Tu dois toujours faire des efforts pour la garder.
Compenser tes handicaps...
Si non....!
La nuit du commencement
Je m'appelle Wiktoria, j'ai 23 ans, et je vais vous raconter ce que je pense être le début de la débâcle sexuelle qui est aujourd'hui ma vie.
Tout commence durant l'été 2017, j'ai 19 ans à ce moment-là.
J'ai un copain, Nico, avec qui je suis depuis mes 15 ans. On s'entend super bien, malgré la distance : Il vit à 200km de chez moi actuellement, et ce, depuis 6 mois. Il fait 1m80, beau gosse typé méditerranéen, pas très musclé mais dessiné, et une bite tout à fait respectable de 17/4cm, surmontée d'un gros gland juteux. Malheureusement, c'est un précoce, et, bien que j'aime avaler son jus quand je le suce, me faire baiser pendant 30 secondes avant qu'il jouisse ne me permet pas de prendre du plaisir.
Pour moi, c'était du solide à l'époque, et je pensais notre amour inébranlable. C'était avant que je me découvre, et que je découvre vraiment le sexe.
Là où mon histoire commence donc, nous sommes en été, fin Juillet.
J'ai reçu un message de mon copain ce matin m'avertissant qu'il va arriver en ville le soir même pour me faire une surprise. Je me lève joyeuse et impatiente que la journée se termine afin de pouvoir retrouver l'homme de ma vie.
J'apprends dans la journée qu'il va dormir chez un pote qui lui prête son appartement, c'est super on va pouvoir profiter de ce moment d'intimité en amoureux !
Je passe une partie de l'après-midi à me préparer, douche épilation soin tout y passe, rien n'est trop beau pour mon chéri.
A l'heure de le rejoindre, je pars de chez moi, il me dit qu'il est déjà à l'appartement et me donne l'adresse. Je ne fréquente pas le quartier où il séjourne, c'est un quartier qui craint un peu il paraît, surtout pour une fille seule et habillée sexy. Je porte une jolie robe d'été rouge, qui met admirablement en valeur ma cambrure et ma poitrine. De petite talons ouverts laissant voir mes jolie petits orteils vernis de rouge parachèvent la tenue. Je suis bien entendu maquillée et coiffée.
Soudain le doute m'envahit ; est-ce raisonnable de se balader dans un quartier pareil vêtue de la sorte ? Je n'y connais personne d'autre que mon copain et lui-même n'est pas de ce coin. Son pote est à l'étranger. Tant pis, j'y vais quand même.
Je prends le métro pour y aller, je descends au terminus, et déjà, je fais tâche dans le décor. C'est une cité, et je suis en tenue plus que voyante.
Dès que je pose un pied hors de la gare je sens des regards se poser sur moi, les femmes me scrutent de bas en haut avec dédain tandis que les hommes... J'en aperçois plus d'un qui reluquent mes seins, un petit sourire aux lèvres, se frottant parfois discrètement l'entrejambe, déformée par une bosse. C'est vrai que Nico aurait pu venir me chercher, et me prévenir, à croire qu'il en a rien à foutre ! Et leurs regards, ils m'ont un peu excitée, je sens que je mouille dans mon petit string noir.
Je continue mon chemin pour finalement atteindre l'appartement, quand je sonne, j'entends juste le son de la porte qui se déverrouille, mon copain me dit que c'est au 5ème, sans ascenseur. Résignée, j'enlève mes talons et grimpe pieds nus les escaliers jusqu'au 5ème.
Une fois sur le palier, je pousse la seule porte ouverte, pour tomber sur mon mec, affalé sur le canapé, torse nu et en short, un pied dans le plâtre, en train de jouer à la Playstation.
Il tourne un la tête vers moi, retourne vers son jeu, retourne un instant la tête avant de replonger dans son jeu, et me dit,
- Salut toi, tu t'es faite belle ?
Un peu déçue, je m'apprête à répondre quand je réalise qu'il est plâtré.
