Et en plus la réduction de prix est inversement
proportionnelle à la taille de leurs zboubs!!!
VACANCES A DJERBA.
Fin
Chapitre 3 : Les toilettes du restaurant.
Sur ces paroles il se leva lentement, et se dirigeât vers l'aire d'accueil où se tenaient les quatre serveurs et le patron. Je le suivit du regard et le vit leur parler en la montrant du menton. Maria, elle aussi, suivait ce qui se passait entre les tunisiens. Elle me regarda avec du feu dans ses yeux. Elle semblait prête à nous donner satisfaction.
Voyant que les choses allaient se préciser, je fouillait dans les poches de mon veston et en sortit un masque noir que j'avais pris soin d'emporter avec moi. Je le lui donnais, comme un signal. Elle le prit et le posa sur la table.
Dès qu'il revint et sans lui donner le temps de dire quelque chose, elle se leva lentement, se débarrassa de l'écharpe qui enveloppait ses épaules, ramassa le masque et marchât, en ondulant des hanches, vers le fond de la salle où se trouvait les pièces d'eaux... lieux magiques de ses premières dépravations tunisiennes.
Aussitôt un des jeunes la suivit accompagné de Karim. Je laissait passer une petite minute et me dirigeais moi aussi vers les toilettes. Quand j'ouvris la porte des latrines, je vis maria, le masque noir posé sur son visage, appuyée contre le lavabo, la jupe relevée à la taille, les jambes bien écartées, délicatement fléchies, le chemisier complètement ouvert et ses seins bien tendus par le désir que lui procurait la situation.. Elle se caressait l'entre cuisses devant les deux hommes qui la regardaient.
- C'est bon, hein, de me mater quand je me fais chauffer en me frottant la chatte... vous aimez les belles salopes comme moi...je veux que vous sortiez vos queues...je veux vous voir bander pour moi ! Caressez vous ! J'adore voir les hommes se gâter en regardant ma toison qui scintille de mouille ! Allez regardez bien...je m'écarte...mon clito est bandé à mort pour vous...vous allez me le lécher et me le rougir à le faire exploser de plaisir...Je suis une grosse salope, une chienne bonne à baiser !
Karim et le jeune serveur avaient sorti leurs queues et je pus m'apercevoir que le jeune possédait un attribut plus que conséquent. Sa bite devait mesurer près de vingt cinq centimètres. Elle était lisse et parcourue sur toute la longueur de veines bleues gonflées par le désir. Maria le regardait avec délice en sortant la pointe de la langue et la promenant sur ses lèvres rouges écarlates.
En me voyant rentrer elle murmura :
- Chéri, c'est dépravant ce que tu me fais faire ! Mais c'est bon d'être ainsi honorée par ces hommes dans ce lieu public...J'aime çà...observe moi et régale toi !
Je vins me positionner derrière elle, toujours face au deux hommes, lui écarta complètement le chemisier en le faisant sortir de sa jupe et lui saisi les deux tétons avec le pouce et l'index pour les caresser et les faire durcir un peu plus. Je savais jusqu'où ils pouvaient s'allonger. Je l'exhibais comme jamais je ne l'avais fait et comme toujours j'en avais rêvé. Je m'adressais à Mourad, c'était le prénom du jeune serveur :
- Approche toi et vient lui lécher un sein...et toi Karim, l'autre sein est pour toi !
Ils s'approchèrent ensemble et chacun titilla le téton qui lui était destiné. De mon coté, j'avais saisi les lèvres du sexe de Maria et les lui écartais en caressant l'entrée de sa vulve et son clitoris.
Trois homme étaient en train de s'occuper activement de mon épouse qui gémissait de plus en plus et se tordait comme un serpent dans un dédale ; Karim, en lui mordillant la pointe d'un sein, avait lui aussi écarté le string de Maria et avait carrément enfoncé un doigt au plus profond de son intimité.
Je le rejoignis. Maria avait maintenant deux doigts d'hommes différents qui la fouillaient et la faisait geindre de plaisir. Je sentis soudain un autre doigt à travers la fine membrane du vagin. C'était Mourad qui la dominait en lui explorant le doux conduit de son anus.
Trois doigts, trois hommes... ma femme était comblée et ses halètements s'étaient transformés en petits cris qui jaillissaient de son ventre chaud comme de la braise en fusion. Maria eu un premier orgasme qui la laissât pantelante comme une marionnette entre nos bras. Ses jambes la lâchaient. Je la retins et la remis d'aplomb. Elle m'embrassa fougueusement en me suçant la langue comme elle aurait avalé une bite.
