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Un Dimanche de brèves...

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 Quelques fois on cache de lourds secrets...
Surtout quand on est jeune...
 Angus
Donc je me présente, je vais m'appeler dans l'histoire Angus.
Avec mon meilleur ami on partageait tous, cigarette alcool soirée etc... Mais on s’était promis on touche pas au copine du moment. Donc tout se passe bien, soirée télé a trois car moi a l’époque j’étais seul, sortie toujours a trois. …
Jusqu'au jour ou quelque chose se passa...
En effet juste avant les fêtes de noël elle vient me voir car elle ne sait pas quoi offrir à son chéri, je lui réponds que si ça lui fait plaisir, j'ai un traducteur de langue qui dort dans un tiroir et que je peux lui revendre pour qu'elle puisse lui en faire cadeau. Elle accepte et lui promet de lui rapporter très rapidement.
C'est la que les choses sérieuses commencent
J'arrive chez eux et au moment ou j'ouvre la porte, elle descend les escaliers et vient à ma rencontre et la nous nous noyons dans nos regards. Nous restons comme ça 2 a 3 secondes et je lui tends enfin le futur cadeau pour qu'elle le mette en lieu sur.
Le soir même nous décidons d'aller manger un morceau dehors sur le stationnement, je dis à mon ami que je dois parler seul a seul avec sa copine au prétexte du cadeau de noël. Confiant il sort et s’éloigne de la voiture.
Je me retourne vers elle, appelons la « Béné » et lui dit en la regardant droit dans les yeux que tout a l'heure j’étais à deux doigts de l'embrasser. Quelle ne fut pas ma surprise quand elle me dit que elle aussi elle était partie pour m'embrasser et direct au but, elle me dit de rester un moment ce soir avec elle car après le resto mon copain, appelons le « Rico » va se coucher de bonne heure.
A l’époque il était ambulancier et il se levait vers 5 heures du mat et quelle voudrait ce qui peut se passer une fois tous les deux.
Le dîner est très bizarre . Le repas fini, on repart chez eux, Rico et moi allons brancher la console et démarrons une partie de jeu vidéo, au bout d'une heure, il me dit qu'il en a marre et décide d'aller se coucher. Moi de mon coté, je prétexte de finir le niveau pour ne pas perdre l'avance du jeu.
Enfin seul, continuant a jouer a la console,Bene vint derrière moi et commença un massage sur les épaules. Je mis la console en pause et me retourna vers elle. Elle fit le premier pas et m'embrassa a pleine bouche . J'allais droit au but et une de mes mains alla lui caresser sa chatte au travers de ses vêtements.
Je la pris par la main et partons en direction du salon,la je l'assis sur le canapé et tout en s'embrassant,je fais glisser sa culotte le long de ses jambes. Je commence par lui caresser le clito et un doigt pénètre dans sa grotte suivi bientôt d'un deuxième. Je commence mes va et vient …
Mon autre main est maintenant occupée à caresser ses seins je sens la jouissance monter en elle et la voit attraper un oreiller pour étouffer ses cris de plaisir. Après un temps d’accalmie,je lui signale que je n'ai pas fini et que j'adorerais lui lécher sa chatte, c'est la qu'elle prit les choses en main.
Elle me fit allonger et déboutonna mon pantalon. Tout en me roulant des pelles ,elle sortit ma queue de mon boxer et commença a me branler. Elle abandonna ma bouche et vint s'occuper de mon gland qu'elle lécha avec perfection et d'un coup elle m'engloutit ma bite entièrement.
C’était divin,tantôt des va et vient avec sa bouche tantôt elle jouait avec sa langue sur mon gland qui était violacé de plaisir. A ce stade je n'allez pas tenir longtemps. Je lui fit part que j'allais jouir et Béné fit la sourde oreille .
Je lâcha des jets de sperme dans sa bouche et elle avala tout ce qui sortait.
Béné m'avait vidé.