- Tu es blessé ? Il s'est passé quoi ?
- Je me suis fait une entorse au boulot hier, j'ai oublié de te prévenir.
Je m'assieds à côté de lui, passe une jambe sur la sienne et l'enlace.
- Tu m'as manqué mon cœur, j'étais triste toute seule...
Ce faisant, je glisse doucement ma main vers son entrejambe.
- Elle aussi elle m'a manqué
Il ne réagit pas, continue sa partie, et ne me répond qu'à peine
- Toi aussi bébé
Je décide de ne pas m'énerver, mais je vais dans la salle de bain pour me démaquiller et me mettre en pyjama, vu qu'il ne daigne pas m'accorder de l'attention.
La soirée passe, il finit par lâcher sa PlayStation et on se met devant un film.
Puis vient enfin le moment où il a envie de baiser.
Il m’attrape par la taille et me fait monter sur lui. Sa queue est déjà dure, et je suis en string, je lui met une capote j'écarte la ficelle et le fais entrer en moi d'un coup, je suis trempée. Je commence mes vas et viens quand soudain il m'agrippe les seins, pousse un cri tandis que je sens sa bite remplir la capote dans ma chatte par saccades, puis s'effondre.
Je sors sa bite de moi et me dirige vers la salle de bain, de plus en plus frustrée. D'habitude, quand il jute vite, il a au moins la décence de s'excuser, cette fois ci même pas.
Quand je reviens il est dans la même position, sa bite molle étant seulement libérée de sa protection de latex.
Je lui dis que j'ai faim. Il me répond qu'il n'y a rien à manger ici mais qu'en bas dans la rue il y a une petite épicerie.
Je regarde l'heure, il est déjà près de minuit. Il me dit de me dépêcher, j'enfile un short, un haut, et je descends. Au moment de fermer la porte il me crie
- Et pense à prendre des capotes !
Sale con.
Une fois dans la rue, je me rappelle où je suis. Et encore une fois, je suis à moitié à poil, sauf que là, c'est chaud.
Devant l'immeuble il y a 6 mecs la quarantaine, des arabes, qui discutent assis sur des chaises. De l'autre côté de la rue, la fameuse épicerie, le rideau aux trois quarts baissés. J'y fonce et me faufile sous le rideau en me mettant à 4 pattes (j'entends siffler derrière moi).
Une fois redressée, je me retrouve face à un arabe, environ 45 ans, assez grand et gras, le regard mauvais. Il me demande ce que je fais ici. Il sent la sueur, et le musc, ça commence à m'exciter.
Je lui dis que je n'ai que quelques articles à acheter, de la nourriture, que ça ne prendra pas longtemps. Et je lui dis bêtement qu'il me faut des capotes.
Son regard change. Il ne dit rien, mais me contourne, passe derrière moi, et finit de fermer le rideau métallique.
Je me retourne brusquement « c'est quoi ton problème t'as quoi à fermer le rideau t'es fou ? »
Il me décoche une grosse gifle dans la gueule. Choquée, je vacille, quand il me saisit par le cou, me redresse, et me plaque brutalement contre le comptoir.
- T'as l'air d'une bonne petite salope, je t'ai vu tout à l'heure dans ta robe de pute, et là tu viens à poil me demander des capotes ?
Il m'envoie une autre gifle et me retourne. Il baisse mon short d'un coup sec.
Je me retrouve, le cul et la chatte à l'air dans une épicerie de citée à minuit, avec mon mec à quelques dizaines de mètres qui ne se doute de rien. Je suis dans un état second, largement dominé par l'excitation de la situation, et je mouille comme une folle, je sens les gouttes me couler entre les cuisses.
Il commence à me claquer le cul d'une main, tandis que de l'autre il insère deux doigts dans ma fente. Je suis encore un peu ouverte, et largement lubrifiée donc il fait de vigoureux vas et viens qui me font couiner de plaisir.
- Grosse pute de chienne , ta chatte est trempée on dirait que tu pisses, goûte ça !
