Quelquefois une simple rencontre
décide de ton orientation sexuelle
et certaines rencontres de ta soumission
La première fois d'une kahba
Fin
Arrivé dans ma chambre je me suis assis sur mon lit, complètement déboussolé. J’avais peur de retourner là-bas mais je ne voulais surtout pas que cela s’ébruite. Je ne savais pas jusqu’à quel point ils savaient où j’habitais et ce qu’ils pourraient raconter. Après un moment d’hésitation, je finis par me préparer en ôtant comme il me l’avait demandé mon slip et mes chaussettes...
Je quittai l’appartement de mes parents un quart d’heure avant le rendez-vous, juste vêtu d’une paire de vieilles basquettes, de mon short en nylon sans rien dessous et de mon maillot. Le fait de me retrouver dans cette tenue en pleine rue m’excita et je ne tardais pas à avoir la gaule.
Naturellement, dans le short ample, cela se voyait et je devais essayer de camoufler le tout sous mon maillot, du moins le temps d’arriver dans la zone moins fréquentée. J’y croisai deux ou trois hommes, immigrés, qui avaient un grand sourire aux lèvres en me regardant mais je ne m’arrêtais pas et continuai mon chemin, à leur regret je présume. Arrivé au lieu du rendez-vous, la voiture était déjà là. Il descendit, un sac plastique à la main.
- Mets-toi nu et après, ti mets tous les vêtements qu’il y a dedans!
Alors que je voulais monter dans la voiture pour me changer, il m’en empêcha:
- Non pas besoin, fais ça dehors! Vite!
Il sortit du sac une jupe courte et un espèce de chemisier en satin, avec une perruque et des escarpins à talons. Alors que je regardais bouche-bée tout l’attirail posé sur le capot de la voiture, il me tira de mon hébétude en attrapant mon short et le baissant:
- Magne-toi pidi! À poil et mets tout ça!
Je retirais mon short et enfilai la jupe qu’il me tendit. Évidemment, les vêtements étaient trop petit. J’ai eu du mal à fermer la jupe autour de ma taille. La peau blanche de mes grosses cuisses ressortait vulgairement par rapport à la couleur marron foncé de la jupe qui m’arrivait à mi-cuisses et j’avais l’impression que mon cul était à peine camouflé en dessous. Le chemisier lui me boudinait et faisait ressortir mes bourrelets et ma poitrine.
Je posais la perruque sur ma tête et enfilais les escarpins, qui fort heureusement étaient assez grands. Je n’étais plus moi-même et me sentais vraiment tout bizarre, pire qu’une pute. J’avais envie de m’enfuir en courant mais j’en étais incapable. Deux autres hommes étaient en train de regarder la scène, dont l’un avait carrément la bite à la main en train de se branler.
- Voilà! Comme ça c’est bien! Ti es devenue une vraie fimelle! Ti vas plaire à tous les arabes du coin ma salope! On va dans le parc...
- Hein? Où ça? Non, je peux pas aller comme ça, c’est pas possible!
- Bellah foumouk!? Tu obéis Karhba! Les zamels de français comme toi, c’est juste que des trous à bite pour les immigrés et ils disent rien! Avance et ti vas jusqu’aux terrains di foot. Moi ji reste derrière toi! Si ti déconnes, j’ti jure, je te chope, ti prends une raclée! Et si on ti demande comment ti t’appelles, tu dis Stéphanie! C’est bon?
Sans répondre - les larmes commençant à me monter aux yeux - je me mis à déambuler honteusement dans cette tenue au milieu de la zone pour aller jusqu’au grillage qui délimitait le contour du parc. J’avançais le plus vite qu’il m'était possible à cause des escarpins, manquant de me tordre les chevilles tous les deux pas, n’arrêtant pas de tirer sur la jupe qui remontait à chaque pas. Pour parvenir du côté des terrains de foot, une fois le grillage passé, je devais traverser une partie du parc mais heureusement, ce n’était pas où il y avait les activités de loisirs.
