Joies et découvertes des vacances à l'étranger
Brève : Sali
Auteur: Chrisine
Ils étaient en vacances au Sénégal, à Sali pour être précis dans une villa louée au mois avec un gardien. Une grande maison aérée avec un jardin et dans le fond de celui-ci la chambre du gardien. Les premières journées furent passées à la pêche au gros, mais ce n'était du goût de la femme et son mari continua à y aller tout seul
Elle profitait de ses journées pour aller à la plage, au marché, menant tranquillement sa vie. Le gardien lui proposa d'embaucher son cousin comme garde du corps puisque elle était souvent seule en dehors de la maison... après tout pourquoi pas ? Et c'est ainsi qu'elle eut un guerrier Bambara qui la suivait partout !
Grand, bien bâti le front légèrement fuyant il dégageait une force animale qui ne laissait pas indifférente…
Un matin après avoir fait un tour au marché nous allions à la plage. Elle aimait bien se déshabiller devant lui et se plaisait à imaginer qu'il avait des pensées délirantes en la voyant en petite maillot de bains, souvent à moitié incrusté entre ses fesses...
Ce jour-là elle portait un petit deux pièces blanc, non doublé. Ils se mirent à l'eau et nagèrent vers le ponton situé à une cinquantaine de mètres du bord. Il y fut bien avant elle et riait gentiment de sa lenteur quand elle prit pied sur le ponton, puis se tut quand elle s'étira lentement car le maillot non doublé était devenu translucide et la culotte ne voilait plus son abricot lisse et renflé allant même s'incruster dans son sillon intime.
Ses yeux devinrent plus fixes et elle remarqua de suite un palpitement visible au niveau de son caleçon de bain. Faisant mine de rien mais troublée quand même par ce qui se devinait, elle continua à discuter un peu. Puis le silence se faisant et la chaleur augmentant elle déclara qu'elle allait plonger pour se rafraichir.
Debout sur le bord du ponton elle sentait son regard sur ses fesses et sur sa culotte incrustée entre qui dévoilait le blanc des deux globes. Prenant un appel du pied elle plongea et sentit immédiatement son bas de maillot glisser. Malgré l'eau salée elle ouvrit les yeux constatant que le bas de son maillot avait glissé au bas du pubis. Elle remonta sans y toucher et s'accrocha au ponton quelque peu gênée de la situation...
Mais se retrouver quasiment cul nu dans l'eau... quelles sensations ! Se tenant au ponton d'une main elle se caressa doucement les fesses, en se cambrant faisant glisser mon maillot plus bas sur ses cuisses pour les ouvrir et avoir la satisfaction de se toucher doucement la chatte, frôler son clito tendu et doucement s'introduire 1 puis 2 doigts en frémissant de la tête aux pieds... elle sentait son corps réagir, ferma les yeux... et des pieds se débarrassa de sa culotte de maillot.
- Ça ne va pas madame ?
Elle ouvrit les yeux en rougissant et en levant la tête
- Euhhhhh.... j'ai un problème Mamary ! ( son prénom Bambara)
Dans la seconde qui suivit il était dans l'eau et sa main passée dans son dos la soutenait et la plaquant contre lui
- Vous avez une crampe ? Il faut bouger ! Aller bougez je vous dis ! Tenez-vous à moi, bougez !
Il attrapa ses mains pour les poser sur ses épaules la faisant rougir car ce geste la plaqua contre lui, lui faisant sentir sa virilité bien dressée dans son short de bain.
- Je n'ai pas de crampes Mamary !.. euh... j'ai perdu le bas de mon maillot !
- Le bas de votre maillot ?
- Oui..... et devant son incompréhension elle avoua... j'ai perdu ma culotte de maillot !
Il la regardait toujours alors elle le repoussa un peu et basculait son bassin en avant pour qu'il puisse voir par lui-même... Son pubis lisse et blanc tranchant sur le bronzage, son pubis renflé et bien fendu. Ingénument elle ouvrit les cuisses pour se coller à lui et croiser les jambes dans son dos.
Sous le contact de son intimité chaude ainsi offerte son membre finit de se déployer et elle sentit son gland lisse et chaud venir caresser mon entre cuisses... Baissant la tête elle aperçut son maillot au fond de l'eau et se pencha à son oreille
- Je sais où est le maillot mais j'ai envie de toi... fais-moi l'amour Mamary !