Il m'enfonce trois doigts dans la bouche, trempés. J'ai déjà goutté ma mouille, sur mes doigts ou sur la bite de mon mec. Cette fois le goût est différent. Je me rend compte que mes pieds sont trempés, et mon short aussi, en baissant les yeux je vois une flaque sur le sol, alimentée par les éclaboussures qui me sortent de la chatte à cause de ses doigts. Je cris et je jouis comme je n'ai jamais joui.
Soudain j'entends un bruit de zip, mais avant d'avoir pu réagir je me sens ouverte brutalement. Il vient de rentrer sa bite, qui à l'air énorme, dans ma petite chatte jamais très utilisée. Je hurle, il me bâillonne avec son caleçon, et se met à me défoncer sauvagement, en me claquant toujours le cul.
- Putain ta chatte est trop bonne, du velours, t'as jamais dû prendre une vraie queue d'homme, prends la bien je vais te démonter
Et il accélère, j'en suis déjà à 3, non 4 orgasmes, je ne tiens debout que par ses mains qui m'agrippent les hanches et sa grosse tige plantée au fond de moi. Cela ne dure pas toutefois, il finit par grogner, je le sens palpiter
- Non je prends pas la pilule !
Il me cogne brutalement la tête en me l'écrasant sur le comptoir tout en accélérant le rythme. J'ai mal durant les dernières secondes, jusqu'à ce qu'il gicle.
Le sentir me remplir le fond de la chatte de son jus chaud et épais me déclenche un dernier orgasme, plus fort que les précédents.
Il se retire, me retourne en me faisant mettre à genou, pour que je le suce. Je rencontre enfin son membre. Il fait bien 20cm de long, circoncis, bien large, avec un gros gland tuméfié couvert de sperme et de mouille, et d'où s'écoule encore un filet de jus. J'approche doucement ma langue, mais il agrippe sa bite, mes cheveu, et me viole d'un coup la bouche et la gorge. Je sens son goût salé et celui amère de ma mouille. Je ne peux m'empêcher de me toucher durant ce traitement qu'il m'inflige.
Il s'arrête enfin
- Ca y est, ma queue est vide et propre, maintenant casse toi sale pute
Il va directement ouvrir le rideau. Je me rhabille rapidement en protestant. Il me dit
- Ta gueule, t'as aimé être traitée comme une salope, alors maintenant assume. Si tu en veux encore tu sais où me trouver.
En traversant la rue, tous les hommes me regardent, sans parler.
Une fois dans l'immeuble, je me vois face au miroir. Mon short est trempé et taché, mon tee-shirt est à l'envers, et j'ai oublié mes sandales ! Ma tête fait peur à voir, j'ai du sperme séché tout autour de la bouche, la joue gauche rouge, avec encore la marque de ses doigts. Je regarde mon cul, il est violacé des coups qu'il y a porté.
Et j'ai la chatte pleine de sperme, ce qui est la première fois.
Je suis devant la porte de l'appartement, j'entre silencieusement, pour découvrir mon mec, endormis, exactement dans la position où je l'ai laissé.
Je viens de servir de trou à jus à un vieux porc brutal pendant une demi-heure et il n'en saura rien. Je file sous la douche, utilise le pommeau pour me faire jouir une dernière fois, puis je vais me coucher dans le lit, nue, et j'essaye de récupérer le jus qui se trouve au fond de moi afin d'en savourer une dernière fois le goût.
Le lendemain
Le lendemain matin je me réveille la chatte endolorie.
Je me tourne dans le lit et constate que Nico m'a rejoint durant la nuit.
Les événements de la veille me reviennent soudainement à l'esprit, me faisant me redresser en sursaut.
Je sens Nico remuer à mes côtés, me toucher la taille, les mains baladeuses; il a sûrement sa trique du matin....
Mais je suis paralysée, accusant le coup, je ne sais pas quoi faire.
J'entends un « bonjour bébé », auquel je ne réponds pas. Je me lève et je file sous la douche.
