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Hommage au site disparu "Chaste et soumis"..... Suite..

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Prisonnier II

Chapitre 5
Partie 5

Le contact de la culotte est doux, rassurant.
Je frémis quand il enveloppe ce qu’il appelle mon "clitoris" avec.
Celui-ci d’ailleurs commence à s’éveiller à nouveau au contact de cette délicieuse chose qui, je peux bien l’avouer, me fait fantasmer habituellement au point que j’ai déjà essayé de porter en cachette, pour quelques minutes, les culottes de mes petites amies, histoire de tester ce que cela pouvait faire…
Cela me troublait beaucoup c’est sûr ! Alors, rouge de honte et de confusion, j’enlevais vite la petite culotte, qui s’accrochait à mon sexe en érection, et je me masturbais frénétiquement dedans. Je ne tardais pas à éjaculer, des jets puissants qui venaient poisser le mince tissu diaphane, le petit paquet de dentelle que ma copine avait portée toute une journée contre son intimité, qui avait recueillie ses moiteurs… À la fin je la portais à mes narines, pour humer le mélange de nos fluides. J’avais un frisson de dégoût, et je jetais vite la petite culotte en boule au fond du panier à linge sale.
Ainsi, ma vocation de travesti était restée secrète et je n’étais jamais allé plus loin.

Effrayé à l’idée qu’il ait noté les frémissements qui parcourt mon "clitoris" pendant qu’il m’enfile la culotte, je me pelotonne à nouveau contre lui pour lui donner le change et je remets mon nez bien sagement et avec soumission dans son aisselle puante.
Il dit, en exerçant une pression encore plus forte sur mes couilles :
— Bien. Maintenant tu vas passer ta tête sous l’élastique de mon pantalon de survêtement, salope ! Et tu vas venir renifler ma bite et mes grosses couilles bien poilues !
— Aie ! S’il vous plaît ! Non ! Pas ça ! Je vous en supplie ! J’ai trop honte ! Pitié ! Je ne suis pas pédé !
— Obéis, sinon je t’écrase les couilles ! Tu vas voir, je vais faire de toi une vraie pédale ! Une folle ! Et tu finiras par aimer cela !
Que puis-je faire ?
Jusqu’où me mènera-t-il ?
Je n’ose imaginer la suite. Anéanti, complètement abattu et brisé par ses menaces et punitions, je m’exécute une fois encore. Je soulève l’élastique de son très épais et très ample pantalon de survêtement, comme aiment en porter les blacks en me demandant comment je vais pouvoir respirer là-dessous.
Immédiatement, une terrible odeur vient surpasser celle, portant extrêmement prégnante, de sueur de noir qui règne dans la cellule.
Une odeur extrêmement musquée, acre, de sperme séché et de pisse me saoule au point de me faire tourner la tête.
Un instant, je retiens ma respiration, hésitant à l’entrée de cet antre obscur où je vais devoir m’engouffrer.
De son autre main, il pousse sous ma nuque jusqu’à ce que mon nez heurte sa hampe rigide, en érection, dure comme du bois et qui me semble d’une épaisseur extraordinaire.
Des poils très drus et incroyablement longs, pour un type de sa race, chatouillent mes narines.
J’ai beaucoup de mal à respirer sous cette moiteur fétide.
Il dégage une telle quantité de phérormones qui me fait involontairement frissonner.
— Voilà. Comme cela. Je veux t’entendre renifler comme une bonne chienne. Respire bien à fond les odeurs de ton Maître. Je viens de porter ce pantalon pendant quinze jours en me branlant plusieurs fois par jours dedans en pensant bien à celui qui aurait le bonheur d’en profiter. Tu es arrivé à temps. J’allais finalement le mettre au lavage. Mais maintenant que tu es là, je vais le garder encore un peu pour toi. Tu verras, tu finiras par adorer cela. Cela va devenir ta drogue.
Il exerce une nouvelle pression sur mes couilles.
— Allez ! Renifle ! Je veux t’entendre !
J’accélère ma respiration. Je me force à peine, tant il est difficile de respirer là-dessous.
Ses effluves me font tourner la tête.
J’ai l’impression d’étouffer sous cette moiteur fétide.
Sans compter la chaleur…
— Bien. Lèche ma tige maintenant.
Surmontant mon dégoût, je sors timidement ma langue et je la frotte sur la tige bien dure.
Elle est humide de sueur et du liquide pré-spermatique qui coule abondamment de son méat.
Le goût est acide et acre.
Je lèche obséquieusement son énorme bite, remontant petit à petit, malgré mon dégoût, jusqu’au gland.
En arrivant juste à la base du gland, l’odeur se fait encore plus violente !
Mon Dieu, comment est-ce possible !
Ce type ne semble jamais se laver la bite.
Car le gland est décalotté et est couvert de sécrétions.
Vous voyez ce que je veux dire ?
J’ai un mouvement de recul.
— Allons, allons, ne fait pas ta pucelle ! Lèche le gland salope.
Je me mets à lécher ces sécrétions à l’odeur si forte. Je suis constamment parcouru de frissons de dégoût, et je lutte contre les hoquets de vomissements qui contractent inexorablement mon bas-ventre.
Mais, j’imaginais le pire si je lui vomis dessus. Et je parviens à me calmer et à me retenir.
D’ailleurs, au bout de quelque minutes, j’ai finalement remplit mon office, et le gland est propre… du moins toujours humide à cause de ma salive, mais en tout cas débarrassé de ces horribles sécrétions…

