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Pour ne pas être déçu, il faut choisir la bonne entreprise de construction.... Suite

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 Il faut faire confiance aux ouvriers.
Si si, ce sont des spécialistes...
De quoi ?....

Fin de chantier.
Auteur : Franck
Suite I

Il se présente entre ses lèvres ; il a bien préparé le passage, car il s’enfonce d’un trait à fond puis commence à la limer, d’abord en douceur, puis un peu plus violemment. Il a envoyé une main vers le clitoris et la maintient sous pression sous ses coups de boutoir. Il se retire complètement puis replonge ; à ce moment-là, je crois apercevoir son pouce au fond de son anus.
Il fait cela plusieurs fois puis prend sa verge en main, salive entre les fesses de Valérie et présente sa queue en la maintenant à l’entrée de son anus qui s’ouvre sous la pression. Cette fois il avance avec douceur, marquant même un temps d’arrêt, histoire que les chairs s’habituent à l’intrusion. Il avance puis ressort, rentre un peu plus et ainsi de suite jusqu’à ce que tout disparaisse dans son fondement.
Il continue de lui exciter le clitoris, puis finit par sortir totalement et s’allonge sur le lit, la fait venir sur lui, et effectivement comme je l’avais pressenti cette nuit, l’investit de nouveau par derrière. Les sphincters doivent être suffisamment détendus car ça rentre comme dans du beurre ; elle va jusqu’à s’asseoir sur lui, complètement possédée par son membre.
J’arrête la lecture à ce moment-là ; j’en ai vu assez, et surtout en connais la fin.
Les autres cartes mémoire m’intriguent ; j’en prends une et l’insère dans la caméra pour la lire. Une image fixe apparaît : vue sur une salle d’eau. Je me rends compte que c’est la nôtre et que c’est filmé depuis l’extérieur ; ils ont installé la caméra lorsqu’ils ont mis en place l’échafaudage, et ni moi ni Valérie ne nous sommes aperçus de quoi que ce soit.
Ça vient d’évoluer : Valérie est entrée dans la pièce, elle se déshabille et entre dans la douche. J’arrête la lecture.
Par curiosité j’en choisis vite une autre ; malheureusement rien dessus. Alors une dernière avant de sortir de la chambre car cela fait un moment que j’y suis et je ne voudrais pas me faire surprendre en train de fouiller. J’ai de la chance, il y a quelque chose ; je reconnais le cadre puisque c’est notre chambre. Vue sur le lit mais vide.
J’avance en lecture rapide : Valérie entre dans le cadre, se déshabille tranquillement ne se sachant pas observée, enfile un pyja-short et se met au lit ; puis j’apparais, me déshabille aussi et me couche car, pour ma part, je dors nu.
Valérie vient se lover contre moi, m’excite les tétons de la langue ; je découvre son dos, la caresse, passe la main sous son short lui caresse les fesses. Elle descend en me faisant des bisous sur le ventre. J’en profite pour dégager la couette.
Elle se saisit de ma verge et commence à me sucer le gland, puis descend le long de la verge, des bourses, du périnée et pour finir l’anus, puis fait le chemin inverse tout en m’introduisant un doigt dans l’anus. De mon côté, je continue mes caresses et parviens à son clitoris que j’agace du bout des doigts.
Au bout d’un moment je m’interromps car je ne veux pas venir dans sa bouche. Elle s’allonge donc au milieu du lit et je lui fais un cunnilingus, puis doucement je remonte sur son ventre, ses seins, taquine ses tétons, l’embrasse ; elle se saisit de ma verge et se l’introduit. Je zappe la fin car je connais.
Je n’en reviens pas qu’ils aient réussi à nous espionner sans qu’on s’en rende compte à aucun moment. La soirée et la nuit étaient donc mûrement réfléchies et préparées, et ils connaissaient déjà les détails de notre anatomie, de nos particularités et de nos pratiques.
