Vous devez avoir le cerveau encore
un peu embrumés de vos libations de fin d'année.
Trois histoires sympa qui nous prouvent
qu'elles font ce qu elles veulent de nous.
Si! Si! Si!
Et encore Bonne année à tous.
Nuit de noces loupée
Le lendemain de leur mariage, Lucie et Damien sont réveillés par le champ de cigales. Vers neuf heure, quand ils prennent leurs petits déjeuners sur la terrasse. Les festivités se sont déroulées dans la propriété de leur oncle Marcel, et de leur tante Monique, tout deux âgés de quarante deux ans. La journée s'annonce superbe sous ce ciel de Provence. Lucie est vêtue d'une jupette à carreaux, et d'un petit débardeur.
-Dis mon chéri, tu t'es pas bien foulé pour une nuit de noces, fait remarqué Lucie. Deux petits coups, je m'attendais à mieux.
-Je le sais mon amour, j'étais fatigué, s'excuse Damien. Ce soir, je me rattraperai, promis. Viens t'asseoir sur mes genoux ma chérie.
Damien glisse une main sous la minijupe, et caresse l'intimité de sa femme.
-Mais tu n'as pas mis de culotte, et tu es toute mouillée. Vivement ce soir. Je vais assurer, tu vas voir.
-Tu as intérêt, répond Lucie en souriant. Au fait, en partant pense à descendre la valise, il y a le linge sale dedans.
Damien doit s'absenter pour ramener ses grands parents. Deux heures et demie de route aller, retour. Lucie va prendre sa douche.
-J'y vais chérie, à plus, d'être sage.
-A plus mon amour, et reviens en forme.
Lucie sort de la douche, remet sa jupette, et son débardeur. Elle cherche ses dessous de rechange.
"Mon dieu se dit-elle, il a emporté mes habits propres. Je me trouve sans string, sans soutien gorge. Quel âne, j'ai besoin de faire attention de pas me baisser".
Elle quitte sa chambre, et descend. Son oncle Marcel est installé sous la treille, en train de lire le journal. Il est en short, et torse nu. Lucie remarque la poitrine velue.
-Bonjour tonton, çà va, demande-t-elle.
-C'est à toi qu'il faut le demandé, répond Marcel. Tu as passé une bonne nuit?
-Bof, pas terrible. Damien étais fatigué. Enfin, on se rattrapera ce soir. tante n'est pas là?
-Elle devrait pas tarder, elle est allé en ville. Par contre, les chaises sont restées dans la salle. Il ne reste que mes genoux, propose Marcel.
-Comme quand j'étais petite, sourit Lucie. C'est gentil.
Oubliant sa tenue, elle s'avance pour s'assoir sur les genoux de son oncle.
"Merde, mais tu as rien dessous, se rappelle-t-elle. tant pis, j'y vais".
-Tu n'est pas bien lourde, dit Marcel en la prenant par la taille.
-Je n'ai que vingt ans, je me surveille.
Marcel monte sa main sur le dos de sa nièce, sous le débardeur.
-Mais, tu n'as pas de soutien gorge, remarque-t-il.
-J'ai rien, Damien m'a emporté tout mes habits de rechange.
Le regard de Marcel se porte alors sur les cuisses de sa nièce. il aperçoit presque la chatte, tellement la jupe est courte. lentement; il fait glisser sa main, jusqu'à ce que ses doigts soient en contact avec la duvet du pubis. Il l'a fixe du regard. Elle passe in bras autour de son cou, et appuie sa tête contre son épaule. Elle lui murmure à l'oreille.
-Caresse moi tonton, s'il te plait, ma chatte est toute mouillée, elle a envie.
Avec deux doigts, il parcours les lèvres de bas en haut, sortant, au passage, le clitoris de sa capuche.
-Il t'a ratée cette nuit, c'est çà? demande Marcel.
-Oui, balbutie-t-elle, fais moi du bien, branle moi.
-Mais ton mari, tu y penses, çà fait un jour que vous êtes mariés.
-Tant pis pour lui, répond-elle, il avait qu'à assumer.
Les doigts de Marcel ouvrent la fente, et la pénètre, le pouce toujours en action sur le petit organe. Elle se retient, mais l'envie de son corps prend le dessus.
-T'arrête pas tonton, c'est trop bon, ha, oui, fais moi jouir.
Elle prend la tête de son oncle, et lui dévore la bouche.
-Tu avais une grosse envie, dit Marcel. C'est vrai qu'il a du te louper. Tu veux que je fasse son devoir à sa place.
-Oh oui, tonton, je veux bien.
Elle se lève pour qu'il puisse quitter son short. Elle est dos à lui. Il l'a prend par les hanches, et la fait coulisser sur son membre en érection.
-Mon dieu, quel engin, tu vas me déchirer, s'exclame-t-elle.
-A bon, pourtant, çà doit pas être le premier coup de queues que tu prends. le passage est fait, hein?
