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Consenties.....
Vieux pervers et ma copine
Hello, Mon nom est Julien et je vais vous raconter l’histoire absolument véridique qu’il m’est arrivé avec ma copine Laura. Laura et moi, ça fait un an que l’on est ensemble. On s’est rencontré à l’université car on est dans la même faculté de droit, on a tous les deux 20 ans et on est un joli petit couple comme on nous le dit souvent.
Elle est châtain claire, mesure 1 mètre 68, est assez mince, elle a de joli yeux bleus, de joli petit sein et une jolie paire de fesses. Sur le plan sexuel, on s’est tout de suite entendu, j’étais son premier homme et elle est vite devenue accro au sexe. Ce jour là, on était allé voir un match de hockey, un match important de play-off que je ne voulais louper pour rien au monde.
Laura n’aime pas trop venir au match avec moi, « une bande d’hommes stupides bourrés de testostérone qui supportent une dizaine de bûcherons patinant après un bout de plastique » dit-elle, elle était donc venue à contre cœur, ou plutôt pour passer du temps avec moi, car c’est vrai qu’à cette époque, nous n’avions pas beaucoup de temps à nous, à cause des cours.
Nous avons donc pris le train, puis le bus jusqu’à la patinoire où avait lieu le match. Laura était habillée d’un pantalon noir moulant ses jolies fesses et d’un pull colle roulé car il faisait un peu froid dans la patinoire. Je dois dire qu’elle était très sexy et que beaucoup d’hommes l’ont regardé.
Il y avait déjà beaucoup de monde qui faisait la queue pour entrer dans l’enceinte, ce qui mit ma douce moitié d’une humeur plutôt mauvaise. C’est pour cela que quand nous sommes enfin entrés, elle a voulu directement aller s’acheter des cigarettes et s’acheter à boire.
Evidemment qu’il y avait de nouveau la queue, c’est pour cela que nous avons pris directement 3 bières chacun afin de ne pas revenir à chaque pause. Nous sommes ensuite aller dans les gradins, nous étions à des places debout.
Vu que le match était important, la patinoire était pleine et nous étions tous serrés. A côté de nous, il y avait un homme d’une cinquantaine d’année et sa fille qui devait avoir à peu près notre âge, les deux semblaient être de fervents supporters. L’homme semblait déjà avoir un peu bu vu l’enthousiasme avec lequel il parlait à sa fille, mais sans être ivre.
Laura, elle de son côté, avait bu ses 3 bières en à peu près 10 minutes et le sourire lui revenait gentiment. Nous nous fîmes un tendre baiser et la bonne humeur était revenue.
Le match commença, notre équipe dominait et le public était très agité. Après une dizaine minute de jeu, le premier but arriva, les supporters exaltaient, les gens se serraient, sautaient, nous étions comprimé les uns contre les autres et c’est à ce moment que je vis l’homme effleurer les fesses de Laura.
Il n’a sûrement pas du faire exprès me dis-je. Je demandais à Laura qui me dit qu’elle pensait également qu’il n’avait pas fait exprès. Nous nous sommes embrassé et le jeu a repris.
Le deuxième but arriva immédiatement après le premier ce qui déclencha une nouvelle cohue. Nous étions à nouveau balancés les uns contre les autres. Je vis à nouveau l’homme effleurer les fesses de Laura comme si c’était involontaire mais cette fois il le fit plusieurs fois de suite. Il n’y avait plus de doute, ce n’était pas tout à fait involontaire.
J’étais un peu jaloux mais très excité par la situation, je sentais mon sexe grandir dans mon caleçon. Laura me regarda et me dit :
- On peut échanger de place, le vieux en fait il fait exprès de me toucher les fesses ».
Et c’est là que je ne sais pas pourquoi, l’excitation et l’alcool je suppose, mais je lui glissais à l’oreille :
- Non, reste ! Moi ça m’excite »
Ces mots sont sortis tout seul de ma bouche comme s’ils s’étaient échappés, je ne revenais pas de ce que je venais de dire. Laura me regarda un peu bizarrement mais resta à sa place. Le match avait repris, toujours avec autant d’ambiance dans le public.