Une fois nue je sens que je pue le sexe, la bête. J'entreprends de me décrasser, particulièrement l'entrejambe, et fais le point sur la situation.
J'ai trompé mon copain, salement, en me faisant soumettre et humilier, mais le pire, c'est que ce mec m'a baisé sans protection, et à jouit en moi ! Le stress m'envahit, la peur de tomber enceinte d'un vieux arabe patibulaire m'angoisse au plus haut point, prenant le pas sur tout le reste.
Il me faut la pilule, et pour cette fois il me faut aussi la pilule du lendemain, rapidement.
Je me rappelle où je suis, et les vêtements que j'ai amené. Impossible d'aller dans une pharmacie ici, il faut que je rentre chez moi.
Une fois propre, je sors de la salle de bain, et j'entends soudain Nico parler à un autre mec.
Je file dans la chambre enfiler ma robe, et je cache le short de la veille, encore maculé de mouille et de sperme.
Une fois dans le salon, je vois que c'est Karim, le pote de Nico, celui qui nous a prêté l'appartement.
Il me salue avec son sourire habituel (je pense que je lui ai toujours plu), mais son regard me fixe un peu trop longtemps pour que cela ait l'air naturel. Je suis mal à l'aise tout à coup. J'embrasse Nico et m'excuse de ne pas l'avoir salué au réveil.
On discute de tout et de rien, jusqu'à ce que Nico dise qu'il doit aller se doucher. Avec sa jambe dans le plâtre ça risque de durer un moment.
Je me retrouve donc seule dans la pièce avec Karim, tandis qu'on entend Nico allumer la musique et entrer dans la douche.
Je vois qu'il me fixe, un soupçon de jugement dans le regard. Il dit :
- Je suis revenu plus tôt ce matin, mais comme je savais que vous dormiez encore, je me suis arrêté à l'épicerie en bas prendre un café avec le patron, c'est un ami à moi.
- Ah d'accord, c'est gentil de ne pas nous avoir réveillé.
- Paraît que toi aussi t'es gentille, et accueillante.
Mon cœur fait soudain un bond dans ma poitrine, que sait-il ? Que va t-il faire ? Je ne peux pas lui dire que j'ai subi ce qui s'est passé hier, le boss d'en bas a du lui raconter comme j'ai joui.
- De quoi tu parles Karim ?
- Salope arrête de mentir je sais ce que t'as fait cette nuit, t'es une pute à jus de rebeux, et c'est même pas moi qui en ai profité.
Je suis abasourdie, je m'attendais à ce qu'il me reproche d'avoir trahi Nico, au lieu de cela, il glisse ce sous-entendu qui me laisse entrevoir une échappatoire.
- Qu'est-ce que tu veux ?
- Que tu sois ma pute à disposition, tant que j'en aurais envie, ou je dis tout à Nico, et à ta mère, il y a des caméras dans l'épicerie, tu as été filmée tout du long. Maintenant viens la salope, et suce ma bite.
Là il sort son sexe, déjà raide. Il est plus gros que celui de Nico, sans être aussi terrible que celui du mec de l'épicerie.
Je me met à 4 pattes, et j'avance vers son entrejambe en le regardant dans les yeux. Il veut que je sois chienne, que je l'excite, il veut prendre son pied avec moi, et moi je dois lui faire plaisir, pour ne pas qu'il me dénonce.
J'arrive à sa bite, que je lèche sur toute la longueur, avant de le prendre en bouche, déclenchant des gémissements de Karim. Je n'arrive pas à croire que je fais ça, avec Nico derrière la porte qui ne se doute de rien.
Karim m’attrape par les cheveux et se met à me baiser la bouche. Je salive abondamment, mais je sens aussi que je mouille à fond. J'adore la façon dont il me traite, et je viens de le découvrir ; je suis une pute soumise.
Je le suce pendant 5 minutes, jusqu'à ce qu'il se lève, m'attrape et me mette à 4 pattes sur le canapé. Je sais qu'il va me baiser, et quand il va voir que je n'ai rien sous ma robe (mon seul string étant plein de foutre), il va me défoncer sauvagement.
