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Pour finir ces redif de l'été. Vous connaissez Béatrice...

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 Attention extrême...
Une histoire préhistorique.
Comme on les aime.
Une salope et des reubeux.
Que demande le peuple...?

Les tribulations de Béatrice
Béatrice vient de fêter son cinquantième anniversaire il y a tout juste une semaine. Cette femme d'un mètre soixante huit, aux cheveux courts méchés blonds et châtain passe encore pour jolie malgré son ventre un peu trop rond et ses fesses un peu trop plates. Mais Béatrice est une femme qui sait se vêtir pour masquer ses imperfections et mettre en valeur sa poitrine généreuse qui a encore fière allure. De plus, bien souvent, ses grands yeux marrons allument le feu dans le regard des hommes qu'elle croise, et ça, pour Béatrice, c'est un plaisir dont elle veut jouir le plus longtemps possible.

Évidement, Richard, son mari, n'apprécie pas bien que son épouse ait ce regard allumeur. Et il vit mal les petits jeux de séductions de sa femme. A cinquante trois ans, avec un peu d'embonpoint, il sait pertinemment qu'il n'a plus le physique d'un play-boy, mais il aime encore sortir avec sa femme dans les night-clubs, se pavaner à ses côtés le samedi après-midi en ville ou le dimanches dans les ruelles chaudes de la ville.

La vie pourrait presque être idyllique, les revenues d'une secrétaire et d'un technicien qui,

sans être faramineux, restent très corrects, un pavillon en périphérie de la ville avec un intérieur coquet sans être excessif, de quoi partir en vacances, quelques amis pour les soirées d'hiver, bref, une vie somme toute confortable. Surtout que leurs deux enfants sont pratiquement élevés, l'aîné est déjà parti de la maison, et seul le cadet a encore sa chambre dans la maison, mais il ne l'occupe que rarement étant étudiant dans une autre ville.

Mais ce que Richard déteste, c'est lorsque son épouse commence à abuser de l'apéritif. Ce

qu'il hait, c'est lorsqu'elle devient agressive, allumeuse, provocante. Bien sûr Béatrice met toujours ça sur le compte de l'alcool et va souvent jusqu'à s'excuser les lendemains, mais Richard ne peut refréner ses souvenirs, surtout que lui boit bien moins, et, de toutes façons, supporte mieux l'alcool.

Depuis quelques années déjà, certaines soirées, au lieu d'être calmes et enjouées, se finissent plutôt mal. Est-ce un besoin impérieux de se rassurer sur sa féminité et son pouvoir de séduction qui pousse cette femme, au look plutôt bourgeois, à, littéralement, draguer en boîte sous les yeux de son mari? Est-ce un fantasme particulier qui l'amène à séduire des nord-africains ou des noirs? Est-ce la peur d'une forme de monotonie dans sa vie qui dirige Béatrice vers ce côté glauque qui est à l'opposé de ce qu'elle a choisie de vivre?

Toujours est-il que Richard, blessé par les excès de son épouse, supporte de plus en plus mal les frasques de Béatrice. Lors de la dernière sortie, il a même fini par rentrer à pieds, laissant sa femme se débrouiller pour gérer une situation qu'elle avait tout de même créer.

Bien sûr, le lendemain de cette soirée fut aussi très animé. Béatrice éprouva de la honte pour

sa conduite, surtout qu'elle n'avait plus aucun souvenir entre le moment où son époux était parti et le lendemain matin dans le lit. Bien évidement elle avait demandé pardon et avait même promis que cela ne se reproduirait plus.

Or, ce samedi soir là, après un dîner en tête à tête dans un petit restaurant chinois, le couple décide d'aller faire un tour dans la vieille ville. Après avoir pris un cocktail dans un bar feutré, l'alcool semble commencer à exciter Béatrice qui implore son mari de finir la soirée en boîte.

L'homme, après avoir fait promettre à son épouse de bien se tenir, fini par accepter au termed'une longue négociation.

La soirée commence doucement, encore assez peu de clients, et Béatrice profite de la piste

vide pour danser sur les airs de sa jeunesse qui reviennent à la mode en force. Richard s'ennuie quelque peu, mais de toutes façons, la musique l'empêcherait de pouvoir discuter, donc il se contente de regarder sa femme se trémousser et il ne fait pas attention aux mouvements dans le club.

Quatre arabes viennent de rentrer et se sont installés à la table juste derrière le couple. L'un d'entre eux, visiblement attiré par la femme blonde qui danse sur la piste, se place au bord de la piste et observe en souriant les déhanchement qui font virevolter la jupe courte, montrant ainsi les longues jambes gainées de nylon.

Béatrice s'aperçoit qu'elle a attiré l'attention de ce bel arabe et commence à en ajouter encore par des gestes plus coulés et sensuels, bientôt elle lui adresse un grand sourire. L'homme vient alors danser à côté d'elle en cherchant visiblement un contact plus charnel. Et, tout en lui posant doucement la main sur l'épaule, il lui dit d'une voix forte pour surmonter le volume de la musique :
- Bonjour vous... Vous dansez toujours aussi bien...
- On se connaît?
- Je vous vois de temps en temps ici avec votre mari...

