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Histoire du net. Auteur inconnu: En formation

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Quand une jeune fille qui a besoin de travailler,
trouve de ... Bons patrons...
qui la prennent sous leurs.....


L'éducation d’une salope.
Je m’appelle Victoria, et voici mon histoire.
J’étais une jeune fille un peu naïve qui ne connaissait pas grand-chose sur les affaires du sexe. J’avais eu quelques flirts et même un amant qui avait perdu son pucelage en même temps que moi. Nous ne sommes pas restés très longtemps ensemble et je n’ai pas gardé un souvenir impérissable de cette première expérience sexuelle.
Puis j’ai quitté ma province pour la capitale afin d’y poursuivre mes études supérieures. Comme mes parents n’étaient pas très aisés, je devais absolument trouver un job qui me permette des payer mes études et mon logement. Je ne suis inscrite dans une association qui «plaçait» les étudiants.
J’ai atterrie dans une famille qui contre quelques heures de ménage laissait à ma disposition une chambre, plutôt agréable, par ailleurs avec une salle de bain particulière. Il s’agissait de la chambre de leur fils qui faisait ses études à l’étranger. Ce studio était au rez-de-chaussée de la villa et avait une entrée individuelle. Une porte de communication permettait l’accès dans leur appartement (sur deux niveaux)
Ce couple était un peu plus jeune que mes parents. Lui était avocat et elle juge d’instruction et comme je faisais des études de droit, «ça tombait bien», m’avaient-ils dit.
Mon travail n’était pas trop pénible. Sophie et Bertrand n’étaient pas souvent chez eux, car en dehors de leur étude, ils donnaient aussi des cours à la fac. La seule vraie contrainte était le repas mensuel au cours duquel ils recevaient leurs relations.
Ce jour là, ils tenaient à ce que je serve à table et ma tenue devait être parfaite. Sophie m’avait acheté une jupe noire très stricte, un chemisier blanc, un petit tablier en dentelle blanche et une paire d’escarpins noir aussi. Moi qui ne portais que des jeans, j’avais l’impression d’être déguiser.
Mais Sophie et Bertrand étaient intransigeants sur ce point. Ils étaient issue tous les deux d’une famille de la grande bourgeoisie et ce genre de détail avait pour eux une grande importance. Le reste du temps ils se fichaient complètement de la manière dont j’étais vêtue. Si dans la vie courante je les appelais par leur prénom, ces jours là je devais leur donner du Maître et du Madame.
Cela faisait maintenant deux mois que j’étais chez eux et je m’y sentais bien. Bien qu’un peu réservée au début, leur gentillesse avait eu raison de ma timidité. Je n’irai pas jusqu’à dire que je me sentais chez moi, mais j’étais bien. Leur villa se situait au milieu d’un grand parc dans le fond duquel ils avaient fait construire une piscine couverte, un sauna et une chambre de repos. Comme ils partaient quasiment toujours en week-end dans leur maison de campagne, Sophie et Bertrand m’avaient autorisé à l’utiliser durant leur absence. Ils rentraient en général vers 19 heures et s’occupaient eux même du repas du soir, la cuisinière n’étant à la maison qu’en semaine.
Je passais donc tous mes week-ends dans la dépendante au fond du parc. J’avais l’impression d’être aussi un peu en vacances. Souvent après le sauna, j’allais me baigner nue dans la piscine. J’aimais le contact de l’eau sur ma peau, et comme à cette époque je n’avais pas de petit copain, je me donnais du plaisir toute seule sur un transat au bord de la piscine.
Ce jour là c’était mon anniversaire. Le matin j’avais été chez le traiteur où mes «patrons» se servaient pour m’acheter un demi-homard mayonnaise, un soufflet au foie gras et une bouteille de champagne. Puis chez le pâtissier, je m’étais offert un gâteau au chocolat. Vers midi, mes parents m’avaient appelé pour me souhaiter un bon anniversaire. Après avoir parlé un moment avec eux, je me suis préparée un plateau avec mon repas fin et je me suis installée au bord de la piscine. J’ai dégusté mon homard, mon foie gras et enfin mon gâteau au chocolat, le tout bien arrosé de champagne.
