Se découvrir chienne....
Le supermarché
Auteur : Letourneur
C'était il y a déjà quelques années, j'aimais déjà les beaux sous-vêtements, mais comme je n'avais pas beaucoup d'argent, mes parents ne me donnaient pas beaucoup d'argent de poche, j'avais trouvé une solution pas très légal, je les volais.
Ma technique était au point, je prenais plusieurs modèles, le plus possible, je les enfilais les uns par dessus les autres, et ramenais quelques modèles dans les rayons histoire de ne pas éveiller les soupçons.
Ce petit jeu était assez excitant, ne pas se faire prendre m'amusais beaucoup.
Un jour, je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai essayé un peu plus, j'avais repéré un superbe bague dans un présentoir du super marché, je demande à une caissière d'ouvrir le présentoir, et par un habile tour de passe-passe, réussit à en subtiliser une.
Ayant peur que les vendeuses s'aperçoivent de quelque chose, je décide de la dissimuler, et comme d'habitude j'en profite pour enfiler un petit ensemble sous-tif et slip brésilien dans la cabine d'essayage.
Je déchire l'emballage, mais je n'ai pas le temps de m'attarder, un vendeuse arrive, je la dissimule dans ma culotte, bien au chaud. Je me dirige vers la caisse, paye mes quelque articles, et m'avance. Et là, une alarme se met en route, catastrophe. Me voilà repérée, dans ma précipitation, j'ai du oublier d'enlever la totalité de l'antivol. Qu'est-ce que je vais devenir ?
La caissière me demande de repasser devant le portique. Rebelote, l'alarme retentit. Elle me demande de vider mes poches, et bien sur rien n'en sort. Elle fait alors signe à un vigile, qui se dirige vers moi.
- Bonjour mademoiselle, je vais vous demander de bien vouloir me suivre !
Je le suis sans hésiter, c'est un colosse, les cheveux très courts, très musclés, et puis je n'ai pas envie de faire de scène, je suis sans doute connue, il ne faut pas que cette affaire s'ébruite, que dirait mes parents. Je le suis donc, sans broncher.
Je me retrouve dans un petite pièce, un autre vigile s'y trouve déjà, un black, encore plus grand que le premier. Tu n'as rien vu lui demande-t-il ?
- Non, rien, mais elle était du coté des sous-vêtements, je l'avais repéré, un jolie demoiselle comme elle -. Dit-il en souriant.
- Votre sac, s'il vous plait ! - Je le lui tend sans rien dire.
- Mais c'est une mineure, elle n'a que 17 ans ! -
Et oui, j'étais encore mineure. Il me dit alors :
- Comme vous êtes mineure, je vais être obligé d'appeler vos parents et la police, pour qu'il m'envoie une femme-policière pour pouvoir vous fouiller, à moins que. ! -
- A moins que quoi !- lui demandais-je.
- A moins que vous n'acceptiez que nous vous fouillons, tenez, signez-moi cette décharge, pour éviter les poursuites -.
Je m'exécute toute de suite, il ne faut surtout pas que mes parents soit au courant, il me priverait des vacances programmées avec mon copain, moi qui attend ça de puis près de trois ans, seuls pendant quinze jours quel pied ça va être. Je signe donc.
- Allez-y, déshabillez-vous ! - me dit-il, avec un sourire en coin.
Il se tourne vers son collègue et lui murmure :
- Tu filmes ? -.
L'autre acquiesce de la tête. Je fais mine de n'avoir rien entendu et commence à enlever mon pull, puis mon T-shirt.
- Tiens tiens, vous portez souvent deux paires de soutien- gorge me demanda-t-il ironiquement.
- Ben, regarde la bonne paire qu'elle a ! - dit l'autre.
Il me fit signe d'enlever mon soutien -gorge, ce que fis en lui tendant la paire subtilisée. Il regarde l'étiquette .
- Ho, du 90B, c'est du costaud, pas étonnant qu'elle se serve, il faut bien maintenir tout ça, il y a du monde au balcon, mais passons au chose sérieuse, votre jeans, s'il vous plait ! -
La encore, contrainte et forcée par la situation, morte de honte, rouge comme une pivoine, j'enlève mon jeans, mais pendant cette opération, par malheur, la bague tombe accidentellement de ma culotte. Il la ramasse.
