La confrérie des routiers au service d'un jeune cul.
Attention: Scènes zoo...
Vacances en camion, foutre dans le fion.
Auteur : Euryale
Je m’appelle Michel et je suis étudiant. Comme j’ai un job toute l’année pour financer mes études, je garde mes deux mois de vacances d’été pour me reposer et repartir d’un bon pied à la rentrée. Ce ne sont pas des vacances de luxe que je me paye. Pour en profiter un maximum, c’est voyage en stop et camping, sauvage si possible. Je voyage vers le sud, ce qui me permet de limiter ce que je transporte dans l’espace limité de mon sac à dos.
Il est 18h en ce vendredi de la fin juin, l’idéal pour trouver rapidement une place dans un véhicule sur la nationale 7. Je trouve sans peine quelqu’un pour m’emmener jusqu’à Fontainebleau. La personne fait même un détour pour me laisser au meilleur endroit pour continuer, le carrefour de l’obélisque.
Il ne faut pas très longtemps pour qu’un camion s’arrête à mon niveau. J’ouvre la portière et alors que je monte dans la cabine un énorme berger allemand se pose devant moi. Impressionné, je me fige. Après quelques aboiements qui me laissent perplexe, le chauffeur envoie le clébard à l’arrière de la cabine.
- Salut, moi c’est Robert. Désolé pour l’accueil du chien. Mais il est sympa, tu ne crains rien. Laisse le s’habituer et tu verras, il deviendra très câlin.
- Ok, pas de soucis.
- Dis-moi donc où tu dois aller…
Je lui explique que je n’ai pas vraiment de but fixe. Lui va à Béziers ; cette destination m’ira très bien. Il me prévient qu’il fera une pause sur une aire pour se reposer ; je pourrais dormir moi aussi, mon siège est inclinable. En attendant : Vive les vacances !
Derrière, le chien se tient tranquille et je me détends peu à peu. Nous engageons la conversation qui démarre par des banalités d’usage. Petit à petit, les sujets deviennent plus personnels ; Robert m’explique que son père est Français et sa mère Espagnole et il roule dans les deux pays. Il lui est même arrivé de faire un trajet entre l’Andalousie et les Pays-Bas. Le bon côté c’est qu’une fois chargé, il est tranquille pour un moment, par contre, même si ça ne lui déplaît pas, il se sent parfois un peu seul et c’est pourquoi il prend souvent des auto-stoppeurs.
Le camion avance à grande vitesse ; les gros départs en vacances ont eu lieu la semaine précédente. Demain sera peut-être plus chargé, mais Robert espère avoir suffisamment pris de l’avance. Nous sommes dans les forêts du Loiret et la route pas très sinueuse : ça roule bien.
Sur les parkings qui jonchent la route, les prostituées font les cent pas en espérant des clients. Robert avoue qu’il lui arrive parfois de s’arrêter sauf lorsqu’il rentre chez lui le vendredi. Ce n’est pas parce que sa femme l’attend – il n’est pas marié – mais simplement pour ne pas perdre de temps. Et puis avec un peu de chance il lui arrive de tomber sur une sympathique auto-stoppeuse. Ou même un auto-stoppeur que ça ne dérange pas de faire une petite pipe en remerciement. Nous y voilà.
- Ça t’est arrivé de faire une petite gâterie pour remercier ton conducteur ? As-tu déjà eu une relation avec un homme ?
Je lui avoue que, comme pour ma destination, je n’ai pas de penchant sexuel fixe. À partir de là, la conversation prend une nouvelle tournure. Il me raconte quelques souvenirs croustillants de ses périples. Comme celle de cette étudiante qui rentrait chez elle pour fêter ses vingt ans, il y avait des bouchons importants et elle s’était installée entre ses jambes pour le sucer en attendant que la circulation reparte. Il y avait eu un accident grave et ils avaient été immobilisés pendant deux heures. La pauvre fille avait des crampes à la mâchoire après ça, mais lui n’avait jamais autant apprécié un bouchon.
Alors qu’il me narre ces anecdotes, je me rends compte qu’il se frotte machinalement l’entre jambes. Je sens que je vais bientôt passer à la casserole. Il y a pire comme entrée en matière pour des vacances. Robert n’est pas Brad Pitt mais c’est loin d’être Quasimodo !
