Suite de cette chronique
d'une collaboratrice dévouée
et un peu bêta quand même
Mon N+1
Fin
Cela faisait maintenant plus de deux semaines que mon enfer avait commencé. Chaque jour mon patron en exigeait un peu plus, chaque jour il me faisait descendre un peu plus profond dans l’abjection. Il me forçait à me masturber tellement souvent que j’en étais épuisée, et excitée en permanence. Je continuais à le sucer chaque jour et il y prenait toujours autant de plaisir, variant le final pour m’humilier toujours un peu plus.
Une fois par exemple j’ai du ramasser le sperme sur mon visage et en enduire mon anus, ensuite faire pénétrer un puis deux et finalement trois doigts le plus loin possible dans mon rectum. Il m’a forcée à faire aller et venir mes doigts à l’intérieur. Ce manège a duré de longues minutes et je sentais mon petit trou s’élargir peu à peu, mes doigts coulissaient de plus en plus facilement et allaient de plus en plus loin. Ensuite j’ai du sucer mes doigts pour les nettoyer pendant qu’il prenait des photos.
Il m’a également photographiée à genoux, de dos, cambrée et les cuisses ouvertes le plus possible, pendant que j’écartais mes fesses largement à deux mains pour montrer mon anus béant. Le lendemain quand j’ai collé cette photo dans l’album j’ai pu constater à quel point j’étais ouverte, le cul défoncé par le va et vient de mes doigts. Je n’aurais jamais imaginé être aussi extensible, moi qui n’avait essayé la sodomie que deux fois, sans en retirer vraiment de plaisir.
En rentrant chez moi le soir je n’avais plus le courage de rien faire, je prenais un bain et j’allais me coucher, mais mon sommeil était troublé presque chaque nuit par des cauchemars érotiques qui me réveillaient en sursaut, haletante et bien évidemment trempée de mouille. Je me caressais alors frénétiquement et cela me faisait retomber dans le sommeil jusqu’au matin.
Un soir après le départ des autres employés (il m’avait interdit de quitter le travail sans sa permission) je l’ai vu arriver dans mon bureau. Jusqu’à maintenant il m’avait toujours fait venir jusqu’à lui et cela m’a surprise.
Il m’a fait mettre complètement nue et m’a expliqué que puisque j’étais aussi nulle en compta j’allais compenser en faisant un peu de ménage. Sur ce nous sommes sortis de mon bureau et avons emprunté le couloir qui traverse tous les locaux.
Je marchais devant lui et ça me faisait vraiment un drôle d’effet de traverser la boîte toute nue avec mon patron qui matait mes fesses. Nous sommes arrivés au bout du couloir, devant la porte des toilettes des hommes, et il m’a fait entrer. Il a ouvert la porte d’une cabine et m’a fait agenouiller devant la cuvette.
A la fin de la journée c’était vraiment sale, il y avait de la pisse sur la cuvette et autour, et des traces brunes le long des parois intérieures. Le sol était collant d’urine séchée sous mes genoux, ça puait et j’en avais le cœur soulevé, le visage vingt centimètre au dessus de la lunette. J’ai levé les yeux vers lui d’un air suppliant mais tout ce à quoi j’ai eu droit c’est son sourire ironique.
- Vous allez pouvoir commencer à nettoyer, m’a-t-il dit, mais avant il faut que je vous donne votre matériel ».
Et il a sorti de sa poche une éponge minuscule qu’il avait du recouper lui-même. En effet elle mesurait au maximum trois centimètres de long sur deux de large !
- Allez, montrez moi comment vous allez rendre cet endroit aussi propre que vous auriez souhaité le trouver en entrant » a-t-il ricané en me tendant le bout d’éponge.
Je l’ai attrapé mais j’étais obligée de le tenir du bout des doigts tellement il était petit. Comme je ne réagissais pas il m’a donné une grande claque sur les fesses et j’ai du obtempérer. Je fus obligée de me pencher pour nettoyer la cuvette et les odeurs puantes m’enveloppèrent immédiatement.
L’éponge était de taille si réduite que je nettoyais quasiment avec mes doigts et pour couronner le tout je l’ai fait tomber plusieurs fois dans la cuvette et j’ai du la récupérer en plongeant la main dans le mélange d’eau et de pisse. J’ai l’impression d’être restée des heures à genoux devant ce chiotte dans les odeurs immondes, à nettoyer toutes les traces qui tapissaient la faïence.