Moi, de mon côté, j’avais de la peine à me concentrer sur le match car je n’arrivais pas à décoller mes yeux des fesses de ma chérie. Je m’imaginais les mains du « vieux » se poser à nouveau sur ces deux formes, Jamais avant je n’aurais cru que de voir Laura se faire tripoter m’aurait excité et en plus à ce point.
Un supporter se frayait un chemin pour aller aux toilettes, ce qui entraîna un petit mouvement de foule à notre hauteur. Je fixais les fesses de Laura, et là je vis la main du vieux se poser clairement sur le postérieur de ma copine, cela ne dura pas longtemps mais cette fois il avait fait plus que de les effleurer, il les avait tripotés.
Sa main entière s’était posé sur le pantalon moulant et il y avait même eu un minuscule mouvement de ses doigts. La fesse droite de Laura s’était alors légèrement déformée sous l’attouchement de cette main étrangère. L’homme qui avait une trentaine d’année de plus que Laura, faisait comme si rien ne s’était passé et parlait même avec sa fille, qui n’avait, elle, rien vu tout comme le reste du public d’ailleurs.
Laura me regarda droit dans les yeux, je lui souris, elle me rendit mon sourire et nous nous sommes embrassés. J’observais l’homme, je suivais la trajectoire de ses yeux. Il regardait le match mais de temps en temps ses yeux se détachaient du jeu pour plonger sur le petit croupion de ma bien-aimée. L’homme ne savait absolument pas que j’avais remarqué son petit jeu.
Je n’en pouvais plus tellement mon sexe était comprimé dans mon pantalon, lui, devait être au moins dans le même état que moi. La première pause s’approchait, il ne restait que quelques minutes. Le quinquagénaire était toujours à côté de Laura, j’avais l’impression qu’ils étaient collés, ils n’étaient en fait pas plus collé lui et elle que moi à elle, nous étions tous collé à notre voisin en fait. Sa main pendait à coté de Laura, elle s’approchait de plus en plus de ce terrain désormais connu.
Ce pervers profita que tout le monde soit attentifs au 30 dernières secondes - sa fille y compris- pour poser sa main une nouvelle fois sur la fesse droite de ma copine, il l’a laissa cette fois quelques secondes et malaxait tout doucement. Laura, elle, se laissait faire et regardait le match. Après 10 secondes de ce traitement, Laura descendit sa main et caressa celle du vieux d’un léger mouvement pour lui signifier cette fois d’une manière certaine son accord.
La cloche sonna la pause et l’homme enleva rapidement sa main. Laura m’embrassa à nouveau et nous décidâmes d’aller nous chercher quelque chose à boire et surtout parler de ce qui s’était passé. Nous avons pris à nouveau 3 bières chacun, sans doute pour pimenter encore un peu ces instants.
- Je bande comme un fou » lui ai-je avoué.
- Tu as vu comme il m’a touché le cul me lança-t-elle d’un air excité, je lui fis un hochement de la tête et elle ajouta je mouille comme jamais mon chéri, surtout ne le prend pas mal. On peut tout arrêter et aller regarder le match ailleurs si tu le veux. Mais la situation m’excite vraiment. »
- Tu sais la situation m’excite aussi et je ne le prends pas mal, à près tout c’est moi qui ait voulu ce qui arrive… je t’aime » terminai-je.
Je la pris par la main et l’emmena où nous étions précédemment. Le vieux était toujours là avec sa fille. Nous bûmes rapidement nos bières et le match recommença. Pendant les 10 premières minutes les mains de l’homme restèrent sagement à leur place et mise à part quelques regards furtifs rien ne se passa. J’étais déçu et croyait que le petit jeu était finit.
Laura me regarda et me fit une sorte de sourire qui, je ne le compris qu’après, voulait dire « tu veux qu’on continue à jouer ? », je le lui rendis. Un court instant après je vis ma chérie faire une sorte de petit mouvement du bassin et se frotter discrètement les fesses contre les jambes tendues de l’homme.
Celui-ci a réagit tout de suite et, toujours discrètement, commença a caresser la cuisse droite de Laura. La fille, qui était de l’autre côté de l’homme et qui regardait le match, ne voyait toujours rien. Moin de mon côté, je regardais du coin de l’œil pour ne pas me faire repérer.
