Quand tous les genres se mélangent.
Pour des découverte en tous genres...
Grève de bus
Auteur : Hornyboy,
Il y a plus d'une douzaine de personnes à l'arrêt du bus que j'attends depuis une vingtaine de minutes. Et je me dis que, quand il va arriver, il sera bondé . Ces grèves de la RATP nous rendent la vie difficile ...
Certains disent que les grèves ont un bon côté, c'est l'occasion de rencontrer des gens, d'échanger quelques paroles avec des voisins, ce qu'on ne fait jamais le reste du temps où chaque voyageur se plonge dans son journal et ne relève le nez qu'en arrivant à son arrêt.Par contre, les jours de grève, les voyageurs sont plus enclins à se parler.
C'est ce qui m'arrive quand une dame se m'adresse la parole. Comme toujours, les premiers mots sont pour se plaindre des conséquences de la grève et elle me raconte les difficultés qu'elle a eu ce matin pour venir travailler dans le centre de Paris.
Ah, voici le numéro 42. Bien entendu, il est plein ! Enfin j'ai quand même de la chance car sans bus, j'aurais dû marcher presque deux heures pour rentrer chez moi. Je monte dans le bus déjà bien plein, et il y a encore cinq ou six personnes se tassent encore derrière moi. D'une main, je tiens mon sac bien serré sous mon bras car cette cohue est un endroit rêvé pour un pickpocket. Je m'accroche à une barre de l'autre main pour ne pas perdre l'équilibre.
Enfin, c'est une façon de parler, car il y a tant de monde, nous sommes tellement serrés qu'on tient tout seul ! La masse que forme les voyageurs oscille un instant quand le bus démarre. Je regarde autour de moi et je vois que je suis coincée entre trois ou quatre hommes et une femme. Elle est d'âge moyen, le visage aimable et un léger parfum se dégage de ses vêtements.
Au dernier arrêt viennent de monter encore trois personnes et cette fois, il me semble que le bus ne pourra pas prendre d'autres voyageurs tellement nous sommes serrés. Impossible de bouger la main ou la jambe. A peine ai-je assez de place pour respirer.
Heureusement que je n'ai que des vêtements d'été, une jupe légère et un corsage, car il commence à faire très chaud avec tous ces passagers pressés les uns contre les autres. Dans un virage les voyageurs oscillent comme une seule masse et chacun essaie de se retenir là où il peut.
C'est alors que je sens une main toucher ma cuisse gauche et y rester immobile. Je sens sa chaleur. Et lentement, la main se met à bouger, d'abord elle descend, puis après quelques mouvements comme si elle cherchait à me gratter, la voici qui remonte le long de ma cuisse.
Me voilà tombée sur un peloteur!
Je regarde autour de moi pour essayer de voir qui cherche à s'amuser avec moi. Il n'y a rien à dire sur les hommes qui m'entourent, ce sont des gens ordinaires que j'imagine mener une vie sans histoire entre leur bureau et leur pavillon de banlieue où ils vont retrouver femme et enfants. L'un, le style jeune cadre, est assez grand, les cheveux blonds et a une trentaine d'année. L'autre , la quarantaine est du genre latino, brun avec une moustache. Il y a aussi un petit chauve. Je vois encore un grand père serré contre mon bras gauche et à droite, un peu en arrière, un sac à dos me rentre dans le bras. C'est celui d'un jeune, dix-huit, vingt ans, un étudiant peut-être. Non aucun de ces gens ne semble être mon peloteur.
Et pourtant, la main continue à avancer doucement en augmentant parfois sa pression sur ma cuisse. Soudain, je prends conscience que, non seulement cette main remonte vers mon entrejambe, mais aussi qu'elle à réussi à passer sous ma jupe et est directement posée sur ma peau.
Que faire ? Mes mains sont bloquées par la marée humaine, l'une tient mon sac serré sous mon bras gauche, l'autre, en l'air, s'accroche à une barre. Je pourrais crier, m'emporter, mais contre qui ?
Tous mes voisins ont l'air tellement innocent....et je ne me vois pas m'emporter et tempêter contre un peloteur que je ne peux même pas identifier et que tous penseraient être imaginaire. Qui ne lancerait pas à mon égard : " Elle prend ses désirs pour des réalités " ?
Le grand père... c'est lui. En le regardant bien , il n'a rien du petit grand père mais tout du vieux beau, du vieux vicieux. Trois cheveux soigneusement tirés sur un crâne chauve, la cravate bouffante, l'œil vif ...