Je n’y ai croisé que des hommes seuls, semblant se promener tranquillement. Tous ne manquaient pas de me dévisager et de me scruter de la tête aux pieds, se retournant sur mon passage.
Arrivé aux abords des terrains de foot, je repérais Mohamed assis sur un banc, en pleine discussion avec un autre homme du même âge, la peau noire ébène. Tous les deux étaient habillés d’une djellaba avec des sandalettes aux pieds. Je passais devant en espérant que je ne serais pas reconnu mais je venais d’être rattrapé par Karim qui me prit par le bras et m’obligea à aller vers le banc.
- Wesh, comment ça va? Mes amis, je vous présente Stéphanie!
- T’es mignonne la fatima! répondit Mohamed. Approche ma belle!
Karim me poussa vers lui sans ménagement car je ne bougeais pas. Je manquais de tomber et c’est l’autre homme qui me rattrapa avec un grand sourire mettant en valeur ses dents en or. Il glissa direct une main sous la jupe et se mit à me caresser les fesses. Mohamed s’était levé et m’avait plaqué une main sur son sexe.
- Vas-y, touche mon zeb! Fé le bien durcir! Amuse-toi bien avec ma beauté! Vas-y, il est pour toi ma poupée.
Pétrifié, je le laissais guider ma main entre ses cuisses, frottant sa bite et ses couilles, sentant son pieu durcir à nouveau, cherchant Karim du regard. Dans le feu de l’action, l’autre s’était mis à me peloter gauchement les fesses, les cuisses, le ventre, m’attirant contre lui, jusqu’à me forcer à m’asseoir sur ses genoux, relevant la jupe bien haut.
J’ai de suite senti au travers de la toile de la djellaba un morceau de chair énorme gonfler entre ses jambes. Alors que Mohamed soulevait sa djellaba pour me plaquer la tête sur sa bite, le black déboutonna le chemisier comme un sauvage et me prit les seins à pleines mains, me les pétrissant comme un forcené, m’arrachant des grimaces de douleur.
La bite de Mohamed ne tarda à glisser entre mes lèvres, me ravivant le goût de sperme du matin. Coincé sous la toile qu’il avait redescendu, la perruque en vrac, j’avalais tant bien que mal sa teub, tentant de l’empêcher d’entrer trop profondément, en essayant de le repousser avec mes mains en appui sur son ventre. Le black avait lui aussi remonté sa djellaba en restant assis et à mesure qu’il me faisait sauter sur ses genoux, je sentais sa bite se rapprocher de mon trou.
À un moment, j’entendis Karim dire quelque chose en arabe et immédiatement les autres me lâchèrent, m’aidant à me redresser et à retrouver un semblant d’apparence. Je reboutonnais vite fait le chemisier en regardant autour de nous pour voir ce qui se passait.
En fait, il s’agissait simplement d’une mère de famille qui arrivait en poussant une poussette, accompagnée des deux autres gamins. Étant donné la distance, elle ne devait rien avoir vu. Karim me prit par le bras et m’indiqua un endroit au fond du parc, derrière les terrains de foot.
- Allez pétasse, on va là bas! On sera plus tranquille.
Effectivement de loin, l’endroit semblait déserté. À mesure que l’on approchait, le black me remettait la main au cul sous la jupe, me pinçant de temps à autre les fesses ou essayant de glisser un doigt entre elles, tout en discutant avec Mohamed.
Comme nous ne croisions personne, ils ne se gênaient pas dans leurs attouchements et ne faisaient rien non plus pour camoufler la gaule qu’ils avaient et que l’on devinait aisément sous leurs djellabas. Une fois les terrains de foot passés, nous avons bifurqué et emprunté un petit chemin façonné par quelques passages non réglementés, au fil du temps, qui permettait maintenant d’accéder derrière les buissons et bosquets pour être carrément à l’abri des regards.
En me retournant, je vis que Karim n’avait pas suivi. Je me suis donc retrouvé avec les deux autres qui se sont foutus carrément à poil, retirant en même temps leur djellaba.