Les deux personnages continuent à danser sous les yeux de Richard qui commence à ne pas apprécier la hardiesse de cet inconnu, surtout quand il voit l'homme prendre les hanches de son épouse pour la faire se trémousser de façon encore plus lascive et que cette dernière se laisse faire.

Le serveur vient détourner l'attention de Richard et celui-ci commande deux whisky-coca. Puis  il reprend l'observation de sa femme et voit celle-ci venir vers leur table en tenant l'homme par la main!
- T'emmerde pas à commander quelque chose, Ahmed nous offre un pot à sa table...
La  voix de la blonde n'est pas très clair, et le fait qu'elle soit obligé de crier pratiquement pour se faire entendre amplifie encore la déformation dû à l'alcool.
- Bonjour... Votre femme m'a parlé de vous.
- Bonjour...
Tu penses, se dit Richard dans son fort intérieur, toi mon coco tu es plutôt en train d'essayer de te faire ma femme oui! Mais faisant contre mauvaise fortune bon cœur, il accepte l'invitation en descendant de sa chaise haute et en suivant l'homme.

La soirée avance doucement pour Richard qui voit sa femme boire les verres qui lui sont servis un peu trop vite à son goût. Bien sur les quatre hommes sont très sympathiques avec lui, mais ils les sent tout de même tous très attirés par sa blonde épouse.

Béatrice a l'impression d'être au paradis. Certes l'alcool amplifie cette sensation, mais les regards embrasés des hommes, leurs mouvements qui amènent leurs mains toujours plus près du corps désiré, leurs paroles flatteuses sont autant d'hommages qui font frissonner cette femme de cinquante ans. De plus, et bien qu'elle n'en est pas vraiment conscience, le fait qu'ils soient arabes lui donne l'impression de vivre une sorte de conte des mille et une nuits et lui échauffe le sang.

Les quatre hommes sont excités par cette femme qui rit à chacune de leurs paroles, ils comprennent très vite qu'ils font parties des fantasmes de la blonde. Chacun s'imagine avoir une opportunité avec cette femme, mais chacun sait aussi qu'il va falloir éliminer le mari pour aller plus loin, néanmoins, aucun des quatre ne tient à déclencher les hostilités avec l'homme de peur de voir la femme lui échapper.

Ahmed, celui qui a accoster la femme en début de soirée, prends bientôt en main les opérations. Voyant que Béatrice se trémousse sur le haut tabouret, se met debout et vient prendre la blonde par la taille en lui disant à l'oreille d'un ton sans appel :
- Viens on va danser tous les deux...

Richard supporte de plus en plus mal cette situation. Entre les mains qu'il comprend baladeuses des quatre mecs et l'attitude juvénile de sa  femme qui se laisse draguer sous ses yeux, il commence à penser qu'elle est réellement une vieille salope et il se rend compte que, si ce soir elle était sortie seule, il y a longtemps qu'elle se serait laissé embrasser par un des quatre jeunes hommes, dont le plus âgé, Ahmed, n'a pas plus de trente-cinq ans. Il suit d'un regard assidu l'évolution sur la piste de son épouse et de l'arabe.

Ahmed sort le grand jeu pour étourdir cette blonde qu'il sent chaude est prête à bien des choses ce soir. Profitant un rythme un tant soit peu plus rock, il entame quelques pas de danse lui permettant de laisser ses mains prendre contact avec la majorité des parties du corps désiré. Et à chaque attouchement, il vérifie que la femme est bien réceptive à ses messages tactiles et sensuels.

Les mains qui frôlent son corps et semblent vouloir l'explorer toujours un peu plus loin, donnent des vagues de frissons qui parcourent la colonne vertébral de Béatrice. Bientôt elle sent une douce chaleur envahir le bas de son ventre, irradier ses reins. Elle commence à perdre pied et a de plus en plus de mal à gérer sa danse. Et à la fin du morceau elle fait signe à son compagnon de jeu qu'elle veut aller se reposer.

Ahmed décidant de mettre à profit l'exaltation de la femme qu'il a détecté, plaque sa main sur la fesse droite de sa cavalière et la laisse en place pendant le court trajet de la piste à la table. Il sent la contraction des muscles à chaque pas, la fine dentelle de la culotte sous la robe légère, et comme cette femme ne fait aucun geste pour lui retirer la main, il comprend qu'il va falloir jouer serré pour évincer le mari.

Béatrice s'assoit totalement troublée par la présence furtive de cette main à l'instant. Elle sait son sexe inondé et a l'impression que sa cyprine commence à envahir toute sa vulve. Elle boit une grande rasade de son verre qui ne désemplit pas. Elle sent alors la chaleur de la main gauche d'Ahmed qui vient de se poser très haut sur sa cuisse gauche sous la table.

