda Léon, qui juste à ce moment, portait sa petite culotte à son nez, y reniflant ses fragrances intimes. Elle pensait que jamais elle n'aurait supposé succomber à une telle débauche.
Une fois rentrée au domicile, Mélanie se rua dans la salle de bains, déterminée à se doucher, à éliminer toute trace de ses turpitudes.
Dave Erberling avait du mal à comprendre le changement de comportement de sa ravissante femme, comment cette beauté timide et réservée pouvait se transformer en goule affamée de plaisir une fois au lit, une débauchée qui le suppliait continuellement :
- Baise moi ...... Je t'en prie baise moi .....
Elle nouait ses longues jambes si sexy autour de sa taille lorsqu'ils s'aimaient, Dave ne parvenait pas à se retenir bien longtemps, s'exonérant rapidement dans sa moule détrempée.
Alors qu'il allait s'endormir, épuisé, il se félicitait de ce retour de flamme alors que sa jolie femme inassouvie se frottait le clito pour jouir, pensant qu'elle devrait se résoudre à aller chercher au dehors celui qui parviendrait à éteindre le feu qu'elle avait entre les cuisses.
- "Dieu je suis devenue une vrai dépravée ... Une salope ....Une chienne qui trompe son mari .....
Elle se promettait de ne plus jamais aller aussi loin, mais que faire contre Léon qui possédait toujours des photos bien compromettantes ..... De toute manière il n'était pas question que Dave puisse voir ces photos! ....
Elle n'avait pas dénoncé le jeune étudiant, qui l'avait embrassée dans un moment de folie, alors qu'elle aurait du le faire ....
Elle en payait maintenant les conséquences ....Et Léon en profitait .....
Mais poussant sa réflexion plus loin, Mélanie devait bien admettre que ce n'étaient que des excuses qu'elle se donnait.... En réalité elle espérait même qu'il récidiverait, l'obligeant à se soumettre à ses turpitudes.... Léon avait allumé un feu entre ses cuisses qui nécessitait de fréquentes interventions pour le calmer.
Au même moment Léon pensait à elle, planifiant les moyens d'en faire une pute pour grosses bites noires.
Léon était déterminé à en faire une petite pute docile qui ramperait à ses pieds, le supplierait de la baiser avec sa grosse pine noire, il allait la transformer en une somptueuse salope.... C'était la plus belle prof du collège, il avait d'ailleurs souvent constaté son impact sur les élèves et les profs qui la suivaient tous avec des yeux concupiscents lorsqu'ils la croisaient.
Avec tous ces ados surexcités il disposait d'un marché important, plus d'un payerait pour disposer de ses charmes. Il sourit à l'idée de la tête qu'elle ferait lorsqu'il la forcerait à ouvrir les cuisses pour satisfaire les étudiants, ou les prof pervers payant pour la baiser.
John Schroeder avait tout juste 17 ans et une fructueuse carrière sportive universitaire lui semblait promise. C'était d'ailleurs son but depuis son plus jeune âge, réussir au poste de quaterback.
En plus, une chose le motivait pour fréquenter le collège où exerçait la femme de ses rêves. Et maintenant, en dernière année, il s'était débrouillé pour suivre les cours d'anglais dans sa classe, il rêvait de lui faire l'amour, bien qu'il savait que ce ne pouvait être qu'un rêve.
Il se sentait tout faible et chancelant à l'idée de la serrer dans ses bras.
Lorsqu'il avait osé l'embrasser dans sa classe, elle l'avait profondément blessé en le giflant et en le tançant vertement, bien qu'il lui soit, quelque part, reconnaissant de lui avoir épargné toute sanction disciplinaire.
Depuis il se branlait toutes les nuits en évoquant son image.
Connaissant l'amour que portait le jeune quaterback à la ravissante prof, Léon comptait bien utiliser les photos compromettantes. Il savait bien que les jeunes ados ne disposaient pas de beaucoup d'argent, mais John pouvait déterminer le sort de certains matchs.
Il connaissait un bookmaker qui s'intéressait à l'équipe de football locale, Léon voulait échanger les faveurs de la ravissante jeune prof contre la certitude de voir ses paris aboutir, il savait que le résultat ne dépendait pas uniquement du quaterback, mais il pouvait suffisamment influer sur le cours du jeu pour valider des paris.
Cette saison s'était conclue sur une victoire, il devait démarrer son plan pour préparer la saison à venir. Léon était chargé de nettoyer les vestiaires du club de foot, c'était une opportunité idéale pour approcher le jeune joueur.
Au premier contact, il se contenta de le saluer et de le complimenter pour sa performance du jour. Habituellement les athlètes restaient ensemble et fréquentaient les lieux de prédilection des ado.