C’est là que j’ai pu voir la queue immense du black; un gros boudin noir d’au moins 20cm de long avec un diamètre de 4 ou 5cm, le bout rose comme un gros champignon tendu vers le ciel. C’est le black qui m’attrapa et me plaqua dos contre lui, plaçant sa queue raide entre mes jambes.
Mohamed déboutonna et abaissa le chemisier sur mes bras, m’interdisant de la sorte pratiquement tout mouvement. Il se remit à me triturer la poitrine, me pinçant et tirant le bout des seins. Alors que je gesticulais pour essayer de me dégager, il m’attrapa par la nuque pour me forcer à me baisser devant lui, m’attirant de nouveau vers sa queue toujours autant gonflée.
C’est là que je remarquais qu’il avait la bite et les couilles rasées, ce qui faisait ressortir son paquet car il était plutôt très poilu de partout. Il me fit bouffer son zob sans ménagement alors que le black, après avoir craché dans sa main pour me lubrifier la rondelle, était en train de me rentrer deux doigts dans le cul.
Malgré la pénétration du matin par Karim, je le sentis passer, entrer et sortir, me fouillant les intestins. Heureusement qu’il crachait abondamment sur ses doigts car la bave facilitait le passage et évitait de me faire trop morfler. Par contre, voyant que cela coulissait pas trop mal, il en profita pour en rajouter un troisième. J’étais incapable de dire où j’avais le plus mal, entre les assauts de la bite de Mohamed entre mes lèvres et les gros doigts du black qui me pistonnaient de plus en plus vite.
Au moment où il retira ses doigts et tenta de m’enculer, malgré la préparation, je ne pus recevoir le gourdin, vraiment trop gros pour ma rondelle à peine dépucelée depuis une semaine.
À chaque fois qu’il poussait pour entrer, je gémissais et me tordais douleur en essayant de me dégager, essayant de le repousser avec mes mains, mais par la même occasion, je permettais à Mohamed de s’enfoncer bien profondément dans ma gorge.
Pris de panique, je me débattais autant que possible, essayant de repousser l’un et l’autre, gesticulant du cul pour éviter au black de rentrer mais rien n’y faisait, j’étais coincé entre eux et ils s’amusaient en me voyant agir de la sorte. Je pense même que je devais les exciter encore plus.
En fin de compte, le black abandonna, me lâcha après une claque énorme du plat de la main sur les côtes et c’est Mohamed qui vint se planter derrière moi. Je ne sais pas comment il se débrouilla mais lui me pénétra d'un coup sec, m’arrachant un cri de douleur.
J’avais tellement mal que je me suis mis à pleurer, serrant entre mes mains le tissu de la jupe. Du moment où son gland passa ma rosette, il me transperça jusqu’à la garde sans s’arrêter et resta un moment sans bouger, me tenant plaqué bien fort contre lui.
Le black s’était positionné devant moi et se branlait. Il ne tarda pas à se vider et m’aspergea le bas-ventre et les cuisses de grands jets de foutre épais, arrosant par la même occasion ma queue qui ballottait entre mes jambes.
Mohamed ondulait du bassin, m’enculant de plus en vite et de plus en plus profondément, venant faire claquer ses cuisses contre mes fesses à chaque assaut. Il se raidit soudainement et se vida en moi, poussant sur sa teub par petits coups secs et vifs.
Lorsqu’il ressortit de mon cul endolori pour se rhabiller, j’avais du mal à tenir debout tout seul. J’avais mal partout et ne savais plus où j’en étais. Le sperme dégoulinait de mon cul en feu et j’en avais plein les poils pubiens. Je rabaissais la jupe pour la remettre en place comme je pus et refermais le chemisier.
J’étais tout trempé d’un mélange de sueur et de foutre et les vêtements me collaient à la peau. Je récupérais la perruque qui était par terre. Quand nous sommes ressortis par le petit chemin, je vis Karim qui attendait assis contre un arbre. Il se leva à notre approche et échangea quelques mots avec les deux autres hommes. Ceux-ci avaient l’air ravi du moment qu’ils venaient de passer. Ils nous quittèrent rapidement, me laissant seul avec Karim.