Il est temps que je descende discrètement. J’entends que ça discute ; j’arrive par la cuisine, le chien les alerte de ma présence et je crois voir – mais sans en être totalement sûr – que Valérie était sur les genoux de Lucian. En effet, j’ai cru voir comme un mouvement, mais sans certitude. En tout cas, quand j’entre dans la salle à manger, elle est assise entre Lucian et Victor et, malgré l’heure, elle est toujours en chemise de nuit, ce qui m’étonne.
D’ailleurs je remarque que ses cheveux ne sont pas totalement secs, ce qui me surprend car je n’ai pas entendu la douche qui jouxte notre chambre, ce qui n’aurait pas manqué de me réveiller. Encore un point qu’il faudra essayer d’éclaircir.

Marian me propose un café, je n’ose refuser ; ils font comme si rien ne s’était passé cette nuit. Valérie me dit que pendant la soirée elle en a appris un peu plus sur eux : Victor est le petit frère de Lucian, et Marian est un cousin germain, leurs pères sont deux frères. Par contre, Stefan est le frère de la femme de Lucian ; si je comprends bien, c’est une histoire de famille, et ils se sont unis pour arriver à leurs fins.
Je prends ma tasse de café et me recule de la table pour m’installer confortablement sur le fauteuil (j’ai oublié de préciser que le mobilier que nous avons installé dans la salle à manger est un salon de jardin en plastique) ; en baissant le regard sous la table, je vois les jambes de Valérie et deux mains qui la caressent sur le haut des cuisses.
Ma présence ne les gêne même pas ; quel culot de faire cela sous mes yeux ! Et Valérie, qui ne dit mot, consent même à ouvrir les jambes. Quelle vision, une chatte totalement dépourvue de poils, juste un triangle au-dessus du clitoris ; j’aperçois ses lèvres entrouvertes. J’avale de travers ma gorgée de café et me renverse le reste de la tasse sur le tee-shirt ; sur le coup, ils retirent leurs mains et Valérie replace sa chemise de nuit.
Je n’en reviens pas : ils n’avaient pas calculé qu’en me reculant, je pouvais avoir cette vue. Mais ils ne se démontent pas et me demandent si tout va bien. Valérie s’approche et me tape dans le dos ; je récupère mais reste muet, ne sachant que dire, d’autant que malgré tout cela m’excite. Je comprends qu’elle est sous l’emprise du chef et qu’elle accepte cette domination ; elle qui d’habitude maîtrise la situation, la voilà aujourd’hui soumise.
Elle m’accompagne à la chambre comme si de rien n’était, m’aide à retirer le tee-shirt et à enfiler le propre et m’embrasse ; je ne peux résister et lui rends ce baiser en lui caressant, au travers de sa chemise, les seins et les tétons qui veulent transpercer le tissu. Elle se dégage en me disant qu’il faut qu’elle se prépare pour aller faire quelques courses et file vers la salle d’eau en prenant au passage une culotte et un soutien-gorge dans un tiroir de la commode.
Je descends au salon et allume la télé sur M6 ; Turbo a commencé, une des seules émissions que je regarde à la télé. Dans la salle à manger, il y a encore Lucian et Stefan qui discutent. Valérie descend ; elle a enfilé une jolie petite robe qui met en valeur sa poitrine et qui lui arrive juste au-dessus du genou, ça lui va à ravir. Elle me demande si j’ai besoin de quelque chose ; je lui dis de penser à prendre du jus de fruit frais et du fromage blanc.
À ce moment-là, Lucian sort de la cuisine et lui demande si elle peut l’emmener ; je n’ai pas le temps de réagir qu’elle lui dit déjà :
- Pas de problème, mais dépêche-toi.
Tiens… c’est la première fois que je l’entends le tutoyer ; c’est sûr que depuis les événements de cette nuit, le vouvoiement n’est plus de rigueur ! Il passe par la chambre en bas et j’entends claquer la porte-fenêtre de la terrasse. Il en a profité pour récupérer son frère Victor ; qu’ont-ils derrière la tête ?
