Expériences. Fantasmes et découvertes.
Quelques fois l’inattendu nous construit.
Quelques exemples:
Jeunesse.
Je suis bisexuel, mais je souhaitais vous raconter une aventure de jeunesse qui m’est arrivée quand j’étais lycéen. Ma curiosité. Mon goût pour le Sexe, m’ont permis d’en connaître beaucoup d’autres depuis.
Chaque jour, matin, midi et soir, pour me rendre au lycée, je traversais un très grand parc public, lieu apprécié pour les promenades.
Un jour de printemps, l’année de mes 17 ans, alors que je rentrais comme chaque midi déjeuner chez mes parents, je fus pris d’une ’envie’ extrêmement urgente, mon ventre était douloureux, je serrais les fesses sans espoir, je savais que je n’aurais pas le temps de rentrer assez vite chez moi. Je repérais le panneau ’Toilette’ et me précipitais.
Cachés dans un massif d’arbustes, les WC en forme de rotonde comportaient plusieurs cabines. Je me précipitais vers une porte entr’ouverte, refermais vivement et descendais prestement mon pantalon. Installé sur la cuvette je me libérais de mon urgence.
En partie soulagé, je regardais autour de moi, les murs tapissés de graffitis et de dessins obscènes: une queue pointée vers une paire de fesses, une autre vers une chatte de femme, ou encore des sodomies en chaîne.
Je lisais des petites annonces écrites dans tous les sens:
— ’JH cherche jeune chatte à lécher’
— ’H ch JH pour branler et sucer, de 12 a 14 H 00, ici’
— ’Cple rencontrerait F ou Cple pour plaisirs divers’
— ’Cple ch mec bien monté - rdv ici’
— ’Branle et suce jeunes mecs, ici tous les jours, le midi ou le soir’....
Les murs et les portes étaient barbouillées de ces annonces dont certaines paraissaient anciennes, d’autres récentes, des réponses proposaient des rendez-vous. Il y avait un trou de cinq centimètres dans la porte, à 80 centimètres du sol. L’idée que quelqu’un pouvait espionner dans les toilettes m’amusait beaucoup.
Je me rendis compte rapidement, qu’il y avait aussi un trou de la taille d’un œuf percé dans chacun des murs sur les côtés, à hauteur des genoux.
Poussé par la curiosité, je me penchais pour regarder au travers de l’un d’eux, la cabine était vide. Je voyais le rebord de la cuvette du WC.
Je me tournais vers le second trou, j’eu l’impression de voir un œil qui s’effaçait, puis je vis nettement une cuisse; quelqu’un était assis sur le WC de la cabine voisine.
Je me reculais vivement, rougissant. Mais poussé par une curiosité viscérale, je regardais à nouveau. La cuisse semblait être celle d’une fille ou d’un adolescent : ferme, mais sans poils. Je m’avançais un peu pour mieux voir.
Et je vis une main qui massait lentement un sexe dressé de taille moyenne au gland bien dégagé, tout rosé. L’autre main triturait doucement les couilles. Mon voisin se masturbait en toute tranquillité, assis sur le bord de la cuvette.
Ma tension montait violemment, Je me surpris à bander à mon tour. Je glissais une main sous ma queue et me masturbais aussi.
Mon voisin continuant de s’astiquer, s’était penché sur le côté, avec un peu de recul pour vérifier si je l’observais. Je croisais son regard amusé. Il accélérait sa masturbation, avançant sa queue bien en face du trou. J’étais hypnotisé, rouge de confusion, ne sachant plus ce que je devais faire, fuir ou continuer. Le spectacle m’excitait trop, je me branlais de concert.
Il me fit signe de montrer mon sexe. Intimidé j’hésitais, lui insistant me montrait le sien avec impudeur. Je m’avançais un peu, lui présentant le profil de ma bite dressée, au gland congestionné.