Elle s'adressa aux deux hommes :
- J'en peux plus... j'en veux encore plus … je veux vos queues en moi... prenez moi...maintenant !
Ce fut Karim qui la retournât face à moi et lui écartât un peu plus les jambes
- Accroche toi à ton mari... je ne vais pas te baiser la chatte maintenant... je vais te prendre le cul debout comme une jument... cambre toi et écarte bien les fesses... Tu es une vraie chienne lubrique !
Karim approchât son sexe de l'entrée de l'étroit fourreau du cul de ma femme. Il était un peu moins long que celui de Mourad, mais beaucoup plus épais, presque aussi large qu'une canette de bière. Il s'humectât le gland, crachat sur le trou de Maria et s'enfonça lentement. Sous la poussée de l'engin, Maria se cambrait et respirait fortement. Il arrêta une seconde sa pénétration...
- Allez salope...viens vers moi...enfonce toi mon gourdin !
- Ah ! Oui... je le veux tout entier en moi... encule moi salop... encule moi profond... j'aime çà... oui... je suis ta chienne !
Karim la besognait férocement en alternant les coups lents et les coups où il rentrait complètement sa barre d'ébène. Maria était comme folle. Sa tête allait dans tous les sens. Elle couinait comme une truie :
- Oh ! putain qu'est ce qu'il me met ton copain mon chéri... Il m'encule à fond... a fond ! je jouis par le cul ! Je vais m'évanouir !
Pendant ce temps, Mourad admirait cette somptueuse femelle en train de se faire trouer le cul devant son mari dans les toilettes publiques du restaurant où il travaillait. Son sexe était devenu pourpre et long, très long même !
Je me détachait de ma femme et pris le jeune par le bras pour qu'il prenne ma place face à elle. Maria posa ses bras sur ses épaules et commença à lui lécher et à lui mordre le bout de ses seins. Elle était face à lui. Derrière elle, le pantalon descendu sur les chevilles, Karim continuait de la sublimer comme un forcené.
Il lui prit la tête et la pencha pour que sa bouche se retrouve à la hauteur du magnifique sexe de Mourad. Maria comprit tout de suite. Elle emboucha le jeune serveur et l'avala presque en entier. Elle passa sa langue de feu sur toute la longueur de la hampe pour finir en apothéose par lui mordiller le gland.
Mourad ne résista pas longtemps à ce traitement de haute faveur qu'il n'avait jamais connu. Il lâcha tout son sperme sur le visage masqué de mon épouse en proférant en arabe des insultes que je ne compris pas.
Presque aussitôt Karim sortit son engin du cul de Maria laissant entrevoir une dilatation de l'orifice qui avoisinait le diamètre d'un verre de thé. C'était un spectacle surréaliste ! Il la força à se mettre à genoux et lui baisa la bouche en ahanant avant de se tordre de jouissance et de lâcher tout son jus dans sa gorge :
- Avale...avale tout ma belle salope !
- Oui...oui...donne...donne moi tout de toi, salaud ! Je veux tout...je veux t'avaler ! C'est bon...c'est bon !
Maria avait la bouche grande ouverte et je la voyais déglutir pour boire toute la jouissance de Karim. Je me penchais vers elle et l'embrassa en mettant ma langue au plus profond d'elle. Le sperme de Karim me coulait sur les lèvres. Il avait un goût salé de nectar divin.
Les deux hommes se recouvrir et sortirent ensemble des toilettes. Je restais avec ma femme. Je la relevais et l'aidais à remettre en place ses vêtements.
- Alors, ma chérie, çà t'as plu ? Tu en as eu assez ? Comme tu voulais ?
- Oh oui ! C'était dépravant à souhait, surtout dans ce lieu... et avec deux hommes... devant toi ! Mais je suis prête à recommencer ! tu me connais... je suis infatigable dans ce domaine ! Mais la nuit n'est pas finie ! N'est ce pas ? Elle ne fait que commencer ! Et toi, çà t'as plu ?