Le vieux remontait toujours un peu plus haut sa main et arrivais maintenant vers la braguette du pantalon de Laura. Sa main était toujours collée au pantalon de ma douce et faisait des petits mouvements circulaires. Laura avait fermé les yeux et son visage exprimait la jouissance, elle se mordait les lèvres. Je vis que Laura faisait de petits mouvements en avant pour encore intensifier la jouissance du traitement que ce pervers lui faisait subir.
Les doigts du vieux appuyaient sur l’avant du pantalon et ce dernier devait appuyer sur le clitoris de Laura car à chaque mouvement des doigts elle avait un léger spasme. Leur manège commençait à devenir un peu voyant et c’est sans doute pour cela que le quinqua retira sa main. A ce moment là ma tête allait exploser, ce flot de jalousie et d’excitation me prenait jusqu’au plus profond de mes nerfs.
A ce moment là, tout ce passa extrêmement vite. Tellement vite, que je n’eus même pas le temps de me demander si ce qu’il se passa plus tard était réellement ce que je voulais. L’homme dit quelque chose à sa fille et fit une petite tape sur les fesses à Laura il se dirigea vers la sortie où se trouvaient les toilettes…
J’avais maintenant tout compris à son plan mais avant même que je puisse réfléchir si je voulais vraiment cela, ma douce moitié était déjà partie en direction des toilettes sans même me consulter, pire, sans même me regarder.
J’étais comme paralysé, mes muscles étaient tétanisés, ma tête ne fonctionnait plus, tellement il y avait de questions qui la traversaient. Qu’allaient-ils faire ? A ce moment là est-il à l’intérieur d’elle ? Est-ce qu’elle jouit ?
J’étais bouleversé, mais d’imaginer ma petite amie à genoux, tirer une pipe à un homme beaucoup plus âgé qu’elle me faisait bander au plus haut point. Ils disparurent pendant plus de 10 minutes. Inutile de vous dire que les minutes furent des heures et que je n’étais plus très attentif au match.
La fille du vieux regardait toujours le match avait autant de passion et ne semblait pas se soucier de l’absence de son père. Je vis Laura revenir, le vieux lui n’était pas encore là.
Il revint que quelques minutes après avec deux boissons, au cas où sa fille se serait posé des questions sans doute. Laura vint se mettre devant moi, je la pris alors dans mes bras. Il fallait que je sache vite, que je sache enfin ce qu’il avait fait à ma copine.
Sa bouche vint se coller à la mienne, nos langues se rejoignirent. Je sentais sa langue tourner autours de la mienne comme si ma langue était un phallus. Nous arrêtâmes de nous embrasser et faisions semblant de regarder le match. Je descendis ma main jusqu’à l’entrée du pantalon de Laura, avec l’autre main je descends au maximum sa veste afin de cacher la pénétration de ma main dans son pantalon.
Arrivé à l’intérieur, première surprise, Laura n’a plus de string. J’entre alors 2 doigts dans sa petite fente mouillée afin de trouver d’éventuelles traces de pénétration, sa petite chatte est trempée mais il ne me semble pas qu’elle soit assez dilaté pour qu’elle ait été pénétrée. N’en pouvant plus de douter je lui glisse alors à l’oreille :
- Tu l’as sucé ? ».
Elle met fait alors un signe négatif de la tête. Je décide donc de vérifier la troisième possibilité sans trop y croire, je passe ma main derrière, glisse mes doigts entre ses fesses et son pantalons.
Mon index se pose sur son petit trou du cul, je constate qu’il est mouillé, je le fait alors pénétrer quelques centimètre et constate que l’anus de Laura est dilaté, dilaté comme jamais il ne l’a été. Mon doigt n’a aucune peine à entrer jusqu’au fond du cul de ma copine, le canal est gluant et dilaté jusqu’au plus profond. Je retire ensuite mon doigt, un long fil de sperme suit. Laura pousse, joue avec son sphincter afin de vider son rectum bien rempli.
Je sens le sperme sortir sous forme de petits pets qui viennent s’écraser dans ma main. Je sors ma main du pantalon, je la regarde, fasciné par ces trainées blanches qui ont envahit ma copine. Laura lèche alors ma main et avale jusqu’à la dernière goutte le sperme du vieux pervers…
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Consenties.....Ou forcées...
