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Histoire du net. Auteur François. Tranche de vie

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Au gré des rencontres une salope se forge
 pour le plaisir de certains...

Itinéraire d'une veille salope

Passage d'une annonce sur un site de rencontres gay libellée:
"Salope mâle pour actif TBM"
Rencontre par internet interposé d'un homme de ma région qui me propose tout d'abord une rencontre avec lui pour le sucer et me rendre puis au fil du temps une rencontre à trois, lui, moi et un copain à lui Gay.
A ma demande d'enculade par les deux compères, il me prévient que seul lui m.'enculera, son copain se contentant d'être sucé et de me sucer à son tour.
Premier rendez-vous est pris puis annulé au dernier moment pour cause d'indisposition passagère de ma part.
Une fois remis, je reprends contact et là, bonne surprise, il m'annonce la présence d'un quatrième, un métis "bien membré" qu'ils veulent sucer tous les deux et qui peut me sodomiser ensuite. Tout excité, j'accepte et nous fixons le rendez-vous un après-midi chez son copain.
Le grand jour venu, je me rends à la gare de S....... et il vient me chercher en voiture. Pas de chance, le métis annoncé ne donne plus signe de vie, tant pis, on s'amusera à trois, deux queues pour moi tout seul, pas de raison d'être déçu.
Arrivés chez le copain, nous lions connaissance, c'est un quinqua sympa et bien vite nous nous retrouvons nus dans la chambre.
Je place un préservatif sur la queue du copain, J.P. et entreprend de le sucer après forces câlins, bisous dans le cou, dans les oreilles, sur les lolos, je suis excité comme une puce, il sent bon, sa peau est douce et il a la bonne idée de me caresser les bourses et la queue pour me faire monter. Pendant ce temps, mon interlocuteur, M., me tends sa queue que je saisi avec mon autre main et commence à la branler.
J'avoue qu'il est de loin le mieux monté de nous trois.
Nous nous couchons en triangle, J.P. dessous, sa queue dans ma bouche, M. au dessus sa queue dans la bouche de J.P. et moi au dessus, la queue de J.P. en bouche et un doigt de M. dans ma chatte. Je grogne de bonheur au fur et à mesure qu'il me visite le ventre et m'active sur J.P.
Quand celui-ci est à point, M. prend les choses en main, retire la capote et l'embouche vigoureusement pour le finir pendant que J.P. le traie avec amour. Visiblement, ces deux là n'en sont pas à leur première bourre.
Je les contemple l'œil intéressé, caressant ici un petit œillet tout chaud, là des bourses bien pleines, puis J.P. crache on jus aidé par la main de M. et celui-ci se déverse dans la bouche de son copain.
Très bien tout cela, mais moi je n'ai pas joui et réclame ma part ; M. me fait mettre à genoux sur un fauteuil et entreprend de me goder avec un vibro pendant que J.P. le branle pour le faire bander à nouveau. Au bout d'un moment qui me paraît interminable tant j'ai envie de sentir une bonne queue dans mes fesses, M. enfile une capote et me pénètre.
Malédiction, il débande presque aussitôt et recommence à me goder. Puis il me demande si j'ai apporté mes instruments. Je lui réponds que oui mais comprenant que son excitation est tombée et qu'il fait cela par pure gentillesse, je lui dis que je me finirais de retour chez moi.
Il est désolé, s'excuse et je dois presque le réconforter comme une femelle qui console son mâle défaillant dans la pénétration.
Il me ramène ensuite à ma voiture et de retour chez moi, je me finis en effet avec le premier objet qui me tombe sous la main, en l'occurrence un gros manche de couvert à salade, merci la cuisine !
…...............................
Suite à mon annonce; je prends contact avec un mec et très vite la conversation prend un tour amoureux, eh oui, entre lui et moi, il m'appelle "sa chèrie", moi je l'appelle "mon bébé" tant il m'excite sur le Net et au téléphone, par sa voix, ses mots.....
Je me rends chez lui avec mes godes et des sous-vêtements féminins car il a souhaité me prendre ainsi.
