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Histoire du net. Auteur Inconnu. Lucien

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Quand le partage devient 
bonheur partagé et assumé.

SELMA
Il y a quelques semaines, je suis allé en séminaire en Normandie, au bord de la mer. Le séminaire avait pour objectif de nous faire rencontrer les commerciaux d’une entreprise d’un autre secteur d’activité pour comparer et partager nos pratiques commerciales : le ciblage client, l’approche marketing, la qualité de la relation, etc.
L’univers était très masculin et, entre les séances de travail, nous avions quelques moments de liberté pour nous balader et faire un peu de sport. Les soirées étaient aussi l’occasion de faire mieux connaissance les uns avec les autres et de passer des moments de convivialité. Chaque soir, nous avions pour habitude d’aller dîner vers 20 h 30 dans un restaurant en ville puis de finir dans un bar très sympa à jouer au billard, en buvant un verre. J’avais ainsi sympathisé avec quelques commerciaux de l’autre société ; en particulier avec Lucien, un type très jovial, toujours prêt à mettre l’ambiance et à déconner. Sa décontraction antillaise était communicative et les soirées en sa compagnie étaient festives.
Le dernier soir, après quelques verres d’alcool autour d’une table basse, Lucien se laissa aller à quelques confidences :
- Ça va pas fort avec ma femme ; en fait, on est séparés depuis un mois. En rentrant du séminaire, je m’installe dans un petit studio, Porte de Clichy. La situation s’est lentement dégradée. Elle m’a reproché de toujours vouloir faire la fête, de ne pas assumer mon rôle de père.
Je ne savais pas quoi dire mais je prenais une attitude attentive pour le laisser s’exprimer. Ça semblait lui faire du bien.
- En plus, sexuellement, ça n’a jamais été top mais en vieillissant ça ne s’arrange pas. On ne fait plus l’amour qu’une ou deux fois par mois. Toujours dans le noir et dans la même position. J’ai quarante ans, j’ai encore l’âge de m’amuser.
J’étais à la fois embarrassé mais aussi curieux. Personne ne m’avait jamais fait de confidence intime de la sorte.
- Ça fait quinze ans que je suis avec elle et nous ne nous sommes jamais vraiment éclatés. Tu te rends compte qu’elle ne m’a jamais sucé en quinze ans ! Elle trouve ça sale. Je lui ai dit d’essayer pour voir mais rien à faire. Par contre, elle n’a jamais refusé un petit cunni. Le seul souvenir hot que j’ai avec elle c’est une levrette sur le capot de la voiture. On était ensemble depuis trois mois. Après rien ! Que du classique et dans le noir.
Les confidences devenaient de plus en plus intimes. Mon pouls s’accélérait en écoutant, je pensais à Selma. Pendant ce temps, Lucien enchaînait les bières.
- Tu sais quoi ? Je vais te dire… Quand j’étais jeune, j’avais une copine super chaude. Toutes les positions y passaient. Et puis, j’ai rencontré Claudia. Mes parents m’ont convaincu que c’était une fille bien comme il faut. Alors j’ai laissé tomber ma copine avec qui je vivais un truc dingue pour me marier avec Claudia. J’ai deux beaux enfants mais j’ai ruiné ma vie amoureuse. Et sexuelle aussi. Je te dis tout. Ma copine adorait la sodomie… et moi aussi ! Ça fait plus de quinze ans que je ne l’ai plus fait. Eh oui, pendant quinze ans, je suis resté fidèle à la mère de mes enfants. Mais maintenant, je retrouve ma liberté. Et toi, ta femme, elle est comment ? Elle est libérée ? Elle est d’accord pour les fellations et la sodomie ?
- On a une vie sexuelle très libérée, tu sais. Oui, elle pratique sans problème les fellations et la sodomie.
En même temps que je disais ça, je sentais une grande excitation m’envahir. Parler des pratiques sexuelles de Selma était pour moi la réalisation d’un fantasme.
- T’as vachement de la chance. C’est important d’être libéré sur le sexe.
- Il est temps d’aller se coucher, Lucien.
On en est resté là. Nous sommes effectivement allés nous coucher et le lendemain chacun regagnait son chez-soi.
Dans les jours qui ont suivi, un soir que Selma et moi abordions les préliminaires, j’ai eu l’idée, pour pimenter la situation, de lui raconter ma conversation avec Lucien.
- Tu as parlé de mes pratiques sexuelles avec un inconnu. Tu es gonflé quand même.