Elle cambre ses reins pour mieux se faire pénétrer. Marcel caresse les petits seins, les bouts dressés par l'excitation. son corps appelle aux secours. C'est elle qui ondule du bassin, et qui accélère.
-Putain tonton, tu aurais du venir cette nuit, murmure-t-elle. Tu lui aurais montré comme on se sert d'une femme. qu'est-ce-que tu me fait du bien. Salaud. ha..ha..oui, oui, je joui, petite pute que je suis. Ha, mais ta queue est tellement bonne.
D'un coup, Monique surgit sous la treille.
-Salut, dit-elle, oh la la, je vous dis pas le monde qu'il y a en ville. Alors ma chérie, çà va? On rirai que tu es paralysée.
-Avec ce que j'ai dans la chatte, soupire Lucie, si tu savais.
-Quoi, sursaute Monique en s'avançant vers la table.
Elle remarque la main de son mari sous le débardeur. Elle s'approche, et soulève la jupette de sa nièce.
-Ben dit dont, tu perds pas du temps pour tromper ton mari toi.
Monique glisse une main entre les cuisses de Lucie, et lui caresse le clitoris.
-Tu es toute mouillée, petite vicieuse, Damien t'a pas assez donnée cette nuit.
Les grognements de Marcel ne trompent pas. Il vient dans la chatte de sa nièce, fort.
-Oh tante, il est en train de me remplir, le salaud. il s'arrête plus, çà fait deux fois qu'il me fait jouir. Putain, çà c'est du mâle. Pauvre Damien, tu as du chemin à parcourir encore.
-Je vous laisse, dit Monique, amusez vous bien.
Elle se penche sur Lucie, et lui force les lèvres avec la langue. Lucie se retourne face à Marcel, et se met à califourchon.
-Encore, soupire-t-elle, nique moi encore. Après, je te prendrai en bouche.
-Oh la polissonne, elle aime la queue de son oncle on dirai. Et si je t'enculais?
-Fais ce que tu veux tonton, mais régale moi, s'il te plait.
Pendant une heure, Lucie va se faire malmener par Marcel. Il va la sodomiser, se faire sucer. Il va jouer avec elle, jusqu'à ce qu'elle le supplie d'arrêter. Mais Marcel a décidé d'en profiter jusqu'au bout.
-Dis, salope, tu essaie de te dérober maintenant que tu m'as bien allumé. Suce moi encore, petite pute. Dis que tu en veux encore, allez, dis moi."Oui mon chéri, j'en veux encore". Vas-y, dis le.
-Oui chéri, j'en veux encore, répète Lucie au bord des larmes. Nique moi.
Son supplice prend fin, lorsque un coup de klaxon retenti dans la cour. C'est Damien qui vient d'arriver. Mais était-ce vraiment un supplice. Après tout, elle la bien provoqué. Et en plus, elle a aimé se faire prendre par un vrai mâle. En fait, elle s'est faite mâter. Reconnaissante, elle donne un baiser de feu à son oncle.
-Merci, tonton chéri, çà m'a fait plaisir de me donner à toi, tu sais. Vite, je ma sauve. On se reverra, c'est promis.
Vengeance d'un cocu
C’est l’histoire d’un couple sans histoire, 35-40 ans, banlieue un peu huppée, lui bonne situation, elle femme au foyer, pas mariés parce que c’est à la mode, biens vus dans le quartier… Niveau sexuel c’est une fois par semaine, avec un extra pour la Saint Valentin ou l’anniversaire de la rencontre, ou encore pour une très rare soirée trop arrosée. La routine s’installe, lui travaille beaucoup, elle s’emmerde chez elle, et puis un beau jour elle va voir ailleurs, et lui finit par se rendre compte qu’il est cocu. D’où la soirée de dispute, le ton monte, elle pleure, il gueule, et elle finit à la porte. Une histoire tragiquement banale, si ce n’est que c’est la mienne ! Et oui, je viens de foutre ma fiancée infidèle à la porte.
Deux semaines après, alors que tous mes amis ont tenté de me réconforter à grands coups de « elle l’avait bien cherché », « elle n’était pas faite pour toi », « heureusement qu’il n’y a pas d’enfants », ou le traditionnel « une de perdue… » je vois arriver la meilleure amie de mon ex chez moi.
- Salut !
- Salut !
- Je peux entrer 5 minutes, j’ai un truc à te dire ?
N’aillant rien à lui reprocher je l’invite à entrer.
- Tu sais, j’héberge Sylvie depuis que tu l’as virée…
Je la coupe sèchement :
- Elle s’attendait à quoi ! Elle pensait quand même pas que j’allais continuer à l’entretenir alors qu’elle baisait ailleurs !
- Pas du tout, elle comprend très bien pourquoi elle est à la rue, et elle reconnaît que c’est elle qui a déconné, et pour être honnête je pense que je ferais la même chose si mon mec me trompait ! Je suis juste venu te dire qu’elle voudrai te parler une fois pour s’expliquer, pas pour demander pardon, mais pour expliquer une chose. Après elle partira.
- De quoi elle veut parler ?
