La vie n'est qu'un longue successions
d'expériences lol....
Cinéma Hot
Rendez-vous avec ta chienne devant le cinéma, elle est juste à l’heure devant ce ciné porno sordide fréquenté par des vieux à la recherche de sensations faites pour leur donner quelques émotions qu’ils ne connaissent plus depuis des années.
Je lui avais demandé de tenir un journal à la main, de porter un mini jupe et des bas auto portants noirs.
Elle était étonnée de ne pas me voir et plus encore d’être abordée par un homme âgé d’une soixantaine d’années qui lui demanda si elle était bien Madame XXX. Surprise, elle ne pouvait qu’acquiescer. Il lui demanda de le suivre à l’intérieur de la salle, il avait les billets à la main, achetés au préalable.
Une faible lumière éclairait l’endroit ou quelques silhouettes éparses pouvaient être vaguement distinguées, elle me cherchait du regard, en vain.
Elle demanda à la personne qui la précédait si je me trouvais dans la salle mais il ne répondit pas et lui indiqua une place située à l’arrière du ciné dans une rangée où il n’y avait personne.
Elle pris place au milieu de la rangée et s’assit, inquiète.
Les lumières s’éteignirent peu à peu, la tension la gagnait. Le film débutât mais elle n’y prêta qu’une faible attention, l’angoisse la gagnait.
Soudain, elle se fit encadrer par deux personnes qu’elle pouvait à peine distinguer dans la pénombre, ce n’était ni toi ni moi, seule certitude pour elle. En effet, il s’agissait d’habitués des lieux, deux vieux pervers avertis du deal et qui avaient répondus présents à l’offre que je leur avais faite.
Sans hésitation celui assis à sa gauche qui s’appelait Henri se pencha vers elle et lui dit :
- C’est toi la salope de la soirée ? »
- Je ne sais pas j’attendais quelqu’un »
- Oui et bien le ou les quelqu’un c’est nous salope ».
Pendant ce temps son voisin de droite, Paul, avait déjà glissé sa main sur le Dim-up de ta pute et commençait à remonter le long de son entrejambes sans ménagement. Elle eu le réflexe de serrer les cuisses mais ne put résister à l’insistance de ce visiteur pressé de gagner le haut des jambes tremblantes de ta cochonne.
Henri, à son tour tentait de capturer la bouche de ta femme qui tentait encore de s’extraire à cette emprise qu’elle ne souhaitait pas. Il la saisit par les cheveux et de force écrasa ses lèvres sur les siennes, fourra sa langue humide dans la bouche de ta grognasse qui ne put qu’émettre quelques gloussements étouffés.
La main du vieux s’immisça sous le chemisier et pris immédiatement la direction du soutien gorge rempli à souhait. Il palpa avec délectation les petits seins de tPaul avait continué son exploration et avait glissé ses doigts sous le fin tissu du string qu’elle portait en accord avec son soutien gorge qui lui avait déjà cédé sous les assauts de son voisin de gauche.
Les doigts de Paul parcouraient sans ménagement la raie du sexe de ton épouse qui malgré sa répulsion commençait malgré elle à mouiller.
- Tu aimes ça hein grosse cochonne, je vais te faire gueuler de plaisir .
Les nichons triturés d’un côté et le sexe fouillé par trois doigts elle commençait à s’abandonner et refusait de lutter contre ses salauds qui se déchaînaient de plus belle. Henri lui saisi la tête et la fit se plier sur son pantalon. Sa braguette ouverte en vitesse il sortit une grosse queue flasque et obligea ta grognasse à le sucer.
Elle eu un mouvement de recul, mais la pression sur sa nuque la poussa sur l’engin qu’elle pris en bouche et se mit à lécher comme une truie. Pendant ce temps Paul lui administrait une véritable correction en lui ramonant avec vigueur son vagin détrempé.
Elle pompait de plus belle Henri qui reprenait la vigueur de son jeune temps. Puis elle se mit à gémir sous la grosse masturbation de son autre voisin.
A son tour, celui-ci avait dégagé sa queue de sa braguette et se mit à pénétrer le sexe de ta femme qu’il avait ouvert à souhait. Il ne possédait plus le rythme et la vigueur mais il se faisait plaisir de baiser un gros cul de trou à bittes. Elle commençait à sentir les effets qui étaient si faible au départ.
