La vengeance est un plat qui se mange froid
Mon patron n’a jamais pu me blairer.
C’est un vieux con qui n’a jamais admis que moi, j’ai les dents longues. C’est vrai que je ne regarde pas trop aux moyens pour atteindre mes résultats, et il m’a en plus déjà surpris plusieurs fois en train de chipoter dans les commandes de matériel, de nourriture, mais il n’a pas eu le cran de me foutre dehors.
Entre temps, avec ses bons sentiments à la con, il a embobiné notre collègue Bénédicte. Elle a 39 ans, comme moi, et ce vieux porc en a 51. Elle venait de quitter son mari, et elle s’est laissée aller à épouser le dirlo. Depuis, ils filaient le parfait amour et elle se la jouait un peu à Madame la Directrice.
Et puis, j’ai eu ce coup de génie de développer ce projet avec le Maroc.
Mon boss s’y était toujours opposé. Ca a marché du tonnerre.
Et le Conseil d’Administration, manipulé par mes relations politiques (j’ai rendu pas mal de services à un député pas très net) a viré le vieux et m’a nommé à sa place. Mieux encore, il est resté dans la boîte, mais à un poste subalterne, tandis que j’accédais à son fauteuil.
Ma première décision a été de le reloger dans l’espère de placard à balais jouxtant mon nouveau bureau. De là, il serait le témoin de mon triomphe. Le vieux était abattu, mais n’avais pas d’autre choix, à son âge, il était grillé.
Sa femme n’était plus très fière non plus et rasait les murs. Je ne vous ai pas dit que Bénédicte est une femme d’une extrême mince, au bassin très étroit, mais au fesses fermes, très fine, très vive, mais avec un visage de madone de Botticelli. Elle souffrait de toute évidence de ce renversement de situation, comme d’ailleurs tous le personnel.
Tout le monde me craignait et se demandait à quelle sauce il serait mangé. J’ai commencé par virer un des plus proches collaborateur de mon prédécesseur, histoire d’isoler celui ci et de me faire craindre davantage.
L’un ou l’autre a préféré partir, d’autres, comme Bénédicte, gardaient un profil bas, la plupart se sont mis à me lécher les bottes. Je savourais. Je me gardais bien de virer le vieux. Il y avait mieux à faire, et plus amusant.
Contre toutes ses craintes, je me montrais charmant avec Bénédicte.
Peu à peu, je lui confiais de nouvelles responsabilités, et il faut reconnaître que c’était une femme compétente et très efficace. Je me mis régulièrement à la faire venir dans mon bureau, à la consulter sur certaines décisions que je devais prendre. Je laissais la porte ouverte pour que son mari puisse entendre nos conversations. Il devait en être anéanti!
J’emmenais de plus en plus souvent Bénédicte avec moi dans des réunions à l’extérieur, y compris pour défendre des dossiers devant le CA. Très craintive et fermée avec moi au début, elle avait fini par se décrisper peu à peu face l’ amabilité que je feignais à son égard. Naturellement, elle rougissait lorsque je tançais son mari devant elle (ce que je prenais évidemment le soin de faire le plus souvent possible, et sous les prétextes les plus divers).
Finalement, je l’avais invitée au restaurant suite à une de nos nombreuses réunions. Mon ton ne lui laissait pas beaucoup le choix, et elle m’avait donc accompagné. Je lui avais joué les violons, passant insensiblement des éloges professionnels à des compliments de nature plus … personnelle.
Je la sentais embarrassée, mais également soulagée d’être dans les bonnes grâces d’un chef aussi craint que moi. Après avoir repris quelques couleurs grâce au champagne que, grand seigneur, je lui avais offert sur le compte de la société, elle s’était laissée aller à me raconter la détresse qui s’était emparée d’elle suite au retournement de pouvoir, la plongée de son mari dans la dépression, encore renforcée par la proximité qui s’était crée entre elle et moi (et qu’elle attribuait naïvement aux seules nécessité du boulot).
De mon côté, j’en rajoutais un max sur le mode « je voudrais aider ton mari, mais qu’est-ce qu’il est empoté, son heure est passée » et lui laissait entendre que c’étaient des gens comme elle et moi qui ferions avancer notre société. Elle ne répondait pas, mais je la sentais déstabilisée.
Je pense qu’elle avait espéré que je ne parlerais pas au bureau de notre resto, mais naturellement, je n’allais pas rater l’occasion, porte grande ouverte, d’y faire allusion le lendemain, en lui demandant si elle avait apprécié le champagne. Je la vis jeter un regard inquiet vers la porte du « placard » , mais elle hocha silencieusement la tête en rougissant.