Le danseur est venu reprendre sa place, à droite de la blonde et à gauche de son mari. Dès son arrivée, il ne s'est assis que d'une fesse sur le grand tabouret, et a tout de suite placer sa main gauche sous la petite robe légère et sur la cuisse. Très discrètement il commence à explorer la zone à la recherche de la chatte qu'il aimerait mouillée.

La blonde fixe son mari, elle est encore plus troublée par la main de l'homme qui commence

à s'aventurer de plus en plus près de son sexe, puis, comme prise d'une idée subite, elle annonce assez fort :
- Il faut que j'aille au petit coin...
- Si tu as besoin d'un coup de main n'hésites pas à me demander, répond du tac au tac

Ahmed suffisamment fort pour que le mari puisse entendre.

La blonde se lève avec un grand sourire qu'elle adresse au bel arabe sans regarder un seul instant son époux, puis se dirige vers les toilettes.
- Dis donc! Tu veux un coup de main?
Richard s'adresse à l'homme sur un ton méchant d'où sa jalousie pointe.
- Oh, c'est pour rire, ta femme n'arrête pas de me parler de toi tu sais...
- Ouais... Mais cette salope danse pour allumer les mecs sur la piste.
- Oui... C'est vrai qu'elle allume un peu tout de même...
-  Je trouve aussi!
- Tu sais, toutes les femmes sont des salopes finalement quand on regarde bien, tu ne crois pas?
- T'as peut être raison... Ce soir elle se conduit vraiment comme une allumeuse!
- Ouais... Et à ta place je ne me laisserai pas humilier devant tout le monde!

Cette fois, ça y est, Richard est remonté à bloc et prêt à en découdre avec sa bourgeoise dès qu'elle reviendra.

Béatrice arrive aux toilettes et attend que la pièce se libère, en fait elle n'a pas réellement envie d'uriner, mais ce soir par contre, elle a une grosse envie de laisser son côté femelle en chaleur s'exprimer, et elle est venue dans l'unique but de retirer sa culotte en espérant bien que son ardent cavalier recommencera ses caresses dès qu'elle sera de retour.

La porte s'ouvre, une petite femme brune sort et laisse la porte ouverte, la blonde s'engouffre dans la pièce, retire prestement sa culotte et la jette dans la petite poubelle prévue pour les protections périodiques. Puis, électrisée par son audace, elle retourne d'un pas rapide à la table.

Richard rumine sa colère et se prépare à traiter son épouse de salope dès que cette dernière aura la moindre attitude équivoque envers les quatre hommes de la table.

Béatrice fixe effrontément Ahmed avant de reprendre sa place en s'arrangeant pour que sa courte robe cache le moins possible la chair de ses cuisses dont elle est généralement assez

fière, et en s'assurant que le bel arabe apprécie tout ce qu'elle fait pour lui.

L'homme qui a parfaitement reçu le message. Il attend quelques secondes, puis se tourne vers le mari pour capturer son attention en lui proposant un toast, il en profite pour glisser à nouveau sa main gauche sur le haut de la cuisse. Sentant que la belle écarte ses jambes pour mieux l'accueillir, il va directement au contact du sexe pensant rencontrer les contreforts de la culotte. Pendant une fraction de secondes, il affiche sa surprise, puis, se maîtrisant parfaitement, il entreprend de dégager le clitoris de son pouce.

Comme la blonde s'avachie de plus en plus sur la table, tenaillée qu'elle est par les ondes de plaisirs émanant de son bouton d'amour, le mari, toujours sous pression et cherchant à terminer la soirée au plus tôt, en profite pour dire d'une voix autoritaire :
- Dis! Tu ne peux pas te tenir mieux que ça!
- Ça va! Je fais ce que je veux!
- Tu cherches quoi exactement là? A passer pour une traînée?
- Si t'es pas content, t'as qu'à rentrer connard...
Et sur ces mots, Béatrice se lève maladroitement pour retourner danser.

Ahmed qui comprend tout de suite le profit qu'il peut tirer de la situation, s'empresse de dire à l'homme blessé par les mots humiliant de sa femme :
- Laisses... C'est le whisky qui parle là...
- Attends! Tu ne crois tout de même pas que je vais laisser cette salope me parler de la sorte!
- Je crois que tu es aussi énervé qu'elle, le mieux serait que tu ailles prendre un peu l'air. ..

T'inquiètes pas, je veille personnellement sur ta femme, il ne lui arrivera rien.
- Elle me fait tellement chier ce soir que j'ai bien envie de lui donner une petite leçon et de

rentrer sans elle.
- Si tu veux je peux la ramener dans un petit quart d'heure, histoire qu'elle comprenne. Mais tu as raison, elle mérite une leçon cette salope!
- Bon! Je vais pisser moi.
Et Richard se lève. Il n'a pas fait trois pas qu'il se rend compte qu'il a tout de même trop bu ce soir, et le trajet jusqu'aux toilettes se révèle bien périlleux.