Quand j’ai eu fini je pensais que je ne me débarrasserais jamais de cette odeur, j’avais les doigts rouges d’avoir frotté, et maculés de saleté bien sûr. Alors il m’a fait appuyer les avant bras sur la lunette, ce qui m’a fait tendre les fesses en arrière. J’ai du écarter les genoux et j’ai senti sa main se faufiler entre mes cuisses et remonter vers mon minou qu’elle a commencé à caresser doucement.
Après l’épreuve du nettoyage j’étais au bord des larmes, de honte, d’impuissance et de fatigue de cette position inconfortable, et j’étais presque reconnaissante de la caresse qu’il me prodiguait.
Comme d’habitude j’ai commencé à mouiller tandis qu’il triturait mon bouton et frottait entre mes grandes lèvres. Sa paume écrasée sur ma fente m’ouvrait de plus en plus et je sentais le plaisir monter en moi. Il s’est arrêté juste avant que je jouisse, me laissant sur ma faim.
Mais je l’ai entendu déboucler sa ceinture et tout à coup j’ai senti son ventre contre mes fesses et tout de suite sa queue chercher mon entrée, et pénétrer d’un seul mouvement mon minou. Il s’est mis à aller et venir lentement en moi, je me suis mise à gémir sans pouvoir m’arrêter et de plus en plus fort.
J’étais toujours penchée en avant, la tête presque dans la cuvette, et mes gémissements résonnaient bizarrement. En continuant à me besogner il a attrapé mes seins, a entrepris de les caresser. Il a saisi les pointes entre ses doigts et les a pincées et tordues doucement, sans me faire mal. Je n’en pouvais plus et j’ai joui dans un grand cri.
Il a accéléré ses mouvements pendant mon orgasme et il s’est vidé longuement dans mon ventre. Il s’est aussitôt relevé et reboutonné, tandis que je restais écroulée sur la cuvette, le vagin débordant de sperme et assommée par la jouissance.
J’ai fini par tourner la tête vers lui et j’ai vu qu’il tenait ma petite culotte à la main. Il avait du la prendre avant de sortir de mon bureau et comme il avait toujours été derrière moi je ne m’en étais pas aperçue. Profitant de ma position il passa de nouveau la main entre mes jambes et se mit à essuyer son sperme qui coulait de mon ventre. Il épongea le jus épais puis remonta entre mes fesses et comme la première fois il commença à introduire le slip dans mon rectum, en le poussant de deux doigts jusqu’à ce qu’il disparaisse presque entièrement à l’intérieur.
Mais cette fois il renouvela l’opération à plusieurs reprises, faisant entrer et sortir très lentement le bout de tissu de mon cul. Le frottement me faisait frissonner et je ne résistais pas, cela se serait avéré tout aussi inutile que d’habitude.
Pendant qu’il se livrait à sa manœuvre humiliante il m’expliqua qu’il ne fallait pas que je pense que le fait qu’il me baise constituait un adoucissement de ma punition. Je devais bien comprendre que je restais une idiote nulle en comptabilité et tout juste bonne à sucer toutes les bites qui se présentaient.
Et je dus répéter après lui que j’étais une cochonne soumise qui se branlait dix fois par jour et qui bouffait du sperme tant qu’elle pouvait. Je bafouillais en récitant ma leçon et il me fit recommencer plusieurs fois à m’humilier moi-même ainsi. Enfin il retira une dernière fois le petit bout de satin souillé de mon derrière et je pus me relever.
Comme la fois précédente j’ai enfilé ma culotte devant lui, elle était dans un état encore pire après avoir épongé son foutre et frotté maintes fois les parois de mon cul. Il se lava les mains au petit lavabo des toilettes et m’autorisa enfin à rentrer chez moi en me lançant :
- La prochaine fois je vous collerai votre culotte de salope dans la bouche après m’en être servi pour vous nettoyer ».
J’étais mortifiée et je suis sortie des toilettes le regard à ras de terre, je savais qu’il le ferait et qu’il me prévenait pour que j’ai tout le temps d’y penser, cela faisait bien évidemment partie de son plaisir pervers.
Depuis ce jour mon patron me prend régulièrement, mais il faut bien dire que ça ne change plus grand-chose, après ce qu’il m’a déjà fait subir. C’est juste une étape supplémentaire de mon chemin de soumission, sur lequel j’avance pas à pas sans jamais trouver la force de me rebeller.
Au point où j’en suis il pourrait tout aussi bien divulguer les photos en sa possession dès demain et à qui il veut ; je ne sais pas si j’aurais le courage de lui désobéir. Il m’a entraînée dans une spirale d’attente et de jouissance et je ne sais plus dire non. D’ailleurs il n’a pas tardé à me reprendre le peu de mou qu’il avait encore laissé à la corde passée à mon cou.
