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Un Dimanche de brèves

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Quand un jeune homme se découvre 
un tempérament un peu particulier.
 
Naissance D'Une Esclave
Auteur ;Erma-fr
J'ai envie de vous raconter ce que j'ai vécu ces derniers mois. J'ai 24 ans et au printemps dernier, j'étais encore un gigolo. A l'époque j'allais souvent au théâtre. J'y allais par goût mais aussi parce que j'y rencontrais souvent des femmes d'un certain âge assez sophistiquées qui aiment s'offrir le luxe d'une nuit avec un homme très jeune. C'est ainsi que j'arrondissais mes fins de mois d'une façon très substantielle.
Mais ce soir là, ma vie a basculé. A l'entracte, comme d'habitude au foyer je laissais traîner mon regard au hasard dans l'espoir de croiser celui de celle qui ferait de moi son amant pour la nuit. Comme souvent, une femme qui paraissait avoir entre quarante et quarante-cinq ans, me fixait.
C'était une brune sophistiquée son visage qui, s'il n'avait plus la fraîcheur de celui d'une fille de vingt ans, montrait par contre une personnalité avec beaucoup de caractère. Je lui ai souri puis tranquillement je me suis assis à sa table.
Nous avons commencé par échanger des banalités sur la pièce, mais son regard démentait son intérêt pour le théâtre. J'ai été un peu surpris lorsque son pied est venu contre ma cheville. En effet d'habitude, c'est plutôt à la sortie que j'avais l'habitude de proposer un dernier verre à ma conquête d'un soir. A la fin de l'entracte elle m'a donné rendez-vous à la sortie.
A la fin du spectacle, je l'ai attendue longtemps. Je crois qu'elle a fait exprès de traîner dans les couloirs. Lorsqu'elle m'a enfin rejoint, elle m'a pris d'autorité par la main et m'a emmené vers sa voiture. C'était une BMW noire aux vitres teintées. De prime abord c'était agréable de se laisser faire comme çà. Au moment de s'asseoir elle a remonté sa jupe ample sur ses cuisses.
- C'est pour ne pas marcher dedans ! Çà n'a pas fait un pli
J''avais une vision privilégiée sur le haut de ses cuisses. Elle était en bas et porte-jarretelles.
- Ne sois pas timide, caresse-moi !
J'ai posé la main sur son genou puis doucement je l'ai caressée. Au bout de deux minutes, d'un mouvement vif, l'air excédé, elle m'a pris par les cheveux, a écarté les cuisses en grand, et m'a écrasé le nez contre son sexe complètement épilé.
- Lèche ! et applique-toi petite salope.
J'ai voulu résister mais elle me tenait bien. Son odeur m'a envahi, j'ai fait ce qu'elle voulait autant par goût que par espoir d'une belle gratification le lendemain. Je me faisais des illusions.
Je l'ai léchée tout le temps qu'a duré le trajet. Comme sa voiture était une automatique elle ne m'a pas lâché. En s'arrêtant elle m'a repoussé violemment.
- Descend et viens m'ouvrir la porte.
Le jeu me plaisait, la soirée ne s'annonçait pas banale. J'ai contourné la voiture et lui ai ouvert. Elle m'a donné les clefs.
- Rentre la et dépêche-toi de me rejoindre.
Il m'a fallut quelques minutes pour trouver la télécommande du garage puis, la voiture dans le garage je suis allé la rejoindre. Je l'ai trouvée en sous-vêtements noirs, étendue dans le canapé.
- Déshabille-toi, et sers-moi un cognac.
Il faut que je vous dise, je ne suis pas très poilu, un léger duvet au menton, mais rien sur le torse et les jambes. pendant que je me déshabillais, elle me regardait avec un sourire ironique et lorsque je j'ai été nu
- Pas très viril tout çà, mais pour ce que j'ai en tête c'est plutôt bien.
Je l'ai regardée étonné. J'étais perplexe. J'avais l'impression de perdre pied. Cette femme était attirante mais semblait dangereuse. J'étais perdu dans mes pensées, je n'ai pas entendu ce qu'elle disait.
