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Pour ne pas être déçu, il faut choisir la bonne entreprise de construction.... Suite

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 Valérie découvre les joies du bâtiment.
Et son mari, le dévouement de sa femme.

Fin de chantier.
Auteur : Franck
Suite II

Je la vois se tourner face à la table, toujours assise sur les genoux de Lucian, prendre une baguette, en casser un morceau, l’ouvrir en deux et en beurrer chaque moitié. Lucian en profite pour poser son café et passer ses deux mains sur le ventre de Valérie et venir jouer avec ses tétons qu’il pince entre ses doigts. Je la vois se cambrer ; elle a beaucoup de mal à se concentrer sur le beurrage du pain. Il relâche sa prise et lui embrasse le dos. Elle se retourne et lui tend le morceau de baguette ; il l’attrape par le cou et l’embrasse à pleine bouche. Elle répond à son baiser, la tartine toujours à la main. Il en profite pour lui caresser la poitrine de la main droite, la main gauche enserrant sa hanche, la maintenant contre lui. Il se saisit du morceau de pain et le lui présente à croquer ; elle en mord une bouchée.
Ils finissent de déjeuner ; elle se charge de tout débarrasser et ranger avant de disparaître dans la cuisine. Ils sortent et commencent à travailler. Ne voyant plus rien d’intéressant à espionner, je m’échappe de ma planque, remonte dans ma voiture et pars au travail.
J’arrive au bureau vers 9 h 30. Finalement, je n’ai pas perdu trop de temps ; le fait d’être parti plus tard m’a évité de perdre mon temps dans les bouchons. Je n’ai pas l’esprit au boulot ; je repasse le film de tout ce que je viens de voir.
Comment a-t-elle pu changer aussi vite ?
Est-elle enfin comblée ?
D’après son visage, je n’ai pu que constater qu’elle était souriante et radieuse ; à aucun moment elle n’a songé à repousser qui que ce soit. Je suis condamné à la partager jusqu’à leur départ – j’espère en fin de semaine – mais ne vont-ils pas tenter de jouer les prolongations ?
Et vais-je la retrouver après cette escapade, ou va-t-elle rechercher à combler leur départ ?
Ont-ils réussi à révéler sa véritable nature, ou est-ce juste une passade ?
Je ne sais que penser. Je ne veux pas aborder le sujet ; je l’aime toujours, et sais que je ne suis pas capable de la satisfaire de la sorte. Je décide donc d’adopter une position d’attente, d’autant que, en dépit du contexte, j’ai eu à chaque fois de très fortes érections, peut-être même plus fortes que d’habitude dans la durée et la rigidité. Je suis candauliste, voyeur : cette fois, je n’ai plus de doute. Comment le lui faire savoir sans que cela change son comportement ?
Je rentre ; il est presque 19 heures, mais ils sont encore au travail. Je constate que cela avance, bien qu’il me semble qu’il y ait un ralentissement ; mais difficile de juger sur une seule journée. De plus, ils ont déplacé l’échafaudage, et cela demande quand même pas mal de temps. Valérie n’est pas encore rentrée ; elle donne le repas chez une personne de 18 à 19 heures. Elle a préparé une sauce pour les pâtes, crème fraîche saumon. Il y en a beaucoup, je trouve, et une grosse casserole d’eau est sur la plaque. Je trouve un petit mot sur la table de la cuisine :
"Fais chauffer l’eau pour les pâtes ; je les mettrai à cuire dès mon retour.
Ils mangent avec nous. Je t’aime. Bisous."
Je prends mon portable et monte. Au boulot, j’ai réussi à trouver un lecteur de cartes ; je vais pouvoir faire une copie des cartes mémoire afin de récupérer ces souvenirs, et peut-être un jour les partager avec elle. Cela prend un peu de temps car il y a une dizaine de cartes de 32 Go ; cela doit faire pas mal d’enregistrement. Il y en a où cela est très rapide car elles sont vierges. Je suis sur mes gardes car je ne veux pas me faire surprendre par Lucian ou l’un des autres. Je replace tout comme je l’ai trouvé et entrant.
Une voiture arrive ; je descends. C’est Valérie qui vient de rentrer.
Je n’ai pas le temps de jeter un coup d’œil à mes copies.
- On ne va pas manger de suite car ils sont en train de replier le chantier, et ensuite ils se douchent. Ça ne te dérange pas ? dit-elle en s’approchant de moi pour m’embrasser.
