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Une vieille histoire culte, d'un auteur inconnu, pour ce long week-end pascal..... Fin

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Quand tout ce dénoue.....
En bien ou en mal pour notre héros?

Week end de rêve
Episode Fin
 Chapitre XI : La Comtesse.
Au bout de quelques minutes de voiture dans Paris, nous arrivons. Je n'ai pas dit un mot de tout le voyage. Je n'ai pas envie de parler. Et de toute façon, on ne m'en a pas donné l'autorisation. La voiture entre dans une cour et une grande porte cochère se referme derrière nous. De nombreux véhicules de luxe sont présents dans la cour. L'homme coupe le moteur. J'attends. Deux femmes discutent non loin de la voiture. Elles ne semblent pas nous avoir remarqué. L'homme descend, leur parle quelques instants. Il revient vers moi, j’aperçois un sourire non dissimulé sur le visage des deux femmes. Il ouvre la porte et attrape ma laisse.
- Pose ta veste et Descend !
Obéissant aux ordres, je ne me retrouve vêtu que de mon body. Alors que je sors de la voiture, les yeux baissés pour ne pas avoir à supporter les yeux féminins posés sur moi, il s'adresse à elles.
- Je vous présente Julien, mais évidemment, ici, il portera le nom qu'il vous plaira.
- Bonjour.
- Bonjour. dis-je après une courte hésitation.
- Nous te trouverons un nom plus tard, pour l'instant Jean Paul va te présenter à la Comtesse.
Celui dont je viens d'entendre le nom pour la première fois tire sur ma laisse et m’entraîne à l'intérieur. Je sens le regard des deux femmes dans mon dos et sur mes fesses à peine cachées. Une fois de plus, je rougis. Je ne sais toujours pas ce qui m'attends. Que peut donc bien être cette arène ' Je sais un chose, c'est que j'ai envie que l'on m'utilise ... et j'ai le pressentiment que je vais être exaucé. Nous entrons par une haute porte vitrée dans une grande pièce qui n'est visiblement que le hall d'une grande maison de maître. Des gens vont et viennent, des verres à la main. Ils se dirigent quasiment tous vers les escaliers qui se trouvent au fond de la pièce. Apparemment, nous sommes au beau milieu d'une réception donnée par et pour le "Tout Paris". Tous m'observent, me détaillent. Jean Paul me laisse seul quelques instants le temps de saluer une personne qui semble être la maîtresse des lieux. J'ai l'impression que les femmes présentes ici ont été sélectionnées grâce à leur beauté. Elles sont toutes magnifiques, habillées en robe de soirée et parées de riches bijoux. Les hommes sont tous sans exception en costume.
Alors que je suis debout, au milieu de la pièce, attendant Jean Paul, un couple s'approche de moi. La femme, brune, les cheveux long tombant sur sa robe rouge caresse mon dos puis mon ventre à travers le latex de mon body.
- J'aime cette matière. Dit-elle. Elle fait ressortir les formes. Et les sensations de celui qui la porte sont multipliées.
En disant cela, sa main s'aventure plus bas dans mon dos, puis lentement passe sous mon cul, entre les jambes. L'homme, une coupe de champagne à la main, acquiesce en riant. Elle prend possession de mes couilles, les malaxe au travers du latex. Rapidement, mon sexe commence à durcir, je n'ose pas bouger. Il est vrai que le vêtement que je porte peut donner des envies. Et la mienne est bien visible maintenant. Bientôt, un serveur passe avec un plateau de petits fours. Le couple m'abandonne pour se servir puis se dirige vers l'escalier, comme tout le monde. C'est à ce moment que Jean Paul revient accompagné de la femme pour laquelle il m'a abandonné quelques instants auparavant. Blonde, ses cheveux longs sont attachés en un chignon. Sa robe en cuir laisse voir un merveilleux décolleté. Elle porte un très mignon tour de cou, en cuir lui aussi, auquel est attaché un pendentif en or. Ses avant bras sont gantés, ce qui renforce un peu plus sa féminité.