Ahmed suit l'homme d'un regard amusé et inquiétant. Il se dit qu'il devient impératif que l'homme s'en aille car il a une furieuse envie de se faire cette vieille salope qui n'arrête pas de l'allumer. Dès que le mari est entré dans les toilettes, il se tourne vers la piste pour voir où en est cette chaude blonde sans culotte.

Béatrice, tout en dansant joyeusement, se laisse approcher par un homme assez corpulent.

Bien que l'homme ne lui plaise pas du tout, elle est très heureuse de voir son pouvoir de séduction opérer avec toujours autant de force. Et que le bonhomme est les mains baladeuses lui aussi, l'enchante totalement.

Ahmed regarde le manège de l'homme qui a visiblement lui aussi un bon coup dans les carreaux. Cependant il ne veut pas non plus laisser échapper cette proie, il a d'autres projets en tête pour elle.

Richard a un mal fou à se tenir debout devant la cuvette. Il perd l'équilibre une seconde et est obligé de lâcher sa verge pour tendre le bras et éviter d'aller dans le mur du fond la tête la première.  Ce faisant, un pan de chemise se place dans le jet d'urine, et il finit par mouiller son pantalon. Le temps qu'il réagisse, il a une grosse marque d'humidité sur le haut de son pantalon.

Ahmed se lève et va rejoindre la blonde sur la piste. Dès qu'il arrive derrière elle, il passe ses bras musclés autour de sa taille et danse ainsi en indiquant bien à tout le monde, et au gros homme en particulier, que cette femelle lui appartient.

Béatrice se sent comme prisonnière, cela la trouble et l'excite encore d'avantage. Maintenant elle se laisse complètement guider par ce bel homme dont elle a une irrésistible envie. tout en se trémoussant, elle frotte ses fesses contre le sexe de l'homme qui est plein de promesses.

Le mari rage contre lui-même dans le toilette. Il s'en veut d'avoir vraiment trop bu, et ressent une honte indicible qui le dessaoule quelque peu. Il n'a plus qu'une envie, se sauver en courant. Il sort du cabinet, et, rasant les murs, se dirige droit vers la sortie où, justement, le videur ouvre la porte pour laisser sortir d'autres clients. Richard en profite pour balbutier un salut rapide et sort dans la rue.

Là, l'air frais le saisie et semble le dégriser encore un peu plus. Mais les effets de l'alcool qui empêche son cerveau de fonctionner normalement sont toujours présents, et sont même plus pernicieux. Il se dit que sa salope de bonne femme n'aura qu'à se faire raccompagner par les mecs à qui elle a tant fait les yeux doux. Et il se dirige vers la voiture.

Ahmed danse toujours de la façon la plus lascive possible en tenant la blonde, mais il s'est tourné de telle façon qu'il peut voir le mari gênant sortir des toilettes et partir comme un voleur. Ne sachant pas encore trop quoi penser de cette fuite, ni si elle est définitive ou juste temporelle, il décide d'avoir plus d'information et ramène la femme, toujours dans ses bras, à la table. Là, il commence à la questionner :
- Je viens de voir ton mari sortir, vous êtes garé où?
- Oh! Laisses le, c'est un connard...
Et Béatrice penche sa tête en tendant ses lèvres. L'homme ne peut pas faire autrement que de l'embrasser. Il en profite pour explorer ce sexe ffert avec ses doigts gauches, mais très adroits, et presser le sein gauche à sa disposition de sa main droite, combinant pression et relâchement au rythme de son fougueux baiser. Mais, bien qu'il cherche à faire perdre la tête de cette femme en chaleur, il n'en oublie pas pour autant qu'il court des risques si le mari revient maintenant, aussi il cesse son baiser pour revenir à son sujet de préoccupation en disant :

_ J'ai une énorme envie de toi ma jolie cochonne, mais j'aimerai être sûr que ton mari est bien parti, tu es garée où s'il te plaît?
- On s'est garé dans la rue, juste avant le club, tu sais devant le petit restaurant qui est là...
- Et tu as quoi comme voiture ma belle?
- Une Clio blanche...
- Attends-moi là, je vais voir si il est parti ou pas...
Ahmed embrasse à nouveau fougueusement la femme en lui malaxant durement le sein, puis se lève d'un bond et se dirige vers la sortie.

Béatrice est maintenant sur un petit nuage. Cet homme la fait mouiller terriblement, elle se sent femelle jusqu'au bout des ongles, et elle a même apprécié lorsque l'homme lui a écraser le sein de sa main puissante. Elle laisse son imagination vagabonder et se voit déjà dans une étreinte torride avec ce bel arabe.

Au bout de quelques minutes Ahmed revient, il se place juste à côté de la blonde, la prend dans ses bras pour la tourner vers lui, et lui annonce :
- Ton cocu de mari s'est barré, on va pouvoir être tranquille, et j'ai très envie de toi...

