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Histoire du net. Auteur: Alix. Le café

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Bien servir le ou la cliente est primordiale...
N'oublions pas que le client est roi....
Ou à notre dispos lol!

 Le serveur arrogant
Elle était venue à l'heure creuse, vers 15h. "C'est encore possible de manger? -Bien sûr, vous êtes toute seule?
-...oui.
-Suivez moi."
Le serveur l'avait installée à une petite table, présenté la carte. Manger seule, "toute seule" au restaurant, la mettait mal à l'aise, mais de passage pour le travail, elle avait préféré le restaurant au sandwich trop vite avalé sur un banc..
"Bon appétit." La formule convenue est prononcée sans emphase lorsque le serveur pose négligemment son assiette sur la table. Il y a un gros homme seul qui mange bruyamment à l'autre bout de la petite salle déserte. Tagliatelles carbonara. "On aurait dû s'inviter à manger ensemble." pense-t-elle, un sourire moqueur sur ses lèvres.
Le serveur a surpris ce sourire. "Merde." Elle baisse instantanément les yeux. Voilà qu'elle se met dans une situation embarrassante maintenant.. Lui reste de marbre, adossé au bar les bras croisés. "Dieu sait ce qu'il s'imagine...oh et puis merde, s'il le faut il n'a rien vu du tout."
Elle est plutôt du genre discrète, du genre à avoir peur de déranger.
Employée de bureau, mariée, la quarantaine qui darde son vilain nez. Elle avait essayé de convaincre son patron de l'inutilité de ce stage de formation.. et la voilà perdue dans cette ville qu'elle ne connait pas, cette salle de restaurant quasiment vide, le bruit de sa propre mastication qui la gêne.. et ce serveur qui la fixe maintenant, décontracté jusqu'à l'arrogance.
Elle décide de porter son attention sur son morceau de pain, sa serviette en papier, l'écran de son portable.. et se surprend à penser à ce serveur mal aimable. "Il doit avoir 30 ans, peut être pas encore." Il recommence ses allers et venues entre les tables, une moue sur son visage. "Il pense que je le matte... mon dieu comme c'est ridicule."
Mine de rien, elle le matte à présent. Pas très grand, les cheveux noirs de jais et le teint mat. Ses yeux s'agrandissent quand elle remarque un "sacré beau cul" sous le pantalon noir de service. Posté à la porte vitrée, dos à elle, les mains sur les hanches, on dirait qu'il fait exprès de lui présenter ses belles fesses rebondies, son dos et ses épaules dessinées sous sa chemise grisâtre; dans sa tenue de travail banale à pleurer, il est foutrement beau!
Il se retourne vers elle, s'avance avec une expression suffisante sur le visage.
- Madame n'a besoin de rien?
- Euh non, tout va bien!"
Il s'éloigne mollement et elle se recentre sur sa salade qui manque de vinaigrette, sa carafe presque vide, "et puis il n'était pas censé y avoir des anchois dans cette foutue salade?" Elle est contrariée, ce petit con a réussi à lui faire perdre ses moyens. Dès qu'il revient, elle lui demande une carafe d'eau!
Le gros client appelle, le serveur se penche en avant sur sa table pour l'écouter, son cul joliment en évidence, puis débarrasse et part vers la cuisine.
- Excusez-m.."
Trop tard il a disparu. A son retour il apporte une assiette de profiteroles surmontés de chantilly, la pose en la laissant claquer sur la table.
- Garçon!"
Son estomac se serre quand il la transperce de ce regard noir qu'ont les hommes du sud.. et puis sans qu'elle sache pourquoi cette façon un peu désuète de l'interpeller l'a excitée..
"Madame?
-J'aimerais avoir un peu d'eau s'il vous plait.
-Tout ce que vous voudrez madame... Vous avez terminé?
-Oui.
-Un dessert peut être?"
Elle réprime un rire nerveux. "Bon calme toi, tout ça est ridicule" s'alarme-t-elle.
- ...euh..
- Je vous apporte la carte.
- Euh d'accord."
Après lui avoir tendu la carte des desserts, il sort sur le trottoir fumer une cigarette. Elle l’observe ; il s’adresse en riant au gars de la boutique voisine, promène son regard sur les passants, les passantes… et elle sent sa gorge se serrer étrangement, comme si elle était jalouse.
