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Les brèves du Jeudi....

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 Certains auteurs y vont hardos.....

Sujet: agressée dans un train couchette
Auteur : jimmy777
Bonjour, j'ai écrit ce petit récit à partir d'un souvenir d'un livre dans la collection les Interdits. je ne me souviens plus du titre, d'ailleurs je n'ai plus ce bouquin depuis un moment.
j'ai librement adapté le propos avec mes propres fantasmes. Dans le livre, je me souviens plus si la fille était majeure ou si elle avait tout juste 16 ou 17 ans. Disons que pour rester correct, elle aura 18 ans dans mon histoire. Mais chacun peut lui donner l'age qu'il veut.
Donc Sabrina prenait un train de nuit en dimanche soir, entre le sud de la France et Paris. C'était le début printemps et elle s'était habillée assez sexy malgré les températures un peu fraîches. Un pull léger et moulant, et un pantalon strech très serré qui lui moulait parfaitement son beau cul rebondi, et qui faisait retourner beaucoup de regards males.
Dessous, elle portait des collants et un slip en dentelle blanche trop petit qui lui sciait les fesses. Elle entra dans le compartiment où elle avait réservée sa couchette, déjà occupé par deux hommes de 40-50 ans au look voyou.
Il était déjà tard et elle s'installa rapidement sur sa couche.
Les deux hommes discutaient bruyamment et Sabrina avait du mal à s'endormir. Le compartiment était surchauffé et Sabrina ôta son pull sous lequel elle portait un petit tee-shirt mode très moulant. Elle enleva également son pantalon, à l'abri des regards des deux hommes puisqu'elle était déjà sous les draps.
Elle finit par s'endormir profondément.
Au milieu de la nuit, un des hommes s'était réveillé et secoua son acolyte en lui disant :
- Je crois que c'est bon".
Il se leva au milieu du compartiment et verrouilla la porte du compartiment. Son copain avait sorti un couteau assez effrayant. Sabrina dormait à poings fermés sur une couchette du milieu. Les deux hommes debout étaient juste à bonne hauteur de son corps endormi. L'un des deux souleva le drap brusquement et le replia vers les pieds de Sabrina. Celle ci émis un soupir mais ne semblait pas réveillé.
Les 2 hommes contemplèrent le fessier extraordinairement rebondi et sexy de Sabrina. Elle avait la peau mate, et ils pouvaient apercevoir sa culotte blanche à travers son collant, qui lui rentrait profondément entre les fesses. Ils distinguaient aussi les marques du bronzage qui s'arrêtait au milieu des cuisses, contrastant avec le centre pale de ses fesses.
Celui qui avait le couteau empauma son cul à pleine main. Sabrina se réveilla brusquement et se retourna vers eux. Il la menaça directement avec son gros couteau qu'il tenait sous la gorge de la jeune fille :
- Laisses toi faire, sinon ...".
Sabrina se mit à pleurer en murmurant
- Oui .. oui ...".
Il prit son couteau et fit une entaille dans son collant, en faisant attention de ne pas la blesser. Puis à deux, ils déchirèrent rapidement le haut du collant. Sabrina était couché sur le dos, impassible, à leur merci. Ils lui forcèrent à écarter les jambes et fixèrent son entrejambe. Quel spectacle !
Sa culotte était tachée à l'entrejambe et semble t'il encore humide, et des poils pubiens très noirs dépassait de chaque côté du slip. L'un des deux hommes la souleva un peu et remonta son tee shirt d'un coup sec.
Il prit le couteau et coupa le soutien gorge par le milieu, ce qui eut pour effet de libérer d'un seul coup ses 2 beaux seins généreux et fermes. Il saisi l'un des seins et le tortura avec sa main, ce qui faisait mal à Sabrina. Mais elle n'osait rien dire et continuait à pleurnicher.
L'autre type porta sa main entre les jambes de Sabrina et caressa l'entrejambe soyeux de son slip en satin. Il sentait le sexe humide de la jeune fille à travers le tissus humide. Il ne put se retenir de s'exclamer :
- Putain la salope elle est toute mouillée !
Sabrina avait maintenant honte de la situation, en plus de la peur. Ils continuèrent à caresser son corps tout en baissant leurs pantalons. Celui qui s'occupait de ses seins en prit un dans la bouche et réussit à exciter un mamelon, alors que Sabrina était tétanisée. Mais c'était son corps qui se laissait aller à l'excitation et qu'elle ne contrôlait plus.