- J’en sais rien, je suis juste la messagère. Elle attend dans la voiture, tu dis oui ou non, je transmets le message et je m’en vais, la suite ne me regarde pas.
Plus pressé d’en finir définitivement qu’autre chose je lui dis oui, et elle sort dans la rue. Trois minutes plus tard Sophie sonne à la porte. Je lui ouvre assez sèchement, elle reste comme paralysée sur le perron, le regard bas. Sans un mot je m’écarte de la porte pour la laisser entrer. Cela fait bien cinq longues minutes que nous sommes assis dans le salon, et aucun d’entre nous n’a encore prononcé le moindre mot. Un peu énervé je lui dis :
- Si tu n’as rien d’autre à dire je ne te retiens pas !
- Si si, attends, s’il te plaît… C’est juste que c’est pas facile à dire.
- Je ne vois pas ce qu’il y a de compliqué : tu m’as trompé, je t’ai viré, point ! Je ne suis pas le premier cocu du monde, pas même le premier du quartier !
- Non, c’est pas ça. Je voudrai t’expliquer pourquoi j’ai fais ce que j’ai fais.
- Je ne suis pas certain de vouloir l’entendre, mais vas y, pond ton laïus, qu’on en finisse.
- Voila… je veux d’abord te dire que je t’aimais…
- C’est pour ça que tu m’as trompé ? Tu aurais pu inventer une excuse plus crédible !
- Non non, attend, en fait…
Sophie rougit de plus en plus, elle se torture les mains, son regard ne quitte pas le tapis.
- En fait notre sexualité était assez classique, et j’avais…
- Le feu au cul, oui, ça j’avais deviné tout seul !
- Non, c’est pas ça… en fait j’avais un fantasme… c’est un peu gênant…
- Etre le cocu du quartier c’est pas confortable non plus, alors accouche !
- Voila…, j’ai toujours eu un fantasme un peu particulier, et j’ai appris sur internet qu’il y avait un endroit dans la région où je pouvais accomplir ce fantasme… et j’ai craqué.
- Et c’est quoi ce fantasme ?
Le visage de Sophie tourne à l’écarlate, et dans un murmure elle dit juste un mot :
- Soumission.
- Pardon ?
- J’avais un fantasme de soumission, et j’ai trouvé un club dans lequel on peut aller avec un masque pour rester incognito, et assouvir toute sorte de fantasmes.
- Et pourquoi tu ne m’en a pas parlé plutôt ?
- J’avais trop de respect pour toi.
La moutarde commençait à me monter au nez, et contrairement à mon habitude je me suis laisser aller à la vulgarité :
- Si je comprends bien c’est par respect pour moi que tu es allée faire la pute, te faire sauter par tous les trous par d’illustres inconnus, faisant de moi la risée du quartier ! Bravo ! Super crédible ton excuse. Et alors, c’était bon ? Tu as pris ton pied ? Vas y, raconte ! Je veux savoir combien de fois tu y es allée, combien de mec tu t’es tapée, ce qu’ils t’ont fait, tout ! Vas y, tu es venue pour vider ton sac, vide le ! Vas y, je t’écoute, je veux tout savoir.
Je me suis planté dans mon fauteuil, les bras croisés, le regard fixé sur elle.
Sophie est en larmes. Le visage caché dans ses mains elle commence à raconter :
- Je n’y suis allée qu’une fois. Je te jure ! J’ai trouvé l’adresse sur internet, ils ont un site. Ils disaient pouvoir assouvir mon fantasme. Alors je leur ai décri ce que j’attendais. J’ai pris rendez-vous pour une séance de soumission, et j’y suis allée avec une cagoule qu’ils m’ont envoyée par la poste. Il y avait trois hommes et une femme, dès que je suis entrée ils m’ont gueulé dessus, ils m’ont insulté, et puis ils m’ont donné une combinaison en latex, et comme je n’arrivais pas à la mettre ils m’ont giflée, et un des hommes m’a donné un coup de pied dans le ventre. Et après la femme m’a déshabillée et m’a enfilé la combinaison. J’avais les seins à l’air, et aussi le cul et la chatte. Ils m’ont bâillonnée, ils m’ont mis un collier de chien avec une laisse, et puis ils m’ont obligé à me mettre à quatre pattes. Ils m’ont mis des entraves aux poignets et aux chevilles, et ils m’ont promené dans toutes les pièces à quatre pattes. Je suis passée le cul à l’air devant tous les autres clients, ceux qui venaient pour des fantasmes homosexuels, ou de domination, ou du SM… Ils m’ont tous insulté, traité de chienne, de salope, ils m’ont craché dessus, ils m’ont frappé. Et le pire c’est que j’aimais ça. A un moment celui qui me tenait en laisse a dit à un client :
« Regarde comme elle mouille cette salope ! »
Alors le gars m’a planté d’un coup deux doigts dans la chatte, je crois que j’ai jouit instantanément. Il m’a ramonée, de plus en plus vite, et puis d’un coup il a enfoncé toute sa main dans ma chatte, et j’ai encore jouit. J’étais écroulée par terre, mais mon maître m’a relevé en tirant sur la laisse, et puis il m’a ramenée dans la première pièce. Ils m’ont fait boire de l’eau dans une gamelle, dans un coin, et puis ils m’ont fait pisser à quatre pattes, comme une chienne. Ensuite le maître m’a tirée jusque à l’autre bout de la pièce. La femme était assise dans un grand fauteuil, les cuisses écartées. Elle a enlevé le bâillon et m’a enfoncé la tête entre ses cuisses. C’était la première fois que je léchais une femme. Comme je ne savais pas m’y prendre au début l’un des gars m’a fouetté le cul en punition. Et puis quand j’ai réussi à la faire jouir elle m’a récompensé avec un biscuit.