Il est 20h, passées de quelques minutes : Robert annonce qu’il va s’arrêter pour manger. Il me demande si j’ai quelque chose dans mon sac. Lui a de quoi préparer sa tambouille.
- Quand il y en a pour un, il y en a pour deux.
Une demi-heure plus tard, il met son clignotant pour s’arrêter dans une station essence. Alors qu’il fait le plein, il m’annonce qu’il veut se vider.
- J’aime bien être… directif. Dis-moi si ça te pose un problème.
- Je n’ai jamais essayé, mais je suis prêt à essayer. Comme pour les vacances… je m’adapte.
- Bon le plein est fait, suis moi !
Après avoir payé, Robert m’entraîne dans les toilettes. Il se vide la vessie pour commencer. Il fait durer, attendant qu’il n’y ait plus personne. Quand nous ne sommes plus que tous les eux, il me pousse dans une cabine.
- Déshabille-toi !
Je m’empresse d’obéir.
- Commence par me sucer, que je vois comment tu te débrouilles.
Je m’accroupis et entreprends de lui faire la meilleure pipe que je puisse lui procurer. Robert est sacrément monté. Ce n’est pas Brad Pitt comme je disais, mais il n’a rien à envier à Rocco. Apparemment, ma fellation lui plait. Le salaud m’enfourne sa queue bien profond. Ce n’est pas ma première pipe mais je n’ai pas l’habitude que la queue vienne s’introduire dans ma gorge. Mais Robert ne me lâche pas la tête et il continue. J’ai les larmes aux yeux et la bave au menton.
Enfin il me laisse respirer quelques secondes et c’est reparti. Puis je le sens prêt à éjaculer. Je commence à paniquer ; je ne le connais pas et l’idée de chopper un méchant virus ne m’enchante guère. Heureusement il se retire et balance sa purée sur mon visage. Je vais prendre du papier toilette pour m’essuyer mais il m’interdit de le faire.
- Tu vas retourner au camion ainsi.
- Mais si on croise quelqu’un…
- Et alors ? Il pensera que tu es une tafiole, mais tu ne vas pas passer la soirée avec lui. Une fois la honte passée, quelques heures après il ne se rappellera plus de ton visage.
Il me laisse toutefois le temps de prendre ma décision. J’accepte. Par chance nous ne croisons qu’un couple trop occupé à chercher leur carte bleue pour régler leur plein d’essence pour s’apercevoir qu’un jeune homme au visage plein de foutre sort du magasin.
Robert me fait monter dans la cabine et son chien jappe en guise d’accueil. C’est vrai qu’il à l’air plus sympa maintenant. Robert me fait mettre à genoux et appelle son chien qui vient me lécher le visage et me débarrasse de tous les fluides qui me souillent.
- Ouvre bien la bouche !
Je le regarde avec un air perplexe. Je vois à son regard qu’il insiste et j’obtempère sans même qu’il ait besoin de répéter son ordre. La langue du chien envahit ma bouche et son maître veut que nous nous roulions une pelle. Heureusement, Cabot – tel est le nom du chien – ne pue pas trop de la gueule, mais c’est un peu bizarre comme sensation.
Robert me tend un rouleau de papier pour que je puisse m’essuyer le visage et me demande d’aller promener le chien pour qu’il se dégourdisse les pattes et fasse ses besoins pendant que lui prépare à manger.
- Ce n’est pas le grand luxe : nouilles chinoises au curry.
- Ça me convient.
Robert avance son camion vers le bout du parking, pour être dans un coin plus tranquille. Je le rejoins, accompagné de Cabot, en passant par la zone boisée. Le chien se soulage et je balance ses crottes dans la poubelle. Il s’est habitué à moi et c’est un plaisir de le promener. Il se laisse caresser et je remarque que son sexe est en partie sorti du fourreau. Un doute me traverse. Robert va-t-il me faire monter par son chien ? Celui-ci ayant du reconnaitre l’odeur de son maître en me léchant le visage doit se douter qu’il y aura une suite et de fait m’accepte plus facilement. Dans un premier temps, l’idée me choque, mais rapidement je sens ma queue enfler. C’est avec un certain frisson que j’arrive au camion. La bite du chien est encore un peu sortie et Robert le remarque.
- On dirait que tu lui plais.
À partir de cet instant, je n’ai plus aucun doute sur la suite des événements. Robert éclate d’un rire sarcastique.