Jusque là il n’accaparait que mes semaines et le week-end je pouvais reprendre une existence normale. Enfin, normale si l’on peut dire, étant entendu que je passais mes deux jours de repos à tenter d’imaginer ce qu’il me ferait subir dès le lundi matin… et à m’en exciter à l’avance, bien malgré moi.
Cette tranquillité s’est interrompue un vendredi après-midi, lorsqu’il m’a convoquée pour fixer de nouvelles règles au jeu dont il était désormais le maître. Partant du principe que j’étais payée tous le mois et donc les week-ends également, et que j’avais commis de très lourdes fautes professionnelles, je devais également rembourser le samedi et le dimanche. CQFD…
Je compris rapidement qu’il avait mis au point un système qui ne me laisserait plus en repos un seul jour. Tout d’abord il me colla des punitions chaque fin de semaine. Des punitions toutes plus stupides et infantilisantes les unes que les autres d’ailleurs. En général il s’agissait de lignes à recopier, et je me souviens encore du premier week-end que j’ai passé à recopier mille fois « je suis une branleuse obéissante qui avale docilement tout le foutre qu’on lui décharge dans la bouche ».
Et je devais dater et signer à la fin de chaque ligne ! Je devais rendre ma punition le lundi matin et lui vérifiait ligne par ligne. Il m’avait d’ailleurs prévenue que si je ne m’appliquais pas suffisamment, si j’oubliais un mot ou faisais une faute, ou bien encore si le compte n’y était pas il doublerait la punition, et ce pour le mardi matin naturellement. J’étais assurée d’y passer la nuit et je faisais donc très attention. Mes propres vérifications me prenaient des heures, mais m’ont évité le doublement de la punition plusieurs fois…
D’autres fois c’étaient des perles à enfiler, des boîtes entières de perles de verre minuscules, que je devais assembler en colliers interminables, en respectant un séquencement des couleurs variant constamment. J’y passais mes samedis et mes dimanches, c’était encore pire que les lignes et j’en pleurais d’énervement, en particulier lorsque je m’apercevais que je m’étais trompée et que j’avais enfilé quelques centaines de perles depuis !
Son imagination ne semblait avoir aucune borne. Un week-end il m’a fait couper en deux chaque grain de riz d’un sac de cinq kilos. J’en ai eu des ampoules à cause du frottement du manche du couteau, et depuis je ne peux plus avaler une cuiller de riz.
Mais bien évidemment ma libido était également sollicitée. Le même vendredi il me donna l’adresse compliquée d’un site internet. Après avoir allumé ma web-cam je devais me connecter à chaque fois qu’il m’envoyait un sms sur mon portable.
Le sms précisait de quels accessoires j’aurais besoin, et il est arrivé plusieurs fois que je ressorte pour aller me procurer les « jouets » qu’il exigeait. A l’heure convenue la web-cam se mettait en route et je savais qu’à l’autre bout on me regardait, mais je ne savais pas si c’était lui ou bien d’autres gens que je ne connaissais pas.
Des collègues à moi, complices du patron également, qui sait ?
Des messages s’affichaient sur l’écran, qui me dictaient ce que je devais faire. Généralement il s’agissait de nouvelles séances de masturbation.
Face à cet écran je crois m’être caressée dans toutes les positions possibles, et avec toutes les choses imaginables. Je vous épargne le traditionnel concombre, mais aussi des godemichés que j’avais été obligée de me procurer sur internet, et même un plug anal que j’ai du garder enfoncé entre mes fesses plusieurs fois tandis que dos à l’écran et les fesses bien tendues j’agitais mes doigts dans ma fente, frottant mon bouton jusqu’à l’orgasme.
Un samedi après midi je me suis pénétrée avec une banane épluchée, je l’ai fait aller à venir en moi jusqu’à la jouissance, puis je l’ai sucée longuement à genoux devant l’écran, pour enfin la manger.
Le lendemain je dus enduire les pointes de mes seins d’huile pimentée pour pizza et les froisser longuement pour que l’huile pénètre. Et je mouillais sous la brûlure, évidemment. Je dus déposer une goutte de la même huile entre les lèvres de mon minou, avant de me frotter encore et encore de deux doigts. Je ne savais plus si je me caressais pour effacer la brûlure ou pour faire grandir encore le plaisir qu’elle faisait naître en moi, mais j’ai joui violemment comme à chaque fois, le ventre tendu en avant vers mon ou mes spectateurs invisibles.