Je lui rends son baiser tout en laissant courir ma main sur sa robe, le long de son dos. Je remarque la présence d’un soutien-gorge, mais pas de culotte : elle a adopté le « cul-nu », ou il le lui a fait adopter.
Toby ne la lâche pas d’une semelle ; elle le met dehors afin d’être un peu tranquille. Je crains qu’en y ayant goûté, il ne la lâche plus. Est-ce que cela lui a plu, ou a-t-elle été surprise ? Je connaîtrai peut-être un jour sa version.
Elle me demande si je peux l’aider à préparer afin de ne pas manger trop tard. Nous allons dans la salle à manger où elle commence à mettre le couvert. Elle me donne la pile d’assiettes ; je ne peux qu’accepter, et me voilà en train de dresser leur table ; enfin, la nôtre puisque j’y suis invité.
Ils arrivent un par un et participent ; un met le pain, un autre un carré de Sopalin en guise de serviette. Marian sort une bouteille du frigo et sert un verre de rosé à tout le monde.
Pendant ce temps, j’ai perdu de vue Valérie qui est repartie à la cuisine ; elle n’est pas seule, mais en compagnie des deux frères. Curieux, je décide d’aller voir ce qu’il se passe, mais je n’ai pas le temps d’arriver que Stefan intervient ; je ne comprends pas, mais il a dû les avertir de mon arrivée. Je les surprends non loin de Valérie, qui termine de réajuster sa robe ; j’ai juste le temps de voir le bas de celle-ci reprendre sa place.
Ils rejoignent la salle à manger en m’emmenant avec eux pour trinquer, me disent-ils ; mais cette fois-ci je suis vigilant et ne trempe que mes lèvres afin de garder toute ma lucidité.
Valérie arrive avec le plat de pâtes et sert chacun d’entre eux. Il me semble apercevoir des mains baladeuses mais ne peux être affirmatif, tout ceci se déroulant sous le niveau de la table. Elle termine par moi avant d’aller s’asseoir en face de moi à l’opposé de la tablée avec Victor à sa droite et Lucian à sa gauche. Nous avalons notre assiette rapidement tout en restant sobres : juste deux verres de rosé. Valérie aussi, ce qui est déjà beaucoup pour elle ; elle a les joues toutes roses.
Ils débarrassent la table. Stefan me retient à table en me demandant quelques précisions sur les travaux à effectuer. J’entends que l’on met les couverts dans le lave-vaisselle, mais ne vois rien de ce qui peut se passer dans la cuisine. Marian revient avec les assiettes à dessert, précédé de Victor avec les petites cuillères. Lucian et Valérie suivent à distance, Valérie avec un gâteau et Lucian le couteau pour le couper. Cet après-midi, elle a pris le temps de faire un gâteau ; ce n’est pas dans son habitude, en pleine semaine : elle a voulu leur faire plaisir ; ils s’occupent tellement bien d’elle…
Fin de repas ; tout le monde participe pour débarrasser. Je vois bien qu’il y a des contacts familiers, en tout cas inhabituels pour des personnes n’ayant pas de relations. Ils partent tous vers la chambre en nous souhaitant bonne nuit. Valérie veut un café ; d’habitude je prends un déca, mais pas ce soir : j’opte aussi pour un espresso. Tant pis si je ne dors pas : je veux en savoir plus. Elle me prépare mes gouttes, puis retourne au salon allumer la télé. Je feins de boire et vide le verre dans l’évier, le rince, et retourne au salon avec le café.
Rien de très intéressant à la télé ; elle monte se coucher. Je range les tasses et la rejoins ; elle est sous la douche, et elle a verrouillé la porte de la salle d’eau. Je me déshabille et m’allonge. Je suis fatigué et somnole à moitié quand je la sens se coucher à mes côtés. Je tends la main ; elle a enfilé un pyjama. Je m’aventure sous le haut, mais elle grogne en me disant qu’elle est fatiguée. Frustré, j’abandonne. Je me retourne et vois qu’elle a entrouvert la porte.
Je ne trouve pas le sommeil facilement mais sombre dans un état semi-comateux quand un bruit dans les escaliers remet mes sens en éveil. Je vois quelqu’un dans l’ouverture, attentif à ce qui se passe dans la chambre, puis il ouvre doucement sans faire de bruit, contourne le lit et s’approche de Valérie qui semble endormie.