Je continue à regarder la télé tout en ayant la tête ailleurs ; l’émission n’est pas encore terminée que les voilà de retour. Je suis rassuré, cela n’a pas été trop long. Victor lui porte le sac de courses, le dépose dans la cuisine et accompagne Lucian qui va ranger les leurs dans la salle à manger, puis tous les deux repassent par la cuisine pour rejoindre la chambre.

Le repas est vite préparé ; elle a acheté des crudités, un poulet rôti accompagné de petites pommes de terre, et des fraises pour le dessert. Mon émission est terminée ; je la rejoins donc à la cuisine où elle est en train de préparer les fraises.
J’arrive derrière elle et la caresse du haut du dos jusqu’aux fesses. Bizarre : il n’y a pas de marques de culotte. Pourtant, lors de son passage à la salle d’eau, j’ai bien vu qu’elle en prenait une dans la commode, d’autant plus que ce n’est pas dans son habitude de ne pas en porter. Sont-ce les deux frères qui ont réussi à la lui faire retirer ? Si c’est le cas, ils sont trop forts ; j’ai essayé de mon côté pendant des années juste pour me faire plaisir : nada, jamais une seule fois elle n’a répondu positivement à cette demande. Ils sont rapides et efficaces, car pour moi la durée des courses m’a parue tout à fait normale.
Nous passons à table. Malgré tout, je suis chagriné par cette découverte que je souhaite confirmer ; je fais donc tomber ma serviette pendant et me penche pour la ramasser, et j’obtiens la confirmation de ce que j’avais pressenti : pas de culotte, et un abricot tout lisse ; ça donne envie d’en manger.
Nous échangeons sur l’actualité, les travaux ; je lui dis que j’ai un peu trop abusé de la bouteille hier soir, elle me répond qu’elle aussi elle a très vite été dans un état second, qu’elle se sentait bien comme sur un nuage, qu’elle avait le cerveau comme du coton et qu’elle ne se souvient pas de tout. Est-ce une manière de me dire que ce n’est pas la peine que je lui pose des questions, ou la réalité ?
Elle me demande si je suis satisfait pour le moment de leur travail car ils font de grosses journées ; ils se lèvent guère après mon départ, et parfois quand je rentre le soir ils sont encore en train de finir ou de débarrasser, nettoyer ; c’est vrai que ce sont de gros travailleurs. Dans ma tête repassent quelques images de la nuit : ils ont su se récompenser !
Comme elle veut aller faire une petite sieste, je souhaite l’accompagner, mais me dit qu’elle est très fatiguée et que si je la suis, elle sait comment cela va finir. Déçu, je vais dans le jardin. 2000 m2, il y a toujours à faire. Il y a quelque temps, j’ai taillé les chênes qui commençaient à faire de l’ombre sur les panneaux photovoltaïques, et il faut que je débarrasse car tout est au sol : trier les grosses branches pour la cheminée, et le reste à brûler.
De temps en temps, je jette un coup d’œil à leur chambre ; ils sont tous les quatre à regarder un écran, mais je ne le vois pas. Sûrement des scènes du même type que j’ai pu voir sur les cartes mémoire ce matin. Puis je les vois tous les quatre dans la salle à manger en train de préparer à manger ; il doit être entre 15 et 16 heures.
Je continue sans me soucier, mais un regard vers la maison me dit qu’il se passe quelque chose : il n’y a que les deux plus vieux qui continuent à cuisiner ; les deux plus jeunes ne sont plus avec eux. Je regarde alors vers la chambre et ne les vois pas non plus à l’intérieur. Je ne me précipite pas pour rentrer ; il faut que je mette d’abord en sécurité l’incinérateur afin de ne pas mettre le feu aux alentours. Cela me prend quelques minutes, puis je me dirige vers la maison.
Ils ne sont toujours pas revenus dans la salle à manger, et au moment où je rentre dans la maison, je les vois tous les deux déboucher du couloir, venant de leur chambre, mais aussi de l’étage. Marian tient dans une main un sac de la taille de la caméra trouvée dans la chambre de Lucian. Je me déchausse et monte dans notre chambre.