- Et visiblement ça à l’air réciproque…
Pendant le repas, nous discutons sexe. Robert veut en savoir un peu plus sur moi, ce que j’aime, ce que j’aimerais, et ce que je ne veux pas. Une fois repus, il me fait grimper dans le camion et puisque je lui ai avoué être attiré par la soumission, il veut connaître mes limites. Je n’ai eu que des expériences soft et les rares fois où j’ai pratiqué, ce n’était qu’un jeu. Il me promet d’y aller en douceur et progressivement. À chaque fois j’aurai la possibilité d’arrêter si cela ne me convient pas.
Il me déshabille et constate que mon corps est totalement glabre. Il semble apprécier. Il me passe des entraves en cuir autour des poignets et des chevilles. Il sort des cordes et me voilà immobilisé, les bras en l’air et les jambes bien écartées.
- Je vais te préparer le cul. Je ne doute pas que tu veuilles te faire prendre mais après ça, tu seras excité comme tu l’as rarement été.
Il est derrière moi et bien qu’essayant de tourner la tête pour apercevoir ce qu’il fait, je ne vois rien. Me voyant remuer, il me rassure. Il pose un couteau et je remue de plus belle.
- Ne crains rien, j’ai fini et je ne te blesserai pas. Le couteau m’a juste servi à racler ce que je vais te glisser dans le cul.
- Qu’est ce que tu vas mettre dans mon cul ?
- Une racine de gingembre épluchée. Ça va te chauffer le cul.
Il me frotte tout l’anus avec cette racine puis l’introduit petit à petit. Je suis un peu déçu par la taille, pas de quoi s’éclater la rondelle avec ça.
- J’ai déjà pris des diamètres plus gros que ça, lui dis-je en montrant ma déception.
- Je n’en doute pas. Mais le but de la manœuvre n’est pas de t’ouvrir le cul… c’est de faire de toi une petite chienne affamée.
Je note l’expression « chienne ». Cela semble confirmer que le chien va faire partie du jeu. Rien qu’à cette idée je sens ma queue qui se déploie. Je me mords la lèvre inférieure.
- Je vais faire la vaisselle et je m’occupe de toi à mon retour.
Robert s’en va, accompagné de Cabot et je suis seul dans le camion à me demander ce qu’il va se passer. Je sens peu à peu mon cul qui chauffe et je commence à me tortiller dans tous les sens, en tout cas autant que les liens me le permettent. Je voudrais me doigter pour apaiser cette sensation. Je contracte mes sphincters. C’est terrible. J’ai envie de me faire baiser, de me faire démonter le cul. J’ai la sensation que mon anus est devenu un volcan. Je n’attends que le retour de Robert pour me faire tringler. Il me faut du foutre pour apaiser cette sensation de chaleur, de brûlure. Le salaud, je suis sûr qu’il a déjà fini la vaisselle et qu’il fait exprès de tarder à revenir. Pourtant en regardant l’heure sur le tableau de bord, il y a seulement quelques minutes qu’il est parti. Cela me semble une éternité. Je ferme les yeux. Je préfère ne pas voir défiler les minutes.
La sensation de brûlure s’arrête, presque d’un coup. Par contre l’envie de n’être qu’un trou à remplir est toujours là. C’est même encore pire. Je me mets à gémir, je m’imagine déjà Robert en train de me culbuter sur sa couche ; je l’imagine le coït violent. Ma queue se dresse et je me surprends à réclamer à haute voix le retour de mon tortionnaire.
La porte s’ouvre. Robert est tout sourire, fier de m’avoir affamé. Je le supplie de venir m’enculer, mais il ressort. Je l’entends parler avec quelqu’un. Prévoit-il de me faire prendre aussi par un autre camionneur ?
Oui ce serait une bonne idée, mais pourvu qu’ils se dépêchent.
Enfin, Robert entre dans la cabine. Cabot lui file entre les pattes et vient me tourner autour. Il me donne des grands coups de langue sur la queue. Robert semble se déplacer au ralenti. Je le supplie. Il ferme les rideaux, se déshabille lentement et s’approche de moi. Chaque coup de langue du chien est une torture. Robert met du gel sur ses doigts et me caresse l’anus.
- Je ne veux pas de préliminaires. Démonte-moi le cul !