En même temps qu’elle me disait ça, elle commençait à me caresser la verge qui instantanément grossissait à vue d’œil.
- Tu lui as dit que j’aimais faire des fellations. Tu es sûr ? Mmmhhh.
Nous étions tous les deux nus debout au milieu de la pièce. Elle s’est mise à genoux et m’a pris dans sa bouche avec avidité. Elle pompait très activement. Je sentais sa langue lécher mon gland. C’était délicieux. Elle s’est redressée.
- Tu as eu raison de lui dire, j’adore ça !
Elle m’a alors tourné le dos pour venir s’appuyer contre moi. Ma queue était collée contre ses fesses, le bout très humide de sa salive mélangée à des prémices de sperme.
- Tu lui as dit aussi que j’aimais la sodomie. Tu dois vérifier que tu n’as pas menti.
Elle s’est alors penchée en avant, s’est appuyée de la main gauche sur la console de la chambre et, en se cambrant, a utilisé sa main pour écarter sa fesse droite. J’ai alors empoigné mon membre encore bien humide que j’ai pressé contre sa petite rondelle ridée, tout en écartant la fesse gauche avec ma main libre. L’excitation aidant, je me suis introduit délicatement, sans trop de résistance. Une fois enfoncé de quelques centimètres, je n’ai plus eu besoin de bouger. Selma était tellement excitée qu’elle s’est mise à faire des mouvements de bassin, d’abord doucement puis de plus en plus rythmés. Elle allait et venait en gémissant.
- Oui, oui, oui. J’adore me faire défoncer. Tu lui as dit ?
Au bout d’un moment elle a ralenti la cadence. J’étais quasiment à bout. J’étais sur le point de tout lâcher. Elle s’est arrêtée et a avancé le bassin pour se dégager de mon pilon.
- Tu lui as dit aussi que j’aimais le sperme ?
Face à moi, elle s’est de nouveau agenouillée, a pris ma bite dans sa main et a commencé à me branler de plus en plus fort. Elle bombait le torse pour pointer ses seins en direction de mon sexe. Elle tenait très fermement la verge en la frappant contre ses seins. Je n’y tenais plus. L’éjaculation a été très forte. Le sperme a jailli par grands jets, atteignant en premier son cou et ses joues avant de se répandre sur sa poitrine. Elle ne me lâchait pas, elle voulait profiter jusqu’à la dernière goutte. Elle frotta mon gland sur ses tétons pour récupérer toute la semence. J’étais épuisé. Elle était superbe avec un air hautain, heureuse de ce qu’elle venait de faire. Elle s’est relevée lentement. Son visage et sa poitrine luisaient du plaisir que je venais de déverser sur elle. Elle le portait fièrement, preuve de son pouvoir sur moi. Elle s’est dirigée, majestueuse, vers la salle de bain. Je n’avais toujours pas bougé et je la regardais s’éloigner, les yeux fixés sur ses fesses magnifiques.
oOo
Quelques jours plus tard, de nouveau à l’occasion de préliminaires, Selma est revenue sur le sujet.
- Ça m’a beaucoup excitée que tu parles de moi à un inconnu. As-tu gardé ses coordonnées ? On pourrait peut-être essayer quelque chose avec lui ?
Je n’aurais pas osé le suggérer mais puisque c’était elle qui le proposait, je trouvais l’idée très excitante.
- Je dois avoir son numéro. Si tu veux, je l’appelle. Je peux lui dire que je l’ai trouvé très sympa et que ce serait une bonne idée de se voir avec toi. Je ne lui dis rien d’autre, comme ça, quand tu le vois, s’il ne te plait pas, on peut arrêter.
Dès le lendemain, j’ai appelé Lucien sur le numéro de portable qu’il m’avait laissé.
- Salut Lucien, tu te souviens de moi ? Je me suis dit que ce serait sympa de se revoir, on s’était bien amusés durant le séminaire.
- Super idée, l’ami ! T’es dispo samedi en début d’après-midi pour un café ? Je t’invite dans mon studio.
- OK. Ça t’embête pas si je passe avec ma femme ?
- Non. Au contraire, c’est une bonne idée. Je t’envoie l’adresse par SMS. À samedi.
À peine raccroché, j’ai envoyé un SMS à Selma pour l’informer de l’invitation. Par message retour, elle m’a simplement écrit « Super ».
Le samedi est vite arrivé.
