Quand on a de vrais amis,
il est sacré de satisfaire leurs besoins...
primaires..!
“Le(a) bon(ne)” samaritain
Les enfants partis en week-end chez leurs grands-parents, Laurianne et moi avons décidé de nous consacrer du temps, et nous nous sommes préparés une petite soirée à la maison avec repas fin et chandelles.
N’ayant pas l’intention de passer des heures à la cuisine c’est un traiteur qui nous livre le dîner. Pour l’occasion, nous avons dressé la petite table basse du salon, tamisé la lumière et allumé quelques bougies C’est émouvant de se retrouver en tête à tête, comme au premier jour, de se faire à nouveau la cour, redoubler de gestes de tendresse.
Sans que je me l’explique vraiment, mon épouse a changé au cours de ces derniers mois, se montrant plus entreprenante dans nos rapports, amenant ainsi dans notre vie de couple un renouveau dont il avait bien besoin. Durant des années elle s’était montrée une mère exemplaire, s’enfermant un peu trop dans son rôle à mon goût, au détriment de notre relation, et une routine s’était installée, qui nous étouffait lentement.
Les enfants grandissant, nous retrouvons un peu de liberté pour faire des sorties, retrouver des amis, pratiquer des activités abandonnées faute de temps. Mon travail ne connaissant pas la notion de week-end, il m’arrive de ne pouvoir participer à une sortie prévue avec des copains mais je l’encourage toujours à les accompagner. Je sais que cela lui fait le plus grand bien car, à chaque fois, elle en en revient rayonnante, revigorée et cela me fait chaud au cœur.
Ce soir, je la sens particulièrement excitée, riant pour un rien. Nous nous sommes mis à l’aise, pour une soirée qui s’annonce très sensuelle. Laurianne a passé le déshabillé de soie noire que je lui ai offert pour son anniversaire, dans lequel je la trouve très excitante. Le léger vêtement, une sorte de robe longue fendue sur le côté, est largement échancré sous les bras, laissant entrevoir par moment la courbe d’un sein et l’absence de soutien-gorge. La légèreté du tissu a bien du mal à masquer la générosité de ses formes. J’imagine qu’elle n’a pas du s’embarrasser de culotte non plus, tout comme moi d’ailleurs qui suis nu sous mon peignoir d’intérieur.
Assis sur des coussins autour de la table basse, comme au bon vieux temps, nous dégustons le repas délicieux livré par le traiteur, arrosé d’un bon vin qui chauffe un peu la tête. Alors que je me régale du dessert, Laurianne s’approche de moi serrant entre ses dents un petit chou à la crème que visiblement elle me destine.
En souriant, je tente de saisir le gâteau à mon tour, nos lèvres se frôlent tandis qu’elle résiste, puis finalement elle me laisse emporter le morceau. Nous jouons un moment à nous échanger les petits choux, prétexte à nous caresser lèvres contre lèvres, en riant comme des enfants.
En regardant la coupe de crème sur la table, il me vient une idée que je mets aussitôt à exécution. Je lui en propose une cuillerée et, à peine l’a-t-elle enfournée, que je l’embrasse d’un baiser fougueux. Nos langues se mêlent, s’enroulent l’une sur l’autre dans la douceur onctueuse de la crème fouettée qui finit par disparaître dans nos gorges respectives.
- C’est agréable non ?
- Oui, plutôt ! répond-elle. Attends ! Moi aussi j’ai une idée.
Prenant une grosse cuillerée de crème, Laurianne s’approche de moi, écarte les pans de mon peignoir et la dépose sur mon sexe encore au repos.
- Oh le gros chou ! s’exclame-t-elle en riant
Sa langue commence à lécher la crème tandis que le sang afflue dans ma verge qui se redresse peu à peu. Je la regarde me laper lentement, glissant le long de ma tige. Sa caresse est délicieuse, et la crème a vite disparu.
Laurianne s’empare de la coupe de crème et y trempe carrément mon sexe dedans avant de le reprendre dans sa bouche. Agréablement surpris par son initiative je me laisse sucer par ses lèvres gourmandes qui m’amènent rapidement à une érection conséquente. Mon sexe est couvert de crème blanche dont ma femme semble se régaler au plus haut point.
- Tu aimes, mon chéri ?
- Oh… mon amour… oui !
Sa langue sur mon gland fait merveille, et éveille en moi un désir féroce de lui enfourner mon chibre dans la gorge. La saisissant par sa chevelure, je l’amène à m’avaler, ce qu’elle fait sans rechigner, bien au contraire, me procurant instantanément un plaisir intense.
