Quand une rencontre voulue
vous emmène dans un autre monde.
Et que vous en êtes heureuse chère Madame.
Le Maître choisi
Comment me suis-je retrouvé dans ce train, habillée comme une pute ? Non, pire qu'une pute probablement...
J'ai rencontré cet homme sur un site de rencontre. Je voulais juste me sortir du quotidien de mon couple. Juste fantasmer. Mais je me suis senti attirée. Et un jour je lui ai demandée de faire de moi sa soumise, sa chienne. Il m'a demandé si je savais ce que ça impliquait, que j'allais devenir sa chose. J'ai répondu que oui.
Alors il m'a envoyé des instructions pour notre première rencontre. Il a rajouté un post-scriptum disant que je pouvais à tout moment changer d'avis. Mais que cela signifierait alors la fin de nos échanges, que je n'existerai alors plus pour lui. J'ai longuement hésité. Puis je lui ai juste envoyé un message disant que je serais là. Il n'a pas répondu.
Et je me suis retrouvé dans ce train. Le seul vêtement que je porte est une robe. Le bas est fendu sur le côté jusqu'à la ceinture. Rien de trop choquant si ce n'est qu'il a exigé que je dévoile ma jambe en rabattant le tissu entre mes cuisses. Je me doute que l'on voit aussi ma fesses. Et que l'on devine aisément que je ne porte pas de culotte, ou alors un string qui ne doit pas cacher grand chose.
J'aurais pu ne pas dévoiler ma jambe, il ne l'aurait jamais su. Mais j'étais déjà sous son emprise, je ne pouvais pas refuser, je ne voulais pas le décevoir. Le haut de la robe était inexistant pour ainsi dire... Deux triangles de tissu. Leur base partait du milieu de la ceinture pour aller jusqu'à mon flanc. Et la pointe était sur mon épaule, les deux triangles rattachés derrière mon cou. Autant dire que mes seins étaient presque entièrement dévoilés. L'étoffe était de plus très moulante et l'on devinait facilement mes tétons.
Comme il l'avait prévu, je me suis faite accoster. L'homme m'a simplement demandé mes tarifs. Comme prévu j'ai répondu que je n'étais pas disponible, que j'allais chez un client. Puis je lui ai tendu ma carte. Une simple carte avec des tas d'abréviations expliquant mes prestations. Des abréviations dont je ne comprenait pas le sens mais qui devait faire de moi une catin prête à tout pour de l'argent, j'en étais sûre.
J'avais honte, tellement honte. Mais je le gardais en moi, je ne voulais pas le décevoir... Comme prévu l'homme a insisté. Alors j'ai accepté de lui tailler une pipe dans les toilettes. Juste une pipe. Mais bien sûr il a voulu plus. Et, comme prévu, je lui ai donné plus... Il a éjaculé trois fois en tout, il devait vraiment être en manque.
Une fois arrivée à destination je suis descendu du train. Je m'étais nettoyé le visage, remaquillé et avait même bu quelque chose pour enlever le goût de sa queue et de son sperme de ma bouche. Je devais être parfaite pour lui.
Il m'attendait dans sa voiture. Je me suis assise à côté de lui, rougissante. Il ne m'a pas salué et m'a juste dit :
- Tu t'es faite baiser ?"
J'ai hoché la tête. Je pleurai de honte. Intérieurement. Il a démarré en me disant :
- C'est bien. On est entre nous, montre-moi ta chatte."
J'ai poussé le pan de ma robe pour dévoiler mon intimité. Il a jeté un œil :
- Qu'est-ce que tu as fait exactement ?"
Ma voix était hésitante, j'avais du mal à ne pas pleurer. Mais je ne devais pas. J'ai commencé à lui raconter :
- D'abord je l'ai sucé et j'ai bu son sperme."
- Bien. Et ensuite ?"
- Ensuite, il a voulu que je le masturbe un peu. J'ai accepté et il a vite repris de la vigueur. Il a insisté pour me prendre, m'a proposé de me payer plus que mon tarif. J'ai cherché des excuses. Je lui ai dis que je n'avais pas de préservatifs. Il en a sorti un. Alors j'ai acceptée."