Chapitre 6
Partie 6

La pression sur mes couilles se relâche, le contact se fait plus doux.
Il commence à me caresser les couilles et d’un doigt à frotter toute la longueur de mon pénis. De manière très douce, mais de plus en plus rapidement.
Ma respiration s’accélère involontairement.
Je sens des frissons me parcourir l’échine.
Mon pénis répond à ses attouchements en grossissant et en durcissant…
— Oh ! Ma petite putain aime qu’on lui tripote le clito. Car on ne peut pas appeler cela une bite ! Un vrai zizi de petite fille !
D’un coup, il y a un flash.
Des souvenirs remontent malgré moi.
Des moqueries dans les vestiaires lors de la gymnastique, lorsque j’étais petit garçon et ensuite même adolescent.
Car je suis loin d’être monté comme un étalon.
Mon sexe, sans être minuscule, est largement en dessous de la moyenne…
Alors, comparé à la monstruosité qui frotte actuellement mes narines et que je lèche maintenant consciencieusement, il y a une différence énorme !
Je ressens à nouveau cette honte… de me sentir différent…
Des larmes me montent aux yeux.
Ce salaud a deviné mon point faible !
Ses caresses qui se font plus précises sur mon gland qu’il a décalotté maintenant.
Malgré moi, je soupire de plus en plus.
— Alors, salope, tu vois que tu aime ça ! Continues donc, putasse. Lèche-moi le gland maintenant. Nettoies-le bien de toutes ces sécrétions que j’ai fabriquées pour toi. Grace à toi maintenant j’aurais la bite bien propre. Enfin… rassures-toi, je ne vais pas l’astiquer sous la douche. J’ai la peau sensible et le savon m’irrite. Mais comme tu vas me la lécher à longueur de journée, désormais, il n’y aura plus de dépôts ! Là, c’est bien, ma petite femelle ! Voilà ! Appliques-toi bien !
Ces sécrétions s’accrochent à ma langue et se dissolvent dans ma bouche.
Le goût est acre.
Je ferme les yeux en essayant de penser à autre chose et en réprimant des haut-le-cœur. Et en plus, je peux à peine respirer là-dessous.
— Ouvres la bouche, pétasse et avales-le !
Une nouvelle pression sur mes couilles me fait bien comprendre que je n’ai pas le choix, sinon celui d’obéir une fois de plus. Je tente désespérément d’enfourner l’énorme et large gland, mais je ne réussis qu’en prendre la moitié dans ma bouche. J’ai peur de m’étouffer.
Seigneur, il est vraiment disproportionné !
— J’ai dit « avales, sale connasse de merde ! »
Cette fois, il serre fort.
Ça me fait sursauter.
J’ouvre mes lèvres du plus que je peux.
Cette nouvelle tentative me fait presque avaler tout le gland. Et, j’enfourne son bout épais et dur comme du bois jusqu’à ce que mes lèvres se referment sous la corolle encore encombrée de sécrétions gluantes.
Mais là, il est à fond et bute sur ma gorge.
Je n’ose plus bouger, forcée de respirer à fond par le nez et d’inhaler toutes ses effluves extrêmement musqués.
Sa main pousse sur ma nuque.
J’essaye d’avaler plus.
Le gland énorme glisse dans ma gorge.
Je me sens étouffer. Désespérément, je tente de rejeter ma tête en arrière.
Enfin, la pression se relâche.
— Il va falloir que tu apprennes à le prendre jusqu’au fond de la gorge salope ! Mais, pour une première fois, je m’en contenterai. Pompes, salope. Aspires et fais tourner ta langue sur la tête du gland !
Je me mets à faire tourner ma langue comme il me l’a ordonné.
Elle n’a pas beaucoup de place pour remuer dans ma bouche si encombrée.
Alors, je me rattrape avec les suçotements. Je creuse mes joues et j’aspire à fond.
Du liquide pré-spermatique se met à couler sous mes titillations.
Au goût salé et acre que je suis bien forcé d’avaler, je salive beaucoup et ma bave coule le long de la hampe en l’humidifiant.
— Je vais te délier les mains connasse.
Il défait rapidement les menottes qui retiennent mes poignets derrière mon dos.
Je pousse un soupir de soulagement, car ma position est vraiment inconfortable.
Mon soupir ne lui échappe pas.
— Je n’en ai rien à foutre de toi, connasse. C’est pour moi que je fais cela. Tes mains vont me servir. Caresse-moi les couilles, putasse. Bien doucement et délicatement avec des doigts de fée.
Je passe le bout de mes doigts, aux ongles un peu long, sur les énormes bourses couvertes de poils drus et frisés. Je les frotte doucement, les griffant avec délicatesses. Je lui tire ainsi plusieurs gémissements.
Et la chose monstrueuse crache encore plus de liquide pré-spermatique dans ma bouche étroite.
— C’est bien, continues. Empoignes-la, maintenant et branle-moi d’une main pendant que tu continue à t’occuper de mes couilles de l’autre !