Elle s'est levée, est venue vers moi, elle m'a enlacé, m'a embrassé. J'ai repris mes esprits et j'ai répondu à son baiser. Nos langues se cherchaient, se trouvaient se perdaient. Ses mains courraient sur mon corps, les miennes malaxaient ses seins qu'elle avait arrogants. Elle a caressé mes fesses puis mes cuisses.
Elle est passée derrière moi et tout en m'embrassant dans le cou, au creux de l'épaule, elle a joué avec mon sexe. Mes testicules, mon pénis qui commençait à durcir. C'est alors qu'elle a refermé la main brutalement emprisonnant le tout.
- Petit con. Tu pensais vraiment pouvoir me séduire ? Me prends-tu pour une de ces vieilles peaux ?
Elle a fouillé dans un tiroir et en a sorti quelque chose qui cliquetait.
- Les mains dans le dos ou je t'arrache les couilles et elle a serré à me faire très mal.
J'ai immédiatement obéi. Elle m'a immobilisé avec des menottes, puis me lâchant, elle m'a fait pivoter et m'a giflé à la volée. D'un coup de genou entre les cuisses, elle m'a fait tomber à genoux et, comme dans la voiture m'a obligé à la lécher en me prenant par les cheveux. Pendant que je la léchais elle m'a expliqué :
- Tu vas devenir la plus belle chienne que l'on puisse imaginer. Les mecs comme toi ne manquent à personne ce n'est pas demain qu'on va se mettre à ta
recherche (elle avait raison sur toute la ligne). Je vais faire de toi un beau travelo soumis. Esclave de gré ou de force. Je vais te modeler à coup de cravache, d'hormones, de fringues et de liens. Bientôt tu ne sauras plus dire si tu es un homme ou une femme, si tu as envie de caresses ou de coups.
Elle m'a repoussé, j'ai basculé elle m'a immobilisé les chevilles et m'a bâillonné. Puis elle est partie et m'a laissé au milieu du salon toute la nuit.
Louise est médecin, le lendemain elle est arrivée avec une seringue.
- Des hormones, je vais te faire une poitrine de grosse salope, lourde et pendante.
Je me suis tortillé pour essayer de lui échapper mais elle s'est assise sur moi et a fini par piquer. Puis elle m'a détaché les chevilles et m'a conduit dans une chambre où elle m'a attaché par la cheville au pied du lit. Elle a cadenassé le bâillon puis m'a détaché les mains. lorsque 'jai voulu me jeter sur elle, elle a fait un pas en arrière et m'a regardé trébucher. La chaîne était vraiment très courte. Puis elle a brandi une cravache et m'en a asséné une dizaine de coups.
- Tu as intérêt à devenir docile. Dans trois semaine tu seras une belle petite chienne lubrique mais d'ici là tiens-toi à carreau.
Elle est partie et n'est revenue que le soir pour me déposer une gamelle de viande hachée et de riz. Elle défaisait alors le bâillon après m'avoir attaché les mains dans le dos. Je devais alors manger le nez dans la gamelle, comme un chien.
Pendant trois semaines ce sont les seuls rapports que nous ayons eus. Au début je me révoltais, j'essayais de l'attraper. Çà m'a valu pas mal de coups. Mais peu à peu alors que mes seins gonflaient, je perdais mon assurance, ma violence. Je me masturbais de plus en plus souvent. J'avais besoin de plaisir. Quand elle me corrigeait, une fois qu'elle avait cassé ma résistance, elle se masturbait parfois face à moi ou jouait avec mes testicules.
Au bout des trois semaines, il lui arrivait de me retirer le bâillon, je ne pensais même plus à crier.
- Tu deviens très bien. Tiens mets ces bas et ces escarpins.
Petit à petit elle me féminisait. Comme je n'avais pas de miroir je ne pouvais pas me faire une idée de mon image mais peu à peu je m'habituais à ces vêtements. Elle jouait avec moi comme les gamines jouent avec leur poupée "Barbie". Cuir, latex, vinyle toutes ces matières me devenaient familières. Les liens, les attaches aussi.