- Brave petite. Il t'a sodomisée ?"
J'ai répondue, outrée :
- Non ! Je lui ai dis que mon client voulait que mon cul soit vierge pour lui."
- Et il l'est ?"
- Oui !"
- Totalement ?"
J'ai rougi, baissé les yeux. Il a sourit et dit :
- Je me doutais que t'étais une bourgeoise coincée du cul, tu sais. Je parie que tu n'avais jamais avalé avant non plus."
J'ai hoché la tête. Je me suis mise à pleurer. Il a dit :
- Ne t'inquiète pas, bientôt tu ne seras plus coincée du tout..."
J'avais honte, tellement honte. Qu'étais-je devenue ? J'ai murmurée pour moi-même :
- Je suis une traînée, une salope..."
Il m'a entendu. Il a attendu que l'on soit à un feu et il s'est tourné vers moi. Il m'a giflé. Il m'a dit :
- Je t'interdis de dire, de penser ça. Tu n'est pas une salope. Tu es une traînée, une pute, oui. Mais pas n'importe laquelle. Tu es MA pute, compris ?"
Je l'ai regardé en me tenant la joue. J'ai hoché la tête. Il m'hypnotisait : j'étais sienne. Il m'a dit de continuer mon récit. Je lui ai raconté qu'après l'homme s'était reposé un peu mais qu'il était revenu une troisième fois. Il voulait me couvrir le visage de sperme, ça l'excitait. J'ai accepté et nous sommes retourné aux toilettes. Tout le monde me regardait. D'autant que nous n'avions pas été très discrets lors de notre discussion. J'aurais voulu mourir. Mais il me fallait accomplir mon devoir. Alors je l'ai sucé et il m'a juté au visage. Mon récit fini je me suis tue. Il est resté silencieux puis il a simplement dit :
- C'était la première fois aussi ?"
- De quoi ?"
- Que tu te faisais juter au visage ?"
J'ai hochée la tête. Comment devinait-il tout ça ?
- Et tu as pris ton pied ?"
- Non !"
- Tu devrais. Une bonne pute le ferait. Tu as simulée au moins ?"
- Euh... Oui, bien sûr."
- Et tu n'as pas pris ton pied ?"
J'ai hésité... Le prendrait-il mal ?
- Je... J'ai mouillé quand il m'a prise la deuxième fois."
Il m'a regardé. Je n'osais pas lever la tête. Il a dit :
- Bon. C'est un bon début."
Je n'ai rien dit. Nous avons continué à rouler. Il a tendu sa main. Je lui ai donné l'argent que j'avais gagné en me prostituant. Il a compté, un œil sur la route. Puis il a dit :
- Bien... Très bien. Tu es une bonne pute."
Puis il a rangé les billets et m'a doigté distraitement la chatte en conduisant d'une main. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai joui. J'étais atrocement honteuse, j'avais mouillé les siège de sa voiture. Mais je me sentais si heureuse...
Nous sommes arrivés chez lui. Il est venu m'ouvrir la portière. Puis il m'a guidée chez lui. Nous nous sommes assis au salon et nous avons discuté en prenant l'apéritif. C'était très étrange. J'étais tendue. Je savais que j'allais me faire baiser, comme une chienne. Mais il semblait agir comme si ça n'avait pas été prévu.
A un moment il s'est levé, probablement pour aller chercher à boire. Avant que je ne comprenne il était à côté de moi et sortait son sexe. J'ai levé les yeux et il s'est mis à m'uriner dessus. J'ai eu un mouvement de recul. Mais il s'est avancé.
Alors je lui ai offert mon visage. Ça avait commencé. J'ai ressenti ça comme une délivrance. Je n'ai même pas hésité quand il m'a demandé d'ouvrir la bouche, de lui nettoyer le gland quand il a eu fini. Nous avons échangé un regard. Il m'a giflé et a hurlé :
- Espèce de truie ! A cause de ton hésitation j'en ai foutu sur la moquette et le fauteuil ! Bonne à rien !"
Il m'a giflé à nouveau puis m'a saisi à la gorge :
- Maintenant tu vas nettoyer."