- Alors conasse, comme ça ti as pas voulu que le noir il t’encule! Ti verras, un jour il va arriver à te niquer! Il va bien te défoncer ta chatte de fimelle en chaleur. Allez avance! On retourne à la voiture.
J’allais faire demi-tour pour reprendre en sens inverse le chemin par lequel nous étions arrivés mais il décida de passer autre part. En fait, il existait un endroit le long du parc où le grillage était percé, permettant le passage d’un homme. De l’autre côté, nous étions de nouveau dans le no man’s land, à l’abri des regards de monsieur tout le monde mais pas de ceux qui venaient rechercher de la viande fraîche.
Le coin grouillait de mecs à la recherche d’un bon coup. Très vite, un mec s’approcha de moi mais Karim lui fit comprendre que ce n’était pas la peine. Ils devaient se contenter de nous regarder passer, sachant que Karim avait relevé la jupe et la tenait bien haut, exhibant mon cul. J’ai avancé comme ça devant tout le monde, les yeux baissés, rouge de honte.
Arrivé à la voiture, j’ai enfilé mes vêtements vite fait, jetant le déguisement à même le sol du véhicule. Je n’avais qu’une hâte, c’est que Karim me relâche, afin d’aller prendre une douche pour tenter d’effacer tout ce que je venais de subir.
- Mler ma fimelle, tu as bien travaillé. Demain soir, tu vas prendre le métro et aller à la station Porte de la Chapelle pour m’attendre la-bas vers 5h. Ti feras comme aujourd’hui, ti viens juste habillé comme ça, c’est tout!
A ce que je venais d’entendre, je compris que je venais de me fourrer dans de sacrés draps….
Arrivé chez moi, je filais rapidement sous la douche pour me laver. Après m’être bien savonné et nettoyé les parties intimes, je me séchais tranquillement et enfilais un caleçon et un survêtement. La soirée se passa calmement et inutile de dire que j’avais la tête ailleurs en regardant la télévision.
Les douleurs au cul me remettaient en mémoire les assauts que j’avais subits dans l’après-midi et étrangement, j’en ressentais maintenant du plaisir. À mesure que je me repassais le film des événements, ma queue gonflait pour devenir bien dure.
Heureusement que j’étais seul dans le salon, mes parents étant en train de préparer leur départ en vacances, car cela me permettait de me trouver des positions pour camoufler mon érection, et par la même occasion, d’éviter d’avoir trop mal.
En repositionnant correctement ma bite, je m’aperçus à quel point j’étais excité en sentant la mouille sortie de mon prépuce. Pensant à ce qui allait m’arriver le lendemain soir, je n’osais pas me toucher de peur d’exploser.
Malgré mes précautions, cela ne manqua pourtant pas d’arriver quelques instants plus tard, sans même me toucher, simplement par le biais du frottement de la toile du caleçon sur mon gland que j’avais réussi à décalotter un peu. Je me suis vidé en éjaculant comme jamais cela ne m’était arrivé auparavant, prenant un plaisir intense, balançant la purée sans aucune retenue dans mon caleçon. J’étais bon pour en changer avant d’aller me coucher.
Le lendemain, je fus réveillé de bonne heure par le vacarme dû au départ des mes parents. Je savais qu’ils devaient partir tôt dans la matinée mais j’espérais pouvoir dormir tranquillement. Loupé. Je restais un moment sous le drap, attendant que le remue-ménage se calme, observant les rayons de lumière passer entre les volets mal fermés.
Comme tous les matins en cette période j’avais la bite bien tendue et bien dure. À vrai dire, je l’ai eu bandée pendant une bonne partie de la journée, celle-ci se redressant à chaque fois que je pensais à mon rendez-vous du soir. Cela m’était d’ailleurs facilité du fait que j’avais juste renfilé mon caleçon de la veille, après l’avoir décollé.