A nouveau l'homme embrasse la blonde. Cette fois il lui tient la nuque de sa main gauche alors que sa main droite va directement sous la robe. Là, il introduit son index et son majeur joins dans la  vulve détrempée, et masse doucement le clitoris avec son pouce.

La femme se pâme. Entre l'excitation de ce baiser, les ondes de plaisirs que lui procure son clitoris et les caresses de ces doigts magiques qui fouillent son intimité en dilatant son vagin, elle en ait plus où elle se trouve, ne pense plus aux autres clients et aux trois hommes attablés avec eux et se laisse maintenant aller comme si elle était seule avec son nouvel amant.

Dans un souffle, arrêtant un instant son baiser, Ahmed dit à sa proie d'un ton ne supportant aucune contradiction :
- On va chez moi...
Puis il se tourne vers ses amis et annonce
- Bon! On lève le camp...

Sans comprendre réellement ce qui se passe et en quelques minutes seulement, Béatrice se retrouve dans la voiture assise à l'arrière entre Ahmed et Aziz. Son amant s'adresse au chauffeur en arabe et la voiture démarre. Dès qu'elle roule, Ahmed remonte la jupe de la blonde et dit suffisamment fort pour que tout le monde puisse entendre :
- J'adore les vieilles salopes comme toi qui ne portent pas de culotte...
Puis il l'embrasse à nouveau.

L'atmosphère étrange, l'alcool, l'excitation, tout concourt à mettre la femme dans un état second. Elle sent des mains caresser ses cuisses, son entre-jambes, ses seins, mais cette langue qui fouille sa bouche lui donne tant de plaisir qu'elle se laisse faire comme si elle n'était déjà plus qu'un objet de désir.

Peu après, se calant contre la portière, l'homme s'arc-boute pour défaire sa braguette et glisser son pantalon sur ses genoux. Il exhibe sa grosse queue au regard fiévreux de la blonde en jouant avec le membre dans sa main droite. De sa main gauche il attrape la nuque de la femme et la contraint à venir prendre en bouche le sexe déjà impressionnant bien qu'il ne soit pas encore en pleine érection. Puis il ordonne d'une voix dure :
- Suces moi bien ma petite chérie...

Sans mot dire, Béatrice s'empare, d'une bouche gourmande, de cette bite parfumée. Et, bien qu'elle fasse peu de fellation à son époux, elle se surprend à déguster cette queue qui grossit dans sa bouche.

Aziz, qui a remarquer le manège de cette vieille salope tout au long de la soirée jette un regard complice à son ami, et comme ce dernier lui adresse un clin d'œil, il s'empare des fesses dénudées de la blonde et les écarte. Puis il se contorsionne sur la banquette pour venir lécher l'anus ainsi offert. Très vite il force le sphincter avec sa langue, tirant de ce fait, de longs râles étouffés de la blonde. Il s'aperçoit que le muscle n'offre que très peu de résistance, prouvant que cette vieille chienne a l'habitude de se faire sodomiser. Il le note mentalement et se promet d'en faire part à ses amis tout à l'heure.

Béatrice est aux anges! C'est la première fois que quelqu'un la sodomise avec la langue, et elle trouve cela divin. Et puis, la brusquerie de cet homme qui lui tient les fesses n'est pas pour lui déplaire, elle découvre que ce manque de manière ou de savoir vivre, dont n'use absolument pas son mari, est une chose des plus excitantes.

Bientôt la voiture ralentie, tourne à gauche et entre dans la cour d'un petit pavillon à la périphérie de la ville. Le conducteur stoppe le moteur et demande :
- Voilà Ahmed, nous sommes arrivé chez toi, tu nous offre un pot pour finir la soirée?
- Oui, oui, venez on va jeter un sort à ma bouteille de whisky...
Puis il baisse son regard sur la blonde qui le suce toujours et lui dit :
- Allez viens, on va prendre un pot et après je te fais grimper aux rideaux ma belle...

Toujours dans un état second, Béatrice se redresse et laisse son compagnon sortir de la voiture, puis, à son tour, elle sort en réajustant sa petite robe bleue.

L'homme attrape le bas de la robe de sa conquête et lui remonte haut sur le ventre dégageant ainsi sa chatte rasée avant que la pauvre femme ne puisse réagir, puis il lui ordonne :
- Reste comme ça, que mes potes puissent voir ta jolie moule lisse.
Puis il lui prend la main et l'entraîne dans la maison pendant que les trois autres hommes

sortent de la voiture et suivent le couple.

Tout va trop vite pour la blonde qui se laisse faire. Bien sûr de marcher ainsi la chatte à l'air est encore une nouveauté très excitante, mais elle a un peu honte également d'être ainsi exposée aux regards des autres mâles.

Les trois hommes observent en détail les fesses plates qui se dandinent devant eux.

Ahmed déverrouille la porte et fait pénétrer sa proie dans le salon. Là, attendant que ses amis arrivent eux aussi, il la prend dans ses bras, se tourne de façon à être face au canapé et l'embrasse à nouveau furieusement tout en frottant sa bite gonflée de désir, mais toujours enfermée dans son écrin de toile, contre la chatte nue et lisse. Très vite et avec habileté, il fait glisser les bretelles de la robe sur les frêles épaules.