- Beaucoup ! J'aime te voir prendre du plaisir ainsi et avec d'autres hommes que moi ! Tu as raison, la nuit ne fait que commencer et nous te réservons, avec Karim d'autres réjouissance que tu apprécieras certainement en belle vorace de sexe que tu es. Tu es très belle après que tu ais joui ! Je t'adore, ma belle dépravée ! Bon ! Je crois qu'il est temps que nous allions finir notre dîner ! Tu n'as pas faim après ces petites frasques ?
- Très faim ! De tout ! Et très soif aussi !
Nous sortîmes ensemble des toilettes. La salle était maintenant vide. A part, bien sur, la table que nous occupions et où Karim était en train de discuter en arabe avec son ami, le propriétaire des lieux.
Celui-ci se leva à notre arrivée et tira la chaise de Maria, pour que celle-ci puisse s'y asseoir. Il la félicita pour sa beauté et s'inclina élégamment avant de se retirer. Karim le laissa s'éloigner et s'adressa à mon épouse :
- Mon ami a été très impressionné par ton audace de te livrer ainsi dans les toilettes. C'est la première fois qu'une telle chose arrive dans son restaurant. Il a donné la consigne à son équipe de n'en point parler pour protéger sa réputation. Tu sais qu il te trouve délicieuse. Il a demandé à mieux te connaître... Tu vois ce que je veux dire. J'ai pris la liberté de l'inviter à venir un peu plus tard boire un petit digestif à la villa. Il est à peine minuit et la nuit s'ouvre devant nous... devant toi belle gazelle.
- Tu as bien fait ! Il a l'air très raffiné et j'ai très envie de continuer cette nuit comme je l'ai commencé... avec trois hommes pour moi toute seule. Pour le moment verse moi un bon verre de ce vin et commande le dessert. J'ai toujours très faim quand je viens de baiser et de jouir comme une folle ! Tu as été merveilleux mon cher ami... n'est ce pas mon chéri qu'il a été à la hauteur ?
- Oh oui ! Et j'espère qu'il va continuer ! J'en suis sur même !
Nous finîmes le repas en plaisantant sur les rumeurs qui allaient circuler entre les jeunes serveurs sur la présence et la sexualité de la française. Karim nous a quand même confirmé que ce qui s'était passé dans les toilettes avec le jeune tunisien demeurerait secret... du moins jusqu'à notre départ !
Maria avait l'air satisfaite d'avoir acquis, dès sa première sortie à Djerba, le statut de ? belle salope ? ! Elle riait de bon coeur en buvant les verres de vin que nous lui servions et sa joie me faisait plaisir à voir.
Quand Karim demanda la note, un jeune serveur nous amena une petite boite où se trouvait une rose rouge avec un mot du propriétaire nous informant que les repas nous étaient offerts. Maria prit la fleur et la glissa dans l'échancrure de son chemisier.
Nous sortîmes sous les regards envieux du personnel toujours présent. Juste avant de franchir la porte, Maria se retourna pour sourire au chanceux qui avait eu l'honneur de la voir s'exhiber et qui avait joui sur son visage.
Tous les serveurs s'inclinèrent poliment et le propriétaire nous accompagnât jusqu'à la voiture garée sur le parking. Il ouvrit la porte avant à mon épouse et lui caressa discrètement les fesses alors qu'elle s'installait confortablement. Maria lui sourit et remonta sa mini jupe jusqu'à la lisière des ses bas résilles, écarta ses jambes, enleva son string pour lui permettre d'admirer sa chatte divinement épilée et le lui donna.
- A tout à l'heure ! Lui dit-elle.
Ahmed porta la petite culotte à son nez, la respira voluptueusement et la mis dans une poche de son veston.
- A tout de suite ! Lui répondit-il. Je ferme mon établissement et je vous rejoins chez Karim.
Le trajet du retour fut court. Maria était radieuse et de temps en temps excitait notre hôte en lui effleurant délicatement la bosse de son pantalon. Elle poussait des petits soupirs de satisfaction en constatant l'effet que ses attouchements produisaient. En effet, je pouvais voir, de ma place à l'arrière, que la proéminence à l'entre jambes de Karim était de belle facture.
- Regarde comme il bande pour moi ! Il a une superbe queue ! Je l'adore !
Et disant cela, elle défit la ceinture et abaissa la braguette pour sortir un membre bandé bien épais qu'elle saisit et secoua voluptueusement. L'homme se trémoussait mais ne quittait pas la route des yeux.
Elle n'alla pas plus loin. Elle le réservait certainement pour la suite.