Je me prépare à passer a l'action une seconde mais elle freina mes ardeurs et me dit que maintenant qu'on avait fait connaissance un peu plus intimement on aurait tout le temps devant nous.
C'est pourquoi le rendez vous serait pris pour le lendemain matin car Rico ne serait pas la de la matinée....
Le lendemain matin, j'arrive donc chez elle. Elle me reçoit encore en chemise de nuit(il est encore tôt). Ni une ni deux, je fonce sur elle l'embrasse en glissant ma langue dans sa bouche tandis que ma main va se promener sous sa chemise de nuit pour me rendre compte qu'elle est nue dessous.
Elle me demande si j'ai du temps devant moi. Je lui réponds que oui et la elle m’entraîne dans la chambre sans oublier au passage de fermer la porte d’entrée a clé. Dans la chambre elle fait tomber la chemise et je découvre que cette petite coquine s'est rasé la chatte complètement.
Je l'allonge sur le lit et tout en l'embrassant, je la caresse et ma main va directement en direction de sa fente. Je lui écarte les jambes et descends ma tête tout doucement sans oublie de lécher ses seins au passage.
J'arrive enfin au-dessus de ma convoitise et plonge ma tête entre ses jambes. Je commence par lui lécher son clitoris tout en lui faisant un doigte. Ma langue fouille avec plaisir et récupère le jus qui sort au fur et a mesure. Je m'attarde sur l'entrée de son trou et ne tarde pas a découvrir son point sensible.
Elle commence à onduler de partout m'attrape la tête appuie sur cette dernière et m'encourage en se caressant les seins et le clitoris. Elle n’hésite pas a crier de plaisir je remonte ma tête vers la sienne pour pouvoir l'embrasser tout en la pénétrant avec 2 doigts.
D'un coup Béné me repousse pour mieux me déshabiller. Elle m'arrache complètement mon boxer saute sur ma queue et me l'avale littéralement
Tout en me branlant, Béné se met à me lécher les couilles et sa langue remonte le long de ma queue.
Elle fait des va et vient avec sa bouche. Je sens le désir monte et lui en fait part.
Elle s'arrête, revient m'embrasser et se pose au-dessus de ma bite.
Sa fente vient caresser mon gland violace de désir et je n'attends qu'une chose c'est qu'il rentre dans sa grotte chaude et humide. Elle attrape ma queue et vient la positionne au-dessus de l'entre de sa chatte. Lentement elle descend et ma queue la pénètre tout en douceur. Je ne reste pas inactif et m'occupe de ses seins en les malaxant et les suçant a tour de rôle pendant que de son cote elle attaque les va et vient dans sa chatte tout en se caressant le clitoris
Étant pris dans notre élan, nous n'avions pas entendu les coups frappés a la porte d’entrée. Béné se leva, attrapa sa chemise de nuit et alla voir à la fenêtre. Elle l'ouvrit et vit une des voisine qui était venu pour prendre le café avec elle.
Je voyais bien Béné qui n'arrivait pas a se défaire de cette conversation, moi je profitais de cette situation pour venir derrière elle et lui caresser la raie de son cul et sa fente avec une de mes mains.
Cette incartade eut pour effet de stopper nette la conversation ce que ne manqua pas de signaler son ami qui était toujours a la porte. Béné essayait de tenir la conversation mais ce fut plus difficile quand je lui introduit un doigt dans sa chatte.
Je lui fit quelque va et vient et une idée sournoise me vint à l'esprit.
Étant bloquée à la fenêtre pour le moment, je m'aventurais au niveau de son anus. Je commençais à lui caresser le contour et voyant qu'elle se cambrait, je pris ce geste comme accord.
Je mouillais mon doigt avec le jus qui ruisselait sa fente et pénétra son petit cul avec un doigt.
Un petit cri sortit de sa bouche et son ami se posa des questions se demandant se qui lui arriver.
Je retirais mon doigt pour tenter de laisser place a ma bite. Béné se retourna vers moi et vit que je me mis en position.