Le surlendemain, je constatai qu’elle avait mis un tailleur noir très strict, mais à la jupe assez courte (plus en tout cas que ce qu’elle portait d’habitude) et moulant, mettant bien en valeur sa taille très fine et ses petites fesses bien hautes et fermes. Je lui en fis le compliment à haute voix.
Plus tard dans la journée, alors qu’elle était à nouveau dans mon bureau, son mari vint me porter une farde de documents, dont il laissa tomber certains sur le sol. Elle voulut l’aider à les ramasser, mais je lui dis
- Laisse donc, il faut bien qu’il serve à quelque chose», d’un ton qui n’admettait pas la réplique.
Elle hésita une fraction de seconde, mais se rassit. J’ajoutais d’un ton persifleur
- Vous n’allez pas y passer l’après-midi, mon vieux, dépêchez-vous, Bénédicte et moi avons à travailler, et fermer la porte en rentrant dans votre plac! … dans votre bureau, ne nous dérangez plus sous aucun prétexte ».
Il leva des yeux implorants vers sa femme, qui les ignora, et regagna son trou. Je remarquais que le deuxième bouton du chemisier de Bénédicte était défait, et qu’on apercevait la bretelle d’un soutien gorge en dentelle noire.
Lentement, patiemment, sûrement, j’enfonçais un coin entre elle et le notre futur cocu. Les jours passaient et la situation se consolidait. Je gouvernais par la terreur, cassant tout ceux qui ne me léchaient pas les bottes. J’épargnais naturellement Bénédicte, la plaçant sur un piédestal, en dessous de moi, mais au dessus du reste du personnel.
Elle prenait un soin nouveau à se maquiller et à s’habiller chic et juste assez sexy pour ne pas paraître vulgaire. Lors de nos conversations badines, (porte du « placard » toujours ouverte, pour que son mari puisse déguster) je lâchais sans avoir l’air d’y toucher de petits commentaires sur mon goût pour les tailleurs noirs, les porte jarretelles, les haut talons … et depuis lors, elle ne portait plus que des tenues noires, chemisiers blancs ouverts largement sur sa petite poitrine enserrée dans des soutiens en dentelle noire. Elle ne portait plus que des haut talons, elle qui détestait ça auparavant.
Je décidais alors de passer à l’étape suivante. Je me mis à l’ignorer, à l’éviter. Quand nous devions nous voir, je me montrais plus froid. La réaction ne tarda pas, elle se mis à dépérir. Elle avait encore maigri. On voyait les os de ses genoux et de ses épaules saillir. Elle balbutiait lorsque je l’interrogeais.
Elle finit par me demander un entretien que je lui accordais. Elle me demanda ce qui avait changé dans nos relations. Elle me sentait distant. Je lui expliquais que cela m’énervait de la savoir avec une lope comme Paul, et que j’aimais que mes collaborateurs soient loyaux (lisez: à mes bottes) et que sa situation de femme mariée avec quelqu’un qui m’enviait et complotait sûrement contre moi (le pauvre, il en était bien incapable, et je le savais) rendait la loyauté de Bénédicte suspecte. Elle protesta, mais je mis fin à l’entretien avec sécheresse.
Le week-end passa, et je l’imaginais se morfondre après notre entrevue. Le lundi, nous devions nous rendre en province pour visiter un client. Nous prenions ma BMW. Avec satisfaction, je vis Bénédicte arriver avec un sourire gêné. Elle portait un chemisier en voile noir transparent, qui ne laissait rien ignorer de son soutien gorge aux balconnets très bas.
Devant notre client, elle gardait la veste de son tailleur fermée, mais dès que nous fûmes seuls, elle s’arrangea pour que je jouisse du spectacle. Je constatais alors qu’elle portait également une chaînette à la cheville, et l’interrogeai à ce sujet. Elle me répondit que je n’ignorais certainement pas que c’était un signe de soumission. Je fis l’étonné. Honteuse et confuse, elle dût poursuivre:
- Tu sais, j’ai pensé tout le week-end à notre conversation de vendredi, tes soupçons de déloyauté m’ont ébranlée, et je veux t’exprimer tout mon … attachement.
Je l’interrompis en feignant la mauvaise humeur et lui dis que j’étais un homme très autoritaire, qui dans la vie professionnelle et privée ne supportait pas la contradiction. La loyauté ne me suffisait pas, il me fallait la soumission inconditionnelle.