Jean se rend compte tout de suite de l'état dans lequel m'a laissé le couple.
- Mmmmhhhh ... Comtesse, regardez moi ça .... notre petit ami est pris d'une érection. Cela doit être dû à votre beauté.
Agissant en maîtresse de maison, et en maîtresse tout court, elle s'adresse à Jean Paul.
- Laissez moi régler cela je vous pris.
- Bien sûr.
Sans rien dire, elle me regarde quelques secondes, qui me paraissent une éternité. Puis, tout à coup, sans que je m'y attende, une gifle s'abat sur mon visage.
- Qui t'a ordonné de bander '
Après une seconde gifle, elle ordonne.
- Réponds !
- Personne.
Une troisième gifle.
- Personne Comtesse ! Et si tu reste ici, ça deviendra Personne Maîtresse !
- Bien Comtesse.
Sur ces mots, sa main se dirige vers mon sexe, le palpe à travers le latex, puis, écartant le body, le libère. Me voilà debout, au milieu du hall d'entrée d'une grande demeure parisienne. Un tas de gens m'observent et je leur montre mon sexe. Je rougis encore un peu plus, si toutefois c'est possible.
- A genoux !
- Bien Comtesse.
- Branle toi.
Lentement, ma main se dirige vers mon sexe et commence un mouvement de va et vient. Malgré la situation, je suis de plus en plus excité. Tout le monde me regarde, les gens se sont arrêtés dans les escaliers, font même demi-tour pour apprécier le spectacle que je leur offre. J'entends des murmures, je distingue même quelques mains qui s'aventurent sous quelques robes.
- Tu ne jouira que quand je te l'ordonnerai. Ici, c'est moi qui commande.
- Oui Comtesse.
- Regardez le bien, mes chers amis. C'est lui que vous allez retrouver dans l'arène aujourd'hui. J'espère qu'il vous plaira. Jean Paul, qui nous amène souvent nos meilleurs spécimens m'en a dit beaucoup de bien.
Elle tourne autour de moi, je suis humilié. Je ne suis plus qu'un objet, un robot. On ordonne et je m'exécute. Je sens le plaisir monter petit à petit. Mais je me retiens, ne voulant pas subir la foudre de cette comtesse inconnue. Alors qu'elle pose un doigt sur mon épaule et qu'elle le fait courir lentement dans mon cou, elle se penche et murmure à mon oreille.
- Maintenant, tu vas jouir pour moi. Parce que je te le demande et que tu ne sais pas faire autre chose que ce que l'on te demande de faire. Ici, tu vas devenir ce que tu n'oseras jamais être ailleurs. Nous allons amener notre plaisir à tous à un point extrême, et c'est toi qui seras l'objet de ce plaisir. L'arène est ce qui va t'arriver de pire, mais aussi de meilleur. Tu va perdre toute notion de temps, de dignité, de fierté et de pudeur. Mais tu va découvrir ce qu'est le vrai plaisir pour un homme tel que toi. Tu vas servir et donner du plaisir à tous ceux qui le désireront. Vas y maintenant, lâche toi ..
Ne pouvant me retenir plus longtemps, et surtout parce qu'elle me l'a demandé, je jouis, sans un mot. Je n'ose pas faire le moindre bruit. C'est tout juste si ma respiration s'est accélérée. Je sens le sperme couler de ma main, de petites tâches se sont formées sur le sol.
- Lèche !
Lentement, je porte ma main à ma bouche et la nettoie de mon liquide chaud. Ensuite, je me penche, et lèche tout le sperme qui se trouve sur le sol. Pour faire tout cela, il faut que je me surpasse. Ici, je ne suis plus moi même, je ne suis que celui que l'on me demande d'être. A partir de maintenant, mes limites ont disparues, elles sont devenues les limites de la Comtesse ...
- C'est bien, lève toi m'ordonne t-elle.
Alors que je m'exécute, elle attrape ma laisse et la tend à Jean Paul. Toutes les personnes qui sont restée assister à mon petit spectacle improvisé retournent dans les escalier pour se diriger au premier étage.