Elle me présenta son petit trou et vint me placer à l’entrée. Pour ne pas qu'elle crie (on ne sais jamais)je m'introduit en elle le plus doucement possible. Béné était là, figée à la fenêtre devant son ami qui commencer vraiment a se poser des questions car la respiration de Béné devenait de plus en plus courte et forte a la fois car de mon coté, je n’étais pas reste inactif, j'avais démarré mes va et vient dans son petit trou.
Ni tenant plus,Béné bredouilla un truc rapide a son ami et ferma rapidement la fenêtre car la jouissance de par son petit trou était imminente
Béné faisait elle meme les va et vient dans son petit trou apparemment elle aime ce faire prendre par ce cote la.
Les coups de butoir contre ses fesses devenaient de plus en plus fort et de plus en plus rapide.
Béné jouissait avec un intense plaisir. Je me retirais doucement de son petit trou et je partis m'allonger sur le lit. Béné vint me rejoindre,se mit au dessus de moi et vint m'embrasser.
Elle me mordilla l'oreille et me dit qu'elle n'en avait pas fini avec moi.
Sur ce, je la renversais et me retrouvas prêt à la pénétrer ce que je ne tardais pas a faire tellement j'avais envi de jouir.
J'attaquais mes va et vient dans sa chatte tout humide de plaisir j’étais au bord de la jouissance et lui en fait part. Béné me fait part qu'elle ne prend pas la pilule et me demande de sortir ma bite au moment opportun.
Je continuais de lui ramoner sa chatte de plus en plus vite et de plus en plus fort. Je sortis ma bite de sa chatte et commençais a gicler sur son ventre. Béné se redressa et vint placer sa bouche a l’extrémité de ma bite qui lâchait toujours des jets de sperme. Elle finit de me branler et sa langue vint laver mon sexe bientôt suivi par sa bouche qui m'engloutit entièrement.
Nous nous allongeâmes un moment et après avoir repris quelque peu nos esprits,Béné vint caresser ma bite et me demanda si jetais partant pour un deuxième service car Rico ne revenait pas avant 14 heures.
Pour toute réponse j'allais lui caresser sa fente et ma tête repartit en direction de sa chatte avec comme décision de la faire jouir avec ma langue
J'attaquais mes coups de langue au niveau de son clito et lui écartais les lèvres pour pouvoir glisser ma langue et faire des va et vient dans sa chatte qui etait redevenue toute humide.
Tout en gémissant Béné me demanda de me mettre en position 69 pour pouvoir profiter de ma queue.
Elle attaquait mon gland avec sa langue pendant que moi je m'activais toujours a lui lécher sa chatte. Béné me léchait mes couilles tout en branlant ma queue qui était redevenue dur et gonflée de sang.
Elle me pompait avec fougue et délice tandis que moi j'avais glissé un doigt dans son anus bientôt suivi d'un deuxième. Béné etait au ange.
Elle avait lâcher ma queue et commençait a gémir sous les coups de langue et les va et vient dans son petit trou. Pour étouffer ses cris ,Béné récupéra ma bite et me l'engloutit entièrement elle me caressait les couilles et me les sucait en descendant avec sa langue.
C’était divin,je me disais que mon ami avait une sacre chance d'avoir une baiseuse comme ca dans son lit sauf que aujourd'hui c’était mon tour et que j'allais en profiter jusqu'au bout.
Après l'avoir fait jouir et crier avec ma langue, Béné vint positionner sa chatte au dessus de ma queue. Mouillais comme l’était sa chatte ma bite n'eut aucun mal a la pénétrer.
Béné attaqua les va et vient avec force et vigueur elle approcha sa tête de la mienne et dans un geste commun,nous sortons nos langues et nous nous les enroulons tantôt dans sa bouche tantôt dans la mienne.
Ses va et vient s’accélère et se sent Béné prête a jouir … Je retire délibérément ma queue de sa chatte et lui demande de se lever car j'ai une petite idée en tête
Je plaçais Béné en position de la levrette et la pénétra. Ma bite faisait des va et vient dans sa chatte tandis qu'une de mes mains alla chatouiller son petit trou.