Le week-end suivant je me suis administrée moi-même une fessée cuisante à l’aide d’un martinet dont j’ai ensuite enfoncé le manche dans mes fesses, branlant mon rectum tout en caressant ma fente de l’autre main. Orgasme encore, et j’ai senti mes fesses chauffer jusqu’au soir.
Le lundi matin j’arrivais au bureau les yeux cernés et lui me demandait ironiquement devant mes collègues si j’avais fait la fête tout le week-end. Je me suis habituée à tout cela comme au reste, et même si je n’y croyais pas moi-même la jouissance était toujours aussi forte et je sais qu’en mon for intérieur j’attendais le sms qui allait me jeter en pâture face à l’écran.
J’étais en manque permanent et ces séances d’exhibitionnisme ne suffisaient pas à m’apaiser, je voulais un membre dur et gonflé de sève dans ma main, dans ma bouche, dans mon ventre. Que je ne m’inquiète pas, mon patron pensait à moi et toute la semaine il prenait ma bouche ou mon ventre selon son bon plaisir.
Un jour il m’a annoncé qu’il m’invitait au restaurant le soir même. J’étais libre de m’habiller comme je voulais, il considérerait ma tenue comme une marque de bonne volonté ou bien comme une tentative de me soustraire à mes devoirs de cochonne docile et dans ce dernier cas il en tirerait les conséquences et m’appliquerait les jours suivants le traitement que je méritais.
Je suis donc arrivée au rendez-vous vêtue d’une jupe noire évasée plutôt courte et d’un petit chemisier gris en soie. L’ensemble était assez classe sans ostentation, mais très sexy. Il faisait chaud et je ne portais ni bas ni collant. Pour ma lingerie j’avais choisi un ensemble slip et soutien gorge noir, dont le voile laissait apparaître par transparence tout ce que d’ordinaire on a plutôt tendance à dissimuler, mes jolis tétons roses foncés, mes fesses et la toison rousse de mon pubis taillée de frais, étroite mais pas au format ticket de métro tout de même. Bref, j’aurais été de mon point de vue parfaite pour un rendez vous amoureux, mais hélas on était bien loin de cela.
Lorsque je suis arrivée pour dîner il était déjà là, assis à une table au fond du restaurant et face à la salle. Je me suis assise et il m’a complimentée pour ma tenue, espérant « que ce que l’on ne voyait pas valait bien ce que l’on voyait ».
Je n’ai rien dit, en fait j’étais intimidée, c’était la première fois que je dînais en tête à tête avec cet homme et même si cela peut paraître étrange j’étais presque plus à l’aise nue dans son bureau. Il ne m’a pas laissé le choix des plats et a passé commande pour moi.
Je commençais à me détendre un peu quand j’ai réalisé qu’il me commandait le menu enfant tandis qu’il sélectionnait pour lui-même les plats les plus fins de la carte. Le serveur, un grand brun dégingandé, se marrait en douce et j’étais rouge de honte.
Il est parti avec la commande et j’étais certaine qu’il allait bien se marrer avec ses collègues en racontant l’histoire du type qui sort une femme et lui impose un jambon blanc - purée, arrosé généreusement d’un sirop de fraise.
Dès que le serveur fut parti la soirée débuta vraiment. Pour commencer je dus ouvrir mon chemisier jusqu’à la taille et en écarter les pans. Comme j’étais dos à la salle personne ne pouvait s’en apercevoir mais je savais que le serveur n’allait rien manquer de mon soutien gorge transparent au moment où il apporterait les entrées (salade de tomates pour moi, et il avait demandé de remplacer la vinaigrette par du ketchup, c’était écoeurant au possible, foie gras frais poêlé et ses figues caramélisées pour lui).
Ca ne manqua pas, le serveur déposa les assiettes et resta figé, encore incliné à demi vers la table sur laquelle il venait de poser les assiettes, en contemplation devant ma poitrine. Il demeura ainsi un moment, jusqu’à ce que mon patron lui demande avec un clin d’oeil s’il y a avait un problème.
L’autre prit un air entendu et répondit que bien sûr que non il n’y avait pas le moindre problème, il nous souhaitait une bonne dégustation et une excellente soirée. Mon patron se comporta comme si tout cela était complément naturel.
- Eh bien mangez maintenant, j’espère que vous aimez les tomates », me dit-il avec son habituel sourire équivoque.
Après l’entrée, il me commanda de retirer mon soutien gorge. Et j’obéis, bien évidemment. Je fis tomber les bretelles par-dessous la chemise et retirai le soutien gorge par les manches, assez amples heureusement. D’abord la gauche, puis la droite, et je me retrouvai bientôt les seins à l’air, attablée dans un restaurant huppé à attendre le retour du serveur qui cette fois allait pouvoir vraiment se rincer l’oeil.