Ses lèvres serrées sur ma verge, elle entame un va-et-vient diablement efficace et je ne tarde pas à jouir, mélangeant ma semence à la crème fouettée. Laurianne qui en a plein la bouche, continue de me sucer, se régalant visiblement du mélange, et ne me libère que parfaitement nettoyé, toute contente d’elle.
- C’est bon la crème mangée comme ça ! dit-elle en riant.
- C’était parfait mon amour ! dis-je en l’embrassant tendrement, goûtant l’odeur de crème encore présente dans sa bouche.
Je suis assez content, la soirée s’annonce très bien. Le repas débarrassé nous nous apprêtons à prendre une coupe de champagne, quand la sonnette se met à retentir. Nous échangeons un regard étonné, car nous n’attendons personne. La sonnette retentit à nouveau.
Je me décide quand même à aller ouvrir, et me retrouve face à face avec Jeannot, un ami de longue date dont nous n’avions plus de nouvelles depuis plus de deux ans. Derrière lui se tient un type, petit et trapu que je ne connais pas.
L’instant de surprise passé, nous nous prenons dans les bras l’un de l’autre, heureux de nous revoir.
Bien que le moment soit mal choisi, il n’est pas question de le laisser dehors, et faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, je les invite à entrer. Laurianne qui a reconnu la voix de Jeannot l’accueille à son tour, à bras ouverts, manifestant une joie non feinte de le retrouver.
- Bonsoir ma Laurianne ! s’exclame Jeannot, visiblement très content lui aussi de nous revoir. Comment allez-vous ?
- C’est plutôt à toi de nous dire comment ça va, depuis le temps que nous n’avions plus de nouvelles !
Jeannot nous présente celui qui l’accompagne, Nasser, un algérien au physique de loubard, les avant-bras ornés d’énormes tatouages. Bien qu’il soit poli et souriant, il ne me plait pas beaucoup, peut-être à cause du regard appuyé qu’il pose sur Laurianne, qui ne semble pas s’en être rendue compte.
C’est vrai que sa tenue y est pour quelque chose. Je tente de faire comprendre à mon épouse d’aller passer quelque chose de plus sobre, mais elle me répond par un haussement d’épaules, et retourne au salon, suivie par les arrivants qui ne la quittent pas des yeux. Nous nous installons et leur proposons de partager la bouteille qui nous attend sur la table basse.
La conversation va bon train, Jeannot, tout comme Laurianne d’ailleurs, ayant toujours une foule d’anecdotes à raconter sur la vie de tous les jours. Et deux ans d’absence cela fait pas mal de temps à rattraper.
- On nous avait dit que tu étais parti en voyage !
Jeannot nous apprend qu’il est bien parti en voyage dans un premier temps, pour faire des « affaires » comme il dit, puis que cela a mal tourné. Il s’est retrouvé en prison pendant plus d’un un an, et c’est là qu’il a fait la connaissance de Nasser avec qui il s’est lié d’amitié.
Abasourdis, nous l’écoutons raconter on histoire, sa vie de prisonnier, les murs gris de la cellule, les visites rares, l’agressivité ambiante, l’abstinence sexuelle.
Ils viennent d’être libérés, et il avoue qu’après être passé voir sa mère, c’est par nous qu’il commence sa tournée des amis afin de renouer avec le monde. Laurianne a servi le champagne et nous trinquons à leur libération, à la joie de le revoir. La conversation se fait plus légère, nous plaisantons sur nos réussites et échecs respectifs.
Je finis par remarquer les échanges de regards discrets entre Jeannot et Nasser notamment quand Laurianne leur sert à boire. Quand vient mon tour, je comprends l’objet de leur intérêt. En se baissant pour remplir les verres, les pans de son déshabillé baillent largement, offrant une vue dégagée sur son alléchante poitrine. Je ne sais pas si elle s’en est rendu compte, en tous cas elle ne fait rien pour y remédier.
D’ailleurs, même sans se baisser, le frêle vêtement, largement échancré, ne laisse pas beaucoup de doutes sur la qualité des attraits qu’il recouvre, La vocation de ce déshabillé est d’exciter et, ce soir, il remplit admirablement bien son office. Cela finit par m’amuser de voir nos deux invités, lorgnant, mine de rien, sur les seins de mon épouse.
Soudain, la voix de Laurianne résonne dans la pièce, s’adressant à Jeannot :
- Bon, Jeannot, tu veux voir mes seins, c’est ça, hein ?