Je réussis a pénétrer Béné avec mon pouce dans son petit trou et j’essayais d'alterner les va et vient de ma bite avec ceux de mon pouce. Je sentais Béné remontait dans une jouissance inaretable et décidais de sortir ma queue de sa chatte .
Béné se désola de ce geste mais des qu'elle sentit ma bite au niveau de son trou du cul elle se repositionna prête a me recevoir. Je la pénétrais tout en douceur et démarrais mes va et vient entre ses fesses.
Je décidais d'alterner les va et vient dans son cul et dans sa chatte.
Béné me fit comprendre que cette façon de la baiser lui plaisait énormément ;tantôt dans sa chatte et tantôt dans ses fesses ; au bord de la jouissance je decidais de finir dans sa chatte et de sortir ma bite au moment du non retour.
Mes coups de bite étaient de plus en plus rapide. Béné commençait a jouir sans retenue, de mon cote j'essayais un peu de me calmer pour ne pas lui couper sa jouissance.
Je me retirais et Béné vint tout de suite s'occuper de ma queue qui était violacée de désir elle decidat de me finir avec sa bouche et sauta sur ma bite qu'elle me pompa avec fougue.
A ce ryhtme la je ne tardas pas a jouir. Béné récupérait la moindre goutte qui sortait de ma queue. C'est moi même qui dut relever la tête de Béné tellement elle m'avait vidait les couilles.
Nous sommes restes comme ça encore quelques instants et nous nous sommes rhabillés en nous promettant de remettre ça le plus tôt possible.
Depuis nous baisons régulièrement ensemble mais ça ce sont des autres histoires que j'aurais le plaisir de vous conter
Donscott

  Quelques fois on cache de lourds secrets...
Même les plus averti de la vie

Histoire de Jean dominé par sa maîtresse (très experte!)
Jean sentit qu'il était observé. Un cliquetis et la porte en face de lui soudain s'ouvrit.
De l'obscurité qu'il découvrit au-delà de cette porte, il entendit une voix douce et autoritaire à la fois lui ordonna de faire trois pas.
Jean les fit, entendit la porte se refermer et plusieurs verrous ou serrures se verrouiller.
- Maintenant, déshabille-toi entièrement, plie et empile tes vêtements correctement par terre. Tu n'en auras plus besoin pour un moment. Quand tu auras finis, attends la suite avec attention.
Jean se dévêtit rapidement et plia ses vêtements, puis il ferma les yeux d'anxiété et lentement se redressa et attendit la suite. Il s'agenouilla presque aussitôt lorsqu'il sentit la main gantée de l'inconnue lui attraper et serrer les couilles.
Grimaçant, il reprit tout de même ses esprit mais senti des ongles lui griffer le torse puis lui pincer sauvagement les tétons, et glisser finalement le long de son ventre, passer entre ses cuisses pour lui peloter les fesses.
Elle lui passa une cagoule sur la tête et zippa l'arrière et noua le lacet à la base du cou.
La bouche, les yeux et le nez restaient exposés et complètement disponibles.
- A quatre pattes !"ordonna-t-elle. Il se mit à quatre pattes et attendit.
- Ouvre les yeux et regarde mes talons !"
Suivant docilement les instructions, Jean ouvrit les yeux. De sa position, il eut tout loisir d'admirer les magnifiques cuissardes en cuir vernies. Son regard se focalisa ensuite sur les talons de quinze centimètres de haut.
Il se prosterna d'avantage, de lui même, et embrassa les pieds gainés de cuir. Il lui avait souvent parlé de sa passion pour le lêchage des cuissardes, mais il savait qu'elle réservait ce genre de privilège qu'en guise de récompense quand elle était satisfaite de ses performances dans sa soumission.
- Suis moi. Garde les yeux baissés.
Ils se déplacèrent le long du hall et tournèrent dans un salon. A quatre pattes, il était capable de voir un sofa en cuir, un fauteuil profond, et une table de salon. Elle s'assit dans dans le fauteuil.