Il enfile une capote et enduit sa queue de lubrifiant. Une fois derrière moi, il s’enfonce en un coup de reins jusqu’à la garde. Sa queue enfin dans mon cul et le froid du gel apaisent enfin ma faim de bite. J’ai joui aussitôt. Cabot lèche le foutre répandu. C’est la première fois que j’éjacule aussi vite. Mais j’ai toujours aussi faim.
Maintenant Robert me ramone le fion. Je suis content de prendre sa grosse verge en entier sans sourciller. Il m’a bien préparé effectivement. Je m’abandonne à ses va et vient. Il me saisit par les hanches. À chaque fois il ressort puis s’enfonce d’un seul coup avec une aisance qui le ravit. La cadence ne faiblit pas. J’espère qu’il va pouvoir tenir encore longtemps parce que j’en raffole.
Sa respiration se fait de plus en plus saccadée. Pour ne pas venir trop vite, à chaque fois qu’il ressort, il me gratifie d’une bonne fessée. Ça claque tellement fort que je me demande si quiconque passant à côté du camion n’entendrait pas le bruit. Me voilà encore plus excité. Il le remarque et me demande si je suis prêt à me faire tirer par un de ses collègues.
Et comment que je veux !
Il m’abandonne pour ouvrir la porte.
Comme je l’avais pensé, il avait prévu le coup, et le collègue attendait juste à côté. Robert revient vite à son poste et recommence son travail de sape. Guy me salue et commence à se mettre à l’aise. Il s’approche, face à moi. Sa main se referme sur ma queue qui commence à reprendre forme après mon éjaculation plus que précoce. Il me roule une pelle. Ça ne me plait pas plus que ça. Je sens à son haleine que c’est un fumeur. Heureusement, il n’insiste pas. Il se contente d’être devant moi, empêchant mon corps d’avancer à chaque coup de boutoir de Robert qui se déchaîne dans mon rectum. Il ne doit pas être loin de la jouissance : Guy glisse un préservatif sur sa bite.
Je sens effectivement mon baiseur se contracter. Il doit décharger et c’est dommage de ne pas pouvoir sentir son foutre s’écouler en moi. Avec la préparation au gingembre de robert, j’aurais aimé être apaisé par ses giclées, mais ce n’est pas le moment de prendre des risques. Il sort de mon cul, m’envoie une autre claque sur la fesse avant de s’écrouler sur la banquette.
Cabot qui est resté couché tout le temps sur le siège s’agite un peu. Visiblement il veut participer à la fête. Mais il va devoir attendre que Guy ait éjaculé. Il se positionne et s’enfonce lui aussi d’un seul coup. Robert a bien préparé le terrain avec son gros manche. Guy est un peu moins bien équipé, mais son engin reste de belle taille et il sait s’en servir, le bougre.
Cabot assiste à la scène avec un regard implorant.
Guy s’est calmé et fait durer le plaisir. Quand il est complètement en moi, il me masturbe puis ressort et ainsi de suite. J’ai à nouveau le sexe érigé et Robert appelle le chien pour qu’il me lèche. Il ne se fait pas prier et ses coups de langue me font durcir encore plus. Avant que je ne jouisse, Robert se fait à son tour lécher par Cabot. Il doit certainement se préparer à m’enfiler une nouvelle fois.
Guy est sacrément résistant. Il continue de me ramoner et mon fion doit avoir l’allure d’un gouffre de Padirac à force de se faire gaver.
- Je ferai quelques photos à la fin de la séance, tu pourras vérifier et ça te fera des souvenirs, me propose Robert.
Alors que Guy est sur le point d’éjaculer, Robert commence à me détacher. J’apprécie de pouvoir baisser les bras. Il me saisit la tête qu’il approche de sa queue. Je constate qu’il a enfilé une autre capote et pendant que Guy m’assène ses derniers coups de reins je donne quelques coups de langue sur la queue de Robert. Juste histoire de la lubrifier un peu.
Mon cul est tellement ouvert que je pourrais certainement me faire empaler sans lubrifiant, à vrai dire.
Voilà, Guy a éjaculé, il retire sa capote qu’il semble garder pour plus tard, comme la première de Robert. Ils doivent avoir un plan en tête. Robert me fait allonger sur sa couchette. Je suis à plat ventre et il me glisse un oreiller sous le bassin. Il se met en place et s’enfonce sans crier gare dans mon cul. Je sens ses couilles contre mon périnée. À chaque fois qu’il s’enfonce, j’ai l’impression que c’est un drapeau qu’il plante, comme pour marquer un territoire pris à l’ennemi. À moins qu’il ne cherche à me fendre comme une bûche !