Mon voisin, vint placer son sexe face au trou, l’avançant au travers de la mince cloison. Une douzaine de centimètres dépassait sous mon nez. Attiré par cette chaire inconnue j’osais une caresse timide, moi qui n’avais jamais touché un autre sexe que le mien. A ce contact doux et chaud, une violente bouffée de chaleur m’envahit. Je faisais glisser délicatement la peau sur le gland, comme j’aimais me le faire moi-même.
L’inconnu se reculait et me fit signe de faire comme lui. Je glissais mon sexe dans l’orifice. Surprise ! Ce n’étaient pas ses doigts qui avaient saisi ma bite, mais sa bouche tiède et humide. Il aspirait, malaxant de ses lèvres, sa langue chatouillant mon prépuce. Ma tête tourbillonnait, je sentais mon sperme monter dans ma verge.
J’allais me retirer, il me retenait par sa bouche. Je sentis mon sexe exploser, j’accompagnais mon éjaculation de coups de ventre saccadés contre la cloison. Vidé je m’asseyais sur la cuvette pour récupérer.
Quelques instants plus tard j’entendais la porte voisine s’ouvrir. Je me rhabillais, pensant que celui qui m’avait donné autant de plaisir était parti j’attendis quelques instants avant de sortir pour ne pas le rencontrer.
Le rouge aux joues, je sortais à mon tour, un peu étourdi. A ma plus grande surprise mon voisin m’attendait. Je reconnus un gars de mon lycée, je le connaissais seulement de vue car nous étions un millier d’élèves et nous n’étions pas dans la même classe. Il était aussi grand que moi, bien que mon cadet d’un an.
Voyant ma gène, il vînt vers moi, la main tendue :
- Je m’appelle Alain, je viens souvent ici, on y fait des rencontres sympas, des gars, mais aussi parfois des femmes ou des filles.
Il continuait:
- Tu as aimé ? Apparemment oui ! On peut se retrouver ici après déjeuner ? Je reprends à 15 H 00 et toi ?
Je répondais, sans réfléchir :
- Moi aussi je reprends à 15 H 00. J’aurais fini de déjeuner à 13H15.
- OK, j’attendrais ? 13 H 30, sur le banc dehors, en face.
Avec un large sourire il s’éloignait. L’esprit embué, mais j’accélérais mes pas pour aller déjeuner. Je n’avais pas donné mon accord, mais mon envie de revenir était trop forte.
A l’heure convenue j’étais de retour. Alain me demandait d’emblée de le suivre dans les toilettes. Il m’entraînait dans la cabine la plus éloignée de l’entrée et verrouillait la porte derrière nous.
Prestement débarrassé de son pantalon et de son slip, qu’il accrochait à une pointe derrière la porte, Alain, la bite fière, dressée, s’avançait vers moi et s’attaquait à la ceinture de mon pantalon. En un tournemain j’étais débarrassé aussi de mes vêtements.
Ma queue bandée à faire mal, j’attendais la suite des évènements. Alain avait jeté un regard par le trou du mur, pour savoir si nous étions tranquilles. Il s’agenouillait devant moi, aspirant mon sexe à pleine bouche, il me pompait à merveille. Quel délice !
Adossé au mur, j’étais tendu comme un arc. Inconsciemment je caressais la tête de mon compagnon. Il avait glissé une main sur mes fesses, séparant les globes il descendait vers mon anus, qu’il agaçait d’un doigt, mais constatant ma contraction il en restait là.
Une nouvelle fois je déchargeais dans sa bouche, il avalait mon sperme avec délice. J’y avais moi-même goûté, et trouvais le goût très agréable.
Alain se redressait, en disant que c’était super. Je ne voulais pas être en reste, je m’agenouillais à mon tour. Maladroitement je le suçai. Comprenant que c’était la première fois que je suçais une queue, il me conseillait et me guidait dans mes gestes, j’assimilais vite.