Il feignit de laisser tomber une photo d'elle et lui en posant des serviettes sur l'étagère supérieur, comme, surpris John Schroeder lui demandait des explications, il murmura :
- Je sais pourquoi tu n'es pas parvenu à emballer la ravissante madame Erberling, dis toi bien qu'elle préfère les grosses bites noires ......traîne un peu dans ses parages si tu veux te payer cette jolie petite salope de prof .....
Le fait que le concierge noir détienne cette photo, ainsi que ses commentaires d'ailleurs, avait retenu l'attention de John Schroeder, mais il avait du mal à croire que la prude et réservée madame Erberling puisse tromper son mari, et encore moins avec un gaillard comme Léon.
Il ne pouvait cependant pas s'empêcher d'imaginer le gracieux corps blanc de sa prof préférée cambré sous les assauts du musculeux concierge noir.
L'idée même de se taper la jolie madame Erberling l'affolait, aussi, alors que les autres joueurs partaient, il leur dit qu'il ne les accompagnait pas, il donnerait de ses nouvelles par téléphone.
Léon voyait bien que le jeune se refusait à croire qu'il puisse avoir une quelconque emprise sur la jolie prof. Pour le convaincre, il lui demanda à quelle heure il avait cours avec la jolie prof.
Il lui suggéra alors de lui envoyer un message la convoquant pour se faire baiser par des noirs cet après-midi au Starlight motel. Il lui dit qu'il lui fallait le message le lendemain matin, avant la classe, il le lui ferait parvenir par le fenêtre.
Le matin suivant, avant que ne retentisse la cloche, John rodait autour de la classe de madame Erberling, comme le concierge s'approchait, il lui tendit la feuille de lavande sur laquelle il avait imprimé son message, puis il entra dans la classe et s'assit à sa place.
John vit avec quelle nervosité madame Erberling s'était levée lorsque le concierge était entré dans la classe, et avait posé la feuille lavande sur le coin du bureau, puis il était parti bricoler la fenêtre la plus proche du bureau.
Il la vit déplier nerveusement la feuille pliée en quatre et la lire, elle rougit un peu, le replia, et le fourra dans son sac. John n'en croyait pas ses yeux, elle avait lu le message sans broncher et apparemment cela ne l'avait pas choquée, il avait écrit:
- Rendez-vous à 13 heures au Starlight motel cet après-midi... Il est temps de reprendre une bonne grosse queue noire dans ta chatte"
Son observation le convainquit que Léon ne mentait pas, il ne lui avait dit que la vérité. Cependant il ne pouvait toujours pas croire que la belle dame de ses pensées permettrait à un noir de toucher son délicieux corps blanc.
Il comprit que le concierge devait posséder des choses compromettantes pour elle, et qu'il la forçait à lui obéir. Au regard de cette situation, il se pouvait bien que ce soit la seule opportunité de réaliser ses rêves.
Jetant un oeil sur le concierge, il hocha la tête, concluant leur accord, et que son équipe ne dépasserait pas les 14 points.
Le match de ce vendredi soir était très déséquilibré, nous rencontrions une équipe d'une division inférieure dans ce premier tour des playoffs. Tout le monde était persuadé qu'on allait laisser le quaterback sur la touche, pour le faire reposer, mais finalement ils furent tout heureux de gagner 24/14.
Sur la touche Léon se réjouissait, il avait gagné 1000 $, il jeta un oeil sur madame Erberling qui était assise à quelques pas en compagnie de son mari.
Léon n'en pouvait plus d'attendre le lendemain, pour voir sa tête lorsqu'elle réaliserait qu'elle devait écarter ses cuisses pour un de ses étudiants.
Le lendemain après-midi, nerveuse, Mélanie se dirigeait vers le Starlight motel. Elle se sentait si coupable de mentir à Dave, elle lui avait raconté qu'elle allait faire des courses avec d'autres profs de ses amies.
Se rangeant dans le parking du motel, elle vit le concierge noir qui lui souriait, il l'attendait. Son coeur s'emballa, sa respiration se fit plus lourde tandis qu'elle pensait à ce qui l'attendait.
Caché dans les toilettes, John les guettait par l'interstice de la porte entrouverte, il avait encore du mal à croire ce que lui avait dit le concierge. Il regardait la ravissante madame Erberling figée devant le concierge noir, qui empaumait ses seins dans ses larges mains noires, et la caressait au travers du fin corsage. Il l'entendit grommeler:
- Ohhhhh ..... Ohhhh.....
Alors que le colosse noir manipulait ses tétons, il pouvait maintenant les voir pointer au travers du léger corsage.