Nous approchions d’une aire de parking. Je m’y engageais et trouvant un emplacement à l’écart, je coupais le contact. Elle avait la gorge serrée, et était blême. Je poursuivis:
- Je n’ai pas envie de perdre mon temps avec les états d’âme d’une irrésolue. Tu dois choisir entre ton mariage et notre relation professionnelle … et autre . Tu sais ce que j’attends de toi? ».
- Oui .
- Dis-le!
- Ma soumission
- Je veux que tu m’amènes ta soumission ET celle de ton mari »
- Mais ce n’est pas possible balbutia-telle et puis, je croyais que tu voulais que je le quitte? »
- Tu croyais mal, je veux que tu le fasses ramper devant moi
Elle ne répliqua pas, mais je voyais qu’elle était vaincue, et pensait déjà au moyen de me donner satisfaction. J’exigeais alors qu’elle me démontre sur le champ sa soumission. Elle avait les larmes aux yeux et les lèvres tremblantes, mais elle défit sa ceinture de sécurité, hésita encore un instant, puis elle se pencha sur moi et ouvrit ma braguette.
Mon sexe était évidemment dur comme de la pierre et elle eut du mal à l’extraire de mon slip. Elle jeta un regard inquiet autour de nous, craignant l’arrivée inopportune d’un véhicule. « Ne t’occupe pas de ça », lui envoyai-je.
Ses doigts tremblaient en s’emparant de mon sexe, elle se pencha à nouveau, et l’introduisit dans sa bouche exquise. Le grand moment était arrivé. Je tenais le début de ma vengeance. Je pensais au pauvre Paul en train de dépérir au moment même dans son placard, tandis que les lèvres de sa femme coulissaient le long de mon sexe, sa langue venant de temps en temps en mouvements lascifs titiller le bout de mon gland. Je lui ordonnais de saliver.
Je voulait une bouche moite. Elle fit quelques mouvements des joues et de la langue pour m’obéir. Je sentis ma bite baigner dans une bonne bouche bien chaude et humide. Elle reprit sa succion. Je me remis à penser à son mari. Je me gardais bien de l’avertir lorsque je sentis la jouissance monter en moi. Elle se prit une grande giclée de sperme au fond de la gorge et voulut se retirer, mais je veillais au grain et lui maintins fermement la nuque.
Elle dût avaler mon sperme intégralement. Je ne la relâchais que lorsqu’elle eût nettoyé complètement mon sexe avec sa langue. Alors elle put se redresser. Ses yeux étaient baignés de larmes et son ricil avait coulé. Je remis le contact et nous repartîmes. Elle sanglota une bonne partie du voyage retour.
Après m’avoir marqué sa soumission de la plus belle manière qui soit, Bénédicte, la femme de mon ex-patron, pût réintégrer sa place auprès de moi. Dès le lendemain, elle fut donc admise dans mon bureau. Pâle et honteuse de ce qu’elle avait fait la veille, mais subjuguée par l’autorité que j’exerçais sur tous, elle gardait les yeux baissés, mais la chaînette brillait toujours autour de sa cheville délicate. Le signal était clair. Je bandais ferme en l’attendant, car notre petite séance de la veille avait déchaîné en moi mes desseins les plus noirs.
Je poussai donc sur le bouton rouge qui interdisait l’entrée de mon bureau, côté couloir, et je refermai également la porte du minuscule bureau jouxtant le mien, où j’avais consigné le directeur déchu, et lui commandais de n’entrer dans mon bureau sous aucun prétexte, car j’allais être très occupé avec son épouse. Il leva vers moi un regard incrédule, mais baissa immédiatement les yeux devant la dureté du mien.
- C’est bien compris? lui dis-je?
- Bien compris, monsieur .
J’exigeais d’abord de Bénédicte de me renouveler son hommage.
- J’espère bien que tu es toujours aussi désireuse de me prouver ta soumission?
- Oui, Eric
- Qu’attends-tu? Mets toi à genou devant ton maître
Cette fois, elle ne marqua plus d’hésitation et se mit à genou, gênée tout de même par l’étroitesse de la jupe noire de son tailleur BCBG. Dans le processus, la jupe remonta, et je vis le bord supérieur de son bas, retenu par le porte-jarretelle. Je lui ordonnais de me lécher les couilles, ce quelle fit immédiatement.