Rapidement Alain m’informait qu’il allait éjaculer, me demandant si je préférais qu’il se retire. Moi je souhaitais aller jusqu’au bout.
Un jet de sperme giclait contre mon palais, je suffoquais un peu mais continuais à pomper et avalais avec plaisir la semence épaisse.
Après quelques caresses échangées, sur les tétons, les fesses et le ventre, nous nous sommes rhabillés pour rentrer au collège.
Alain devenu un ami, venait à la maison, pour étudier ou écouter de la musique pensaient mes parents, nous pouvions nous enfermer dans ma chambre sans être dérangés. Alain était même autorisé à rester dormir à la maison, avec moi bien entendu.
Nos jeux évoluèrent rapidement, mon ami me sodomisait, je lui rendais la pareille. Cela ne nous empêchait pas de nous retrouver fréquemment dans nos toilettes préférées ou nous avons vécues d’autres aventures piquantes que je vous raconterais sans doute plus tard.
Amicalement.
Jeune papa
J’avais 24 ans à l’époque, marié 1 enfant et j’étais représentant pour une société de chaussures.
19h30, je rentrais chez moi après une journée de prospection commerciale. Presque arrivé à mon domicile, mal m’en a pris de faire un léger détour avec l’idée d’aller dire bonjour à un ami que je n’avais pas vu depuis 7 ou 8 ans, qui habitait dans une cité de la région lyonnaise.
Je retrouve à peu près sans mal, le bâtiment où il habitait à l’époque. Je me gare avec le plaisir de peut-être retrouver cet ami après tant d’années. Je rentre dans celui-ci et commence à regarder sur les boites aux lettres si je retrouve le nom de ce copain, Jamel. Mais aucun nom ne me revenait dans ceux que je trouvais.
J’allais partir, un peu déçu quand j’entends derrière moi :
- Alors qu’est-ce qui fait là le dandy ? (j’étais en costume cravate)
Je me retourne et vois un groupe de cinq beurs de 15/17 ans environ. Je leur dit que je cherche un certain Jamel.
- Il n’y en a pas me dit celui qui paraissait le plus âgé, tu dois te tromper !
Je le remercie et m’apprête à partir, en me dirigeant vers la porte. Pour ce faire, je devais passer au travers du groupe des beurs, mais arrivant à leur hauteur, ils ne me laissaient pas passer.
- Pardon leur dis-je.
- Ou vas-tu si vite ? Il est pressé le touriste me dit le même gars ? Il y a un droit de passage.
J’ai eu l’impression qu’ils allaient me racketter, mais il repris :
- Tu vas nous faire une pipe !
- Quoi ? Mais vous êtes débiles !
A peine la phrase dite je me prends une claque par un des autres gars.
- Tu vas tous nous sucer, mignon !
Et là tout s’est accéléré, ils m’ont serré de près, saisi par les bras. Leur "chef" dit aux autres :
- A la cave, on sera plus tranquilles !
Et me voilà entraîné dans les escaliers qui devaient mener aux sous-sols. On arriva dans une cave, curieusement équipée de vieux fauteuils et d’une table dont les pieds avaient dû être coupés à 60 cm environ.
- Foutez-le à poil, et laissez-lui le slip ! On verra plus tard.
Je commençais sérieusement à être inquiet de cette situation. En quelques instants je me retrouvais en slip, et ils me forcèrent à m’allonger sur le dos sur la table, puis ils m’y bloquèrent avec 2 sangles.
Leur chef, Mouloud d’après ce que j’avais compris, s’approcha de moi et me dit :
- Tu vas commencer par moi
Et sur ce il baisse son bas de survêtement et le slip, laissant apparaitre une grosse bite circoncise.
- Allez, ouvre ta bouche et suce-moi !
Je compris la hauteur de la table, j’avais la tête au niveau de sa bite !
Je détournais la tête pour éviter le pire.