Il se croyait vraiment au spectacle, il baissa se fermeture éclair, prenant sa grosse bite dans sa main, jetant un oeil dans la chambre, il vit le concierge assis sur le lit tandis que madame Erberling déboutonnait son corsage l'extirpant de la jupe, puis elle dégrafa la fermeture de la jupe, elle chut au sol sur ses hauts talons.
Il se mit à haleter à la vue de la de ses seins nus, sa pine grossit encore en voyant le concierge saisir ses tétons dardés entre ses lèvres, provoquant de sourds grommellements de plaisir.
Il n'en croyait pas ses yeux, sa ravissante prof, une femme mariée, succombait aux avances d'un humble concierge noir.
Il voyait maintenant le concierge s'agenouiller entre les cuisses de la belle madame Erberling, lui attrapant la petite culotte à la ceinture, pour la baisser et enfin la faire tomber sur la jupe. Il la voyait respirer difficilement, sa mignonne menotte encerclant la hampe raidie du concierge, elle se mit à gémir bruyamment lorsque le noir enfonça son visage dans sa toison rousse.
Sa bite frémit alors que la jolie prof grognait :
- "Ohhh ... S'il te plaît ...... Bouffe moi le gazon ...... encore .... Mets-y ta langue ...... plus profond ......... Mon Dieu ...... Oh ouiiiii;..... Ouiiiii ......
La jolie prof étendue sur le lit, le concierge noir installé entre ses cuisses, John attendait pour jouer son rôle.
Il regardait Léon lui bloquer les bras au dessus de la tête, lui épingler ses poignets à la tête du lit, et s'écarter sur le coté. Maintenant John s'était déshabillé, il n'avait jamais été aussi prêt de réaliser son rêve.
La femme de se rêves gisait étendue sur le dos, nue, prête à être prise. Il allait récolter le prix de sa dernière performance sportive.
Les yeux étroitement fermés, Mélanie attendait les assauts de Léon, elle avait un besoin fou d'éteindre le feu qui embrasait son entrecuisse. Elle ouvrit soudain les yeux et retint son souffle, un de ses étudiants nu, était accroupis entre ses cuises grandes ouvertes.
- "Ohhh..... Nonnn ....Mon Dieu ......John....... John, non ... Je t'en prie ...... Pas ça ..... Nonnnnnn... Tu es un de mes élèves! ......."
bégayait-elle sur un ton suppliant. Jean jeta un oeil sur sa prof si guindée, grondant alors :
- Léon avait raison .....Tu n'es qu'une foutue pute .......Dire que tu m'as giflé lorsque je t'ai embrassée .....La prude madame Erberling ouvrant ses cuisses pour un foutu black .......
grognait-il rageusement, se mettant en position, la pine dans sa toison rousse, prêt à la baiser.
Un seul élan rageur, et son gland s'engouffra dans les chauds replis de ses babines intimes, le faisant grogner :
- Ohhhhhhh .....Prof Erberling .... Mon Dieu ...."
- Non, John .....Nonnnnnn........S'il te plaît, John .....Nonnnnn ..... Tu ne sais rien ........Il ....... Il m'a forcée à ......... John ....... Nonnnnnn ...... Je t'en prie .... Nonnnn."
Plaidait-elle désespérément.
- Ohhhhhhh......Mon Dieu .......John ......... ahhhhhhhhhh....."
Gémit-elle comme l'ados s'enfouissait profondément en elle. Son corps la trahissait à nouveau, elle noua les cuisses autour de sa taille, cambrant ses reins pour accentuer les allées et venues de la grosse bite dans son conniL
- Ohhhh ..... Johnnnnnn ......Ouiiiiii ..... Oui, oui, ouiiiiii.... Baise ta prof d'anglais ......... ta pute de prof ....... Ta salope ........"
Bégayait-elle folle d'excitation malsaine.
En voyant la réaction de la ravissante prof, Léon relâcha ses poignets, elle les noua immédiatement sur sa nuque,.
Se relevant, il prit sa caméra dans le tiroir du buffet.
Dorénavant il disposerait d'un film bien compromettant de la jolie prof se faisant baiser par un de ses étudiants. Il la tenait définitivement, cette chienne.
Il faisait sombre lorsqu'ils cessèrent de baiser.
John l'avait prise trois fois, lui octroyant de nombreux orgasmes, encore une chose dont son mari ne l'avait jamais gratifiée. Elle avait regardé son étudiant se rhabiller, puis partir lorsque le concierge lui dit que c'était assez pour cette fois, et que s'il voulait tirer un autre coup avec la jolie prof, il fallait qu'il obtienne le score défini lors du prochain match.