Chapitre 7
Partie 7

Ma tête toujours encapuchonnée dans son épais pantalon de survêtement, transpirant, à moitié étouffé par les relents fétides, la tète me tournant de toutes ces odeurs fortes de male, indescriptibles, auxquelles je commence à m’habituer maintenant et qui même commencent à m’exciter.
À croire que je deviens sensible à l’énorme quantité de phérormones que dégage son sexe.
Je commence à le branler doucement, tout en continuant à titiller ses couilles de mes ongles longs, triturant les poils épais et humides.
— Ah ! Oui ! Hum ! C’est bon, ma salope ! Tu es encore maladroite mais je t’apprendrais ! Oui, c’est bien, plus vite et plus fort avec ta main, sale merde ! Encore, connasse !
J’accélère mon mouvement de va-et-vient avec ma main sur la tige dure comme un tronc d’arbre.
Elle est si grosse que mes doigts refermés en font à peine le tour.
J’espère qu’il ne lui viendra pas l’idée de m’enculer car sinon je serais estropié pour le reste de mes jours.
Le fait d’accélérer mon mouvement de branlette ne reste pas sans effet.
Il répond en poussant des gémissements et en m’insultant de plus belle.
— Oh ! Humm ! Tu es bonne salope ! Tu branles bien au moins, sale connasse ! Plus vite, sous-merde, sale déchet, putasse, ou je te frotte les oreilles…
En même temps, il continue toujours à caresser mon "clitoris", s’attaquant au gland maintenant, l’en ayant décalotté et en frottant doucement son pouce dessus.
Il me tire des gémissements.
Ce salaud sait comment s’y prendre.
Ses mouvements s’accélèrent au même rythme que les miens.
Je sens des palpitations dans son énorme verge qui se durcit et grossit encore plus.
Mon plaisir aussi monte, montait…
Et, je suis vraiment au bord !
— Ah ! Oh ! Oui !
D’énormes jets gluants, chauds et acres giclent directement au fond de ma bouche.
Sa poigne sur ma nuque se fait plus ferme et me serra dans un véritable étau.
Je dois avaler son jus, sinon je m’étouffe.
Un… deux… trois… quatre… cinq…
Les jets n’en finissent plus… toujours aussi violents et consistants.
Je sens mon excitation monter, monter.
Mais, au même moment, ce salaud abandonne mon "clitoris".
Et sa poigne se serre sur les couillettes, les compressant fortement, les écrasant.
Ce qui me fait pousser un cri étouffé de douleur et fait retomber immédiatement mon excitation et mon plaisir.
J’avale, tant bien que mal, le liquide écœurant qui emplit le fond de ma bouche, pendant que ce salaud continue à gémir en me serrant les couilles très fortement.
Enfin, sa pression sur ma nuque et mes couilles se relâche.
Je libère ma bouche de son énorme gland, mes mâchoires crispées, engourdies d’avoir été autant écartelées si longtemps. Je ne sais plus où j’en suis.
Ce salaud m’a utilisé comme une vulgaire poupée gonflable, pour se vider ses grosses couilles dans ma bouche.
Je suis devenu un vulgaire vide-couille.
Je suis aussi frustré.
Mon "clitoris" palpite.
Mes couilles me font mal, d’avoir été autant serrées, mais aussi de ne pas avoir pu se vider.
Je me mets à pleurer silencieusement, de honte, d’humiliation, et de désarroi.
Lui, il débande doucement, la queue humide, le gland encore enduit de sperme mêlé de ma salive venant se pencher contre mon visage.
Petit à petit, mon excitation retombe.
L’odeur qui règne revient au premier-plan, me saoulant à nouveau d’effluves hyper-musqués.
Cela sent effroyablement fort là-dessous.
Alors, il a un geste qui en dit long sur la manière dont il me considère.
Sa main libère mes couilles et vient essuyer sa bite suintante sur le fond de son pantalon de survêtement et mon visage par la même occasion, le tout confondu, comme si je n’étais qu’une sorte de kleenex que l’on utilise pour se branler.