Une fois arrivés, Karim alerta son domestique pour qu'il prépare le grand salon sur la terrasse et apporte tous les alcools et le grand narguilé. Il fit également installer un grand divan large et profond recouvert d'un tissu chatoyant d'un rouge vif.
Maria nous fit savoir qu'elle voulait prendre une petite douche et se refaire une beauté pour le reste de la nuit. Elle nous quitta et se dirigeât vers notre chambre.
Je restais avec Karim.
La nuit était délicieusement tiède et silencieuse.
Je fouillais un peu la discothèque et trouvais des CD bien adaptés pour émoustiller ma femme. En effet, ma femme aime danser et aime s'exhiber en dansant. J'en fis part à Karim qui manifesta son plaisir à ce talent qu'il ne connaissait pas encore et qui présageait des moments très chauds. Il fit installer la sonorisation sur une table basse et se retira quelques instants pour, me dit-il, se mettre à l'aise et passer une djellaba. Il me conseilla d'en faire de même.
J'allai donc dans notre chambre pour me mettre nu et passer une longue tunique. J'entendais Maria qui chantait sous la douche. Elle était d'humeur lutine.
Quelques secondes après je rejoignis la terrasse où se trouvait déjà Karim vêtu d'une belle djellaba noire avec des motifs blancs brodés sur le col.
Ahmed était arrivé durant mon absence. Il avait gardé son pantalon et son veston bleu marine avec une chemise bleu ciel. Il avait juste quitté sa cravate. Les deux hommes s'entretenaient en arabe. A leurs sourires je sus qu'ils parlaient certainement de ma femme. Ils se levèrent à mon arrivée et cessèrent poliment de parler dans leur langue maternelle.
- Ta gazelle est une sacrée coquine ! Me dit ahmed. En France, vous faîtes souvent des choses comme elle vient de faire à mon restaurant.
- Dans des restaurant, jamais ! Elle a réservé cette primeur à ton établissement. Mais nous organisons de temps en temps des petites soirées à la maison où des hommes que j'ai choisi viennent pour honorer sa féminité. Jamais plus de deux hommes et moi ! Jamais de femmes, malheureusement pour moi. Elle aime être la seule femme dans ce genre de divertissement. De plus, elle est très jalouse et ne veut pas me voir avec d'autres femmes.
- C'est dommage, me dit Karim, car je connais ici à Djerba, une jeune fille d'à peine vingt ans, très belle et très sensuelle qui aime les gazelles, mais qui ne trouve pas son bonheur sur l'île ! Elle s'appelle Mara ! Presque le même prénom ! Elle aurait, je suis certain, beaucoup de plaisir à rencontrer ta femme.
- J'aurai moi-même beaucoup de plaisir à la rencontrer !
- Penses-tu que je peux l'inviter demain ou après demain pour un dîner ? Qu'en pensera ton épouse ? Je lui prends quelquefois des photos. Tiens regarde j'en ai quelques unes ici.
Il se leva, alla chercher dans un meuble à tiroirs et en ressortit une pochette de photographes d'où il tirât deux photos d'une jeune femme nu ou en lingerie blanche et assise sur des tabourets, les mêmes sur lesquels nous étions nous-même installé. Le décor était celui de cette terrasse. Je les regardais attentivement. La jeune fille tunisienne était d'une beauté à vous couper le souffle !
- Délicieuse ! Vraiment très appétissante ! Elle a une chute de reins diabolique et un cul à damner un saint ! Mais je ne peux rien présumer de ses éventuels rapports avec ma femme ! Toutefois il me semble que c'est une bonne initiative que de l'inviter pour un dîner ! L'occasion fait souvent le larron ! Et Maria est toujours très demandeuse de plaisirs charnelles. D'ailleurs, je l'entends qui arrive.
Des bruits de talons sur le parquet en grès du couloir et Maria sortit sur la terrasse.
Elle avait revêtu, si l'on peu parler ainsi, une robe longue noire en voile transparent largement fendue sur les deux cotés. Un petit string noir cachait à peine sa touffe. Elle avait gardé ses mêmes escarpins noirs à hauts talons et ses bas résilles. Elle n'avait pas cru de circonstance de mettre un soutien gorge et on voyait très bien ses beaux seins en poire et surtout ses tétons qui pointaient agressivement.