- L'amour madame ?... je ne comprends pas, oui je vous aime bien
Elle le regarda dans les yeux. Il ne comprenait pas, et elle le sentir bien que tendu comme un cerf en rut, il palpitait contre sa chatte. Glissant une main sous elle, elle saisit son pieu pour finir de le faire raidir présentant le gland dans l’antichambre de sa grotte trempée...et soupira
- Baise-moi Mamary ! Nique-moi la chatte !!
Quand il se sentit prisonnier de son fourreau il lâcha le ponton et ils commencèrent à couler mais lui saisissant les hanches il la plaqua durement sur lui s'enfonçant complètement et d'une seule poussée en elle, cognant le fond du fourreau trempé lui faisant expulser l'air de ses poumons dans un gémissement non contrôlé et ils remontèrent de suite du côté opposé à la plage.
Saisissant l’échelle il s'y accrocha et commença à la pilonner sans un mot en coups de reins puissants et amples lui faisant pousser des râles de plaisir alors que son fourreau se contractait autour de son pieu qui la défonçait jusqu'au col.
Les cuisses bien ouvertes elle lui offrait sa vulve à baiser sans retenue l'incitant par mots crus aller encore plus fort, encore plus profond en elle, à la baiser comme une chienne sans se retenir et au bout de longues minutes de ce traitement intensif elle sentit une vague de plaisir l'envahir de la tête aux pieds jouissant sans retenue, tétanisée, plantée sans retenue sur le pieu palpitant dont le gland semblait vouloir s'enfoncer dans son col de matrice...
Reprenant son souffle, elle le repoussa se laissant glisser contre l’échelle et saisissant le pieu tendu elle le prit directement dans la bouche en lui massant le membre à pleine main le faisant frémir et se cambrer.
Il avait un gland doux et chaud et elle s'appliqua lentement à jouer avec passant et repassant la langue tout autour, essayent de la glisser dans le méat et tout en branlant cette belle tige noire elle tentait aussi de lui aspirer les boules.
Elle essayait de se l'enfoncer le plus loin possible dans la bouche, presque à suffoquer en salivant dessus et quand elle sentit le gland se cambre et palpiter plus fort elle le retira de sa bouche le posant sur sa langue sortie et accéléra son mouvement sur la tige épaisse... dans un râle il gicla longuement de la sève abondante blanc nacré dont elle avale une partie, le reste s'étalant sur son visage comme un maquillage.
Alors elle se laissa couler pour rattraper son slip de bains posé sur le fond et le ré-enfila tout en remontant à la surface et ils décidèrent de rentrer sur la plage ou ils se firent sécher par le soleil. Quand celui-ci se fit fort et agressif elle s'assit et proposa a Mamary de rentrer à la maison. Elle s'assit sur ses fesses face à lui et enfila sa robe en lui souriant. Elle le trouvait beau, bien bâti... et très efficace !
Une fois sa petite robe blanche et légère enfilée elle passa ses mains dessous et se défit du haut de son maillot le faisant secouer la tête
- Ah il ne faut pas faire ça madame...
- Et pourquoi ?
Il sourit largement
- Vous êtes trop belle madame ! Ça va donner des idées aux hommes ce genre de truc !
- Parle pour toi ! Il y a que toi qui le sait !
Elle rit de l'expression de son visage puis toujours assise et en le regardant dans les yeux elle glissa les mains sous sa robe le long de ses cuisses, attrapa son slip de bains et le descendit jusqu'aux chevilles et s'en débarrassa. Puis elle s'étira longuement en ouvrant les cuisses lui permettant d'avoir une vue directe sur l'abricot entrouvert qu'il avait profondément fourré.
Posant les mains sur la serviette derrière elle, elle se cambra restant ouverte devant lui. Il devient gris.
- Il faut cacher madame!
Elle lui sourit, resta ainsi quelques secondes puis se releva et lui demanda de rentrer avec elle à la villa....
A peine rentrée à la villa Christine alla se rincer sous la douche et en ressortit au bout de quelques minutes passées à se caresser les seins, les fesses et son abricot renflé. Sans même s’essuyer elle enfila une liquette noire qu'elle laissa déboutonnée et un string de la même couleur avant de descendre dans la cuisine ouverte sur le jardin.
Elle se prépara une salade puis sortit sur la terrasse pour la manger. Elle aperçut dans le fond du jardin Mamary et son cousin Traoré qui déjeunaient aussi en parlant fort. Elle leur fit signe de la main et s'installa pour manger aussi. Puis elle se prépara un café dans la cuisine et revint le boire à l'extérieur.