Béatrice est terriblement excitée, elle sent son sexe mouillé abondamment, un léger frisson parcourt ses jambes, mais le fait que cet homme cherche à lui dénuder la poitrine, si vite et devant ses copains la gêne, elle commence à protester doucement en dégageant sa bouche :
- Non... Attends...
- Chut...
Répond l'homme tout en continuant à descendre les bretelles sur les bras de la blonde, faisant ainsi apparaître les deux seins qui tombent tout de même un peu et dont les tétons pointent en direction opposée. Puis il plaque à nouveau sa bouche sur celle de la femme et reprend son baiser avec encore plus de fougue.

Les trois acolytes entrent dans le salon et vont s'installer sur le canapé sans perdre une miette du spectacle qui leur est offert.

Lorsqu'il voit que ses copains sont confortablement installés et qu'ils fixent leur attention sur le cul de la blonde, Ahmed dégage sa bouche et fait tourner la pauvre femme sur elle-même pour l'exhiber en pleine lumière à ses amis en disant :
- Voilà les vieilles salopes comme je les aime, pas de soutif, pas de slip, toujours prête à être prises comme des chiennes qu'elles sont...

Est-ce l'alcool, le lieu, l'atmosphère ou l'excitation des mots crus, Béatrice ne pourrait le dire, toujours est-il qu'elle est totalement fière d'être le sujet de tous les regards. Elle dévisage orgueilleusement un à un les visages de ces trois hommes plus jeunes encore que son amant.

Ahmed se penche légèrement en avant attrape la cuisse gauche de la blonde, la tire à lui en la remontant en laissant la blonde sur une jambe, puis il ordonne encore :
- Écartes...
Puis tournant les yeux vers ses amis, il ajoute :
- Elle a une jolie chatte bien rasée cette vieille truie non?
Il prononce quelques mots en arabe, puis fini par dire :
- Vous pouvez venir toucher, je vous la prête...
- ais...
Commence à se plaindre Béatrice très surprise de l'attitude bizarre de l'homme avant qu'elle ne soit coupée dans son élan.
- Laisses toi faire, on va te faire jouir comme une reine des milles et une nuits ma salope.

Tout en maintenant toujours la jambe relevée, Ahmed embrasse à nouveau la blonde en lui passant sa main libre dans les cheveux. De longs frissons de volupté passent dans le dos de Béatrice qui ferme les yeux et se laisse pénétrer la bouche par cette langue énervée qui fouille en elle. Ses seins tremblent légèrement et les tétons se dressent comme pour réclamer leur dose de caresses. Bien que sa position ne soit pas très confortable, elle se rend compte qu'elle adore finalement être exhibée dans ces postures obscènes et elle mouille comme jamais au auparavant. Bientôt elle sent une goutte de cyprine qui s'échappe de son sexe détrempée et commence à couler le long de sa jambe droite.

Aziz, qui a déjà eu l'occasion de goûter au cul de la blonde, se décide à intervenir et se lève tranquillement. Il fait les trois pas qui le séparent du couple, puis s'agenouille et vient plaquer sa bouche sur la chatte offerte qui suinte. Très habilement il titille le clitoris avec sa langue tout en passant son majeur droit du sexe à l'anus.

De sentir ces deux langues qui la fouillent intimement provoque des étincelles dans le cerveau surchauffé de Béatrice. Elle perd le peu de conscience qu'elle avait encore quelques secondes avant, et s'abandonne totalement. Elle commence à pousser de petits râles qui viennent mourir dans la bouche de Ahmed qui n'arrête pas son baiser pour autant.

Les deux autres copains qui restent sur le canapé se regardent, et, de concert, se lèvent à leur tour et viennent auprès du trio infernal. Ali commence par tâter d'une main le sein droit de la blonde, et de l'autre il s'amuse à pincer sans ménagement le téton érigé. Moustafa, quant à lui reste devant Ahmed à contempler le spectacle qui lui est offert.

Ahmed, une idée derrière la tête, décide d'arrêter son baiser et s'adresse immédiatement ensuite à son ami Moustafa en lui tendant la jambe gauche qu'il tient toujours :
- Tiens moi ça s'il te plaît.

Le nouvel arrivant ne se fait pas prier et s'empare de la jambe pour la maintenir comme précédemment. Ali profite que la pauvre femme est la bouche libre pour venir l'embrasser à son tour.

Si elle n'était pas si saoule, très certainement qu'elle réagirai, mais dans l'état d'excitation et d'alcoolémie où elle  se trouve actuellement, Béatrice, ne se formalise ni d'être traitée comme un objet, ni qu'un autre homme à l'haleine chargée vienne l'embrasser, elle se laisse faire et pousse même un petit cri étouffé lorsqu'elle sent deux doigts s'insinuer dans son rectum.