Elle avait également posé son masque doré sur le visage en prévision des photos et du film que j'avais projeté de réaliser en souvenir de cette soirée de luxure et de son émission sur le net. Pour pimenter son image de femme animale, elle avait mis autour de son cou un collier de chienne noir clouté.
Dès le moment où elle apparu ainsi dévêtue, mon membre devint dur. Je vis Ahmed ouvrir de grands yeux de ravissement. Il ne devait jamais avoir vu une tenue pareille sur une femme aussi belle et aussi sexuellement offerte.
Je vis, également, une très grosse bosse qui se formait sous la djellaba de notre hôte. Maria avait, elle aussi, remarqué l'état d'excitation de Karim. Elle arborait un sourire des plus coquin quand elle nous déclara :
- Messieurs, je suis à vous !
Elle resta debout pour se faire admirer et passa lentement devant chacun de nous en nous gratifiant d'un léger baiser sur la bouche en nous léchant les lèvres.
Je me levai pour mettre une musique adéquate, chaude et rythmée.
Maria commença à danser toute seule en nous regardant. Une bretelle de sa robe était tombée de son épaule. Elle en fit de même pour la seconde, laissant ainsi ses épaules nues.
Ahmed se leva et se mit en face de ma femme. Il dansa un petit moment avec elle, corps contre corps en lui caressant les fesses et le bas de son dos à travers le voile de la robe. Après quelques secondes, il lui saisit la nuque, attira sa bouche vers lui et l'embrassa fougueusement. Maria, toujours en dansant, lui rendit son baiser avec la même ardeur.
Ce fut un spectacle très érotique que de voir sa femme danser et embrasser avec une telle ferveur un autre homme que moi, devant moi et un troisième homme...même un quatrième, car le domestique de Karim qui était en train de servir du champagne dans nos coupes, ne perdait rien du mouvement de ma femme et de son cavalier qui étaient collés l'un à l'autre.
En effet, les deux danseurs ondulaient du bassin au rythme de la musique. Maria avançait son ventre à la rencontre de celui de l'homme qui l'embrassait. A son comportement, je savais qu'elle était déjà bien chaude et prête à toutes les dépravations. Elle lui passait la main sur la braguette.
C'est alors que je vis une bosse monstrueuse qui déformait le pantalon du restaurateur. Maria remarqua elle aussi cette érection hors du commun. Elle se détachât du baiser et le regarda dans les yeux :
- Je te fais bien bander mon salaud ! D'après ce que je touche tu es monté comme un âne ! J'ai envie de te voir nu !
Elle lui enleva d'abord son veston qu'elle jeta par terre et entrepris de lui défaire un à un les boutons de sa chemise qu'elle ôta voluptueusement. Ahmed se retrouva vêtu de son seul pantalon. Maria commençait à lui lécher sa poitrine abondamment velue et lui mordillait les bouts des seins.
L'homme gémissait sous les effleurements de mon experte épouse. Il avait remonté un pan de sa robe et lui caressait les fesses à deux mains. Il entreprit de lui ôter son string qui se retrouva au milieu de ses vêtements sur le sol de la terrasse.
Le baiser devenait de plus en plus bruyant de gémissements et de succions imprégnés par leurs deux langues qui s'introduisaient profondément dans leurs bouches.
Je me levai et allai dans la chambre chercher l'appareil photo et le caméscope.
Quand je revins, Karim se tenait debout derrière mon épouse et lui mordillait la nuque en frottant son ventre contre ses fesses rebondies. Je pris un premier cliché du trio qui dansait, ma femme au milieu des deux hommes.
Elle s'était retournée et embrassait maintenant notre hôte en ne quittant pas de sa main droite l'entre jambes d'Ahmed. La bosse était proprement vertigineuse et j'attendais de voir l'engin qui était destiné au plaisir de ma femme.
Je m'approchais pour bien cadrer la langue de Maria qui allait de bouche en bouche avec des gémissements qui devenaient de vrais petits cris.
Les deux hommes se mirent à genoux, l'un face à elle, l'autre derrière elle. Ils avaient relevé les deux pans de sa robe jusqu'à sa taille et la léchaient goulûment, l'un la chatte et l'autre le cul. Maria, debout, se tordait comme une liane.
Elle était totalement soumise aux appétits sexuels des deux hommes. Je pris une magnifique photo de ce moment. Le domestique, dans un coin de la terrasse, se caressait à travers sa djellaba en regardant cette admirable femelle s'abandonner ainsi aux convoitises de son maître et de son ami.