Je regardais la porte du « placard », imaginant son mari qui devait se demander ce qu’il se passait. Bien sûr, j’avais d’abord imaginé le faire devant lui, mais il n’était pas encore mûr pour cela. Je risquais de le pousser immédiatement à la faute, à la révolte qui m’aurait obligé à le mettre dehors. Or, il y avait mieux à faire. Sa déchéance devait être plus lente que cela pour que j’en jouisse pleinement.
Je reculais ensuite d’un pas, et lui relevais le menton. « regarde moi ».
Elle leva ses yeux embués de larmes vers moi. Je lui mis un doigt en bouche. «suce». Elle obéit, n’osant plus me quitter des yeux., puisque tel était mon désir. On entendait des craquements dans le «placard». Je me décidai enfin et lui enfonçais toute la longueur de mon sexe dans la bouche.
Elle avait retenu mes instructions et se forçait à saliver pour que je baigne dans sa bouche comme dans un sexe bien moite. Je pris bien mon temps à me faire sucer la hampe et lécher le gland. De temps en temps, je prenais sa nuque à deux main et j’enfonçai toute la longueur jusqu’à sa glotte.
Elle étouffait et hoquetait, à la limite du vomissement. Je jouissais intellectuellement autant que physiquement de sa servilité. Je passais à la vitesse supérieure. Me reculant à nouveau, et sans aucune raison, je lui assénai une gifle violente.
Elle me regarda avec stupéfaction, puis, comme un enfant puni injustement, elle se mit à pleurer à chaudes larmes. Cela ne m’attendrit évidemment pas, bien au contraire, j’étais rendu comme fou par le pouvoir qu’elle me concédait sur elle. Je la relevais brutalement et la retournais sur mon bureau:
- Montre moi ton cul
Ses doigts fins saisirent le bord de sa jupe et elle la remonta au dessus de ses petites fesses. J’arrachais sa petite culotte en dentelle. Je voyais ses fesses pour la première fois. Maigres. Fermes. Plus sexy encore que je les imaginais.
Mes doigts fouillèrent sa chatte, elle était déjà baignée. Mon sexe s’enfonça en elle comme dans du beurre. Elle gémit. Je commençais à lui donner de grands coups de boutoir, sans aucun ménagement. Elle poussait des couinements où la douleur et le plaisir se mélangeaient.
Cela faisait longtemps que je fantasmais sur elle, mais je n’aurais jamais rêvé que mon triomphe sur sa vertu soit aussi total. Que penser d’une femme qui se fait prendre par son patron dans la pièce à côté de celle où son mari travaille. Je n’avais pas mis de préservatif, et j’explosai bientôt en elle, la laissant pantelante, couchée sur mon bureau, ses petites fesses en l’air.
En me retirant, je fis gicler du sperme sur sa jupe, et me gardai bien de lui dire. Elle avait du ricil partout et me demanda de la permission de se remaquiller, ce que je lui refusai. Je la renvoyais à son bureau.
Elle dût traverser le bureau des dactylos avec son maquillage ruiné, sa jupe chiffonnée, et une belle tache de sperme au fesses. Les autres employés n’en croyaient pas leurs yeux. Je me présentais à la porte du bureau et les fusillais du regard. Tout le monde plongea sur son clavier.
La vie me paraissait vraiment belle, et je rectifiais la ceinture de mon pantalon, ostensiblement.
La vengeance est un plat qui se mange froid...
Surtout quand on est chaude....
Vacances
On est fin juin. Fabrice, vingt trois ans, et Laura dix neuf ans, partent en voyage de noces à Agde, dans le sud de la France. C'est les parents de Fabrice qui leur a prêté l'appartement, un petit deux pièces en rez de chaussée, avec jardin.
Le matin, après avoir fait un gros câlin, ils vont se baigner. Ils n'ont qu'à traverser la rue piétonne pour être sur la plage. Ils en reviennent vers midi. Un petit apéro, un repas léger, puis une sieste coquine. Pendant une heure, Laura va hurler de plaisir.
-Salaud, soupire-t-elle, çà fait trois fois que tu me niques depuis ce matin.
-Tu es tellement polissonne, sourit Fabrice. J'ai pas fini de te faire couiner toute la semaine.
En fin de soirée, vers dix sept heure, ils retournent prendre un bain. Jusqu'à dix neuf heure. Les jeunes époux s'amusent dans l'eau, comme des fous, sans se soucier des vacanciers qui gravitent autour d'eux. Les baisers sont torrides. Ils nagent en plein bonheur.