Il a les mains appuyées sur mes épaules. J’ai l’impression de m’enfoncer dans le matelas à chaque coup. Il affirme sa domination et j’aime ça. Pourtant, à part m’attacher en début de séance, rien de bien sado-maso dans ses pratiques. Je le sens prêt à éjaculer. Il me pilonne le cul. Je suis sûr que de l’extérieur on doit voir la cabine du camion bouger. Il se retire et jouit sur mes fesses et le bas de mon dos. Il me fait tourner, j’ai les genoux sur le sol et le thorax en travers de la couchette. Je suis ainsi offert à la pénétration de Cabot qui a compris aussitôt que c’est enfin son tour.
Cabot lèche le sperme de son maître. Sa langue qui passe entre mes fesses me fait déjà décoller. Savoir ce que sera la suite me rend encore plus excité. A chaque fois que la langue du chien touche mes couilles ou ma bite je manque d’éjaculer. Si cela continue, j’aurai vite les baloches vides. C’est pourtant une torture que je vis car j’ai maintenant une énorme envie de me faire enfiler par le chibre canin et pour l’instant il se contente de me lécher. Il a peut-être été dressé pour ça : rendre fou d’impatience les personnes qu’il va défoncer.
Pendant ce temps, Robert m’attache et je me retrouve à la totale merci du chien, écartelé comme une étoile de mer. Je le supplie de faire monter Cabot au plus vite sur mon dos, mais lui rigole de me voir si affamé. Puis je ne sens plus rien. Guy qui est assis à côté de moi vient d’attraper l’animal pour se faire lécher les parties.
Merde ! Il est à moi ce chien ! Il est pour mon cul. Puis je ressens une sensation au niveau de l’anus que j’ai déjà ressenti. Robert me frotte à nouveau de fion avec du gingembre. C’est juste une piqûre de rappel, s’il en met trop, Cabot risque d’avoir la queue irritée.
Et pour ne pas prendre de risques, avant que la saillie canine ne commence, Robert m’enfile pour bien faire pénétrer l’aphrodisiaque anal. Il y va doucement, il ne veut pas éjaculer juste me masser le fion pour éliminer le surplus. C’est comme pour les pommades… massez jusqu’à pénétration !
J’étais déjà avide de bite mais j’ai l’impression de me transformer en trou géant, en gouffre à sperme. Guy vide le contenu de sa capote sur mon dos et mes épaules. Cabot s’empresse de venir lécher cette matière dont il raffole clairement. Et plus il lèche, plus il avance pour atteindre le sperme sur mes épaules. Je sens son fourreau frotter contre mes fesses ; la sensation du pelage contre ma peau m’électrise et je pense alors qu’une des raisons de l’engouement de certaines personnes pour la zoophilie est à chercher dans cette dualité entre peau humaine et pilosité animale. Il commence à donner des coups de reins et peu à peu son sexe se dégage de son enveloppe. J’ai du mal à bouger dans la position où je me trouve mais tente de pointer le cul dans la direction du chien. Je n’ai plus qu’une envie : me faire prendre.
Ça y est, il est en moi. Il me ravage le fion tant il s’agite frénétiquement. Je ferme les yeux tant le plaisir est douloureux.
Le salaud est bien monté et il ne prend aucune précaution. Mon cul est une enclume et je reçois ses coups de marteau. Je ferme les yeux, je suis ailleurs. J’espère que cela durera longtemps. Il me laboure, me déchire, je n’ai jamais pris un tel pied. Je sens ma bite se recroqueviller et le petit bout de queue pendille comme une limace, au rythme des coups de reins de Cabot. J’ai l’impression de pisser, à moins que ce soit du liquide séminal qui s’écoule. Je n’ai pas l’usage de mes mains pour vérifier. Je voudrais me toucher, me masturber mais à quoi bon, je dois avoir un sexe de bébé tellement je me sens devenir femelle. Robert à bien fait de m’entraver les mains : dans l’incapacité de me caresser, ma jouissance est décuplée.