Je la regarde interloqué, puis je regarde Jeannot qui reste muet, un peu de rougeur sur les joues. Mon épouse est calme, assise sur le canapé et réitère sa question :
- Depuis que tu es arrivé, comme ton copain d’ailleurs, tu n’as d’yeux que pour ma poitrine ! C’est vrai que si j’avais su votre visite, j’aurais mis quelque chose d’autre. Mais bon, on avait prévu une soirée entre nous avec Paul ! Veux-tu voir mes seins Jeannot ?
Devant sa détermination, je préfère me taire, curieux aussi de voir ce qui va se passer s’il dit oui. Jeannot me regarde, prend mon silence comme un consentement et finit par répondre :
- Oui, Laurianne, j’aimerai beaucoup voir tes seins !
- Eh bien voilà, c’est plus simple ! Tiens !
Et joignant le geste à la parole, sous mes yeux effarés, elle écarte les pans de son déshabillé, dévoilant à nos deux invités sa somptueuse paire de seins. Ronds et gonflés, les deux globes s’affaissent très légèrement sous leur poids, les tétons se dressent au milieu d’une jolie aréole brune, pas trop large. Les prenant par en dessous, Laurianne les soupèse en regardant Jeannot :
- Viens les caresser, si tu veux ! Profites-en !
- Laurianne… ! finis-je par m’écrier. Ça va comme ça, tu ne crois pas ?
- Allez chéri… ne t’inquiète pas ! Jeannot ne va pas me manger, et après tout ce temps entre quatre murs il a bien droit à ce petit plaisir !
Après une légère hésitation, et sans un mot, notre ami vient s’asseoir près de mon épouse, pose ses mains sur les deux magnifiques mamelons et les caresse délicatement.
- Dis-donc Laurianne… ! s’exclame-t-il. Tu nous avais caché ça… quelle sacrée paire de seins !
Passablement irrité, je sens néanmoins poindre en moi une certaine excitation à regarder Jeannot malaxer les généreux attributs de mon épouse. Elle apprécie d’ailleurs ses caresses, à en juger la façon dont elle cambre son dos, faisant saillir sa poitrine vers l’avant. Je me sers une coupe, histoire de faire passer la pilule, espérant que tout cela va bientôt cesser. Jeannot murmure quelque chose à l’oreille de Laurianne que je n’entends pas, mais qu’elle accepte en hochant de la tête.
- Nasser ! Viens voir… Tâte-moi ça, mon ami… ! l’interpelle Jeannot
Nasser les rejoint sur le canapé, s’empare à son tour des deux globes opulents, les presse entre ses doigts, tirant sur les tétons qui ont grossi et durci.
- Whaooou… ça c’est des melons ! Ça fait une paye que je n’en ai pas touchés !
Elle est bien foutue ta meuf… s’exclame-t-il. Tu ne dois pas t’emmerder… !
Sa vulgarité ne me plait pas et je regrette de les avoir laissés entrer. Pourquoi fallait-il que Laurianne se mette à jouer à la bonne samaritaine ? Je ne sais que faire, d’autant que mon épouse se laisse complaisamment peloter, regardant en souriant les mains qui pétrissent ses seins.
Quand Jeannot se penche sur elle pour l’embrasser elle ne cherche pas à se soustraire, bien au contraire, et ouvre ses lèvres pour répondre à son baiser.
Ils s’embrassent longuement sous mes yeux médusés, tandis que je me sers à nouveau un verre, j’en ai vraiment besoin. C’est vrai qu’elle a toujours eu un faible pour Jeannot, le préférant nettement à d’autres amis, et c’est réciproque.
Il sait se montrer prévenant avec elle, affectueux, et certaines fois cela m’agace un peu. Ce soir mon épouse semble vouloir le remercier à sa façon, mais je sens confusément que la situation nous échappe. Si Jeannot avait été seul, j’aurais mieux compris et accepté le geste de Laurianne, mais avec la présence de Nasser, que nous ne connaissons pas, c’est une autre histoire. Je suis incapable de prendre la moindre décision, confronté à une situation inédite, partagé, il faut bien le dire, entre la colère et l’excitation que cela me procure néanmoins.
Jeannot, encouragé par le comportement de Laurianne, défait les attaches qui ferment le vêtement sur le devant, l’ouvre complètement, révélant la totale nudité de mon épouse. Les deux hommes la contemplent un instant, appréciant ses formes plantureuses, leurs regards s’attardent sur l’appétissante vulve dont la toison, soigneusement entretenue et coupée court, laisse voir de belles lèvres brunes et ourlées… Jeannot embrasse à nouveau Laurianne tandis que ses mains courent de plus en plus fiévreusement sur son corps nu, pressant la chair pulpeuse, malaxant ses seins, ses hanches.