Ça ne loupe pas, dès qu'il voit ma croupe en levrette, avec ma chatte imberbe, mes lèvres encore ouvertes de la veille, et mon petit trou rose encore vierge, il se plante d'un coup dans ma chatte, m'arrachant un cri de plaisir, que je tente aussitôt de refréner pour ne pas que Nico nous entende. Il me baise à cru, ma chatte trempée faisant des bruits de ventouse à chacun de ses vas et viens.
Cela fait déjà un moment que Nico est sous la douche, il ne va pas tarder à sortir. Pour accélérer les choses, je passe une main sous moi afin d'attraper les couilles de Karim, pour les caresser. Cela a pour effet de le faire accélérer, je me retrouve la tête écrasée sur le canapé (les arabes aiment décidément bien m'écraser en me défonçant), jusqu'à ce qu'il vide ses burnes dans ma chatte.
Je n'ai même pas protesté, je savais que j'allais y passer, alors à quoi bon parler, il fait ce qu'il veut, comme l'homme d'hier, et je suis là pour les satisfaire.
Une fois vide il se retire, laissant ma chatte béante et pleine de foutre.
Il était temps ! Le bruit de la douche s'arrête, et j'entends Nico s'habiller.
Je suis dans la merde, j'ai de nouveau la tête en vrac, les cheveux emmêlés à cause de la pipe dirigée, mais j'ai surtout la fente pleine de jus et aucun sous vêtement pour contenir le fluide.
Je m’assois donc sur le canapé avec un de mes pieds bloquant ma fente, et je prends un air détendu (en apparence), tandis que Nico vient nous rejoindre.
Il renifle un peu en arrivant dans le salon, comme si il sentait une odeur spéciale...
Le temps d'assumer
Nico s’assoit sur le canapé à côté de moi, met une main sur ma cuisse et dit en me regardant :
- Bébé tu trouves pas que ça sent un peu le cul ici ? J'ai été efficace hier hahaha désolé Karim, j'espère qu'on a pas taché ton canapé !
- T'inquiète frérot, ce qui est à moi est à toi, l'essentiel c'est que vous vous soyez bien amusés.
Je suis médusée, Nico ne se doute vraiment de rien, Karim, qui bande encore je le vois, profite de la situation, et moi je suis excitée comme une puce, j'ai encore envie de me faire prendre.
Je ne me reconnais plus, je n'ai jamais été aussi lubrique, perverse, et en demande.
A moment donné Nico dit qu'il a faim, et il me demande si je peux aller acheter quelque chose en bas. Je panique, je ne veux pas y retourner, c'est impossible. Avec un grand sourire, Karim dit qu'il va m'accompagner, pour m'aider à porter, vu que Nico est provisoirement invalide.
Je vais donc chercher mes chaussures, tandis que Karim attend devant l'escalier. On commence à descendre, je marche devant, dans ma petite robe sans culotte, et je sens le jus de Karim me couler sur la cuisse. Il a remarqué aussi car soudain il m'arrête, me plaque contre le mur, passe ses doigts entre mes cuisses pour recueillir son foutre, puis me les fait lécher.
Son sperme est délicieux, j'adore le jus en général, mais celui de Nico est toujours trop liquide et clair à mon goût. Celui-là est épais, encore un peu chaud, et je me sens chienne en suçant ses doigts. Ça a l'air de lui plaire.
Je comprends que je suis bonne à ça ; me faire utiliser et soumettre par des hommes virils, qui ne cherchent que leur plaisir et m'en donnent malgré tout.
Il ne me fait pas lécher longtemps, sans un mot, il me redresse, me faisant face, me gifle un bon coup, ouvre ma bouche et me crache un gros mollard à l'intérieur, que j'avale en le regardant ans les yeux. Il me met une autre baffe :
- Bonne chienne, viens on va chercher à manger
On reprend notre descente, puis on arrive dans la rue, il fait beau, pas de circulation, des tables et des chaises sont installées un peu partout, et des hommes y sont assis, discutant, buvant un café, fumant la chicha. Il y a pas mal de monde, que des hommes, et de tous les âges.