Ahmed sort de la pièce pendant que Aziz, qui vient de glisser son majeur et son index accolé dans le cul de la femme commence à les pousser le plus loin possible à l'intérieur de l'ampoule rectale. Une fois que ses doigts sont totalement introduits, il commence à les écartés pour dilater l'anus. Pendant toute cette opération, il a continué à s'occuper frénétiquement du clitoris qu'il a toujours en bouche. Moustafa en profite pour venir à son tour malaxer le sein libre de la pauvre femme en faisant des commentaires salaces en arabe.

Ahmed revient avec son caméscope qu'il est en train de préparer pour filmer les ébats de ses quatre invités. Choisissant de commencer par une petite présentation, il va se placer dans le coin de la pièce qui lui permet d'être en face de la blonde, filme pendant quelque secondes la scène, puis demande en arabe à son ami Ali de cesser son baiser et de tourner vers la caméra le visage de la femme. Tout en filmant, et regardant la femme à travers le petit moniteur de son appareil, il commence à dire d'une voix forte :
- Alors vieille salope, t'aimes ça être dans les mains d'arabes non?

Béatrice, la tête guidée par la main ferme de l'homme qui vient de l'embrasser, a un regard perdu. Elle est toujours sous l'emprise de ses sens en émoi, et elle s'entend répondre, comme si sa voix venait de quelqu'un d'autre :
- Oui...
- On va te prendre comme la vieille chienne que tu es, tu le sais ça, hein?
- Oui...
- Viens filmer son trou du cul bien ouvert là, annonce Aziz en arrêtant un instant de s'occuper du clitoris. Puis il reprend sa succion.
- Comme ça tu aimes bien te faire prendre le cul ma salope?
- Oui...
- Tu vas voir, on va tous y passer dans ton cul, tu vas te régaler...
Puis Ahmed se déplace pour aller se mettre accroupi derrière la blonde et filmer l'anus oujours occupé par les doigts d'Aziz. Béatrice n'est plus qu'objet de désir et terrain de jeux pour ces grands enfants vicieux. Sa chair est palpée, malaxée, ses seins sont triturés, pincés, étirés, sa chatte et son anus sont explorés, fouillés. et pourtant, malgré le contraste entre le bien que peut lui faire cette langue habile et le mal de ces mains qui la triturent, elle est folle de bonheur. Autant les caresses apaisantes que les pincements douloureux sont sources de plaisirs. Et ces mots, ces mots si crus, si durs, sans aucune poésie, sans ambages ni douceur, et bien ces mots, eux aussi, participent à cet état d'abandon total dans lequel elle se laisse aller.
- Écartes lui bien le trou du cul que je filme ça en gros plan Aziz,
Dit Ahmed en cadran au plus près. Sans répondre, l'homme fait ce que son ami attend de lui en écartant ses doigts autant qu'il lui est possible et en les faisant lentement ressortir, ouvrant ainsi le sphincter.
- Ah salope, t'as un trou du cul! C’est un véritable appel au peuple ça! Tu dois en avoir pris des bites de ce coté-là! Et comme Béatrice ne répond pas, Ahmed donne une tape sur la fesse et demande encore :
- Alors salope! Tu réponds? Combien de fois t'es tu faites enculer?
- Je ne sais pas, finie par balbutier la blonde dans un souffle.

L'homme se remet debout et recul d'un pas tout en continuant de filmer la scène, puis il demande à ses amis :
- Allez me l'allonger sur la grande table...

Aziz retire ses doigts d'un geste brusque et se recul pour se mettre, lui aussi, debout. Ali lâche la jambe et Moustafa prend la main de la pauvre femme et la guide vers la table de la partie salle à manger de la grande pièce. Une fois arrivé devant la table, il lâche la main, prend la femme par dessous les bras et l'assois sur le plateau de bois. Puis il lui ordonne d'une voix bizarre :
- Allonges toi salope.

En tremblant un peu, car elle n'est vêtue que de sa robe roulée sur son ventre, Béatrice s'allonge doucement sur la table sans que personne n'est besoin de l'aider, les jambes dans le vide. Lorsqu'elle est allongée, elle entend la voix directive d’Ahmed lui intimer :
- Tu vas être notre pute... T'as envies d'être notre pute, hein?
- Oui...
Encore une fois c'est machinalement que la femme répond. Elle est maintenant totalement déconnectée de la réalité, et seuls ses fantasmes dirigent ses actes.
- Moustafa, place là qu'elle puisse nous sucer pendant qu'on va la baiser

Sans ménagement, l'homme qui vient d'être interpellé attrape les cheveux de la blonde et tire dessus pour qu'elle vienne se mettre au bord de la table. Dès qu'elle est en place, il défait prestement sa braguette, et sort sa queue déjà en érection, la porte à la bouche, et, appliquant une pression contre la tête de manière à ce que la femme ne puisse rien faire d'autre que d'ouvrir la bouche, il ordonne :
- Vas-y, suces salope.