Concert de Rock
Auteur : WifeWatcher
Ça s'est passé dans les années 70. Ma femme avait 22 ans. Elle était mince avec de petits seins fermes, de longs cheveux bruns, des jambes sexy. Elle tenait absolument à aller voir sa star du rock préférée qui passait en concert dans notre ville.
Il y avait une foule de gens dehors. Des fans, des revendeurs de billets au noir, de tout, une masse de gens qui se pressaient et se bousculaient. Nous avons fini par nous retrouver au bout de la queue, pas loin de la porte d'accès à la scène.Nous étions en train d'attendre patiemment quand la porte de la scène s'est ouverte et on a vu sortir un homme du genre de ceux qui installent le matériel de scène des artiste. Il était débraillé, les cheveux en bataille et il avait un ventre a bière qui faisait éclater sa ceinture.
- Hey, vous avez vos billets, ma jolie madame ? " il a demandé à ma femme, Pat.
- Euh... oui " Puis à moi : On les a bien, hein, mon chéri ? "
- Oui, dans ma poche " j'ai répondu.
- Je peux y jeter un œil " dit cet individu plutôt repoussant.
Ayant pris les billets, il s'est frotté le menton.
- C'est bien ce que je pensais, ils sont faux. Y en a plein de faux comme ça. Cette tournée est complètement pourrie de faux billets. "
- Ah, non! c'est pas possible" s'est écrié Pat. Alors on pourra pas entrer ? "
- Pas avec ça, non " il dit en nous les rendant.
- Mais je parie que vous, vous pourriez nous faire enter ? " j'ai dit d'un ton sarcastique.
Ce que ce gros mufle n'a pas compris. Je savais que les billets étaient bons car je les avais achetés moi même au guichet officiel quinze jours avant ( Ca devait être une surprise pour Pat) mais j'ai joué le jeu juste pour savoir combien d'argent il comptait nous soutirer
- Ben... oui, je pourrais vous faire renter " dit-il.
- Combien ? " je lui ai demandé.
Il a semblé complètement surpris par ma demande
- Rien...Non, je demanderais quand même pas de l'argent à une si jolie dame ... euh ; un charmant couple comme vous.
Est-ce je l'avais donc du mal jugé ? Peut-être qu'après tout c'était quelqu'un de correct malgré son allure peu engageante.
Mais en fait c'était une vraie ordure :
- Non, c'est pas de l'argent qu'il faut, mais si la petit dame voulait être gentille avec moi... "
- Ça va pas ! " je l'ai coupé brutalement.
J'allais lui dire ce que je pensais de lui quand Pat a dit de sa petite voix douce :
- Alors on pourrait enter ? "
- Bien sûr, ma petit dame, " dit-il avec un grand sourire.
- Une seconde, non,...
Mais Pat , tout excitée m'a interrompu.
- Mais, mon chéri, on pourrait entrer et tu sais combien je veux aller à ce concert.
Là, j'étais vraiment sur le cul ! Ma jolie petit femme, si angélique, une femme qui n'accepte même pas un gros mot à la maison, la voilà qui envisage de faire l'amour avec un parfait inconnu et en plus un qui est vraiment pas ragoûtant.
J'étais tellement surpris que, au lieu de lui dire que les billets étaient bons et que le type essayait de la baratiner pour pouvoir la baiser, que je l'ai laissée continuer. C'était presque devenu une histoire de curiosité et je me demandais jusqu'où ma petite cochonne irait.
- D'accord alors, puisque t'insistes." j'ai fait, en faisant sembler de céder avec bonne grâce.
- Parfait, alors venez par ici " dit le gros salaud en ouvrant la porte tout grand.
Il nous a fait passer par un couloir puis un escalier. Je ne savais pas du tout dans quelle partie de l'immeuble on se trouvait mais j'ai compris qu'on était quelque part dans le sous-sol. Puis on est arrivé dans une pièce, il a ouvert la porte et a fait entrer Pam en me disant
- Toi, tu attends ici. "
- Ca va, Pat ? " je lui ai demandé.
- Oui, ça va aller." et la porte s'est refermée et je sui resté là à attendre.