Ma poitrine avait d'abord pris l'apparence de celle d'une jeune fille à peine pubère, puis s'était affirmée fermement. Elle est devenue très sensible, aux caresses et aux coups. Depuis, comme le traitement hormonal a continué j'ai une poitrine énorme qui pend et s'étale. Ma maîtresse me traite de grosse vache.
Un soir elle m'a détaché. Ma première idée a été de m'enfuir. Mais toujours à demi-nu, et cette poitrine qu'est ce que j'aurais bien pu devenir. Ici Louise s'occupait de moi. Et comment dire, j'avais pris goût à cette vie.
Le lendemain comme une esclave docile, je lui portais son petit-déjeuner au lit. Je la réveillais d'un baiser et d'une main passée sous les draps je lui caressais l'intérieur des cuisses.
- Nous y voilà, dit-elle en s'étirant. Recule un peu que je te voie.
J'avais mis un body en latex qui laissait mes seins nus, un short en vinyle et des bottes assorties ainsi qu'une paire de gants en latex. Au cou un collier de chien et une paire de menottes pendait à ma ceinture. - Très bien, avance.
Je m'approchai d'elle et elle me gifla.
- Tu n'es pas maquillée.
- Je ne sais pas le faire, dis-je.
- Je ne veux pas te voir comme çà, allez sous les draps et lèche-moi comme la chienne que tu es devenue "Clivia".
Depuis elle ne m'appelle plus que comme çà. Je l'ai léchée jusqu'à ce qu'elle ait fini de manger. J'étouffais sous les draps, mais retrouver le goût de sa liqueur était un tel plaisir que j'y suis resté sans broncher. Ce matin là elle m'a appris à me maquiller comme une pute et m'a imposé le port des menottes en permanence.
Cela fait maintenant quelques mois que je suis sa chienne. Je pense à moi au féminin malgré mon sexe que le traitement n'a pas altéré. Il lui arrive souvent de m'attacher en croix sur le dos et de me chevaucher.
- Les attributs du mâle et la mentalité d'une fille soumise, dit-elle à ses amies qu'elle invite parfois.
Au début elle m'exposait attachée (oui je parle de moi au féminin) puis voyant ma docilité elle m'a libérée pour que je puisse faire le service. Mais attachée ou pas je suis en permanence à la disposition de tout qui me rencontre.
C'est souvent alors que je suis baissée qu'un doigt s'introduit entre mes fesses et fouille mon anus. Les ongles longs sont parfois douloureux mais l'humiliation me met dans un tel état que ma Maîtresse m'impose quand ses amies viennent un harnais en cuir autour du sexe pour ne plus me voir en érection sans son autorisation.
Je vis en permanence perchée sur des talons-hauts qui cambrent mes reins et offrent mon cul aux regards. Toujours trop maquillée et je fais tout les menottes aux poignets. Enfin, il y a vingt centimètres de chaîne entre les bracelets. Les clefs me sont accessibles mais sous scellés. Je peux me libérer en cas de besoin. Mais si Louise voyait les scellés défaits sans une bonne raison, elle me virerait.
Je suis amoureuse d'elle je crois et je fais tout ce que je peux pour lui plaire. Pour mon anniversaire elle m'a proposé d'aller au cinéma. Nous sommes passées devant un sex-shop et je lui ai suggéré d'acheter un plug. Elle a souri m'a embrassée et nous sommes entrées.
Nous avons acheté le plug, et Louise a ouvert mon trois-quarts en vinyle devant le vendeur pour m'enfiler le plug. Comme je ne portais que mes bas et mon body seins nus quand je me suis penchée j'avais l'air d'une grosse vache. L'humiliation ma faite rougir mais dès que le plug a commencé à me déchirer l'anus je n'ai plus pensé à rien d'autre.
J'ai passé une des plus belles soirées de ma vie cette nuit là.
Depuis elle m'emmène souvent en ville et m'abandonne à moitié nue dans la BMW. Avec les vitres teintées il faut vraiment se coller le nez sur la vitre pour me voir. L'odeur de cuir des fauteuils m'excite et Louise me retrouve souvent avec un doigt dans l'anus quand elle ne m'a pas totalement immobilisée.