- Viens ici et allonge-toi sur mes cuisses. Allonge-toi vers la gauche que je puisse user de ma main droite.
Jean se plaça docilement en travers des cuisses de sa maîtresse. Elle écarta légèrement les cuisses et ajusta sa position de manière à ce que la queue de Ian pende entre ses jambes gainées de bas noirs.
Elle resserra ses cuisses sur son membre et de sa main gauche lui maintint la taille.
Sa main droite commença à frapper ses fesses. Sans faire de pause, elle le frappa une fesse après l'autre alternativement.
Après une cinquantaine de fessées sur chacune d'elles, elle le poussa brusquement de ses genoux. Jean chuta lourdement.
- Retourne-toi à terre et allonge-toi sur le dos! fit-elle sans tenir compte de ses gémissements. Pose ta tête entre mes pieds !"
Elle leva le pied gauche et doucement le plaça sur son téton gauche. Appuyant sur son talon plus fortement, elle leva son pied droit et plaça son talon droit sur ses lèvres.
- Ouvre-la et lèche mon talon... Oui. C'est ça... Prends-le en entier maintenant... Allez, avale ! Suce-le ! Je sais que tu aimes ça... Suce, allez lèche ! Fais-le briller pour moi.
Tandis qu'il s'appliquait à satisfaire à sa maîtresse, elle frotta son talon gauche sur sa poitrine. De pus en plus fort, mettant sa chair à vif! L'odeur du cuir l'excitait mais la douleur lui ôtait toute envie de trouver du plaisir. Elle parcourait également son corps d'une cravache qu'elle faisait claquer sur ses couilles et sa queue ramollie de temps en temps.
- Pourquoi n'es tu pas en érection ' Quel est ton problème vermisseau ' Tu ne veux pas satisfaire ta maîtresse ' Branle-toi, fais la durcir pour moi vermisseau !"
Il empoigna son sexe ramolli et essaya de le faire raidir, mais il avait trop souffert jusque là. Maintenant les deux talons étaient installés sur ses tétons. La pression était moins forte, mais s'exerçait à deux endroits.
Sa cravache s'abattait encore sur des zones sensibles en guise d'avertissement et parfois s'abattait sur ses mains alors qu'il se branlait. Soudain la correction s'arrêta. Seule la pression sur ses seins trahissait l'impatience de sa Maîtresse...
Finalement il se mit à bander bien dur.
- Stop, ça suffit!"
Les talons quittèrent sa poitrine et sa maîtresse se releva pour contempler le résultat. Elle lui jeta un préservatif neuf.
- Couvre-toi vermine, sinon tu vas me souiller de tes cochonneries!"
Jean enfila le condom à tâtons. Elle releva sa jupe en cuir découvrant largement son sexe rose orné d'une toison abondante. Il grimaça en devinant la suite. Autant il adorait être chevauché, autant il craignait l'étouffement sous la croupe femelle avide de sa langue de vermisseau soumis. Otant ses chaussures à talons, la Maîtresse entreprit de flatter ses testicules avec ses orteils.
La pression variait lui causant plaisir et douleur en alternance. Enfin elle arrêta ce petit jeu lorsque son membre fut bien doit et violet de désir, et elle se baissa vers lui avec un sourire cruel.
- Tu aimes souffrir vermisseau! moi j'aime te voir à ma merci..."
Elle posa ses genoux de part et d'autre de son cou sur ses épaules, serrant sa tête entre ses pieds chauds et humides. Ian gémit, mais son cri se perdit dans les lèvres chaudes et humides. Elle appuya ses mains sur son esclave et bougea de manière à se que le cuir de ses gants le caresse.
Son nez comprimé enregistra peu à peu la puissante intimité. Un mélange d'urine tiède et de sueur concentrée lui emplit les sens. Ses hormones mâles furent fouettées par ce fumet de femelle sauvage et despotique. Il devait se hâter car elle ne quitterait pas cette position avant d'avoir joui. Elle est intraitable: son plaisir de Maîtresse est prioritaire!