Il est du genre à faire la sortie des écoles en proposant des bonbons aux petites filles. Je le fixe droit dans les yeux, je lui crache à mi-voix :" Vieux cochon ! " et il me regarde sans comprendre - semble-t-il ; profitant d'un cahot du bus, je parviens à tourner un peu sur moi même de sorte qu'il soit maintenant presque dans mon dos, trop loin pour pouvoir atteindre mon bas ventre.
Effectivement, l'attouchement a cessé. Et soudain, il reprend, et la main vient se coller directement sur mon sexe. Elle reste quelques secondes sans bouger, puis entreprend une série de pressions douces et régulières. je regarde encore autour de moi, mais je ne vois que des têtes occupées à bavarder, à lire ou simplement à rêver.
Je serre les jambes pour emprisonner la main mais celle-ci n'est pas assez engagée dans mon entrejambe pour que je puisse la bloquer et la retenir. Mais il a compris et se retire ; j'ai gagné, il sait que je sais et que je n'accepte pas ses attouchements.
Une ou deux secondes passent et il revient à la charge : je sens un doigt, puis deux qui essaient de tirer sur l'entrejambe de ma culotte. Le cochon ! A ma droite le petit étudiant me regarde fixement. Il a l'ait de jouir de la situation, ce petit vicieux. Une espèce de puceau boutonneux qui voudrait faire ses premières armes avec une femme.
En plus, il a réussi à placer son bras contre mon sein droit. Voilà qu'il va me peloter, en plus ! Il ne me manque plus que sa queue pour compléter le tableau ! Je parviens à écarter ce vicieux en donnant une bourrade.
La main s'est arrêtée, mais est toujours là avec un ou deux doigts posés sur le clitoris. Je réfléchis un instant et me dis que ça ne peut pas être cet étudiant. D'abord, il maintenant trop loin de moi, son bras ne pourrait pas m'atteindre. Mais surtout ces caresses sont bien trop dosées, bien trop précises, bien trop subtiles pour un jeune peu expérimenté. A chaque secousse du bus, un autre doigt passe et repasse le long de mon sexe...
Il me semble qu'il cherche à ouvrir mes lèvres et à s'introduire au milieu d'elles. La paume appuie plus haut, sur mon clitoris. Je suis furieuse et en même temps j'ai une sensation agréable : la chaleur de la main pénètre tout mon ventre et les pressions sur le clitoris irradient mon corps de pulsions que je ne peux maîtriser. Totalement contre ma volonté, je me sens frissonner et j'ai du mal à contrôler ce frémissement.
Brutalement, je sens les lèvres se séparer, ouvertes par le doigt qui les parcourt, qui remonte et viens s’arrêter sur mon clitoris, le titiller mon clitoris, appuyer dessus, l'entourer, l'agacer.
Je voudrais protester, crier, arracher cette main, mais je me sens incapable de le faire, abandonnée à cette caresse qui se répercute sans tout mon corps : je me surprends à écarter mes cuisses légèrement, malgré moi.
Je continue à chercher qui peut être celui qui s'est emparé de moi. Je regarde le latino sur ma droite qui lit l’Équipe, puis le jeune cadre, le walkman sur les oreilles, et enfin le chauve. Ils ont tous l'air absorbé ou tellement indifférent.
Ce doit être la femme à ma gauche. Je suis maintenant certaine que c’est la douceur d'une main féminine qui explore mes lèvres pour en trouver ma fente la plus intime. Oui, la caresse est douce et précise, seule une femme peut avoir le toucher de velours de cette main, seule une femme peut savoir si exactement où elle doit pratiquer ses caresses et comment les faire.
Je dévisage la femme et elle me regarde, mais je ne sais pas comment réagir. Je devrais exploser, me dégager de force mais mon ventre est si chaud et si tendu que je suis paralysée ; ma tête refuse la dispute, l'esclandre et m'oblige à accepter, mieux, à me prêter au jeu de cette main.
Je sens mon ventre s'avancer, aller à la rencontre de la main pour qu'elle accentue la pression ; j'écarte les jambes pour qu'elle pénètre plus facilement mon intimité. En même temps, je sens que je suis mouillée, ma culotte est humide et mon vagin me brûle. Je regarde encore la femme et lui souris à demi. Aussitôt, la pression augmente entre mes cuisses et un doigt parcourt mes lèvres dans tout leur longueur avant de s'enfoncer dans mon vagin.