- Les sous-vêtements, on en voit presque tous les jours, mais la bague, ça peut vous coûter cher, ma petite demoiselle -
J'enrage, je suis au bord des larmes, que faire, je suis prise comme un rat.
- Mais avant tout, vérifions qu'elle ne cache rien d'autre, à poil, maintenant ! - m'ordonna le grand black, profitant de la situation.
Mes dernières protections s'envolèrent donc, j'étais totalement nue.
- Tournez-vous et touchez la pointe de vos pieds ! - me demanda l'autre vigile, ce que je fis, il se pencha lui aussi, scrutant mon intimité.
- Quelle belle chatte, bien tondue, ça fait plaisir à voir, c 'est tout beau, frais, ça n'a pas du servir encore bien souvent ! -
Il avait raison, je n'avais que quelques expériences.
- Qu'est-ce que l'on va faire de vous, on va appeler le patron, il verra bien -.
- Au non, je vous en supplie, pas le directeur, il connaît mon père ! -
- A bon, on va s'arranger à l'amiable, ma petite, qu'est-ce que tu sais faire, est-ce que tu suces ? -
- Non, je ne l'ai jamais fait ! -
C'était vrai, mon copain me le demandait, mais j'avais toujours jusque là refuser, je trouvais ça trop dégradant.
- Et bien, il y a un début a tout ! - dit le grand black.
Joignant le geste à la parole, il déboutonne son pantalon et sors sa bitte. Elle est énorme, elle fait bien 20 cm de long, pleine de veines, je n'en crois pas mes yeux. Je me mets à genoux, et commence à sortir ma langue, et lui lèche le gland, du mieux que je peux.
- Rentre la en entier, c'est mieux ! -
J'essaie, mais elle est trop énorme, et sans faire exprès , lui met un coup de dent sur le gland. Il crie de douleur, et me jette un regard furieux.
- Tu vas voir, ma salope, me lance-t-il, assis-toi sur le bureau, et passe tes jambes, sur mes épaules -.
Il se retourne, fouille dans un sac, enfile un préservatif. Je l'écoute et prend position, il me pénètre sans ménagement, elle est vraiment énorme, il n'enfonce pas tout au départ, il me faut 2 bonnes minutes pour m'habituer à un tel engin, et là il en remet un couche, et sa bitte disparaît presque entièrement .
Petit à petit, je m'y fait, et commence même à lui faciliter la tâche, je mouille. J'apprécie qu'il aille carrément au fond du vagin, ça me provoque des décharges, et je me contracte sur sa bitte, lui augmentant son plaisir.
- Regarde, elle mouille, la petite pute, elle aime ça ma parole -
L'autre s'approche, constate les faits et commence à s'occuper de mes seins ,il les soupèse, il les malaxe, les tord, et en lèche le bout, il a vraiment l'air d'apprécier.
- Si seulement ma femme en avait des comme ça, mais non, c'est une vraie planche à repasser, pas la peine de lui offrir de sous-tifs, elle n'en porte jamais, mais elle , regarde cette gamine, à son âge, je crois rêver !-
C'est vrai que je fais des envieuses dans les vestiaires de l'école et de la piscine, il faut dire que ça facilite les choses avec les garçons, un qui me plait, je laisse malencontreusement tomber un objet, prend mon temps pour le ramasser, et observe sa réaction, s'il me souris, c'est dans la poche, il apprécie ma paire, garantie sans silicone.
Mais dans le cas présent, je préférais qu'ils apprécient moins mes formes. Le black continue, la vitesse augmente, ses couilles me touchent à chaque va-et-vient. Il souffle violemment, il sue à grosses gouttes.
- Tiens, on va essayer quelque chose me dit l'autre ! -
Le black à ce moment se retire, arrache sa capote et éjacule sur mon visage, il asperge mes seins, il est tout heureux. L'autre s'approche et me lèche la chatte, il introduit alors son doigt dans mon anus, puis un stylo. Il crache sur ses doigts, puis m'en enfile 2, puis 3. Ca a l'air de l'amuser, il continue, 2 doigts dans l'anus, et un doigt dans la vulve. Puis il se décide :
- A quatre pattes, fait le chien, je vais te prendre en levrette ma cochonne ! -
Il se met à genoux, enfile un capote, s'approche de mon anus, m'écarte les fesses avec ses mains, il tapote mes fesses avec son gland, puis, d'un coup, s'introduit en moi. Alors, la je hurle. Il me met sa main sur ma bouche, puis attrape ma culotte, et me la bourre dans la bouche.