Henri avait sorti ses gros nichons hors du chemisier et pelotait avec fermeté les bouts tendus qu’il serrait entre son pouce et son index et les étirait avec ferveur, elle gémissait.
Paul demanda à son tour d’être sucé, il était épuisé par l’effort qu’il venait de faire, elle se retourna et présenta ses fesses à Henri, pris la queue de l’autre en bouche et se mit à le pomper fougueusement.
Henri n’hésita pas et il glissa deux doigts mouillés dans l’anus de ta grosse pute qui ne s’attendait pas à ça et sursauta en attirant le regard d’un gars assis trois rangs plus loin.
Le vieux lui fouillait la rondelle et la préparait à recevoir de la bitte.
Une main se posa sur l’épaule d’Henri qui surpris se retourna et vit dans l’obscurité un jeune maghrébin qui se tenait derrière lui en lui faisant signe de laisser la place. Henri obtempéra.
L’arabe sorti un mandrin énorme de son pantalon de jogging, saisi ta pétasse par les hanches et s’introduit en douceur dans l’anus dilaté. Elle fût étonnée de la grosseur de la queue qu’elle venait pourtant de sucer et qui, en bouche, ne lui paraissait pas aussi énorme, elle se retourna et s’aperçu que le partenaire arrière avait changé, avec plaisir pour elle d’ailleurs.
Il pénétra lentement, glissant centimètre par centimètre sa pine démesurée dans la rondelle qui se faisait plus étroite et devenait irrémédiablement douloureuse. Puis d’un coup, il ressortit sa longue verge et tirant vigoureusement les hanches de la chienne il l’enfonça jusqu’aux couilles, elle voulu crier mais son cri fut étouffé par la bitte qu’elle avait en bouche et qu’elle continuait à pomper au rythme que lui faisait endurer le jeune mâle qui la bourrait tant et plus.
Il lui claqua les fesses tant à gauche qu’à droite, il la tringlait comme une bête, elle avait lâché la queue du vieux devant elle, elle n’avait plus de souffle pour respirer tant elle était secouée par la vigueur de son assaillant.
Les deux vieux s’étaient mis à se branler devant le visage de ta belle pute et l’un et l’autre éjaculèrent de quelques malheureuses gouttes visqueuses qui vinrent couler sur le visage de la salope qui passa la langue sur ses lèvres pour récolter le petit jus qui lui dégoulinait sur la bouche.
L’autre derrière, tellement excité par le spectacle défonça carrément le cul de la cochonne, tous les spectateurs présents ne pouvaient ne pas entendre le bruit que faisaient les sièges désossés et les cris de ta femme, il y eu bien vite huit curieux qui s’approchèrent de la piste de baise. Certains encourageaient l’arabe, d’autres risquaient une main sur le dos et sur les seins de ta femme entièrement possédée.
Son amant se retira, la fit pivoter et s’engouffra dans sa bouche. Dans un râle profond il lâcha la dose sous les regards médusés des autres. Elle avala tout et nettoya de sa langue les traces de sperme qui dégoulinaient le long de la hampe du gars.
Deux ou trois spectateurs se branlaient et vidèrent leurs couilles sur les seins de cette ordure qui avait été servie par des illustres inconnus. Elle avait aimé.
DIEGO
Je m’appelle Diego, j’ai 35 ans et je suis célibataire. Je ne suis pas très grand mais mon charme latin me permet d’être assez sollicité par la gente féminine. Je vie seul mais en ce moment je fréquente une jeune femme très belle depuis quelques mois nommée Nadia. Ma réputation de séducteur n’est plus à faire et on dit de moi que je suis un très bon amant.
Une nuit, je me trouvais assis au comptoir du bar où Nadia est employée, et derrière moi, à une table, se tenait deux hommes face à face qui se prenaient par la main. Ils se souriaient et s’embrassaient furtivement et je ne pus m’empêcher de tirer l’oreille pour espionner leur conversation.
L’un des deux racontait à l’autre qu’il se connectait souvent sur un site de dialogue et que cela lui permettait de faire des rencontres réelles pour des soirées très chaudes.
Nadia terminait son service et nous sommes rentrés chez moi. Nous avons fait l’amour, puis Nadia c’est endormie. Deux heures plus tard je n’arrivais toujours pas à dormir, alors je me suis levé pour fumer une cigarette dans mon salon. Comme il n’y avait rien d’intéressant à la télé, je me suis dirigé vers mon ordinateur et tout en vérifiant mes emails je me suis connecté sur le net. Au bout de 10 minutes je tapais le nom du site que l’homme du bar avait indiqué à son amant.