Puis Léon la fit mettre à quatre pattes, la faisant grogner et pleurnicher lorsqu'il enfonça sa grosse bite dans son trou du cul, elle hurla alors qu'enfouit dans son boyau anal, il lui triturait le clito, un orgasme d'une puissance insoutenable la submergea toute.
Mélanie était paniquée, elle avait rendez-vous avec Dave pour étrenner un nouveau restaurant de l'autre coté de la ville.
Après une douche rapide, elle se rua dans sa voiture et retourna chez elle. Elle lui donna un coup de fil pour le prévenir qu'elle arrivait, s'excusant d'avoir perdu la notion du temps alors qu'elle discutait avec des amies.
Le lendemain matin, Dave Eberling partit avec ses copains pour leur partie de golf hebdomadaire.
Il sortait à peine que le téléphone sonna.
Mélanie prit le combiné, elle ne s'attendait pas à un appel de Léon, tout au moins pas si tôt. Il lui dit qu'elle avait cinq minutes pour enfiler un courte jupe blanche, un corsage blanc, et les hauts talons blancs qu'elle portait parfois en classe, et il raccrocha.
Mélanie ne savait quoi penser...
Elle l'avait déjà suppliée de la laisser en paix .....en vain!
Installé dans la cabine au croisement près de chez elle, il avait attendu le départ de Dave pour l'appeler, mais il n'était pas seul, Rod Mentor, le prof de chimie l'accompagnait.
Rod Mentor avait souvent dragué la ravissante prof, mais il s'était toujours fait rabrouer, il avait toujours espéré pouvoir se l'envoyer ne serait-ce qu'une fois.
Mais il savait que Mélanie ne faisait aucun cas de lui, et même qu'il la répugnait.
Léon l'avait entendu pester après elle, commentant grossièrement un de ses refus, plusieurs mois plus tôt, il avait dit qu'il donnerait n'importe quoi pour se la taper cette salope..
Un quart d'heure plus tard, Mélanie frissonna en entendant la sonnerie de la porte tinter, regardant par le judas, elle vit Léon se tenant sur le porche d'entrée. Elle ouvrit la porte sur le large sourire de Léon.
- S'il te plaît ..... Léon ....... S'il te plaît .....pas ici ....... pas chez moi ....... Allons au motel ....... comme hier ......" pleurnicha Mélanie.
- Et oui ma chérie .....Mais ça donne tant de plaisir de baiser une gentille petite salope comme toi dans le lit qu'elle partage avec son mari ......"
commenta Léon hilare. Il fit un pas en avant, Mélanie le laissa entrer :
- Rien que la perspective de t'enculer sur le lit conjugal me rapporte 300 $ de plus, que le prix initial de 500 $ pour te baiser "hennit Léon.
Puis il, se marra en voyant l'horrible grimace déformant le visage de Mélanie à la vue de l'immonde obèse qui apparut soudain du coin de la maison où il s'était caché.
Horrifiée, Mélanie voyait s'approcher l'homme qu'elle méprisait le plus, les larmes perlèrent aux coins de ses yeux à l'idée que c'était lui qui avait si bien payé Léon pour la posséder.
Il était petit, obèse, au collège, toutes les femmes le surnommaient le gros porc.
Bien que marié, il draguait toutes les femmes qui passaient à sa portée. Elle se souvenait qu'un soir, après une réception de mariage à laquelle tous les profs, hommes et femmes étaient conviés, on lui avait dit que sa femme était aussi grosse que lui.
Elle se souvenait d'un prof racontant que lorsqu'ils faisaient l’amour on croyait à l'accouplement de deux porcs.
Mélanie tremblait comme une feuille, ils l'avaient amenée de force dans la chambre principale, Rod Mentor lui dit alors :
- Alors madame Erberling, si prude, si réservée qui aurait pu penser que tu n'étais qu'une petite pute,...... je n'aurai jamais espéré pouvoir te fourrer.... .mais cette fois je ne vais pas m'en priver ma chérie ....... Tu semblais toujours si douce, si innocente, n'est ce pas chienne .... Et maintenant enlève ta petite culotte chérie..
Ordonna-t-il commençant à la dépouiller de son corsage. Les larmes roulèrent le long de ses joues, Mélanie renifla remontant sa jupe pour s'exécuter.
A la simple idée que cet immonde porc allait la toucher, elle frissonnait de répulsion, mais elle n'avait pas d'autre choix que de subir cet immonde gros porc, Léon la tenait trop bien.
Submergée par la peur, elle ne réalisa pas que Léon, couché au sol filmait l'avilissante scène: Rod Mentor assis à ses cotés, enlevant sa chemise, alors qu'elle grimaçait de dégoût à la vue de son corps difforme.
Elle s'accroupit sur son ordre :
- A genoux ... Desserre ma ceinture et sors ma bite ......salope .....