Valérie dort encore ; elle avait vraiment besoin de récupérer. Elle qui dort toujours couverte jusqu’en haut est quasiment découverte, couchée sur son côté droit, la jambe gauche légèrement remontée, la chemise largement remontée laissant apparaître ses fesses, son sillon, son anus et ses lèvres. Je m’approche et remarque qu’elles sont toutes humides de sécrétions. J’avance une main pour les caresser ; c’est tellement beau et doux au toucher…
J’approche des lèvres passe un doigt dessus ; malheureusement, cela a dû la déranger car elle change de côté, reprend la couette et se recouvre. Je quitte doucement la chambre sans la réveiller. En sortant, je jette un coup d’œil à la chambre de Lucian ; la caméra n’est plus sur le bord de la fenêtre. C’est bien ce que j’avais envisagé : il devait sûrement la filmer dans son sommeil ; c’est, à coup sûr, eux qui ont réussi à la découvrir. Je descends me préparer un café.
Ils sont en train de manger. Un de leurs téléphones sonne ; Lucian parle tranquillement, les autres ne disent plus un mot. Il met sur haut-parleur : je reconnais la voix de mon frère qui leur parle en roumain. Il a toujours eu beaucoup de facilités avec les langues ; il suffit qu’il passe quelques jours dans un pays pour commencer à connaître les balbutiements. Ce n’est malheureusement pas mon cas, et je ne comprends rien à ce qu’ils échangent. Lucian se lève, coupe le haut-parleur et me passe le téléphone en me disant
- C’est Pascal, il veut parler.
Je lui prends le téléphone ; il me demande si cela avance bien, si je suis satisfait du travail, et ensuite me demande ce qu’ils ont fait hier. Je lui dis les avoir invités au repas du soir. Il me dit être étonné qu’ils aient accepté, car d’habitude le samedi – comme il me dit – ils partent en chasse. Il faut les comprendre : plusieurs mois sans rentrer en Roumanie, ils prennent un peu de bon temps. De toute façon, il a calculé que d’ici la fin de semaine, ils devraient avoir terminé, ou au plus tard en début de semaine suivante car il les attend dans le Nord sur un chantier qui s’est débloqué. Sûrement que, ne connaissant pas la région, ils ont préféré accepter notre invitation ; s’il savait ce qu’il s’est passé… Ils ont consommé sur place, et en plus elle a réussi à satisfaire tout le monde : pour eux, il n’y a pas mieux. Je m’isole pour poursuivre cette conversation en me dirigeant vers le cabanon derrière la maison ; rien de bien intéressant à raconter ici.
À la fin de la communication, j’en profite pour fouiller dans le téléphone ; surprise : un album photo bien fourni avec un nombre impressionnant de clichés de Valérie sous toutes les coutures, de loin, de près, ses jambes croisées, décroisées, son décolleté ; zoom sur ses cuisses, sa culotte…
Tiens ! Même une d’elle sous la douche, puis nue devant le miroir de notre salle d’eau en train de se sécher les cheveux, les bras en l’air, belle poitrine qui donne envie ; celles d’hier soir, au début du repas, de son décolleté, de sa culotte sous la table, même de la tache de café avec un pouce vers le haut, de moi amorphe dans le fauteuil, de moi déshabillé sur le lit, un gros plan de mes attributs et de ceux de Victor côte à côte.
Difficile de supporter la comparaison : au repos, c’est quasiment 4 fois plus gros, sans parler du diamètre !
Et pourtant cette nuit, Valérie a tout accepté.
Parlons-en, de Valérie ; les suivantes sont toutes d’elle : cette nuit, remplie par Victor, en double avec Marian, devant l’évier en train de faire la vaisselle, la même mais cette fois avec Lucian une tablette à la main ; je ne sais pas ce qu’il est en train de lui montrer. Je continue à zapper. Tiens donc… intéressant !