Je dois avouer que ce récit commençait à m’exciter, mais comme Sophie avait toujours le visage dans ses mains elle n’a pas vu qu’une bosse déformait mon pantalon. Elle a continué son récit.
- Ils n’arrêtaient pas de m’insulter, et de me donner des claques sur les fesses. Et plus ils frappaient, plus je mouillais. Les trois hommes se sont succédé dans le fauteuil, et à chaque fois je me faisais fouetter pendant que je leur suçais la bite. Les deux premiers m’ont craché dans la bouche, en me forçant à tout avaler. Ensuite j’avais droit à un biscuit. Le troisième m’a pissé dessus, et dans la bouche aussi. Et puis la femme a reprit la place dans le fauteuil, et j’ai recommencé à la lécher. Je m’attendais à recevoir des coups de fouet, mais à la place le troisième homme qui n’avait pas encore éjaculé m’a attrapée par les hanches et il a planté sa bite d’un coup dans mon cul. Il m’a ramonée pendant dix minutes en me traitant de salle pute, de chienne, de sac à merde. Et je mouillais plus que jamais. Un des hommes tirait sur la laisse pour m’étrangler, et quand mon maître a balancé dans mon cul j’ai eu le plus gros orgasme de ma vie. Je cois bien que la femme a jouit en même temps que nous.
Sophie continuait de me raconter comment elle s’était faite baiser par tous les trous et dans toutes les positions, par ses quatre maîtres et quelques clients toute la soirée, en se faisant insulter et pisser dessus. Je bandais tellement fort que j’ai été obligé d’ouvrir ma braguette. Au fur et à mesure du récit je perdais complètement le peu de respect qui me restait de mon ex, je ne la voyais plus maintenant que comme une pute, une pauvre femme qui veut qu’on la brutalise, une esclave sexuelle.
Au bout d’un moment j’ai vu rouge, je me suis levé d’un coup, et je me suis jeté sur Sophie. Elle était trop concentrée sur son récit, le visage toujours dans ses mains, elle n’a rien vu venir. Je l’ai giflée, et quand elle a levé la tête vers moi en se demandant ce qui se passait je l’ai attrapée par les cheveux et j’ai enfoncé ma bite bien bandée dans sa bouche. Je lui baisais la bouche, tellement profond qu’elle était à deux doigts de vomir. Elle avait le souffle coupé, les yeux exorbités, elle n’a pourtant pas cherché à fuir, ni même à se débattre. Quand j’ai jouit au fond de sa gorge elle a presque tout avalé. Seul un mince filet de foutre et de salive lui a coulé sur le menton, puis est tombé sur ma chaussure.
- Tu es vraiment une sale chienne. Lèche ma chaussure !
Et elle l’a fait. Totalement soumise, elle était à quatre pattes en train de me lécher les pompes, une main s’agitant entre ses cuisses. Je n’en revenais pas : mon ex, si sage, si bcbg, si fade, cachait en fait une belle salope. Dire que j’aurai pu en profiter bien avant ! En tout cas à partir de maintenant je ne raterai plus une occasion: j’ai une esclave totalement à ma botte (c’est le cas de le dire) et je compte bien en profiter !
Ma femme avait le feu au cul !!
Assise à côté de moi dans la voiture, Sabine portait une robe noire, un porte-jarretelles, des bas - coutures et ses bottines à talons hauts. Nous commencions à ressentir la fatigue du voyage. La nuit était bien avancée et cela faisait déjà plusieurs heures que nous roulions lorsque nous nous sommes arrêtés sur une aire de repos. Sabine est descendue de voiture pour satisfaire un besoin pressant.
Je ne pus m’empêcher de regarder son déhanchement alors qu’elle s’éloigna rapidement, un désir m’envahit soudain. Je vis alors deux hommes la suivre et entrer après elle dans la station. Ils se permirent quelques gestes équivoques qui en disaient long sur leur excitation. Je décidais alors de descendre moi aussi de voiture et d’aller à la station vérifier que la situation ne dégénérait pas.