Parfois en fin de soirée, elle me dépose au bois de Boulogne là où se trouvent tous les voyeurs. Lorsqu'elle arrête la voiture, je dois allumer le plafonnier et ouvrir mon manteau. A moitié nue, enchaînée, je dois me masturber. Elle en profite pour m'injurier. Les mots qu'elle emploie sont orduriers et vulgaires. Dans des moments comme ceux-là, la honte m'envahit de nouveau et ma jouissance est encore plus grande.


Quand un jeune homme se découvre 
un tempérament un peu particulier.
Avec l'âge, cela devient un besoin....

Soumission à l'hôtel
Je suis un homme soumis d'une quarantaine d'années et je vais vous conter la dernière aventure que j'ai vécue avec un Maître rencontré sur minitel. Suite à plusieurs dialogues le Maître m'avait donné rendez vous dans un hôtel de la région. Comme il me l'avait demandé je l'attendais à genoux dans la chambre simplement vêtu de bas noir, d'un porte jarretelles en latex et d'un slip féminin.
J'avais laissé la porte de la chambre légèrement entrouverte pour qu'il puisse rentrer sans que je quitte ma position. Après environ quinze minutes d'attente (angoissante car j'avais peur que quelqu'un entre dans la chambre et me découvre), j'entendis des pas dans le couloir, puis la porte s'entrouvrit et je sentis la présence du Maître derrière moi.
Le maître me fit patienter quelques minutes encore à genoux, je le devinais qui se préparait derrière moi. Enfin il me parla, me traita de salope et me demanda de me lever, ce que je fis immédiatement.
D'une main il tata mes fesses, me prit les testicules en main à travers mon slip, les serra un peu juste pour que je me crispe d'appréhension. Il me lâcha et me demanda de me retourner, je le voyais pour la première fois. C'était un homme d'une cinquantaine d'années, il portait un slip et un body en latex noir.
Il me plaça un collier de chaînes autour du cou et y attacha une laisse avec un mousqueton. A son ordre je me mis à quatre pattes et commençais à déambuler dans la chambre comme un chien pendant qu'il me tenait en laisse. Son autre main tenait une cravache de jockey et il me frappait les fesses, sans appuyer, à chaque ordre qu'il me donnait
- Avance, tourne à gauche, stoppe, recule!
Il me promena ainsi pendant environ dix minutes, il me força à sortir de la chambre et à avancer jusqu'au bout du couloir (heureusement on ne croisa personne) ; je commençais à avoir mal aux genoux et les coups de cravache bien que peu appuyés avaient bien rougi mes fesses.
Après cette promenade le Maître m'ordonna de retirer mon slip et de m'installer à plat ventre sur ses cuisses, lui même s'étant assis dans le fauteuil de la chambre. Une fois installé le Maître m'attacha les mains dans le dos, dans cette position je ne pouvais me dérober. Le Maître commença à me fesser en alternant coups appuyés et simple caresse. J'étais très crispé, attendant avec angoisse chaque nouveau coup, me détendant sous la caresse et me tendant comme un arc sous une claque retentissante. Mes fesses étaient d'un beau rouge cramoisi. Tout en me fessant le Maître me parlait doucement, me traitant parfois de " pute désobéissante ". Au bout d'un moment qui me parut très long, tandis que je gigotais de plus en plus, le maître ralentit ses coups et attrapa mon sexe de sa main libre. Ses coups se faisaient caresses et il me masturbait doucement, c'était bon après la fessée. Assez rapidement je me mis à bander correctement mes gémissements étaient désormais de plaisir. Hélas les caresses cessèrent et le Maître m'ordonna de me lever, ce que je fis immédiatement avec difficultés à cause des mains attachées dans le dos.