- Jean Paul, vous pouvez l'amener dans l'arène maintenant.
- Bien sûr Comtesse, avec plaisir.
Je suis Jean Paul, nous nous dirigeons vers une porte qui se trouve sous l'escalier. Jean Paul tends la main et ouvre la porte ...

Chapitre XII : L'arène.
Derrière la porte se trouve un petit couloir, long de deux mètres tout au plus se terminant par une autre porte. Sur le coté gauche se trouve un crochet auqeul Jean Paul attache ma laisse, après m'avoir détaché. Il me pousse devant lui, ouvre la seconde porte et me voilà dans ce qu'Ils appellent l'arène. C'est une pièce ronde, assez grande, elle doit faire une quinzaine de mètres de diamètre. Les murs sont recouverts de glaces qui doivent faire chacune deux mètres de large. Dans n'importe quel sens que je regarde, je vois mon image sur les murs. Il y a dans cette arène une lumière plutôt faible. Au dessus des glaces, à environ deux mètres du sol, de nombreux rideaux font le tour de la pièce. Au centre de la pièce se trouvent deux anneaux fixés au sol à environ cinquante centimètres d'intervalle. Jean Paul me guide jusqu'entre ces deux anneaux, puis se retourne et me laisse seul, sans me dire un mot. Il repart par la porte que nous avons empruntés pour entrer. Lorsqu'il la referme, je m'aperçoit qu'il n'y a pas de poignée de ce côté de la porte, donc aucun moyen de sortir d'ici.
J'entends des voix, nombreuses, des rires aussi. Tout à coup, les rideaux se trouvant au dessus des glaces se lèvent, mais très lentement. Les voix se taisent. J'ai les yeux baissés, mais je sais que les rideaux ont libéré la vue de tous les gens que j'ai vu plus tôt dans le hall. Tous les yeux sont posés sur moi. Je lève lentement la tête pour apercevoir qu'il y a trois rangées de spectateurs. Un spot s'allume, je me retrouve au centre d'un cercle de lumière. Comme un artiste arrivant sur scène, j'ai le trac. Mais à la différence d'un artiste, je ne sais pas en quoi va consister le spectacle, même si je ne doute pas d'en être l'acteur.
- Tournes-toi !
Cette voix, je la connais. C'est la voix de la Comtesse. Je me tourne et la cherche du regard, mais je suis ébloui par la lumière. Je suis face à la voix maintenant, mais je ne fait que distinguer la forme sensuelle autant qu'autoritaire de la Comtesse. Je suis dos à la porte par laquelle je suis entré.
- A genoux !
Alors que je m'exécute, j'entends la porte s'ourvrir derrière moi. Alors que je commence à tourner la tête pour voir qui entre dans l'arène, la Comtesse m'apostrophe :
- Qui t'a ordonné de tourner la tête ' Personne ! Tu ne bougeras que quand on te l'aura demandé.
Je sens des mains sur mes jambes, deux de chaque coté. On tire sur mes mollets pour les écarter de sorte qu'ils soient collés au deux anneaux fixés au sol. Puis mes genoux sont fixés au anneaux. J'ai les jambes écartées, je ne peux plus les refermer. Tous les regards sont posés sur moi. J'entends quelques murmures d'admiration, mais je n'ai pas la tête à remercier toutes ces personnes qui m'observent. On m'a souvent dit que j'était mignon, mais ici, j'ai trop peur de ce qui va m'arriver pour y penser. Tout au fond de moi, je sais qu'il ne me sera fait aucun mal irréversible. Mais je ne peux m’empêcher de penser que tout peut basculer d'un moment à l'autre. Mes mains sont attachées dans mon dos à l'aide de menottes en cuir. Les liens sont solides et très serrés. Je n'ai aucun espoir de pouvoir me libérer. Des menottes en cuir sont aussi fixées à mes chevilles auxquelles sont reliées les menottes que je porte au poignets. De cette manière, je suis obligé de me tenir droit, je ne peut pas me pencher en avant. Pour terminer, une cagoule en latex m'est passée sur la tête. Un seul orifice placé au niveau de la bouche me permet de respirer. Je suis dans l'obscurité maintenant. Les bruits se font sourds à travers la cagoule, mais je distingue tout de même la voix de la Comtesse lorsque les deux personnes se retirent.