Son copain, agenouillé devant eux, caresse les jambes de mon épouse, glisse une main entre elles, remonte le long de ses cuisses. Laurianne résiste à la tentative, a priori pas disposée, en tenant ses cuisses serrées, tentant de le repousser en lui appuyant sur la tête. Je crois avoir entendu un « non » mais le son est étouffé par le baiser de Jeannot, qui vient à la rescousse de Nasser en saisissant la main de Laurianne et en l’amenant vers son bas-ventre.
Il défait les premiers boutons de sa braguette, et guide la main de Laurianne sur son slip, au contact de la bosse qui gonfle son slip. Elle caresse un instant le renflement qui paraît de belle taille, puis passe sous l’élastique et disparaît de ma vue, me laissant imaginer ce qu’elle va y trouver.
Obstiné, Nasser, poursuit ses efforts pour insérer une main entre les cuisses nues qu’il couvre de baisers, et obtient finalement gain de cause, car les jambes de mon épouse viennent de s’écarter, lui ouvrant le passage vers son intimité.
Il lui embrasse l’intérieur des cuisses, remonte vers la vulve bombée qui semble l’attendre, frémissante.
Assis à moins de deux mètres, je vois distinctement sa langue lécher la chair rose de bas en haut, les petites lèvres brunes s’écartant sur son passage. Silencieux, je le regarde explorer l’intimité de ma femme, véritablement affamé, insinuant la pointe de sa langue dans les moindres replis, la fouillant de fond en comble. C’est la première fois que je vois Laurianne se faire bouffer la chatte par un autre que moi, et je découvre que cela m’excite.
Il l’explore fiévreusement, pénétrant l’orifice par petites touches rapides, remonte vers le clitoris qu’il a dégagé avec deux doigts. Le petit bouton nacré est gonflé, brillant, et les mouvements de bassin de Laurianne attestent de l’efficacité du traitement.
- Putain, Jeannot… ! Qu’est-ce qu’elle est bonne sa chatte ! Nom d’un chien, ça fait du bien !
Je comprends qu’on n’en est plus à du simple pelotage de seins, comme dans une cour de collège, mais qu’on a à faire à deux hommes en manque, bien décidés à profiter de l’opportunité que leur offre Laurianne.
Assise non loin de moi elle est enlacée par Jeannot qui l’embrasse à pleine bouche, et à ses pieds, la tête enfouie entre ses cuisses, Nasser affiche un vif intérêt pour la vulve bombée qui s’offre à lui.
La scène commence à me chauffer terriblement le ventre, et machinalement je passe une main sous mon peignoir, empoignant ma verge qui s’est durcie. Je me branle lentement, en regardant Laurianne tressaillir sous les coups de langue de Nasser qui lui astique la chatte et exacerbe son clitoris qu’il tient bien dégagé avec ses doigts. De la taille d’un petit pois, ce petit bouton nacré est ce qu’elle a de plus sensible, et Nasser semble l’avoir vite compris, prenant un malin plaisir à le titiller fébrilement.
- Tu mouilles sacrément, dis donc ! Tu aimes te faire bouffer le minou, hein !
Gémissant de plaisir pour toute réponse, sa langue nouée à celle de Jeannot, Laurianne fouille fébrilement dans le slip, cherchant à en extraire le contenu. Il interrompt son baiser, se redresse et fait glisser son pantalon à ses pieds, ainsi que son slip, et prend place devant Laurianne, un pied sur le canapé. Il y a un petit instant d’émotion quand nous découvrons tous les deux, le bel attribut de notre ami. Depuis le temps que nous le connaissons, nous ne l’avons jamais vu nu, et je reconnais que la nature l’a bien doté.
Brun aux cheveux longs, des traits fins, presque féminins, Jeannot est un garçon svelte qui plaît beaucoup aux femmes, et certainement à la mienne. Le membre qu’il arbore sous nos yeux à cet instant est, lui, tout à fait viril, d’une belle dimension et très légèrement arqué, terminé par un gland rose et lisse, superbement profilé. À l’exception d’un petit carré de toison pubienne soigneusement coupée, Jeannot est complètement épilé, ce qui met en valeur la longueur de sa verge et permet d’apprécier à loisir ses bourses bien remplies.
Je sens poindre en moi une petite jalousie, la comparaison n’étant malheureusement pas en ma faveur.
- Toi aussi, tu as de beaux atouts ! s’exclame Laurianne, en refermant sa main sur la splendide verge qu’il lui présente.
- J’espère que ça te plaît ! dit-il en m’adressant un sourire de connivence.
- Et dire que cela n’a pas servi pendant un an !