Les deux cousins avaient terminé aussi et se dirigeaient vers elle tranquillement. Elle les laissa arriver et leur proposa un café qu'ils acceptèrent en la remerciant et Traoré disparut dans la cuisine la laissant seule avec Mamary qui tira une chaise pour s'asseoir face a elle
Il lui souriait sans un mot tout en effleurant les cuisses du bout des doigts. Elle le laissa faire quelques instants et lui demanda s'il avait des regrets pour le matin. Il rit
- Ah mais pas du tout madame !
Ce faisant il fit glisser ses doigts et doucement se mit à caresser le renflement intime à peine voilé. Elle ferma les yeux en frémissant, la caresse était douce, précise et appuyée et lui fit impudiquement ouvrir les cuisses et se cambrer en sentant un doigt glisser par le coté et accéder à sa féminité en écartant le string. Elle soupira, il la massait lentement ouvrant les lèvres mouillées, remontant sur le clitoris tendu, glissant des les replis humides pour s'enfoncer dans l'étroit fourreau qui se contractait de désir
- Hummmmmmm Mamary ! Ton cousin est dans le coin arrête !
- Ah ben justement Madame....
Elle ouvrit les yeux surprise le regardant se racler la gorge
- Il vous trouve aussi très belle Madame et..... je me suis dit que...
Il s’arrêta et lui désigna la porte de la cuisine....
Elle tourna la tête pour apercevoir le cousin Traoré dans l'encadrement, short a mi cuisses, exhibant un sexe qui lui parut démesuré non pas par sa longueur mais pas son épaisseur. Elle ouvrit la bouche. Il l'avait aussi grosse qu'un poignet ! Elle en était la de son observation en se disant que c'était comme un beau concombre quand elle sentit les mains de Mamary saisir son string par l'élastique et commencer à le descendre. Fascinée par ce qu'elle voyait elle leva les hanches pour l'aider
- Il ne trouve pas de femme madame.... elle est bien trop grosse pour la supporter!
Traore se rapprocha et s'assit en face d'elle tout en se caressant sans un mot, gêné sans doute mais très fier aussi d'exhiber une telle virilité.
Elle le regardait fascinée sentant son ventre couler aidé par Mamary qui la caressait toujours et écartait ses doigts en elle. Traoré les regardait. Il avait envie de cette femme blanche depuis qu'il l'avait vue la première fois, mais aucune femme, blanche ou noire ne voulait de lui sauf des prostituées a Dakar... et encore pas toutes !
Il regardait Mamary caresser cette femme qui ouvrait les cuisses devant lui en gémissant. Il en avait mal a la queue tellement il la désirait. Il la voyait embrasser son cousin a pleine bouche puis elle se leva et s'allongea sur la table les cuisses ouvertes devant lui. Il se leva, la positionna sur le bord de la table et posa son membre sur le ventre offert. Lentement elle le caressa le rendant encore plus dur et soupira
- Enfonce la moi... je la veux !
Elle commença à réaliser quand, se tenant toujours le membre il le présenta a sa chatte et lentement commença à ouvrir le fourreau, petit à petit par petites poussées. Le visage crispé, les lèvres entrouvertes sur ses dents et se tenant le manche il appuyait de tout son poids sur elle regardant son gland se faire avaler par la chatte distendue : elle gémissait en secouant la tête les mains crispées sur le bord de la table pour résister a cette masse qui l'envahissait.
Dans un râle il vit son gland disparaître dans la chatte l'enserrant tellement étroitement qu'il comprit qu'il ne tiendrait pas longtemps sous cette pression autour de son pieu et il lui tarda de jouir dans cette femme qui tétanisée sous lui s'ouvrait largement en gémissant. Baissant la tête il cracha sur sa hampe puis la tenant fermement aux hanches poussa en elle en marmonnant dans sa langu.
Chaque centimètre qui s'enfonçait en elle déclenchait comme des décharges électriques, des vagues qui parcouraient son corps. Elle avait déjà essayé un concombre mais la en plus c’était chaud... elle leva les cuisses pour les poser sur les épaules de son partenaire
- Encore... oh oui ! Rentre tout !! Baise moi toute !
Fasciné, Mamary les regardait en oubliant même de se caresser en n'osant traduire ce que murmurait son cousin par pudeur vis a vis de la femme blanche et Traoré tout en la traitant dans sa langue de salope et de pute voyait son membre s'enfoncer de plus en plus dans l’étroit fourreau...