La station était quasi déserte à cette heure-là. J’entrais alors aux toilettes des hommes quand j’entendis alors, venant des toilettes des femmes, une voix masculine s’exclamer :
- Viens voir Karim, la petite dame a un joli derrière, elle est sacrément bandante cette bourge»
- Retrousse-lui la robe pour voir ses dessous et profites-en pour la caresser »
- Tu aimes quand on te caresse ? Viens voir, elle a des dessous de pute »
- Arrêtez, je suis mariée et mon mari est dans la voiture »
- On n’a rien contre les femmes mariées, si tu es gentille avec nous, tu pourras aller retrouver rapidement ton petit mari »
Ma femme ne répondit rien.
- Laisse toi faire, on va te faire du bien ; Karim à toi l’honneur de caresser Madame, pendant ce temps elle va me tailler une pipe avec ses lèvres bien rouges »
J’entendis le bruit d’un ceinturon de ceinture…
- Allez, fais pas de manière, tu as une bouche de suceuse, alors au travail ma belle »
- Dis donc Momo, c’est vrai qu’elle est bien foutue cette salope. En plus de porter des bas, elle porte un string, plutôt une ficelle dans le cul, son mari ne doit pas s’ennuyer avec une pouliche comme elle. Elle a une chatte bien poilue comme je les aime. Regarde, quand je la touche là sous sa petite culotte, elle frissonne, elle ferme les yeux et elle écarte même les cuisses, c’est un sacré numéro cette femelle »
J’entendis alors le souffle de Sabine monter de la cabine.
- Tu ne me croiras pas, mais la dame est toute mouillée, à croire qu’elle n’a pas baisé depuis des mois »
- Alors qu’est-ce que tu attends pour la baiser, je passerai après toi ? »
- Non, arrêtez », entendis-je de nouveau, « mon mari va arriver »
- Et alors, je suis sûr que ton cocu de mari ça le fera bander de savoir que sa p’tite femme est en train de se faire mettre »
Effectivement, je commençais à être très excité par cette situation.
- Ne fais pas ta bourgeoise, je sais que tu en as envie, ta chatte est trempée, tu as envie d’un mâle, et tu as de la chance tu vas en avoir deux pour le prix d’un! »
J’entendis alors des râles monter de la cabine. Je compris qu’un des deux hommes était en train de la posséder contre la cloison.
- Elle est foutrement bonne, cette salope, elle n’arrête pas de mouiller, c’est une salope de premier choix, hein, pas vrai que tu es une bonne salope avec tes bottines »
- oui, je suis une salope »
- et ton mari il te fait pas jouir comme moi on dirait ? »
- Non, il dit que je suis coincée »
- Coincée, ça non. Plutôt une bonne pute. Tu en veux encore, dis-le »
- Oui, j’en veux encore »
- Dis Karim, presse-toi, tu n’es pas seul, j’ai envie d’essayer madame »
- Ca y est j’ai joui, à ton tour Momo, de profiter de Madame, c’est un sacré bon coup »
- Oh oui, baisez-moi encore, c’est trop bon »
- Tu entends Karim, elle en veut encore de la bibite, elle aime les gros calibres, avec moi elle va être servie, je veux que tout le monde t’entende dire « j’aime les gros calibres, je suis une pute à gros calibres », dis-le »
- oui, j’aime les gros calibres, je suis votre pute, finissez ce que vous avez commencé »
- la p’tite dame aime se faire mettre pendant que son gentil mari l’attend dans la voiture, Karim, mets-lui ton silencieux dans la bouche, car je vais la faire crier, je vais passer par derrière, son cul est un appel au viol et ce n’est pas sa ficelle qui va m’arrêter »
- Non, pas par là, vous êtes trop gros et personne ne m’a jamais fait ça »
- T’inquiète, j’ai l’habitude de prendre les pouliches dans ton genre par là, et tu peux me croire, elles ne le regrettent pas ».
Effectivement, elle gémissait de plus en plus fort, je ne la reconnaissais pas, elle si souvent si prude et réservée quand il s’agissait de sexe, elle était totalement décoincée. Elle se livrait comme une chienne, à quatre pattes, un mâle devant, un autre derrière.
- C’est une sacrée chienne cette salope, elle commence à bouger du cul, tu vas voir Karim, je vais lui élargir le trou du cul à cette bourge, après moi, tout le monde pourra rentrer par là »
J‘entendis Sabine jouir une nouvelle fois sans aucune retenue comme la dernière des catins.
- Finis ta sucette maintenant, fais ta gourmande avec ta langue, je suis sûr qu’au travail tu es le genre de pétasse à passer sous le bureau pour tailler le crayon de ton directeur, n’est-ce pas »
- Oui, je l’ai déjà fait et les hommes aiment ça »
- Ton mari est au courant ? »
- Non, non, il voudrait que je lui fasse la même chose… »
- Mais tu préfères le faire à des inconnus, tu es vraiment une salope »
- Oui, je suis une salope qui va aller retrouver son cocu de mari »
- N’oublie pas de rajuster ta ficelle car sinon ta robe va être toute tâchée, et n’oublie pas aussi de remercier ton mari »
- Si tu veux nous laisser ton numéro de téléphone, on viendra te visiter quand tu veux et si ton mari veut regarder, on lui laissera le fauteuil et on prendra sa place dans le lit, il aimera la leçon et il verra que sa femme est une pute qui aime se faire violer par des mecs bien montés … »
oooOOooo
La sonnerie retentit. Je vais ouvrir. Deux hommes d’une trentaine d’années sont devant moi.