Je ne craignais pas de voir déboulé quelqu’un et du coup j’avais décidé de ne porter que cela, surtout que le temps tournait à l’orage. Il faisait une chaleur étouffante, et le ciel se chargeait à mesure que la journée passait. Il faut aussi avouer que je m’étais enduit le cul de crème pour apaiser la douleur.
Je me suis habillé juste avant de partir; j’enfilais un pantalon de survêtement en nylon sans rien dessous, un maillot assez grand et mes baskets. En montant dans le métro, j’avais la sensation d’être tout nu et évidemment je bandais. En cette période de congé, il y avait pas mal de monde et c’était aussi l’heure d’affluence avec la sortie du travail.
Sans être trop collé comme des sardines, il y avait quand même pas mal de gens debout. Je me suis frayé un passage pour aller au fond du wagon, le trajet étant sans changement pour moi. Je pouvais ainsi être plus tranquille pour camoufler mon érection. Fort heureusement, j’avais enfilé un maillot de basket trop grand pour moi et cela me permettait de rester discret.
J’avais juste peur que quelqu’un vienne s’appuyer contre moi et du coup sentir ma queue dressée. Les stations défilèrent à vitesse grand V et je faillis louper la mienne, tellement j’avais la tête dans les nuages. Je bousculais deux ou trois personnes pour sortir juste au moment où retentissait la sirène de fermeture.
Comme je ne savais pas sur quel quai je devais retrouver Karim, j’ai décidé de laisser les gens évacuer pour tenter de l’apercevoir d’un côté ou de l’autre des rails. Une fois la foule dispersée, je me suis mis à observer partout pour le trouver.
Il était de l’autre côté, dans la direction inverse de celle que je venais de prendre, ce qui semblait logique. J’empruntais rapidement un dédale de couloir et d’escalier pour aller à sa rencontre. À mon approche, il me fixa sévèrement et détourna les yeux. Je compris de suite qu’il voulait rester discret.
Il me lança deux trois regards et me fit comprendre de me placer devant lui, ce que je fis docilement. Le quai se remplissait petit à petit et à l’approche de la rame, je me suis rendu compte en me retournant qu’il était juste derrière moi. Alors que je m’écartais pour laisser sortir les gens, j’ai senti sa main se placer furtivement sur mon cul.
Le wagon s’étant bien vidé nous sommes monté. Lui s’installa sur un strapontin, assis non loin de moi tandis que je restais debout, me tenant à la barre verticale du milieu. Il resta assis pendant trois stations, me dévisageant de la tête aux pieds, se caressant furtivement les parties sans trop se cacher, un grand sourire aux lèvres et le regard complice lorsqu’il regardait un autre homme assis en face de lui, qui avait bien repéré le manège.
Pour ma part, je ne savais plus où regarder et mon rythme cardiaque commençait à bien accélérer. Karim avait les bras croisés et les mains posées sur son sexe. Je ne pouvais donc pas voir s’il était excité mais je l’imaginais sans difficulté, ce qui accentuait ma gêne.
Lorsqu’il se leva alors que nous arrivions à une station très fréquentée, il ne fit rien pour camoufler la grosse bosse qu’il avait au niveau du pubis. J’ai cru un moment qu’il allait rester à sa place mais alors que les portes se sont refermées, il laissa sa place à une dame âgée et se fraya un chemin entre les passagers pour venir se placer derrière moi, me coinçant entre la barre et lui. Tandis qu’il saisissait la barre de la main gauche, son autre se plaça le long de ma jambe à l’arrière.
Il s’était placé sur mon côté gauche, et je me suis retrouvé inévitablement avec le dos de ma main frottant contre sa bite, aidé des roulis du métro qui ont facilité les attouchements. Les caresses de ma main contre son pieu m’ont permis de vérifier que sa bite était gonflée.
Rouge pivoine je regardais furtivement le mec qui nous avait grillé auparavant et je vis qu’il continuait de ne pas en perdre une lampée. De là où il était, il ne pouvait cependant pas voir que Karim avait placé sa main sur mon cul et me pelotait les fesses.
