Faut jamais faire ce genre de truc
C'est vraiment pas bien
Première sodomie
Bien des années ont passées depuis ma première fois à Chamonix. Je suis maintenant marié et ma femme et moi pratiquons couramment le libertinage.
Je travaille à Bruxelles. Un jour après le boulot, j’en profite pour visiter un sauna gay. Rien de passionnant à écrire. J’y ai bien sucé quelques bites, et on m’a masturbé, mais la seule fois où un homme a voulu me sodomiser, il voulait le faire sans préservatif ! Allons donc, le sexe sans protection avec un inconnu au bout de 10 minutes … incroyable !
Ce fantasme de me faire pénétrer est trop fort. Quand je fais l’amour avec ma femme il me vient même parfois l’idée d’un homme qui me pénètre ! C’est décidé, je vais le faire. Je surfe sur un site de rencontre libertine. On y a déjà rencontrer plusieurs couples très charmants et … très chaud. Mais cette fois, je cible mes recherches sur “homme pour homme”. Je finis par trouver un homme qui se dit décidé et expérimenté.
Je l’appellerai ici, André. On échange quelques mails et je lui explique que je désire me faire sodomiser pour la première fois. Au début, il n’y croit pas trop. Beaucoup d’hésitant également sur ce genre de site. Les gens ont du mal à passer du virtuel au réel.On fixe un rendez-vous pour mercredi, fin d’après-midi.
Je commence ma journée très tôt pour pouvoir me libérer. Que cette attente fut longue. J’avais le ventre noué comme un adolescent à son premier rendez-vous. J’arrêtais d’y penser. Je n’ai pas du faire grand chose ce jour là. Midi passe, je m’éclipse dans une salle de réunion pour l’appeler. Il est agréablement surpris de m’entendre et me donne son adresse. Il insiste pour être bien certain que ça va être ma première fois. Devant cette insistance, je lui dis simplement que j’ai déjà essayé un des godes de ma femme, mais sans vraiment éprouver du plaisir.
Je quitte le boulot et prends la route. La boule au ventre ne m’a pas quittée. Je me gare devant chez lui, dans une rue calme. Un couple de jeunes gens jouent au badminton dans la rue.
André vient m’accueillir. Son annonce n’était pas accompagnée d’une photo de son visage et je suis un peu surpris : il est assez âgé. Il doit avoir la 50aine. Peu m’importe s’il est en forme. Il salue le couple de la main.
Il me serre un verre et me complimente sur mon physique. Il me parle de lui, de son ancien couple, de comment il est arrivé à être gay après une vie d’hétéro. Je lui parle un peu de moi, de mon envie. Il m’avoue qu’il ne voit qu’un seul amant de manière régulière et qu’il n’a pas pour habitude de faire des rencontres. J’ai hâte de passé à l’action, mais je n’ose pas m’approcher de lui. La conversation est sur un domaine trop sentimentale.
Quand il me propose de passé dans sa chambre, je suis soulagé et très excité. On se déshabille chacun de notre coté. Je rassemble mes affaires au pied du lit. Quand je me retourne, il est déjà nu, allongé sur le lit. Il me sourit en flattant sa verge nonchalamment. Il bande déjà très fort ! Sa verge est tellement tendue qu’elle ne touche pas son ventre. Je n’en reviens pas, et avec le recul, je le soupçonne de s’être fait aidé.
Je m’approche, m’allonge à coté de lui et l’embrasse sur la bouche, avec la langue. Il est agréablement surpris par cette initiative et m’embrasse de plus belle. Sa langue est chaude et agréable. Il n’embrasse pas comme une fille. Moi, généreux, je n’ai aucune retenue et lui permet de fouiller ma bouche comme il l’entend.
Je pose ma main sur son sexe. Il est complètement rasé. C’est très agréable. Je me penche, approche mon visage et observe son sexe. Il a de très grosses testicules et en a un peu honte. Je ne trouve pas ça déplaisant. Je m’approche encore. Il sent bon. Ce genre de parfum d’homme, viril. J’ouvre ma bouche et fais glisser lentement sa hampe à l’intérieur, tout en enserrant sa verge d’une main. Il soupire tout en me caressant.