- Oui, c’est pour quoi ? »
- C’est pour votre femme, nous avons fait connaissance la semaine dernière comme elle vous l’a dit, elle nous a téléphoné tout à l’heure pour venir la baiser »
- Ah je vois, et bien entrez et montez au premier étage, vous trouverez sa chambre »
- Merci, si tu veux, tu peux venir voir comme on s’y prend pour faire jouir ta femme »
A l’étage, Sabine était déjà sur le lit dans une tenue que je ne lui avais jamais vu porter : des talons de 15 cm terminaient ses jambes gainées de noir (les mêmes bas couture de la semaine passée), un peu plus haut une mini jupe en cuir à ras des fesses, un juste au corps transparent ne cachait rien de sa poitrine généreuse, une bouche bien rouge, les yeux très maquillés avec cerise SM sur le gâteau, une casquette en cuir sur la tête. Elle nous regardait, offerte et impudique, les cuisses légèrement entrouvertes.
- Venez, je vous attendais, mon mari aussi, je crois, il était impatient de voir ça, vous allez lui montrer que je ne suis pas frigide mais que je suis bonne à enfiler, c’est pour ça que je me suis habillé comme une pute, pour lui donner une bonne leçon »
Les deux hommes s’approchent du lit, jettent leur veste par terre.
- Qui c’est qui veut commencer ? » demande Sabine en me regardant.
- Si on changeait de tour, cette fois, Karim, je passe le premier, je vais calmer les chaleurs de la dame, pendant ce temps tu pourras te faire sucer »
- D’accord, on va bien lui remplir ses trous, à cette salope en cuir, son mari verra ainsi quelle pute elle fait sa femme »
Sabine regarde l’homme qu’elle va prendre en bouche en tirant la langue lascivement. L’homme déboucle sa ceinture et baisse son pantalon. Sabine est déjà à quatre pattes sur le lit prête à sucer. Pendant ce temps, l’autre homme s’est retrouvé tout nu derrière elle, au garde à vous, il a mis un préservatif sur son sexe énorme et s’est approché de son postérieur en lui mettant la main aux fesses, en relevant sa jupe en cuir et en me lançant :
- Regarde, ta femme va prendre ça dans son beau cul, car ta femme ce n’est qu’un trou du cul, elle a adoré la dernière fois, elle ne voulait pas au début et depuis elle ne peut plus s’en passer, tu vas voir comme elle va tortiller du cul dans quelques minutes »
Déjà sous mes yeux, Sabine se trémoussait en se retournant :
- Oui, mettez la moi comme la dernière fois, je suis une chienne en chaleur qui attend son chien, je n’en peux plus, il me faut votre queue »
L’homme s’est enfoncé d’un seul coup dans ma femme en s’agrippant à ses hanches. Elle a crié puis gémi très rapidement.
- Mets lui ton silencieux Karim, elle est trop bruyante, elle va alerter tout le quartier et son mari n’a peut-être pas envie qu’on sache sur tous les toits que sa femme est une vraie salope »
- Cela m’est égal maintenant, vous pouvez vous la faire comme bon vous semble, c’est gratis pour vous, les autres paieront car ma femme aime le fric, ça la fait mouiller quand on sort une queue et des billets »
- Oui c’est vrai, il a raison, habillée comme ça, je ferai une bonne pute de luxe. D’ailleurs, regarde comme il me baise bien avec son gros engin, plus gros que le tien, je jouiiiiis…, encore, j’en veux encore… »
- Puisque tu es une pute de luxe, alors suce-le chienne, ta bouche est faite pour ça, pour tailler des gros crayons, comme ça tu dis moins de conneries ».
- Il a raison ton mari, tu m’as allumé fringuée comme tu es, alors maintenant tu vas pomper pendant que mon copain te défonce le cul, je m’occuperai après de ta chatte »
- Elle est vraiment bonne ta femelle, elle a un cul d’enfer et dedans elle est brûlante, tu devrais essayer, elle vaut vraiment le coup par là »
- Non pas lui, il n’a le droit que de regarder »
- On dirait que la dame n’est pas très gentille avec son mari, mais s’il veut la violer, je lui laisse volontiers la place »
- Puisque c’est comme ça, ok, je vais te violer, au point où tu en est, tu vas me vider les couilles, ça t’apprendra à être aussi provocante et salope, un vrai viol voilà ce qu’il te faut pour te remettre les idées en place »
oooOOooo
La salope s'épanouit
Dans les épisodes précédents, j'ai fait éduquer ma femme et je profite maintenant de cette nouvelle situation.
Comme ma femme est devenue plus salope qu'avant, un jour je lui ai dit qu'elle m'étonnait d'être devenue subitement plus chaude. Elle me répondit qu'avec l'âge, elle sentait avoir envie de vivre des expériences nouvelles. Je lui ai proposé l'amour à plusieurs. Elle m'a demandé des précisions.