J’ai reconnu Victor, mais je vois à présent Lucian dans l’encadrement de la porte. Je sens la couette glisser vers le bas. Il doit murmurer quelque chose à l’oreille de mon épouse, mais je n’entends pas distinctement ; juste « Madame Valérie ».
Ça bouge dans le lit ; j’en profite pour bouger aussi et me mettre sur le dos afin d’avoir une vue plus large sur ce qui se passe. Valérie est assise ; il l’aide à se lever et l’entraîne vers Lucian. Ils referment partiellement la porte, mais je peux les voir entrer dans la chambre de Lucian tous les trois…

Tiens, un SMS ! Je prends le temps de l’ouvrir. C’est mon frère qui m’annonce :
« J’arrive à l’aéroport de Toulon-Hyères vendredi à 16 h 05 par le vol direct Charleroi / Toulon ; appelle-moi demain. @+ Pascal »
Je suis surpris : il n’était pas prévu qu’il vienne sur le chantier.
Pourquoi a-t-il changé d’avis ?
Quelques précisions : Pascal vit séparé depuis quelques années et n’entretient pas de relation suivie, à ma connaissance. S’il est renseigné sur l’activité de ces ouvriers, c’est – je pense – lui qui a dû les accompagner pour leur donner les bonnes adresses.
Je sais que Valérie ne le laisse pas indifférent ; j’ai eu l’occasion de constater qu’il n’hésitait jamais à avoir un regard appuyé dans son décolleté ou sur ses cuisses. Une fois, à la plage, j’ai eu l’impression qu’il la déshabillait du regard ; il en a même profité pour lui passer la crème dans le dos, le temps que j’aille nager. Je ne sais pas si sa décision de venir a un rapport avec ce qui est en train de se passer entre elle et les ouvriers, mais je ne peux m’empêcher d’imaginer qu’ils ont vendu la mèche et que l’occasion est trop bonne pour ne pas prendre une part du gâteau.
Je pose mon téléphone et décide d’aller voir ce qui se passe dans la chambre voisine. Je traverse discrètement le palier. Je la vois debout entre les deux hommes. Ils la déshabillent ; son bas de pyjama gît déjà au sol, et ils sont en train de remonter son haut. Elle se laisse faire et lève les bras afin de passer la tête.
Lucian s’agenouille et plonge la tête dans la fourche qu’il arrive à lui faire écarter sans forcer, en introduisant une main puis les deux. Il en profite pour écarter les lèvres. À la réaction de Valérie, je sais qu’il vient de débusquer le clitoris ; elle ondule sous les coups de langue précis de Lucian.
De son côté, Victor ne reste pas inactif et joue avec sa poitrine, passant d’un sein à l’autre. Le traitement lui a fait dresser les tétons qu’il ne manque pas de malmener en les suçant et les mordillant. Elle se cambre et rejette la tête en arrière sous l’onde de plaisir.
Elle a de plus en plus de mal à rester debout, les deux hommes jouant à la maintenir proche de l’orgasme. Tout à coup, elle ne peut retenir un petit cri de jouissance, et d’une main plaque la tête de Lucian sur sa chatte tandis qu’elle prend Victor par le cou et l’écrase contre son sein gauche.
Elle a le regard dans le vague. Je n’ai jamais vu Valérie jouir de cette façon, toujours en retenue jusqu’à maintenant ; mais là, elle a complètement lâché prise. Lucian et Victor l’attirent vers la porte ; j’ai juste le temps de regagner la chambre. Ils descendent. Elle suit, nue, sans résistance, consentante même.
Comment voir ce qu’ils font en bas ? Je m’aventure dans les escaliers, mais quand j’arrive en bas, la porte de la chambre est fermée. J’aperçois la lumière, le reste de la maison étant plongé dans le noir.
Ça discute à voix basse, je ne distingue rien de compréhensible. Je cherche un moyen de voir ce qui se passe à l’intérieur, mais comment ?
Ma seule possibilité : la porte-fenêtre sur la terrasse. Pour cela je dois sortir par la baie coulissante du salon pour rejoindre rapidement la terrasse, mais s’ils sortent rapidement de la chambre, risquer de rester coincé dehors.
Autre possibilité : le balcon qui n’a pas encore de garde-corps, situé juste au-dessus de la porte-fenêtre ; je n’ai qu’à me pencher pour voir. La position va être inconfortable la tête en bas, mais je suis sûr de ne pas me retrouver dans une situation délicate.