-Arrête, rit Laura, sors tes doigts de ma chatte. Attend que je te chope les couilles salaud.
-Essaie de les attraper, provoque Fabrice. Si tu y arrives pas, tu auras un gage, d'accord?
Bien sur, dans l'eau, elle n'a pas la même endurance que son mari. Elle abandonne. elle sait que le gage va être érotique, se négocier dans le lit . Elle en salive déjà.
En rentrant de la plage, les jeunes mariés vont directement à la salle de bains. Fabrice en sort le premier, vêtu d'un short, s'installe dans la cour, et sirote une bière.
Laura fini de se doucher, rince les maillots, et enfile une robe ultra courte. Elle sort pour étendre le linges en se hissant sur la pointe des pieds pour atteindre le fil de fer. Ces geste a pour effet de faire remonter la robe à la hauteur des hanches.
Fabrice a devant lui, les magnifiques fesses de sa femme, partagées par une raie parfaite. Et si de derrière, on voit les fesses, de devant, on doit voir la chatte. Le jardin est séparé de la rue piétonne par un petit muret, surmonté d'une grille. Un semblant de haie masque la visibilité. Fabrice ne peut pas résister à l'envie d'envoyer une main entre les cuisses offertes de sa charmante épouse.
-Arrête, gronde-t-elle, çà va pas. tu ferais mieux de réfléchir au gage que tu vas me donner.
Attiré par les voix, trois personnes se collent à la grille, et se figent sur place, yeux grands ouverts. Un homme assez âgé, environ soixante dix ans, et deux jeunes blacks d'une vingtaine d'année.
Laura leur dit bonjour, sans savoir qu'ils ont une vue imprenable sur son intimité. Les curieux lui répondent poliment. En voyant çà, une idée émerge de l'esprit de Fabrice.
"Si j'offrais ma femme à ces piétonniers. Pour savoir si je suis le seul à savoir me servir de son corps. Ce serai un bon test de fidélité, et un super gage".
Fabrice se lève, saisit le bas de la robe, et le soulève jusqu'au cou de Laura. il lui prend les seins et les caresses. Ce matin, Laura a épilé son minou, pour bien dégager sa fente, en prévision du gage. Les passants peuvent, tout à loisirs, admirer son corps superbe.
D'abord surprise, Laura se débat pour remettre sa tenue en place. Mais avec les bras en l'air, elle n'est pas dans une position favorable.
-Tu es fou, hurle-t-elle. Baisse çà, dépêche toi. Tu as pas honte de me montrer comme çà?
-Chérie, sourit-il. Un gage, c'est un gage. Tu dois exécuter celui que j'ai choisi.
Fabrice la pousse vers la grille. Elle essaie de freiner avec ses pieds, en vain. Petit à petit, ses jambes s'écartent. Elle arrive à portée des trois voyeurs, toujours collés à la grille.
Ils en espéraient pas tant. C'est la papy qui se montre le plus entreprenant. Il engage une main à travers la grille, et la glisse entre les cuisses de Laura. Celle-ci est en larmes, offerte aux mains de ces inconnus.
-Arrête, s'il te plait, supplie-t-elle. Tu peux pas me faire çà, je suis ta femme.
Mai le papy connait les points sensibles, érogènes d'une femme. Laura est troublée par les caresses de plus en plus précises du vieil homme. il joue avec les lèvres humides. Jusque là, son corps, raidit, commence à se détendre.
-Oh..il m'a décalotté mon petit clitoris, gémit Laura. Comme il me chatte ce salaud. ha.. je suis toute mouillée..A non, pas çà vicieux, pas mon petit trou cochon..ha..çà y est, il me le prend..que c'est bon, oui..je joui..oui...
-Tu veux que je lui dise d'arrêter? Demande Fabrice.
-Non..surtout pas soupire Laura. il me fait les deux trous, c'est trop bon !.. ha ! … putain !. Demande aux jeunes de me faire voir leur queue. J'ai toujours d'en voir une grosse.
Sur un signe de Fabrice, ils baissent leur bermuda. Elle n'est pas déçu. Ils ont ce qu'il faut.
-Hé, dit l'un d'eux, ce soir on va prendre un verre au "Bar Live", tu peux nous prêter ta meuf?
….................
Laura fini de se préparer. il est vingt trois heures. elle est vêtue d'une minijupe qui lui arrive au ras de la chatte, et d'un chemisier noué à hauteur du nombril.