- Pas décidé à me sucer me dit-il ? Alors je vais te pisser dessus !
Il approche son sexe et commence à m’uriner sur le visage ; j’avais beau essayer de bouger la tête, il m’inondait de pisse. Les autres rigolaient comme des dingues. Puis un second se positionna de l’autre côté de la table et en fit de même. Puis les autres. Les cinq me pissaient dessus en même temps, j’en avalais en criant, mais ils continuaient en se marrant.
Quand ils se sont vidés complètement, Mouloud me dit :
- Alors tu suces ou je te chie dessus ?
Ne répondant pas, il entreprend de m’enjamber et de mettre son cul sur ma bouche.
J’ai craqué :
- O.K. je vais vous sucer !
- Ah, te voilà raisonnable, tu vas aimer nos bites, tu vas voir ! Après tu suceras tous nos potes du bâtiment, on va aller les chercher, c’est pas souvent qu’un minet vient chez nous, alors autant en profiter !
Il s’approcha de ma bouche et me la pénétra entièrement.
- A toi, suce bien salope, et tu vas tout avaler, jusqu’au bout!
J’ai commencé à le sucer du mieux que je pouvais faire, n’ayant jamais fait de pipe jusqu’à présent. Très peu de temps après j’ai senti qu’il se raidissait, et j’ai reçu plusieurs giclées de sperme dans la bouche. A peine sorti, un autre a pris la place, avec une bite qui sentait fort ! Et je me suis remis à le sucer lui aussi. Mais le pire fut que je constatais que je commençais à bander dans mon slip !
- Regardez-le dit Mouloud, on dirait qu’on l’excite la salope !
Sur ce il me baisse le slip montrant qu’effectivement j’avais un début d’érection. Je leur dit :
- C’est la peur, c’est tout !
- Ferme-la et suce mon pote.
- Je vais l’enculer dit un autre !
- Mais avant on va lui raser les poils avec un briquet. Un vrai petit PD ce gars là, j’en étais sur dès que je l’ai vu, dit Mouloud.
Il alluma un briquet et me brûla tous les poils des couilles et de la bite ( qu’est-ce que j’allais raconter à ma femme )
Il me tira en arrière et me leva les jambes en l’air puis commença à forcer mon anus après avoir craché plusieurs fois sur mon cul! J’ai senti qu’il me pénétrait progressivement, puis entama des va-et-vient et se vida dans mon cul.
J’étais pris par la bouche et le cul en même temps.
D’autres copains sont venus et tous m’ont baisé comme une salope durant des heures, j’en pouvais plus, j’avais du tailler plus de 25 pipes et m’être autant fait enculer.
Ils me détachèrent et Mouloud me dit :
- On a ton adresse, alors si tu ne veux pas qu’on s’occupe de ta femme, tu viendras toutes les semaines te faire baiser, même jour, même heure, OK. Maintenant branle-toi, tu bandes encore.
Avant de pouvoir me rhabiller, j’ai dû me masturber devant ceux qui étaient là, et honteux j’ai joui tout de suite.
- Maintenant tu vas nous dire qu’elles étaient bonnes nos bites et que tu as hâte de revenir nous les sucer!
- Oui, elles étaient bonnes et je reviendrai me faire baiser toutes les semaines et tous vous sucer...j’en ai très envie
Fantasme
Bonjour, je suis un homme de 35 ans, pas très grand (1m65), plutôt mince. Je suis bisexuel. Je fais souvent ce fantasme quand je me retrouve seul dans mon lit.
Je rentre dans un cinéma porno de la capitale, il fait chaud, très chaud. On peut entendre, en plus de la bande son du film, des gémissements parmi le public. Je sens déjà des yeux posés sur moi. Je décide de m’asseoir dans une rangée vide, vers le milieu de la salle.