- A toi, Victoria, à tes 21 ans.
Dans l’après midi, après une petite sieste, je me suis réveillée avec le cafard. La journée était pourtant belle, il faisait encore beau pour la fin du mois d’octobre, et même presque chaud. Je me suis déshabillée et j’ai plongé dans l’eau pour me changer les idées. Mais même après plusieurs longueurs, mon moral était toujours aussi bas.
Alors j’ai décidé de me donner un peu de bon temps, comme je le faisais souvent quand je suis seule. Je fermais les yeux et lassais mes mains parcourir mon corps, pinçant un peu mes seins pour en faire durcir les tétons, glissant sur mon ventre pour enfin parvenir à mon bouton d’amour que je me mis à caresser avec ardeur.
Je prenais tout mon temps, mes doigts s’égaraient parfois dans ma caverne mystérieuse et reprenais ensuite leur danse folle sur mon clitoris. Je voulais faire durer le plaisir, ne pas jouir tout de suite, aussi sans ouvrir les yeux, mes doigts remontaient parfois jusqu’à ma bouche et je les suçais. J’aimais et j’aime toujours le goût de mon suc intime.
A ce rythme là, je ne parvins à l’orgasme qu’au bout de vingt minutes environ. Mais je n’étais pas pressée, personne ne m’attendait. Sophie et Bertrand ne seraient pas là avant deux heures.
- Humm, c’est bon. Tu sais que tu es une petite cochonne ? Tu aimes ça te masturber hein ? Bien sur tu préfèrerais un homme mais faute de mieux … ! Allez ma fille fais toi du bien… hummm
C’est alors que je sentis une bouche s’emparait de mon sein pendant qu’une main prenait possession de l’autre. J’ouvris grand les yeux et je vis penchée sur moi, Sophie qui ne titillait la poitrine… Je n’avais entendu personne rentrer. J’allais hurler, quand une troisième main se plaqua sur ma bouche et j’entendis la voix de Bertrand :
- Ne crie pas ! de toute façon, personne ne peut t’entendre. Tu voulais un homme et bien tu vas être exaucée et en prime tu auras aussi une femme. Tu as déjà fait l’amour avec une femme ? Peut-être que tu ne l’as pas fait non plus avec un homme ! Mais vu la manière dont tu te tripotes, je sens que tu vas aimer ça ! Pas vrai chérie ?
- En effet, cette jeune Victoria m’a l’air d’une sacrée salope, dit Sophie en lâchant mon sein un instant.
- Comme tu y vas… elle me semble un peu cochonne, mais salope, là tu ne peux vraiment pas dire ça.
- Je te dis qu’elle à un potentiel de salope et crois moi, je m’y connais, tu devrais me faire confiance. Rappelle-toi Katy, il y a deux ans, quand elle est arrivée ici et Claudie, Fiona et Lila avant elle. Au début elles jouaient les saintes nitouches et après trois ou quatre séances, elles se sont révélées être de vraies chiennes. D’ailleurs nos amis en ont été très contents et pourtant ils sont exigeants sur la qualité de la marchandise.
Bertrand avait toujours sa main sur ma bouche et de l’autre il me maintenait fermement aidé en cela par Sophie qui avait abandonné ses caresses pour parler «marchandise» avec son mari. J’essayais de me débattre, mais à deux contre une, j’avais perdu d’avance, d’autant que les caresses de Sophie venant juste après les miennes m’avait enlevé de ma vigueur, elle reprit :
- Bien sûr, il va falloir l’éduquer un peu, on ne va pas pouvoir la lâcher toute neuve dans un de nos diner mensuel. Mais il faudra être rapide car nos amis commencent à s’impatienter. Cela fait deux mois que nous ne leur avons rien mis sous la dent. Bien sûr durant nos vacances dans le Sud, ils ont pu profiter de Katy, qui a bien voulu rester avec nous malgré l’obtention de ses diplômes.