Ma curiosité Était telle que je me suis prêté au jeu. J’ai suivis les indications d’inscription du site en donnant bien entendu de faux renseignements. Je me retrouvais connecté avec des centaines de personnes inconnues, des femmes et des hommes, aux pseudos allant des plus délirants aux plus tordus que j’ai connus dans ma vie.
Puis tout à coup, je venais de recevoir un message, puis un second. Je clique sur cette fameuse case et je vois le premier apparaitre. Loulou 23 me demandait s’y j’allais bien. A coté de son pseudo j’ai vu que c’était une femme de 31 ans qui était du département de la creuse, et sa phrase de présentation disait qu’elle voulait faire des rencontres cool.
Je refusais de lui répondre et je cliquais à nouveau sur la case message pour lire le second. Il m’était adressé par un certain michel42. « Salut, si tu veux passer un bon moment chaud je peux recevoir. »
Je me rallumais une autre cigarette quand un second message de Michel 42 s’affichait. « Je veux sentir tout ton membre dans mes entrailles, et avaler ta sève bien chaude».
Plusieurs insultes me passaient par la tête mais je me suis rendus compte que mon pénis commençait à grossir dans mon boxer. Puis une idée me vint à l’esprit, je lui répondis tout en jouant le jeu, durant plus de vingt minutes il me racontait ce qu’il adorait faire et que l’on lui fasse.
Mon sexe était très dur et mes testicules étaient tous gonflés. Je quittais mon ordinateur et je retrouvai Nadia dans la chambre. Je lui retirais le drap qui recouvrait son superbe corps, et je vis sa vulve épilée, doucement je lui écartais les jambes et je me mis à lui sucer le sexe.
Très vite elle se mit à mouiller et ma langue s’introduit dans son vagin, un peu de mon sperme si trouvait encore et je bus le jus qui coulait abondement. Nadia se cambrait de plaisir et d’un coup je l’a retourna. Je lui léchais l’anus tout en lui introduisant mes doigts. Nadia hurlait de plaisir et me suppliait de la sodomiser et deux secondes plus tard ma pine frappait à la porte de son cul Étroit.
Mes vas et viens lui firent prononcer des mots que je ne connaissais pas. Prêt à exploser je me retirais de son fion tout ouvert, elle gobât ma queue entière et je me vidais les couilles dans sa gorge de plus de cinq jets de spermes qu’elle avalât avec délectation.
Puis nous sommes effondrés de fatigues et je me suis endormi dans les bras de Nadia. Le lendemain matin, Nadia tout sourire, m’embrassa sensuellement.
- Tu m’as fais jouir comme personne ne m’a fait jouir auparavant.
Et elle parti à son travail. Sa phrase raisonnait dans ma tête, mon excitation m’était venue de ce dialogue avec ce Michel 42. Le fait de repenser à cette conversation je senti ma bite se raidir et je ne pus m’empêcher de me masturber. Tout en me masturbant je me suis dirigé vers mon ordinateur et je me suis connecté sur un site homosexuel et j’ai pus visionner des vidéos montrant deux hommes se pénétrer.
La vision de ce film m’écœurait et me procurait un désir fou à la fois. Juste après avoir jouis, je refrappais le nom du site de dialogue en gardant le même pseudo que la veille. Je me dirigeais sur les hommes de mon département en cherchant ceux qui comportaient le mot gay sur leurs pseudos.
Très vite, on me répondit, mais un certain Kevin avait retenu mon attention, il était de la même ville que moi. Nous discutâmes durant près de deux heures et il me vantait ses prouesses sexuelles. Je n’en pouvais plus, je voulais le prendre à mon tour, lui présenter mon sexe sous ses yeux pour qu’il me le bouffe.
Tout d’un coup, mon cœur se mit à battre plus fort, il me demandait mon numéro de téléphone pour me contacter et ainsi définir un rendez vous. Pris de peur, je me déconnectais et au moment où je glissais une cigarette dans ma bouche mon portable se mit à sonner. Automatiquement je décrochais.
- Allo ?
- Oui allo c’est moi. C’est Kévin ! Ca va ?
Inconsciemment, je lui avais donné mon numéro, certainement pris par le feu de l’action.
- Euh, oui euh et bien je vais bien ?
- On peut se voir dans une heure ? Me demanda t il.