Je remonte donc, me rends sur le balcon et me penche doucement pour voir ce qui se passe. Je ne sais pas ce que j’ai manqué, mais je les retrouve en pleine action. Marian est allongé sur le lit près de la fenêtre, Valérie est empalée à cheval de dos sur lui. Victor est debout entre ses jambes et elle le suce ; enfin, ce qu’elle peut, car il y a un sacré morceau. Lucian et Stefan, debout de chaque côté, lui caressent le dos, les fesses, les seins. Une main plonge et vient jouer avec son clitoris ; elle ne sait plus où donner de la tête.
Marian en profite pour saliver sur son pouce et le dirige vers l’anus de Valérie. Il la pénètre et commence un va-et-vient. Voyant qu’elle ne le repousse pas, il fait de même avec le deuxième pouce et élargit ainsi le passage. Je vois où il veut en venir.
Je suis obligé de me redresser, la tête me tourne ; je reprends mes esprits et retourne à mon poste d’observation. Lucian et Stefan, une main sous chaque fesse, soulèvent un peu plus Valérie. Le pal de Marian est entièrement sorti ; il s’en saisit d’une main et le présente devant son fondement qu’il a si bien préparé. Les deux complices la font redescendre petit à petit. Valérie a suspendu sa fellation, mais reste accrochée des deux mains au sexe de Victor, s’en servant comme soutien.
Une fois assise sur Marian, elle reprend doucement la queue de Victor en bouche ; Stefan et Lucian l’accompagnent pour coulisser et descendre sur l’appendice de Marian. Stefan en profite pour lui glisser une main entre les jambes et venir lui titiller le berlingot. De son côté, Lucian n’est pas inactif et joue avec ses tétons bruns, durs, érigés comme jamais.
Doucement, Victor – qui est maintenant en pleine érection – prend du recul. Il s’adresse à ses complices mais je ne peux entendre.
Lucian fait allonger Valérie sur Marian. Stefan en profite pour présenter sa queue à la bouche de Valérie qui commence à lui sucer le gland. Lucian, de son côté, lui prend la main droite et la pose sur sa bite. Valérie comprend ce qu’il attend et commence à le branler. Victor, ayant une vue imprenable sur sa chatte aux lèvres entrouvertes et suintantes de liqueur d’amour, ne peut résister et en profite pour venir la pénétrer avec son gourdin ; j’ai peur qu’il ne la déchire, mais il y va en douceur. À croire qu’ils savent qu’il faut prendre soin d’un si précieux jouet !
Quelle scène ! Je ne pensais jamais voir Valérie s’occuper de quatre mecs en même temps, et pourtant il faut bien avouer qu’elle se débrouille plutôt bien. Ils sont très attentifs et se rendent compte que la position n’est pas des plus confortables pour Valérie.
Victor se dégage, Lucian et Stefan l’aident à se redresser et la dégagent de Marian qui en profite pour se dégourdir car cela fait un moment qu’il était dessous.
Lucian, qui tient toujours Valérie par la main, prend la place de Marian et l’attire sur lui. Il la pénètre d’un coup de reins puissant et la fait s’allonger sur lui afin de pouvoir téter sa belle poitrine. Marian, qui a été interrompu, se positionne entre ses fesses et vient finir ce qu’il avait si bien commencé.
Il la saisit par les hanches ; elle accepte sans rechigner : je crois même percevoir un mouvement de recul de sa part afin d’être prise plus profondément. Victor, de son côté, se présente aux lèvres de Valérie, qui malgré sa meilleure volonté ne peut que le prendre partiellement en bouche. Stefan est sur son flanc gauche et se fait branler contre son sein.

C’est reparti pour une nouvelle chevauchée. Marian est le premier à venir ; je le vois ralentir, se retirer doucement, puis sa semence s’écoule avant que le sphincter n’ait le temps de se refermer. Lucian, calé au fond de son utérus, ne donne que quelques coups de bassin, provocant suffisamment de frottements sur son bouton pour maintenir l’excitation.
Stefan, voyant que la place est libre, saute sur l’occasion et remplace aussitôt Marian. Il s’active doucement au début : ça coulisse tout seul, le passage venant d’être graissé, puis il se coordonne avec son beau–frère. Ils tiennent un rythme soutenu. À cette cadence-là, ils ne vont pas tarder à se répandre ; ils se lâchent de concert en Valérie qui jouit au moment où elle se retrouve remplie par tous ses orifices.