Respirant par le nez avec lenteur et difficulté, il explore sa fente de la langue à la recherche du bouton libérateur...
Maintenant, elle pressait ses mains gantées sur son os pelvien et se concentra sur son plaisir. Elle chevauchait son visage et sa langue comme s'il s'agissait d'une chevauchait express à la poursuite de quelques sauvages.

Une fois trouvé la chose, il la masse avec lenteur au début. Dans le sens de la longueur puis de la largeur alternativement. Il s'applique à mesure que l'étouffement et la panique le gagne. Pas de droit à l'erreur. S'il lui fait mal, la jouissance tardera longtemps à venir... Maîtresse adore cet instant, le souffle chaud du supplicié s'insinue avec difficulté entre ses fesses tandis que sa délicieuse langue fouille et augmente son désir. Elle commence à mouiller tandis qu'il respire visiblement de pus en plus mal. Elle voit aussi sa queue bleuir de désir et d'impuissance.
Comme la jouissance approchait , elle se pencha en arrière et attrapa sa cravache.
L'orgasme n'est plus très loin, elle soulève imperceptiblement ses fesses pour le stimuler. Jean perçoit cette encouragement qui lui autorise plus d'air. Saisissant son clitoris entres ses lèvres douloureuses de compression, il le gratifie d'un mouvement de succion qui ne tarde pas à faire effet. Maîtresse lâche un râle comme un rugissement de lionne comblée! Elle se soulève, puis se tourne dans l'autre sens.
D'un geste sensuel, elle enleva de son poignet une lanière de cuir qu'elle noua à la base du pénis de son esclave. Tirant sèchement sur la lanière, elle enroula le sexe avec le reste de celle-ci piégeant ainsi le sang dans le sexe de l'esclave mâle.
Maintenant sa verge était en parfaite érection.
Elle vient placer sa fente au dessus de son membre distendu. Dans une lente descente, sa chatte pleine de mouille vint s'écraser sur le ventre de Jean.
Poussant sur ses cuisses par à-coups, elle imprime à son propre bassin un mouvement de balancement qui procure à Ian une délicieuse sensation. Mais contrariée par la compression du cordon de cuir. Jean sait que s'il jouissait à cet instant son orgasme comprimé s'éteindrait sans plaisir comme un pétard mouillé. Très échauffée par ce qui a précédé Maîtresse sent à nouveau le plaisir emplir sa chatte! Elle veut être seule à jouir cependant. L'orgasme la saisit soudain.
Elle se met alors à lui frapper les cuisses et le ventre tout en poussant des cris de jouissance. Les cris de souffrances étouffées de son esclave servaient à l'exciter d'avantage.
Quand l'orgasme eut éclaté, elle posa sa cravache et se dégagea de son pénis tuméfié. Elle se retourna à nouveau et pressa fortement sa chatte ruisselante sur la bouche de Jean, laissant échapper ainsi un torrent de mouille dans sa bouche.
Jean était sur le point de s'étrangler ou de s'étouffer, il dû tout avaler pour respirer.
Il continua ensuite à laver se sexe devenu hypersensible afin de prouver sa totale dévotion au plaisir de sa Maîtresse.
Après une minute, elle se releva et se réinstalla dans le fauteuil.
- Viens ici et lèche-moi .
Il prit sa position sur ses genoux. Elle agrippa sa tête par les cheveux et la tira contre sa chatte toute trempée. La langue de Ian chercha à nouveau le bon devenu énorme et dur. Par un balayage de gauche à droite de la tête, il la gratifia d'un va et vient irrésistible de sa langue tendue. Bientôt, un nouvel orgasme la secoua.
Elle poussa ensuite les épaules de Jean vers le sol à l'aide de ses pieds et les écrasa.
Dans cette position, il ne pouvait garder ses yeux que sur les talons. En fait, sa contemplation se promenait sur sa svelte silhouette. Comme elle se calmait, elle nota qu'il la contemplait.