Ses mains passent de mes cuisses à mes fesses. Petit passage par ma bite. Il retourne sur mes fesses et flatte mon anus d’un doigt humidifié. Il m’attire à lui et me demande de m’installer en 69. Je le suce sans retenue et je sens ma hampe rentrer dans sa bouche. Elle est chaude c’est très agréable. Je quitte son sexe tendu à l’extrême pour lécher sa bourse. Je voudrais descendre plus bas avec ma langue, mais ça position m’en empêche. Lui par contre, à tout le loisir de mater mon petit trou. Il abandonne rapidement mon sexe pour me titiller l’anus avec sa langue. Que c’est bon. Il alterne grand coup de langue bien mouillé avec de petite pénétration avec celle-ci. Pas de doute c’est en expert. Je dois sortir son sexe de ma bouche pour laisser passer mes gémissement.
J’ai trop envie, je suis au bord de l’explosion. Mon sexe n’arrête pas de suinter de liquide translucide. Je me retourne vers lui, lui demande où sont les préservatifs. Il m’annonce qu’il n’en a pas. Que comme je peux être considéré comme une personne à faible risque et que lui même à un compagnon fixe, il n’y a pas de problème. Je ne suis pas convaincu, mais je suis tellement excité que je passe outre cette précaution. Il me tend un tube de gel et me demande d’en disposer à mon anus. Il n’en veut pas sur sa verge. N’ayant jamais pratiqué, je lui fais confiance.
Il reste sur le ventre, le sexe tendu. Je passe une jambe de chaque coté de son corps, mon cul à la vertical de sa verge. Je descends, approchant mon oeillet lubrifié de son dard. Il me laisse faire. “Comme ça tu pourras régler la pénétration si tu as mal”. Mais ça ne rentre pas, ça glisse avec le gel et mon impatience. Il me calme et je recommence.
Son gland écarte mon oeillet. Ça y est, il me pénètre. C’est bon, je sens son gland franchir mes barrière. Un peu de douleur se mêle à mon plaisir, mais je n’ai pas envie de m’arrêter. Je continue à m’empaler sur son sexe. Il me rempli les entrailles. Quel différence avec un gode en plastique. Je sens le contact de son bas ventre sur mes fesses. Il est complètement rentré. Je me relève pour sortir un peu son sexe.
Ses mains puissantes sur mes hanches m’empêchent de ressortir son gland de mon anus. Je ne suis pas encore prêt pour cela. Mon cul doit d’abord s’habituer à la grosseur de son sexe. Ses mains guident mes mouvements, mais je dirige la pénétration. Je soupir, le plaisir se fait de plus en plus fort. Les ondes qui traversent mon ventre n’ont rien en comment avec ce que j’ai connu jusqu’à présent.
Je me retire et me place en levrette. C’est comme ça dans mon fantasme. Il se place derrière moi et rentre son sexe délicatement. Il est doux et attentionné avec moi. Il accélère ses mouvements. Je pousse mon cul vers lui pour lui signifier que je veux le sentir fort. Il comprend et je sens sa verge entrer plus profondément. Il m’accroche pas les hanches et me possède maintenant totalement. Son sexe touche quelque chose en moi qui m’envoie des décharges de plaisir à chaque pénétration. C’est fort, trop. Je hurle mon plaisir. Il me prend comme une bête.
Il se retire de moi, sans avoir jouit. Il est épuisé à me pistonner ainsi. Il se couche, mais j’en veux encore. Je m’empale à nouveau, mais cette fois je suis à genou et non accroupi. L’angle de son sexe dans mon cul est parfais. Je fais non pas des vas et vient, mais je balance mon bassin d’avant en arrière, très vite. Voilà, c’est là, les décharges recommencent. Il me masturbe, c’est trop. Je ne bande pas. Je n’en peux plus, je suis exténué.