- Te voilà prêt maintenant. Il me faut aussi te trouver un nom. Attends que je réfléchisse .... Oh, et puis non, tu m'a l'air tellement bien dans ta fonction d'esclave que tu n'as pas besoin de nom. Nous t’appellerons donc Esclave, tout simplement. Mais en tant qu'esclave, tu n'auras pas droit à la faiblesse. Tu devras obéir sans limites aux ordres qui te seront donnés. Il faut que tu sache que tout ce qui va t'arriver ici sera filmé, et chaque participant aura droit bien entendu à une copie de tes exploits.
Je suis dans le noir le plus total, de plus en plus affolé. J'aimerai fuir, mais je suis attaché. J'entends un murmure dans le public. Je sens des présences près de moi, nombreuses. Une main de femme me caresse à travers le body et une voix me murmure à l'oreille.
- Je suis ici pour te diriger. Tu es là pour donner. Et tu vas te donner ! Ton corps et ton esprit ne t'appartiennent plus. Si tu ne m'obéis pas, j'aurai quelques surprises pour toi dont voilà un minuscule aperçu.
Sur ce, je sens les lanières de ce qui est sans conteste un fouet. Elles glissent lentement sur mes épaules. Puis je sens un coup de fouet sur mes bras tendus, un autre sur les mollets au sol, ensuite sur les cuisses et pour finir sur le ventre. J'ai eu mal, mais cela reste supportable. J'essaie donc de bouger le moins possible, pour ne pas subir le fouet un peu plus.
- Tiens-toi droit!
Je tire sur mes bras pour me redresser le plus possible. Mes chevilles sont légèrement décollées du sol. Je sens deux jambes féminines qui se collent à mon corps, devant moi.
- Lèche, et appliques toi.
C'est avec plaisir que je me rends compte que le sexe que l'on me présente est épilé, complètement. Ma langue s'aventure dans les plis de cette chatte qui m'est offerte. Le femme lève une jambe pour laisser un peu plus de place à ma langue. Je m'insinue dans ce corps inconnu. je lèche ce clitoris, l'aspire, le prends délicatement entre mes dents. Je l'embrasse puis lance ma langue profondément à l'intérieur. Des doigts aident ma langue, mais je ne sais pas s'ils sont ceux de la propriétaire de cette chatte délicieuse ou ceux d'une autre inconnue. Je sens son plaisir me couler dans la gorge. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens les contractions typiques de l'orgasme agiter ce doux vagin. J'entends les cris de bonheur de celle que je suis en train de faire jouir. Je ne cesse pas pour autant de lécher le clito. Puis elle se retire. Mon sexe s'est dressé au travers de mon body depuis un moment déjà.
- C'est bien. Elle a bien joui. Passons à la suite. J'ai dans la main un scalpel, et je te conseille de ne surtout pas bouger.
Sur ces mots, je sens la lame sur mon épaule gauche. Lentement, elle découpe le haut de mon body. Je tremble, j'ai peur, je ne vois pas ce que l'on me fait. La bretelle gauche cède. Puis la droite, alors qu'une fine coupure fait couler une petite goutte de sang sur mon épaule. Le body ne tient plus que par les hanches. Mes pectoraux imberbes sont maintenant à la vue de tous.
- Tu as bougé, tant pis pour toi ... La prochaine fois, le scalpel ira peut être un peu plus profond si tu ne fais pas attention.
Une autre paire de jambe se colle à mon ventre. La main qui quelques secondes plus tôt tenait le scalpel me fourre un sexe masculin dans la bouche. Je suis obligé maintenant de sucer cet homme que je ne connais pas. Alors que je le prends dans ma bouche, je sens un liquide chaud jaillir sur mon torse. Un autre homme, qui se branlait près de moi, vient de jouir. Une main étale le sperme. Je suce cette bite du mieux que je peux. De temps en temps, un homme joui sur moi. J'ai le corps, le visage et le dos recouvert de sperme. L'homme ne tarde pas à jouir dans ma bouche. Je sens un filet de sperme couler au coin de ma lèvre pendant que je continue de lécher le gland lentement.