Sur l’écran, une femme se fait pénétrer par deux hommes. Je regarde le film et commence à bander dans mon jean. Je prends ma queue à travers le pantalon pour la replacer correctement, c’est alors que je sens un mouvement sur ma droite. Je jette un coup d’œil, c’est un homme, que je ne vois pas très bien à cause de l’obscurité, qui s’assied à deux fauteuil de moi.
Le film continue de défiler sur l’écran. Trois filles sont en train de se rouler des pelles sur un canapé. Je commence à passer une main par-dessus mon pantalon et à m’enfonce un peu plus dans le fauteuil. Je déboutonne le premier bouton de mon jean.
Sur ma droite, je sens l’homme se rapprocher d’un fauteuil. Cette fois, je le regarde vraiment. Mon cœur commence à s’accélérer.
Il est plus grand que moi, il a l’air de la même tranche d’âge avec un peu de ventre. Il se caresse, la main dans son pantalon en me regardant de temps en temps. Je décide de déboutonner un peu plus mon jean et commence à me masturber à travers mon boxer. Sur la toile, les trois filles sont en train de se lécher la chatte mutuellement.
L’homme, qui n’est plus qu’à un fauteuil de moi a complètement sorti sa queue et se caresse en me regardant. Je continue à me branler à travers mon boxer et mon regard va sans arrêt de son visage à son entrejambe. Mon estomac se noue, je suis excité, mes battements de cœur s’accélèrent encore. Ma main gauche glisse dans mon caleçon et je me caresse directement. Je prends une grande respiration et sors ma queue de sa prison tout en regardant l’homme à côté de moi.
Il se décide enfin à se mettre sur le fauteuil juste à côté du mien et pose sa main gauche sur ma cuisse. Je le regarde, il me sourit. Mon regard est attiré vers son entre-jambe. Sa main droite caresse son membre de tout son long. Je pose à mon tour ma main sur sa cuisse et remonte lentement. Il se tourne vers moi, et sa main qui caressait son membre vient se placer à la base de ma queue. Je me tourne vers lui et en fait autant.
Nos deux visages face à face, je pose la main sur sa bite gonflée à mort. Il se rapproche et m’embrasse dans le cou pendant qu’il commence à me branler. Sa bouche remonte vers mon visage, ma bouche, nos langues se trouvent, s’emmêlent. Mes doigts jouent avec sa queue, les siens avec la mienne.
Nos bouches se séparent. C’est à mon tour de descendre vers son cou, Je sors ma langue et la passe le long de son cou. Il arrête de me masturber et pose sa main sur ma nuque. Je baisse la tête lentement vers sa queue et me penche de plus en plus. Il se soulève un peu du siège pour baisser son pantalon jusqu’à mi-cuisse.
Je continue de me pencher. Mes lèvres s’ouvrent au contact de son gland que je commence à lécher doucement pour finir par le gober. Ma bouche monte et descend sur le membre de mon amant inconnu. Je l’entends gémir à chaque descente. Son gland bute au fond de ma gorge.
Je pousse son pantalon qui se retrouve sur ses mollets et prends ses testicules dans ma main. Je sors complètement sa bite de ma bouche pour respirer et replonge aussitôt vers cette délicieuse friandise.
Soudain, je sens sa main se contracter sur ma nuque, puis tout son corps. Un giclée de liquide chaud et épais s’écrase au fond de ma gorge, puis une deuxième, une troisième. Je n’arrive pas à tout garder tellement il y en a. Je me régale de ce sperme au goût fort et délicieux. J’entends mon amant gémir fort. Il me relève la tête et me saisit le cou de sa main, m’attire vers lui pour me rouler une pelle. Ma bouche est encore pleine de son jus.
Nos bouches se séparent et il me glisse à l’oreille que c’est mon tour. Je m’allonge sur les sièges, obligé de me cambrer à cause des accoudoirs. Il prend ma queue bandée dans sa main, et se penche pour me gober. Je commence à gémir alors qu’il lèche mon membre sur toute sa longueur.