Le va-et-vient sont lents, douloureux au départ. Mais comme pour l'autre, je m'habitue, me dilate, bien que la douleur demeure, c'est supportable. Le black ne tarde pas à bander comme un taureau, il s'approche, curieux.
- Tu veux essayer, c'est encore meilleur, c'est plus serré, c'est le pied ! -
Il s'arrête et le black prend le relais. La douleur redevient vive, la sienne c'est du XXL.
- On va innover, arrête un peu, met toi debout ! -
Il me fait mettre une jambe sur le bureau et l'autre à terre, il se place derrière moi et m'encule.
- Prend là par devant, on va tester la double- pénétration ! -
En effet le black réintroduit sa bitte dans ma chatte, et l'autre m'encule Quelle sensation, quand les deux accordent leurs mouvements je suis compressé entre leurs deux corps.
Ces 2 grosses bittes travaillent de concert. L'effet est terrible, mais je ne peux gémir, j'ai ma culotte dans la bouche, ça m'arrange bien, pas besoin de me retenir. Le deux glands se touchent presque, il n'y a qu'une fine paroi qui les sépare.
C'est l'extase, comme je ne l'ai jamais ressenti avant. Finalement ils éjaculent, l'un dans ma chatte, l'autre dans mes entrailles. Je me rhabille , ils me font cadeau de la bague et des sous- vêtements, et me disent :
- Quand tu repasseras, sers-toi, mais laisse un peu le rideau entr'ouvert, qu'on en profite, on te laissera tranquille ! -
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A tout âge....
Rien ne ce serait passé s’il y avait eu des sacs
Auteur : Sexanapal
D’abord une petite réflexion : « rien ne ce serait passé s’il y avait eu des sacs à la caisse ». Cela semble énigmatique au premier abord mais tout prendra un sens par la suite…
Avant de continuer, il me semble que je dois respecter la règle de la description de ma personne : je m’appelle Ana et je vis avec mes enfants et mon mari dans une petite ville de la région du centre.
Du haut de mes quarante-et-un ans, j’ai une vie très agréable et pleine d’amour.
Sous l’impulsion de mon mari, mes quinze années de mariage ont fait de la prude jeune fille que j’étais, une amante avide, pratiquant tout ce que deux adultes consentants et fidèles, de sexes opposés, peuvent imaginer.
Le seul bémol à ce tableau idyllique, c’est que deux grossesses et le temps me rappellent à leur souvenir par la présence de quelques kilogrammes en trop. Mais mon type latin (espagnol) et surtout mon quatre-vingt-quinze D me permettent de rendre invisible ce petit souci de poids, commun à beaucoup de femmes de mon âge.
Je précise aussi que mon mari aime que les gens se retournent sur moi donc, comme je suis légèrement exhibitionniste, je m’habille assez sexy mais toujours très correct.
Tout commence un après-midi. Je viens d’amener mes enfants à l’école et, sur la route du retour, je passe à la superette de notre village pour quelques courses. Je prends un panier en entrant et déambule entre les rayons. Je saisis ce dont j’ai besoin, remplis mon panier, enfin rien d’extraordinaire, si ce n’est la présence d’un homme dans les trente-cinq, quarante ans dont je croise plusieurs fois le regard, un regard qui essaye maladroitement de voir ce qui se trouve dans le décolleté de mon cache-cœur. Cela m’amuse énormément et je pense à mon époux qui, dans ces moments-là, m’aurait dit :
- Regarde cet homme, tu lui égayes sa journée, alors fais un petit effort pour la lui rendre inoubliable…
Cela veut dire d’en montrer plus. Mais il n’est pas là, alors… et puis zut ! Cela m’amuse de voir les efforts de cet individu récompensés, alors je décide de lui montrer ce qu’il veut voir, mais discrètement, comme si cela n’était pas fait exprès.