Arrivé devant chez lui, je lui téléphone et quelques minutes plus tard, il vient à ma rencontre. Baraqué, souriant, c'est un beau brun, de type maghrébin, et rien que de le voir, j'ai envie de me plaquer contre lui et qu'il me serre dans ses bras.
Il me fait rentrer dans son appartement et nous nous déshabillons.
Nu, il est encore plus beau et moi qui n'éprouve pas d'attirance spéciale pour le corps masculin, sexe excepté, je suis sous le charme et je fonds comme une femelle.
Il est en slip et je commence à le caresser à travers le tissu. Ma main suit les contours de sa queue, caresse ses couilles, s'immisce le long de l'entrejambe, visiblement il apprécie mes caresses. Puis je m'enhardis et mes lèvres remplacent ma main ; je lèche sa queue à travers le slip, gobe le gland, il sent un peu la pisse mais ça m'excite. Je suis fasciné par sa queue et bien vite je baisse son slip pour voir ses trésors en direct.
Je lui mets une capote, lui lèche les couilles, il ronronne, me demande de lui titiller le trou du cul, ce que je fais aussitôt tout en le prenant entre mes lèvres. Sa queue est douce et dure à la fois et je commence une fellation gourmande, alternant mouvements rapides et aller et retours plus lents. Il entreprend de me baiser par la bouche, comme si c'était une chatte, sa queue vient buter au fond de ma gorge, je réprime un haut le cœur tant il y va fort et profond. Pour calmer un peu ses ardeurs, je place une main à la base de sa queue pour limiter la longueur à ingurgiter et suce, suce, suce, comme une salope que je suis vraiment à cet instant là.
Je ne me contrôle plus, je gémis, je le supplie de me prendre avec sa queue, de m'enculer comme une chienne, de me défoncer. Il me fait mettre en levrette sur le canapé et après m'avoir bien badigeonné l'œillet avec du lubrifiant, après m'avoir bien doigté aussi, ce qui déclenche chez moi des hurlements de bonheur, il me pénètre d'un coup et se met à me baiser comme un fou.
Je suis au septième ciel, je hurle, je l'encourage à me défoncer la chatte, je lui dit des horreurs et cela l'excite, il en réclame, je lui crie des mots d'amour aussi, et finalement il se répand dans mon cul avec une exclamation de bonheur.
La prochaine fois, je lui ai promis d'acheter un string, un soutien-gorge et un porte-jarretelles assorti, des bas et une perruque car c'est son trip favori, enculer un mec travesti.
…................................ ;
Suite à une annonce lue sur un site, "amateur de godes cherche à rencontrer autre amateur", je fais la connaissance par messagerie d'un mec de ma région. Au fil des messages, il m’avoue aimer les godes et la lingerie féminine, fréquenter les saunas, aimer sodomiser, aimer qu’on le suce, toutes choses faites pour me plaire. Il me file son téléphone et nous discutons par fil, c’est nettement plus convivial. Il me parle alors de son goût pour la lingerie féminine ; je lui répond que c’est également mon plaisir puis incidemment, je lui demande s’il accepterait de me fister ; oui, me répond-il, il a déjà fisté un mec dans un sauna et cela lui ayant bien plu, pas de problème pour me prendre avec sa main. Nous convenons d'un rendez-vous dans un hôtel dans la semaine pour mettre tout cela en pratique.
Entre-temps, je reçois les sous-vêtements commandés sur Internet, perruque rousse, nuisette et string bas filet, ne manquent que les escarpins.
Le jour fixé, j'arrive à l’hôtel, cherche la chambre et frappe à la porte ; il m'ouvre et je le contemple, c'est un brun, l'air sympa, en string et bas noirs, une cordelette attachée serrée à ses tétons. Je me déshabille, et lui présente ma tenue, nuisette et string rouge, bas noirs en filet, il a l’air d’apprécier. Nous nous couchons sur le lit et commençons à nous embrasser.