Laurianne s’empare du membre dressé et le lèche copieusement, tout en caressant les fesses nues de Jeannot de sa main libre. J’ai l’impression qu’elle met beaucoup d’amour dans ses caresses, comme si elle attendait cela depuis longtemps, et c’est assez troublant. Je me poserais presque des questions…
Ma femme referme sa bouche sur le gland lisse et se met à le sucer avec délectation, tout en branlant la tige gonflée. Je connais suffisamment les effets de ce petit traitement, la douceur exquise de ses lèvres sur votre bite pour ne pas donner longtemps à mon ami avant de jouir. Elle lui malaxe les couilles, relevant la tête de temps à autre pour juger du résultat. Elle le pompe de plus en plus activement, encouragée par les râles de contentement de Jeannot.
- Ohhhh… Oohhhh… Laurianne ! C’est bon ! Continue comme ça !
- Elle te suce bien j’espère ? ne puis-je m’empêcher de lâcher tout d’un coup.
- Oui Paul… elle se débrouille vraiment bien ! répond-il en me regardant, un peu étonné de ma question.
Bien sûr qu’elle se débrouille bien, et cela m’agace d’autant plus qu’il en profite sous mes yeux, avec mon consentement passif. Sa bite disparaît presque entièrement dans la gorge de ma femme à chaque fois qu’elle plonge dessus, sa respiration se fait plus courte et bruyante, témoignant de la montée de son plaisir.
- Ouhhhh… Oui… Laurianne, oui… C’est bon ! gémit-il en lui caressant les cheveux, le dos cambré pour mieux se faire avaler. Cela fait des mois que j’en rêve, tu sais !
C’est une belle queue, de toute évidence, et je me surprends à l’imaginer, chaude et lisse, coulisser entre mes lèvres, s’enfoncer dans ma gorge pour y dégorger son suc. Ces pensées me mettent mal à l’aise car je n’ai jamais eu d’attirance pour le sexe masculin.
Pourtant ce soir cette verge bien gonflée, lisse et pâle, ne me laisse pas indifférent, et j’ai beau dire, mais le voir se faire sucer par Laurianne me fait triquer, et je me branle de plus en plus activement sous mon peignoir. Ses mains sur la tête de ma femme, il accompagne le mouvement de va-et-vient, cherchant à se maintenir enfoncé en elle.
- Ahhhh… Laurianne… Ouhhh… Je vais venir !
Il se raidit brusquement, lâche un râle bruyant et je comprends qu’il vient de jouir, la queue profondément enfoncée dans la gorge de Laurianne. Celle-ci a un hoquet, s’immobilise, regardant notre ami dans les yeux tandis qu’il se décharge en elle, l’inondant de sa semence chaude et épaisse. En voyant le liquide blanc suinter de ses lèvres entrouvertes, je ne peux réprimer un petit pincement au cœur, car c’est quand même la première fois que je la vois avec du sperme plein la bouche qui n’est pas le mien.
- Ça va Paul ? Je comprends ce que tu ressens, tu sais… Je te remercie de ta compréhension ! En tout cas, merci Laurianne, tu m’as fait un bien fou ! Cela faisait vraiment longtemps qu’une fille ne m’avait pas pris dans sa bouche !
- Viens, mon amour ! Je crois que tu as besoin qu’on te soulage aussi… non ? dit-elle en désignant d’un regard amusé la bosse qui tend mon peignoir
Un peu gêné par la situation, je prends la place de Jeannot, ouvre mon peignoir, et la laisse s’emparer de mon sexe, dont l’érection est effectivement conséquente. Elle referme ses lèvres sur moi, sa langue s’enroule à merveille sur mon gland congestionné et dur, provoquant immédiatement des frissons délicieux qui irradient mon sexe, et le font durcir un peu plus.
La douceur de sa bouche est un pur bonheur, je me laisse envahir par d’exquises sensations oubliant tout d’un coup la nature particulière de cette soirée.
Je la sens s’exciter sur mon sexe, ce qui me réjouit, mais je réalise que je ne suis pas le seul à l’origine son emballement. Nasser lui pince le clitoris entre ses doigts et le branle doucement, tandis qu’il la doigte de son autre main, avec deux doigts profondément enfoncés dans la chatte. Laurianne se tord sur le canapé, ayant bien du mal à me garder dans sa bouche.
Les caresses de Nasser qui la fouille depuis un moment l’ont amenée au bord de la jouissance et son orgasme explose, dans un hurlement de plaisir. Sa main s’est crispée sur ma verge, et pendant quelques secondes, elle est prise de tremblements qui la secouent de la tête aux pieds. Puis elle reprend sa fellation, aspirant mon gland comme une folle, et je ne tarde pas à jouir à mon tour, éjaculant mon sperme dans sa bouche grande ouverte.