Ça m'a semblé être une éternité, mais en regardant ma montre j'ai vu que ça ne faisait que cinq minutes. Mais des sentiments étranges tournaient en moi : ça me faisait plaisir de donner une leçon à Pat mais ça me ça me faisait quelque chose de savoir qu'elle faisait l'amour avec un autre homme (même si c'était un homme de Néanderthal !) et ce qu'il y avait de plus bizarre c'est que j'étais excité.
J'avais une des plus belles bandaisons que j'ai jamais eues. J'avais l'impression que j'allais éclater de là, comme de la figure aussi. J'étais si rouge que j'avais l'impression de brûler. Tout ça c'était complètement absurde, j'étais plein de colère, de passion, exaltation de jalousie, tout ça en même temps.
J'étais sur point de me précipiter dans cette pièce quand un autre type est arrivé de derrière et il est entré dans la pièce.
A ce moment, j'ai vu Pat allongée sur le dos sur une table avec les jambes autour des hanches du premier type. Lui, encore tout habillé, il enfilait ma femme à grands coups de bite. La scène n'a duré qu'une seconde car le second type a refermé la porte mais ça m'a arrêté net dans mes pensées. Je venais juste de voir ma jolie petite femme se faire salir par un inconnu d'allure absolument révoltante et la seule chose qui m'ennuyait c'est que je ne pouvais pas regarder !
Quelques minutes ont passé et le premier type est sorti; à ce moment j'ai pu voir que le second avait pris sa place et il enfilait ma jolie Pat. Le type est passé devant moi en m'ignorant comme si je n'étais pas là.
J'ai attrapé la porte avant qu'elle ne se referme et je suis entré sans faire de bruit. Le type qui baisait Pat m'a regardé et a continué à faire ce qu'il faisait. J'ai vu une chaise derrière la porte je m'y suis installé et j'ai regardé. J'ai regardé ma femme se faire tringler par le type.
A en juger par ses gémissements de plaisir, je me rendais compte que ça ne lui déplaisait pas et je ne sais plus comment je l'ai fait, mais je me suis retrouvé avec ma queue à la main en train de me branler tout en regardant Pat se faire niquer.
La porte s'est ouverte et trois types sont entrés, l'un portant un costume de scène -plus tard j'ai su que c'était un des musiciens-. Ils se sont mis autour de Pat et ont commencé à jouer avec ses seins, à les sucer et le musicien lui a fourré sa queue dans la bouche.
Puis, ils se sont mis à la baiser l'un après l'autre. Pas à jouir dans elle, non, juste la baiser quelques minutes et changer de place si bien que chacun a eu droit à sa chatte, à sa bouche ou lui a léché les nichons.
Pat avait l'air d'adorer se faire enfiler par plusieurs queues. Je voyais bien qu'elle était de plus en plus excitée, elle criait de plus en plus fort et soudain selle a eu un orgasme, un cri de pur plaisir s'est échappé de ses lèvres, un peu assourdi - ou plutôt noyé- car sa bouche était pleine de foutre.
Le musicien s'était vidé les couilles dans sa bouche, et l'un après l'autre les autres ont joui dans sa chatte. Le premier a juté et un autre l'a remplacé; sa queue faisait des bruits mouillés en pompant dans le foutre du premier. Le troisième a pris son temps pour la baiser tout en douceur ; Les deux autres ont dû trouver le temps long et s'ennuyer ; ils sont partis.
- Merci de nous avoir prêté La madame ! " s'est écrié l'un d'eux.
Quand la porte s'est refermée, le type qui était encore en train de baiser Pat m'a appelé:
- Tu veux niquer cette jolie petite cochonne? il m'a demandé.
- Mais, c'est ma femme!" j'ai répondu
- Oui, ça l'était tu veux dire, répliqua-t-il. Maintenant c'est notre petite pute, notre vide couilles qu'on peut remplir à chaque fois qu'on a besoin. ".
Savait-il ce qu'il disait ? Savait-il que chacun de ses mots m'excitait encore plus ?
- Alors, tu veux niquer ce garage à bites ? " a-t-il redemandé.
- Oh oui, oh oui!" j'ai bredouillé.
- Alors mets-toi à genoux et demande-le moi l'autorisation. ".