Il est parti me laissant pantelante par terre. Quand il est revenu il m'a jeté un seau et une serpillière :
- Allez, lave."
J'ai obéi. Pendant que je lavais il m'a ôté ma ceinture, puis ma robe. Il m'a claqué les fesses plusieurs fois puis il les a écarté. Je savais qu'il scrutait mon anus et j'ai rougi de honte. Il a murmuré :
- Toi, tu vas te faire enculer, ma belle."
Je n'ai rien dit. Je ne me suis pas révoltée. Puis une phrase m'a échappée, comme une envie subite :
- Bien sûr. Et j'espère que ce ne sera pas tout !"
Il a ricané :
- oh non, ce ne sera pas tout ! Tu auras plus. Bien plus que tu n'aurais voulu..."
J'ai frissonné mais j'ai continué à nettoyer. Il est parti.
Quand il est revenu il avait des menottes de cuir, une laisse, un bâillon, un foulard... Il me les a montré et a dit :
- Tu vois tout ça ?"
- Oui."
- C'est pour toi."
- Merci."
Il est resté pensif quelques instants :
- Mais j'ai envie de faire un petit jeu d'abord..."
- Ah ?"
- Oui. Tu vas faire comme si tu avais ces liens, mais je ne te les mettrais pas."
- D'accord."
- Bien. Tu as les yeux bandés."
J'ai fermé les yeux. Il a continué :
- Je vais maintenant te bâillonner. N'oublie pas qu'il y a une boule pour garder ta mâchoire ouverte..."
J'ouvre la bouche. J'ai rapidement la gorge sèche... Il attend. Enfin il ajoute :
- Je viens de t'attacher les poignets dans les dos. Et tes chevilles aussi."
Je place mes mains dans mon dos, colle mes chevilles ensemble. Il me pousse alors en avant, je tombe. Je me retiens d'utiliser mes bras, d'ouvrir les yeux. Je percute le sol dans un bruit sourd. Un cri m'échappe. Il tempête :
- Et ton bâillon, salope ? Tu te crois où ?"
Je veux m'excuser mais me rappelle le bâillon et reste la bouche ouverte. Il me tire par les cheveux et me mets sur le dos. Il me gifle puis m'étrangle. Ma figure s'empourpre. Je reste les yeux fermés et la bouche ouverte. Je me tortille sans jamais oublier que mes poignets et mes chevilles sont liés.
Il se calme, me remet face au sol, m'ordonne de lever mon cul vers lui. Il le claque. Puis il le saisit à pleine main et enfourne son sexe profondément en moi. J'ai mal. Mais je ne peux hurler. Je pousse des cris étouffés par ma mâchoire immobile, ma gorge sèche. Ça lui plaît, il me prend plus fort. Enfin il me libère de mon bâillon. Je m'autorise alors à hurler. Ça l'excite, je le sais. Il glisse sa main sur ma chatte et murmure :
- Mais c'est que tu es trempée... Tu aimes vraiment ça, cochonne."
Il a raison. J'en ai honte mais j'aime ça, ça me fait jouir. Je me sens pleine de lui, sienne. Il m'humilie et j'adore ça. Il dit en sortant sa verge de mon anus :
- Met-toi sur le dos. Tu n'as plus les yeux bandés."
Je me laisse tomber sur le côté puis gigote pour me retrouver sur le dos. Je regarde alors son sexe. C'est la première fois que je le vois en érection. Il est beau. J'ai envie de le sucer. Mais il ne me l'a pas demandé. Alors j'attends. Il se branle et me couvre de sperme. La sonnette retentit. Il sourit :
- Joli timing..."
Il se finit. Puis il se dirige vers l'entrée sans ranger sa queue et me lance :
- Va te laver un peu, tu sens le sperme et l'urine. Viens nous rejoindre dés que tu as fini."
Je suis allée me laver, comme il me l'avait demandé. Je me suis même remaquillée. Pas par coquetterie. Mais parce que je savais que voir mon maquillage couler l'excitait. Je voulais qu'il soit excité. Qu'il me batte, qu'il me viole.