Un dernier coup de reins plus brutal que les autres la faisant pousser un cri, un long râle et tétanisé il se vida sans se retenir au plus profond de la grotte la faisant gémir et râler sous la pression de ces giclées en elle, chaudes et épaisses. Il se voyait enfoncé en elle jusqu'à la garde l'ensemençant sans retenue je cœur cognant dans la poitrine de tant de plaisir
Le souffle court elle le sentit au bout de longues secondes se retirer lentement et aussitôt le sperme couler de son ventre. Elle glissa immédiatement la main entre ses cuisses pour récupérer le divin nectar puis s'en passa sur le visage et les lèvres se léchant les doigts au passage.
Elle se redressa étourdie et murmura «faut essuyer la table, je vais me laver». Puis elle fila dans la salle de bains reprendre une douche de se faire un lavement et d'aller se reposer
Le lendemain matin, en ouvrant les yeux à plat ventre dans le lit, deux choses attirèrent de suite son attention : son mari n'était pas à coté d'elle, ce qui ne la surprenait pas mais une main glissée par derrière entre ses cuisses lui prodiguait une caresse très précise et un doigt tendu faisait des allers et venues dans son intimité.
Elle sursauta en étouffant un cri et se retourna. Nu et a genoux sur le lit conjugal, Traoré la caressait sans se gêner, lentement, en appuyant bien sa main.
- Mais tu es fou ! Arrête ça de suite !
Il lui sourit
- Non non tu es trop belle ! Je veux te faire plaisir encore et autrement
Moins inhibé que la veille son membre était tendu avec son gland turgescent. Elle tenta de se débattre mais il la plaque à plat ventre sur le lit et appela Mamary qui était resté en retrait et qui grimpa sur le lit pour tenir les épaules de Christine.
Il était lui aussi nu en bandé comme un cerf
- Laissez vous faire madame !
Et dans la seconde qui suivit elle senti Traoré commencer à lui caresser les fesses et à les ouvrir malgré sa résistance... Des mains qui la tenaient ouverte et une langue qui dardait contre son œillet et l'explorait en s'y enfonçant la faisant gémir....
Un concombre dans la chatte oui... Dans les fesses c’était autre chose !
Elle se tortillait mais elle était trop bien maintenue. Elle donna de la voix, cria mais Mamary lui tenait la tête dans l'oreille lui disant de se calmer
Elle se cambra en sentant un liquide huileux que Traoré faisait couler entre ses fesses, liquide qu'il étala ensuite sur sa rondelle et s'en servit pour lui enfoncer 1 puis 2 doigts en les tournant en elle pendant quelques longues minutes puis elle l'entendit soupirer
- Voilà ça va être bon comme ça...
- Et tu crois que ?.... commença à murmurer Traoré
- Puisque je te dis que oui !! je te dis que ça va rentrer et qu'elle va aimer !
Elle frémit et trembla des pieds à la tête.... c'était donc ça!
Elle essaya vainement de se tortiller dans tous les sens quand elle sentit le gland chaud, décalotté, certes doux mais très épais, se frotter a ses sphincters . Elle gémit un non plaintif mais Traoré se positionna au dessus d'elle et lentement commença à appuyer tout en parlant à Mamary
-hummmmmm elle est très très serrée mais ça doit rentrer elle le mérite !
Elle sentait le gland forcer ses sphincters, les ouvrir, repousser petit à petit sa rondelle vers l'intérieur. Elle le supplia des sanglots dans la voix lui promettant tout ce qu'il voulait, de l'argent mais il lui souffla a l'oreille
- Ce que je veux ? Tu le sens ! Te donner le bonheur que tu as jamais eu ! Faire avec deux vrais hommes qui s'occupent bien de toi, comme tu le mérites
Dans un long râle elle sentit ses sphincters se relâcher et le gland s'enfoncer en elle.
- Regarde cousin !!! je te dis que ça rentre !!
Versant encore un peu d'huile il continua de pousser lentement la faisant râler sous la brûlure et l'intromission massive en elle. Elle se sentait petit a petit remplie, dilatée jusqu'à la douleur poussant des gémissements entrecoupés de sanglots tant il lui paraissait énorme en elle jusqu'au moment ou elle fut complètement clouée sur le lit, prise jusqu'à la garde du pieu.....