Elle avait pris goût à nos petites perversions et puis, grâce aux relations qu’elle s’est faite chez nous en deux ans, elle a pu ouvrir son étude de notaire à Aix en Provence. Elle est la quatrième fille à qui on a mis le pied à l’étrier. Elles ont toutes étaient parfaites à tous points de vue, autant durant leur séjour chez nous qu’une fois qu’elles ont été installées dans la vie.
- C’est vrai on a eu de la chance, Maitre de Chazot me le disait encore hier :
«Vos soubrettes sont impeccables, toujours disponibles, prêtes à satisfaire le moindre de nos désirs. Quel est votre secret ?
- Nous savons les choisir, enfin surtout Sophie. Elle les repère du premier coup d’œil. Et puis vient l’éducation, on ne met pas sur le marché une petite qui ne serait pas prête. Sophie et moi y tenons. Il faut parfois plusieurs semaines avant qu’elles ne se montrent dociles. C’est tout un art, cher Maitre.»
- Voilà un sacré cochon ce de Chazot. Fiona avait un faible pour lui. Faut dire qu’il a une bite remarquable, quel engin ! Quand tu te prends ça entre les cuisses, tu passes un sacrément bon moment.
- Toi aussi tu l’aimes bien la queue de Maitre de Chazot ! Je l’ai bien vu la dernière fois chez lui. Il est venu t’enculer pendant que tu suçais sa femme, tu avais l’air d’apprécier.
Je n’en croyais pas mes oreilles. J’étais choquée d’entendre ce que j’entendais et en même temps une chaleur envahissait tout mon corps. J’étais tellement abasourdie que mon corps s’était décontracté et que je ne songeais même plus à me débattre ni même à crier. D’ailleurs comme l’avait si bien dit Gilles personne ne m’aurait entendu. Sophie a du le sentir, car elle a relâché son étreinte et à commencer à me fouiller l’entre jambe.
- Qu’est-ce que je t’avais dit ! nos histoires ont émoustillé cette petite pute, elle mouille comme une chienne en chaleur. Touche !
- Tu as raison ! Alors sale petite vicieuse ! ça t’excite les histoires de cul ! tu as envie de goûter à ma bite ou tu préfères le con de Madame la Juge ?
- Présente-lui plutôt ton gourdin, moi je vais m’occuper de son délicieux minou. Elle est déjà partiellement épilée, je vais pouvoir la sucer à mon gré. Puis s’adressant à moi : demain je prendrai rendez-vous pour toi avec l’esthéticienne pour une épilation intégrale, elle sait ce qu’on aime, elle fera ça parfaitement. Allez, petite Victoria, maintenant tu vas être sage et tu vas bien sucer la queue du plus grand avocat du barreau, c’est drôle ça, le barreau ! tu vas voir le sien va te remplir la bouche.
Comme je n’ouvrais pas la bouche :
- Allons, ne fait pas ta mijaurée, tu réclamais un homme tout à l’heure, et bien maintenant tu l’as. Ouvre la bouche et suce avant que je ne me mette en colère.
- Ne la brusque pas, elle va y venir. En général les femmes aiment bien ma bite, il n’y a pas de raison que celle-ci soit différente des autres. Mais peut-être qu’elle ne l’a jamais fait ! Tu as déjà sucé un homme ?
- Non !
- Tu vois Sophie, c’est une vraie novice ! On va pouvoir l'éduquer correctement. Elle est pure !
- Tu ne vas pas nous faire croire que tu es vierge ?
- Non, j’ai déjà eu un copain il y a un an et demi, mais nous n’avons jamais fait ça.
- Montre lui comment on doit s’y prendre.
Sophie ne mit à genoux devant son mari et après qu’elle lui ait enlevé son pantalon et son caleçon, elle commença par lui léchait la hampe comme pour un bâton de glace. Quand la queue de Gilles fut bien raide, Sophie se l’enfourna dans la bouche et fit des mouvements d’avant en arrière, simulant la pénétration.
-A toi maintenant.
J’allais me mettre à genoux à mon tour.