André était au bord de la jouissance. Je fais disparaître son sexe entre mes lèvres. Par chance, il n’est pas souillé. Je fais coulisser l’entièreté de son sexe dans ma bouche, puis m’attarde sur son gland, sur la partie la plus sensible. Il ne tient plus. Il repousse ma tête. Il va jouir. J’écarte ses mains et reprends de plus belle son sexe. Juste à temps pour accueillir un longue saccade de sperme. S’en suive une autre, encore une autre, il m’emplit la bouche et continue d’éjaculer. Je ne veux rien en perdre. J’en recrache un peu dans la main pour pouvoir contenir le reste. Je joue avec son liquide dans ma bouche. Il a bon gout. Je l’avale lentement pour prolonger se plaisir. Je reprends son sexe en bouche.
Je suis doux, je sais comment le gland peut être sensible à se moment. Il gémit encore et ses mains sur ma tête m’encourage à continuer cette caresse. Après quelques minutes de se traitement, il n’en peux plus et libère son sexe de mon étreinte buccale.
N’ayant pas encore jouit, il me masturbe avec agilité. Je l’embrasse sur la bouche. Le plaisir monte, je m’accroche à lui. Il accentue sa caresse et je décharge mon sperme sur son ventre.
Il se nettoie avec un cleenex. On discute gentiment. Je lui signale au passage, que mes fantasmes gays disparaissent toujours après avoir éjaculé. Pas d’importance pour lui. On a passé un bon moment et il apprécie que je m’offre à lui sans retenue.
Je cajole sans trop y penser son sexe. Qui commence à grossir. Cette odeur de sperme qui emplit la chambre, ce gout si particulier qui réside encore dans ma bouche, commence à provoquer en moi un désir nouveau. J’en veux encore. Il me masturbe à son tour et à notre surprise, je bande fort. Nos corps se touche, se confonde. Il me couche sur le dos, relève mes jambes, les places sur ses épaules. Il approche son gland et me pénètre sans s’arrêter, d’un coup jusqu’à.
Je suis surpris. Il y va plus fort que la première fois. Mon anus est encore un peu dilaté et l’accepte sans douleur. La pénétration est différente dans cette position. Il alterne long et lent mouvement avec des saccades rapides. Au passage, il se penche et m’embrasse. J’adore sa langue. Il reprend un rythme régulier avec son bassin. Diabolique, le plaisir inonde tout mon bassin. Difficile de dire d’où vient se bonheur. Il m’enserre le sexe d’une main et commence à me masturber. Je ne bande plus, mais ce qu’il me fait par derrière se propage à ma verge. Je sens la jouissance monté, encore et encore.
Normalement je devrais exploser dans une forte gerbe de sperme. Mais ça ne vient pas. Je suis arrivé à un plateau de jouissance, mais pas de délivrance. Je perds pied, ma respiration se fait courte et superficielle. Je ne parviens pas à gémir, à crier. Tout devient sombre, la chambre disparait, je ne voit plus Andrée. La jouissance est trop longue. Je n’entends pratiquement plus rien, je perds toute sensation à part cette jouissance. Au bord de l’inconscience, je laisse échapper mon orgasme. Pas de saccade, juste un flot continu de sperme sur mon ventre.
Je reprends lentement pied. André c’est retiré et posé à coté de moi, m’embrasse. Je me retourne pour lui faire face et nous nous enlaçons. Mon sperme s’étale sur son ventre. Nos langues s’échangent un long baiser. Torride. Il me proposera de renouveler l’expérience, de devenir son deuxième amant habitué.
Sur la route pour rentrer chez moi, je repense à nos ébats, mais une image commence à s’imposer : pas de préservatif.
Quel con j’ai été. Et si …
Une prise de sang quelques mois plus tard me soulagera.
Mais je ne le reverrai pas.
Faut jamais faire ce genre de truc
C'est vraiment pas bien...
Et même interdit non..!