Je la vis fléchir sur ses deux jambes comme un pantin désarticulé et l'entendis crier comme une démente. Elle eut ainsi son premier orgasme.
Violent, animal, céleste.
Je n'arrêtais pas de clicher sa déperdition pour l'éternité.
On s'est mis à trois pour la relever et l'asseoir sur le profond divan. Sans attendre, je lui enlevais complètement sa robe et la laissais presque nue, seulement vêtue de ses escarpins, ses bas résilles, son collier de chien et son masque. Les deux tunisiens ne relâchaient pas leurs attentions. Karim enleva sa djellaba et Ahmed son pantalon...je ne crut pas ce que vis !
Maria rouvrit les yeux à ce moment, admira avec un petit cri de satisfaction ce qu'elle avait à quelques centimètres de sa bouche...
- HOU ! LA ! LA ! Tu as vu cette bite mon chéri... démente … elle va me rendre folle quand il va me la mettre... il va me défoncer la chatte et le cul avec une matraque pareille. Je veux être sa jument... son esclave ! J'en ais jamais pris d'aussi grosse et d'aussi longue - et s'adressant à Ahmed - Tu vas me prendre avec ta trique ! Je suis à toi !
- Elle est belle hein...elle te plais... tu la veux pouffiasse... tu baves devant elle... je vais te défoncer tous tes trous, espèce de salope ! Je vais te soumettre et te traiter comme une grosse chienne !
- OH ! OUI ! Insulte moi ! Fais moi ce que tu veux... Je veux être ta chienne... Je veux être votre chienne à tous les quatre... Je veux devenir folle de jouissance... Putain quel bite... Je vais la faire durcir comme de l'acier... Je la veux... Je la veux dans ma bouche...je la veux dans mon ventre... je la veux dans mon cul !
Le moment était surréaliste.
La musique se mêlait à la fête et nous amenait à la transe.
Le champagne faisait pétiller notre soif de cette femelle. Son effet était euphorisant.
Le domestique s'était rapproché. Il se masturbait avec vigueur et sa queue avait maintenant une couleur pourpre, prête à exploser.
Karim s'était assis prés de mon épouse et lui doigtait la chatte. Ses doigts étaient trempés du plaisir qui suintait et coulait de l'entre jambes de la femelle déchaînée.
J'avais laissé l'appareil photo et avais saisi le caméscope pour filmer ces minutes d'une beauté et d'une intensité bestiale.
Le sexe d'Ahmed était monstrueusement beau. Une barre d'ébène de près de trente centimètres, bandée comme un cheval en rut prêt à la saillie.
Maria se jeta dessus comme une bête affamé.
Elle commença par cracher sur la hampe et par lécher les couilles du gros tunisien. Elle s'activait sur ce manche sans fin avec voracité et délice. Ses deux mains se promenaient le long des veines gonflées et finissaient par saisir les fesses de l'homme pour bien le maintenir près d'elle. Elle lui glissait l'index sur les plis de son anus et lui taquinait l'entrée de son conduit.
L'homme haletait et son souffle devenait de plus en plus bruyant :
- C'est çà espèce de pute... lèche moi bien... suce moi les glaouis... mouille les bien... crache... crache... - et se tournant vers moi - ... Putain ta femelle c'est une vraie pro de la bite... elle va m'exploser la queue, ta salope de femme !
- Et toi, tu vas lui exploser le chatte... elle n'attends que çà... c'est une vraie chienne... elle en a jamais assez... allez baise là maintenant !
- Non, je vais l'enculer tout de suite... c'est tout ce qu'elle mérite cette truie !
- Oui... oui... encule moi, gros porc... mets la moi toute entière... lime moi le fion salaud... je la veux... je la veux... elle est bonne ! Je veux mourir avec elle !
Maria était déchaînée. Elle s'activait à pomper la queue qui lui était offerte comme si elle était morte de faim. Elle arrivait à en glisser presque la moitié jusqu'au fond de sa gorge. Elle s'en dégageait en soufflant pour mieux l'engloutir à nouveau. Le rythme devenait démentiel. La musique emportait les âmes et les corps.
Ahmed se tordait de plaisir sous les assauts de ma femme. Son gros ventre ballottait. Ses yeux se perdaient dans une folie sexuelle proche de l'évanouissement.
Je filmais ces instants beaux comme une apocalypse et magnifiquement bestiaux.