La séquence rasage sûrement, dans leur salle de bain, assise sur le bord de la baignoire entourée des quatre mâles. Deux photos où ils lui retirent sa chemise de nuit, une où l’on en voit un couper le plus gros avec des ciseaux, une où l’on étale la mousse, une avec le rasoir ; il n’y a que des gros plans, et on ne peut pas voir qui officie.
On l’oblige à s’allonger quasiment sur le bord de la baignoire et lui fait relever les jambes écartées ; on lui rase le sillon afin de ne laisser aucun poil, hormis un triangle sur le pubis. Des mains avec de la crème hydratante lui massent toute la zone.
Ils lui font passer les jambes par-dessus la baignoire ; elle se retrouve donc face à eux. Cela a dû les exciter car ils se branlent sur ses seins ; je peux en compter trois qui se vident : Stefan en premier, puis Marian, et pour finir, Victor. Lucian, lui, l’emmène sous la douche, la nettoie de la souillure qu’elle vient de recevoir, la fait agenouiller ; elle le reçoit dans sa bouche.
Je n’en reviens pas des réserves qu’ils ont, ou est-ce moi qui ne suis pas normalement constitué ? Je ne me suis jamais posé la question.
Elle est totalement sous l’emprise de Lucian qui en fait ce qu’il veut sans qu’elle ne proteste. Elle sort de la douche ; de nombreuses mains la frictionnent avec un drap de bain et on lui remet sa chemise de nuit.
Tiens donc… J’avais bien vu, ce matin, assise sur les genoux de Lucian dans la salle à manger, une main posée sur les cuisses. Je comprends les cheveux encore mouillés de ce matin. Tout se met en place. Les dernières la montrent endormie dans notre lit, apparemment sur le dos ; une main tire sur la couette afin de la découvrir.
Tiens ! Sur la suivante, elle n’est plus dans la même position : une main remonte sa chemise afin de découvrir ses fesses. Sur d’autres, le gourdin de Victor – facile à reconnaître – au bord des lèvres de Valérie, encore un gros plan sur ses deux orifices, une autre encore une main posée sur ses fesses, une dernière un doigt coincé entre ses lèvres. Jusqu’où comptent-ils aller ?
Je reviens vers la maison et rends le téléphone à Lucian qui le donne à Victor ; je me doutais que c’était le sien ou celui de Marian. Valérie est au salon en train de regarder la télé ; elle a dû se lever pendant que je regardais les photos sur le portable, et n’a pas pris la peine de se rhabiller.
Elle a le visage reposé, épanoui et souriant comme une personne bien dans sa peau, comblée de bonheur ; il y a longtemps que je ne l’avais pas vue comme cela.
Dans la chambre à côté, l’ambiance a aussi l’air bonne : on les entend rire, quelques bruits de verres ; ils doivent savourer leur victoire. Je feins l’ignorance mais je sais de quoi il s’agit ; elle a l’air tellement heureux que je n’ose aborder le sujet, ce qui aurait été le cas si je l’avais trouvée fermée.
Tout ce que j’espère, c’est que ce n’est qu’une passade et que ceci rentrera dans l’ordre après leur départ d’ici quelques jours. Si tout va bien, ils seront partis à la fin de la semaine et tout redeviendra comme avant, ou pas : en effet, ils lui ont fait découvrir sûrement une nouvelle face de sa sexualité qu’elle ne soupçonnait peut-être pas d’ailleurs et qui n’était jusqu’à ce jour sûrement pas comblée.
Je la rejoins sur le canapé. Elle vient se caler contre moi, me prend la main droite et la cale sur son sein gauche, nos doigts entremêlés. Elle a l’air tellement heureux.
Je l’embrasse dans le cou, elle se tourne et me tend ses lèvres ; je suis obligé de répondre à cet appel et l’embrasse amoureusement, puis nous regardons 66 minutes sur M6. Elle part à la cuisine et m’appelle pour la rejoindre manger le reste des crudités avec des œufs durs.