Il prend mes poignets. Il me les met à nouveau dans le dos et il me menotte.
— Voilà, t’es bien attachée ! Car je ne veux pas que tu fasses joujou avec ton minuscule "clitoris", ma pute en chaleur ! Tu es un esclave ! Et un esclave doit rester chaste ! Plus un esclave est frustré et plus il est attentif ! C’est fini les branlettes, ma salope ! Interdiction de jouir et de te soulager ! Je te veux en chaleur et tirant la langue de désir ! Comme ça, tu verras, au bout de quelque temps tu ne penseras plus qu’à ma queue ! Tu es bonne salope ! Et en tant que femelle, tu prendras ton plaisir comme toutes les femelles. Uniquement avec ta chatte ! Mais, nous verrons ça plus tard ! Maintenant, je vais pioncer ! Tu n’as pas intérêt à bouger de là-dessous ! Respires bien l’odeur de ma queue, c’est ton Dieu maintenant ! Allez, dodo ma chienne !
Il s’allonge confortablement sur le lit étroit, sans bouger.
Au bout de quelques minutes, je sens son bas-ventre, sur lequel repose ma tête, se crisper.
On dirait que…
Oh non ! Pas ça !
L’ignoble individu laisse échapper plusieurs vents absolument fétides, pétaradant pendant de longues secondes, se vidant de tous les gaz puants qui ont fermentés dans son rectum.
Cette fois, cette odeur surpasse toutes les autres.
C’est absolument ignoble !
Je vais retirer ma tête de l’ouverture de son pantalon de survêtement, mais immédiatement sa poigne se referme sur mes couilles…
— N’essaye même pas ! Ne bouges pas d’un cil, connasse ! Tu dois, au contraire, apprécier mes pets ! Car ça vient de Moi ! Et tout ce qui vient de Moi, tu dois l’adorer comme un précieux Don de ton Maître ! Alors… qu’est-ce qu’on dit, putasse ?
— Mer… Merci Maître… Merci !
— Merci de quoi ?
— Merci pour vos pets, Maître ! Je vous remercie de m’avoir fait don de vos pets !
— Alors, tu en veux encore, connasse ?
— Oui, Maître, s’il vous plaît, j’en voudrais encore ! Pouvez-vous, s’il vous plaît, péter encore pour moi ?
Il dit en me caressant la nuque d’une main, l’autre toujours fermement agrippée à mes couilles :
— Tu en veux encore, vraiment ?
— Oui, Maître, s’il vous plaît, je vous en prie ! Pouvez-vous encore péter un peu pour moi, je vous en supplie !
— C’est bien, connasse, puisque tu aimes tant ça, en voilà tout une bordée…
Et c’est une véritable avalanche de pets, extrêmement odorants, qui sente vraiment la merde que ce salaud doit avoir emmagasiné dans ses intestins.
L’odeur est suffocante.
Ces gaz doivent contenir fort peu d’oxygène !
J’essaye bien de me débattre un peu.
Mais, immédiatement, il me serre très fortement les couilles.
Ce qui me fait pousser un cri de douleur et me fait avaler une grande goulée de ces vapeurs fétides.
Étouffant à moitié, je suis obligé de respirer plus vite, tenant à chaque respiration d’avaler un peu d’air frais en provenance de la mince ouverture de ce cloaque, grâce au petit filet d’air qui peut filtrer entre mon cou et le bord de l’élastique de son survêtement si épais qu’aucun air ne peut filtrer à travers.
J’essaye finalement de ne pas bouger et de me calmer pour avoir besoin de respirer le moins possible, inspirant néanmoins à chaque inspiration ses vents répugnants.
Cela dure de longues minutes.
Finalement, au bout d’une demi-heure, les odeurs enfermées dans un espace si confinée finissent quand même par disparaître petit à petit.
Je pense alors que je vais enfin pouvoir m’endormir.
Mais rapidement, au bout de quelques minutes, il se met à ronfler sourdement… M’empêchant ainsi totalement de fermer l’œil…