Très vite, la conversation prend un tour plus direct, caresses, frottements de nos deux corps ; à sa demande, je le branle en lui mordillant les tétons qu’il me dit être plus que sensibles ; super excité, ma queue commence d'ailleurs à laisser échapper de la cyprine, je lui lèche les couilles et devant ses grognements, je les prends en bouche et les suce avec amour. Comme il commence à bander et que je suis en chaleur, je lui enfile un préservatif et m'accroupis sur sa queue.
J’entreprends des mouvements sur son membre et très vite il se prend au jeu et commence à me pilonner, c'est exquis, nous faisons l'amour comme un couple hétéro, la femelle chevauchant son mâle. Au bout de quelques minutes, il jouit dans mon cul avec un cri de bonheur. Je reste emboîté sur lui puis je débarrasse de sa capote et il va se laver dans la salle de bains.
Quand il revient, nous reprenons nos ébats. Il sort un dong de son sac, le protége des deux côtés et me l'enfile dans les fesses. J'adore, d'autant plus quand il se met en face de moi, sur le dos, et s'enfile l'autre extrémité. Nous sommes couchés tous les deux, liés par le dong et nous commençons à faire des mouvements de va-et-vient dessus. En fait, très vite, c'est lui qui se met à me baiser avec, je me contente d’écarter les cuisses pour recevoir cette queue qui me remplit le ventre.
Mais un gode reste un gode, et ce dong ne me suffit pas. Je lui propose d'essayer mon gode black, il accepte et je me gode devant lui avec.
Il me raconte qu'il a déjà fisté un mec dans un sauna et que cela lui avait plu. Je lui propose de me le faire mais avant, comme il veut que je le doigte, il se couche sur le dos, je me mets du lubrifiant sur les doigts et je le pénètre avec un doigt, puis deux, en tournant doucement pour l'élargir. Au bout de quelques minutes, je me retire et enfile un gant latex. La pénétration reprend mais j'ajoute un troisième doigt puis un quatrième et lui masse l'intérieur du cul. Il apprécie mais visiblement, il est moins dilaté que moi et à la limite de la douleur, je n'insiste donc pas et retire ma main.
A mon tour ! Il enfile un gant et se badigeonne la main avec de la crème. J'écarte les jambes, couché sur le dos, il me tartine la rondelle et commence à rentrer un doigt, puis deux, puis trois...... Je suis au septième ciel, et lorsque sa main est presque engagée dans mon anus, je lui saisis le poignet pour qu'il arrête ses mouvements et commence à bouger mes fesses pour le faire rentrer à mon rythme. Peu à peu, je sens mes fesses s'ouvrir et d'un coup, il est entièrement en moi. Je pousse un cri de plaisir et commence à me branler. C'est tellement bon de sentir sa main dans mon ventre, de se sentir rempli, dilaté à l'extrême, qu'il ne faut pas longtemps pour éclater en hurlant. Il retire sa main doucement et je reste devant lui quelques instants, l'anus béant comme une chatte. Il est admiratif devant ma chatte et me le dit.
Pour le remercier, et aussi parce que ma chatte réclame une présence, je lui demande de me sodomiser à nouveau. Il est d’accord et je le suce furieusement tant j’ai envie de sa queue. A force de câlins, il rebande, je me mets à quatre pattes devant lui, les fesses écartées, l’encourageant par mes gémissements ; enfin, il se plante entre mes fesses et recommence à me labourer le cul. Malheureusement, il a dû trop cracher tout à l’heure, sa bandaison mollit et il ressort de mes fesses ; tant pis, c’était déjà bon comme çà et la prochaine fois, je tenterais de l’exciter plus pour qu’il me bourre à plusieurs reprises.
La suite, comme pour tous les amants "de passage", est moins affriolante : nous nous douchons, nous rhabillons et après un bisou, c'est le départ.
…................................
Nouvelle rencontre mercredi dernier via une annonce passée sur un site Gay de rencontres. Un homme intéressé me laisse son téléphone. Je le rappelle, il habite à un peu plus de 100 km de chez moi mais le désir de prendre une queue entre mes fesses est tellement fort que je le rappelle et nous convenons d’un rendez-vous devant la gare de Soissons.