Et je suis encore dans ma robe sexy d'hier, avec mes chaussures à talons, et mon haleine sentant le sperme.
On arrive à l'épicerie, on entre, il y a quelques hommes faisant des achats, et le patron est à la caisse, lisant le journal en fumant une clope. Karim s'approche et le salue en arabe, l'homme lève la tête, et me voit.
Il dit quelque chose en arabe à Karim, celui-ci lui répond, et l'homme éclate de rire. J'ai peur de comprendre ce qu'ils se disent, mais je commence à deviner ce qui va se passer quand l'homme se lève, et se dirige vers moi.
- Te revoilà petite kharba, t'en veux encore ? Paraît que t'as eu une autre dose ce matin pourtant.
Je ne sais pas quoi répondre, chacune des paroles de la veille m'ayant valu un coup au visage. Karim me regarde, le regard lubrique.
Je sens que je ne vais sortir d'ici tout de suite.
L'homme me regarde, il dit
- Je m'appelle Abdul, toi, je m'en branle de comment tu t'appelles, mais maintenant t'es ma pute, et puisque t'es là, tu vas servir.
Il dit quelque chose à Karim, qui m'attrape aussitôt par le bras, m'entraînant vers la réserve. On passe devant le comptoir où je me suis faite baiser la veille, j'aperçois mes traces de mouille sur le sol. J'entends Abdul parler d'une voix forte à l'extérieur, en arabe, et en réponse, des exclamations et des bruits de chaises qu'on racle au sol.
L'angoisse m'envahit tandis qu'on entre dans la réserve.
- Karim il se passe quoi ?
- T'as fait beaucoup d'effet dans le quartier, et vu que t'es une bonne pute, pourquoi pas en faire profiter les cousins ?
- Arrête je veux pas, et on est en plein jour Nico est en haut, il va s'inquiéter !
- T'inquiète, ton mec c'est une merde sans couilles et avec une petite bite. T'as besoin d'hommes virils, pas d'une pédale qui capte rien, sans blague je t'ai défoncé tout à l'heure, y avait du jus et de la mouille sur le sol devant lui
- C'est n'importe quoi laisse-moi partir !
- Ta gueule, je t'ai dit que t'étais une pute à rebeux maintenant, donc fais ton travail.
Et bim une autre baffe, puis il m'attrape par les cheveux et me met à genou.
Je sens que je mouille encore, alors je m'abandonne, j'ouvre la bouche au moment où il approche sa bite, et je suce.
J'adore téter sa grosse queue en lui palpant les couilles, sa bite est vraiment parfaite pour moi, je me sens pute soumise juste ce qu'il faut. J'en oublie où je suis, jusqu'à ce que j'entende le son de plusieurs voix juste avant que la porte de la réserve s'ouvre, faisant entrer une douzaine des mecs qui étaient dans la rue, et en dernier, Abdul.
J'en profite pour voir où je suis ; c'est une pièce lugubre, il y a une table au milieu de la pièce, et, j'aperçois un matelas crasseux posé au sol, dans un coin obscur de la pièce.
Je suis encore à genou, Karim m'agrippe par les cheveux et me fais avancer à 4 pattes jusqu'au milieu de la pièce, tandis que les hommes m'encerclent en se massant la bite. Certains l'ont déjà sortie, et je me retrouve bientôt cernée par les bites. Il y en a des grosses, des fines, des longues, des courtes. Toutes circoncises et bandées à fond.
Je vois Abdul et Karim dans le fond, ils n'ont pas la bite à l'air, ils discutent, et je vois que Karim filme avec son portable.
Je n'ai pas le temps de réfléchir que déjà une bite s'introduit dans ma bouche.