- Non, reste allongée Gilles se débrouillera pour te fourrer son «barreau» dans ta bouche de petite garce. Pour moi se sera plus facile de te sucer si tu restes sur le transat.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouvais avec la bite de mon patron dans la bouche pendant que ma patronne ne titillait le bouton, fourrait sa langue dans ma caverne. Je n’avais jamais rien ressenti de pareil. J’étais partagée entre la honte et le plaisir. J’étais sur le point de jouir, mais la honte retenait mon orgasme.
- Laisse-toi aller, Vicky. Ne pense plus à rien. On ne veut que ton bien et le notre.
Elle me parlait comme une mère parle à son enfant, pour l’aider à franchir une étape difficile. Puis s’adressant à Gilles :
- Tu viendras que je te finisse, tu ne vas pas jouir dans sa bouche la première fois. Il faut lui laisser le temps. Aujourd’hui elle doit accepter de jouir devant des quasis inconnus. Ça n’est pas évident. Allez ne te retiens pas, il n’y a pas de mal à se faire du bien… Jouir ? qu’y a-t-il de plus beau dans la vie ?... Allez, viens…
Entre chaque phrase d’encouragement elle reprenait sa succion. Bientôt elle ne s’arrêta plus et c’est Gilles qui continua à me parler pour me détendre.
- Tu es une bonne fille, tu suces déjà pas mal pour une débutante. Je t’apprendrai, je t’expliquerai ce qu’un homme attend de la fellation. Pour aujourd’hui, contente-toi de te laisser aller à la jouissance que te donne Madame la Juge. Elle est parfaite, toutes nos amies le disent. Elle suce divinement bien.
Tous ces encouragements eurent raison de ma honte et je me laissais aller à une jouissance comme je n’en avais jamais connue jusque là. Il faut dire que ma vie sexuelle ressemblait plutôt à un désert.
- Ouiii ! c’est bon, encore Sophie, sucez-moi encore, hummmm ! je perds la tête… Ahhh ! ahh !
- Vas-y ma salope, crie, hurle ton plaisir, libère toi. Tu aimes ce que te fais Madame la Juge ? Alors dit-le ! dit que tu es une sale petite pute qui aime se faire sucer !
Gilles m’encourageait et Sophie ne lâchait pas mon entrecuisse.
- Alors dit-le ! Répète après moi : «Je suis une petite pute et j’aime ne faire sucer par Madame la Juge»
- Je suis une petite pute… Ahhhh ! et j’aime que Madame la Juge me suce. Ahhh !…
Ma tête était en train d’exploser quand Sophie vint me rouler un patin où se mêlait le goût de sa bouche et celui de mon nectar. J’étais vidée, je ne savais plus où j’étais ni qui j’étais. Mon esprit m’avait quitté. Ma personne se résumait à ce clitoris qui venait de jouir comme un malade, à peine si j’ai entendu les râles de Gilles que Sophie finissait d’astiquer avant qu’il ne la prenne là devant moi et qu’elle jouisse à son tour.
Puis doucement, ils m’aidèrent à me relever et chacun à leur tour ils m’embrassèrent tendrement sur la bouche. Ensuite sans prendre le peine de nous rhabiller, nous avons traversé le parc dans la fraîcheur de cette fin de journée automnale, nus comme au jour de notre naissance, dans les bras l’un de l’autre, Sophie et Gilles m’entourant de leurs bras oserai-je dire protecteur.
Mon éducation de salope commença dès le lendemain.
Le lendemain au petit déjeuner, Sophie et Bertrand firent comme si rien ne s’était passé. Moi, par contre j’étais terriblement gênée, je gardais la tête dans mon bol, je n’osais pas affronter le regard de mes patrons.
Eux parlaient comme s’il s’agissait d’un matin ordinaire, ils semblaient même prendre un malin plaisir à être encore plus naturels que d’habitude. J’étais au supplice. Comment après ce qui c’était la veille au bord de la piscine, comment pouvaient-ils deviser de tout et de rien, avec futilité. J’avais sucé mon patron pendant que sa femme se régalait de mon intimité, ils avaient fait l’amour devant moi, et ils étaient là à manger leur croissant et à boire leur thé en toute inconscience.