La route se passe rapidement et j’arrive pile à l’heure devant la gare. Coup de fil, « oui, j’arrive dans cinq minutes » me répond-il. Cinq minutes après, une camionnette se range à côté de moi, un type à l’air sympa baisse la vitre et me dit
- C’est moi, suis moi, j’habite à quelques kilomètres du centre.
Aussitôt dit, aussitôt fait, il démarre et je le suis. Une dizaine de kilomètres plus loin, je le vois tourner dans un chemin pavé à l’entrée d’un hameau et se diriger vers un bâtiment, une distillerie désaffectée m’expliquera-t-il après. J’avoue que j’ai un instant de panique, c’est l’endroit idéal pour me faire agresser. Qu’importe, je me gare à côté de sa voiture, il est en train de regarder le courrier dans sa boîte, ce geste anodin me rassure.
Je rentre avec lui dans l’appartement et nous faisons connaissance. C’est un gars baraqué, l’air souriant, et nous discutons quelques instants avant de passer dans la chambre. Je suis déjà nu et lui se couche en slip sur le lit. J’ai préparé un préservatif et le pose à côté de lui, et lui enlève son slip. Une belle queue apparaît, déjà dressée et prête à l’emploi.
Je la saisis d’une main et de l’autre je lui caresse les couilles qu’il a bien poilues. Puis je le gobe l’une après l’autre en les suçant amoureusement, une de mes caresses favorites. Je les suce et les lèche alternativement puis je remonte sur la hampe de sa bite vers le gland, il semble apprécier. Je lui enfile la capote et entreprend de le sucer jusqu’aux couilles, à la limite du haut le cœur, elle est bien dure, juste ce qu’il faut en diamètre, je le suce, tantôt vite , tantôt lentement, je lèche le gland, la hampe, puis je recommence mes va-et-vient sur la tige, il grogne de plaisir.
Au bout de quelques minutes, je n’en peux plus, j’ai envie de la sentir dans mon ventre, je la tiens bien serrée d’une main et je m’accroupis au dessus de son ventre, j’ouvre le tube de lubrifiant et m’en colle une grosse noisette sur la rondelle et enfin je m’assois sur sa queue. C’est tellement bon de la sentir me pénétrer que je crie de plaisir et commence à aller et venir sur elle. Il apprécie mes mouvements et m’encourage de la voix tout en me caressant les tétons. Je le baise avec sa queue, je suis heureux de me sentir femelle sur mon mâle, je m’assois jusqu’à sentir ses couilles contre mes fesses puis me relève jusqu’à ce que le gland sorte presque de ma rondelle, et ainsi de suite, un long moment.
Au bout d’un certain temps, il de demande de me mettre sur le côté et recommence à me baiser en me prenant dans ses bras. La position fait qu’il me pénètre plus profondément encore et me bourre comme jamais je ne lai été encore par un homme. Par moment, je le sens proche de la jouissance, puis alors il ralentit ses mouvements pour durer et me pénètre plus doucement tout en me caressant les fesses.
Puis il me fait mettre à plat ventre et recommence à me défoncer, de toutes ses forces, en haletant, presque brutalement, au point que je lui demande de me lubrifier à nouveau.
- Pas la peine, tu es bien lubrifié comme ça me répond-il en me bourrant de plus belle.
Le jeu dure plusieurs minutes, je suis aux anges mais en même temps je commence à avoir mal aux reins car il fait son poids le bougre. Je lui dis et il me fait mettre à quatre pattes sans arrêter de m’enculer.
Il jouit enfin dans mes fesses et se retire avec un grognement, la capote est souillée tellement il m’a mis profond et je lui apporte du sopalin pour se nettoyer.
Nous discutons ensuite, allongés l’un contre l’autre, j’ai envie de le reprendre en bouche tant sa queue est appétissante mais en même temps il m’a crevé et les choses en restent là.