Il se coucha complètement sur elle et lui souffla
- Il faut faire plus pour que tu aimes bien
Et il accompagne ses paroles d'un ample mouvement de va et viens
- Hummmmmm je sens bien que tu aimes les hommes toi ! Les vrais !! Tu es une bonne salope ! Tu aimes la bite !
La faisant râler et se cambrer malgré elle
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii tu es bonne toi !! Attends ! Attends tu vas voir !
La tenant enlacée il pivota sur le dos toujours planté en elle et lui saisit les cuisses pour les replier sur sa poitrine permettant à Mamary de se placer devant et de regarder la queue de son cousin en train de pistonner profondément l'anus dilaté
- VAS Y! METS LUI AUSSI!
Elle cria plus qu'elle ne feula quand il lui enfonça la queue ds la chatte. Elle les sentait tous les deux comme deux énormes pistons de chair brûlante, deux pistons qui alternativement la défonçait dans des bruits humides, cognaient dans le fond lui faisant perdre conscience de ce qui l'entourait a part ces vas et viens, ces frottements en elle, ces vagues qui la submergeaient
Ils se contrôlaient et ce fut elle qui lâcha prise la première jouissant sans retenue avant qu'ils ne crachent en elle la traitant de putain et la remplissant de sperme
Puis ils restèrent de longues minutes avant qu'ils ne se séparent et les yeux pleins de larmes de honte de tant de plaisir elle fila se laver sans dire un mot...
Joies et découvertes du camping à et avec l'étranger
Brève : Camping Espagnol
Je suis marié et j'ai une fille. Avec ma famille, on fait souvent du camping l'été : on aime bien la liberté que ça donne, et ça nous permet de faire des vacances plus longues avec le même budget.
Depuis quelques jours, on était dans un magnifique camping tout au bord d'une plage splendide en Espagne. C'était tout début juillet, il y avait encore très peu de monde.
Ce jour-là après déjeuner, je n’avais pas trop envie de retourner tout de suite sur la plage mais plutôt de faire une sieste pour profiter du calme du camping à cette heure et de la fraîcheur de l'ombre d'un pin parasol.
Ma femme et ma fille qui ne sont pas du genre à roupiller pendant les vacances m'ont donc laissé seul et sont parties à la plage pour l'après-midi comme d'hab.
En réalité, je n'avais pas du tout envie de dormir non plus, mais depuis deux jours s'était installée près de notre tente dans ce coin un peu reculé du camping une caravane de hollandais : un couple avec trois enfants, dont l'aîné avait très largement passé l'âge de ce type de vacances avec ses parents.
C'était un jeune homme d'environ 20 ans. Il avait l'air indifférent aux vacances, et passait presque tout son temps à lire dans un hamac tendu entre deux pins : il semblait étudier ou réviser je ne sais quoi.
Surtout : il se foutait toujours très nonchalamment sur son hamac, torse nu et en caleçon de bain, laissant pendre une jambe couverte d'adorables poils blonds. La plupart ne l'auraient sans doute pas trouvé beau, mais moi, je ne sais pourquoi, avec sa grande chevelure frisée et son visage un peu allongé, je le trouvais étourdissant à un point totalement inouï !
Bien qu'hétéro, je ne cache pas que pour une aventure sans lendemain, ça m'excite bien davantage avec un mec qu'avec une gonzesse. Et donc, ce type, j'avais vraiment envie de me le faire.
Chez les hollandais aussi, tout le monde était parti à la plage, sauf la mère et bien sûr le garçon, toujours vautré sur son hamac. La mère regardait un feuilleton à la télé, car on entendait faiblement les dialogues mal joués et la musique sirupeuse sortir de la caravane dans le silence du camping. De les avoir observés depuis deux jours, j'avais compris que ce feuilleton était pour elle sacré, et qu'il la tenait indéfectiblement bloquée dans la caravane jusqu'à 15h.
Allongé sous l'arbre dans ma fausse sieste, les mains sous la tête appuyée sur une racine, je reluque mon copain sans aucune retenue. Il me jette un coup d'œil puis reprend sa lecture. Je suis super excité : je m'imagine le torse collé à son dos, et ça commence à me faire bander. Il me regarde de nouveau : peut-être remarque-t-il que je bande dans mon short ; en tout cas, il replonge dans son livre avec une espèce de sourire tranquille.
Je laisse encore passé quelques minutes pour savourer l'excitation qui me tétanise, puis, je me lève avec maladresse et approche de lui, de façon sereine malgré mes jambes en coton. Arrivé à côté du hamac, je ne dis rien mais pose doucement la main sur son sein. Il ferme les yeux. Je commence à le caresser avec une lenteur infinie : il ouvre la bouche et je vois que dans son caleçon il se met à bander.