Je lui ai dit, soit :
- Un autre homme avec nous, soit une autre femme, soit même un autre couple. Qu'en penses-tu ?
Elle m'a dit qu'avec un autre couple, cela pourrait la tenter, mais elle disait ne pas "en être sure".
Sachant ce que je l'avais vu faire, je trouvais qu'elle était un peu gonflée.Je lui ai proposé une visite dans un club coquin. Elle a accepté.
Le samedi suivant, nous sommes allés dans un club spécialisé et nous avons été accueilli à l'entrée par le couple exploitant l'établissement qui s'est montré très empressé. Nous avons été installé à une petite table dans une alcôve et nous avons pris un verre.
Un homme est venu à notre table et nous a salué. Il avait une quarantaine d'année et était assez bien foutu. Il nous a montré sa femme installé à une autre table et nous a demandé si on voulait passer la soirée avec eux. La femme était un peu moins bien que lui, mais très acceptable.
J'ai regardé ma femme pour lui demander son avis, elle m'a fait un signe de la tête pour donner son accord. L'homme qui disait se prénommer tom a appelé sa femme et elle nous a rejoint.
Immédiatement, le mec nous a dit ce qu'il attendait de cette soirée :
- Voilà, ma femme et moi sommes bi tous les deux, nous aimons tout, sauf les extrêmes S.M et autres scato. Nous n'obligeons à rien et ne nous sentons obligés de rien, mais nous sommes très vicieux tous les deux et vous ?
J'ai répondu que c'était notre première expérience à quatre et que nous ne savions pas au juste jusqu'où nous irons.
Le mec a commencé à poser la main sur la cuisse de ma femme et lui a dit :
- Ecarte un peu les cuisses que je puisse accéder jusqu'à ta chatte, j'ai envie de te branler devant ma femme et ton mari.
Je ne voyais pas les cuisses de ma femme, mais le mec a dit :
- Oui, comme ça, mais tu mouilles déjà bien ma salope. Elle a sa petite culotte toute trempée. Tu ferais mieux de la retirer.
En même temps qu'il disait cela, il avait aussi posé sa main sur ma cuisse et remonté jusqu'à ma bite. Je lui ai dit de continuer de s'occuper de ma femme et moi, j'ai pris la main de la sienne que j'ai posée sur ma queue déjà bien bandée.
Pour la première fois depuis son arrivée, sa femme à ouvert la bouche pour dire :
- Tu bandes bien mon salaud, j'ai envie de te sucer devant tout le monde
Je ne savais pas que cela pouvait se faire là, mais elle , avait l'air sûre de son fait. Elle a baissé le zip de mon pantalon et m'a demandé de lever un peu les fesses, puis elle a baissé le pantalon et le shorty jusqu'à mes genoux. Elle a alors commencé à me sucer divinement.
Son mari a alors dit à ma femme :
- Qu'attends tu, salope, pour faire la même chose.
Et ma femme m'a regardé et j'ai dit !
- Vas-y puisqu'il te le demande. Suce-le bien ma chérie, et surtout ne laisse rien couler sur les moquettes, avale bien tout ce qu'il t'offre."
Très rapidement, lui et moi avons jouis respectivement dans la bouche de nos femmes et c'est lui qui m'a montré l'exemple et roulant un patin à sa femme pour goûter à mon foutre et j'ai fait pareil avec la mienne. J'ai pu lui dire à l'oreille que c'était une vraie petite salope, elle m'a répondu qu'elle faisait tout cela pour moi et qu'elle était prête à en faire encore plus.
Tout de suite après ce hors-d’œuvre, le mec me dit :
- On ne va pas rester ici, allons plutôt chez moi pour poursuivre cette petite rencontre amicale
Nous l'avons suivi chez eux : petit pavillon de banlieue cossu, intérieur chic, moquette épaisse. Dès notre arrivée, la femme du type s'est présentée sous le prénom de Carla, son mari se prénommant Jean. Je leur ai présenté ma femme : Sabine et moi, Bernard.
Immédiatement, je me suis rendu-compte que ma femme plaisait beaucoup à Jean, mais aussi et surtout à Carla. Elle enlaçait ma femme et cherchait sa bouche avec la sienne, Sabine n'a pas résisté et très rapidement, ces deux salopes se sont roulés des patins et se murmuraient des mots doux à l'oreille tout en se caressant.
Marc leur a dit :
- Sucez vous mutuellement la chatte devant nous, cela va nous exciter
Ces deux salopes se sont mises à poil et ont commencé à se sucer, Jean s'est approché d'elles et les caressait tour à tour. Très vite, il a eu envie de profiter de la situation et, vu leurs position il glissait sa langue dans la raie du cul des deux salopes, tout en se suçant, elles gloussaient comme les deux chiennes qu'elles étaient.