Agenouillée, Mélanie ferma les yeux lorsque ses mains entrèrent en contact avec la ceinture de Rod Mentor elle dégrafa la boucle, et avant même que l'ordre ne retentisse, elle la desserra, puis lentement, les yeux entrouverts elle baissa la fermeture éclair.
- Ouvre tes beaux yeux verts et regarde ce que tu vas prendre dans la chatte petite salope! ...." lui siffla le gros porc.
Au bord des larmes, Mélanie frissonna à la vue de la grosse panse ventrue. Elle s'accroupit avec dégoût en l'entendant dire :
- Sors ma bite ... Bientôt tu l'auras dans les fesses ....
Rod avait du mal à croire que ses voeux les plus secrets, les plus libidineux se réalisaient, cela faisait des années qu’il rêvait d'une telle scène qu'il repassait nuit après nuit étendu au coté de son énorme femme.
- Ahhhhhhh ......"
Grogna-t-il lorsqu'il sentit la petite menotte bien manucurée se saisir de sa bite. Il grogna de plaisir en enlevant son caleçon, le laissant tomber au sol. Les larmes coulèrent sur les joues de Mélanie, alors qu'elle frémissait de répulsion.
Elle était si humiliée de devoir manipuler la bite de ce gros porc libidineux. Elle détourna le visage lorsque l'odeur des couilles du gros porc frappa ses narines, elle se demanda quand il avait bien pu prendre son dernier bain.
La petite bite prit vie et grossit entre ses doigts. Bien qu'envahie de graisse, elle atteignit une longueur raisonnable. Alors elle le sentit imprimer sa main sur sa nuque, lui poussant le visage vers l'avant.
Un long frémissement de dégoût la parcourut des pieds à la tête lorsque le gland écarlate toucha son nez, laissant une piste glaireuse sur sa joue.
- C''est le moment de me faire une petite pipe chère madame Erberling .. Prends ma queue entre tes délicieuse lèvres charnues....."
lui commanda Rod, frottant son épais gland sur les lèvres. Mélanie tourna ses magnifiques yeux verts vers lui, l’implorant de se montrer miséricordieux, elle savait que des femmes accomplissaient avec plaisir cet acte répugnant, mais Dave considérait cela comme une perversion.
Mais, à cet instant, elle devait accomplir l'impensable, avec ce gros porc qu'elle méprisait tant, elle aurait préféré mourir plutôt que de s'exécuter, mais il lui tenait fermement la tête, insérant son immonde gland entre ses lèvres.
Un moment plus tard elle suçait réellement la grasse queue du gros porc, il émanait une telle puanteur de ses aines, qu'elle en avait des nausées.
Dès qu'il eut enfoui sa bite dans la tiédeur de la bouche de Mélanie, il sut qu'il ne tarderait pas à jouir. Les yeux pleins de dégoût, de peur, de honte la prude madame Erberling devait s'occuper de ses couilles.
La tenant fermement, il poussa violemment son visage vers l'avant, ensevelissant sa grasse queue jusqu'à la racine dans la bouche domptée, il gémissait de plaisir.
Il sourit en voyant ses yeux devenir vitreux et son visage rougir de honte.
- Salope ....Je sais que, comme toutes les femmes du collège tu m’as traité de gros porc"
Accabla-t-il la jeune femme en détresse. Avec cette bite enfouie dans la bouche, et son visage contre les couilles puantes, elle avait bien du mal à trouver de l'air.
Soudain il grommela :
- Ohhhhh .... chérie ........Ohhhhhh .... Je vais ..... Je vais jouirrrrr ... Je jouissss ... avale ma purée .......salope ....... Allez avale .......
La bite explosa loin dans sa gorge, la femme de ses rêves suffoqua sous le flot glaireux... Rod recula sa bite d'une petite dizaine de centimètres, lui permettant de respirer plus aisément bien qu'elle eut toujours le gland sur la langue.
Alors qu'elle suffoquait, la bite continuait à vibrer vomissant son épais bouillon glaireux, lui emplissant la bouche, enfin le flot se tarit et il se retira de sa bouche. Il observa la jeune femme secouée de nausée rampant pour atteindre la boite à ordure pour y recracher le foutre.
Puis Mélanie fut saisie aux épaules et allongée sur le lit conjugal, encore habillée, mais sans culotte elle dut se mettre à quatre pattes sur le lit, puis elle sentit le lit s'affaisser sous le poids de Rod Mentor.
De ses petites mains dodues et moites il lui caressa les cuisses, puis il remonta sous la jupe pour la saisir aux hanches. Le gros porc allait la prendre comme un porc. Elle ferma les yeux et renifla de honte en, sentant le bourgeon de chair se présenter à l'orée de sa féminité.