La femme me rend mon sourire. Nous voici complices, je me soumets à sa volonté, j'accepte sa main qui me rend folle. Forcée, caressée et ouverte par une femme, en secret, dans un bus... La tension est insupportable pendant que j'attends que ces doigts s'enfoncent toujours plus loin en moi.
Mon entrejambe est tellement mouillée que j'ai l'impression qu'elle va couler sur mes cuisses. Il me semble même que je peux sentir une odeur musquée monter, l'odeur enivrante d'un sexe de femme...
Je n'ai pas demandé cela, mais je suis trop excitée maintenant pour vouloir que ça s'arrête. Je sens monter en moi des forces que je ne peux pas contrôler , des sensations qui me submergent.
C'est à peine si me rend compte que le bus vient de tourner et débouche devant la gare du Nord. Les passagers commencent à s'agiter - pour autant qu'ils le peuvent, tant ils sont serrés- et se préparent à descendre. Dans quelques secondes quand le bus va s'immobiliser le long du trottoir.
Alors la main se fait plus insistante et quand deux doigts remontent toutes mes lèvres intérieures et se placent de chaque côté du clitoris, le serrent lentement et avec une grande douceur puis relâchent leur pression, un spasme me traverse et je sens mon ventre, puis tout mon corps devenir plus chaud et vibrer, tandis qu'un grognement, tel celui d'un animal, s'échappe de mes lèvres.
Je n'ai plus de force , c'est à peine si mes jambes me portent et c'est avec reconnaissance que je sens mon voisin de gauche, le jeune cadre, me prendre par le bras pour me soutenir. Sa main est douce, chaude et mouillée, elle a une odeur musquée tellement enivrante !
Quand tous les genres se mélangent.
Pour des découverte en tous genres...
Avec des fois le même genre...
Brève : Déplacement pro.
Auteur : Witerabite
En déplacement professionnel pour plusieurs jours, je devais partager une chambre d'hôtel avec un collègue hétéro sur qui je fantasmais. En fait j'avais flashé sur lui des mois avant quand il était arrivé et puis bon le temps passant ça s'était calmé de toute façon je savais qu'il était hétéro donc c'était cuit... Et puis on avait fini par devenir potes, on rigolait bien ensembles on sortait et je jouais au parfait hétéro...
Mais là, le fait de partager un peu d'intimité dans cet hôtel a réveillé mes pulsions! Le voir se balader en Shorty devant moi dans la chambre, sortir de la salle de bain avec juste une serviette autour de la taille, encore humide. Son torse nu avec les pecs et les abdos juste dessinés, l'odeur de son eau de toilette qui embaumait la chambre je n'en pouvais plus!
Ma frustration atteint son comble le soir où on a décidé de profiter du sauna de l'hôtel après la salle de sport. Nous voila assis côte à côte dans la moiteur du sauna, lui tout détendu n'y voyant pas malice puisqu'il croit être avec un pote hétéro et moi hypnotisé par les gouttes de sueurs qui ruisselle sur son torse et descendent vers son entrejambe à peine masqué par une serviette desserrée mais qui masque quand même sa queue...
Je peux juste entrapercevoir un peu de sa toison pubienne. Il ne remarque même pas que je bande comme un taureau sous ma serviette! Puis vient le moment des douches, pas de bol ce sont des cabines individuelles, décidément je ne pourrais même pas voir sa bite juste une fois! Voir sa bite, quelle forme? quelle taille? quelle épaisseur?et ses couilles, et ses poils, ça devient mon obsession... La nuit même, dans la chambre, je me branle pendant qu'il dort juste à côté de moi.
La journée suivante passe, le boulot me calme un peu. Le soir pas question de le passer encore dans l'hôtel. On décide de sortir, faire un peu la tournée des bars. Je suis pour... Picoler me fera du bien. J'espère juste qu'il ne lèvera pas une fille, imaginer sa queue fourrant une chatte ajouterait un peu plus à ma torture! Mais non, lui qui d'habitude emballe facilement, n'a ce soir pas de chance. Alors il picole double dose et on se marre bien...
On rentre à l'hôtel bien beurrés tous les deux mais lui plus encore. Il se déshabille à moitié et tombe KO sur son lit en cale-bute et en chaussettes et se met à ronfler légèrement.