À l’arrêt suivant, d’autres personnes sont montées, nous obligeant à nous décaler vers le fond du wagon, contre les portes. Dans le mouvement de foule, je me suis retrouvé pratiquement dos aux portes opposées à celles de l’entrée, Karim toujours positionné à côté de moi mais avec en plus le mateur qui s’était rapproché de nous! Je fus obligé de placer mes mains sur mon bas-ventre pour continuer de cacher et de protéger ma bite dressée.
À peine repartis, je sentis la main de Karim passer sous mon maillot et attraper l’élastique de mon pantalon de survêtement. Je fus pris de panique dès qu’il commença tirer dessus pour le faire descendre. J’attrapais instinctivement le devant du pantalon au niveau de ma bite pour empêcher la manœuvre et me reculais au maximum pour plaquer mes fesses contre la porte.
Ma réaction ne me sauva guère, bien au contraire. Comme Karim avait déjà bien tiré sur l’élastique, je ne fis que l’aider encore plus. Je me suis retrouvé les fesses entièrement dénudées, fort heureusement encore cachées par le maillot. Ne pouvant pas le descendre plus bas, Karim s’est rapproché au maximum de moi et a commencé à frotter sa bite contre mon côté gauche, faisant coulisser en même temps son pouce entre mes fesses, jouant toujours avec l’élastique du survêtement. Bloqué de la sorte, je ne pouvais que le laisser faire.
Le souffle court, des bouffées de chaleur au visage, je sentais sa main rugueuse sur ma peau remonter le long dans mon dos pour redescendre ensuite pour faire de nouveau glisser mon survêtement vers le bas, tout en accentuant ses caresses entre mes fesses.
Au bout d’un moment, sa main se stabilisa au niveau de mon cul et c’est au contact de ses doigts sur ma rondelle que j’ai été pris de tremblement et que j’ai attrapé la chair de poule. J’étais électrisé par son audace mais aussi par ma soumission à ce mec que je ne connaissais pas plus que cela. Jamais je n’aurais pensé en arriver là et ce n’était pas terminé! En effet, je le sentis me farfouiller les fesses, glissant ses doigts entre ma raie puis revenant vers mon trou et inversement.
Nouvelle station, nouvel arrêt. Malgré le mouvement des personnes autour de nous, il ne retira pas sa main, continuant son incursion comme si de rien n’était. Avant même que le métro ne redémarre, il entrait un doigt dans mon cul. Je sursautais de surprise, ne pensant pas qu’il aurait été jusque là. La crème que j’avais mis avant de partir lui avait grandement facilité le passage, à tel point qu’il m’en enfonça un second dans la foulée.
Il resta un instant sans bouger, les doigts bien enfoncés. En fait j’effectuais une partie du travail en tentant de garder mon équilibre, balancé par le roulis du wagon du métro, m’empalant pratiquement seul. De temps en temps, il remontait sa main d’un petit mouvement sec, entrant davantage ses doigts dans mon cul. J’avais de plus en plus de mal à respirer et ne savais plus où me mettre, ni où regarder. J’avais l’impression que tout le monde me regardait et savait ce qui se passait. Je n’entendais même plus le bruit du train, perdu dans une espèce de brouhaha cotonneux.
À la station suivante, je me suis retrouvé un peu plus comprimé, les portes du métro ayant même eu du mal à se fermer tellement le wagon était bondé à l’avant. Il profita de la situation et accentua ses assauts, me faisant bien sentir ses doigts qui entraient et sortaient de mes entrailles, glissant entre mes fesses et m’élargissant la rondelle à chaque passage.
J’ai été tiré de mon brouillard en entendant sa voix. Surpris, je me suis retourné vers lui mais ce n’était pas à moi qu’il parlait. Il était en pleine discussion avec un autre homme qui s’était retrouvé à notre hauteur, à côté de Karim. À mesure de la discussion, l’homme souriait et me regardait fixement d’un regard salace et sadique, montrant ses dents en or. En fait, quand je dis qu’il me fixait, son regard alternait entre mon visage et mes fesses. Je savais que Karim était en train de lui raconter ce qu’il me faisait.