- Oh Mon Dieu ... Faites moi mourir ....."
sanglota-t-elle envahie par la honte alors que l'épais gland s'insérait entre ses babines gonflées.
- Maintenant je vais te baiser sale chienne .....C'est vraiment trop bon... Yahouuuu petite chienne ....... Je vais te baiser comme la vraie pute que tu es ......."
Tonnait Rod Mentor s'enfouissant dans le sexe de la beauté en pleine détresse.
- Ohhhhhh OUi .... Quelle chienne .........Ouiiiiiiii .... La salope ....... Je vais bientôt juter ........ Je vais te remplir de foutre ....... Le gros porc va se vider les couilles dans ton con ...... Ohhh Chérie ......Je vais te coller un petit goret dans le tiroir .... Ohhhh Ma salope .......
- Nonnnnnnn ....... Non ....... Non .... Retirez vous .....S'il vous plaît ..... Je vous en prie ......Retirez vous ....... Retirez vous s'il vous plaît .... Je ne veux pas que vous me mettiez enceinte ....."
Sanglota misérablement Mélanie.
Déjà la veille, elle ne s'était pas curée la chatte pour expulser le sperme du jeune quaterback qui l'avait baisée, caressant l'idée d'être enceinte des oeuvres du jeune ado.
Mais là, c'était bien différent, elle frémissait de révulsion à l'idée d'être engrossée par cet immonde gros porc. Elle chercha à s'évader vers l'avant, échappant à sa poigne, mais il la tenait fermement.
Elle dut se résigner à une totale défaite, et elle laissa tomber sa tête en l'entendant grogner dans son dos tandis qu'il se vidait les couilles dans son con fertile.
Mélanie gisait sur son lit sanglotant de honte, c'est alors qu'elle sentit des mouvements dans le lit, ce qui lui signalait le retour aux affaires du ce gros salaud qui venait de se vider les couilles dans sa chatte.
Il la saisit par les bras, la forçant à s'allonger sur le dos, puis il s'agenouilla entre ses cuisses et tendit la main vers le haut de son corsage, le lui déchirant :
- Habillée ainsi, on te croirait si pure et innocente ......Mais tu n'es rien qu'une salope de putain.
Il lui arracha vivement son soutien-gorge et sa jupe, les jetant au sol, ainsi que ses hauts talons blancs d'ailleurs. Puis il s'allongea sur elle reprenant ses assauts.
Mélanie se sentait si écoeurée qu'elle dut s'évader de la réalité le laissant prendre son plaisir. Elle se refusait à répondre à ses assauts, cachant ses sensations, elle ne voulait pas lui donner la satisfaction de la faire jouir.
- Owwwwww ..... " cria-t-elle lorsqu'il lui mordit voracement un téton.
- Tu n'es qu'une salope ...... Participe ........ Ou je te couvre la poitrine de morsures ....... Tu expliqueras ça à ton cher mari ......
Menaça-t-il... Face à cette perspective, elle se força et noua ses cuisses dans son dos, étreignant le gros porc alors qu'il allait et venait dans sa moule résignée, il grogna à nouveau comme un verrat lorsqu'il s'exonéra dans sa cramouille rétive.
Rod Mentor la baisa encore trois fois, il se débrouillait pour rester en forme, il en voulait pour son argent. Il avait donné 800 $ pour la posséder dans le lit conjugal, il pouvait la baiser aussi longtemps qu'il le pourrait.
Evidemment il était déterminé à faire durer le plaisir.... Finalement il dut s'avouer épuisé, mais il en avait eu pour son argent. En se rhabillant, il avisa Léon :
- Considère moi comme un client habituel de cette petite salope .
Mélanie n'avait pas joui une seule fois, durant cette longue épreuve, son dégoût était trop profond. Mais, lorsque Léon lui ordonna de se dévêtir, puis de se mettre à quatre pattes, elle sut qu'elle n'allait plus tarder à jouir.
Comme la veille, il lui manipula lascivement le clito, puis il l'encula, elle vit à nouveau des étoiles alors qu'elle criait encore et encore sous les caresses de ses doigts impitoyables. Echangeant leurs places, Rod Mentor avait enregistré toute la scène.
Sortant du sommeil réparateur qui avait suivi cet orgasme fulgurant, elle jeta un oeil sur le réveil posé sur la table de nuit. Elle sauta sur ses pieds!
Dans vingt minutes Dave serait de retour, il risquait de ramener quelques amis vider une bière, elle se pressa d'ouvrir les fenêtres pour chasser cette entêtante odeur de baise puis elle remit le dessus de lit.