Sur la rangée de siège devant la nôtre, je vois deux hommes en train de se branler en nous regardant. Mon inconnu se régale de ma queue, je caresse ses cheveux. Il me gobe tout entier en faisant des longs va et vient avec sa bouche. Il passe une de ses mains sous mes fesses et cherche d’un doigt à atteindre mon petit trou. Je l’aide un peu en écartant mes globes.
Il se met à caresser doucement mon anus. Je sens une vague de chaleur monter jusqu’à ma tête, ma respiration s’accélère, je laisse échapper un cri de jouissance pendant que tout mon corps se crispe. Je lâche alors plusieurs jets de sperme dans la bouche de mon partenaire. Tout mon corps est agité de soubresauts.
Mon amant m’aide à me redresser. Je regarde les deux hommes en train de se branler devant nous. Mon inconnu me demande de me lever, ce que je fais aussitôt. Je fais face au deux voyeurs, le pantalon sur les chevilles. Mon amant me pousse à me pencher en avant contre les dossiers de la rangée de devant.
Les deux hommes se rapprochent de moi, leurs membres bandés à quelques centimètres de mon visage. L’homme derrière moi m’écarte doucement les fesses et je sens sa langue et son souffle chaud sur mon petit trou. Il me lèche avec application et force de salive. Je pousse un soupir de contentement.
Un des deux gars devant moi se rapproche un peu plus et tapote ma joue avec sa queue. J’ouvre la bouche instinctivement et absorbe cette belle queue dressée. Je prends la deuxième dans ma main pendant que le premier gars continue de m’enduire la rondelle de sa salive. Je ne sais plus où je suis, mon cœur bat à 100 à l’heure. Je suce ces deux queues devant moi alors que derrière moi, des doigts forcent l’entrée de mon trou.
Un, deux, bientôt trois doigts coulissent dans mes entrailles. Je les sens entrer et sortir au même rythme que je suce la bite devant moi. Je m’arrête pour reprendre mon souffle, et enfourne l’autre membre dans ma bouche pendant que je continue à caresser la première. Mon anus est en feu, complètement dilaté et j’ai la bouche remplie au maximum. Je ne suis plus que deux trous béants.
Le partenaire derrière moi sort ses doigts de mon anus et se lève pour y présenter son engin. Il force à peine qu’il est déjà au fond, tout contre ma prostate. Je le sens commencer à faire des va et vient dans mon cul. De plus en plus vite. Je me sens complètement défaillir. Je n’arrive même plus à sucer les deux queues devant moi tellement cette sodomie profonde me comble.
Les deux gars devant moi continuent de se branler en caressant mon visage avec leurs membres. Un premier jet de sperme chaud et délicieux vient s’écraser sur mon visage, puis un deuxième. Ces deux belles queues se vident sur moi, sur mes joues, dans ma bouche, mes cheveux. Le sperme dégouline dans mon cou.
Les coups de bite au fond de mon cul se font de plus en plus violents, je crie mon bonheur, ma douleur, ma jouissance. Mon amant se raidit soudain, me défonce deux fois encore, gémit et se vide dans mon ventre. La sensation n’a rien de comparable. Je sens les jets de liquide chaud à l’intérieur.
Je crie ...
Je m’effondre totalement. Secoué de spasme. Je sens la queue se retirer doucement. Je reprends mes esprits petit à petit. Je me rassoie sur le fauteuil derrière moi.
Mon homme mystérieux est toujours là. Il remonte son pantalon, me regarde, me sourit. Je souris aussi. Le sperme sur mon visage est en train de sécher. Je me penche vers mon amant pour lui dire que je vais aux toilettes me débarbouiller. Il me fait oui de la tête. Lorsque je reviens, il n’est plus là. Je quitte la salle, comblé ...