Cinq minutes plus tard il rentre.
- Alors, qu’est-ce qui vous ferez plaisir ? »
Elle sent l’odeur de a cigarette mêlée à son parfum, un parfum épicé et un peu trop fort. Ses genoux se frottent l’un contre l’autre sous la table.
- Juste un café s’il vous plait.
- Un café okay.
- Et les toilettes s’il vous plait ? demande-t-elle un peu trop brusquement.
- A l’étage. »
En baissant sa culotte elle se rend compte de l’auréole humide et transparente sur le tissu. Elle se sent rougir, fronce les sourcils.
Elle sort des toilettes, se lave les mains, le regard dans le vide. Elle le fait lentement, comme si elle attendait qu’il se passe quelque chose… là dans ces chiottes de restaurant modeste, dans cette ville loin de la sienne, là dans sa vie bordel !
Mais il ne se passe rien, elle se sèche les mains, tire la porte.
- Excusez moi !
Le garçon pousse la porte violemment, la forçant à reculer pour ne pas être assommée. Il referme derrière lui, dégrafe son pantalon sans prêter attention à elle.
Elle, interloquée, se demande pourquoi il n’attend pas d’être dans la cabine pour baisser sa braguette. Mais il la baisse devant elle, ainsi que son pantalon et son caleçon. Elle reste figée quand il pose enfin son regard insolent sur elle, prend son sexe au repos dans sa main et décalotte son gland.
- Excite moi maintenant. »
Son cœur bat douloureusement dans sa poitrine.
- Allez ! Ca fait une heure que t’en meures d’envie, viens là !
-…
-Viens là ! »
Elle essaye de réfléchir, affolée :
- C’est une blague ou quoi ?? »
Elle va obéir puis il va la repousser, rire aux éclats…
- Allez ! »
En deux pas il a son visage presque collé au sien ; plus que sa main puissante sur son épaule, c’est son regard noir qui lui ordonne de se baisser.
A genoux sur le carrelage, elle ne le quitte pas des yeux, le souffle coupé. Il touche négligemment sa joue avec son pénis. « C’est maintenant ou jamais. » Est-ce lui qui a parlé ou son esprit qui s’agite ? Là maintenant, le sol dur sous ses genoux, l’odeur de ce sexe si prés de son visage, elle ne sait plus comment elle en est arrivé là ; est-ce vrai qu’elle en meure d’envie depuis une heure ? … en tout cas maintenant c’est vrai.
Elle ouvre la bouche craintivement, goûte le bout de son gland, avance ses lèvres sur cette peau veinée et douce ; ses lèvres sont sèches, elle les mouille avec sa langue. Il enfonce son sexe dans sa bouche.
- Avale la pendant qu’elle est à demi molle. »
Elle s’exécute, sent le gland qui s’écrase contre les parois de sa gorge. Elle reprend sa respiration avec difficulté ; il lui colle son pubis contre le nez, et soudain force sa gorge, qui aspire pendant une seconde le bout de sa bite. Un spasme soulève la poitrine de la femme, il se retire instantanément.
- Putain tu m’as avalé la teub. »
Elle n’en revient pas, elle n’avait jamais senti un pénis pénétrer sa bouche aussi profondément. Elle en veut encore.
C’est elle cette fois qui vient chercher son sexe et l’aspire à fond ; mais le membre a déjà doublé de volume, impossible de pousser le gland nouvellement rigide contre sa glotte. Un spasme survient pour la deuxième fois, elle le repousse puis se laisse forcer la bouche de nouveau.
Il vient taper au fond, elle ne parvient plus à avaler sa salive qui commence à goutter à chacun de ses va et vient.
- J’aime comme tu me trempes la bite. »
Il accentue ses mouvements en lui tenant la tête, et alors qu’elle s’habitue à ce traitement, lui écrase les narines entre son pouce et son index.
- T’aime te faire baiser la bouche comme ça ? »
Suffoquée elle tente de reculer sa tête mais il empale toujours plus loin son membre en la tenant fermement. Il se retire enfin, elle tousse en lui lançant un regard plein de reproches. Au maximum de son érection, son sexe est vraiment beau, long et volumineux, une grosse veine le parcoure tel un serpent. Le jeune homme la saisit par le bras, la relève énergiquement.
Il soulève sa robe et glisse doucement ses doigts dans sa culotte.