- Un croissant, Vicky ? dit Sophie.
- Non, merci, je n’ai pas faim.
Et en plus elle m’appelle Vicky ! La honte s’empare à nouveau de moi. Comment ais-je pu me laisser aller, comment ! Je me suis conduite comme une traînée !
- Ecoute, chérie, reprend Sophie, ce qui c’est passé hier soir dans la maison du fond du parc, n’est que le début d’une grande aventure qui commence pour toi… et pour nous aussi. Tu es une fille bien, avec un grand potentiel érotique. Tu ne t’en rends pas compte, parce que personne ne te l’a jamais dit, jamais prouvé. Depuis que je t’ai vu, je sais que je vais faire de toi, une grande salope, une immense salope. Tu as un corps à faire bander un mort et à rendre folle de jalousie ou de désir, les femmes que tu vas croiser. Tu vas faire manger tout le monde dans ta main, rien qu’en agitant ton joli petit cul de pute. N’est-ce pas chéri ?
- C’est sur, et si je n’avais pas eu peur de te faire fuir, je t’aurais bien baisé autre chose que la bouche, hier soir !
- Tu vois mon avocat de mari est d’accord avec moi… et nos amis que tu sers à table chaque premier vendredi du mois, ne rêvent que de te posséder, les hommes comme les femmes. Maitre de Chazot et sa femme ne tarissent pas d’éloge sur toi. Le substitut et Madame ne rêvent que de ton cul. Depuis la petite Lila, aucune de nos soubrettes ne leur avait fait cet effet, même pas cette chienne de Katy. Il faut que tu te fasses à cette idée, tu es une salope en puissance.
Elle s’approche de moi et commence à défaire la ceinture de mon kimono. Elle me pétrit les seins à travers le satin de ma nuisette.
Bertrand se colle à moi, écarte mes cuisses pour vérifier que je mouille bien. Ses doigts titillent mon bouton d’amour, avec douceur, puis avec plus de pression. Je perds à nouveau pied, comme hier soir.
Je ne suis vraiment qu’une fille de rien, qui se met à gémir dès qu’on lui astique le bonbon. Les caresses de Sophie se font plus pressentes. Elle a glissé sa main sous ma chemise de nuit et me torture le bout d’un sein. Leurs mains semblent animées par un même but, me faire jouir.
- Tu vois bien que tu aimes ça ! Tu es faite pour l’amour, pour le sexe, insiste Sophie. Cela fait déjà trois semaines que Bertrand et moi on rentre plus tôt le dimanche soir et qu’on t’observe quand tu t’occupes de ton joli fruit juteux. Bertrand a même pris des photos qu’il a déjà montrées à nos amis. Ils ont hâte de profiter de ton beau corps de salope. Bertrand et moi on va d’abord tout t’apprendre, on va faire de toi la reine des salopes, une pute qui va faire exploser les braguettes et mouiller les culottes du tout
Paris. Mais attention, il faudra nous obéir, au doigt et à l’œil ! Tu devras faire tout ce qu’on te dit, accepter tout ce qu’on ordonnera de toi. Pendant les trois ou quatre semaines à venir, tu seras notre esclave sexuelle. Tu devras toujours être prête à écarter les cuisses sur l’ordre de Bertrand ou sur le mien. Pour cela, aucun sous vêtement dans la maison. Dès que tu seras rentrée de la fac, tu iras prendre une douche et tu enfileras la tenue que je ferai posée sur ton lit dans la journée. C’est pour ainsi dire la même que celle que tu portes lors des dîners du vendredi, mais celle-ci est un peu transparente et s’enlève plus facilement. Tu porteras des bas up en résille noire et des escarpins vernis rouge. Ne proteste pas, je sais que tu auras l’air une pute avec cet accoutrement, mais c’est le but recherché. La porte de ta chambre devra toujours restée grande ouverte pour que l’on puisse t’observer, même pendant tes moments d’intimité. Ne t’inquiète pas pour la cuisinière, elle travaille pour nous depuis plus de dix ans et elle participe régulièrement à nos petites… Comment dire cela… à nos petites sauteries.