- Je vois que tout cela te fait bander très fort, mais ne compte pas jouir. Ici, c'est le plaisir des autres que tu dois servir. Et cela ne fait que commencer ...

Chapitre XIII : Film.
Cela dure ainsi un long moment, certainement plus d'une heure, voire même deux ou trois. J'ai complètement perdu la notion du temps. Chaque queue qui joui dans ma bouche est remplacée par une chatte, et vice-versa. Je ne croyais pas pouvoir un jour atteindre un tel niveau d'avilité. J'ai peut être donné du plaisir à une vingtaine de personne, sans compter ceux et celles qui se sont masturbés autour de moi, et sur moi aussi. Mai certains d'entre eux ont du utiliser les services de ma bouche en plusieurs fois. Et pendant tout ce temps, la voix qui me parle a l'oreille n'a pas arrété de me parler, peut être pour me donner du courage, mais certainement aussi pour me montrer à quel point je suis devenu esclave de mes désirs et de leurs plaisirs à eux.
Enfin, tout cela s’arrête. Ma cagoule m'est retirée. Le spectacle qui s'offre à moi est étrange. Je peux me voir dans tous les miroirs autour de moi. Et je découvre enfin la personne qui m'a parlé depuis tout à l'heure. A mon grand bonheur, il s'agit de Carole. Je n'avais plus espoir de la voir ici. Je me doute qu'Alex est dans les tribunes. Peut-être à-t-il joui sur moi ou dans ma bouche tout à l'heure. Je ne le vois pas. Je penche la tête et observe tout ce sperme sur moi. Certaines coulées sont complètement sèches alors que d'autres sont encore tièdes. Carole se met face à moi et m'embrasse rapidement.
- Je vais finir de t'enlever ce body pour que tu puisses te laver correctement.
Elle attrape le scalpel et délicatement termine de le découper sur les côtés. Elle à apparemment l'habitude de manier cet outil ... Je m'en tire avec juste avec une légère égratignure. Cela me fait plaisir de voir que Carole prends soin de moi.
Mon regard se lève un peu. je regarde ces gens qui m'observent avec plus ou moins d'attention. Le spectacle est maintenant plus calme. Ils ont quasiment tous un verre à la main. Certains mangent, comme cette femme qui tient dans sa main une cuisse de poulet et la porte à sa bouche en regardant son voisin droit dans les yeux. Dans un autre endroit, cela n'aurait rien eu de particulier, mais ici, on se croirait vraiment au beau milieu d'une orgie romaine. La main de l'homme se pose sur un sein mais descend rapidement. Je ne peux plus voir cette main mais je ne dout à aucun instant de sa destination. La femme continue de manger comme si de rien n'était, un sourire animal posé sur ses lèvres.
Je me rends compte que je ne suis là que pour faire le spectacle. Je suis un film porno vivant.
Certains vont se branler au cinéma, d'autre viennent ici. La différence est qu'ici tout le monde ose dire pourquoi il est là. Et les gens n'ont pas peur de se mélanger. La première partie de mon spectacle terminée, certains discutent entre eux comme à l'entracte, d'autres se caressent, mais tout ceci se fait dans une atmosphère étrange. J'ai effectivement l'impression d'être dans un film, je ne suis en fait qu'un acteur, l'acteur d'un rôle que je n'aurai jamais cru jouer un jour. Mais je suis un peu fier de moi, de savoir qu'ici je peux faire tout ce qui m'est interdit, ou plutôt que je m'interdis ailleurs. Alors que je sui perdu dans mes pensées, Carole me rappelle à la dure réalité maintenant qu'elle vient de me dévêtir complètement.
- Tiens voici un gant et un bac d'eau. Lave toi bien.