L'autre lui retira sa culotte en lui faisant soulever les jambes. Sabrina y mettait de la mauvaise volonté et il la tourna sur le côté quelques secondes pour lui administrer une claque très violente et sonore sur les fesses.
Il saisit sa culotte sale et en renifla l'entrejambe souillé. Son érection redoubla et il tendit le slip de Sabrina à son copain. Celui - ci le saisit et huma bruyamment les parfums intimes et très odorants de la jeune fille, tout en continuant à lui masser ses seins excités.
L'autre plongea sa tête entre les cuisses de Sabrina et lui força à écarter ses jambes. Il détailla sa touffe fournie dans laquelle perlait des gouttes de mouille et de sueur. La fente était fine et les chairs humides d'un rouge vif très excitant. Il saisit son membre d'une main pour se masturber et enfonça son nez dans la vulve de Sabrina. Il humait son odeur de petite vicieuse excitée à en perdre la respiration.
La situation était assez critique. Cela l'excitait tellement qu'il sentait qu'il allait jouir. Il commença alors à lui lécher la fente , sans oublier de nettoyer tout son pubis. Le goût était exquis. Il léchait et aspirait les jus intimes qui suintait de sa vulve grasse.
L'autre le regardait et décida de donner un peu de tendresse à Sabrina. Il lui massa les seins plus doucement et lui caressa sa longue chevelure soyeuse. Sabrina ne pensait plus. Elle se laissait aller en fermant les yeux mais elle avait toujours très peur.
Celui qui possédait sa chatte était sur le point d'exploser. Il donna un dernier coup de langue et lui souleva les jambes et le dos, de façon à exposer le cul de Sabrina devant lui. Il lécha soigneusement l'anus odorant de la jeune fille et il du s'interrompre car il allait jouir.
Il monta deux ou trois marche de l'échelle des couchettes et approcha sa queue énorme du sexe de Sabrina. Il se branla encore quelques secondes et explosa en râlant. Il éjacula copieusement et longuement sur la touffe déjà trempée de Sabrina.
Puis il récupéra sa culotte qu'il empocha et remonta dans sa couchette. L'autre avait aussi envie d'en finir, surexcité par la situation. Il coucha Sabrina sur le ventre en lui écartant un peu les jambes. Sabrina sentait le sperme de son prédécesseur qui collait à ses poils pubiens et qui maintenant s'écrasait sur le revêtement de la couchette.
L'homme lui enfonça un doigt dans l'anus, déjà lubrifié par la salive de son copain, et lui branla le cul pendant un moment. Sabrina souffrait énormément de cette situation mais elle sentit quand même un flot de mouille qui inondait sa chatte.
Elle jouissait sans s'en rendre compte et l'intensité était atténuée par le viol. L'homme monta dans la couchette et se coucha sur Sabrina, sa queue frottant contre ses fesses rebondies. Il donna des coups de boutoirs puissants en maintenant Sabrina plaquée sur le ventre et en lui tirant la tête en arrière par les cheveux.
Il sentait qu'il allait venir lui aussi. Son gland frottait contre la peau chaude et moite des fesses de la fille. Il éjacula lui aussi bruyamment, lachant des flots de spermes sur le cul de cette jolie fille.
Sabrina avait deviné que c'était fini, mais elle n'osa pas se retourner. Elle resta prostrée comme ça un moment sur le ventre et se rendit compte que les deux hommes se rhabillaient et quittaient le compartiment.
Au bout de longues minutes, elle se redressa et regarda partout dans le compartiment. Quand elle fut sure d'être seule, elle re-verrouilla la porte et tenta de se laver de viol. Elle chercha sa culotte qu'elle ne trouva pas, et pour cause. Elle examina son collant complètement déchiré qu'elle mis tout de suite dans une poubelle.
Elle prit une culotte propre dans son sac et se rhabilla complètement. Elle ne put s'endormir jusqu'a Paris et elle avait à la fois le sentiment d'avoir été salie, mais aussi d'avoir honteusement été excitée par ces types.

  Certains auteurs y vont hardos.....
Just for the fun
Déconnez pas les mecs, faut vraiment pas faire

La promenade a mal tourné
Caroline est une jolie jeune maman de 32 ans. Elégante avec un peu de hanche due aux 2 jeunes enfants qu'elle a eu, elle mesure 1,70 avec une taille fine et une petite poitrine ronde (85 B).