Puis je suis allé dans l'entrée. Son ami discutait avec lui. Leur deux queues étaient sortis. Il m'a demandé de le saluer. J'ai obéi et j'ai commencé à lui tailler une pipe en guise de bonjour. Son ami a ri :
- En voilà une sacrée salope ! On lui demande de dire bonjour et elle vous taille une pipe !"
- Umm... Oui, mais elle pourrait faire mieux. Par exemple ne pas s'agenouiller. Ça offrirait plus de possibilité."
Ce n'était pas un ordre mais j'ai obéi. J'ai gardé le sexe de son ami en bouche et me suis redressé. J'étais penché en avant et mon cul l'appelait. Il m'a écarté les fesses et doigter l'anus en disant :
- Tu sais que je n'ai pas encore eu droit à sa chatte ? Elle l'a pourtant offerte à un inconnu dans le train..."
- Oh, vraiment ? C'est une belle cochonne !"
- Non, une pute. Elle lui a tiré du pognon en échange."
Son ami a ri. Savait-il que c'était sur son ordre que je l'avais fait ? Ou peut-être qu'il s'en fichait, du moment que je le suçais...
- Une belle pute alors. Elle doit bien gagner sa vie. On devra pas la payer au moins ?"
- Non, elle veut juste être ma chienne. Ça la change de ses clients."
- Ok. C'est quand même une cochonne alors..."
Ils ont ricané. J'étais rouge de honte. Mais je continuais à sucer consciencieusement. Son ami lui a demandé :
- Tu vas lui prendre sa petite chatte alors ?"
- Non, j'ai tout mon temps."
Il m'a empalé. J'ai étouffé un cri, sucé plus fort pour oublier la douleur. Son ami à eu l'air d'aimer :
- Putain, elle aime la bite !"
- Et oui !"
- Même la douleur ne l'arrête pas..."
- Ça on verra quand Rufus s'en sera occupé."
- Tu veux la donner à Rufus ? C'est du gâchis !"
- Rufus est un pote, je lui dois bien ça..."
- Quand même... Une si belle femme."
- Bah, elle s'en sortira. En quelques semaines elle sera opérationnelle."
Son ami est resté silencieux. Je les entendait avec horreur discuter comme si je n'étais pas là. Non, plutôt comme si le fait que je sois là n'avait pas d'importance. Et moi je ne réagissais pas. Ils souhaitaient me livrer à un malade qui allait probablement me faire souffrir atrocement. Et tout ce que je trouvais à faire c'est sucer son ami plus fort, dans le vain espoir qu'il puisse le persuader de changer d'avis. Peine perdue. Il a fini par dire :
- Fais comme tu veux. Après tout on va bien en profiter avant !"
Il m'a donné un grand coup de bite dans le cul puis a rigolé :
- Ça c'est sûr !"
Il m'a attrapé par les cheveux, m'a redressé et m'a murmuré :
- Rappelle-toi... Tu peux arrêter à tout moment..."
Je n'ai rien répondu. Il m'a relâchée et je suis retourné sucer la verge de son ami...
Je continue à sucer avec ardeur son ami alors que mon Maître fait claquer ses hanches sur mes fesses. Enfin je sens la sperme couler dans ma bouche. J'aspire fort, avale goulûment. Ils n'ont rien eu à dire, à exiger de moi : c'était une évidence. L'ami de mon Maître m'offrait sa semence et je me devais de l'avaler.
Enfin la verge sort de ma bouche. Je pousse un soupir de dépit malgré moi. Mon Maître me plaque alors contre le mur et m'encule violemment. Puis il s'arrête, maintenant ma tête contre le mur. Je tente de le regarder et demande :
- Vous ne me violez plus le cul ? Je vous ai déplu ?"
Il ne répond pas. Il me tire vers le bas. Je m'agenouille. Sa queue est si près... Je tend le cou, tire la langue. En vain, il retient ma tête. Son ami ricane :
- Quelle affamée ! Elle aime la bite !"
- Non."
- Comment ça ?"
- Explique, sale chienne."
Je parviens à lécher son gland du bout de la langue. Puis je réponds :
- Je n'aime que la queue de mon Maître. Les autres m'indiffèrent."
- Ah oui ? Tu m'as bien sucé pourtant !"