J'hésitais mais il a crié
- A genoux!'
Je m'y suis mis, à côté de lui, avec ma tête qui touchait presque le derrière de Pat. Imaginez un peu la scène, ma femme allongée sur la table, les jambes posées sur les épaules d'un inconnu et moi agenouillé juste devant sa bite qui allait et venait dans la chatte de celle que j'avais toujours considéré comme MA femme.
Soudain, il m'a attrapé par les cheveux et a agité sa grosse bite sous mes yeux; elle dégoulinait du foutre de tous les autres hommes et il donné un coup de bite sur la figure.Il l'a essuyée sur moi et ensuite il me l'a enfournée dans la bouche.
Pas simplement dans la bouche mais à fond dans ma gorge. Il ne lui a fallu que quelques va et vient et il a juté dans ma bouche et j'ai dû tout avaler.
Puis il m'a poussé conte ma femme et m'a collé la figure sur sa chatte gluante de foutre. Il a fait demi tour et est parti.
Nous étions seuls. J'ai enlevé mes vêtements et j'ai baisé Pat, une vraie bonne baise, une excellente baise.
Ensuite nous nous sommes nettoyés et nous avons été prendre nos places. Nous n'avons manqué qu' un quart d'heure du show. Plus tard, en repartant, le musicien m'a passé une carte : une invitation à une partie que faisait le groupe à son hôtel.
Là, ça a été formidable, Pat s'est fait prendre par tous, les mêmes mecs qu'avant mais, ce qui l'a fait délirer c'est que les membres de ce groupe de réputation mondiale l'ont baisée, eux aussi.
Quand à moi, je me suis tapé la femme du chanteur du groupe et une des filles qui fait les chœurs.
C'est ainsi que nous avons commencé l'échangisme et nous le faisons encore aujourd'hui. Pat test toujours aussi belle et elle aime toujours autant la bite !
Laura me raconta plus tard que le vieux l’attendait devant les toilettes. Qu’ils étaient entrés dans une cabine ensemble, sans se parler. Arrivés dans la cabine il l’avait traité de salope et l’avait sauvagement déshabillé. Il l’a ensuite peloté tellement fort qu’elle en avait mal. Il lui a alors introduit un doigt dans la fente mais ne s’y pas attardé longtemps. « il n’y avait que mon cul qui l’intéressait, il voulait juste m’enculer » m’a-t-elle dit plus tard.
Il l’a alors mise à 4 pattes et lui a léché l’anus en vitesse, lui a inséré directement 2 doigts. L’homme l’insultait tout en lui « travaillant le cul » comme il disait. Il s’assit alors sur les toilettes et demanda à Laura de s’asseoir sur lui, tout en écartant ses fesses. Laura m’avoua que l’immense bite du vieux (comme elle l’appelle) eut de la peine à entrer, c’est pour cela qu’il maintenu une pression de ses main sur ma copine pour l’obliger à s’asseoir sur sa bite malgré la douleur qui la traversait.
Ce pervers lui transperça littéralement le trou du cul. Laura au quelques larmes mais l’alcool faisait toujours son effet et l’aida à apprécier cette sodomie. Son anus était maintenant bien dilaté et elle pouvait faire de petits sauts sur son vieux pervers. A ce moment là elle se sentait remplie comme jamais, elle prenait réellement du plaisir. L’homme se contracta et Laura sentit son anus se remplir jusque tout au fond. Jamais elle n’avait connu une telle dose de sperme l’envahir. Le pénis qui était au fond d’elle, lui propulsa une dizaine de jets qui allaient tapisser les parois de son rectum.
Après quelques secondes de repos, Laura se leva, se retira du pénis déjà à moitié mou. Le vieux se rhabilla, prit le string de Laura dans sa poche et repartit sans même lui dire un mot. Voila notre histoire, elle s’est passé la semaine dernière. J’ai dit à Laura que pour moi elle pourrait recommencer quand elle le voudrait, elle m’a dit que si l’occasion se représentait, peut être…
Ca fait une semaine que nous faisons l’amour comme jamais, j’aime tellement me savoir cocu, j’aimerais bien avoir des témoignages d’autres hommes ou femmes dans ma situation, n’hésitez pas à m’envoyer vos mails de réactions !!!