Moi qui suis un peu plus clair je me déshabille tranquillement et au moment d’éteindre la lumière je remarque qu'il bande. On voit bien la forme de sa queue durcie sous le tissu de son Shorty. Il ronfle, je m'approche. Le tissu moule assez bien sa queue. Il bouge un peu dans son sommeil il se gratte au niveau du nombril puis sa main plonge un peu dans le Shorty, il se la touche mais la main ressort sans rien découvrir.
C'en est trop, je suis prêt à courir le risque...
Je saisis à deux mains l'élastique de son Shorty, le soulève un peu et le tire tout doucement vers le bas, découvrant sa queue et ses couilles. J'en mouille d'excitation. Je mate son attirail et je ne peux m'empêcher de comparer avec le mien! Sa bite doit faire la même longueur que la mienne mais la mienne est un peu plus épaisse et j'ai les couilles un peu plus pendantes.
Maintenant que j'ai libéré sa queue elle continue de se dresser et je ne peux m'empêcher de donner des coups de langue au niveau de son frein, chaque coup de langue fait gonfler un peu plus son gland.
Comment peut on avoir la queue aussi raide en étant aussi KO?!
Je dois pas être le seul avoir les couilles pleines à ras bord! Enhardi, je lèche maintenant sa queue de la base jusqu'au gland en luis massant les couilles, il pousse un petit gémissement mais ne se réveille pas, peut être qu'il rêve qu'il se fait sucer...
Je le mate de la tête au pied, il est trop bandant: son torse musclé sec, sa queue et je bloque sur ses petites chaussettes...Je prends un de ses pieds retire la chaussette délicatement et commence à lui lécher ses orteils fins. Puis je remonte à sa queue que je me met à pomper goulûment. J'ai sa queue dans la bouche, ses couilles dans les mains, de temps à autre il pousse un petit gémissement qui m'excite un peu plus.
J'en étais à me demander si il pourrait juter inconsciemment quand il se réveilla brusquement l'air ébahi. J'ai sa queue dans ma bouche et le cœur qui bat à 200 à l'heure.
Je dégrise instantanément, je me dis qu'il va me casser la gueule, que je n'ai plus d'ami. Ma bouche laisse échapper sa queue mais ne sait pas quoi dire! Il a un léger mouvement de recul tout en se redressant, nos visages se font face, il respire aussi vite que moi je n'arrive pas à interpréter son regard... Et là, avant que j'ai le temps de dire ouf il me saisit par la taille, me retourne, me baisse la cale-bute.
Je finis de l'enlever, je me penche en regardant derrière je le vois cracher dans sa main et se mouiller le gland. Il me la rentre d'un coup et commence à me baiser. Je n'en reviens pas, c'est allé si vite...
La veille je me morfondais et maintenant j'ai sa bite dans le cul!
Et surtout alors que je ne suis pas très anal, elle est rentré sans problème et c'est trop bon. Y a pas à dire il a le coup de bite! Si j'avais su plus tôt que se faire enculer pouvais être aussi bon je ne serais pas resté actif toutes ces années!! Je peux pas m'empêcher de gueuler que c'est bon, oh oui vas y!
A l'entendre gueuler il prend son pied lui aussi, et c'est de mieux en mieux jusqu'à ce qu'il réussisse à me faire prendre mon premier orgasme anal et puis un autre. Je gueule tellement fort qu'il s'arrête en me demandant si il m'a fait mal!
C'est trop mignon, je lui dis que non je prends juste un pied énorme!
On rit, il me dit qu'il ne va tarder à jouir et il repart de plus belle. Je me branle en même temps. Il accélère, pousse des cris de plus en plus rapprochés puis un dernier cri plus long et il s'arrête le corps agité de soubresauts tandis que je sens un liquide chaud dans mon cul.
Il se retire, je me remets sur le dos allongé face à lui et je fini de m'astiquer. Je viens bientôt gicler, je m'astique de plus en plus vite et de l'autre main je me titille un téton. Je vois qu'il m'observe avec attention et je gicle tellement fort que des grosses gouttes de mon sperme s'abattent sur son ventre.
Et on est là maintenant en sueur, à poil, face à face à s'observer, nos queues qui commencent à débander tout doucement... L'excitation se dissipant, je commence à être gêné, plus que lui même on dirait! Je sais pas trop quoi dire...
- Ça t'a plu?
En guise de réponse il me demande si je baise avec des femmes.
- Bien sûr (mentis-je effrontément!).
- T'es bi alors?
- Et oui, fis-je (c'est sûrement débile mais je pensais que ça l'effraierai moins que je sois bi plutôt que gay). Toi aussi? demandais-je.