Chapitre 8
Partie 8

C’est peu de dire que je passe une nuit difficile.
L’odeur de ses pets est si irrespirable que je n’arrive pas à retrouver mon souffle. Et elle met très longtemps à se dissiper. Remplacée petit à petit par les effluves extrêmement musqués de sa bite et de ses couilles énormes et poilues.
Alors que je commence à m’assoupir, sa bite poisseuse se redresse pendant qu’il ronfle.
Ce salaud doit faire je ne sais quel rêve érotique.
Dort-il vraiment ou pas ?
Je ne sais. En tout cas, je sens sa main se reposer sur ma nuque.
De crainte qu’il ne se mette à nouveau à martyriser mes couilles, par prudence, je me mets à lécher doucement le gland pour ne pas risquer de le réveiller au cas où il dormirait vraiment.
Au bout d’un moment, son érection faiblit.
Son énorme bite se ramollit et se repose sur mon nez, tandis qu’elle suinte à nouveau.
Au bout d’une heure environ, cela se répète encore.
À nouveau, je lèche et suçote le gland, le nettoyant de son liquide pré-spermatique.
La nuit se passe ainsi, entrecoupées de ses érections et de mes titillations dociles sur son membre.
Je suis ainsi complètement à sa dévotion.
Ses érections nocturnes rythment mes brèves périodes de sommeil entrecoupées de cauchemar où je me vois attaché bras et jambes écartelés au lit de fer, pendant que ce salaud me viole l’anus. Je criais sans arrêt de douleur, ce qui amenait un rictus sadique sur son visage, pendant qu’il se branle littéralement dans mon anus et envoyait à la fin d’énormes giclées de sperme qui me remplissait le ventre…