Me voilà donc en train de m'ôter tout ce sperme qui souille mon corps. Cela prends un certain temps car tout est presque sec. Mais apparemment, les gens ne font plus trop attention à moi, hormis quelques regards en coin. Je m'applique à devenir le plus propre possible, n'économisant pas le savon et frottant énérgiquement. Je fais tout cela comme détaché, comme s'il m'était habituel de me laver ainsi, à l'aide d'un simple bac d'eau, devant une bonne cinquantaine de personnes. Pendant tout ce temps Carole reste dans l'arène et m'observe avec affection. Lorsque j'ai fini, elle vient vers moi et m'essuie lentement. Les gestes de Carole me font du bien. Elle me parle doucement à l'oreille pour me dire que j'ai fait d'énormes progrès, que je suis parfait et que je vais voir comment un garçon tel que moi peut tomber dans la débauche la plus totale.
- Et je suis certaines que si tu savais ce qui t'attends, tu t'effondrerais sur le champ.
- Pourquoi, qu'est-ce qui va m'arriver'
- Tu le saura bientôt, mais pour l'instant, je vais te laisser, tout le monde ici, et une personne en particulier, veulent savoir comment s'est passé ton week-end.
Sur ce, Carole se retire, me laissant une fois de plus seul avec mes doutes. Qui est cette personne qui veut savoir, plus que les autres, ce qui m'est arrivé pendant le week-end. Quelles surprises me réservent encore ceux qui ont pris en main mon destin. On amène bientôt deux téléviseurs à écran géant que l'on place au centre de l'arène, sans s'occuper de moi qui suis toujours là, seul, debout dans l'attente de la suite. Lorsque les écrans sont installés de façon à ce que tous les spectateurs puissent les voirs, la comtesse se léve et prend la parole.
- Esclave, tu as été parfait jusqu'ici dans l'arène. Nous allons maintenant voir quelles ont été tes aventures de ces deux derniers jours. Il faut que tu saches qu'une surprise t'attend à la fin de cette séance. Mets toi debout près des écrans, que tout le monde puisse voir quel est l'acteur de ces séquences qui ont été filmées par notre ami Alex.
C'était donc ça, tous les films pris par Alex depuis vendredi soir vont être diffusés maintenant dans l'arène. Je me vois, là, nu, debout, mon image renvoyées par les mirroirs entourant l'arène, attendant de voir mes ébats diffusés devant de nombreuses personnes. Tout à coup, la lumière baisse pour plonger la salle dans le noir, comme au cinéma. Un cinéma dont je vais être l'acteur. Mais autre chose me trouble plus encore. C'est la surprise qui m'attend, et qui est cette personne dont m'a parlé Carole tout à l'heure ...
Les écrans s'allument, l'image est renvoyé partout dans les miroirs de l'arène. Je reconnais tout de suite l'endroit, le magasin où j'ai acheté mon string vendredi à midi. J'apparait bientôt sur l'image. Rien ne va donc m'être épargné, je vais revivre ici toutes mes aventures. Je reste là, comme tétanisé, me regardant descendre aux enfers. D'abord le magasin, puis chez mes Nouveaux Maîtres. Même certaines séquence dont je n'ai jamais soupçonné qu'elles aient pu être filmées, comme mon déshabillage dans l'entrée ou le repas de vendredi soir à l'auberge. A la vue de ces images, je sens mon sexe se soulever lentement, au rythme de mes pulsations cardiaques, qui s'accélèrent de plus en plus. Lorsque la séquence, dans le bois, où j'ai prononcé le désir de me faire prendre arrive, je peux enfin compter le nombre d'hommes qui m'ont utilisé. Neuf ! J'ai été pris par neuf hommes, à la chaine. Moi à quatre pattes, souvent un sexe dans la bouche. Par deux fois, ils sont même venu jouir dans ma bouche. La fellation que j'ai prodigué ce matin à mon réveil termine la projection. Les lumières se rallument.