A la demande du Maître je me mis à genoux entre ses jambes, il était toujours assis dans le fauteuil. A son ordre je me penchais pour retirer son slip avec les lèvres. Opération délicate lorsque l'on a les mains dans le dos, le nez dans les poils pubiens du Maître je réussis petit à petit à descendre le slip du Maître. Une fois le sexe bien dégagé, il mit un préservatif et m'ordonna de le prendre en bouche et de le sucer. Je m'exécutais, le Maître avait un sexe court et épais avec un gros gland bien décalotté. Il sentait bon avec une légère pointe de transpiration, je me penchais davantage et gobais ce sexe qui m'excitait. Je m'appliquais pour le sucer le mieux possible, dans ma position ce n'était pas facile mais ce ne devait pas être si mal car il bandait très fort. Le maître me plaqua le visage contre son pubis pour que j'engloutisse tout son sexe dans ma bouche, j'avais les lèvres au niveau de ses testicules et je sentais son gland tout au fond de ma gorge, je n'arrivais plus à respirer mais le Maître me ramena la tête en arrière pour que je reprenne ma respiration puis il me replongea le sexe tout au fond de la bouche. Le Maître se servit alors de ma bouche comme d'un sexe, y plongeant totalement sa bite, la ressortant et la replongeant alternativement de plus en plus vite. C'était excitant mais j'avais de plus en plus de mal à respirer, j'avais les larmes aux yeux. Enfin il stoppa et me repoussa la tête.
- C'était pas mal. Me dit il Maintenant je vais te travailler l'anus.
Il me détacha les mains et m'ordonna de me mettre à quatre pattes sur le lit. J'obéis et je sentis les mains du Maître qui me caressaient les fesses. Il écarta les deux globes et m'introduisis un puis deux doigts dans l'anus. Je tressaillis légèrement car je ne suis pas habituer aux pénétrations anales et j'ai l'anus assez serré. Il va falloir dilater ce cul me dit il et j'aime ça. J'étais assez inquiet, qu'allait il faire, comment allait il procéder '
- Le meilleur moyen c'est le lavement ! Dit il en ricanant. Reste dans cette position et ne bouge pas.
Je l'entendis faire couler de l'eau dans la salle de bain, il revint avec une poire à lavement remplie d'eau. Le maître m'introduisit la canule dans l'anus et commença à presser la poire pour éjecter l'eau. Je sentis un liquide tiède se déverser dans mon intestin, rapidement la poire fut vide et le Maître la remplit de nouveau avant de la vider dans mon cul. Il remplit une troisième fois la poire, je commençais à avoir le ventre gonflé, sans tenir compte de mes soupirs il me vida une troisième fois la poire dans l'anus.
- Serres les fesses dit il je vais te mettre un bouchon.
Le Maître frotta délicatement mon anus avec de la crème puis il entreprit d'y faire pénétrer une sorte de plug assez épais. Je grimaçais de douleur mais le Maître, imperturbable à mes gémissements, me vissait petit à petit le plug dans l'anus. Je détendis un peu les fesses pour faciliter la pénétration, aussitôt un peu d'eau s'échappa de mon cul. Le Maître fut légèrement éclaboussé et me promit une punition pour cela. Pour le moment il était occupé à faire pénétrer les derniers centimètres du plug. Une fois fait il me demanda de m'allonger sur le dos, bras et jambes écartés.
Le Maître prit une longue corde et commença à m'attacher. Il prit soin de bien bloquer le plug dans mes fesses avec la corde qu'il tendit au maximum pour. Il passa la corde autour de mes épaules avant de l'attacher sur un pied du lit. Avec une autre corde il me maintint les jambes écartées légèrement soulevées car il avait attaché la corde sur le lit du dessus. Une troisième corde me maintenait les bras écartés. Je ne pouvais plus bouger et je ressentais de plus en plus le liquide qui me travaillait le ventre. Le Maître passa une autre corde sous mon dos et la serra sur mon ventre pour bien comprimer l'eau à l'intérieur. Après ça le Maître alla chercher le slip que j'avais retiré tout à l'heure et me bâillonna avec.
Pendant que le liquide fait son effet on va s'amuser un peu me dit le Maître. Pour commencer il alluma une bougie et me versa de la cire liquide, d'abord sur la poitrine, je me tendais à chaque goutte qui tombait ce qui me faisait ressentir encore plus le liquide dans le ventre. C'est ensuite sur le pubis puis sur le sexe et les testicules que les gouttes de cire tombaient, je me tordais de plus en plus dans mes liens, tant pour la sensation de brûlure que pour le lavement que j'avais de plus en plus de mal à supporter.