- T’es toute mouillée ! » dit il dans un souffle. Tu sens comme ton clito est gonflé ? »
D’un gémissement elle acquiesce. Il lui baisse son sous vêtement, mais elle serre soudain les genoux.
- Mais le client en bas ?!
- Je m’en bats les couilles répond il sèchement en la poussant contre le meuble.
- Retourne toi ! Reste comme ça ! »
La poitrine écrasée entre les deux lavabos, elle observe son reflet à quelques centimètres de son visage. Le visage hagard, les lèvres usées de la fellation qu’elle vient de prodiguer à un inconnue ; elle se trouve plutôt belle comme ça. Il retire complètement son pantalon qui était resté à ses chevilles, enlève sa chemise. Complètement nu, il a un corps viril, des tatouages que son uniforme dissimulait. « Oui… un corps fait pour être nu. »
Il s’approche d’elle, glisse ses doigts entre les lèvres de son sexe, tâte son clitoris dur et sensible. Il colle son gland contre l’ouverture de son vagin, l’enduit de sa cyprine.
- Tu veux que je te la mette ? »
Elle est gênée qu’il lui parle aussi vulgairement ; elle, elle a toujours fait l’amour dans le respect mutuel, la discrétion et
- ...
- Tu veux ?
- Oui. »
Le gland s’enfonce doucement dans son vagin, qui s’écarte progressivement pour laisser entrer cette belle bite dans son entier. Elle gémit, elle n’a pas l’habitude de cette position qui la rend complètement ouverte.
Il commence ses va et vient, alterne les pénétrations profondes et les allers et venues rapides du bout de son gland dans l’entrée de son vagin ; il joue littéralement avec sa chatte. Elle a l’impression que son vagin attendait d’être rempli de la sorte, elle se cambre pour accueillir cette bite encore plus loin.
Soudain il lui soulève une jambe dont il pose le genou sur le rebord du lavabo. Elle sent qu’elle est baisée à fond ; son clitoris semble sur le point d’exploser.
Elle se met à gémir de plus en plus fort ; l’assurance de ce jeune homme lui donne les moyens d’oublier la gène, le client en bas, le cuisinier ou dieu sait qui d’autre qui pourrait l’entendre.
Dans le miroir elle admire le corps de son amant, dont les muscles se contractent sous la peau hâlée, son visage crispé par l’effort et le plaisir ; il aime profiter d’elle ; elle regarde alors les courbes de son propre corps, apprécie de voir ses seins, comprimés contre le carrelage, trembler à chaque coup de rein ; et sa peau luisante de sueur irradie comme jamais. Elle gémit, tour à tour langoureuse et plaintive, elle s’imagine actrice dans les bras d’un jeune premier. Dans un film très salace.
Soudain il se retire, reprend son souffle. Elle sent qu’il aurait pu jouir l’instant d’avant.
« - Mets toi par terre. »
Elle obéit sans un mot.
« Non, à quatre pattes. »
Là elle n’a plus le miroir pour observer les gestes du jeune homme, elle attend, se surprend à vouloir qu’il retourne en elle le plus vite possible. Quand elle sent qu’il s’agenouille derrière elle, elle cambre son dos sans même s’en rendre compte, offrant sa vulve à son bon plaisir.
- J’ai vu ta bague. T’es mariée ?
L’évocation inattendue de son mari lui pince le cœur.
- …Oui, depuis 14 ans.
- Tu aimes baiser avec lui ?
- …Oui… c’est différent.
- Est-ce qu’il te doigte le cul ? »
Alors qu’il l’interroge froidement, il se met à frotter doucement son gland contre sa chatte, elle ne sait s’il faut couper court à ces humiliations verbales ou tendre un peu plus son sexe pour s’empaler encore sur sa verge.
Il caresse maintenant de ses doigts son clitoris trempé, garde sa pine collé contre l’entrée de son vagin ; chaque fois qu’elle se cambre presque inconsciemment pour l’avaler, il se recule légèrement pour empêcher la pénétration. Alors, tout en gardant cette position, il pose simplement son pouce mouillé sur son anus fermé.
Elle esquisse un frisson, puis inspire violemment lorsqu’il enfonce ce pouce dans les plis de son cul en murmurant :
- Alors, Il te doigte le cul ton mari ?