C'est une femme élégante et féminine. En ce bel aprés midi d'été, elle a choisi d'aller faire un ballade en vélo dans la forêt située à 4 km de son village. Elle ne s'est pas changée aprés être rentrée de son travail. Elle porte une robe blanche légère à bretelle, avec quelques fleurs en motif.
Elle roule à une allure constante lorsqu'elle pénétre dans cette grande forêt par l'axe principale sur lequel il y a quelques voitures qui passe. En chemin elle croise 3 cyclomoteurs dont 2 ont des passagers. Il s'agit surement de jeunes d'une citée qui s'évade en campagne.
Nous ne sommes qu'à quelques kilomètres d'une ville importante essentiellement industrielle. Caroline est épargnée. Elle préfère vivre en campagne non loin de la ville où elle travaille comme secrétaire notariale. Son mari est ingénieur. Le couple vit confortablement. Caroline en a d'ailleurs l'allure.
Caroline décide de bifurquer sur sa gauche vers une petite route moins important. Elle entend constamment ce bruit de cyclomoteurs depuis qu'elle en a croisés, comme s'ils suivaient de loins. Elle bifurque sur un petit chemin goudronné mais vraiment isolé. Ici la forêt y est dense et il y fait frais pour rouler. C'est ce que recherche Caroline.
Le bruit des cyclomoteurs se rapproche à grand pas. Caroline se retourne et voit les 3 cyclomoteurs la rattraper. Elle se sert sur le coté en ralentissant un peu. Au moment où le premier la dépasse, elle est projeté vers l'accotement par le jeune pilote. Elle chute de son vélo et se relève doucement. Pas de mal.
A peine redressée sur ses jambes, elle est empoignée violemment et est trainée de force par 2 jeunes hommes encore casqués.
- Laissez moi. Qu'est ce que vous me voulez? Enfin laissez moi.
- Ta gueule !
Rien à faire, elle n'est pas assez forte pour lutter. En tournant la tête vers l'arrière, elle constate que les 2 autres jeunes sont entrain de cacher les cyclomoteurs et son vélo dans les fougères.
Arrivés dans un clairière, Caroline est projeté dos contre un arbre. Pendant que l'un d'eux la plaque pour qu'elle ne puisse se débattre, les 2 autres lui attachent les bras autour de l'arbre à l'aide d'une fine écharpe. Caroline a trés peur et commence à sangloter.
- Qu'est ce que vous me voulez à la fin ? Laissez moi partir !..."--
Les 5 jeunes sont devant elle et retirent leurs casques. Ils paraissent tous à peine majeurs, vêtus de jeans déchirés et parfoit sale de camboui ainsi que de tee-shirt sans manche, Caroline devine leurs origines et s'attend au pire.
- Bon, qu'est ce qu'on fait les gars ?"
- Beh, on la fout à poils !"
- Oouai"
- Putain ouai, on va la baiser"-
- Fait lui faire un strip, comme l'autre jour avec l'autre salope d'Isa dans les caves. Aprés on la baisera."-
- Pauvre con, elle est attachée."-
Le plus violent et plus dure de la bande, peut-être même le plus âgé, s'approche de la victime.
- Je vais la foutre à poil la salope et vous vous regardez, aprés on la baise. D'accord..."
Caro en pleurant :
- Non laissez moi, je suis mère de famille, je ne suis pas une copine d'école".
Le chef du groupe se retourne et lui afflige une grande claque sur la joue gauche. Caroline se tait immédiatement.
- Maintenant tu vas fermer ta gueule, OK.!"
Caroline baisse la tête et pleure en silence.
- Bon je commence."-
Le meneur sort un couteau de sa poche et se met à couper les 2 fines bretelles de la robe en coton. Pas de bretelle de soutien gorge visible. Caroline fait attention à sa manière de se vêtir. La robe reste en place.
Il passe sa main entre son dos et l'arbre et fait descendre la fermeture éclair jusqu'en bas du dos. D'un coup sec, il tire la robe vers le bas. Cette dernière finit sa course autour des pieds de Caroline, garnis de petite tennis en toile blanche.
Des sifflement jaillissent dans public. Caroline porte un soutien-gorge sans bretelle blanc avec un liseret de dentelle bordant le haut des bonnets balconnets. Un jupe en nylon blanc, permet de distinguer la balcheur d'une petite culotte. Caroline, pudique, avait pris soins de mettre un jupon pour éviter les effets de transparance de sa robe légère et blanche.