Il me dit que non, avec un mec c'est la première fois, il n'aurais jamais imaginer être au pieu avec un mec mais que c'est franchement pas désagréable. Il n'envisage pas du tout de virer de bord mais à l'occasion à l'avenir pourquoi pas!
- Je suis ton homme dis-je!
Il sourit, on s'allonge et on continue à discuter de sexe tous les deux.
On parle de nos expériences respectives en toute liberté, je finis par avouer que moi et les filles en fait c'est pas vraiment ça! On aborde plein de sujet de curiosités respectifs, on rigole et on finit par s'endormir.
Le lendemain la journée de boulot est d'une banalité totale puis vient le soir...
On rentre après avoir un peu picolé et une fois dans la chambre on s'allonge, on se regarde et on se dit qu'est ce qu'on fait? C'est lui qui met les pieds dans le plat:
- Je me viderais bien les couilles!
- No problem!
Je m'approche, je lui déboutonne le pantalon, je l'enlève. Il bande, je lui demande si il veut que je le suce.
Il se fout à poil, ça veut dire oui j'imagine. Je le suce avec application, je déploie toutes mes astuces techniques. Il en redemande, il dit que c'est trop bon, la meilleure pipe de sa vie. Et quand je me mets à lui bouffer les couilles il gueule de plus belle. J'attrape sa main et la guide vers sa queue pour qu'il se branle pendant que je lui bouffe les couilles.
C'est très excitant de le voir s'astiquer. Je continuerais bien comme ça jusqu'à le faire gicler à coup de langue. Mais il reste un hétéro avec une sexualité basique quoique très active. Pour lui baiser et jouir ça implique forcément pénétration.
- OK tu peux m'enculer après tu es le seul à m'avoir fait jouir du cul!
Mais ce coup ci je veux le voir pendant qu'il me défonce, alors je me couche sur le dos, je lève bien haut les jambes pour lui présenter mon trou de balle et je lui dis viens. Il s'approche la queue à la main et encore une fois la rentre comme dans du beurre.
Et c'est reparti comme la nuit dernière, c'est trop bon... Tantôt il accélère, tantôt il ralentit. L'expression de plaisir de son visage m'excite au plus haut point. Alors que je me branle en même temps, il finit par m'attraper la queue et il m'astique. Petit à petit, la baise devient moins mécanique, je lui caresse le dos, les fesses puis je passe l'autre main sur ses pectoraux, il se penche de plus en plus vers moi tout en continuant à aller et venir dans mon cul.
Sa bouche est presque sur la mienne, nos souffles se mêlent. J'entrouvre la bouche pendant que je lui caresse les fesses, je sors un peu la langue, la sienne sors aussi entre deux gémissement et puis nos langues se frôlent et on finit par se rouler une vraie pelle.
Une de ses mains me caressent le long du torse. Pendant qu'on continue à s'embrasser je commence à titiller sa rondelle avec un doigt, ça le surprend il me dit non. Je lui d'attendre de voir, est ce que je l'ai déçu pour l'instant?! Alors on reprend je titille son trou de cul tout en douceur et je sens la rondelle qui se détend alors qu'il me pilonne de plus belle. Finalement il se redresse et ce mouvement fait s'enfoncer mon doigt et je le doigte de plus belle!
Je sens qu'il accélère, il me branle en même temps, je sens qu'il va jouir et là surprise il se retire et commence à se branler au dessus de moi et il m'envoie deux ou trois giclées de sperme sur le torse en poussant un râle.
Ensuite il s'est allongé à côté de moi il m'a demandé si j'avais joui et comme j'ai répondu pas encore il m' a gentiment astiqué pendant qu'on se roulait une pelle.
On continue à baiser de temps en temps. On sait qu'on ne finira jamais en couple mais c'est ensemble qu'on prend le plus notre pied au pieu.
Avec moi il ose proposer tout ce qui l'excite, il adore la sensation que procure mon petit cul serré sur sa queue, il adore se faire sucer jusqu'au bout sans avoir à prévenir qu'il va gicler puisque de toute façon j'avale tout goulûment... et petit à petit je lui montre de nouvelles façons de ressentir du plaisir...
Il n'aurait pas imaginer adorer autant se faire lécher les pieds et encore moins devenir accroc à mes tétons et je ne parle pas de la première fois où j'ai fourré ma langue dans son cul!
Je ne désespère pas bientôt de faire sauter l'ultime verrou le jour où il me permettra de l'enculer tendrement...