- Ok, où ?
- Je te récupère et on va dans un coin ;
- D’accord, devant le supermarché.
- A tout à l heure, j’ai ce qu’il faut !
Je pris une douche, très longue et presque bouillante, puis j’enfilais un boxer blanc et un jeans. Mon téléphone se remit à sonner, c’était le numéro de Kévin.
- Je serai au supermarché dans 1 minute !
Je me mis à ma fenêtre, le supermarché était en bas de chez moi et de là, je pouvais voir à quoi il ressemblait.
Un monospace gris s’engageât dans le parking, à son bord, un homme d’une trentaine d’années aux cheveux clair. Le monospace se garât et son conducteur en ressortit. Il était de taille moyenne et assez mince. Il retira un téléphone et appuyât sur les touches, aussitôt´mon portable sonna, c’était lui.
Puis tout se passa vite, la présentation physique, le son des voix, tout s’enchainait rapidement.
Cela faisait près de 15 minutes que nous avions quittés la ville, quand le monospace quittât la route pour un chemin de terre, puis le véhicule stoppa. Mon cœur battait la chamade, et je n’osais pas le regarder dans les yeux.
Tout à coup, il se jeta sur moi et se mit à m’embrasser sur les lèvres, sa langue essaya de s’introduire dans ma bouche à plusieurs reprises et sa main compressait mon sexe qui était raide comme une trique. De façon habile il me déboutonna le pantalon, glissa sa main dans mon boxer et en ressorti ma pine. Il me branlât lentement et se penchât sur mon membre.
Sa langue me caressa le gland et elle en fit plusieurs fois le tour, puis il l’englouti goulument. Ses allers et retour me rendaient fou. Il m’aspirait les testicules tout en mastiquant le manche, il se tortillait de plaisir et il avait sorti son pénis de son fourreau.
Je voyais sa bite bien raide, elle était belle et lisse, je ne puis contenir se besoin que j’avais de la toucher, de la saisir dans ma main et je me suis mis à le branler. Je ronronnais de plaisir, ces doigts faisaient de petits cercles autour de mon anus puis s’y introduisaient doucement, j’écartais mes jambes et ils s’engouffraient plus profondément à l’intérieur.
Ma bite se gorgeât de plaisir et mon sperme jaillit comme un jazzer dans sa bouche, il ne tressaillit même pas et but mon jus tout en entier. Il se redressa et m’invita à passer à l’arrière du monospace. Plus à l’aise, il me retira mon pantalon que j’avais sur les chevilles et retira le sien, son sexe était toujours dressé, il me prit la main et la déposa sur sa barre de 21 cm.
Je me remis à le branler, sa main passa derrière ma nuque et avec une légère pression il me dirigeât mon visage sur son sexe. Je restais ainsi durant presque 1 minute la bouche à 2 cm de son pénis, ma langue sorti doucement et lui lécha le gland, puis petit à petit ma bouche suivie et je l’engouffrais
à mon tour. Je le pompais, le branlais, le léchais comme si j’avais toujours sucé des hommes. C’était bon, j’aimais ça. Kévin me mis les mains sur la tête pour m’empêcher de reculer et son foutre envahi ma bouche. J’avais la bouche pleine de sperme chaud, en une seule rasade tout avait disparu, le gout était iodé mais doux, une drôle de sensation dans la gorge, comme une chatouille me mettait mal à l’aise je continuais d’aspirer sa bite et de lécher le sperme qu’il avait sur le gland, j’aimais ça, j’en voulais encore.
Puis Kévin m’embrassa et cette fois je permis à sa langue de rentrer dans ma bouche. Il m’enroula dans ces bras et me caressa ma queue de nouveau, ses doigts humides pénétraient de nouveau mon intimité. Je lui rendis la pareille et nous sommes restés là à nous doigter et à nous embrasser quelques instants.
Il me retourna et se plaça entre mes jambes, j’étais paralysé. Son sexe glissait le long de ma raie et stoppa à l’entré de mon cul. Je senti un liquide froid couler sur son gland et mon anus puis la pression fut plus forte.
L’introduction fut douloureuse au départ et son membre me paraissait énorme dans mes entrailles. Ce va et vient douloureux se transforma en un plaisir profond.
Les coups de reins étaient alternés, violent par moment, rapide à d’autre. Je fondais de plaisir et je repensais à Nadia la veille. Je soupirais, je ronflais, j’hurlais de plaisir et je jouis de nouveau sur le siège de l’auto. Kévin ne fut pas long derrière et me remplis le cul de sperme bouillant. Chaque jet de foutre me rendait fou de plaisir.