-Tu es sure que c'est ce que tu veux? Demande Fabrice. Soit prudente ma chérie. Et ton string, tu le met pas?
-Ils ont dit que ce n'était pas nécessaire. Puis, je vais pas m'éterniser. Je prend juste un verre.
Fabrice accompagne sa jeune épouse jusqu'au "Bar Live", la regarde s'éloigner, un pincement au coeur.
A peine arrivé, Laura est prise en charge par les deux jeunes noirs.
-Je m'appelle Doc, et voici Moussa. On vous offre un verre?
Laura accepte. Ils sont pas mal bâtis, vêtus d'un short moulant qui laisse deviner de sérieux atouts. Ils l'attirent au bord de l'eau. Doc glisse une main entre les jambes de Laura. Elle n'esquisse aucun mouvement de défense.
Moussa passe derrière, ôte le chemisier, et lui palpa les seins. Doc fait glisser la minijupe. Ils quittent leur short. Laura saisit les imposantes bites encore au repos. Trois, quatre va et vient, et les voilà opérationnelles.
Doc s'allonge sur le sable, et force Laura à s'empaler sur son membre. Elle ne peut s'empêcher de pousser un gloussement de plaisir. Moussa, toujours derrière, fait rouler le bout des seins entre ses doigts.
- Oh...ma petite chatte, gémit Laura...
- Tu es en train de te le faire mettre...Quel coup de queue tu es entrain de prendre ! Haaa.. Tu es toute mouillée salope.. Tu sens comme il est monté le black ? Cà te change hein?
- Il va te faire jouir ce salaud...ha...oui...nique moi..j'y suis..oui..
- Tiens,petite pute, râle le jeune noir, c'est bon de se vider les couilles dans la chatte d'une blanche.. han.. han.. prend çà...
Laura s'écroule sur le corps du jeune homme, lui force les lèvres avec la langue. Ses seins s'écrasent sur le torse du jeune black. Moussa, attiré par les fesses cambrées de Laura, s'avance, mouille le bout de sa queue, l'a place contre le petit trou, et le pénètre.
- Ha... il m'encule.. oh putain...quelle bite il a lui aussi. Comme ils niquent ma petit chatte. ha.
Seule la clarté de la lune éclaire la plage. on voit nettement le corps à peine bronzé de Laura s'agiter entre le corps des deux blacks. Pendant deux heure, les hurlements de plaisir vont déchirer la nuit. Laura insiste pour que ses deux amants d'une nuit, l'a raccompagne chez elle pour prendre un dernier verre.
Fabrice, assoupit, est réveillé par des bruits. Il se lève et reste cloué sur place. La scène qui se déroule devant lui est irréelle.
Laura, entièrement nue, est à quatre pattes sur la table, jambes écartées. Devant elle, Doc se fait tailler une pipe. Moussa est derrière, en train de lui bouffer la raie.
- Mais chérie, que fais-tu? On est mariés depuis samedi, et déjà tu me trompes.
- Hum..hum...oh..mon chéri..si tu savais comme ils se sont amuser avec moi... hum..Quels coups de queues ils m'ont mis. Trois, quatre chacun, sans débander. Hum..regarde ce salaud..il force mon petit trou avec sa langue. Ho...c'est ma petite chatte maintenant, mon clitoris, hum...oui...que c'est bon....oui...
La semence du jeune black déferle dans la gorge de Laura par jets puissants. elle s'en étouffe.
- Ben dit dont, tu as de la réserve cochon. Moussa, à toi, viens que je te vide les couilles.
C'est maintenant au tour de Moussa de décharger dans la bouche de Laura.
Fabrice, sans réaction, est affalé sur sa chaise, les bras ballant le long du corps.
- Fais pas cette tête sourit Doc. on lui pas fait de mal, au contraire. Je reconnais qu'elle est bonne. Tu dois pas t'emmerder salaud.
- On s'est juste un peu amuser avec elle, le rassure Moussa en lui tapant sur l'épaule.
Laura saisit les deux blacks par les testicules, et les soupèse en les faisant rouler dans ses doigts. ce qui leur provoque une érection.
- Elles sont pleines encore, fait remarquer Laura. Chéri, çà te fais rien de prendre le canapé? J'irai bien au lit avec eux, hein mon trésor? J'ai encore envie de me le faire mettre. Pour une fois que j'ai deux grosses bites que pour moi. Au fait, je t'ai pas dis. Pour te faire plaisir, j'ai décidé de prolonger ton gage toute la semaine.