L’homme profita de l’arrêt suivant pour remplacer la personne qu’il y avait devant alors qu’elle partait. Face à moi, il passa une main par dessus mon épaule droite pour prendre appui contre la porte. J’étais entièrement cerné, caché aux yeux des autres voyageurs par les deux hommes. Les yeux baissés, je vis le type descendre le zip de sa braguette. Il écarta les pans de son pantalon de toile et sortit sa queue.
Une fois celle-ci extirpée de son carcan, il la positionna sur mes mains qui n’avaient pas bougé et s’appuya bien contre moi. Le morceau était chaud et bien épais, circoncis et déjà à moitié gonflé de ce que j’avais pu en voir. Karim avait toujours ses doigts dans mon cul et s’amusait à les écarter.
Le mec ne tarda pas à bander complètement. De sa main libre, il m’obligea à écarter les miennes pour passer sa teub bien dure sous mon maillot, la plaquer contre mon ventre pour commencer à y frotter son gland. Son souffle s’accéléra à un moment donné et il se tendit, stoppant ses mouvements. Il était en train de me jouir dessus alors que le métro était passé en aérien.
Son sperme ne tarda pas à dégouliner sur mon ventre et alors qu’il rentrait sa bite encore gonflée dans son froc, mon maillot vint se coller à ma peau toute gluante, déclenchant l’apparition des belles taches. Le mec descendit à la station d’après sans même m’avoir regardé, échangeant juste quelques mots avec Karim.
Comme il ne restait plus qu’une station avant le terminus, le wagon s’était légèrement vidé. Afin de rester un minimum discret, Karim avait retiré ses doigts et s’était légèrement écarté de moi. Pour le coup, je me suis retourné complètement face aux portes pour essayer de voir les dégâts. Je me suis rendu compte que mon maillot était bien tâché et que j’allais avoir du mal à tout dissimuler en sortant du métro.
Heureusement que le sperme était sous le T’shirt, cela limitait la casse; mais par contre il avait aussi dégouliné sur mon survêtement mais ça, je ne m’en suis rendu compte que plus tard.
Je suis sorti du métro en laissant passer le maximum de gens devant moi, sans être pressé. Karim ne s’était même pas rendu compte que je n’avais pas suivi dans le flot des voyageurs. Je suis sorti une fois la place vidée, marchant le plus vite possible. C’est en sortant de la bouche de métro que je vis que Karim m’attendait. Je passais devant sans rien dire quand il m’emboîta le pas. Arrivé à ma hauteur il me dit:
- Ti vois le bâtiment, là-bas? Dès que ti arrives sous le porche, tu entres dans le local à droite et tu baisses ton froc, bâtard. Je viens te retrouver de suite.
Le bâtiment en question faisait partie d’une cité que je traversais régulièrement pour gagner du temps, plutôt que de la contourner. En passant sous le hall, j’ai vite remarqué le local poubelle non éclairé, ouvert à tout venant.
J’y suis entré en vitesse, profitant qu’il n’y avait personne aux alentours, rapidement rejoint par Karim. Tandis que je commençais à me dévêtir, il me poussa dans un recoin sombre du local, derrière une grosse poubelle.
- Magne toi de te foutre à poils pédé, j’ai trop envie de baiser ta chatte de fimelle!
J’avais à peine descendu mon pantalon qu’il releva mon maillot, m’attrapa par la taille et m’enfonça sa teub d’un coup sans aucune difficulté pour trouver l’entrée, me faisant serrer les poings pour supporter la douleur.
Il se vida dans mon cul après juste deux-trois aller et retours bien en profondeur, tellement j’imagine son degré d’excitation devait être important. Il se retira aussi vite et aussi brutalement qu’il était entré.
C’est en remontant mon pantalon pour me rhabiller que je sentis qu’il était tout poisseux et plein de sperme lui aussi...
Ce soir là, Karim me laissa en plan et partit sans rien dire.
Pas de suite.... Dommage