Cabot redouble d’efforts, sa queue n’est pas encore entièrement entrée. Je sens qu’il lutte pour faire pénétrer la base, plus large. Si ça rentre je vais douiller. Pourvu qu’il y parvienne ! Robert s’assoit devant moi et il me glisse sa queue dans la bouche. Il voit bien que j’ai du mal à me concentrer sur la fellation, aussi le voilà qui prend la direction des choses. Il me baise la bouche. Il reste un peu soft pour commencer mais je sens que c’est juste pour le début. Quand son chibre sera bien lubrifié par ma salive, il augmentera la cadence.
Cabot est parvenu à ses fins. Au moment où la base de sa bite est entrée j’ai senti une vive douleur mais qui s’est rapidement changée en plaisir. J’ai ouvert grand ma bouche pour gémir et Robert en a profité pour s’enfoncer entièrement. Il m’a attrapé par les oreilles et il se sert de ma tête comme d’un masturbateur. Je sens la queue de Cabot enfler en moi, j’angoisse mais je prends un pied comme jamais. Je ne vois plus rien, j’ai les yeux révulsés de plaisir.
Le chien ne remue presque plus mais je le sens se déverser en moi. Je devine un orgasme anal en train d’arriver. C’est lent et encore loin, mais ça va être énorme. Je ne suis plus qu’une cuve à foutre canin. C’est ce que j’ai envie d’être à cet instant.
Robert continue à me pilonner la glotte, je bave et gargouille à tout instant. J’aimerais réussir à avaler sa queue en entier, me retrouver le nez écrasé contre son pubis et le cul rempli de foutre. Je dois avoir les oreilles toutes rouges tellement Robert me les tire pour faire coulisser son chibre. Ses poils pubiens me chatouille le bout du nez, j’y suis presque, j’ai du mal à respirer mais quand il me laisser avaler un peu d’air j’émets un bruit d’aspirateur.
Me voyant près du but et soucieux de m’aider, Guy appuie sur ma tête pour faire entrer les derniers millimètres. Je suffoque, de la bave s’écoule par mes narines. Robert éjacule à cet instant et du sperme se retrouve propulsé par le nez. Impression bizarre, mais je me sens complètement à leur merci et j’adore ça.
L’orgasme arrive, d’une puissance insoupçonnée.
Mon corps ne répond plus à mes ordres, il se démerde tout seul. Je sens mes sphincters se contracter. Cabot se met à couiner en sentant sa queue serrée par mes muscles, il essaye de se dégager et tire en arrière. La boule est trop enflée pour passer mais il tire encore et encore, c’est douloureux, mais plus il tire et plus je me contracte, involontairement. Je me crispe pour le retenir. Parce que je veux le garder en moi le plus longtemps possible et pour éviter la douleur que procurerait cette boule si elle sortait à plein volume.
J’aime les grosses dilatations mais je ne suis pas prêt pour une telle ouverture. Forcément plus je le serre, plus il essaye de se dégager. Heureusement je peux compter sur l’aide de Guy qui essaye de le garder en place. Cabot lève une patte et essaye alors de se retourner. Il y parvient malgré l’intervention de Guy. J’essaye de crier, mais la bouche pleine, le son est étouffé, d’autant que j’ai la bouche pleine de sécrétions.
Sous le coup de cette exquise douleur, je jouis encore une fois. Je sens ma queue qui laisse échapper mon foutre. Je ne sais pas si je bande ou pas, mais je me vide. Il me faut de longues minutes avant de reprendre pied. Cabot est encore soudé à moi mais les contractions ayant cessé, il est plus tranquille et attend patiemment d’être libéré. J’ai encore envie, mais mon corps dit non. Ce n’est pas qu’il refuse de recommencer mais je me sens partir dans le sommeil. Guy s’en va me saluant et me traitant de belle petite chienne, tandis que Robert se fait nettoyer par la langue de son chien.
- Reste allongé sur la banquette. Dors si tu en as envie. Je vais rouler un peu et je m’arrêterai lorsque je sentirai moi aussi la fatigue arriver.
J’acquiesce d’un mouvement de la tête, sobrement accompagné d’un son que je ne parviens même pas à articuler. Robert me fait passer une couverture et je dors déjà d’un œil. Cabot me lèche le visage à coups de langue affectueux. Il semble vouloir me remercier de lui avoir bien vidé les couilles. Je me recule au fond de la couchette pour lui laisser un peu de place et je m’endors, enlaçant le chien contre moi, comme si j’étais sa petite femelle.