Je rétorque, outrée :
- Bien sûr ! Mon Maître m'offre une nouvelle queue. Je me dois de la traiter comme si c'était la sienne !"
Il pousse un sifflement d'admiration :
- Eh bé... Tu l'as bien dressée !"
Mon Maître murmure juste en me dévisageant :
- Ouais..."
Il n'a pas dit que mon dressage ne faisait que commencer. Nos regards se croisent et je suis heureuse d'y lire son plaisir. Je mouille terriblement. Je veux me toucher mais il m'arrête d'un mot. Mes jambes tremblent : je suis au bord de jouir.
Puis il enfourne son sexe entre mes lèvres et je le suce avidement. Il me force à l'avaler, m'étouffe. Mais je m'en fiche, je lèche comme si c'était un délicieux cadeau. Je savoure le goût particulier de sa queue, différent d'auparavant. C'est si bon. Son ami rit à nouveau :
- Dire qu'elle bouffe son cul indirectement ! Quelle cochonne !"
Je rougis vivement en réalisant que ce goût dont je me délecte est celui de mon cul, de ma merde. Mais je ne peux m'empêcher de continuer. Je pousse des petits couinements de plaisir. Il sort son sexe. Je l'accompagne de la langue, retardant le moment où je n'aurais plus son membre en bouche. Puis il ordonne d'un ton sec :
- Tes seins."
Il n'a pas besoin d'en dire plus. Je saisis ma poitrine, la presse, caresse son sexe avec. Les tétons frottent le dessous de son gland. Il se masturbe et jute dessus. Je les masse, savourant la sensation du liquide gluant entre eux. Puis j'enfourne son sexe dans le val de ma poitrine en le regardant. Il sourit et me fait sucer ses doigts. Je ferme les yeux et soupire. Il dit à son ami :
- Va au salon et sers-toi un verre de whisky. Ramène la bouteille après."
- Ok."
Puis il s'adresse à moi avec douceur :
- Tu vas jouir, salope."
Je lui suce le gland puis j'arrête de le branler et lèche son membre maintenant recouvert de sa délicieuse semence. Son ami ne tarde pas à revenir. Il tend la bouteille à mon Maître. Il boit au goulot avant de me dire :
- En position, chienne."
Je me mets en levrette, instinctivement. Je sens le verre froid contre mon anus. Il pousse et la bouteille me pénètre. De l'alcool coule et me brûle. Je hurle de douleur. Puis il pousse à nouveau et je m'effondre au sol, anéantie. Je jouis comme rarement j'ai joui. Des larmes coulent sur mes joues. Des larmes de honte.
Il vient de me faire jouir avec un goulot de bouteille. Sans même me toucher avant. Juste en m'enculant et en enfonçant cette bouteille. Ma chatte est encore vierge de son sexe. Elle coule pourtant, dégouline de mouille. Je suis sienne et j'ai honte. Il fait rentrer et sortir la bouteille et je gémis. Puis il la ressort et me fait boire le fond de la bouteille.
A nouveau le goût de mon cul sur mes lèvres. Je m'en délecte. Il souhaite que je goûte mon cul. Alors je ne peux qu'aimer ça. C'est si simple que cela me terrifie.
Je reste ainsi un moment, le visage collé au sol, le cul dressé. Il a planté à nouveau la bouteille et je resserre mon anus pour ne pas qu'elle tombe. Ils ne sont même plus là. Ils discutent au salon.
Puis ils reviennent. Ils me font relever. A nouveau je dois serrer mon cul pour ne pas perdre la bouteille que mon Maître m'a offerte. Ils me bandent les yeux, me fixent un collier et une laisse en discutant tranquillement. Ils attachent ensuite mes poignets derrière ma nuque, les fixant au collier.
Mon Maître ressort la bouteille. Il la fait glisser sur mon corps. Je sens le goulot jouer avec mes lèvres intimes. Je me tend, prête à la recevoir. Il la plante. Je manque de jouir à nouveau, me mord les lèvres en retenant un grand cri de jouissance. C'est la première fois qu'il honore mon intimité. Avec une bouteille, certes. Mais c'est lui qui l'a planté. Pas son ami. Lui. Il m'a faite cet honneur.