Elle se rua ensuite dans la salle de bain et prit une douche, se curant la chatte, se retrouver enceinte du jeune quaterback était une chose, mais il était tout à fait exclu de se faire engrosser par l'immonde gros porc qui lui avait succédé.
Sachant qu'elle devrait continuer à acquitter le prix de son silence, Mélanie décida de reprendre la pilule, en dépit de ses effets nocifs. Elle avait tendance à s'assoupir, à se sentir lasse.
Il s'agissait là d'un petit inconvénient au regard du risque de se faire engrosser par n'importe qui, par Rod Mentor par exemple ou bien d'accoucher d'un bébé noir.
Elle fut particulièrement ennuyée d'entendre Léon lui annoncer, juste avant de partir, que la saison de basket allait reprendre dans une paire de mois, et qu'il se demandait si Maurice Brown entrerait dans la combine si on lui proposait en retour d'utiliser les trois trous d'une jolie prof blanche.
L'idée de devoir coucher avec un étudiant de quatrième année l'embêtait. C'était la vedette de l'équipe de basket, il pesait 115 kg pour une taille de 2,10 m, sa peau était noir charbon. Elle était certaine que Maurice Brown marcherait dans la combine, bien trop heureux de profiter tout son saoul des charmes de sa ravissante prof d'anglais.
Maurice avait une réputation de tombeur au lycée, les filles de l'école se succédaient dans son lit, il prenait un plaisir particulier à niquer les jolies petites blanches. Profiter des appâts de la ravissante prof d'anglais ne pourrait que l'emballer.
Six semaines plus tard, Mélanie comprit qu'il était inutile de continuer à prendre la pilule, elle était enceinte. Vérifiant sur son calendrier, il lui sembla que ses espoirs d'être engrossée par le jeune quaterback étaient couronnés de succès.
Elle priait seulement pour que la douche vaginale qu'elle s'était imposée pour chasser le sperme de cet immonde gros porc de Rod Mentor avait été concluante, il subsistait cependant une malchance qu'elle soit enceinte des oeuvres de cet immonde salaud.
John Schroeder menant l'équipe dans son championnat, gagnait à chaque fois avec un nombre de points préalablement défini avec Léon. Léon fit donc son beurre en pariant à coup sur pendant toute la saison.
Mélanie rejoignait avec plaisir le jeune quaterback chaque samedi après-midi au Starlight motel, elle se donnait à lui en récompense, cela faisait partie du marché qui liait Léon et John.
En fait elle y prenait beaucoup de plaisir, elle lui chuchotait à l'oreille :
- Oh John ..... Baise moi .... Encore ....... Jouis .... Arrose moi de ta semence .....
C'est donc avec enthousiasme qu'elle participait à leurs étreintes, nouant ses chevilles dans son dos, ses bras sur ses épaules, se cambrant pour mieux le recevoir dans sa moule accueillante.
Comme tous les ados de son âge, John ne disposait pas de beaucoup d'argent, aussi, la saison de football terminée, il n'avait plus rien à proposer pour continuer à jouir des faveurs de la jolie petite prof blanche.
Mais comme le gain du championnat avait rapporté une petite fortune à Léon, Il lui accorda un important bonus.
John disposait, en toute liberté de Mélanie pour une après-midi et une nuit au Starlight.
Elle avait toujours caché ses sentiments en présence de Léon, mais pour ce jour spécial, seule avec John elle pouvait se laisser aller le priant d'une voix rauque:
- Oh John ..... Baise moi..... Baise moi fort....... Baise ta petit salope de prof...... Jouis dans son ventre ........ Emplis moi de ton foutre chaud ......... Vide tes couilles dans la chatte de ta prof d'anglais .....Ohhhhh oui ....... Encore .... Je jouis ........ Vide toi ..........
Et pour la première fois, elle l'avait informé qu'elle avait menti à son mari, prétextant une sortie avec des amies, cet aveu renforçait encore le plaisir du jeune quaterback.
Elle mentait à son mari pour passer l'après-midi au lit en sa compagnie. Ils restèrent au lit jusqu'au lendemain matin, terminant par une dernière séance de baise sous la douche.
Mélanie détestait les derniers dimanche du mois, ce jour là elle recevait l'immonde Rod Mentor dans son lit conjugal, il payait cher pour profiter de ses appâts, mais à chaque fois il repartait épuisé l'abandonnant gisante sur son lit, secouée de sanglots de dégoût.
Elle frissonnait de révulsion rien qu'au contact de ses sales pattes dodues. Chaque fois elle le subissait avec horreur, recrachant son sperme dans la boite à ordure, se curant la chatte avec énergie pour se laver de ses souillures.