Il se retira mais j’en voulais encore. Je remis son énorme sexe en bouche et je le suçais jusqu’à la dernière goutte du divin élixir. Finalement, me voyant assoiffé, il m’emmena chez un type dans une superbe villa.
A l’intérieur, si trouvaient 4 hommes et à peine présenté, Kévin me fit agenouiller et le premier des trois me présentât sa bite et je me hâtais de l’aspirer activement jusqu’à ce qu’il vienne dans ma bouche. Son sperme était acide, mais j’aimais son goût.
Je me fis sodomiser par les trois, et j’avalais toute cette semence. Que ce fût bon. Puis, il me ramena au supermarché, et depuis ce jour, je suce le plus de bite que je peux dans la journée comme un vrai aspirateur à sperme.
Et Nadia me direz vous ?
Elle porte mon enfant, je l’aime et je suis son dieu du sexe.
Retour de tennis,
Assise à côté de moi dans la voiture, Sabine portait une robe noire, un porte-jarretelles, des bas - coutures et ses bottines à talons hauts. Nous commencions à ressentir la fatigue du voyage.
La nuit était bien avancée et cela faisait déjà plusieurs heures que nous roulions lorsque nous nous sommes arrêtés sur une aire de repos. Sabine est descendue de voiture pour satisfaire un besoin pressant. Je ne pus m’empêcher de regarder son déhanchement alors qu’elle s’éloigna rapidement, un désir m’envahit soudain.
Je vis alors deux hommes la suivre et entrer après elle dans la station. Ils se permirent quelques gestes équivoques qui en disaient long sur leur excitation. Je décidais alors de descendre moi aussi de voiture et d’aller à la station vérifier que la situation ne dégénérait pas. La station était quasi déserte à cette heure-là. J’entrais alors aux toilettes des hommes quand j’entendis alors, venant des toilettes des femmes, une voix masculine s’exclamer :
- Viens voir Karim, la petite dame a un joli derrière, elle est sacrément bandante cette bourge»
- Retrousse-lui la robe pour voir ses dessous et profites-en pour la caresser »
- Tu aimes quand on te caresse ? Viens voir, elle a des dessous de pute »
- Arrêtez, je suis mariée et mon mari est dans la voiture »
- On n’a rien contre les femmes mariées, si tu es gentille avec nous, tu pourras aller retrouver rapidement ton petit mari »
Ma femme ne répondit rien.
- Laisse toi faire, on va te faire du bien ; Karim à toi l’honneur de caresser Madame, pendant ce temps elle va me tailler une pipe avec ses lèvres bien rouges
J’entendis le bruit d’une boucle de ceinturon…
- Allez, fais pas de manière, tu as une bouche de suceuse, alors au travail ma belle - Dis donc Momo, c’est vrai qu’elle est bien foutue cette salope. En plus de porter des bas, elle porte un string, plutôt une ficelle dans le cul, son mari ne doit pas s’ennuyer avec une pouliche comme elle. Elle a une chatte bien poilue comme je les aime. Regarde, quand je la touche là sous sa petite culotte, elle frissonne, elle ferme les yeux et elle écarte même les cuisses, c’est un sacré numéro cette femelle J’entendis alors le souffle de Sabine monter de la cabine.
- Tu ne me croiras pas, mais la dame est toute mouillée, à croire qu’elle n’a pas baisé depuis des mois »
- Alors qu’est-ce que tu attends pour la baiser, je passerai après toi ? »
- Non, arrêtez », entendis-je de nouveau, « mon mari va arriver »
- Et alors, je suis sûr que ton cocu de mari ça le fera bander de savoir que sa p’tite femme est en train de se faire mettre »
Effectivement, je commençais à être très excité par cette situation.
- Ne fais pas ta bourgeoise, je sais que tu en as envie, ta chatte est trempée, tu as envie d’un mâle, et tu as de la chance tu vas en avoir deux pour le prix d’un! »
J’entendis alors des râles monter de la cabine. Je compris qu’un des deux hommes était en train de la posséder contre la cloison.