Sous le prétexte de refaire le nœud de mon cache-cœur, je desserre ce dernier puis, chargée de mon panier, je vais au rayon des fruits et légumes. Je fais mine de tâter les produits en attendant que mon voyeur se mette en place face à moi. Je prends, en étal supérieur, un kilo d’oranges et, dès que je suis sûre qu’il ne va rien rater au spectacle, je me penche en avant pour saisir un sac de pommes de terre, dont je n’avais nul besoin, faisant bailler mon petit haut. Je présente ainsi, à la vue de tous, ma poitrine simplement contenue dans un redresse-seins qui ne cache rien et surtout pas mes aréoles et mes tétons tendus à l’extrême par l’excitation de la situation. Et voilà un heureux de plus, du moins pour aujourd’hui.
Ma bonne action faite, je me dirige à la caisse et, entre deux « bips », je demande à la caissière un sac pour y mettre mes emplettes. Mais en vain : plus de sacs, ni en libre-service, ni payant. Elle me donne un carton vide, en guise de réceptacle, que je remplis. Je paie puis me dirige vers la sortie en laissant un petit sourire à mon voyeur qui passe derrière moi à la caisse, et qui signifie :
- Je sais ce que tu as vu…
Je retourne à mon domicile, à deux pas du magasin, chargée de ce carton qui me paraît peu fiable. Quand, à la porte de la maison, ce dernier cède par le fond et étale son contenu sur le trottoir. Je vocifère quelques mots non répétables ici, puis me décide à ramasser le tout, après avoir ouvert ma porte d’entrée pour y mettre en vrac, au fur et à mesure, ce que je ramasse.
Et si j’ai oublié, sur l’instant, que mon cache-cœur n’est plus fermé correctement, mon voyeur sortant du magasin à cet instant doit, quant à lui, s’en souvenir parfaitement.
Je suppose que l’aide qu’il m’offre alors est mue par l’envie d’en voir un peu plus. Cependant, à cet instant, moi je ne vois qu’une main secourable, bien venue, surtout pour ramasser les oranges qui, de par leurs formes, avaient pris des directions toutes opposées.
Les denrées sont maintenant étalées dans mon entrée. Je remplis mes bras de ces dernières et demande à mon « voyeur-sauveur » s’il peut en faire autant et pousser son aide jusqu’à ma cuisine. Il s’exécute, poussant même la délicatesse jusqu’à refermer la porte du talon.
Nous voilà donc dans ma cuisine et, dès que nos bras sont vides, je le remercie. Puisque c’est le début de l’après midi, je propose à mon invité de prendre un petit café avec moi. Il accepte et je mets en route la cafetière. Je lui propose de s’asseoir et, dans un long soupir du genre « Je suis bien contente que mon calvaire soit enfin fini », je m’assieds de même.
Et là, c’est un grand moment de solitude, car je découvre que mon sein droit est complètement dévêtu et que mon partenaire de café a du mal à me regarder dans les yeux. Je m’en sors par un :
- Oups ! Désolé ! Ils ne restent jamais en place, ceux là !
En refermant mon haut, tout en allant chercher le café, je resserre mon cache-cœur puis reviens, les tasses d’une main et la cafetière de l’autre.
Je pose puis remplis la tasse de mon voyeur, de même pour la mienne et je me réinstalle en face de mon invité. En touillant mon café j’essaye de créer une ébauche de conversation mais en vain, mon voisin de café reste pensif. Puis, comme un coup de fusil, me lance un :
- Je suis déçu !
- Mais de quoi donc, dis-je
- Bien moi, je l’aimais bien ce sein.
- Il est toujours là, vous savez, mais caché, comme il se doit.
- Mais je crois qu’il ne veut pas être caché car il essaye toujours de sortir comme au magasin, dans la rue et tout à l’heure, à cette même table.
Je bois mon café brûlant, juste pour ne pas avoir à répondre mais il continue :
- Si sa nature c’est le grand air, il ne faut pas la contrarier
Il tend sa main armée de sa petite cuillère vers moi et tente de dévoiler un de mes seins en la glissant sous le tissu. Surprise par cette audace soudaine, j’avale de travers mon café et profite de la toux que cela me provoque pour m’éloigner un peu.
- Mais que faites-vous ? Si vous les avez vus en trois endroits différents cela devrait vous suffire non ?
- Vus ? Non, juste aperçus et, puisque le mal est fait, pourquoi ne pas assumer ?
Il retend son bras vers moi pour, à nouveau, essayer d’écarter mon décolleté et, encore une fois, je fais un mouvement vers l’arrière juste pour que ses doigts ne puissent que frôler le tissu, aidée en cela par la largeur de la table
- Il est une chose que de montrer ses charmes malgré soi, il en est une autre que de se les faire dévoiler. Je vous demande donc de ne plus essayer, répliqué-je
- À nouveau je suis déçu, me répondit-il, ils sont si… appétissants.