Les jets fusent, saccadés, répandant le liquide crémeux dont elle se délecte avant de l’avaler, visiblement ravie.
Nasser s’est relevé et déshabillé, impatient de profiter à son tour des bonnes dispositions de son hôtesse. Petit et trapu, il est très baraqué, visiblement adepte de bodybuilding ou quelque chose de similaire, à en juger la puissante musculature de son torse et de ses bras. Jeannot et moi-même paraissons presque maigrichons à côté de lui.
Des pectoraux très développés, des cuisses et un fessier robustes, il émane de lui une impression de force virile, à l’image du membre qu’il branle du bout des doigts. Pas plus long que le mien, la longueur d’une main, il est, par contre, bien plus large, très renflé, avec de grosses veines et terminé par un petit gland effilé. C’est une belle pièce, massive et solide, à l’image du bonhomme.
Il s’assoit sur le canapé, invitant Laurianne à le rejoindre. Un instant, j’ai envie de lui dire qu’il doit se contenter d’une petite fellation, comme tout le monde, et qu’ensuite il faudra rentrer à la maison. Mais j’ai sous-estimé la détermination de mon épouse qui, en fait, entend profiter pleinement du solide potentiel qu’elle vient de découvrir. Résigné, je la regarde enjamber Nasser, pendant que Jeannot lui enlève son déshabillé, devenu inutile, et encombrant.
- Viens là, ma belle ! dit-il. Viens ! Tu es bien prête, maintenant, hein ?
Tenant le sexe dressé dans une main, elle le guide contre sa vulve humide, se frotte un instant sur le gland, puis se laisse glisser lentement, laissant échapper un petit cri de douleur. Elle n’est pas encore assez dilatée pour le diamètre de l’engin qui est quand même très conséquent. Elle se relève puis s’empale à nouveau sur le pieu de chair, glissant cette fois-ci un peu plus facilement.
Après quelques allers-retours superficiels, elle se laisse enfin aller, et s’empale totalement sur Nasser, lâchant une plainte sonore. Elle commence à aller et venir sur le membre épais, le dos cambré, en appui sur les cuisses de Nasser qui l’aide en lui tenant les fesses. Le rythme s’accélère, ma femme ferme les yeux, toute à son plaisir de sentir en elle ce gros pénis qui doit la remplir complètement.
- Je crois qu’elle aime ça ! me glisse Jeannot à l’oreille.
Je ne réponds pas, assistant, subjugué, à la jouissance de mon épouse qui s’empale frénétiquement sur Nasser, ondulant du bassin à la recherche des meilleures sensations.
- Ohmmm… Ouuhhhh… c’est bon ! Qu’est-ce que tu es gros Nasser ! gémit-elle
- Ah, j’ai une belle bite, hein ?
- Oui… oui !
- Vas-y, dis-le ! Allez !
- …Tu as une belle bite !
L’entendre prononcer ces mots me fait l’objet d’un électrochoc, ce n’est pas du tout son langage habituel même dans l’intimité, mais je trouve cette pointe de vulgarité plutôt excitante. J’ai presque envie qu’elle les répète, et je ne suis pas le seul car Nasser en redemande.
- Allez dis-le encore ! Dis que tu l’aimes !
- J’aime ta bite Nasser ! J’aime ta grosse bite !
Elle se penche vers lui, les mains sur ses épaules, et c’est lui qui prend le relais, la martelant à grands coups de reins, dans le claquement des cuisses contre les fesses. Je regarde, ému, le robuste membre qui, tel un marteau-pilon, défonce littéralement mon épouse, s’engouffrant profondément dans son vagin dilaté. Nasser a saisi les seins qui se balancent sous son nez et en suce les pointes brunes, aux tétons magnifiquement dressés, gorgés de désir. Ses doigts s’enfoncent dans les chairs, pétrissant avec ardeur les deux globes bien fermes.
- J’adore tes nibards… Ils sont vraiment beaux ! Tu me sens, dis ?
- Ooohh… Nasser, oui… oui… Je te sens bien ! Aaahhh ! Ouiiii !
Je pense qu’elle vient de jouir à nouveau, et cela me rend heureux, alors même que je n’en suis pas à l’origine. Une bouffée d’amour monte en moi, me submerge, j’ai une folle envie d’elle. Sans réfléchir, je me lève du canapé et m’approche d’eux.
Ma queue est dure comme la pierre, je n’ai plus qu’une envie, la plonger dans ce cul sublime qui gigote devant moi, secoué par le martèlement infernal de Nasser. Je n’en reviens pas de l’endurance de ce type et de son énergie. Qu’est-ce qu’il lui met !