Par contre, manifestement personne ne cherchait à s'occuper de moi. Même, quand je me suis approché, Carla me repoussait de la main. Même Jean cherchait à ce que je ne sois plus vraiment participant. J'ai fini par protester et Carla m'a dit :
- Tu n'as qu'à te branler"
C'est d'ailleurs ce que j'ai fait.
Pendant ce temps, ma femme suçait la chatte de Carla et Jean s'était mis derrière elle et l'enculait et c'est à moi qu'il parlait :
- Regarde ta salope de femme comme elle aime se faire baiser. Ça te plaît de la voir se faire baiser par d'autre sans y participer toi-même.".
Très vite, ils ont jouis tous les trois et je me sentais de plus en plus exclu de leur jeu.
Lorsque nous sommes rentrés à la maison, je l'ai dit à ma femme qui m'a dit qu'elle se plaisait beaucoup avec ce couple, qu'elle avait pris son pied comme jamais et qu'elle souhaitait y retourner très vite.
En rentrant à la maison, je n'ai même pas eu le droit de la baiser, elle m'a dit qu'elle était fatiguée. J'ai été assez déçu et assez inquiet.
Le lendemain et les jours suivants, Sabine est allée plusieurs fois seules chez eux, je ne l'ai su que plus tard. Le samedi suivant, lorsque j'ai parlé de sortir, Sabine m'a dit qu'elle voulait aller chez Jean et Carla.
A notre arrivée, immédiatement, Carla s'est jetée sur Isa et a commencé à l'accaparer. Jean à fait de même. Véritablement, ils me tenaient à l'écart et j'ai décidé de faire plaisir au maximum à ma femme. Je lui ai glissé à l'oreille que je ferais tout ce qu'elle voudrait. Elle a eu un court conciliabule avec Carla et, semblant obéir au conseil de celle-ci m'a dit :
- Si tu veux me faire plaisir, suce Jean devant nous !"
Bien sur, j'ai déjà sucé un mec, mais jamais devant ma femme et elle ne savait pas que je l'avais fait. Je voulais tellement lui faire plaisir que je me suis exécuté aussitôt. J'ai pris la bite de Jean dans ma bouche et j'ai commencé à le sucer avec beaucoup d'application. Je suçais ses couilles, je remontais dans la raie de son cul jusqu'à son anus.
J'ai glissé ma langue dans son cul et j'entendais Carla me dire, comme si elle voulait me diminuer encore plus aux yeux de ma femme :
- Oui, salope, suce lui le cul, encule le avec ta langue. Suce le bien, petite chienne !
Très rapidement, elle parla encore à l'oreille de ma femme et celle-ci dit à Jean :
- Maintenant encule-le !"
Je n'en revenais pas, mais j'avais décidé de lui plaire et de faire ce qu'elle voulait pour la reconquérir. Je me suis retourné, me suis mis à genou sur la moquette et c'est moi qui ai dit à Jean :
- Allez, prends-moi, encule-moi.
J'ai senti sa bite s'appuyer sur mon œillet, puis il a à peine insisté et sa bite est rentrée dans mon cul. Carla me disait :
- Branle-toi pendant que Jean t'encule"
Nous avons changé de position, Jean était sur le dos, j'étais sur lui et je me branlais. Très vite, j'ai joui et j'ai déchargé sur ma poitrine et mon ventre. Carla passait sa main dans mon foutre et me le portait à la bouche en me disant d'avaler. J'ai senti Jean qui me vidait ses jets de foutre dans le cul et me disant que j'étais bonne.
Ma femme avait l'air un peu gênée et j'en étais un peu troublé, j'avais fait tout cela pour elle.
Un peu plus tard, Jean m'a pris à part et m'a dit :
- Maintenant Isa va rester avec nous, elle n'est plus à toi, elle est à nous, elle nous aime et ne veut plus de toi, si tu veux demande lui et tu verras ce qu'elle te dira
Je suis allé vers Sabine qui était toujours dans les bras de Carla, celle-ci avait une main qui caressait la chatte de ma femme et lorsque je lui ai posé la question, elle m'a dit :
- OUI, c'est vrai, je vais rester à vivre avec eux, j'aime tout ce qu'ils me font, je me donne à eux, nous n'avons plus rien à faire ensemble et ta démonstration de ce soir était pitoyable.
Je suis parti, très triste en me disant que cela ne durerai que quelques jours et en fait, elle a passé plusieurs années à vivre avec eux. Je sais qu'elle en a pris plein son cul pendant tout ce temps, je la voyais de temps en temps quand j'allais dans la boite échangiste et elle était devenus leur jouet sexuel, mais elle aimait cela.
J'avais voulu en faire une salope et j'avais gagné.
Voilà la fin de mon histoire, je suis maintenant avec une autre femme qui elle, bien qu'aimant baiser aussi est loin de tout cela et ne sait rien de ma vie sexuelle passée. J'ai parfois un peu de regret et lorsque je suis en déplacement sans ma femme, je tache toujours de me taper soit une autre femme, soit un mec car j'aime toujours les deux sexes.
Auteurs: Divers et inconnus