Le jupon est violemment tiré vers le bas pur rejoindre la robe. Le slip de nylon blanc mêlé de dentelle laisse deviner une bande de toison brune couvrant le sexe. Le public impatient :
- Allez, enlève le soutif de cette salope qu'on voit ses miches.".
Le déshabilleur perdant patience à essayer de dégrapher les 3 rangées d'aggraphes du soutien-gorge, attrape sa lame et coupe l'entre-seins. Il l'attrape et le jette dans la tête du plus obsédé de l'équipe. Caroline a la tête baissée et regarde par terre en écoutant les commentaires vulgaire fait sur son corps.
- Elle a les seins qui pointent cette pute, regardez les gars..."-
L'aîné du groupe s'adresse au plus jeune :
- Tu vois c'est surement une bourge, c'est comme ça qui faut les traiter. Toute des putes dans le fond.
- Allez parle moins et enlève son slibar, qu'on puisse voir sa chatte. Je vais y metre le doigt pour voir si elle mouille.
La brute attrappe la culotte par la partie la plus fine située sur le côté soit 2 cm de dentelle armée d'un élastique. Il tire brutalement. Le slip se déchire et reste accroché à la cuisse opposée. Il est ensuite arraché complètement. La brute le renifle et l'écrase sur le nez de Caroline.
- Tu vois ça. C'est quoi ? C'est mouillée !
- Elle mouille la salope. C'est une vrai pute.
Le cadet approche avec un air sadique effrayant Caroline, et lui tire les poils du pubis. Caroline gémit. Il passe sa main entre les jambes de Caroline qu'elle essaye de serrer.
- Putain, t'as raison, c'est trempé.
- Détache là, je sens que ça va glisser tout seul.
Caroline est détaché et maintenu. Elle est couché sur le dos dan sles feuille de chêne. Maintenue par les bras au dessus de sa tête, on lui obblige à écarter les jambes pour être pénétrée par la brute.
Elle a honte d'être mouillée ainsi. Elle n'avait jamais connu un tel traitement, mélange de peur, d'humiliation et de soumission. Lorsque le sexe la pénètre , Caroline pousse un soupir. Sa respiration s'accélère. Encouragé par les cris de ses camarades et les insultes proférées à l'intention de Caroline, la brute accèlere ses va-et-vients et finit par éjaculer.
Le deuxième en fait autant. Il était déjà prêt. On dirait qu'ils sont parfaitement rodés pour cette pratique. Caroline voit les 5 voyoux la burinner les uns aprés les autres et finit par jouir le plus discrètement possible lorsque le cadet finit son acte. Caroline est ensuite réattachée face contre l'arbre mais les mains au pied de l'arbre de telle façon qu'elle présente son postérieur, le buste baissée, prête à être prise par derrière.
Les 5 jeunes réccupère et fume une cigarette en discutant et en admirant ses fesses tendues et son sexe en forme d'abricot garni de poil.
- Allez les gars, je me la prendre par derrière et je file ensuite.
- Moi aussi
La brute demande à Caroline de sucer le cadet. Caroline s'exécute. Il a le sexe encore gluant, mélange de sperme et de mouille. Elle commence à le sucer alors que le cadet la tiens par ses cheveux. D'un seul coup, elle est surprise par la brute qui se l'enfile par derrière.
- Ca va les gars, ça glisse toujours.
Le sadique passe ensuite. Tout en la pénétrant sexuellement, il enfonce son doigt dans l'anus. Caroline essaie de protester avec le sexe dans la bouche. Avant qu'elle puisse dire quelques choses, elle prend une jiclée de sperme dans le fond de sa gorge. Le cadet s'est vidé. Il attrape sa culotte, s'essuie le sexe avec et la met dans sa poche.
- Tu vois. je vais la montrer aux potes et aux mefs.
Aprés que tous le monde se soit vidé, Caroline est détachée. Elle s'écroule d'épuisement sur le sol. Les voyoux s'en vont en discutant comme si rien n'était. Elle entend les cyclomoteurs démarrer et partir.
La jolie maman classe qui se promenait sur son vélo tranquilement, est assise par terre, nue, souillée de sperme sur les fesses et coulant le long des jambes. Elle remet son jupon, noue les bretelles et enfile sa robe.
Elle réajuste sa coiffure et s'essuise la bouche et l'entre-jambe avec son soutien gorge, seul vestige de ce qu'il s'est passé. D'ailleurs, elle le jette sur place. Une fois rentrée à la maison , elle prend une douche, se rhabille. Il est l'heure d'aller chercher les enfants à la crèche...

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