À la fin du repas nous allons boire le café au salon. Je prends mon somnifère très léger mais nécessaire car sans cela, depuis quelque mois je me réveillais vers deux ou trois heures, et impossible de retrouver le sommeil. En quelques semaines, j’avais accumulé une telle fatigue qu’il m’arrivait de somnoler au travail après le repas de midi ; il fallait donc trouver une solution. Après consultation, mon toubib m’a prescrit ce traitement à prendre pendant quelques mois afin de réhabituer l’organisme.
Dans la chambre à côté, les discussions vont bon train ; ils ont dû boire quelques verres : c’est le week-end. En semaine, ils ne consomment que de l’eau.
Elle monte dans la chambre pour lire ; moi, je reste un peu regarder le début de Capital.
Je ne me sens pas partir, mais je suis réveillé par du bruit dans la salle à manger ; il est presque 22 heures. Ils sont en train de cuisiner, et la discussion est assez enflammée ; malheureusement, je ne comprends rien.
J’éteins la télé, passe leur dire bonsoir et monte rejoindre Valérie qui s’est assoupie, le livre à la main, les lunettes sur le nez. Je la débarrasse, me déshabille et me couche à ses côtés ; elle me tourne le dos et vient se caler contre moi. Je me couche sur le même côté et viens m’emboîter contre son dos. Sa chemise est suffisamment remontée pour que mon sexe vienne au contact de ses lèvres ; je la prends dans mes bras et me rendors aussitôt dans cette position.
Je me réveille ; j’ai une envie de pisser pas possible. Quel con !
Je me suis couché sans y aller, et à chaque fois c’est pareil. Je regarde l’heure : même pas minuit. Je me retourne ; personne dans le lit. Où est-elle ? Je me lève et, n’y tenant plus, je passe d’abord aux toilettes. Il y a encore de la discussion en bas ; je suis à poil, et n’ai pas envie de descendre voir, d’autant que le cachet fait son effet et que je suis à moitié dans le brouillard.
Je vais me recoucher sans fermer totalement notre porte ; quelques instants plus tard – je ne saurais dire combien – la porte de Lucian s’ouvre. Je me prends la lumière dans la figure. J’entrouvre les yeux et vois Valérie traverser le palier nue, entrer dans la chambre et se coucher dans la même position.
Elle me tourne le dos, faisant semblant de dormir. Au bout d’un moment je me tourne et viens reprendre ma position ; mon sexe rencontre un liquide visqueux qui s’épanche de son sexe : elle vient de s’en reprendre une cartouche !
Elle devient insatiable…
J’en bande ; elle doit penser que c’est une érection nocturne car pour elle, je dors. Elle se cale de telle manière que je me retrouve emmanché jusqu’aux couilles, le passage étant tellement lubrifié. Je la prends dans mon bras gauche et sombre jusqu’au petit matin.
oooOOooo
05 h 30 ; j’ouvre un œil : Valérie est toujours dans mes bras ; il y a bien longtemps que cela ne nous était plus arrivé. Cette vessie trop petite me rappelle à l’ordre ; je me lève sans la réveiller. Dans les toilettes j’allume la lumière ; j’ai la queue recouverte de sécrétions qui ont séché. J’avais oublié son retour nocturne…
J’oscille entre excitation et dégoût. Ma nature candauliste prend le dessus ; en effet, depuis que nous sommes ensemble, j’ai toujours eu envie de la voir prendre du plaisir, mis à part que j’aurais aimé être actif alors que depuis cette soirée pleine de rebondissements, je subis, ne maîtrise et ne contrôle rien. Je passe à la salle d’eau pour nettoyer tout ça et retourne dans la chambre ; il est encore trop tôt pour me lever, je me recouche.
Valérie a changé de position, elle est maintenant sur le dos. Je soulève la couette et vois que sa main droite est posée sur son pubis, cachant juste ce qu’il lui reste de poils. Curieux, je glisse ma tête entre ses jambes pour voir de plus près ce joli sexe glabre. Quelle vue ! Depuis le temps que j’attendais ce moment…
Attiré comme une mouche par un pot de miel, j’y dépose un baiser sur les lèvres, ce qu’elle semble apprécier car elle écarte un peu plus les jambes pour m’en faciliter l’accès. J’en profite pour venir me placer entre celles-ci et, renouvelant l’opération, j’écarte les lèvres du bout de ma langue pour aller débusquer son clitoris.