Élise passe une bonne soirée
C'est une soirée organisée pour le personnel d'I..... Lyon, Élise est assise à la table avec quelques collègues de boulot. La soirée a bien commencée, et l'ambiance est bonne.
Elle est venue habillée plutôt sexy, cela change de l'uniforme habituel et elle a remarqué certains de ses collègues qui la matent discrètement. Elle est habillée en jean certes, mais moulant, et un haut assez sexy qui la met bien en valeur et comme très souvent, même pour le boulot, elle n'a pas mis de soutien gorge sous son top.
Dans ce type de soirée elle préfère mettre un pantalon car cela lui permet de contrôler plus facilement les mains baladeuses. Elle est ici pour s'amuser, pour danser. A sa table, ses collègues essaient de la faire boire plus que d'habitude, et malgré sa réserve, l'alcool la rend plus permissive.
Elle se doute que leurs intentions sont plutôt de lui mettre la main entre les cuisses, mais elle se tient sur ses gardes. Malgré tout, elle a accepté de danser avec certains et l'alcool aidant, a toléré certaines mains baladeuses, mais rien de trop déplacé.
Soudain, un petit nouveau dans la boite s'approche de la table pour lui demander une danse, il est pas mal physiquement, elle l'a déjà remarqué dans les rayons, et ses voisins de table ne l'ont pas invitée depuis un bon moment, elle accepte la danse.
Dès qu'elle s'est éloignée, un de ses collègues, Jean-Luc, assis à coté d'elle lui remplit son verre de bière.
Le petit jeune, qui s'appelle Fred, lui fait danser quelques rocks un peu rapides et lorsqu'ils sont de retour à la table, elle boit rapidement la moitié de son verre de bière qui l'attend.
A peine a t-elle fini de boire que Christophe se lève et lui propose de danser à nouveau. Un peu embarrassée et essoufflée, elle essaie de refuser mais les copains de Christophe présents à la table se mettent à la huer et elle repart sur la piste de danse.
Une fois éloignée de la table Fred demande à Jean-Luc
- Alors tu l'as fait, tu l'as mis dans son verre ?"
- Oui mais seulement la moitié je ne voulais pas qu'elle retrouve le goût du produit, je vais mettre le reste maintenant".
Il verse le reste d'un petit flacon dans le verre de bière à moitié vide d'Élise puis re-complète avec de la bière en mélangeant discrètement. Bientôt les danses s'arrêtent et Christophe et Élise reviennent à la table. Elle semble un peu dans les vaps, à cause des danses et aussi la drogue qui doit commencer à faire son effet.
Jean-Luc lui tend son verre de bière,
- Tiens cela va te faire du bien et te rafraîchir...!!!"
Il a un petit sourire en coin, et lance un clin d'œil à Christophe et Fred.
Élise s'assied auprès de Jean-Luc et Christophe se met à coté d'elle, ils l'encadrent gentiment et la regardent boire son verre, poussant le verre de temps en temps pour lui faire finir plus rapidement.
Lorsque Élise repose son verre, ils se mettent à discuter un peu de boulot, la forçant à parler, mais ils se rendent vite compte qu'elle commence à avoir des difficultés d'élocution.
Fred se lève et lui prend la main la forçant à se lever pour la faire danser. Elle le suit sans trop réagir, la drogue est en train de faire son effet, et Fred s'arrange pour rester près de leur table pour danser. Les 3 copains la voient s'appuyer lourdement sur lui, elle danse à peine et il est évident qu'elle devient une petite chose très malléable entre ses mains. Il la caresse gentiment sans qu'elle esquisse la moindre réaction.
Il s'enhardit, la pelotant sans vergogne, et après avoir bien profité d'elle, il la ramène à la table ou les compères peuvent se rendre compte qu'elle est complètement partie, la drogue fait son effet et a pris le contrôle de son corps, elle tient à peine sur ses jambes.
Elle allait être leur chose, leur poupée de la soirée, chacun allait pouvoir la baiser dans tous les sens sans qu'elle oppose la moindre réaction.