Lorsqu’il revint desservir il marqua un temps d’arrêt, regarda mon patron qui lui souriait toujours, et débarrassa les assiettes. Il prit bien évidemment son temps, ne lâcha pas ma poitrine du regard et moi je sentais mes pointes se dresser.
En saisissant mon assiette il se débrouilla pour effleurer lentement mon sein gauche du dos de la main. Devant ma passivité et la complicité évidente de mon patron il s’enhardit, reposa l’assiette et discrètement pour ne pas être remarqué du reste de la salle il posa carrément la main et entrepris de me caresser les seins, s’attardant sur les bouts tendus et sensibles.
Je me retins de gémir mais je sentis que je commençais à mouiller. Il prolongea la caresse, ses doigts couvrant et pressant alternativement mes deux globes, sa paume frottant les pointes érigées. J’avais le souffle court, mon excitation grandissait au fur et à mesure que la caresse se faisait plus précise.
Mon slip devait être à tordre et malgré moi mon bassin entamait un mouvement doux et régulier et la chaleur bien connue envahissait mes fesses et gagnait ma fente pressée sous le tissu de ma culotte. Est-ce par peur d’être repéré ? Toujours est-il qu’il me lâcha avec une mine pleine de regret et finit par emporter les assiettes.
La même scène se renouvela à chacun de ses passages. A chaque fois mon excitation gonflait jusqu’à ce qu’il s’interrompe et reparte. Pour le dessert il m’apporta une coupe de glace à la fraise. Mais au lieu de la poser devant moi il l’approcha de mes seins et les effleura longuement avec la boule glacée.
Le froid brûlait mes tétons tendus à l’extrême en même temps que la chaleur investissait de nouveau mon ventre. Le manège me rendait folle, j’étais prête à jouir ainsi, par le seul frottement contre le siège, mais il s’arrêta et déposa la coupe devant moi.
Alors mon patron lui demanda s’il existait un endroit discret où je pourrais « prendre l’air ». Tout heureux le serveur lui indiqua le couloir desservant les toilettes, et précisa que la porte au fond débouchait sur une petite cour intérieure.
Dès le repas terminé mon patron m’entraîna dans ce couloir et nous passâmes la porte indiquée par le serveur. Il faisait nuit. La cour était vraiment petite, quelques mètres carrés, et les conteneurs d’ordures du restaurant y étaient stockés. Il faisait encore chaud et l’odeur des poubelles était suffocante.
Aussitôt mon patron m’ordonna de me déshabiller et de ne conserver que mes chaussures. Une fois que je fus nue il posa mes vêtements en tas sur le conteneur le plus proche. Le serveur ne tarda pas à nous rejoindre et demanda immédiatement à mon patron combien il fallait payer. Celui-ci lui répondit que j’étais gratuite ce soir mais qu’il ne pourrait jouir que de ma bouche.
Sur ces mots il me poussa en avant et je dus m’accroupir au milieu de la petite cour. Le serveur écarta mes genoux avec le pied tout en déboutonnant sa braguette. Il sortit avec difficulté sa queue déjà raide et me la fourra dans la bouche sans prononcer une seule parole. Il avait agrippé mes cheveux et avançait le ventre pour me pénétrer le plus loin possible et son sexe m’étouffait. A peine quelques secondes plus tard il éjacula directement dans ma gorge et me repoussa.
Je basculai en arrière et me retrouvai assise sur le pavé les jambes ouvertes et la bouche pleine de sperme. Il se reboutonna rapidement et repartit, nous laissant seuls. En me redressant je constatai que mon patron avait lui aussi sorti sa queue et je compris ce qui m’attendait. Il pénétra mes lèvres et je le suçai jusqu’à ce qu’il éjacule un jus abondant que j’avalai également.
Il me rendit mes vêtements qui puaient abominablement, je me rhabillai et nous quittâmes le restaurant. Sur le trottoir je pris mon courage à deux mains et je lui murmurait en baissant les yeux :
- S’il vous plait, je ne veux pas être une putain ».
J’avais prononcé ces mots d’une voix à peine audible mais il avait parfaitement entendu. Il me fixa un moment puis sans un mot tourna le dos et partit vers sa voiture. Je rentrai alors chez moi et je passai la nuit à me demander si je ne venais pas de faire la plus grosse bêtise de ma vie.
Pas de suite....
Mais je pense que c'est la fin.