Je me sens gênée mais émoustillée par cette demande venue de la bouche d’un inconnu. Puis, comme ça, sans même réellement le décider, je mets mes mains dans mon dos, saisis le nœud de ma tenue, le défait puis écarte les pans de tissu et libère complètement ma poitrine
- Ainsi, vous pourrez peut être boire plus sereinement votre café, dis-je d’un ton sec, vous voici libéré de votre déception ?
- En effet et je vous remercie de ce spectacle, jamais café ne fut plus agréable à boire et, si j’en crois vos tétons, cela ne vous est pas non plus indifférent ?
Il retend à nouveau la main et, avec sa petite cuillère, il me frôle un téton. C’est étrange comme sensation et un frisson me traverse le corps. Mais, juste le temps de me remettre, la cuillère fait place à un doigt, puis à une main et enfin les deux. Mon voyeur est en train de me peloter délicatement. Il se lève, se glisse derrière moi et reprend son ouvrage.
Je suis pétrifiée, je ne peux plus ou ne veux plus bouger. C’est si inattendu et si agréable que j’en ferme les yeux. Cela dure un petit moment mais un souffle chaud puis des lèvres brûlantes posées sur ma nuque indiquent qu’une nouvelle étape est franchie et, à nouveau, un frisson me fait sursauter.
Il me retourne avec ma chaise puis, de sa langue, me caresse un téton puis l’autre.
Ce n’est pas la première fois que l’on me fait cela, ce n’est même pas original cependant, plus que l’acte, c’est la situation qui m’excite de plus en plus et je ne cesse de me poser la question : « jusqu’où pourrais-je aller ? » La réponse ne tardera pas à venir.
Il se relève, me prend les mains, me les pose sur la bosse que forme son sexe dans son pantalon. Je le caresse donc au travers du tissu puis je déboutonne un à un les boutons de son jean, pour plonger ma main sous son caleçon et en sortir un sexe qui montre une érection plus qu’honorable. Je caresse, soupèse puis masturbe mon invité, refusant ses demandes de fellation, surtout sans protection, on ne sait jamais.
Alors que mon « voyeur-sauveur-tripoteur » s’en donne à cœur joie, il est surpris puis pris de panique en entendant la porte d’entrée s’ouvrir, accompagnée d’un grave et fort :
- Chérie, je rentre plus tôt, où es-tu ?
C’est mon époux qui, dès qu’il le peut, finit son travail plus tôt.
- Ça sent le café ! Tu m’en sers une tasse, le temps que je me déchausse ?
Mon invité surprise est paniqué. En nous rhabillant, je lui demande de se calmer et lui dit que mon mari est un être très compréhensif. Il espère réellement que ça soit véridique surtout quand ce dernier fait irruption dans la salle à manger avec son mètre quatre-vingt, ses cent dix kilos et ce regard intimidant que possèdent les mâles dominants.
- Bonjour mon amour. Tu rentres tôt, aujourd’hui ?
- Et oui, mais quand j’ai plus rien à faire, je suis aussi bien ici
Et, se tournant vers l’inconnu qui essaye de se cacher derrière sa tasse à café.
- Tu ne me présentes pas ton invité ?
- Si, si, bien sûr, je te présente l’homme qui a sauvé mes courses, victimes d’un carton peu résistant. Monsieur… ?
À cet instant je réalise que j’ai branlé un homme dont je ne connaissais pas le nom.
- Nicolas, je m’appelle Nicolas, mais je ne suis en rien un sauveur, votre femme exagère.
Et là, sans réfléchir je sors une énormité :
- Oh si ! Vous êtes un sauveur, vous avez empêché la fugue de mes oranges ainsi que celle de mes seins.
Et là, un silence pesant se fait sentir mais mon mari, dont la perspicacité est impressionnante, a relâché la pression avec ces simples mots :
- Tu as encore remis ce cache-cœur qui laisse sortir tes seins à chaque fois qu’il se desserre ? Tu dois le faire exprès. En tout cas, j’espère que monsieur Nicolas en a bien profité ! Cela t’apprendra, tiens !