….......................
Comme je l’ai raconté précédemment, je suis bi, passif et soumis. J’ai l’habitude de rencontrer des hommes actifs pour les sucer et qu’ils me prennent comme une femelle. C’est d’ailleurs comme cela que je me présente : femelle en chaleur pour suce, caresse et sodomie. J’avais rencontré M plusieurs fois déjà et nous nous étions bien entendu : Il me faisait déshabiller devant lui, puis je le suçais longuement, je le caressais, et généralement la séance se terminait par une bonne levrette, chose que j’apprécie énormément. Il m’avait même fisté la dernière fois et j’avais hurlé de plaisir tandis qu’il me pilonnait et que je me branlais, couché sur le dos devant lui. Il m’avait parlé de quelques amis à lui amateurs eux aussi de lope sexuelle et j’avais dit être intéressé.
La semaine dernière, j’ai reçu un SMS de sa part me proposant une rencontre à plusieurs. Inutile de dire que j’ai immédiatement répondu favorablement et que les jours qui ont précédé le rendez-vous n’ont fait que porter mon excitation à son comble.
Le jour arrivé, je me rends chez lui, pavillon en ville, quartier bourgeois, tout excité à l’avance. Je sonne à l’interphone, une voix grave me répond, sa voix !
- Oui, qui est là ? »
Je me présente :
- François la salope, Maître ».
Un instant puis le portail s’ouvre, je rentre dans le jardin et fais quelques pas pour arriver à la porte d’entrée, entrouverte ; je la pousse et me trouve face à mon amant/dominateur, un homme d’une soixantaine d’année, cheveux gris, costume gris bcbg.
- Bonjour Maître…. »
D’un ton sec, il m’ordonne de me déshabiller là devant lui. Je m’exécute sans un mot et suis bientôt nu comme un ver devant lui. Il me détaille du regard, tourne autour de moi, me palpe les fesses, passe une main sur mes seins, donne une petite tape sur mon sexe puis me saisissant la queue d’une main, il m’entraîne dans le salon.
Je commence à trembler, comme à chaque rencontre, de peur et d’excitation à la fois, car quelquefois il agrémente les séances de fessées cuisantes.
Il me fixe un collier au cou puis un autre autour de chaque poignet puis, à l’aide d’une petite chaîne, il relie les colliers des poignets à un crochet au plafond. Je suis ravi, j’adore être à sa merci. Une fois attaché au plafond, il retourne vers la table et saisit un martinet. Il revient vers moi et me caresse les fesses avec le martinet, tout doucement. Lorsque il passe les lanières dans ma raie, je ne peux m’empêcher de ronronner de plaisir tant j’aime qu’on me caresse à cet endroit. Il continue le va-et-vient sur mon petit trou puis sans prévenir commence à me fouetter sur les fesses. Je crie de surprise ce qui a pour seul résultat de le faire taper plus fort. Il s’arrête soudain et m’ordonne de compter les coups.
- Un, deux, trois…….trente….., soixante….. »,
Je gigote sous les coups de martinet, d’un pied sur l’autre, les fesses me chauffent, bien que j’en aie l’habitude avec lui.
- Alors petite tapette, t’es vraiment une lope, une vraie femelle.
Il me détache du plafond et m’ordonne de me mettre à genoux devant lui. Il ouvre sa braguette, me présente une queue de belle taille et m’ordonne :
- Suce salope ! .
J’entreprends de lui caresser la queue, lui lèche les couilles, passe ma langue le long de son membre, il semble apprécier et quand il est bien raide, je lui enfile une capote.
- Suce moi encore salope et ne discute pas ».
Justement j’en avais envie car la sucette j’adore.
Au bout d’un moment, quand il est bien raide, il me repousse et va ouvrir la porte :
- Vous pouvez venir vous deux ».
Je suis aux anges, deux hommes pénètrent dans la pièce, qu’il me présente comme G et Y. Ils me saisissent chacun par un bras et me font agenouiller à nouveau. M présente sa queue à nouveau contre ma bouche et me l’introduit à nouveau jusqu’au fond de la gorge, j’ai un haut le cœur mais je recommence à le sucer tellement sa queue est bonne.