Un mois après la fin du championnat, Dave Eberling ouvrit la porte d'entrée à John Schroeder, il sut immédiatement à qui il avait affaire, le nom du jeune quaterback était connu de tous dans la ville, c'était lui qui avait fait mener l'équipe locale au titre de champion.
Il accueillit chaleureusement le jeune homme appelant sa femme :
- Mélanie, Mélanie, devine qui est là?
Voyant que la vue du jeune quaterback laissait sa femme sans voix, il reprit:
- John pense qu'il a pris du retard dans ses études au cours de cette saison, il aimerait que tu l'aides à rattraper son retard... Je lui ai répondu que ça te ferait plaisir de l'aider, après tout ce qu'il a fait pour le lycée...
Tandis que Dave retournait s'occuper de sa pelouse, sa gentille femme s'impatiente d’emmener le jeune étudiant dans son bureau, là il pourrait entretenir son gazon personnel.
Puis la saison de basket repris.
Le premier match était programmé ce vendredi soir.
Pendant tout le week-end, elle avait réfléchi à la signification des nombreux coups d'oeil que lui avaient jeté Maurice Brown les jours précédents, lui souriant ironiquement, se pou léchant les lèvres de la langue à sa vue, cela lui paraissait clair, Léon avait négocié ses appâts contre sa participation à ses combines.
A la fin des cours, ce vendredi après midi, elle frissonna alors que ses étudiants sortaient, Maurice Brown resta dans la salle de classe, comme il s'approchait de son bureau, Mélanie sentit un frisson d'anxiété parcourir son corps des pieds à la tête.
Il lui sourit goguenard, lui caressa le bras lui chuchotant:
- Je te verrai demain après-midi, charmante madame Erberly... Je veux que tu portes cette tenue verte et les hauts talons que tu avais la semaine dernière.
Et l'après-midi suivant, Mélanie ferma les yeux tandis qu'il s'installait entre ses cuisses dans une chambre du Starlight motel. Elle était allongée sur le lit, cuisses remontées, sa jupe verte troussée sur ses hanches, le fond de sa petite culotte en dentelles écarté.
On ne l'avait jamais prise aussi brutalement, et maintenant son corps la trahissait alors qu'elle nouait bras et jambes autour de son torse musculeux. Elle rebondissait d'orgasme en orgasme le suppliant:
- "Ohhhhh .... Baise moi .... Encore ....... Maurice .... Vide toi dans ma chatte ..... Emplis ta prof d'anglais de ta chaude semence .......... Vide toi les couilles ......
C'était maintenant la fin de l'été et les Eberling se préparaient à leur futur rôle de parent, les tests indiquaient qu'elle allait accoucher d'un petit garçon. La chambre de bébé était peinte en bleu ciel, et la chaise à bébé était prête à l'accueillir.
A cet instant, dans la chambre de la maternité, Dave ne comprenait pas pourquoi sa femme ne se réjouissait pas plus à la vue du bébé que venait d'amener une infirmière.
Il avait vu sa femme pleine d'entrain en préparant la chambre du bébé le mois dernier, elle avait manifesté une joie intense jusqu'à la naissance.
Il savait qu'elle allait traverser une période de dépression d'autant plus vive qu'elle avait accouché d'un bébé de 9 livres, il savait que bien des femmes passaient par ce stade dépressif, il espérait que ce ne serait pas bien sérieux.
En fait Mélanie avait été vraiment très heureuse d'accoucher de ce bébé, et était restée dans cet état de grâce jusqu'à la naissance, mais une fois le bébé lavé, c'est lorsqu'on le lui amena la première fois, qu'elle se désola à sa vue.
Un seul regard lui suffit, elle sut tout de suite que ce n'était pas le fils du quaterback, il ressemblait à son immonde géniteur, il lui rappellerait chaque jour le gros salaud qui la possédait dans le lit conjugal.
Elle ne pouvait que rester étendue, le bébé lui tétant un sein tout comme son père qui lui tétait et lui mordillait les mamelons, tandis qu'elle se remémorait ses immondes assauts.
En cette fin de l'été, Mélanie avait programmé son retour au domicile pour la reprise des cours, elle n'aurait plus à coucher avec John Schroeder qui avait quitté le lycée.
Elle avait lu dans la revue sportive locale qu'il serait remplacé par un étudiant transfuge d'un autre lycée. L'article le décrivait comme un excellent joueur mesurant 1,95 m pour 105 kg.
Elle frissonna longuement à la vue de la photo du jeune joueur, il était noir charbon, les cheveux tressés en dreadloks. Elle savait que Léon ne tarderait pas à le faire entrer dans ses combines, évidemment le prix en serait ses faveurs.
Elle n'avait pas fini de se prostituer pour lui..
Traducteur: Coulybaca
Auteur:Blackdemon