- Elle est foutrement bonne, cette salope, elle n’arrête pas de mouiller, c’est une salope de premier choix, hein, pas vrai que tu es une bonne salope avec tes bottines »
- Oui, je suis une salope »
- Et ton mari il te fait pas jouir comme moi on dirait ? »
- Non, il dit que je suis coincée »
- Coincée, ça non. Plutôt une bonne pute. Tu en veux encore, dis-le »
- Oui, j’en veux encore »
- Dis Karim, presse-toi, tu n’es pas seul, j’ai envie d’essayer madame »
- Ca y est j’ai joui, à ton tour Momo, de profiter de Madame, c’est un sacré bon coup »
- Oh oui, baisez-moi encore, c’est trop bon »
- Tu entends Karim, elle en veut encore de la bibite, elle aime les gros calibres, avec moi elle va être servie, je veux que tout le monde t’entende dire « j’aime les gros calibres, je suis une pute à gros calibres », dis-le »
- Oui, j’aime les gros calibres, je suis votre pute, finissez ce que vous avez commencé »
- La p’tite dame aime se faire mettre pendant que son gentil mari l’attend dans la voiture, Karim, mets-lui ton silencieux dans la bouche, car je vais la faire crier, je vais passer par derrière, son cul est un appel au viol et ce n’est pas sa ficelle qui va m’arrêter »
- Non, pas par là, vous êtes trop gros et personne ne m’a jamais fait ça »
- T’inquiètes, j’ai l’habitude de prendre les pouliches dans ton genre par là, et tu peux me croire, elles ne le regrettent pas ».
Effectivement, elle gémissait de plus en plus fort, je ne la reconnaissais pas, elle si souvent si prude et réservée quand il s’agissait de sexe, elle était totalement décoincée. Elle se livrait comme une chienne, à quatre pattes, un mâle devant, un autre derrière.
- C’est une sacrée chienne cette salope, elle commence à bouger du cul, tu vas voir Karim, je vais lui élargir le trou du cul à cette bourge, après moi, tout le monde pourra rentrer par là »
J‘entendis Sabine jouir une nouvelle fois sans aucune retenue comme la dernière des catins.
- Finis ta sucette maintenant, fais ta gourmande avec ta langue, je suis sûr qu’au travail tu es le genre de pétasse à passer sous le bureau pour tailler le crayon de ton directeur, n’est-ce pas »
- Oui, je l’ai déjà fait et les hommes aiment ça »
- Ton mari est au courant ? »
- Non, non, il voudrait que je lui fasse la même chose… »
- Mais tu préfères le faire à des inconnus, tu es vraiment une salope »
- Oui, je suis une salope qui va aller retrouver son cocu de mari »
- N’oublie pas de rajuster ta ficelle car sinon ta robe va être toute tâchée, et n’oublie pas aussi de remercier ton mari »
- Si tu veux nous laisser ton numéro de téléphone, on viendra te visiter quand tu veux et si ton mari veut regarder, on lui laissera le fauteuil et on prendra sa place dans le lit, il aimera la leçon et il verra que sa femme est une pute qui aime se faire violer par des mecs bien montés … »
Pt'i soumis
J'ai 23 ans et depuis l'age de 21 ans je suis bi, enfin je pensais être bi...
Ma copine n'était pas au courant de ma bi-sexualité, quand elle l'a découvert en regardant mes mails cela a changer totalement notre relation. Ma copine Aline, a continué a chercher et a trouver des photos de moi soumis à un homme plus âgés que moi.
Elle m'assura qu'elle montrerait ces photos à mes amis de classes et ma famille si je ne devenais pas son petit soumis. Par crainte de la réaction de ma famille et de mes amis j'ai accepté. Elle m'oblige aussi a raconter mes exploits de soumis.
Aline me dit que je devais a tout moment être a ces ordres, je ne pensais pas que ça allais finir de cette façon.
Durant une semaine le soir quand je rentrais je devais me balader en string dans la maison et l'attendre couché sur le canapé, Aline me sodomisait avec toute sortes d'objets! Je ne lui faisais plus l'amour elle me sodomisait tout les soirs.
La semaine suivante ma copine est venu avec un god ceinture et des menottes. Les soirs elle m'attachait avec les menottes et je devenais une véritable lope!!!
Un soir lorsque je suis rentré Aline était déjà là avec une boite pour moi, elle me dit d'aller me changer. J'ouvre cette boite et je voie un string transparent, le soutien gorge qui va avec, de quoi le rembourrer, une petite jupe et un chemisier.
Aline me rappelle les photos et me montre un mail avec des photos plus que compromettante prés a être envoyées a toute ma famille et mon école.