- Essaye de mettre une robe aguichante mais pas trop quand même. Que tu puisses esquiver si tu ne le sens pas. Si tu arrives avec une robe trop provocante, il va tout de suite comprendre des choses.
- Tu as raison. Je vais mettre une robe agréable et en dessous une lingerie plus… osée !
Selma a finalement choisi une très jolie robe de couleur vert bouteille, assez décolletée pour voir juste le début de ses seins et pas trop courte. En dessous, elle a enfilé un string de dentelle noir, très sensuel et le soutien-gorge assorti. Vu la saison, il n’était pas utile d’ajouter des bas. Elle a enfilé de petits escarpins ouverts et nous sommes partis
Lucien habitait dans un vieil immeuble assez étroit. Nous avons franchi une première porte sans aucune sécurité pour nous engager dans un couloir au bout duquel s’ouvrait une petite cour un peu crasseuse. Une fois traversée la cour pavée, Selma enfonçant ses talons entre les pavés et pliant ses chevilles avec un déhanché délicieusement excitant, surtout connaissant sa tenue sous la robe et les intentions pour lesquelles elle l’avait enfilée.
Nous nous sommes présentés devant une porte, pas plus récente que la précédente mais qui, cette fois-ci, présentait un interphone d’âge indéfini. Après avoir essayé de déchiffrer les noms manuscrits sur des petits papiers en décomposition, j’ai enfin appuyé sur le bon bouton. Lucien a crachoté quelques mots que je n’ai pas compris sauf « 2e étage ». J’ai cédé la place à Selma pour monter l’escalier pentu en colimaçon. Juste derrière elle, j’avais le visage sous ses fesses que je regardais rouler sous la robe pendant qu’elle montait l’escalier. Ses mollets fins et bronzés qui finissaient sur deux chevilles fines étaient une invitation aux caresses.
Nous sommes arrivés au second étage. Il n’y avait qu’une seule porte, face à l’escalier. La porte était ouverte et Lucien en occupait l’ouverture, le sourire accroché aux lèvres, les dents d’un blanc éclatant et les épaules larges emballées dans un pull léger moulant. Il dégageait un charme certain et, à ce moment-là, je me suis dit que Selma allait être tentée par l’expérience. Il a fait la bise à Selma en se présentant. Je voyais ses yeux aller de bas en haut puis faire le chemin inverse tout en l’invitant à entrer.
- Salut vieux, ça va ? Sympa d’être venu. Ça me fait plaisir de vous avoir à la maison et de faire la connaissance de Selma.
- Ça nous fait plaisir aussi de prendre un café avec toi. J’avais parlé à Selma de notre rencontre au séminaire et de nos conversations et elle était impatiente de te connaître.
Je lui disais ça en lui lançant un petit coup d’œil rieur.
- Installez-vous dans le canapé. Café pour tout le monde ?
Nous nous sommes enfoncés dans le canapé. La robe de Selma est remontée au milieu de ses cuisses avec ce mouvement. J’ai remarqué qu’elle ne cherchait pas à la redescendre. Un signe de plus que quelque chose allait peut-être se passer.
Lucien est arrivé quelques minutes plus tard avec trois expressos qu’il a posés sur la table basse. Puis il s’est installé sur un tabouret qui surplombait le canapé. Selma s’est redressée pour prendre son café puis s’est avancée pour prendre sa tasse. Immanquablement, en se penchant pour attraper la tasse, son décolleté s’est ouvert et j’ai vu Lucien plonger son regard dans les seins offerts de ma femme. J’étais de plus en plus excité par la situation. Je voyais Lucien en train de la mater sans beaucoup de discrétion et Selma s’offrir à ses regards avec consentement. Nous avons commencé à discuter de tout et de rien, boulot, vacances à venir…
Selma a fini par aborder, la première, notre rencontre en séminaire :
- Alors ce séminaire ? Vous avez fini par sympathiser. Heureusement que vous aviez des soirées pour décompresser. Vous avez picolé, non ?
Nous avons ri un peu nerveusement à son allusion.
- Ouais, c’est vrai. On a bu, on a déconné, on s’est un peu raconté nos vies. Il paraît que tu es une femme formidable ? Ton mari dit plein de choses agréables à ton sujet.
- Ah, bon ? Il dit des choses gentilles me concernant ? Lui qui me fait tellement de reproches. Je serais curieuse de savoir quel compliment il a pu me faire.
- En fait, j’ai raconté à ton mari mes déboires conjugaux. Mes pauvres problèmes de couple, si tu préfères. Avec l’alcool, je me suis laissé aller à lui raconter mes petites misères intimes. Et il m’a dit que lui avait la chance d’avoir une femme qui le comblait sexuellement !