Je suis heureuse. Je voudrais le remercier mais je sais qu'il me veut silencieuse. Je mouille dans la bouteille. Son ami appuie sur ma vessie en murmurant :
- Laisse-toi aller... Complètement..."
J'urine alors. Ça coule dans la bouteille. A côté aussi, coulant sur mes cuisses. Je devrais avoir honte, me révolter. Mais je n'y arrive pas. Je retiens une nouvelle vague de jouissance. Puis il me fait boire. Je me délecte du nectar qui coule sur mes lèvres. J'en connais la composition pourtant. Mais je n'arrive pas à trouver cela mauvais. Ni même sans saveur. J'en voudrais plus, toujours plus. Il vide le reste de la bouteille sur mon corps. Odeur d'alcool, d'urine. J'ouvre grand mes narines. Je défaille de plaisir. Il murmure :
- Petite souillon..."
Je retiens ma respiration. Vas t-il se fâcher ? Me renier car je suis trop sale pour lui ? Mais il me tire juste par ma laisse en disant :
- On va te laver, tu en as bien besoin !"
Je me mets à pleurer. De joie. De soulagement. Son ami demande :
- Pourquoi elle chiale, cette conne ?"
- Parce qu'elle est mienne. Ça la rend heureuse."
Il n'a même pas eu besoin de me demander. De toutes façons mon avis en compte pas. Si il s'était trompé j'aurais simplement changé de raison pour pleurer. Mais il ne pouvait pas se tromper. Pas lui. Pas mon Maître. Son ami parait impressionné. Il murmure à nouveau :
- Vraiment bien dressée..."
Je ris intérieurement. Il n'a pas eu besoin de me dresser. Juste accepter que je sois à lui. Il aurait été insultant qu'il eut à faire des efforts pour me faire sienne...
Je sentis l'air frais sur ma peau nue. Nous devions être dehors. Je crains un instant d'être en pleine rue. Surtout que je marchais sur du béton. Ou alors devant chez lui, livrée au regard. Je commençais à paniquer, voulus fuir. Puis je me rappelais que j'étais à lui. Que seul lui pouvait décider ce qui était humiliant ou non pour moi. Mais je m'étais arrêtée... Il gronda :
- Un problème, sale pute ?"
- N... Non, je suis désolée, Maître. Aucun souci."
Il me gifla et cria :
- Ne me mens jamais ou je te renie !"
Je me remis à pleurer. Pas pour les mêmes raisons. Il était fière de moi et je venais de tout gâcher. Je tombais à genoux, malgré l'étranglement du collier et tenta de me pencher en avant pour lui lécher les chaussures en suppliant :
- Pardon, Maître ! Pardonnez votre vile chienne ! Je ne voulais pas ! Pardonnez-moi !"
Il a dégagé son pied, donné un coup sec sur la laisse et m'a tiré à nouveau sans répondre. Je reniflais comme une gamine en le suivant. Puis il me laissa debout au milieu de...
Sa terrasse ? La rue ? Je ne savais même pas...
Un jet d'eau glacé interrompit mes pensées. Je fis un bond en arrière. Il grogna :
- Reste en place, pétasse. Et tourne sur toi même qu'on puisse te laver bien partout."
Je bafouillais :
- Ou... Oui, Maître. Pardon."
- Arrête de t'excuser et obéis, tu me gonfles."
Je m'apprêtais à m'excuser de nouveau mais refermais la bouche. Comment pouvais-je être aussi stupide ? Je n'avais pas à m'excuser. Soit il ne voulait plus de moi et mes suppliques ne serviraient à rien. Soit il voulait encore de moi et mes excuses ne feraient que l'importuner. J'oubliais ma place, j'oubliais qu'il n'avait aucune raison de se préoccuper de mes excuses. Quelle imbécile ! J'avais honte à nouveau. Mais honte de ne pas être à la hauteur de ses attentes, de le décevoir par mon attitude. J'offrais alors mon corps au jet. Je savourais ces caresses indirectes, tirant du plaisir d'être le centre de son attention.