- Tu peux dire partouze, ma chérie, il est temps que cette ingénue apprenne le vocabulaire libertin.
- Est-ce que tu as bien compris tout ce que l’on vient de te dire.
- Oui.
- Ah ! J’oubliais, durant ton apprentissage, il n’y a plus de Bertrand ou de Sophie qui tiennent, tu devras dire Maitre et Madame. C’est clair ?
- Oui.
- On dit oui Madame ou oui Maitre.
- Oui, Madame.
- C’est bien, tu es une bonne fille. Une dernière chose, pas question de te relâcher dans les études. Tu dois continuer à travailler ton droit avec application, car tu feras, j’en suis sure, un très bon avocat... Si tu fais tout ce qu’on te dit, tout ira bien, sinon, nous serons obligés de sévir et gare aux punitions… L’esthéticienne va arriver d’une minute à l’autre. Tu verras elle est très sympa… Elle repassera pour t’épiler, chaque fois que cela sera nécessaire...
Fini les galipettes pour ce matin. Bertrand et moi partons au palais ce matin, nous rentrerons vers 17 heures, tâche d’être prête car ta première leçon de salope commence ce soir. D’accord ?
- Oui Madame.
- Au fait tu plais aussi beaucoup à Marie, la cuisinière et comme elle connaît parfaitement nos méthodes d’éducation, tu devras lui obéir comme à nous. En notre absence, elle a les pleins pouvoirs sur toi. Maintenant mange un peu, à ton âge on a faim.
Je me jette littéralement sur les deux croissants qui restent dans la corbeille. J’ai juste le temps de prendre une douche et l’esthéticienne sonne au portail. La cuisinière lui ouvre. Je les vois venir vers ma chambre par le couloir de communication. Elles sont bras dessus, bras dessous, et s’arrêtent souvent pour s’embrasser à pleine bouche. Elles se touchent sans pudeur, et rentrent dans ma chambre en riant de ma mine ébahie.
- Ne fais pas cette tête de prude, on a vu les photos que Monsieur à prise de toi en train de te triturer la fente, intervient Marie. Tu as une bien belle chatte et elle sera encore mieux, une fois que Rose l’aura débarrassée de tout poil. Et puis tu verras, une chatte bien épilée, c’est beaucoup mieux pour le broute minou… et pour tout le reste d’ailleurs ! N’est pas Rose ?
- Tu as raison, et pour la vue, c’est plus agréable, on voit bien le bouton se gonfler. Viens, suis-nous. On va dans le salon privé de Madame la Juge. Il y a tout le nécessaire pour faire une beauté à mon mont de Vénus. Après pour te détendre, je te ferai un bon massage.
- Bien Madame.
- Tu peux m’appeler Rose et me tutoyer. On est appelé à se voir souvent. Les employés de Maitre Bertrand et de Madame la Juge forment une grande famille. Pas vrai Marie ?
- Vrai, ma chérie.
Et elles s’embrassent à pleine bouche, et elles se caressent … Puis Marie se retourne vers moi, me prend la taille, me fourre sa langue dans la bouche et me roule un patin d’enfer. Je me laisse faire, Madame m’a demandé d’obéir à la cuisinière… Ce baiser me trouble et j’y réponds avec ardeur.
- Ils ont raison, les patrons ! tu as un vrai potentiel de salope … à peine quelqu’un te fourre quelque chose dans la bouche, tu te mets à sucer comme une chienne … Tu veux goûter Rose ?
Rose prend à son tour possession de ma bouche et en même temps glisse sa main entre les pans de mon kimono pour atteindre mon entrecuisse. Elle me caresse avec tant de douceur que je parviens rapidement à la jouissance, d’autant plus vite que Marie s’est placée derrière moi et me triture les tétons :
- Vas-y ma petite pute, laisse-toi allez. Rose embrasse divinement bien. Rends-lui son baiser, enlace-la. Entends, je t’enlève ce peignoir qui nous encombre plus qu’autre chose. Voilà, pelote-lui ses nibards, Rose ne met jamais de soutif, tu vas te régaler et elle aussi.