Je suis là, le sexe fièrement dressé maintenant, les gens applaudissent. Ce film a certainement duré plus de deux heures, deux heures ou je n'ai pas arrété de bander. Je ne sais pas quelle heure il peut être. J'ai perdu toute notion du temps. Mais après une courte réflexion, je me dis que lorsque je me suis réveillé, le soleil était déjà levé depuis un bon moment, il était peut-être dix heures. L'après-midi doit être bien entamé maintenant. Je n'ai rien mangé depuis hier soir.
Les téléviseurs sont sortis de la pièce. Mon sexe retrouve son état normal. C'est étrange, cette sensation de frustration, de ne pas jouir alors que je ne suis là que pour faire jouir les autres. Mais j'adore ça. La comtesse entre et vient me parler.
- Je crois que nous avons tous particulièrement apprécié ce spectacle. Toi aussi je pense. Tu as découvert de nombreuses sensations ce week-end. Tu en connaîtras d'autres avant la fin de cette journée, fais moi confiance. Mais en attendant, peut-être veux tu te reposer un peu, tu es debout depuis longtemps.
- Oui, merci, j'aimerai aller aux toilettes.
- Mais pas de problème.
J'aurai du me douter que cette proposition cachait quelque chose. J'aurai dû savoir que la Comtesse ne propose jamais aux esclaves un peu de répit. A la rigueur elle leur ordonne le répit ... J'ai encore décidément beaucoup de choses à apprendre.


Chapitre XIV : Surprise.
- Qu'on lui amène un pot de chambre !
- Quoi ' Ici ' mais ..
La gifle stoppe toutes mes protestations. Cela aussi j'aurai dû m'y attendre. Et j'aurai dû le savoir, on ne proteste jamais. Il va donc falloir que j'urine là, devant tout le monde. Je ne pourrai jamais le faire. Et pourtant, plus je me dis que je n'y ariverai pas, et plus l'envie de pisser est forte. Alors qu'un homme pose un pot de chambre en porcelaine à mes pieds, la Comtesse se met derrière moi et me caresse lentement les fesses.
- Allez, ne nous fait pas attendre.
- Mais, je ne peux pas ...
- Détends toi, ou dois-je te donner la féssée '
- Non Comtesse, j'essaie.
Effectivement j'essaie. Je me dis que de toute façon, les gens présents dans cette arène ont tous assisté à mes ébats de tout à l'heure ainsi qu'à la projection du film. Et comme je n'ai pas uriné depuis que je me suis levé ce matin (on ne m'en a pas laissé le temps). L'envie et la plus forte et un long jet d'urine sors bientôt de mon sexe. Je n'ai jamais eu aussi honte, même pas dans la boutique hier pendant l'essayage.
- Stop !
- Pardon '
- Arrête toi de pisser ! Tout de suite.
Il me faut faire un effort quasi surhumain pour m’arrêter. Mais au bout d'une seconde ou deux, mon jet d'urine se tarit. L'envie de pisser est encore plus forte. Quelle folie va-t-il encore m'arriver, pourquoi me faire pisser ainsi, devant tout le monde, pour ensuite me dire de m’arrêter ' Est-ce juste pour voir si j'en suis capable ' Je ne sais pas.
La comtesse me passe un bandeau sur les yeux. Je ne vois plus rien, je suis vraiment désorienté. Au bout de quelques secondes, un main se saisie de mon sexe du bout des doigts. La voix de la Comtesse m'ordonne de recommencer de pisser. Je me lache donc, le sexe dans cette main inconnue. Je suis tombé bien bas, une fois de plus, je me dis que je suis arrivé au bout, qu'il ne peut rien m'arriver de pire.
Et pourtant ...
Tout à coup, une main me retire le bandeau que j'ai sur les yeux.