Suite à ses mots, il me rejoint dans la cuisine où j’étais partie lui réchauffer son café et me demande de lui raconter brièvement ce qui s’est passé, à l’abri des oreilles de Nicolas. Chose que je fais. Mon mari me prend dans ses bras comme pour me rassurer et me faire comprendre que cela n’est pas grave puis il me sourit et me répète ce qu’il m’avait déjà dit auparavant, mais ce jour cela prend tout son sens :
- Le jour où je t’ai épousée, de toi je n’ai pris que les sentiments en te donnant les miens en échange. Tout le reste, qui fait de toi que tu sois toi, t’appartient et sans limite. Tes envies, tes désirs, tes phantasmes, voire même tes pulsions te sont propres. Si tu me les fais partager alors tant mieux pour moi, sinon pourquoi devrais-je te les interdire et de quel droit ? Notre mariage n’est pas une prison pour ton corps et ramener notre histoire commune à une histoire de fesses serait réducteur. Pour être trivial, ton cul t’appartient et tu en fais ce que tu veux. Moi je ne veux et ne souhaite que l’exclusivité de ton amour, le reste je m’en fous, tant que cela se fait en respectant notre famille. Je fais la différence entre faire l’amour et une partie de baise. Mais là, j’avoue que je ne m’y attendais pas ! Veux-tu que je te laisse seule avec ce Nicolas ? Veux-tu que je reste, ou veux-tu arrêter ?
- Je ne sais pas, c’était si envoûtant et puis maintenant que tu es là, le pauvre, il va vouloir partir je crois…
- Je m’occupe de cela. Installez-vous dans le salon, j’arrive de suite.
Pascal, mon mari, sort de la maison sous un tonitruant :
- Je reviens !
Quant à moi, sans dire à Nicolas que Pascal savait tout, je nous installe dans le salon, lui demandant s’il est pressé.
- C’est-à-dire que je ne voudrais pas à avoir à subir la fureur de votre mari alors je crois que je vais partir maintenant… Désolé pour tout ça… Je…
- Non, monsieur Nicolas…
- Heu ! Juste Nicolas.
- OK ! Nicolas, si vous partez, il va se douter de quelque chose, c’est sûr.
Sur ces mots Pascal entre de nouveau dans la maison et s’assied avec nous.
- J’ai dû aller au distributeur d’à coté, je suis désolé. Bon, où en étions nous ? Ah oui, vous êtes Nicolas ! Moi c’est Pascal, le mari d’Ana… Alors, mis à part le sauvetage fruitier et l’observation de nibards accidentellement dénudés que faites-vous dans le coin ? Vous êtes nouveau au village ?
- Heu non, je suis juste de passage. Je suis venu voir un nouveau client pas très loin d’ici et je me suis arrêté pour acheter de quoi me faire un sandwich à défaut de trouver un restaurant qui serve encore à cette heure.
- Et vous avez d’autres clients à voir aujourd’hui ?
- Heu, non, j’ai le reste de ma journée.
- Eh bien nous avons de la chance d’avoir des boulots qui nous laissent le temps de respirer, n’est ce pas chérie ? Mais cela veut dire que vous avez le temps de finir ce que vous faisiez avant que j’arrive et je ne parle pas du café bien sûr !
Je deviens écarlate et le pauvre Nicolas est K.O. debout. Il balbutie :
- Je ne comprends pas Monsieur, ce que vous dites par là…
Pascal ouvre mon cache-cœur, sort mes seins et, tout en les caressant :
- Il ne faut jamais laisser une femme se refroidir et j’ai bien vu que la mienne était très chaude à mon arrivée. Regardez comme ses seins sont excités à l’idée de reprendre où vous en étiez. Et puisque vous avez le temps, alors…
- Cela me gène, monsieur.
Alors, à ce moment, je dis à Nicolas de s’approcher. Il hésite et, bien que je sois pelotée par mon mari, c’est ce dernier que Nicolas regarde avec une crainte visible dans le regard. Quant à moi, cette situation m’excite terriblement et, contrairement au début de cette histoire, je décide de ne plus être passive et de devenir le chef d’orchestre de la suite.
J’embrasse passionnément Pascal, lui caressant le sexe au travers de son pantalon, puis je me lève le torse nu, ne portant que mon redresse-seins. Je m’approche de Nicolas et je me penche vers lui pour que mes seins lui touchent le visage. Je lui caresse les lèvres avec les tétons puis, m’agenouillant devant lui, je déboutonne de nouveau son pantalon, sors son sexe qui est moins en forme que quelque minutes auparavant, et je commence à le masturber.