J’exécute directement ces ordres, Aline me fit enlever mon string et me rasa le sexe et l'anus. Je pensais qu'elle voulait me prendre en femme.
Elle m'attacha comme chaque soir les mains dans le dos mais cette fois ci elle me banda les yeux. On sorti de l'appart et on alla dans le garage.
Arrivé dans le garage, j'entendis de voix, j espérer que se ne soit pas les voisins, les voix paressaient jeunes, mais comment aller t il réagir en trouvant un homme dominé par sa femme comme ça Aline dit bonjour aux personnes que l'on croisa, je l'ai entendit rire. Aline me poussa contre une voiture et me leva la jupe, elle appela les jeunes et écarta mon string pour me mettre un petit god directement dans les fesses. Pris de honte je ne pouvais rien dire, mais une terrible érection me pris. Aline la remarqua, et on pris la voiture, je commençais a paniquer.
Quand on s’arrêta, elle m'enleva mon bandage sur les yeux, nous étions sur une aire d'autoroute pleine de camion et très peu éclairer. Aline m'emmena dans les toilettes me de fait attendre dans une cabine.
Je ne savais pas quoi faire, dans cette tenue je ne pouvais pas appeler a l'aide. trop honte de la situation.
Aline revient 5 min après accompagnée. je vis 2 hommes assez grand et plus baraqué que moi, j'avais compris ce qui allé se passer...
Aline me donna comme ordre d’être au service de ces messieurs. Les toilettes étant petit l'un des deux proposa que l'on aille dans sa remorque.
Le plus grand des deux m'arracha le string, je n'avais même pas remarqué, mais j'avais le sexe tendu. En voyant ça Aline et les 2 hommes ont commencé a m'insulter de chiennes, de putes et lope.
Arrivé dans le camion, les 2 hommes me donne leur bite a sucer, je fais de mon mieux, je suce, j'aspire le gland, je prends mon rôle de lope au sérieux. les sexes que je suçais était grosse et longue, Aline poussait derrière ma tète pour que je les prenne le plus loin possible en bouche. Un des hommes arriva derrière moi de la position a genoux je passe a quatre pattes Aline donne a l'homme un tube de lubrifiant. Directement je sens qqch de froid sur ma rondelle et ça commence a forcé l'entrée de ma rondelle, je sent le tube se vider en moi...
Puis un gland commence a forcé l'entré de mon anus, je ne peux pas résister. Il pénètre mon anus et commence a me limer. Celui de devant me baise carrément la bouche. Je commence a gémir de plus en plus fort, de douleur ce passe a plaisir.
Plaisir d’être humilier devant la copine qui ne loupe rien, elle filme même Et remarque mon érection et soudainement je jouis sur le sol, sans pour autant que l'on me touche le sexe. Les deux hommes en rigolent, ça résonne dans cette remorque j'ai peur que l'on ne découvre.
Aline ramasse mon sperme avec ces doigts et les essuie sur le sexe que je suce.
Mon anus me fait mal, mes fesses sont pilonné durant 20 bonnes minutes avant que je revoie ce sexe qui m'éjacula en plein visage. L'autre homme ne tarda pas a jouir, il fit pareil sur mon visage... Me voici humilier, plein de sperme, l'anus dilaté qui me fait mal et toujours au sol dans cette remorque.
Les deux routiers sortent de la cabine avec Aline, je les entend parler mais je ne comprend pas ce qu'ils disent. Aline revient dans la cabine m’enlève le reste de mes vêtements et les 2 hommes me font descendre du camion, je me retrouve nu sur cette aire d'autoroute. Aline de banda les yeux a nouveaux et me fit avancer.
Je me retrouve dans l'herbe. J'entends des pas qui se rapprochent. Au bout de quelques minutes Aline m'enleva mon bandeau, je me retrouve au milieux de cinq hommes qui se masturbent. Chacun son tour, ils m'éjaculent au visage. J'ai le visage plein de sperme et Aline filme bien tout ces détails.
Les hommes autour de moi ont tous encore le sexe a l'air. Aline leur dit me passer la douche, je me retrouve plein d'urine. Je me fais traiter de tous les noms et ils partent tous en me laissant comme ça..
Aline m'a promis que ce n'était qu'un début et que j'allais payer de l'avoir trompé durant autant de temps....
Je ne pensais pas que j'allais prendre du plaisir a ce point...