Je m'agenouille et commence à couvrir son torse, son ventre et son cou de petits baisers silencieux. On entend toujours le son étouffé du feuilleton dans la caravane. Par la petite fenêtre, je vois la mère assise de dos, totalement absorbée par sa télé. Je crois que j'aurais pu sauter son fils là, contre la caravane, sans qu'elle ne remarque rien !
Je passe la main sous son cou et par un geste, je l'invite à se lever. Tout en lui caressant le dos, je le mène vers un petit recoin du camping pas loin où le grillage d'enceinte du camp fait un angle. L'endroit est désert car le sol n'y est plus plat : c'est de la dune de sable parsemée de buissons. Dans quelques semaines, les petits recoins sablonneux que ces buissons ménagent seront sans doute squattés par les tentes igloo des jeunes backpackers, mais pour le moment, il n'y a personne.
C'est là, sur le sable, caché par les buissons, que je pose mon drap de bain et que j'invite mon copain à s'allonger. Je me mets à genoux à ses côtés, lui enlève son short de bain bariolé, et continue de le caresser partout, de l'embrasser, et de respirer son odeur dans chacun des plis de son corps.
En caressant son cul magnifique, je ne peux m'empêcher de laisser mon pouce appuyer sur son petit trou. Quand ma main passe ensuite sur ses joues, il ouvre la bouche et m'attrape tendrement le pouce avec ses dents, puis le suce en salivant beaucoup. Je retire ma main et, la reposant sur son cul, j'y fais pénétrer mon pouce mouillé de sa salive.
Il se met alors à soupirer : il est en pur mode « salope ». Il bande à fond : sa queue est de très grande taille, sûrement plus de 20 cm ! Un véritable palmier, totalement obscène ! Je lui la laisse : je préfère de loin une bite de taille moyenne (comme la mienne) !
Passant le bras sous son ventre, je le fais se mettre à 4 pattes, et, ayant sorti de ma poche le préservatif et le tube de gel dont je m'étais bien sûr muni, je me déshabille et me prépare à pénétrer son cul joliment orné de quelques poils blonds frisottés.
J'y enfonce ma bite sans plus du tout me soucier de ses réactions. J'en suis sûr : son cul a déjà accueilli d'autres bites, et sûrement quelques unes bien plus grosses que la mienne. Aussi je le laisse vivre la chose comme il le veut, et je me lâche complètement, ne m'occupant plus que de mon propre plaisir.
Sa nuque me fait chavirer et chaque coup d'œil que j'y jette me met au bord de l'orgasme. Son dos magnifique aussi : parfois je me penche en avant pour y coller mon torse et le sentir tout entier contre moi. J'embrasse alors ses épaules et les petites bouclettes tendres en haut de son cou. Je colle mes cuisses aux siennes, cramponne mes pieds nus sur les siens et chaque coup de queue que je donne m'étourdit de volupté.
Je grogne et je souffle sans complexe, je le bouscule et le serre sans égard. Il est obligé de bander fortement ses muscles pour que nous ne tombions pas : je m'en fous, je ne pense qu'à moi.
Je finis par jouir de façon inouïe : ça dure pendant plusieurs coups de boutoir, et mes éjaculations semblent se succéder sans plus vouloir s'arrêter. Je râle sans retenue, je me bave sur le menton.
Quand je me laisse finalement retomber lourdement sur lui, on s'effondre sur le côté. Je me rends compte qu'il est tout en sueur et en voyant le fil de sperme qui pend de sa queue encore bandée, je vois que lui aussi a abondamment éjaculé sur la serviette.
Le soir même, en revenant des douches après dîner, j'ai voulu repasser par l'endroit. En arrivant, dans la semi-obscurité, j'ai vu qu'il y avait quelqu'un. Je me suis approché discrètement : c'était lui, et il était en train de sauter une gonzesse à l'endroit même où nous avions baisé quelques heures plus tôt, exactement dans la même position que celle dans laquelle je l'avais baisé lui !
En voyant ses pieds s'appuyer sur ceux de la fille, ses tendons d'Achille tendus, poussant pour la pénétrer au plus profond, j'ai été totalement excité et, alors que je croyais ne pas pouvoir baiser encore une fois ce soir, de retour à la tente j'ai sauté ma femme avec avidité.