- Voila chéri, où nous en étions avant que tu n’arrives.
Sous mes caresses le sexe repris sa forme d’avant et même peut-être plus encore. Je demande au propriétaire de cette bite de s’avancer sur le fauteuil pour plus de confort, quand un sachet de préservatifs atterrit sur le sol près de moi. C’était le fameux retrait au distributeur de Pascal.
Je le prends, l’ouvre et en enfile un sur le sexe de Nicolas. Puis j’entreprends une fellation magistrale, je m’amuse à sucer cette bite, j’y prends même du plaisir. Entre deux succions, je regarde Pascal qui ne rate rien du spectacle et, pour l’exciter un peu plus, je relève ma jupe afin qu’il puisse avoir une vue imprenable sur mes bas et mes fesses et surtout sur ma main qui écarte mon string pour mieux me caresser. Nicolas s’est détendu, cela se sent et il me prend par la tête pour imposer son rythme.
Mais c’est hors de question, c’est moi qui tiens la baguette et je lui fais comprendre. Quand cette bite est suffisamment lustrée par ma langue, je me lève et je me déshabille au milieu de la pièce. J’embrasse à nouveau passionnément Pascal et retourne m’empaler sur la bite de Nicolas. Je suis tellement mouillée qu’elle entre sans difficulté. Je me fais baiser par un homme rencontré à peine une heure avant, et je le fais en regardant mon mari dans les yeux. Je sens l’orgasme monter mais je veux voir mon mari en train de me regarder jouir et je lutte pour garder les yeux ouverts au moment le plus fort. Mais en vain, c’est trop fort. J’ai souvent des orgasmes avec Pascal mais là c’est énorme.
Habituellement, après avoir joui, je me sens vidée de toute énergie mais là, non, j’en veux encore ! Alors, encore embrochée sur la bite de notre invité, je demande à Pascal de venir et dès qu’il est près de moi, je lui sors son sexe de sa cage de tissu et commence une fellation en rythme avec les va-et-vient de mon bassin.
Puis je demande à Pascal de se coucher par terre, bite en l’air ; cela fait, je quitte le sexe de Nicolas pour la bite si familière de mon époux. Je fais l’amour avec mon homme sous les yeux d’un autre et cette pensée décuple mes sensations.
Puis j’appelle Nicolas pour que je puisse le sucer de nouveau. Je me sens libre. À ce moment, je fais ce que je veux et la barrière dressée par mon éducation vole en éclats. Je suis enfin en phase avec ce que je suis et ce que mon mari avait depuis longtemps décelé en moi.
Je lâche la bite de Nicolas non sans avoir inondé de salive la capote qui la couvre et, en le regardant dans les yeux et sur un ton d’une autorité que je n’avais jamais eu, je lui dis :
- Encule-moi vite !
Étonné, puis envouté par cette demande, Nicolas se place derrière moi et m’encule avec une telle facilité que j’en suis presque déçue. Mais pas longtemps, car les mouvements de ces deux bites ont vite fait d’enflammer mon corps tout entier et l’orgasme qui suit est tellement intense que je n’arrive plus à contenir mes cris. Puis, juste au moment où je me relâche, dans un râle je sens venir Nicolas dans mon cul. Enfin, c’est le tour de Pascal. De les sentir jouir en moi, ça me redonne un orgasme qui, quoique moins fort que le précédent, finit de m’achever.
Je reste là, inerte, sur le sol alors que Pascal raccompagne Nicolas à la porte en lui disant :
- Je crois que pour toi aujourd’hui c’étais ton jour de chance ! Allez ciao ! Et encore merci pour elle…
Il revient vers moi et me dit :
- Lève-toi, prends une douche ou un bain, et repose-toi. J’irai chercher les enfants.
Je fais ce que Pascal me dit mais, au lieu de me reposer, j’accueille les enfants comme si de rien n’était. Je reprends le cours normal de ma vie, mais plus légère d’un poids.
Je suis plus libre dans ma tête que jamais, et j’ai pu découvrir ainsi l’énorme liberté que me laisse mon mari, liberté et que dorénavant je compte utiliser.
De temps en temps…