Tout en parlant Marie s’est agenouillé derrière moi. Elle m’écarte les jambes, les fesses et je ne tarde pas à sentir sa langue qui s’égaille entre mon œillet brun et mon abricot. Je ruisselle, elle lape mon suc. Rose m’embrasse toujours et nous nous pelotons les seins réciproquement. Elle me pousse lentement vers le lit, m’allonge et se positionne à cheval sur moi, son con au bord de mes lèvres.
- Lèche-moi, goûte comme c’est bon une figue complètement épilée. Fourre ta langue dans ma caverne, lape mon nectar. C’est bon, tu aimes ça. C’est la première fois que tu suces une femme ? … Je fais oui avec la tête sans arrêter mes coups de langue. –
Et bien, ma salope, on dirait que tu as fais ça toute ta vie.
- Madame la Juge ne s’y est pas trompé, reprend Marie. Je ne crois pas qu’il lui faille plus de quinze jours avant d’offrir cette jeune esclave délurée aux soirées du vendredi. En plus je suis sure qu’elle va être ravie des photos que je viens de prendre pendant qu’elle te suçait le bonbon. Quelle salope, tu fais, ma Vicky !!! Bon maintenant assez jouer, passons aux choses sérieuses. Rose tu n’es pas venue ici pour te faire brouter la pelouse, mais pour débroussailler le buisson de cette chienne en chaleur.
Je trouve de plus en plus excitant d’entendre parler de moi, devant moi, comme si j’étais un simple objet. Je me sens l’âme d’une soumise. De toute façon qu’est-ce que je pourrais être d’autre, je n’ai aucune expérience sexuelle et tous ces gens se proposent de m’éduquer, de faire de moi une experte de l’amour. En échange, je peux bien leur sacrifier un peu de mon libre arbitre.
Le jeu en vaut bien la chandelle. Il y a à peine deux mois, j’arrivais de ma province, naïve comme une oie blanche et aujourd’hui, je suis complètement nue, entre deux filles habillées, elles, même si leurs vêtements sont un peu de travers. Elles viennent de profiter de mon intimité et je les ai moi-même peloté et sucé.
Elles me guident vers le salon particulier de Madame la Juge, en devisant entre elles sur mon cul de salope, ma bouche de salope, mes nichons de salope… La situation est absolument folle… mais je crois que j’aime ça.
On arrive devant la porte du salon de Madame. Je n’y suis jamais rentrée, en général c’est toujours fermé à clef, mais il semble que Marie est accès à toutes les pièces de la maison.
Au centre de ce salon trône une table comme on en trouve chez les médecins avec des étriers pour pouvoir lever les jambes. Un drap blanc recouvre le skaï. Sur les étagères des pots de crème, des bâtons de cire sont bien alignés. Dans un coin de la pièce se trouve un espalier et juste à côté un vélo d’appartement dont la scelle me paraît étrange sans que je puisse dire pourquoi : elle est trouée ! Dans cet endroit tout semble surprenant, jusqu’à ce rideau épais qui semble cacher encore quelques bizarreries.
- Allonge-toi sur la table. Je vais d’abord t’épiler les jambes, puis les aisselles et enfin Marie t’aidera à passer les pieds dans les étriers, pour que je te fasse le maillot intégral. La position n’est pas des plus agréables, mais c’est plus pratique pour moi. Il faudra recommencer environ toutes les trois semaines, tu es blonde, les poils repoussent moins vite. Je te préviens la première fois c’est un peu douloureux. Mais tu n’as pas le choix : Monsieur et Madame n’aiment pas les poils. Ils trouvent qu’une chatte bien lisse c’est plus présentable.
Tout en parlant Rose en profite pour me taquiner le pistil qui réagit au quart de tour.