L'odeur est forte, mais pas désagréable, je sens qu'on s'agite autour, je lève les mains et deux bites viennent s'y poser, tandis que d'autres se frottent à mon visage, mes cheveux. Tandis que je pompe et que je branle, je sens que derrière on me relève ma robe, et un doigt s'introduit dans ma chatte encore pleine de jus. J'entends que l'homme fait une réflexion, puis je reçois une fessée.
Je suis dans un état second, à genou dans la réserve d'une épicerie à sucer une douzaine de mecs tout en étant filmée. Et vu comment les choses se présentent, ils vont sûrement me baiser. Je me laisse faire, à quoi bon résister ? Cela serait beaucoup plus désagréable, voir dangereux.
Je ne veux pas contrarier ces mâles, et en plus, je prends mon pied.
Au bout d 'un moment, une fois que toutes les bites sont passées dans ma bouche, et que l'homme me doigtant a jugé que j'étais suffisamment ouverte, ils m'ont fait allonger sur le dos sur la table. De manière à pouvoir sucer, branler, et me faire baiser en même temps, le tout en étant totalement offerte.
Je suis donc nue sur cette table rêche et collante, tandis qu'un premier homme se présente et pénètre ma chatte. Je le sens bien, il a un gros gland, et il me pilonne en me traitant de pute. Ils m'insultent tous, me mettent des gifles et des fessées, et me crachant dessus à chaque fois que je croise le regard de l'un d'eux. Je crie beaucoup aussi, de plaisir, mais aussi du bonheur de découvrir les bienfaits de la soumission et de l'humiliation.
Ils m'utilisent comme ça pendant un moment, puis un homme jouit dans ma main, suivi d'un autre, sur mon visage et mes seins, puis un autre qui explose dans ma chatte. Tous jouissent assez vite, et je me retrouve vite avec le sperme de 4 mecs dans la fente, plus celui de tous les autres dans la bouche et sur le visage et le corps.
Je jouis alors, puissamment, bruyamment, et cet orgasme me laisse à moitié consciente.
Je ferme les yeux tandis que les hommes partent, le courant d'air créé par la porte qui s'ouvre et se ferme me fait sentir que je suis couverte de sperme. Je savoure le calme, jusqu'à ce que j'entende une voix, celle d'Abdul me dire :
- Ben t'es une sacré kharba toi, t'as pris cher et t'as pas bronché c'est bien. Tu vas m'être utile pour régler de vieilles dettes. Viens là
Il me tire par les cheveux, me faisant me lever. Je ne proteste pas, je suis toujours dans un état second, hors du temps et de l'espace, et je sens que je goutte de partout. Il m'entraîne vers le matelas où il me jette, je le vois se déshabiller, alors je me met à 4 pattes et je cambre bien.
- Baise moi Abdul, je veux que tu me finisse avec ta grosse bite !
Il me pousse le cul avec son pied, me faisant rouler sur le côté, il s'avance et m'écrase la tête avec son pied.
- Ta gueule salope tu veux rien du tout, t'es ma pute, mon objet, alors tu fermes ta gueule et t'attends en silence sale chienne
Ça m'excite qu'il me traite comme ça, dès qu'il me libère de son pied, je me remet en position et attends en silence.
Il ne me fait pas poireauter, dès qu'il est nu, il enfonce sa grosse bite dans ma chatte défoncée, et se met à me bourrer, comme pour tasser bien au fond le jus qui s'y trouve. Il ressort néanmoins assez vite. Il me tourne et me fait sucer sa queue, couverte de mouille , et du sperme de plusieurs hommes. Je gobe son chibre du mieux que je peux, massant ses couilles et le regardant dans les yeux avec mon air le plus salope.
Il sort sa bite, me met une gifle, et dit:
- Toi, t'es une super pute, tu mérites une récompense.
Il me remet en levrette, me pénètre, et insère un de ses gros puces dans mon cul.
C'est la première fois que je reçois quelque choses dans le cul, c'est une sensation inédite et délicieuse, un mélange de chatouillis excitants et une onde de plaisir enveloppante. Je jouis.