Jean-Luc lui demande si elle va bien
- Oui juste un peu fatiguée, il est temps que je rentre à la maison pour aller au lit".
Sa voix est faible et elle a de la difficulté à formuler ses mots.
- On va te raccompagner jusqu'au parking, c'est plus sur",
Fred et Christophe la prennent sous les épaules et ils se dirigent discrètement vers le parking. Elle se laisse emmener, n'ayant déjà plus de réaction, elle est encore consciente mais tout est dans un brouillard.
Une fois dehors, ils se dirigent vers sa voiture, en profitant en chemin pour la caresser, de manière plus à l'aise que sur la piste de danse. Arrivés à la voiture, ils l'appuient sur la portière et lui soulèvent son top. Ses seins jaillissent à l'air libre.
Elle est à eux, elle se laisse caresser, anéantie, chacun à son tour lui malaxe les seins, les lèche, ses tétons deviennent durs et proéminents sous l'effet de leurs bouches et de l'air frais.
Tout tourne dans sa tête, elle sent bien que quelque chose ne va pas mais elle n'a plus de force. De plus les caresses font aussi leurs effets et elle a envie de s'abandonner.
- Bien on l'emmène chez moi, je ne suis pas loin" dit Jean-Luc.
Ils la font monter à l'arrière de la voiture, Fred et Christophe montent de chaque coté à l'arrière. Jean-Luc prend le volant.
A peine ont ils pris la route que les 2 compères à l'arrière se mettent à la caresser, Fred déboucle le jean d'Élise, elle se laisse faire, son jean se retrouve au niveau de ses genoux, son top remonté au niveau des épaules, offerte, dans sa voiture qui file vers la maison de Jean-Luc, ou l'attend une soirée mémorable, du moins pour eux.
Pendant que Fred lui caresse les seins, Christophe essaie d'atteindre sa chatte, mais le jean serré le gêne encore, il finit de lui descendre son jean jusqu'aux chevilles et lui soulève sa jambe pour le dégager.
Lorsqu'il repose la jambe d'Élise, il prend bien soin de la mettre sur ses genoux ce qui lui écarte bien les cuisses et rend la chatte plus accessible. Fred fait la même chose de son coté et la voila écartelée entre eux deux, accessible, idéalement offerte.
Jean-Luc prend quelques rues fréquentées et bien éclairées qui permettent de bien illuminer l'arrière de la voiture, et malgré son envie pressante de profiter d'elle, il ne roule pas trop vite permettant à quelques passants de la voir au trois quart nue.
Ils arrivent enfin chez Jean-Luc, une petite maison dans une impasse ou la cour est à l'abri des regards. Ils sortent de la voiture et en extirpent Élise qui ne tient plus du tout sur ses jambes et qui s'affale contre Christophe.
- Prenez la par les jambes et on rentre en vitesse"
Jean-Luc ouvre le chemin, il faut quand même se dépêcher, avoir une fille nue et dans cet état pourrait leur attirer des ennuis. Ils entrent dans la maison, Fred et Christophe cherchent ou la déposer.
- Allez dans le salon les gars, posez la sur le tapis on sera plus à l'aise."
Elle est allongée sur le tapis, les jambes écartées, les bras relevés au dessus de sa tête, excitante malgré elle, les mecs la regarde, la tension monte et chacun se demande qui va commencer.
- Allez décidez vous, je vais cherchez le caméscope et l'appareil photo on va se faire une soirée souvenir !"
Christophe commence à se déshabiller, Jean-Luc positionne son caméscope sur un pied pour prendre l'ensemble de la scène. Il fait aussi quelques photos d'Élise, très réalistes, offerte, ou l'on voit bien son visage. Pas d'erreur on la reconnaîtra sur les photos.
Christophe est prêt, en pleine érection et commence à pénétrer Élise, le traitement sur la piste de danse et dans la voiture l'on rendu légèrement humide et Christophe la pénètre sans trop de peine.