J’oubliais Victor ; il n’a pas encore pu profiter pleinement de la proie que représente Valérie. Après que les deux cousins se soient dégagés, ayant pris le temps de savourer leur plaisir, Valérie se retrouve abandonnée en travers du lit. Pas pour longtemps : Victor s’agenouille entre les jambes de Valérie. Se trouvant juste à la hauteur de sa grotte, il se saisit de ses jambes, les place sur ses épaules et la pénètre d’une lente et longue poussée jusqu’à ce que son pubis rencontre celui de Valérie.
Je peux voir un sourire de plénitude sur son visage épanoui, heureux. Des cernes commencent à apparaître : elle n’a pas l’habitude d’avoir autant d’activités nocturnes… Victor s’active en douceur, il veut lui arracher un nouvel orgasme. Il la pénètre de toute sa longueur.
Quand il se retire presque complètement, je peux me rendre compte de la taille impressionnante de son instrument : ses va-et-vient ont plus de vingt centimètres d’amplitude. D’une main, il trifouille son berlingot ; il sait qu’elle ne va pas pouvoir supporter ce traitement très longtemps.
Il en profite pour se retirer complètement, remonter encore plus haut les jambes de Valérie et tente de changer d’orifice, mais elle a encore la force de réagir en le repoussant gentiment d’une main. Il a compris qu’elle n’est pas encore prête à recevoir un tel engin entre les fesses. Il n’insiste pas car il aura l’occasion de la solliciter avant la fin du chantier. Il revient donc dans son vagin qui l’accueille sans problème et reprend son pistonnage. Tout à coup, elle se saisit d’un téton, le triture ; au même moment je vois son regard dans le vague, elle a les lèvres entrouvertes : elle vient à nouveau de succomber au plaisir.
Victor accélère le rythme puis, dans une dernière poussée, reste entièrement fiché en elle. Il est en train de se répandre, et cela dure, dure. Il est vraiment impressionnant, ce garçon ! Il se retire et s’approche de sa bouche pour qu’elle le nettoie. Valérie est épuisée ; elle a juste la force de lui lécher le gland, toujours dans cette position indécente en travers du lit, les jambes écartées, pendantes.
Lucian retourne auprès de Valérie, l’aide à se relever et l’emmène avec lui. Ils doivent sortir de la chambre ; je me remets au lit et attends. J’entends qu’ils montent les escaliers, puis plus rien. J’attends encore, mais rien. Je me décide donc à aller voir ce qui se passe ; pourquoi ne revient-elle pas dans la chambre ?
La porte de la chambre de Lucian n’est pas fermée ; je traverse le palier et peux voir Valérie en levrette sur le convertible. Lucian la possède à nouveau mais, vu la position, je pense que cette fois c’est par le cul qu’il la prend. Ils changent de position, je peux mieux voir. Je ne me suis pas trompé : elle est couchée sur son côté droit, il est à genoux à cheval sur sa jambe droite, la jambe gauche sur l’épaule, et il la prend bien par l’anus et s’enfonce complètement en elle. Il doit préparer le terrain pour son frère qui n’a pas encore pu la posséder par cette entrée.
À chaque fois qu’il est au fond, un petit cri s’échappe de la bouche de Valérie, à peine audible. Est-ce de douleur ou de plaisir ? Vu le ton et sa complaisance à se laisser défoncer le fion jusqu’à la garde, j’opte pour du plaisir.
Va-t-il réussir à la faire de nouveau jouir ? En tout cas, cela en prend bien la direction. Pour cela, il rajoute à son excitation en jouant avec sa poitrine. Elle se tord dans tous les sens, puis je la vois se cambrer encore plus. Un son, plus rauque et surtout plus fort, sort de sa bouche.
Valérie vient d’avoir son n-ième orgasme de la soirée, alors que moi je n’ai jamais su lui en procurer plus d’un à chaque fois, sans même la certitude que cela ne soit simulé. Je dois admettre que je n’ai jamais su la combler de la sorte.
Il s’active toujours en elle, car lui n’a toujours pas pris son plaisir. Il la besogne en cadence, sans ménagement, mais aussi sans précipitation ; j’ai l’impression que cela dure une éternité. Comment fait-il pour tenir en érection aussi longtemps, mais également retenir son éjaculation ? À ce rythme-là, je ne tiens pas dix minutes.