Il me pilonne la chatte, tout en passant à deux doigts dans mon cul, puis à trois. Je ne réalise pas à quoi cela nous mène jusqu'à ce qu'il présente sa bite à l'entrée de mon cul.
La peur m'envahit, mais je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit ; il me m'encule d'un coup avec toute sa bite. Je hurle de douleur, je me sens fendue en deux, et je n'ai qu'un réflexe, tenter de fuir. Il m'attrape par les cheveux, m’immobilisant et me forçant à me cambrer. Il ne bouge plus, la douleur est lancinante, et je sens mon anus pulser autour de sa bite, trop grosse, trop longue pour mon trou.
Il reste immobile pendant 5 minutes planté dans mon cul, moi plantée dans le matelas. Et il me parle. Il me dit à quel point je suis bonne, faite pour satisfaire les hommes, que toutes les blanches comme moi rêvent secrètement de se faire violer par une bande d'arabes, qu'il n'y a pas mieux qu'un rebeu pour faire jouir une femme, et qu'on devrait toutes être à la disposition des vrais hommes.
Tous son discours de soumission psychologique fonctionne, je sens que je mouille, et que mon anus se détend, la douleur laissant à nouveau la place à l'onde de plaisir.
J'ai l'audace de remuer ma croupe sur sa bite, ce qui me fait gémir.
Il arrête alors de parler, et se met à littéralement me casser le cul, comme si il voulait me couper en deux.
Je ne crie même plus, poussant juste un bruit de gorge à chacun de ses coups de bite. Il me défonce pendant 5 minutes, avant de gicler sa crème dans mon cul. Je ne sens plus rien, je mets même quelques secondes à m'apercevoir qu'il s'est retiré et qu'il se rhabille.
- T'as bien taffé, on se voit bientôt, Karim te dira quoi faire. Il est remonté à l'appartement avec les courses, t'as qu'à y aller.
Soudain ma tête explose ; cela doit faire une heure que je me fais baiser, Karim est remonté seul, qu'a t-il pu dire à Nico ? Qu'est-ce qui va se passer ?
En traversant la rue une fois sorti du magasin, je vois que tous les hommes me sourient, j'en reconnais un ou deux. Les autres, je ne sais pas si ils me sont passés dessus, mais vu le nombre de bites que j'ai pris, c'est sûrement le cas.
Une fois dans l'immeuble, je réalise stupéfaite que je suis nue !
J'étais tellement dans un état second que je n'ai rien remarqué.
Mon état fait peur à voir. Je suis couverte de traînées de sperme séché de marques de coups, ma chatte est béante et irritée, et mon cul me lance à chaque pas, me faisant marcher en boitant, ce qui fait couler tout le sperme que j'ai en moi.
Je tente de monter rapidement les escaliers malgré mon état. J'ai honte, il y a sûrement des familles dans cet immeuble, des femmes à la maison, et je viens de vider les couilles de leurs maris.
Une fois sur le palier, je sonne à la porte. C'est Karim qui ouvre, hilare.
Plus question de reculer, ou de trouver des excuses.
Karim dit :
- Entre j'ai expliqué à Nico que t'étais occupée.
J'entre donc dans l'appartement, et je me retrouve nue, face à mon mec, qui me dévisage.
Il me scrute, me regarde de haut en bas, il ne peut rien ignorer de mon état, d'autant plus que Karim arrive, m'attrape violemment la tête et me fait mettre à 4 pattes, le cul face à Nico.
Il a une vue parfaite sur mes orifices défoncés et fécondés.
- Regarde ta pute ! Crois le ou non elle vient de vider 14 mecs, et je l'ai baisée quand t'as pris ta douche!
Il me lâche enfin, je me retourne, toujours à 4 pattes, je me cambre et je regarde Nico dans les yeux. Je vois une larme rouler sur sa joue. Honteuse, je baisse les yeux, jusqu'à ce que je vois une bosse au niveau de son entrejambe...