J’ai senti mes yeux devenir tout ronds. C’était l’instant où l’après-midi allait basculer d’un côté ou de l’autre. J’attendais le commentaire de Selma.
- Il m’a dit qu’il t’avait raconté des détails de notre vie intime. Je me suis demandé l’effet que ça avait pu te faire d’entendre les détails de la vie sexuelle d’une inconnue. Ça t’a excité ? T’es pas trop déçu en me voyant ?
- Il avait pas exagéré. Tu es très sexy et, en plus, je sais déjà de quoi tu es capable.
Selma a posé sa main sur sa cuisse en se cambrant légèrement :
- Je te plais, alors ?
- Énormément !
Selma s’est levée du canapé. Elle s’est dirigée vers moi, s’est agenouillée sur le canapé et s’est mise à m’embrasser langoureusement en caressant mes cheveux et ma nuque. Elle m’a tiré par le bras pour me relever et a continué à m’embrasser ; baiser que je lui rendais bien.
Lucien était dans le dos de Selma, toujours assis sur son tabouret en train de nous regarder. Selma a déboutonné ma chemise puis me l’a retirée. Elle passait ses mains dans mon dos, sur mon torse avec de plus en plus d’intensité. Je glissais mes mains vers ses fesses pour les prendre à pleines mains. Selma a décroché ses lèvres des miennes, a interrompu ses caresses et s’est retournée vers Lucien.
- Ça t’embête pas de nous regarder ? Ça m’excite que tu regardes, tu veux bien ?
- Allez-y, c’est génial.
En l’entendant, j’ai passé mes mains sous la robe pour la remonter. En un instant, elle était en soutien-gorge et string de dentelle noire, soulignant sublimement ses formes. Elle a baissé mon pantalon et mon caleçon et m’a poussé aux épaules. Je me suis affalé sur le canapé, la bite hypertendue.
Elle est venue s’agenouiller sur moi en écartant les cuisses. Elle s’est posée sur ma bite sans retirer sa culotte. Elle adore se frotter comme ça, en sentant le tissu entre nous. Du coin de l’œil, je voyais que la culotte était déjà très humide. Elle allait et venait langoureusement, ses yeux retournés de plaisir. Pendant ce temps, Lucien avait les yeux fixés sur le cul de Selma. Cambrée, les fesses légèrement écartées et soulignées par le string, j’imaginais sans problème le paysage offert à Lucien.
Selma a fini par écarter la culotte et venir s’empaler sur ma verge turgescente. Elle était tellement humide qu’elle s’est assise sur moi sans aucune résistance, mon gland frappant brutalement le fond de son vagin trempé.
Lucien venait d’enlever sa chemise et descendait son pantalon. J’ai dégrafé le soutif de Selma. Elle montait et descendait sur moi à un rythme lent, ses seins ballottant devant mon visage. À chaque fois que je le pouvais, j’attrapais un téton avec ma bouche. Ils étaient fermes.
Lucien a fini de se déshabiller. Il présentait une érection digne des pires caricatures sur les blacks. Sa queue était magnifique. On l’aurait crue sculptée par Rodin dans une pièce de cuivre. Elle était de couleur café, nervurée finement avec un dessin de grande précision ; le gland pourpre. Magnifique. Ses couilles habillées de bourses noires semblaient taillées dans un cuir d’ébène de première main. Sans être démesuré, il avait des dimensions de belles proportions assurant l’esthétisme de l’ensemble.
Il tourna autour du canapé et approcha son visage de celui de Selma, la regardant dans le blanc des yeux. Elle continuait d’aller et venir en gémissant. Elle a baissé les yeux vers son sublime pénis et l’a fixé. Subitement, elle a collé ses lèvres aux siennes et leurs langues se sont emmêlées fougueusement.
Il a refait le tour du canapé et s’est avancé vers Selma, a posé un pied sur le canapé et a basculé son bassin en avant. Elle a pris la pièce d’art dans sa bouche. Elle a d’abord encadré le gland d’airain entre ses lèvres. Une fois le calibre estimé, elle a avancé le visage pour absorber davantage le superbe objet. Les yeux mi-clos, elle savourait la friandise splendide qu’elle était en train de sucer.