Aziz est arrivé entre les jambes de la blonde et vient de recommencer à lui lécher la chatte.

Très vite il passe ses bras sous les cuisses écartées et les remontent haut sur ses épaules.
- Voilà une bonne vieille salope qui va nous servir de vide-couilles les mecs!
Annonce Ahmed tout en continuant de filmer. Cette fois il fait un gros plan sur la queue de son pote que la blonde suce au rythme des coups de langues qu'elle reçoit sur son clitoris.

Ali, ne voulant pas rester en dehors du coup, vient se placer à la gauche de son ami Moustafa et sort sa queue à son tour.
- Voilà ma salope, deux bites d'arabe pour toi toute seule, fais les bien bander. Le ton de la voix d’Ahmed en dit long sur sa propre excitation, néanmoins il continue de filmer. Il va se placer de l'autre côté de la grande table et zoom de manière à faire un gros plan sur le visage de la blonde qui vient de passer à la deuxième bite.

Enfilant prestement une capote, Moustafa se rend au bout de la table et donne une tape amicale à son complice Aziz en lui disant :
- Laisses moi la place que je la bourre bien cette pétasse mariée...
L'homme se relève et laisse sa place. Moustafa, s'emparant des cuisses de la blonde, vient placer son gros gland contre la vulve détrempée. D'un sévère coup de rein, il fait pénétrer son membre au plus profond du vagin, arrachant ainsi un cri à Béatrice qui reste tout de même étouffé par la bite qu'elle a en bouche.
- Vas-y mon ami, défonce lui la chatte à cette vieille truie salace...
Ahmed est venu se placer à côté de l'homme qui, effectivement, donne de violents coups de reins comme si il voulait faire pénétrer son dard toujours plus loin.

Des paroles en arabe sont échangées, mais la pauvre Béatrice ne peut rien y comprendre. De toute façons, au point où elle en est actuellement, c'est bien la dernière de ses préoccupations que de savoir ce qui se dit. Elle a l'impression d'être déchirée par cette énorme bite qui va-et-vient en elle à toute vitesse, et elle a bien du mal à continuer de sucer cette autre queue qu'elle a en bouche.
- C'est bon ça hein salope? Une bonne grosse queue qui te remplit bien la chatte, hein pétasse?

Comme la blonde ne répond pas à Ahmed, se dernier vient lui pincer le téton gauche tout en continuant à filmer, et ordonne encore :
- Allez, dis le salope que cette bite te fait plus de bien que celle de ton cocu de mari...
- Aie... Oui...
La voix est toujours étouffée, et entrecoupée de râles sourds.
- Tu vas voir quand Moustafa va te la mettre dans le cul...
L'homme ahane comme un beau diable en limant à grands coups de bites le vagin un rien trop étroit pour son membre. Mais avec la fin de soirée, l'excitation et l'alcool qu'il a aussi consommé sans trop de modération, il finit par jouir dans la capote dans un concert de jurons arabes.

Béatrice n'en peut plus, elle éjecte tant bien que mal la queue qu'elle suçait juste à l'instant encore, et part dans un orgasme fantastique qui lui arrache de grands cris.

Moustafa souffle un peu en gardant sa bite qui ramollie quelque peu bien plantée dans cette chatte distendue, le temps qu'il sente une tape sur l'épaule. C'est Ali qui est à côté de lui et qui, préservatif mis en place, se prépare à prendre maintenant la blonde. Sa queue, si elle est tout de même moins volumineuse que celle de son pote, est toutefois déjà d'un bon diamètre. Moustafa se pousse en retirant sa capote et en laissant la place. Ali prend les cuisses flasques de la pauvre femme, les relève le plus haut possible de manière à décoller le cul de la table, puis il applique son gland contre le sphincter en disant d'une voix menaçante :
- Moi je vais t'enculer vieille bâtarde...
La pauvre femme vidée ne réagit pas et se laisse faire. Après cet orgasme foudroyant elle cherche à reprendre son souffle, mais a bien du mal à y parvenir. Ahmed voyant son pote Moustafa retirer son préservatif plein de foutre, l'apostrophe :
- Non, attends, ne jettes pas ta capote, vas lui faire boire ton jus de couilles...
Aziz, dont la bite vient d'être éjectée de cette chaude bouche, se pousse sur le côté pour laisser la place à son ami. Moustafa prend le menton dans sa main et force la pauvre femme à ouvrir la bouche, puis, il amène le réservoir de plastique juste au-dessus, et laisse couler son sperme dans la bouche contrainte.

Ali suit le spectacle de près et attend pour faire entrer sa large bite dans l'étroit boyau.
- Régales toi de ce jus d'homme, avales tout et n'en perds pas une goutte salope.
Ahmed, tout en prononçant ces mots, se concentre sur sa prise de vue et fait un gros plan du foutre qui coule doucement de la capote pour atterrir sur la langue.

Complètement dans les vapes, elle se laisse faire et avale le foutre tiède sans se rendre compte du volume important que l'homme à éjaculer.


 A suivre...


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