Fin
Le vieux retraité
L’histoire que je vais vous raconter m’est arrivée quand j’avais seulement 17 ans. A l’époque j’allais souvent chez ma tante pour passer quelques jours chez elle. Elle habite un vieil immeuble situé dans un quartier populaire, une sorte de « Ghetto ».
Ce jour-là, je suis allé faire des courses et en revenant je montais tranquillement les escaliers quand j’ai croisé un des voisins de ma tante. Un vieux retraité, la soixantaine, assez petit. Il portait deux gros bidons de peinture alors je lui je propose mon aide qu’il décline poliment en me disant tout en souriant :
- Tu ne peux pas m’aider puisque tu es toi-même surchargé ! Passe devant, sinon je vais te retarder, me lança-t-il en essayant de me faire de la place pour passer.
En montant j’ai remarqué qu’il me matait les fesses alors j’accélère le pas et c’est là que j’entends.
- Petit ! Si tu veux toujours m’aider, je te propose de passer chez moi. J’ai des travaux à faire et ton aide ne sera pas de trop !
- Je dépose tout ça et je reviens !
- D’accord, je vais t’attendre ici.
En revenant, je l’aide à porter sa marchandise et c’est sans surprise qu’il me réinvite à passer devant lui. Il fait exprès de ne pas me laisser assez de place, comme ça, il en profite pour se frotter à moi.
Une fois chez lui, il me propose quelque chose à boire avant de commencer le travail.
- T’en ai sûr ?! Tu ne veux rien ?
-Non, merci monsieur mais c’est gentil de votre part.
- Bon d’accord ! Alors on va se changer dans l’autre pièce, mais j’y pense ! T’as pas ramené de quoi te changer..
- Non, mais je peux aller….
- Laisse, je crois que j’ai ce qu’il faut pour toi. Je reviens
Et là, il quitte le salon en me laissant seul. Ça me laisse le temps de repenser à ce qu’il m’a dit « il veut qu’on se change tous les deux dans la même pièce ?!!! » « Il pense que je vais me déshabiller comme ça devant lui… »
Je l’entends m’appeler depuis la chambre.
- Petit approche, je t’ai trouvé ça. Il me tend un mini short rose et un t-shirt blanc.
- C’est trop petit et en plus c’est rose !!!
- C’est pas grave tu ne vas pas sortir avec et ça ne te gêneras pas dans tes mouvements surtout quand tu va devoir monter l’escabeau.
Je me résigne à les mettre de toute façon il a raison je ne vais pas sortir avec je vais juste les porter le temps que qu’on termine les travaux.
- D’accord, je me change où ?
- Ici, on va se changer ici. Me répond-t-il en commençant à ôter sa chemise.
Il me prend vraiment pour un attardé. Il pense que je ne vois pas clair dans son jeu. Tant pis je vais jouer moi aussi et je vais l’exciter à mort ce vieux pervers.
Je me mets dans un coin, je lui tourne le dos et je commence à enlever mon jeans puis mon boxer. Je me penche légèrement en avant et j’enfile le mini short et quand je me retourne je le découvre là, pas encore habillé, immobile entrain d’admirer le spectacle.
Mon regard se porte sur son pénis, très large avec un gros gland mais pas très grand, 16 cm pas plus. Je fais semblant de n’avoir rien vu et je sors de la chambre et du couloir je lui lance.
- On va commencer par quelle chambre.
Il me rejoint rapidement dans le couloir et me montre du doigt les WC.
- Par les toilettes mon petit, prend l’escabeau. Toi tu fais le haut et moi le bas.
Je prends l’escabeau et je le positionne à l’endroit qu’il m’indique.
Dix minutes plus tard nous voilà entrain de peindre. Du haut de mon escabeau, je remarque qu’il était en train de relooker mon cul tout en astiquant son engin. Pour l’exciter encore plus je remonte mon mini short de sorte à ce qu’il voit un bout de mes belles fesses imberbes.