- Une petite pince ou deux sur les couilles voilà ce qu'il lui faut maintenant à cette larve...
...et joignant le geste à la parole le Maître me mit quelques pinces sur la peau des couilles, c'était douloureux mais heureusement les pinces ne serraient pas trop fort.
Je ne pouvais crier à cause du bâillon mais je n'en pouvais plus, je me trémoussais dans mes liens, je transpirais. Le maître souriait, il savait que le lavement me travaillait profondément. Il me laissa ainsi encore quelques minutes, heureusement que le bouchon d'anus était bien ajusté, puis il retira les pinces sur mes testicules, moment toujours douloureux.
- Je vais te détacher maintenant. Me dit il, dès que j'aurais enlevé les liens va te soulager.
Dès que j'eus les mains libérées je retins le plug pour éviter " tout accident ". Une fois aux WC je retirais le plug et aussitôt je me vidais dans la cuvette en expulsant toute l'eau que j'avais dans le ventre. Quel soulagement ! Je prenais soin de bien expulser toute l'eau puis je me lavais rapidement l'anus avant de rejoindre le Maître qui m'attendait.
A quatre pattes sur le lit ordonna t'il, aussitôt installé, il m'écarta les jambes, tira mes bras en arrière et m'attacha chaque main à une cheville, ainsi ficelé je reposais sur les genoux, la tête dans le lit et les fesses superbement exposées. Le Maître m'inspecta le cul.
- Du bon travail dit il, tu as le cul bien dilaté.
Et pour que je comprenne bien il me pénétra de trois doigts sans que cela ne me cause aucune douleur.
- Tu vois tu as un superbe trou du cul maintenant.
Il se saisit d'un gode de taille moyenne et sans mal me l'introduisit dans le cul. Il commença une série de va-et-vient qui me soutirèrent quelques gémissements (de plaisir). Me laissant le gode dans le cul le Maître se masturba un petit peu pour parfaire son érection, il enfila un préservatif et se positionna contre mes fesses, je savais ce qui m'attendait. Il retira le gode et je sentis son gland contre mon anus, alors d'un mouvement lent mais continu il me pénétra jusqu'aux couilles. Malgré la préparation j'eus un peu mal car il avait vraiment un sexe épais. Dès qu'il m'eut complètement pénétré il m'agrippa les fesses avec ses mains et commença à m'enculer avec entrain. Ses mouvements étaient tantôt lents tantôt rapides, j'avais l'impression d'être complètement pénétré, le plaisir se mêlait à la douleur. Il me traitait de petite pute, me claquait régulièrement les fesses qui rougissaient. Le plaisir prit rapidement le dessus et tout en ravalant ma honte d'être ainsi enculé je prenais mon plaisir, je ne sais pas si je bandais mais je ressentais une envie de jouir de plus en plus forte.
A plusieurs reprises le Maître sortit complètement son sexe pour mieux m'enculer jusqu'à la garde d'un seul coup de rein. Je l'entendais souffler et gémir dans mon dos, j'avais le visage dans le drap du lit que je mordais d'excitation. Les mouvements se firent plus lents et après une dernière pénétration le maître se retira. Je l'entendais reprendre sa respiration.
- Tu as le cul si ouvert que je pourrais y mettre ma main me dit il en me donnant une bonne claque sur les fesses.
Le Maître défit les liens qui me liaient les mains aux pieds et m'ordonna de m'allonger sur le lit les bras le long du corps. Avec les différentes cordes il me ligota comme un saucisson, je ne pouvais plus bouger. Le Maître vint alors s'accroupir au dessus de mon visage. Tu vas me lécher le cul ordonna t'il et il s'accroupit davantage jusqu'à ce que son anus se pose sur ma bouche. Je sortis la langue et obéis, ma langue pénétrait légèrement dans son anus et mes lèvres lui suçaient le cul et l'anus. J'étais totalement soumis, honteux et excité. Le Maître appuya davantage ses fesses sur ma figure et les frotta sur mon visage, j'avais tantôt les lèvres tantôt le nez dans son cul. Je ne pouvais réagir étant totalement immobilisé. Je sentais également les couilles du Maître qui me caressaient les lèvres. Le Maître était très excité, je l'entendais gémir et je voyais son sexe bandé au maximum. Enfin le Maître se leva, il me bâillonna avec mon slip puis me mit un bandeau sur les yeux. Déjà dans l'impossibilité de bouger, je ne pouvais plus parler ni voir, totalement à sa merci.