Je caresse les fesses nues, appréciant la chair ferme et soyeuse, puis glisse dans sa raie jusqu’à la rosette plissée que je masse doucement, puis, salivant dessus, j’y introduis mon index, l’enfonçant en entier.
Lentement je le fais aller et venir dans l’orifice étroit, puis un deuxième, percevant le pieu de Nasser qui va-et-vient, infatigable.
J’appuie mon gland contre l’anus bien assoupli et, d’une lente poussée, je pénètre Laurianne. Elle a un petit soubresaut à l’introduction et tourne la tête, certainement pour voir qui va la sodomiser. Elle me sourit, faisant un signe de tête qui vaut accord à mon avis et je m’enfonce doucement et complètement en elle, sans marquer vraiment de temps d’attente. Cela ne m’étonne guère connaissant les qualités naturelles de dilation de son anus.
Nasser ralentit sa cadence pour me permettre de prendre place et de trouver un rythme en alternance, puis s’active à nouveau. Laurianne gémit quand je la pénètre, puis ses gémissements se transforment en cris de douleur et de plaisir mêlés, au fur et à mesure que le rythme s’accélère.
- Il est bon ton cul mon amour ! Qu’est-ce que c’est bon ! Tu nous sens bien… ?
- Ohhhh oui… vous êtes durs ! J’aime sentir vos deux sexes en moi !
- T’es vraiment bonne, toi ! s’exclame Nasser.
- Oui… c’est bon de te baiser ma chérie !
Je sens contre ma verge les va-et-vient de Nasser, de l’autre côté, ce qui est assez troublant, je dois dire, mais excitant.
- Je t’aime ma chérie ! dis-je en la sodomisant copieusement. Je veux te faire du bien !
- Oui mon amour, prends-moi !
Le rythme de Nasser s’accélère tout à coup, il se met à souffler comme un bœuf, serrant les hanches de ma femme comme un forcené.
- Ouhhh… ouhhhh ! T’es bonne ! Aahhhh !
- Oui… Oui… Ohhh, chéri… il me fait du bien !
Je sens le gonflement de son membre, une pression formidable contre le mien et sa jouissance explose littéralement, dans un formidable orgasme qui déclenche celui de Laurianne également. Dans un cri de bonheur, elle s’affale sur lui, immobile, pendant qu’il se vide les couilles en elle. Ne voulant pas être en reste, je défonce Laurianne de plus belle, qui gémit à nouveau, ma queue gonflée et bien dure venant frapper le fond de son cul. J’ai une telle envie d’elle que je ne tarde pas à jouir, déversant ma semence au plus profond de son intimité.
Quelques instants plus tard, nous nous retrouvons autour de la table, et je sers un verre, histoire de récupérer. Nous trinquons, nus comme des vers, reconnaissants de la prestation que vient de réaliser mon épouse. Jeannot lève son verre.
- À ta santé, ma Laurianne !
- Santé ! répond-elle en souriant, avant de se lever et de partir vers la salle de bains, les cuisses couvertes de sperme.
Profitant de son absence Jeannot m’exprime sa jubilation.
- Dis donc, Paul, elle a drôlement changé Laurianne ! c’est une vraie bombe ! Je n’en reviens pas.
- Et moi donc ! Je ne sais pas ce qui s’est passé.
- Elle n’aurait pas rencontré quelqu’un par hasard ?
- Non, Je ne pense pas, je m’en serai rendu compte. Cela s’est fait progressivement, et je ne m’en plains pas.
- C’est sûr, tu aurais tort de t’en plaindre !
Le calme est revenu dans la pièce, et j’espère que nos invités ne vont pas tarder à prendre congé, car je voudrais bien finir la soirée avec un peu plus d’intimité. Maintenant qu’ils se sont bien vidé les couilles ils n’ont plus de raison de rester.
Nasser s’est installé dans un fauteuil, les yeux mi-clos, il semble somnoler et Jeannot est parti aux toilettes. Quelques minutes passent, mon verre est fini. Laurianne n’étant toujours pas revenue de la salle de bain, cela m’étonne un peu et je décide d’aller voir ce qui se passe. Au bout du couloir, la porte est légèrement entrebâillée, et il me semble entendre du bruit. Tendant l’oreille, je reconnais la voix chuchotée de Jeannot :
- Putain… Laurianne ! Tu es bonne ! Qu’est-ce que j’aime te baiser !
- Ohhhh… Jeannot… Oui !