De la main gauche, il en rajoute en venant débusquer son clitoris et fait de nouveau partir Valérie vers le nirvana. Il réussit ce qu’il a entrepris et obtient un ultime orgasme de Valérie en se répandant au fond de ses reins. Il s’effondre à ses côtés. Son sexe sortant de son anus, une coulée de sperme s’échappe avant que celui-ci ne se referme.
23 h 23 ; je rejoins la chambre, la queue entre les jambes ; je ne me suis même pas rendu compte que cela m’avait fait éjaculer dans mon caleçon. Voir Valérie prendre autant de plaisir, accepter cette soumission à ces mâles en rut et leur servir de vide-couilles tout en tirant son propre plaisir, je croyais la connaître ; je la découvre sous un autre jour, et en plus j’en tire du plaisir. Je me couche. Le sommeil me rattrape, et je ne l’entends pas venir me rejoindre.
03 h 46 ; encore cette vessie qui me rappelle à l’ordre. Je tâte à mes côtés mais ne trouve pas le corps de Valérie : elle n’est pas couchée. Je me lève et traverse le palier pour jeter un œil à la chambre de Lucian. Je devine deux silhouettes emboîtées, Valérie dos à Lucian qui la tient dans son bras serrée contre lui.
Un nouveau cap est franchi : elle passe la nuit avec lui. Je ne peux qu’aller me soulager et me recoucher. Je ne retrouve pas le sommeil, repassant en boucle le film de cette nouvelle soirée de débauche et d’avilissement de Valérie. Est-ce sa véritable nature qu’ils ont su révéler au grand jour ? Je ne sais que penser.

05 h 15 ; la lumière vient de s’allumer dans la chambre en face. Je perçois quelques mouvements et échanges verbaux sans pouvoir en distinguer la nature, puis la porte s’ouvre ; elle vient de rejoindre notre chambre. J’ai pu distinguer qu’elle est nue, le pyjama à la main. Je suis couché sur le dos ; elle s’allonge et vient se nicher dans le creux de mon épaule, son corps tout chaud contre le mien. Elle se rendort très rapidement, elle n’a pas encore récupéré de toute cette dépense d’énergie. Sa présence me rassure ; la sentir à mes côtés me fait sombrer pour quelques instants.
06 h 15 ; mon portable sonne, je m’en saisis avant que cela ne la réveille. Il est l’heure de se préparer pour partir au boulot. Elle est toujours à la même place ; non : sa main droite est descendue, et maintenant posée sur mon sexe, ce qui me provoque un début d’érection. Sa main sent le changement de consistance et vient enserrer ma verge de ses doigts. Cette fois, mon érection est totale ; j’essaye de me dégager, mais cela provoque l’effet inverse sur Valérie qui resserre sa prise dans son sommeil.
Soit je la réveille, soit je débande. Je saisis donc sa main avec ma main gauche et commence une masturbation en règle ; comme d’habitude, je me répands assez rapidement sous l’action de sa main. Le « colosse » de 12 cm reprend rapidement une dimension et une consistance qui permet de me dégager en douceur sans réveiller Valérie. Je me suis mis en retard ; je ne prends pas le temps de déjeuner. Je pense à récupérer mon ordinateur portable, saute aussitôt dans la voiture et prends la route, sinon je vais tomber dans les bouchons.

07 h 15 ; j’arrive au bureau ; je suis le premier. J’allume le portable et commence à visionner les copies que j’ai effectuées hier. Je zappe en accéléré ; je prendrai le temps de les regarder en détail plus tard. Soudain je tombe sur un passage qui attire plus particulièrement mon attention.
L’environnement ne m’est pas inconnu mais ne correspond pas à la maison. En fait, il s’agit d’une villa où Valérie assure une prestation. Les premiers plans sont extérieurs et concernent en fait un chantier en suspens. Valérie m’en avait parlé et j’étais allé voir sur place, mais cela dépassait mes compétences.
La qualité de la prise de vue n’est pas terrible ; je suppose que celle-ci a été réalisée à l’aide d’un portable. Je vois Valérie, Lucian, Dominique (le fils du propriétaire, 55/60 ans) et Michel, le propriétaire, au moins 75 ans, qui discutent.