- …N-non !
- J’ai très envie de t’enculer maintenant.
- Non !
- T’inquiète pas, tu mouilles tellement que ça va passer comme dans du beurre.
Alors qu’il prononce ses mots, il enduit sa bite avec sa cyprine, qui effectivement dégouline entre ses cuisses, et colle son gland à l’entrée de sa rondelle craintive ; elle veut serrer les fesses, il pose sa main dans son dos et le caresse avec douceur ; ce contact la rassure, pour la première fois il fait preuve de tendresse, alors même qu’il s’apprête à la sodomiser sur le sol des chiottes. Ce garçon la déroute.
La pointe de son pénis appuie sur son anus qui résiste et s’enfonce sur lui même ; puis l’un et l’autre ressentent ensemble le moment de flottement où le sphincter commence à céder, et suce comme une bouche le gland qui s’avance lentement, jusqu’à l’avaler.
Elle expérimente pour la première fois l‘agréable et désagréable sensation de son cul autour d’une pine dure comme du bois ; elle en a le souffle coupé, les jambes en coton ; il continue de caresser son dos de sa main chaude, et avec l’autre écarte une fesse pour profiter de la vue de son sexe enfoncé dans ce cul.
- C’est juste mon gland, là tout va tout prendre. »
Il avance, avec lenteur mais fermeté, dans les plis successifs de son rectum, qui résistent puis cèdent. Elle se crispe, pousse un cri plaintif.
- Putain j’y suis jusqu’aux couilles, je vais te les faire claquer contre la chatte tu vas voir. »
Un tremblement discret dans sa voix trahie son extrême émotion.
Il commence alors ses va et vient, très doucement, crache sur sa bite pour la rendre encore plus glissante.
- Putain c’est bon ton cul tout serré sur ma teub ! »
Il se met à la limer, retire toujours sa bite presque en entier pour ensuite l’écraser profondément dans son cul.
- Je vais tellement te casser le cul ! Je vais te dilater au maximum ! »
En effet elle se détend de plus en plus, sent la douleur laisser la place à un plaisir très singulier. Elle a laissé son torse et sa tête reposer complètement sur le sol et ses genoux. Elle se sent n’être plus qu’un cul.
Toute sa sensibilité se loge à présent dans cet endroit pourtant inexploré le moment d’avant. Elle lâche dans un soupir voilé :
- Démonte moi s’il te plait…
- T’aimes ça hein ? - …
- Dis le !
- J’aime ça.
- T’aimes quoi ?
- Ca… J’aime que tu m’encules…
- Dis le encore !
- J’aime… J’aime que tu m’encules à fond ! J’ai envie que tu me démontes, j’ai envie que tu te fasses du bien avec mon cul ! »
Il accélère ses mouvements et la pénètre violemment, martèle son anus ; et elle sent ses couilles claquer contre sa chatte tendue.
- Oh ça oui, je me fais du bien ! »
Il l’écrase de plus en plus et ils glissent tous deux toujours plus bas sur le sol. Elle ressent alors l’envie irrépressible de se caresser, trouve son clitoris énorme compressé entre ses lèvres, et le masse. Sa tête tourne :
- Bordel qu’est ce que c’est bon !
- Oh putain oui ! Oh putain je te baise le cul à fond salope ! »
La déferlante monte en elle, les terminaisons nerveuses de son anus, de son clitoris et de son vagin, semblent prendre feu. Elle hurle de plaisir : le plaisir de sentir son doigt trempé sur son clito, le plaisir frustré de son vagin qui happe le vide, celui de son cul éclaté sur une bite magnifique.
Les spasmes de son rectum avancent la montée de son amant, qui pousse un cri de détresse et de soulagement. Il se laisse tomber sur elle, trempé de sueur, le souffle court, puis l’attrape doucement par les flancs pour la faire basculer sur le côté. Sans qu’il se retire, ils restent 5 minutes blottis l’un contre l’autre.
Au moment où il quitte enfin son intimité, ils poussent tous deux de longs soupirs.
Quand ils redescendent, les jambes flageolantes, le gros client a disparu.
- Le salopard… enfin… perdre un client pour gagner une cliente, c’est de bonne guerre. Alors, Madame, votre appréciation du service ?
- La bouffe est pas terrible. »
Auteur:Alix au pays des merveilles.

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