Mon sang ne fait qu’un tour, et ce que je découvre en ouvrant la porte me fait hurler :
Laurianne, penchée sur le lavabo, les mains accrochées à la vasque, jambes écartées, et Jeannot, debout derrière elle qui la baise copieusement.
- Laurianne ! C’est pas vrai ! C’est bon maintenant !
- Calme-toi ! me lance Jeannot. Regarde-la… tu ne vois pas qu’elle aime ça ! Elle prend son pied !
Dans le miroir se reflète le visage de mon épouse, et je connais bien cette expression qui la transfigure. Le regard un peu vitreux, les yeux à demi révulsés, c’est bien la jouissance qui la transporte et ses gémissements ne sont pas feints. Jeannot, que ma présence ne trouble pas le moins du monde, continue de la tringler vigoureusement, s’enfouissant voluptueusement en elle.
- Il faut te faire une raison mon vieux… Ta femme aime baiser ! Tu devrais être content qu’elle aime le cul, non ? Tiens, suce-le ! dit-il à Laurianne, très directif, cela va le calmer !
Elle se penche vers moi et s’empare de mon sexe lequel, en quelques secondes entre ses lèvres expertes retrouve une belle érection. Sa langue, vraiment extraordinaire, fait frémir mon gland, le sang afflue dans ma verge qui durcit inexorablement.
Laurianne s’excite de plus en plus, bousculée par les coups de boutoir de Jeannot, tout cela fait du bruit et finit par alerter Nasser qui débarque à son tour dans la salle de bain. Sans état d’âme, il se plante à mes côtés devant Laurianne, le chibre hérissé et le lui enfourne dans la bouche sans trop de ménagement.
Le volume de son engin est important pour la petite bouche de mon épouse qui se déforme les mâchoires pour parvenir à l’engloutir. Il faut vraiment qu’elle soit affamée pour réussir à absorber ce membre, mais elle y arrive et commence à le pomper, tout en lui pressant ses gros testicules.
- Ouais… C’est ça ! Tu suces bien, toi !
- Elle suce comme une reine, tu veux dire ! corrige Jeannot. C’est vrai qu’elle suce super bien ! ajoute-t-il en me regardant
Je confirme d’un signe de tête, admiratif de mon épouse qui avale le membre massif avec une avidité étonnante, tandis que Nasser souffle bruyamment en la regardant faire. Son sexe me paraît énorme, avec ses grosses veines qui le parcourent tout du long, et Laurianne manque de s’étouffer à plusieurs reprises quand il cherche à s’enfoncer plus loin dans sa gorge. Salivant énormément, elle va-et-vient sur la grosse bite, ses deux mains accrochées aux fesses musclées de Nasser.
Elle nous suce à tour de rôle, enfournant nos attributs avec une envie qui fait plaisir à voir, nous amenant petit à petit à la jouissance. Je ne tarde pas à l’honorer, l’abreuvant abondamment de mon nectar, ma verge plantée dans sa gorge. Jeannot finit par jouir, planté au creux de ses reins, lui noyant le vagin sous des torrents de foutre. Aussitôt remplacé par Nasser qui, sans la laisser souffler, saisit Laurianne par la taille et la pénètre d’un coup de rein puissant, en lâchant un râle de satisfaction.
- Ouais… Voilà ! ça c’est bon non d’un chien ! s’exclame-t-il en nous regardant.
Il la pilonne avec une énergie féroce, beuglant comme un animal, lui ravageant le ventre à coups de reins puissants. La sueur perle sur sa peau mate, sous laquelle se dessine une musculature impressionnante. Solidement campé sur ses jambes musclées, le fessier contracté, il révèle une virilité vigoureuse, presque sauvage, accentuée certainement par des mois d’abstinence.
Ses mains accrochées fermement aux hanches pulpeuses, j’ai l’impression qu’il plante littéralement Laurianne sur son dard, la faisant hurler de plaisir.
- Qu’est-ce que j’avais envie de baiser ! Nom d’un chien… Je te veux ! Je vais venir !
Un nouvel orgasme le submerge bientôt, et dans un cri de jouissance absolue, il explose en elle, ajoutant sa semence à celle de Jeannot. Ma femme accueille, en me regardant, cette nouvelle offrande qui déferle au fond de son ventre avec une véritable joie et je lis dans ses yeux tout le bonheur que cela lui donne. Je sais à cet instant qu’elle jouit à nouveau, comblée par cette queue massive et énergique qui sait si bien la satisfaire…
Nos invités partis, nous finissons la soirée comme nous l’avions prévue, intimement unis sous la couette, et Laurianne s’est déchaînée…
… mais c’est une autre histoire.