A présent, il me baise comme si ma bouche était un sexe. Je le sens prêt à venir dans ma gorge, d’un seul coup il se retire et je reçois plusieurs giclées de sperme sur la figure. Ils rigolent tous les trois devant moi, il faut dire que le tableau est parfait : je suis couvert de sperme……
Mais la séance n’est pas finie, ils me le font comprendre rapidement.
- Debout ! » me dit l’un deux.
- Non, non, mets toi à quatre pattes comme une chienne que tu es ! »
Et pour bien marquer mon état de chienne, M accroche une laisse à mon collier et me promène d’une pièce à l’autre.
- Viens salope, grimpe sur le lit et cambre bien tes fesses, je vais t’enculer puisqu’il paraît que tu aimes ça ».
Je m’exécute et les fesses bien cambrées, j’attends la pénétration, avec peur car je ne me suis jamais fait partouzer mais surtout excitation car je suis quand même venu pour cela.
M se positionne derrière moi et me saisit aux hanches.
- Oh mais c’est qu’elle a de belles poignées d’amour » rigole-t-il devant les deux autres,
Et d’un coup de rein, il m’encule jusqu’aux couilles, je pousse un cri mais la douleur se transforme vite en plaisir intense. G, qui s’est mis à poil, me présente sa queue à déguster, elle est moins grosse que celle qui me laboure mais très jolie quand même.
M continue à me bourrer encore plus fort tandis que Y me caresse le dos et les fesses ; comme j’adore les câlins, inutile de dire que je suis aux anges. Quelqu’un qui rentrerait dans le salon se croirait en plein film porno : je suis à quatre pattes, un mec qui me sodomise, un deuxième qui me caresse partout et un troisième qui va et vient entre mes lèvres. Sans parler de mes gémissements de plaisir.
M se retire et me présente sa queue à sucer. Elle est maculée, je n’étais sans doute pas très propre, mais je n’hésite pas longtemps et la nettoie soigneusement. Après tout, j’ai l’habitude de sucer mon gode après me l’être introduit dans l’anus.
- Cochonne, tu aimes la merde ? Reprends-en donc un peu »
Et il m’enfonce un doigt dans le cul, le ressort et me le présente :
- Allez, nettoie bien, régale toi ! »
Et je m’exécute presque avec plaisir.
Visiblement satisfait, il enfile une autre capote et replonge de nouveau entre mes fesses ; je l’encourage de la voix :
- Oh oui, c’est bon, plus fort, encule-moi bien, je t’appartiens »
Y me redonne sa queue à sucer et je subis leurs assauts plusieurs minutes jusqu’à ce qu’ils jouissent presque en même temps, l’un dans ma bouche et l’autre dans mon cul. Jamais je n’avais eu autant l’impression d’être une pute, juste bonne à être tringlée.
G est jaloux, il grogne :
- Et moi, et moi ? »
Et il me bascule sur le dos, relève mes jambes et m’encule dans un parfait missionnaire. Je le serre avec mes jambes, je hurle de plaisir, sa queue est beaucoup plus grosse et me laboure, limite douleur, mais c’est délicieux.
Lui est plus long à jouir et pendant qu’il s’escrime entre mes fesses, les deux autres me présentent leur queue à sucer à tour de rôle. Trois queues pour moi, le paradis !
Au bout d’un certain temps, G pousse un grand cri, se retire de mes fesses, ôte sa capote et crache son foutre sur mon ventre. Pour lui plaire et aussi pour mon plaisir, j’étale le sperme sur mon ventre et ma poitrine.