Lucien était maintenant super excité. Il avait posé sa main sur la tête de Selma et la pressait de plus en plus fermement vers lui. En un instant, la quasi-totalité de sa verge avait disparu dans la bouche de ma femme. Selma avait des lèvres très charnues. Juste sous mes yeux, je voyais sa bouche ouverte et ses lèvres épaisses serrées autour du plus beau membre qu’elle n’ait jamais aspiré.
Lucien s’est retiré puis est venu se placer derrière Selma. Elle était au top de l’excitation. Les yeux fermés, elle m’a dit :
- Écarte-lui mes fesses et tiens-les bien.
J’ai pris les deux gros lobes à pleines mains et je les ai fortement écartés. Je l’ai vue glisser un doigt dans sa bouche, le ressortir humide et passer sa main entre ses fesses. J’ai compris qu’elle se lubrifiait.
Lucien tenait sa bite dans la main droite. Il s’est approché du cul de Selma. Je ne voyais pas ce qui se passait mais je devinais. Et puis, j’ai commencé à sentir ce qui se passait. Une sensation incroyable que je ne connaissais pas. J’ai senti la bite de Lucien qui touchait la mienne. Il orientait son gland vers l’orifice étroit. Je l’ai alors senti en train d’appuyer.
Puis, comme si une barrière cédait, j’ai senti la grosseur de sa bite venir glisser le long de la mienne. C’était tellement serré que j’avais l’impression qu’il était entré par le même trou que moi. Selma était en pleine jouissance. Plus Lucien s’enfonçait dans son cul, plus elle se cambrait et tendait ses fesses vers lui. Elle gémissait de plus en plus fort. Ses seins, face à moi, pointaient plus que jamais. Je sentais le superbe engin de Lucien continuer à s’enfoncer le long du mien. Jusqu’où allait-il aller ? Un instant, j’ai eu un éclair d’inquiétude qu’il la blesse.
Selma avait repris des mouvements plus saccadés. Lucien était au fond. Moi aussi. Selma profitait de la situation. Lucien, penché au-dessus d’elle, avait pris ses seins à pleines mains. Pendant ce temps, nous nous embrassions à pleine bouche. Plus aucun de nous trois n’y tenait. Mais Lucien n’avait pas mis de préservatif et même si nous étions en pleine extase il n’était pas question de prendre le moindre risque. Selma a ralenti le mouvement et lui a demandé de ne pas jouir. Il s’est retiré doucement puis elle s’est relevée de moi.
Elle avait un air épanoui et satisfait :
- Comment vous voulez que je vous finisse ? Vous méritez que je vous fasse plaisir après le bien que vous m’avez fait.
Lucien était super chaud :
- Mets-toi à genoux, tu vas voir.
Tous les deux debout face à elle, nous nous sommes branlés. Elle avait mis ses mains sur nos hanches et attendait en nous regardant, souriante. Le visage haut, les seins tendus face à nos bites. Je suis le premier à avoir éjaculé. Un premier jet est venu se poser sur sa joue gauche. Elle n’a pas esquissé le moindre geste de recul. Le second jet a atteint sa lèvre inférieure et son menton. En la voyant passer la langue sur sa lèvre, Lucien a lâché à son tour son plaisir. Un jet énorme qui est venu s’écraser en plein milieu du visage, forçant Selma à fermer les yeux. Le sperme s’est écoulé sur sa bouche. Lucien a continué d’éjaculer des jets pleins qu’il a orientés vers la droite de son visage. Pendant ce temps, j’avais fini de me vider dans son cou et sur ses seins. Elle était couverte de nos spermes, toujours souriante, les liquides entremêlés sur son visage, au bord de ses lèvres, sur sa langue, dans le bas de son visage.
Lucien et moi étions dans le même état que deux sportifs après des heures d’efforts. Selma est partie à la recherche de la salle de bains pour se débarbouiller. Elle est revenue quelques minutes plus tard. Le moment avait été tellement intense qu’aucun de nous trois n’a ressenti le besoin de se rhabiller. Nous sommes restés une bonne heure nus ensemble, à boire un verre.
Avant de se rhabiller, Selma a passé sa main sur les épaules de Lucien, sur ses fesses et enfin, elle a pris son sublime membre dans la main. Elle s’est baissée et lui a déposé un délicat baiser sur le gland. En se redressant, elle a fixé Lucien dans les yeux et lui a dit :
- Merci.
Le plus marquant était qu’il n’y avait aucune gêne entre nous. Quand nous sommes repartis, nous partagions l’idée qu’on venait de faire quelque chose de tout à fait naturel et de bon.


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