Au petit jour, il se met à bouger doucement. Ayant de nouveau une formidable érection.
Cette fois ci, je sens sa main sur ma nuque pour de vrai.
Alors, docilement, je me mets à téter l’énorme gland, sans toujours pouvoir l’entrer complètement dans ma bouche.
Au bout d’un moment, il s’éveille :
— Tu es bonne salope. Lèche-moi donc les couilles maintenant !
Je délaisse donc le gland pour m’attaquer à ses énormes couilles poilues. Je sors ma langue et je commence à lécher.
Le goût est rance, âpre et l’odeur encore plus musquée que dans ses poils pubiens.
Je lèche docilement, enlevant quelques poils frisés qui se collent sur ma langue et viennent la chatouiller. N’osant pas les recracher, je tente de les avaler avec un haut-le-cœur. J’en suis maintenant réduit à bouffer les poils de ses couilles, après avoir bu sa sueur et son sperme. Je frémis en me demandant :
— « Quelle sera la prochaine étape de ma dégradation ? »
Ce n’est pas long à arriver.
Alors que sa queue s’est ramollie, j’entends :
— Remets ta bouche sur mon gland ! Et tu as intérêt à tout avaler ! Sinon je te broie les couilles !
Et sur ce, il joint le geste à la parole. Il commence à me les serrer à la limite d’une vraie douleur.
Son autre main se plaque contre ma nuque, m’empêchant tout mouvement de recul.
Maintenant docile, je commence à lui sucer le gland, pensant qu’il désire à nouveau une fellation.
— Arrêtes immédiatement, connasse ! Pas d’initiative ! Tu me suceras le gland quand je te l’ordonnerai ! Contentes-toi d’avaler ce qui va sortir ! Et tu n’as pas intérêt à en laisser échapper une seule goutte !
Je frémis en entendant ces paroles. Je n’ose croire ce que cela signifie. Lorsque… un premier jet de pisse chaude et âcre me remplit la bouche.
Surpris, je n’ose rien faire.
— Avales, sale putasse ! Sous-merde ! Connasse ! Tu as intérêt à tout avaler ! Comme je suis un bon Maître, je vais te laisser le temps d’avaler entre chaque jet. Mais ensuite il faudra que tu apprennes à me boire directement à la source, avec des gorgées rapides, pour m’éviter de me retenir ! C’est à toi de t’adapter à ton Maître et pas l’inverse ! Mais pour cette fois…
Jets après jets, il se vide dans ma bouche, tenant fermement mes couilles au cas où je ferais mine de ne pas avaler.
C’est sa pisse du matin, la plus acre et chargée.
Le goût est atroce.
Je me force à avaler, jets après jets qui viennent s’écraser au fond de ma gorge, attentif à ne pas m’étrangler.
Finalement, les giclées diminuent, puis cessent totalement.
— Suce-moi un peu le gland maintenant. Profites bien de la dernière goutte, salope !
Enfin, il me libère.
Sa poigne sur ma nuque se fait caresse, tandis que mes larmes coulent abondamment sur mon visage et que je suis secoué de sanglots.
— Tu peux cesser de sucer mon gland, connasse.

 A suivre ......

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