Il commence à la pénétrer à grands coups maintenant et Élise semble montrer une certaine réaction. Ses jambes réagissent à chaque pénétration, et son visage prend des couleurs. Elle n'est probablement pas loin d'un orgasme maintenant. Christophe doit sentir sa chatte réagir, car bientôt il se met à rugir et se décharge bien au fond de sa chatte. A peine a t-il fini, qu'il se retire:
- Au suivant!, elle est bonne la garce!"
Fred prend sa place rapidement, la pénètre d'un seul coup et commence son va et vient tout en lui massant les seins. Élise est entre deux eaux, de temps en temps un gémissement s'échappe de ses lèvres, elle est peut être dans un rêve érotique ou sent monter un orgasme. Difficile de savoir....
Jean-Luc continue de la prendre en photo, la cadrant sous toutes les coutures.
Fred a augmenté la vitesse de son va et vient maintenant, il force de plus en plus, les seins d'Élise se balancent et suivent le mouvement, bientôt lui aussi sent arriver l'orgasme, et on peut voir que Élise, malgré la drogue, réagit, son ventre se creuse et son bassin essaie de suivre le mouvement donné par Fred.
Fred explose...
C'est enfin au tour de Jean-Luc, lui veut en profiter, depuis le temps qu'il voulait se la faire. Et la voila chez lui, à sa disposition. Il commence à lui caresser la chatte, après les deux doses de sperme qu'elle a pris, elle est bien lubrifiée, ses doigts glissent bien, et pénètrent sans problème, il glisse deux puis trois doigts.
- Eh! Je vais lui mettre mon poing dans la chatte, faites des photos !"
Il met ses doigts en pointe et doucement mais fermement exerce une pression de plus en plus forte. Les lèvres s'écartent doucement, lubrifiées par le sperme de ses copains, et bientôt les lèvres se mettent à envelopper les phalanges puis glissent vers le poignet. Il y est !
Son poing est dedans, il exerce des rotations …
Élise réagit, son bassin se met à onduler, à suivre les mouvements du poignet puis, elle se met à gémir, à pousser de petits cris, elle semble apprécier le traitement. Ses réactions encouragent Jean-Luc, et l'excite, avec son autre main il lui masse le clitoris provoquant une autre série de gémissements.
Les deux autres compères s'agenouillent de part et d'autre d'Élise et la caressent, Fred lui masse les seins qui durcissent peu à peu, alors que Christophe lui caresse la figure, les lèvres de la bouche d'Élise s'entre-ouvrent grâce au traitement que Jean-Luc fait subir plus bas.
Bien qu'elle soit à peine consciente, Jean-Luc a remarqué que Élise semble bientôt atteindre un orgasme, sa poitrine se soulève rapidement, ses joues prennent des couleurs, les 3 amis semblent atteindre leur but.
- Les mecs je crois qu'elle va jouir, regardez !"
Christophe lui, a une autre idée, la bouche entre-ouverte d'Élise l'attire, il approche sa queue des lèvres et profitant d'une réaction une plus forte d'Élise qui lui fait ouvrir un peu plus la bouche, il lui fourre son engin.
Fred prend l'appareil photo, Élise prise par les 2 bouts, la queue de Christophe dans la bouche et le poing de Jean-Luc dans la chatte, ça vaut la photo.
Tout à coup Jean Luc sent les parois de la chatte d'Élise se contracter.
- Ca y est elle y va !"
Pas trop de réactions extérieures mais Jean-Luc la sent emprisonner et serrer son poing, les trois copains se branlent au dessus d'elle faisant gicler sur son visage, ses seins, des traces de liquide blanchâtre. Les clics de l'appareil photo continuent, le caméscope tourne toujours, la scène est immortalisée.
La soirée continue, de prises de vue, mettant Élise dans toutes les situations, en baise ou chacun se décharge dans cette salope après qui ils courraient depuis des mois.
Après avoir usé et abusé d'elle, ils se décident enfin à la rhabiller, conservant quand même sa culotte, et les trois compères la ramène gentiment chez elle la laissant endormie dans sa voiture.