Elle a l’air d’apprécier le traitement que je lui inflige ; elle sort de son sommeil, me prend la tête à deux mains et me plaque contre ses lèvres. Je réussis à me dégager pour reprendre ma respiration et y retourne de plus belle ; j’en profite pour introduire le bout de ma langue. De son côté, elle se branle le clitoris de la main droite, et sa main gauche triture sa tétine gauche. Elle se mord les lèvres. La jouissance monte, je reçois quelques gouttes de sa liqueur sur le bout de la langue. Elle resserre fortement les jambes ; j’ai la tête emprisonnée comme dans un étau. Puis elle relâche son étreinte : elle vient de jouir en silence.
Je lui demande si elle a aimé, et en profite pour lui demander ce qui l’avait enfin décidée à satisfaire ma demande. Pour toute réponse, elle vient m’embrasser et me dit :
- C’est pour être comme toi. Cela faisait tellement longtemps que tu me le demandais ; je vois que cela t’a mis en forme.
Elle se penche et me fait une fellation en me branlant énergiquement ; je ne résiste pas longtemps à ce traitement. Elle se dégage et dirige les giclées vers ses seins ; je déverse ma semence sur sa poitrine, puis ma queue ramollit aussitôt. Elle se saisit d’un Kleenex, essuie le tout avant de ramasser sa chemise de nuit qui est au sol, de l’enfiler et de se rallonger en me tournant le dos.

06 h 20 ; il est temps que je me lève. Je replace la couette et l’embrasse dans le cou ; elle ronronne comme une chatte.
Je descends, prends mon petit déjeuner, et réfléchis à tout ce qui s’est passé depuis samedi soir. Ce matin, Valérie ne commence qu’à 11 heures pour aller préparer le repas chez un papy. Curieux de voir ce qui va se passer jusqu’à son départ, je décide de simuler le mien afin de ne rien changer à mes habitudes. Au bureau, je dirai que j’ai eu un souci et que je rattraperai mes heures ; de toute façon, cadre autonome, je n’ai même pas à me justifier.
Je m’empare des jumelles dans le placard au-dessus de la télé ; je sais que personne ne remarquera leur absence. Je quitte la cour comme tous les jours vers 6 h 45 et vais me garer dans une petite impasse proche de la maison, mais suffisamment isolée du passage. Je retourne discrètement jusqu’à la maison et me dissimule dans la haie du voisin. Je sais que je ne serai pas dérangé : la villa voisine appartient à un Suisse qui vient passer une semaine au printemps, deux ou trois durant l’été, et parfois une à l’automne. Je vais donc pouvoir m’installer tranquillement et surveiller, car j’ai le pressentiment que je n’ai pas fini d’être surpris.
07 h ; j’entrevois du mouvement dans la chambre au rez-de-chaussée. Je chausse les jumelles afin de voir un peu mieux ce qui se passe, car je n’ai plus la vue de mes vingt ans. Rien de particulier : juste Lucian qui vient de rentrer, dit quelques mots puis ressort. Je repose les jumelles car il n’y a aucune activité à signaler. J’use mes yeux jusqu’à ce que de nouveau, je voie Lucian rentrer de nouveau ; je confirme avec les jumelles.
Il n’est pas seul : il tient Valérie par la main et la dirige vers le lit de Victor. Il la fait s’agenouiller ; elle ne semble pas protester et prend en main l’anaconda, puis elle se penche pour tenter de le prendre en bouche. Mais, vu le morceau, elle n’arrive à prendre que le gland qui lui déforme complètement les joues ; elle y joint une main puis la deuxième pour le branler en même temps.
Pendant ce temps, cela s’agite ; je vois Marian et Stefan venir de chaque côté de Valérie. Ils la font se relever, attrapent le bas de la chemise de nuit et la font passer par-dessus tête ; une fois de plus, Valérie est nue au milieu de quatre hommes.