- Vraiment Rose, tu es incorrigible. Tu es là pour bosser ! on est déjà en retard avec ses conneries toute à l’heure dans la chambre de la petite ! Alors au boulot !
- Si on ne peut plus flatter la marchandise maintenant, et puis toi non plus tu ne crachais pas dans la soupe. Tu l’as bien astiqué la petite pute, tu t’es bien régalé avec son jus, ose dire le contraire ?
- Bien sur, mais si elle n’est pas prête quand les patrons rentrent je vais encore être punie ! J’aime plutôt bien ça, mais là je ne voudrais pas prendre à cause de toi !
Punie, mais qu’est-ce qu’elle veut dire. Déjà ce matin, Madame m’a parlé de sévir si je n’obéissais pas ! En plus Marie dit qu’elle aime ça, les punitions. Ce ne doit pas être si terrible car elle a l’air de ce plaire dans cette maison. Rose me tire de ma réflexion en tirant d’un geste rapide sur la bande de cire qu’elle avait placée sur ma jambe.
- Aie !
- Je t’avais prévenu, et encore les jambes ce n’est rien. Quand on en sera aux aisselles et surtout au maillot, je te passerai une crème anesthésiante, ça n’est pas efficace à cent pour cent, mais ça soulage bien.
Avec application, Rose s’occupe de rentre mon corps quasiment libre de tout poil. On arrive a moment crucial. Marie prend mes jambes pour les attacher dans les étriers.
- C’est pour éviter les coups de pied intempestifs.
Elle m’attache aussi les mains
- Ça, c’est pour éviter les baffes. On n’est jamais assez prudente.
Comme elle l’avait fait pour mes aisselles, Rose me badigeonne le mont de Vénus de la crème supposée prévenir la douleur. C’est un peu froid… Elle étale la bande, l’applique bien avec le plat de la main et tire d’un coup sec. Avant que je n’aie eu le temps de crier, Marie m’a fourré sa langue dans la bouche. Elle caresse aussi mes nichons avec douceur.
- Il faut détourner l’attention. Si je parviens à te faire jouir, tu oublieras la douleur.
Durant toute la séance, j’essaie de me concentrer sur la langue de Marie, qui se promène de ma bouche à mes seins. Ses mains prennent parfois le relais de ses lèvres. Elle est vraiment très forte, car je ne sens presque plus rien au niveau de mon pubis.
Quand tout est terminé, Rose passe sa langue chaude sur toutes les parties de mon anatomie intime qu’elle vient de maltraiter… comme pour se faire pardonner.
- C’est bien, ma Vicky, tu as été courageuse, tu mérites une récompense.
Et sans me détacher, Rose et Marie prennent possession de mon corps qu’elles couvrent des caresses jusqu’à déclencher un orgasme torride. Elles m’embrassent avec fougue. Je suis harassée de jouissance.
Elles me raccompagnent dans ma chambre, me couche délicatement dans mon lit et après un dernier baiser, elles me laissent seule. Je passe le reste de ma journée à dormir. Cette première journée dans ma nouvelle vie de salope, m’a épuisé… pourtant je ne suis pas au bout de mes surprises…
Je suis réveillée part de tendres caresses. Sophie, enfin je veux dire Madame est allongée près de moi, elle est nue. Ses mains effleurent ma peau, dessinent de contour de mon visage, glissent dans mon cou, frôlent mes seins, s’y arrêtent pour en titiller les mamelons qui se dressent comme des petits soldats. Puis encourager par mes frissons, Madame s’empare de mon bijou, pénètre ma caverne avec ses doigts et m’embrasse avec fougue. Mes mains imitent les siennes et deviennent entreprenantes…
- Tu apprends vite, Marie a raison ! tu seras peut-être prête d’ici le prochain dîner dans 15 jours. J’ai vu les photos, tu as l’air d’apprécier les délices de Sapho. Montre-moi un peu comment tu t’y prends ! Viens mets toi à genoux devant moi et délecte-toi de mon berlingot.
- Bien Madame.
A suivre .....

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