Mon cour s’arrête à la seconde ou je découvre le visage de la personne qui me tient le sexe. Je n'arrive pas à y croire. Ma vie est terminée, je ne pourrait plus me regarder en face. Cette personne n'est autre que Soraya, ma copine, l'amour de ma vie. Elle me regarde en silence. Une larme coule lentement du coin de son œil droit. Je ne sais pas quoi dire. Ma tête explose de question. Comment a-t-elle su que j'étais ici ' Comment vais-je lui expliquer ' Va-t-elle toujours vouloir de moi après ça ' Et pourquoi n'a-t-elle rien fait pour arréter tout cela ' N'est-elle pas partie pour le week-end '
Alors que je tente de bredouiller son nom, elle murmure un "chut" amoureux et m'embrasse. Je tremble. Mon envie de pisser s'est évidemment arrétée. Elle me regarde comme si c'était la première fois qu'elle me voyait, et aussi la dernière. Elle me découvre. J'ai peur, je suis persuadé qu'elle ne va plus vouloir de moi.
- Je t'aime Julien.
- M... M... Moi aussi Soraya.
Voilà tout ce que je trouve à dire, "Moi aussi". C'est d'une platitude inégalable en un instant pareil.
- Je ne croyais pas que tu sois capable de tout ça.
- Mais ...
- Tais toi. Tu voulais connaître la soumission. Tu connais.
- Comment as-tu appris '
La discussion a duré ainsi quelques minutes, pendant lesquelles elle n'a pas laché mon sexe. Elle m'a tout raconté. Comment elle avait réagit la seule et unique fois ou je lui ai parlé de mes désirs de soumissions. Comment à force de réflexion, elle s'est rendu compte que c'était aussi ce qu'elle désirait. Comme je discute souvent sur Internet, elle s'est arrangé pour entrer en contact avec des gens qui pourraient me donner un premier aperçu de la soumission. Son choix s'est porté sur Carole et Alex. Elle leur a parlé de moi et ils se sont arrangés entre eux pour que je crois notre rencontre sur ce forum due au hasard. Et vendredi soir, c'est avec Soraya qu'Alex discutait sur le forum internet.
Et moi qui était certain avoir tout choisi. J'était persuadé de les avoir sélectionné. Mais non. Et a bien y réfléchir, ils sont les seuls que je n'avait pas rencontré sur un forum dédié au BDSM. Ils ont su faire venir la discussion la où ils voulaient qu'elle aille. Depuis le début je n'ai fait que suivre les désirs de Soraya. C'est tout elle ça ! Tout ou rien ! Faire de Julien un objet sexuel ' Qu'à cela ne tienne ! Un week-end chez Carole et Alex (qu'elle a rencontré de nombreuses fois) est la meilleure des façons de commencer.
C'est ce moment là que chosit la Comtesse pour intervenir.
- Julien, je pense que tu devrais t'agenouiller devant ta nouvelle maîtresse.
- Oui, mets toi à genoux devant moi.
Sans hésitation aucune, je m'agenouille et baisse la tête.
- Définitivement, j'aime te voir ainsi Julien. Le corps entièrement rasé est une chose que j'apprécie particulièrement. Il faudra que tu veilles à rester parfaitement imberbe dorénavant. Et je suis persuadé que Carole et Alex n'apprécieraient pas de te voir autrement
- Qu .. Quoi '
- Mais oui. Nous allons certainement les revoir souvent. Ce qu'ils ont fait de toi ce week-end m'a énormement plu. A partir d'aujourd'hui, tu seras mon plaisir, mais aussi le leur.
- .... Bien ....
- De toute façon tu n'a pas le choix, à compter de maintenant tu n'as plus aucun pouvoir sur moi. Je vais vivre comme je l'entends. Toi aussi d'ailleurs .... tu vivras comme je l'entends !
- Je ferais ce que tu voudras, je t'aime.
- Heureuse de te l'entendre dire.
Après quelques secondes ou son regard a été plongé dans le mien, elle s'assoit sur une chaise, amenée là comme par hasard au bon moment. J'ai honte, je suis là, aux pieds de celle que j'aime, et elle sait maintenant tout de ce que je croyais lui cacher. Pour me montrer que je suis devenu pour elle un objet de plaisir, elle saisit ma tête et la porte entre ses jambes après avoir relevé sa jupe.
- Lèche-moi, et Fais-moi jouir !
FIN

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