Enfin le jet s'interrompit. J'attendais frémissante. Soudain ses doigts sur moi. Je tressaillis. Peut-être était-ce ceux de son ami ? Non, j'étais sûre du contraire. Je me surpris à reconnaître des détails infimes de sa morphologie. J'aurais été bien incapable de reconnaître ainsi les mains de mon mari... Puis je sentis un tube de plastique dans ma chatte. Il dit :
- Ouvre l'arrivée d'eau."
Ma chatte se remplit. Je sentis mon ventre se tendre. Puis le jet s'arrêta. Il pinça les lèvre de mon intimité. De l'eau coulait malgré tout. Il susurra :
- Essaie d'en garder le maximum, ma chienne."
Puis il glissa le tube dans mon anus. Je fus remplie à nouveau. J'avais mal et j'étais nauséeuse. Enfin il ressortit le tube. Je serrais les fesses, anticipant son ordre. Je restais quelques secondes ainsi, au bord de la rupture. Enfin une petite phrase :
- Lâche tout."
Sa main quitta mon sexe et je me vidais sur le sol. A nouveau la honte me prit. J'étais sûre qu'il n'y avait pas que de l'eau qui giclait de mes orifices... Il ricana :
- Et bien ! Ça en avait bien besoin... Dire que j'ai foutu mon sexe la dedans !"
J'ai rougi, gênée d'avoir ainsi souillé son magnifique sexe. Mais il me rassura en ajoutant :
- Heureusement tu l'as bien nettoyé, petit aspirateur à bite !"
Puis il me claqua la fesse et m'essuya la chatte et le cul avec une vieille serpillière.
Il m'entraîna alors sur du gazon. Il me fit agenouiller et je suçais leur deux queues avec délice. Puis je sentis qu'il s'allongeait alors que son ami pilonnait vigoureusement ma gorge. J'étais follement excitée : il allait me prendre !
Il me prit par la taille et m'attira à lui. Je sentis son gland sur mes lèvres intimes. Je me mis à mouiller abondamment. Il allait me prendre la chatte, enfin. Le dernier trou qu'il n'avait pas conquis. Il s'enfonça et je jouis sur le coup. Je restais la bouche béante alors qu'il profitait de mon corps en massant mes seins et me limant. Son ami saisit mon visage et profita de ma bouche ouverte pour enfourner sa verge. Je me remis à sucer, aspirant, léchant.
Enfin il ressortit et se dirigea vers mes fesses. Il les claqua en demandant :
- Alors, ma pute, tu penses que ça va rentrer ?"
- Non. Je ne suis pas habituée."
- Ah ? Tu veux dire que je ne vais pas pouvoir te baiser le cul en même temps qu'il te lime ?"
Je ris :
- Bien sûr que si ! Ça ne rentrera pas. Mais vous n'aurez qu'à forcer."
- Oh. ca va te faire mal, non ?"
- Bien sûr."
- Et tu vas jouir ?"
- Comme une salope."
Il claqua à nouveau mes fesses et dit joyeusement :
- Bien ! On y mettra d'autres choses alors !"
Je ne compris pas ce qu'il voulait dire mais je n'eus pas le temps d'y réfléchir : il pénétra mon anus. Je m'effondrais sur mon Maître. Il me releva la tête en m'étranglant. Mon corps ballottait sous leurs assauts. Il gueula :
- Eh ! Tu tombes pas dans les pommes sans mon autorisation, ok ?"
Je luttais contre l'engourdissement qui saisissait mon corps endolori. Je me mordis la langue, espérant rester consciente. Il me gifla et cela me réveilla. J'étais si contente : il prenait la peine de m'aider. Un sexe se frotta sur ma joue et je le pris en bouche. Puis on pris ma main et le posa sur un autre que je commençait alors à branler méthodiquement.
Je ne réalisais pas tout de suite. L'arrivée d'une autre queue sur ma joue me fit enfin prendre consciente qu'ils n'étaient pas deux. Mais bien plus.
Je pris peur : allais-je être privée du sexe de mon Maître ? Je me mis à pleurer en suçant avec l'énergie du désespoir. Ils me firent tourner sur moi même. Mon Maître me limait maintenant à nouveau l'anus. Son ami se pencha sur moi entraînant son sexe loin dans ma chatte, la déformant vers le haut.