A un moment donné, il en pouvait plus. Il était tellement excité qu’il tente sa chance en me proposant l’incroyable.
- Petit, si tu avais 50€ tu en ferais quoi ?
- Je m’achèterai sûrement des jeux vidéo. Pourquoi cette question ?!
- Ben, je te les donne à une condition.
- Laquelle ?
- Que tu me laisses te toucher.
- Me toucher ?!!!
- Oui juste te toucher je ne te ferai pas plus et tu auras tes 50€.
- Ok… ok !! Lui répondis-je, en faisant semblant d’être très surpris par sa proposition.
Il s’approche de l’escabeau et pose ses deux mains sur mes jambes, me les caresse en remontant doucement. Arrivé au niveau de mes cuisses, je descends de deux marches, ce qui lui permet d’enfoncer ses deux mains sous mon short.
Il me malaxe le cul doucement en passant les deux puces entre la raie des fesses.
- Ta peau est si douce !! Tes fesses si chaudes…
Il colle sa bite sur ma jambe droite et commence à s y frotter. Sans prévenir, il baisse mon short d’un coup, m’écarte les fesses violemment et colle son nez sur mon anus et le renifle brillamment.
- Ahhhhhhh, ton cul sent si bon !
Sentant que le vieux voisin était excité au maximum, je lui ai proposé un autre marché.
- Si vous me donnez 100€, je vous laisserez me mettre un doigt et je vous masturberai.
J’ai vu tout de suite son regard se porter sur mes fesses alors je me cambre autant que je peux pour lui mettre plein les yeux, et là, je l’entend lâcher un..
- Oui d’accord je te les donne tes 100€!
Il va au fond de la pièce et s’assied à même le sol puis m’ordonne de m’approcher.
- Tu as déjà touché une autre bite que la tienne? Regarde elle est beaucoup plus grande que ton petit zizi hein? me dit-il en me montrant son engin.
Effectivement c’est la première fois que je vois un pénis aussi gros et large avec un énorme gland. Je me disais j’espère qu’il ne va pas essayer de me pénétrer avec ça car il risque de me déchirer l’anus!
- Non monsieur. Lui répondis-je en essayant de rendre ma voix aussi féminine que possible.
- Viens voir ce que ça fait mon chéri.
Il écarte les jambes et je me mets à genoux entre ses jambe face à son pénis en érection puis d’un geste long j’approche ma main droite de sa verge, je sens sa respiration devenir de plus en plus rapide. Je pose mes doigts sur sa bite toute chaude et frémissante.
D’un coup, elle se gonfle puis éjacule une bonne quantité de sperme sur le sol et ma main.
Quand j’ai essayé de l’enlever, il me prend l’autre main et se la met sur sa bite et continue de se masturber pendant encore une minute jusqu’à ce qu’il n y est plus une seule goutte de sperme qui sorte.
- Je reviens ne bouge pas. Me lança-t-il en quittant la chambre.
C’était la première fois que j’étais très excité sexuellement sans que j’aie une érection. Je sentais par contre que mes fesses étaient anormalement chaudes et mon anus s’ouvre et une forte envie de me cambrer me prit.
- Désolé pour l’éjaculation c’était rapide je sais normal tu m’as trop excité en plus ça fait longtemps qu’on ne m’a pas touché ainsi.
Je ne disais rien je me suis levé, je me suis approché de lui puis je me suis mis de dos et j’ai écarté les fesses.
Il se mit à genoux puis j’ai senti ses main se poser sur mes hanche son nez se collant et humant mon anus. Je me penche en avant car j’ai une très forte envie que quelque chose me pénètre je ne pense plus à l’argent j’ai juste envie de son beau et gros pénis d’homme mur...
- Tu veux que je mette mon doigt ou mon gland ?! Me demanda-t-il
- Ton gland. Lui répondis-je avec une voix presque inaudible.
Après la douleur, vint le plaisir et la soumission à mon retraité.
Fin