Ils la font s’installer à genoux entre les jambes de Victor – qui vient de les ouvrir pour lui laisser le passage – et elle se penche pour reprendre ce qu’elle avait si bien commencé. Dans cette position, elle expose ses fesses aux autres participants ; ils ne manquent pas de la caresser sur le dos, les fesses, les flancs, en s’aventurant jusqu’aux mamelles qui pendent.
Marian vient se placer derrière elle et se met à la lécher de haut en bas entre les fesses ; elle doit apprécier, car elle se cambre un peu plus de manière à faciliter l’accès. D’un coup il se recule, monte sur le lit et vient la pénétrer d’un seul trait ; cela a été tellement rapide que tout le monde a l’air surpris. Lucian intervient et le fait se retirer aussi vite qu’il est rentré. Je suis surpris ; peut-être veut-il la préserver ?
Marian, tout excité, se branle au-dessus des fesses de Valérie et se termine en se vidant sur elles ; je peux voir qu’il a giclé jusqu’au milieu de son dos. Pendant ce temps, mon épouse n’a pas lâché sa besogne ; elle a dû venir à bout de Victor car elle se redresse et se rassoit sur ses pieds. J’arrive à apercevoir une coulure de sperme au niveau de ses lèvres. Stefan, qui se branle à ses côtés depuis un moment, se rapproche et se termine sur sa poitrine ; elle reçoit même une giclée dans le cou : ils ont décidé de lui faire un soin aux produits naturels !
Lucian, qui avait pris du recul, lui tend la main, la fait se relever, et l’entraîne vers la salle de bain. Les trois autres ont un sourire qui en dit long. Ils se congratulent en se tapant poing contre poing et discutent. De toute façon, même si je pouvais les entendre, je ne comprendrais rien.
La porte de la salle de bain s’ouvre enfin. Valérie en sort, toujours nue, suivie de Lucian qui lui met la main aux fesses en la poussant vers la sortie. Je me dis qu’elle va aller s’habiller à l’étage et repose donc les jumelles pour reprendre ma surveillance à l’œil nu. Je n’ai pas longtemps à attendre car elle arrive de la cuisine dans la salle à manger en tenue d’Ève, une bouteille d’eau à la main, et se met à préparer du café avant d’installer toute la table du petit déjeuner : les mugs, des verres, des couverts, le jus de fruit qu’elle sort du frigo. Il y a du mouvement ; ils arrivent et s’installent autour de la table.
Pour y voir d’un peu plus près, je rechausse les jumelles. Je vois Lucian s’adresser à Valérie qui était toujours debout ; elle se dirige vers lui et vient s’asseoir en travers sur ses genoux. Il passe un bras autour de sa taille et pose une main sur sa cuisse. Valérie pose sa main gauche sur la sienne et passe son bras droit autour de son cou ; il a la tête juste à la hauteur de son sein droit. Il se penche à peine pour y déposer un baiser ; elle ne bouge pas. Elle a l’air bien au milieu de ces quatre fauves, soumise au dominant de la meute.
Le chien s’approche : il a dû sentir la femelle en chaleur ; Lucian lui favorise le passage en lui écartant les jambes. Toby est ravi et envoie un coup de langue ; il lape cette douce liqueur. Je vois Valérie se cambrer sur les genoux de Lucian qui est en train de lui lutiner les tétons ; elle lui serre le cou : elle a dû avoir un orgasme. Victor se charge de faire sortir le chien car il devient collant, ne voulant plus quitter sa maîtresse.
Elle se lève et se dirige vers la cafetière, la prend et se rapproche de la table. Des mains baladeuses en profitent : les cuisses, le dos, les fesses pendant qu’elle assure le service. J’en vois une remonter par derrière entre ses cuisses ; elle les resserre avant que la main n’atteigne son minou et réussit à se dégager pour aller servir le chef. Elle se rassoit sur ses genoux et lui tend son mug de café.
Ils parlent. De quoi ?
Je ne sais pas.

A suivre…


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