On me forçait à avaler profondément une queue en branlant deux autres. Je compris pourquoi il s'était ainsi penché sur moi quand un autre sexe chercha l'entrée de mon vagin. Il eut du mal à entrer et ne s'enfonça guère loin mais cela suffit à m'arracher des cris de douleur étouffés.
Cela excita mes compagnons et ils me prirent plus vigoureusement. Je n'avais à nouveau plus que deux queues en moi. Le moment que je craignais arriva enfin : mon cul s'emplit de sperme. Mon Maître allait m'abandonner. Mon seul espoir était d'être assez salope pour rapidement l'exciter de nouveau.
Son ami ne tarda pas non plus, son sperme coulant sur mon ventre alors qu'il giclait sur mon corps. D'autres verges vinrent les remplacer. Je me fis aussi pute que je pus, aussi affamée qu'il me parut possible. Je gémissais mon plaisir. Très vite je n'eus même plus à simuler. La simple violence de leur assaut et l'idée du plaisir que mon maître devait ressentir me guidant vers des orgasmes répétés. Je fus remplie par vague. Il y eut des pauses alors que les premiers devaient se faire durcir à nouveau pour revenir en moi.
Chaque fois que mon Maître me prenait je le reconnaissais. Ses mains, sa langue, son sexe... J'y accordais une attention particulière, jouissais plus qu'avec les autres. Je me devais d'apprécier tout ces sexes puisqu'il me les offrait. Mais jamais autant que le sien. C'était inconcevable, inimaginable.
Enfin les membres cessèrent peu à peu d'être remplacés. J'étais fourbue mais heureuse. Un peu déçue aussi. J'aurais voulu que toutes ces queues soient la sienne. Et qu'il me prenne jusqu'à l'inconscience. Je rougis en me réprimandant intérieurement de penser que sa verge ne suffirait pas à mon bonheur. J'étais trop épuisée pour avoir honte maintenant...
Ils me firent lever et je fus aussi étonnée qu'eux lorsque mes jambes cédèrent. Ils ricanèrent :
- On l'a bien défoncée, la salope ! Regardez dans quel état on l'a mise !"
- Ouais, je paries qu'elle a la chatte sèche d'avoir trop mouillé !"
- Et son cul ? Il doit être aussi dilaté qu'un tunnel routier !"
- Tu parles ! On pourrait y faire entrer un TGV !"
- Et en plus lubrifié par son sang..."
Ils éclatèrent de rire. L'un d'eux me porta dans ses bras et je me mis à pleurer. Il grogna :
- Qu'est-ce qu'elle a cette conne ? Elle a joui comme une malade et maintenant elle fait genre qu'elle est outrée ?"
- Pose la à terre, tu vas comprendre."
La voix de mon Maître. Comme un baume sur mon corps meurtri. Il vint et me prit dans ses bras. Il avait tout de suite compris. Je me serrais fort contre lui. Les autres jouaient avec mon corps, me mettaient des doigts mais je m'en fichais. J'étais dans ses bras. Contre son torse. Je fermais les yeux et perdis conscience...
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Je me réveillais la tête dans le coton. J'avais du mal à respirer et je voulus tousser mais des mains me tinrent fermement la tête. Je compris alors que j'avais une verge en bouche et entrepris de faire mon travail : la sucer. Des mains me caressaient. J'étais allongée sur le divan. Les hommes discutaient tranquillement et profitaient de mon corps. L'homme que je suçais dit :
- Ah ! Notre poupée gonflable se réveille enfin !"
Les hommes commencèrent alors à s'agglutiner autour de moi. J'avais toujours les yeux bandés et je cherchais à tâtons un sexe à branler. Je ne tardais pas à en trouver un. Je fus un peu déçue que ce ne soit pas la sienne.
Un deuxième sexe força l'entrée de ma bouche. Je suçais comme je pouvais. Je sentis un homme monter sur le divan. J'écartais les cuisses pour l'accueillir. Il me prit doucement. C'était lui, je le savais.
J'avalais les deux verges profondément et jouis au son de sa voix me câlinant en me traitant de sale pute ...
Pas de suite......