Elle ne m’a pas parlé de cette visite avec les ouvriers. D’ailleurs elle n’a pas une tenue très appropriée à une activité d’auxiliaire de vie : une robe très minimaliste boutonnée sur le devant ; enfin, il faut le dire vite car, dans ce cas précis, c’est plutôt déboutonnée : au moins deux boutons en haut qui dévoilent une bonne partie de sa poitrine ; quant au bas, un bouton de plus et on verrait sa culotte. Je ne lui connais pas cette tenue ; est-elle réservée à ses employeurs afin d’égayer leur journée ?
Lucian fait des clichés, sûrement pour les envoyer à mon frère afin de chiffrer et voir si c’est intéressant pour eux. Le fils, Dominique, remonte dans sa voiture et quitte le champ de la caméra. Lucian raccompagne Michel et Valérie à l’entrée de la maison, fait demi-tour et arrive à côté de celui qui filme et qui doit être son frère. Ils échangent quelques mots, que bien sûr je ne comprends pas, mais j’ai pu distinguer Victor. J’ai donc la confirmation. Mais pourquoi reste-t-il sur place et continue-t-il de filmer ?
Il s’approche de la maison, d’une baie vitrée qui est ouverte ; cela donne sur un séjour-salon et cuisine américaine. Il reprend le cadrage, et je vois Valérie apparaître dans le champ. Elle est devant l’évier, en train de faire quelque chose : la vaisselle, éplucher des légumes ou je ne sais quoi. On peut entendre l’eau couler ; elle est de trois-quarts arrière.
Le papy, Michel, vient d’entrer dans le champ ; il s’approche doucement de Valérie sans faire de bruit. Une fois dans son dos, il passe les deux bras sous les siens et va se saisir de ses deux mamelons ; elle sursaute plus de surprise que de peur car elle ne se rebiffe pas. Aurait-elle l’habitude de ce traitement ?
Il la félicite pour sa tenue :
- C’est bien, tu as mis ma tenue préférée, coquine.
- Je sais que cela vous fait plaisir, Michel.
Il se plaque à elle et se frotte à ses fesses ; elle se tortille sur place mais continue ce qu’elle était en train de faire.
- Laissez-moi travailler, je dois vous préparer le repas. Soyez sage !
Il lâche sa prise, ramène ses bras le long du corps de Valérie, s’accroupit légèrement et se saisit du bas de sa robe pour la faire remonter. On voit apparaître ses cuisses petit à petit, puis le bas de ses fesses pour finir par découvrir complètement ses deux globes magnifiquement dénudés car Valérie a omis d’enfiler une culotte, comme j’ai pu le remarquer ces derniers jours.
- Tu n’as pas mis de culotte ; je ne veux plus que tu en portes quand tu viens chez moi, j’aime caresser tes fesses, elles sont si douces…
- Je suis obéissante, vous voyez, et je sais que vous aimez les toucher.
Il insinue une main entre l’évier et le ventre de Valérie afin d’y débusquer son bouton d’amour, se frotte toujours à ses fesses et continue de flatter sa poitrine de son autre main.
- Arrêtez, Michel, vous me perturbez. Je n’ai pas que vous à m’occuper, vous allez me mettre en retard.
Elle renverse la tête contre son épaule. Il est en train de lui faire du bien, le bougre, à ma Valérie ! Il profite de son laisser-aller pour finir de déboutonner la robe et écarte les deux pans de celle-ci qui lui tombe sur les épaules.
- Fais-moi plaisir : enlève ta robe, j’aime trop te voir nue en train de me faire ma popote.
- Vous êtes coquin, Michel, mais c’est demandé si gentiment…
- Je vais t’aider.
Il s’écarte un peu et lui retire les bras des emmanchures, jette la robe sur la table derrière lui et s’attaque à son soutien-gorge qui prend le même chemin, puis il la fait se tourner face à lui et s’appuyer dos à l’évier. Il s’agenouille, plonge la tête dans la fourche et entreprend de lui lutiner le berlingot.
- Oh, Michel, vous êtes fou ! Oh, oui, c‘est bon…
Elle apprécie, car d’une main elle s’accroche au bord de l’évier, et de l’autre le plaque contre son sexe en lui caressant la tête. On peut la voir se raidir, s’arc-bouter même, en se retenant à l’évier.
- Oh, ouiiii…
L’ancien a du métier ; il réussit en un rien de temps à lui décrocher un orgasme. Il se redresse et en profite pour lui taquiner les tétons ; elle glousse sous ses coups de langue.
- À toi maintenant de t’occuper de moi.

A suivre…


 


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