Je sentis le Maître s'installer sur ma poitrine. Je le sentais vibrer sur moi, il doit être en train de se masturber pensais je. La réponse ne tarda pas car le Maître me dit qu'il était en train de se branler et qu'il allait m'asperger de son sperme. Je l'entendais ahaner et gémir, je ressentais les tressautements de son corps sur le mien. Il gémissait de plus en plus, soudain j'eus l'impression qu'il se penchait au dessus de moi, et presque aussitôt je sentis un jet de sperme s'écraser sur ma bouche, mon nez et mes yeux, le deuxième jet m'atterrit sur la bouche et la joue, il secoua ensuite son sexe car je sentis de nombreuses gouttes tomber un peu partout sur mon visage. Après ça le Maître essuya son sexe sur moi, étalant le sperme sur mon bâillon et sur mon nez, puis il se leva en m'abandonnant ligoté sur le lit, le visage couvert de sperme. J'entendis l'eau couler dans la salle de bain, le maître se lavait. Il prit son temps, me laissant sur le lit pendant au moins un quart d'heure. J'avais une forte odeur de sperme dans le nez, mon bâillon se détrempait de plus en plus.
Enfin le Maître revint, m'ôta le bâillon et s'accroupit de nouveau au dessus de moi. Je t'avais promis une punition pour m'avoir mouillé tout à l'heure me dit il, et bien c'est l'heure maintenant. Ouvres la bouche ordonna t'il. J'obéis et j'attendais toujours ligoté, les yeux masqués et la bouche ouverte. Je sentis son sexe me frôler les lèvres puis d'un coup un liquide commença à couler sur ma langue, le Maître m'urinait dans la bouche. Ce fut tout d'abord un petit jet que je dus avaler sous la menace du Maître, suivi de trois ou quatre jets que je dus également avalés, je hoquetais et un peu de liquide coula sur mon visage ce qui me valut une gifle du Maître ainsi qu'une rasade supplémentaire que je bus sans rechigner.
Après cette punition le Maître me détacha, enleva le bandeau sur les yeux et m'ordonna de m'allonger sur le lit les jambes en l'air. J'avais un goût d'urine dans la bouche et une odeur de sperme dans le nez. Il ramena mes jambes en arrière et me cambra de manière à ce ma tête se trouve directement sous mon sexe. Il mit des gants en latex et commença à me masturber. La position n'était pas très confortable mais en repliant un peu le jambes je réussis à améliorer quelque peu mon confort. Le Maître continuait à me masturber, l'excitation venant je bandais. Je commençais à gémir, le Maître me demanda d'ouvrir la bouche. Tu avaleras tout ton sperme me dit il en poursuivant sa masturbation de plus en plus vite. Le Maître m'introduisit un doigt dans l'anus ce qui fit monter ma jouissance presque immédiatement. Le plaisir fut très violent, tous muscles contractés j'ai joui. Le sexe bien guidé par la Maître, toute ma jouissance me coula dans la bouche.
- Garde la bouche ouverte. Ordonna la Maître. Tu la fermeras quand je te le dirai.
Le Maître lâcha mon sexe et retira son doigt de mon cul. Il me permit d'abaisser les jambes, j'étais allongé sur le lit, la bouche ouverte pleine de sperme.
- Avale tout ordonna t'il.
A ma grande confusion c'est ce que je fis, j'avalai tout mon sperme.
J'ai ensuite dû rester allongé sans bouger tout le temps que le Maître a pris pour se préparer et sortir de la chambre. Ce n'est qu 'une fois le Maître parti que je me suis levé et que j'ai enfin pu m'essuyer la figure et me rincer la bouche.








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