Elle ne pouvait tolérer une telle attitude, cela signifiait qu'il ne craignait pas suffisamment son courroux. Elle devait corriger cette mauvaise attitude. Avec une nouvelle étincelle de furie dans les yeux, elle descendit les pieds de ses épaules et se redressa.
- Comment tu as eu cette audace ' Comment tu as eu cette AUDACE ' T'ais-je donné la permission de me regarder ' Réponds-moi !
- Non maîtresse.
Son regard rêveur devint embarrassé.
- Je ne tolérerai pas la désobéissance. Je devrais te bannir pour toujours de cette maison.
Que pensais-tu ' Tu pensais qu'en me servant et en me donnant quelques moments de plaisir que tu ferais un peu ce que tu veux ' Réponds-moi, vermisseau.
- Non, maîtresse. Je suis désolé. S'il vous plaît ne me renvoyez pas. S'il vous plaît ! Torturez moi si vous le voulez, mais s'il vous plaît, gardez-moi.
- Te punir, hein ' Te torturer ' Et te pardonner aussi je suppose '"
- Oh oui... S'il vous plaît maîtresse. J'endurerais vos punitions et je continuerais à vous servir. Testez moi. Seulement ne me renvoyez pas !"
Sa sincérité plut à sa Maîtresse. Elle regardait son corps prosterné, et une idée jailli dans son esprit. Oui, ce pouvait être amusant. Et s'il refusait d'accepter toutes les punitions elle pourrait simplement le renvoyer. La douleur ne peut être pire pour un esclave que de perdre sa maîtresse qui aime vraiment lui donner le traitement qu'il désire.
- D'accord, je te donnerai une chance. Mais souviens-toi par la suite. Soit attentif et fais exactement ce que tu as dit et je te laisserai peut être encore me servir. Si tu ne suis pas mes instructions, tu seras renvoyé. Clair '"
- Oui, maîtresse !"
- Prosterne-toi et embrasse mes pieds. Baises mes pieds qui vont te punir.Fais-le !
Il allongea son corps sur le sol et commença à embrasser ses pieds avec frénésie.
- Arrête ! Mets-toi à quatre pattes.
Se redressant, elle vint dénouer le lacer de cuir qui enserrait toujours son membre.
Maintenant pose ton visage sur le sol et joins tes mains entre tes jambes pour écarter tes fesses.
- Lèves bien ton cul. Ecarte mieux tes fesses ! Maintenant tiens-les bien ouvertes.
Lentement Maîtresse contourna son esclave et quand elle fut derrière lui, elle mesura précautionneusement la distance, bascula en arrière son pied droit et délivra un coup de pied dans ses couilles qui le projeta en avant sur le ventre.
Il empoigna ses bourses, suffoqué, tout en se contorsionnant sur le sol. Pendant ce temps, elle ajusta soigneusement sur ses hanche un god-ceinture noir.
- Arrête de bouger vermisseau
Et profitant qu'il cessait tout mouvement et ses plaintes, elle s'allongea sur son dos et le pénétra d'un bon coup de reins! La douleur anale fit hurler Jean, plus il se plaignait et plus elle y allait de bon coeur.
- Ca lui fit-elle à l'oreille c'est pour toutes les filles à qui tu as fait mal quant tu étais un petit coq prétencieux!
Son pénis inutile était coincé entre le carrelage froid et son propre ventre chaud.
Sous l'effet de son poids, des soubressauts dus poids de sa maîtresse et du god qui lui martelait la prostate de l'intérieur, acculé au plaisir il ne pourrait tenir bien longtemps. Jean ne tarda pas à jouir.
- Un vraie salope!" lâcha maîtresse en retirant le god...
Tandis qu'elle se relevait, il gémit:
- Merci, merci ,Maîtresse...
Maîtresse s'en alla vers la porte.
- Attends ici pour moi.... Je n'ai pas encore fini avec toi
Jeannot

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