Comme ils font mine de s’éloigner, je supplie :
- Maître, vous deviez me fister, je n’ai pas joui, s’il vous plaît, prenez moi avec votre main…. »
Ils rigolent tous les trois,
- Dis donc, tu l’as trouvée où cette salope ? »
- Oui, en effet, y’en a pas beaucoup comme elle, elle se fait défoncer le cul et elle en réclame encore.. »
- Attends petit enculé, tu vas l’avoir ma main dans ton cul, et tu t’en souviendras
M me fait coucher sur le dos, jambes relevées et ordonne aux deux autres de m’immobiliser en me tenant les bras. Il me tartine le petit trou avec de la graisse, soigneusement, me lubrifie l’intérieur avec un doigt puis quand il juge que c’est ok, il pose le pot de lubrifiant, enfile un gant et m’introduit un doigt dans le cul. Il fait quelques va-et-vient puis ajoute un deuxième doigt. Je gémis de plaisir, il en met un troisième et effectue des rotations qui me font gémir encore plus.
Un quatrième doigt et quelques va-et-vient plus tard, il retire sa main un instant puis repart à l’assaut avec les cinq doigts, en tournant sa main lentement, je sens mon cul à la limite de la déchirure, il a de grosses mains le salaud, je hurle :
- Stop, j’ai mal, arrête-toi un instant.., ne bouge plus »
Il arrête de bouger mais reste en place, me dilatant l’anus au maximum. Je demande aux deux autres de me lâcher et respire un grand coup ; je pousse comme pour aller à la selle et peu à peu sa main rentre complètement dans mon anus. J’ai un peu mal mais en même temps la sensation d’être rempli est fantastique ; c’est le bonheur du fist, sentir une main dans son ventre, être dilaté à l’intérieur au maximum. Je reste un instant immobile puis, en commençant à me caresser la queue, je l’implore :
- Défonce-moi la chatte avec ta main »
Il ne se fait pas prier longtemps et commence à me pilonner le cul avec sa main pendant que je me branle.
Les deux autres se sont placés de chaque côté de lui et regardent avec admiration et cris d’encouragement sa main aller et venir entre mes fesses.
Au bout de quelques minutes, je sens que je vais venir, j’accélère le mouvement et lui demande d’en faire autant. Je jouis en hurlant et il retire sa main lentement.
- Petite salope, cochonne, tu ne peux même pas te retenir ! »
Je suis tellement ouvert que je me suis vidé devant eux sans même m’en rendre compte. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes que ma rosette reprend un aspect à peu près normal et se referme.
Je croyais que c’était fini mais non, eux ont décidé de s’amuser encore avec moi. Y se tourne et me présente son cul :
- Lèche-moi le trou du cul s’il te plaît ! »
Docilement, je m’exécute, il sent un peu mais c’est supportable, je lèche sa rosette, consciencieusement, lentement, j’y prends même un certain plaisir. Quand j’ai fini, G, pour ne pas être en reste, me présente à son tour ses fesses et m’enjoins de le lécher aussi ; là par contre, l’odeur est nettement plus forte, il s’est visiblement essuyé rapidement et j’ai même droit à quelques restes de matières. Tant pis pour moi, j’ai reçu un ordre, j’obéis et nettoie son trou. Je pensais que M allait venir à son tour car il est friand de cette caresse mais non, il s’est rhabillé.
Je me dirige vers mes vêtements posés en tas par terre dans un coin mais M me rappelle vers lui :
- A genoux et suce moi encore ! »
J’obéis et très vite sa queue reprend une vigueur certaine.
- Mets moi une capote et tourne toi, à quatre pattes, ta chatte est trop accueillante ! En position devant lui, il m’encule brutalement mais je suis tellement dilaté que je le sens à peine. L’enculade est plus mentale que physique, il pourrait me rentrer une bouteille que je la sentirais à peine.
Quand il a fini sa petite affaire, G et Y se succèdent dans mon cul et jouissent à leur tour. Je ne suis vraiment qu’un abreuvoir à bites.
Ensuite, nous nous allongeons tous les quatre sur le divan et nous caressons et nous embrassons à bouche que veux-tu pendant un temps qui me semble trop court. Mais l’après-midi est déjà bien avancée et M me fait comprendre qu’il est temps de prendre congé.
Pas de suite.....

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